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[RP]Cathédrale de Narbonne : Mariage Ayena/Adrien, le 25/02

Adriendesage
Le passage du Livre des Vertus choisi par l'archevêque était un classique de la cérémonie maritale, pourtant il laissa tout de même Adrien songeur quelques instants. Il se plut à imaginer, l'espace d'une demi minute, une ribambelle de petits Desage courant par les écuries du château de Crussol, s'entrainant à l'escrime avec des épées en bois, sautant dans les tas de paille que l'on entassait à la fin du mois d'Août, au milieu des champs avant la vaine pâture de Septembre. Lors de son premier mariage, Adrien était un tout jeune homme d'à peine 17 ans. Il n'avait pas pensé à sa suite, à sa progéniture. Et Liloïe était venue au monde. A voir sa fille vivre fièrement l'héritage de sa mère, Adrien s'était doucement prit à rêver qu'un jour, son histoire, son héritage à lui, perdurerait. Du reste, au bout de cette demi-minute, son attention se reporta à la cérémonie et il récita le Crédo de façon presque mécanique, tant il récitait régulièrement cette prière là.

"Je crois en Dieu le Très Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

Et en Aristote son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers
Aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil ou l'attendait Aristote
A la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, une et indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des pêchés,
En la vie éternelle.

Amen."

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*En reconstruction*
Baron de Crussol & seigneur d'Alquines
Galahadd
Monseigneur se gratta la tête.
Citation:
Dame Ayena je sais que c'est l'émotion mais j’attends que vous répéter le Credo.

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Archevêque de Narbonne. Ancien Évêque de Nîmes, curé Lodève
Ayena
Ce soir, elle pourrait lui ôter sa couronne et passer les mains dans la chevelure bouclée de son époux. De cela, elle en rêvait en silence depuis un moment en se trouvant honteuse d'éprouver tel désir. Mais après tout, et l'Archevêque venait de le dire, ce soir elle aurait le droit de désirer Adrien. C'était même un devoir conjugal que d'aimer. Ce sur quoi passa rapidement l'officiant et qui était pourtant une plaque tournante du passage lu, c'était le but du mariage : procréer. Faire des petits Adrien et des petites Ayena. En l'occurence, c'était ce qui faisait le plus peur à notre Demoiselle qui ne retenait, sans doute fort égoïstement que les mauvais côtés de la procréation : la douleur, physique d'abord, puis morale ensuite lorsque les petites êtres venaient à rejoindre le Très Haut sans avoir eu le temps de vivre. Un jour, il faudrait demander à un religieux si Dieu reprenait les enfants pour punir les mères. Mais à cet instant, tout cela était absent de l'esprit légèrement torturé de notre future mariée : plongée dans le regard du Coms, elle était persuadée que tout serait possible. Parce que c'était lui. Alors oui, elle prit le train du Credo un peu en retard et rougit légèrement d'être reprise à l'ordre par Monseigneur Galahad, mais elle s'exécuta en pensant, malgré elle, qu'elle avait hâte de donné aux Desage un petit héritier.


- Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.


Sa voix est faible, d'émotion. Les autres voix, celles de tous les invités et de tous les cuerieux résonnent en désordre dans la cathédrale. L'effet est saisissant et empoigne à sa façon le petit estomac déjà maltraité de la Demoiselle.

- Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Ses lèvres s'étirent dans une volonté de sourire à Adrien, lorsqu'elle se rend compte qu'elle en a oublié la formule finale. Décidément, le trouble d'Ayena est palpable.

- AMEN, souffle t-elle.

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*En refaisage*
Vicomtesse de Saint Rémezy
Baronne de Crussol
Dame d'Alquines
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Héraldique>Ne pas cliquer ici
Galahadd
Puis l'Archevêque joignit ses mains et s’approcha des jeunes gens, leur demanda de se lever et les entoura de ses bras.Il les invita ensuite à se tourner vers l’assistance.

Mes amis, chers voyageurs, mes enfants,
Nous sommes réunis aujourd'hui pour unir ces deux jeunes personnes devant le Très-Haut mais avant de commencer la célébration. Permettez moi de vous les présenter:
A ma droite, Dame Ayena,Quand elle rencontre Messire Adriendesage du premier regard elle devina l'homme en qui elle peut avoir confiance, l'homme qui lui redonne envie d'avancer, l'homme que son cœur à choisi.


Ensuite à ma gauche, Messire Adriendesage, à force de travail et de dévouement pour son prochain il occupe aujourd'hui une charge de la plus haute importance. Il contribue à la richesse spirituelle et au prestige du Languedoc.

Mais passons, de toute façon, vous les connaissez tous bien mieux que moi alors venons au moment tant attendu car sinon je pense que nos deux fiancés ne vont plus pouvoir tenir.


Mgr Galahadd adressa un sourire aux deux fiancés et s'écarta d'eux de quelques pas :

Dame Ayena, Messire Adiendesage, vous savez que le mariage est un engagement l'un envers l'autre de manière libre et sans contrainte, qu'il demande aux époux de se promettre un amour mutuel et de se respecter toute vie, que les époux doivent accueillir les enfants que Dieu leur donne ou leur a déjà donné et les éduquer selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos. C'est ce bien pour tout cela que vous êtes aujourd'hui présents parmi nous. Mes enfants, nous allons maintenant vous unir devant Dieu. Par cette cérémonie sacrée, vous vous engagez l'un envers l'autre devant le Très-Haut. Cet engagement est contracté librement, ne l'oubliez pas..
L’Archevêque pris les alliances, les bénis et les présenta au futurs mariés.
Puis c'était le moment du serment de la part des jeunes marié, il leur fit passer le message avec les paroles à prononcée.

Citation:
Moi, ....., je te reçois comme "épouse ou époux" et je serais ton épouse ou époux. Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur, et dans les épreuves tout au long de notre vie.
......., reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité
.

Les mains jointes il fit un pas en arrière attendant le consentement de ces jeunes tourtereaux.
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Archevêque de Narbonne. Ancien Évêque de Nîmes, curé Lodève
Landyves
Après de très longues secondes de réflexion, le benêt prit finalement le parti que lui et son épouse s’installent avant l’arrivée d’Ayena. Il se souvenait d’avoir était des plus nerveux le jour de leurs propres noces, et ne souhaitait donc pas ennuyer les futurs épousés en allant les saluer et leur faire perdre leur temps. Ils auraient de toute façon le temps de les féliciter plus tard.
Gardant donc Mounia tout près de lui, le nîmois tourna les talons en lui souriant et déposant un baiser sur sa tempe, puis se dirigea au sein même de l’édifice religieux dans l’espoir d’y trouver une place. Le troisième quart des bancs devait être parfait pour eux. Et si toutefois son aimée devait se sentir mal, ils pourraient toujours sortir assez discrètement.

Mais pour l’heure, et une fois qu’il fut installé, gardant une main sur la jambe de Mounia, Yves ne put s’empêcher de se contorsionner pour regarder en direction de l’entrée. Interdiction pour lui de louper l’arrivée de son amie. La connaissant, il savait qu’elle serait sublime.

La chose se confirma d’ailleurs lorsque dans l’encadrement de la large porte il la vit. Toute de vert, de rouge et de jaune vêtue, elle s’avançait au bras de celui qui devait être son père. Parmi la foule, des têtes connues, même très connues sortaient du lot. Yves sourit, mais l’instant d’après son regard, ému il fallait bien le dire, se reposait sur la reine de la journée. Il serra le point sur le pan de la robe alors torturée de son aimée.

La tartine agréablement casse-pieds allait s’unir devant le Très-Haut, devant les languedociens, devant cet autel, à l’homme qui était alors le plus important et le plus influent du comté.

Soudain, tout l’être du benêt cessa ses bruits, ses mouvements, jusqu’à son cœur qui s’était enfin apaisé. La cérémonie commença, l’émotion était pour le moment balayée. Un sourire vint poindre durant un court instant malgré tout, à cette vue d’un Galahadd toujours aussi présent et charismatique.

Puis, après que le crédo fut prononcé, l’homme regarda son épouse et colla son front à celui plus petit de la donzelle. Quels souvenirs que ces moments-là, ceux qu’ils avaient vécus bien des mois auparavant, déjà.
Mais alors, le poil hérissé, il se redressa. C’était le moment de l’échange des consentements.

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    « Si tu passes ta vie sur le canapé à bouffer des Granola®, t’es mal barré ! »
--Denonville



Il y avait beaucoup trop de monde. Les mariés avaient du envoyer des invitations à toute la clique de la noblesse, à la moindre personne ayant une quelconque importance dans ce fichu Comté.
Sem, qui avait opté pour le fond de l'église, regrettait son choix : de là où il était, il entendait trop mal ce que l'évêque grabataire racontait. Bon, ça, encore, ça aurait pu passer... S'il avait pu reluquer à loisir la mariée qui brillaient par les couleurs. De loin, on ne voyait que ce point lumineux... Mais Denonville aurait préféré glisser son regard affamé sur les courbes de la jeunette qui avait l'avantage d'être fraiche en comparaison du vieux Comte qui la prenait pour épouse. Le Desage faisait un bon coup en prenant une jeunette... Ca, tout le monde aurait pu le reconnaitre. Il avait quoi ? Deux fois l'âge de son épouse ? Il allait pouvoir prendre son pied... Rha, si seulement Sem pouvait lui aussi jouir dans une mioche aussi peu âgée en toute légalité... Légalité devant Dieu, s'entend.
Ah ! La chair blanche, ferme et juteuse... Denonville soupira et reporta malgré lui son attention sur la grand mère assise à côté de lui. Y avait-il moyen de lui voler sa bourse ? Enfin, à la sortie de la cathédrale, bien entendu, on ne faisait pas ça dans un lieu saint...



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Galahadd
Mgr Galahadd attendait la réponse des jeunes mariés pour la poursuite de la cérémonie
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Archevêque de Narbonne. Ancien Évêque de Nîmes, curé Lodève
Ayena
Monseigneur avait visé juste en décrivant les deux protagonistes. Adrien re-donnait en effet à Ayena l'envie d'avancer. Promis, ils iraient même très loin à eux deux, parce que c'était plus facile de mettre un pied devant l'autre lorsque l'on était certain que si l'équilibre venait à manquer, il y aurait quelqu'un pour vous soutenir.
Les yeux bleus clairs de la Demoiselle d'Alquines, qui ne quittaient plus cet être avec lequel elle allait lier sa vie, avaient étrangement tendance à offrir au Coms des lueurs vertes émeraudes. Sans doute cela s'expliquerait-il par la lumière des vitraux qui filtraient le jour de la sorte que l'iris de la jeune femme réfléchissent des nuances jusque là insoupçonnées... Ou alors, et c'était plus poétique encore, Ayena était en train de devenir une Desage jusqu'au fin fond de l'oeil.

Cette fois, elle fut la première à prendre la parole. Émue, la voix chevrotante, elle fit alors promesse :


- Je, Ayena de Talleyrand, Demoiselle d'Alquines,...

Elle avala sa salive et en profita pour se souvenir avec peine des mots exacts qu'elle devait prononcer, avant de poursuivre tant bien que mal :

- ...vous reçois comme époux et serai votre épouse... à partir de maintenant... Et... Euh... Jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Bon. Qu'elle se reprenne ! Fichez lui une claque qu'elle se réveille ! Ou alors, bêtement, prenez un air attendri, c'est aussi autorisé... On vous le pardonnera, aujourd’hui.

- Je promets de vous aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves, et ce tout au long de notre vie...

C'est alors qu'en toute logique on parle des alliances. Seulement, ça, c'était le domaine de l'époux... Parmi toute l'organisation de cette journée, Ayena avait en effet souhaité qu'Adrien seul s'occupe des alliances. Et elle se rendit compte en l'instant qu'elle ne savait point ce qu'il avait décidé : une seule alliance, et au doigt de la femme pour montrer la dominance masculine ou bien deux, pour montrer l'engagement bi-latéral ? Ha ! son coeur rata un battement et son regard refléta son ignorance. Pour la première fois depuis un long moment, la jeune femme fit dévier ses pupilles qui balayèrent les personnes toutes proches, à savoir les témoins. Vite, qu'on vienne à son secours !
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Baronne de Crussol
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Adriendesage
Pendant le début de la messe, dans un coin au fond de l'église, deux jeunes pages faisaient quelque animation:

"Han! Mais retire donc cette bague de ton doigt bougre de crétin!"

"Mais c'est coincé!"

"Nan mais tu blagues?"

"Raaaah, nan j'te jure, c'est coincé!"

"Attends, fais moi voir!"

*Krak*

"RaaaaaaAAAAH! Mais t'es malade?! Tu m'as démis le pouce!"

"Quelle idée de benêt, de passer la bague du marié à ton pouce! Tout ça pour te faire mousser! Tais-toi donc, si l'on te confondait, tu te le ferais sûrement trancher, ton idiot de pouce!"

Et à ce moment, la mariée se tapait un vent en attendant la dite alliance...

"Nom de D... Vite, c'est à nous!"

Et quelques secondes plus tard, Aimelina se voyait dotée d'une alliance à s'en aller porter, ainsi qu'Antimond de la seconde. Pourtant, tout n'était pas encore sauvé: les deux pages, dans leur précipitation, avaient donné à Aimelina celle d'Ayena, et à Antimond celle d'Adrien...

Ce dernier se dressait de toute sa solide stature d'homme dans la belle force de l'âge. Il regardait tendresse et envie sa presque épouse. Il lui tardait de monter avec elle, les dernières marches de la montagnes de Crussol, de passer sous la barbacane de la muraille, de traverser le village haut de La Villette et de monter tout là haut, dans le donjon de Crussol, là d'où l'on dominait la vallée du Rhône en toute plénitude, avec pour seul plainte celle du grand vent.

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Galahadd
Mgr Galahadd écouta avec émotion l’échange des consentements entre les deux fiancés, non sans un petit regard attendrit sur ce jeune couple
Quand les deux époux eurent leurs alliances aux doigts, l'Archevêque prit la parole :
Ayena, Adriendesage, ma fille, mon fils. Je vous déclare, au nom du Très-Haut notre Dieu tout puissant et de ses Saints, mari et femme. Que votre vie commune soit vertueuse et versée dans les valeurs d’Aristote et de Christos.
Mgr Galahadd leur donna une accolade pour les féliciter puis il repartit vers l’autel, se tourna vers l’assemblée.
Chers fidèles, n'oublier pas l'offrande pour mes pauvres de la paroisse, partageons maintenant le pain de l’Amitié avant de conclure cette magnifique célébration.

Puis s'adressant à ses enfants de cœur:
Pour les friandises, faite attention de ne pas trop en prendre car attention aux dents!
puis l'Archevêque inscrit sur les registres de Montpellier l'Acte de mariage, en demandant aux témoins de faire de même.
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Archevêque de Narbonne. Ancien Évêque de Nîmes, curé Lodève
Plumedange
*Plume suivait la cérémonie avec beaucoup d'émotions se rappelant son propre mariage il y avait de cela quelques années maintenant.
Les différents textes furent récités comme toujours discrètement, elle les avaient tellement dit et redit depuis toute petite qu'ils étaient ancrés dans son esprit.
Ay' était belle, sa magister avait mit tout son talent dans la confection de cette robe unique et sublime.
L'époux était tout aussi somptueux d'ailleurs.

Alors qu'elle se perdait dans ses pensées, on la tira de sa rêverie par un tâtonnement sur l'épaule.
C'était Maurice.
La première surprise passée de le voir présent ici au lieu d'être en train de veiller sur son domaine, elle passa sur le registre de l'énervement d'être dérangée à un moment si important.
Malheureusement, la cause du désagrément était importante, le Lyonnais-Dauphiné était en état de siège et il lui fallait rentrer promptement pour protéger sa ville, ses terres, sa famille.

Elle se leva le plus discrètement qu'elle put, ce qui était difficile vu qu'elle était tout devant et, robe tenue dans ses mains et légèrement relevée, elle marcha à grands pas vers la sortie.
Les cadeaux seraient portés au domicile des époux juste avant de quitter le Languedoc.
Par chance elle avait pu voir l'échange d'anneaux et c'est donc de beaux souvenirs en tête qu'elle quitta les lieux.*

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Ayena
Coup de théâtre pour les alliance, rire dans la foule, haha, huhu, on s'amuse, on s'émeut. Le tout est réparé et Adrien reçoit son alliance. Il fait à son tour promesse et patati pattata, alliance est passée au doigt de la jeune femme. Et Ca y est. Mari et femme. Hey ! La mariée à la droit d'être embrassée ou pas ? Il oublie le plus important cette archevêque, on voit bien qu'il ne connait pas la passion de la chair, le désir brulant, enfin l'amour quoi.
Parait que les témoins doivent aller signer quelque chose. Faudrait qu'ils se réveillent. Il faudra un acte de mariage en bonne et due forme, pour la suite, la paperasserie de nobles.
Ayena, elle, cesse de rêver, son rêve étant devenu réalité. Et voilà une nouvelle Comtesse consort. Confettis !



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Galahadd
Mgr Galahadd avait oublié le plus important, il se repris aussitôt
Mes enfants vous pouvez maintenant vous embrasser, nous faire des beaux enfants qui continuerons à faire la gloire du Languedoc, du Royaume de France Mais surtout élever les dans le respect des lois de notre sainte église Aristotélicienne
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Archevêque de Narbonne. Ancien Évêque de Nîmes, curé Lodève
Aimelina
Aimelina, poignante témoin muette, mais si criante de sa vesture, avait tout suivi avec un mélange d'admiration, de passion et de dubitativité-euh-dubitation-euh-euh... de doute. Oui, tout était beau et marvelousse, surtout quand on considérait que ce mariage unissait la noblesse à l'amour : le rêve, pour une jeune donzelle. Aimelina, l'amour, elle connaissait, un peu, mais le mariage... Déjà, elle ne pourrait pas épouser son vassal, règles nobiliaires obligeaient, et puis, qui d'autre aurait voulu d'elle ? Non, vraiment, sa seule chose d'avoir un jour un rôle actif lors d'une cérémonie nuptiale, c'était d'être témoin.

Sauf qu'en matière de rôle actif... Elle se touchait. Grave.

Confiteor, Credo, Consentement,
tutti quanti, vécus avec la même grande question : et quand c'est donc qu'on a besoin de moi ? En fin de compte, au moment du bisou, elle s'approcha de l'officiant :

-« Monsenher, faut-il que les témoins témoignent quelque part ? »
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En dòl... Meu Paire visquèt e moriguèt en eròi.[Pas là jusqu'à lundi]
Leonia
La cérémonie à peine commencée, Léonie parcouru la Cathédrale des yeux en cherchant une quelconque occupation. Elle se répéta intérieurement qu'elle était mieux ici qu'à la maudite pension. Elle en toucherait deux mots à son paternel ! Si elle le revoyait un jour bien entendu... parce qu'avec cette maudite guerre, rien n'était sûr.

Bref, la jeune blondinette parcourait de ses prunelles la Cathédrale, quand son regard croisa celui de son cousin au premier rang. Il était assis aux côtés de son épouse, dans des fauteuils digne de leur fessiers ducaux ! Celui-ci (son cousin, pas les fesses Haan!) lui indiqua un siège non loin d'eux.

La demoiselle ravala sa salive, souffla un bon coup, et avec la plus grande discrétion qu'elle put, elle se leva. Elle traversa la Cathédrale par le côté, marchant sur la pointe des pieds, tout en relevant légèrement le devant de sa robe. Elle essaya tant bien que mal de diminuer les bruitages de son avancée. Puis arrivée à bon port, sans drame, elle vint s'installer à la place désignée.


Protocole, textes divers, récitation, s'enchaînèrent à une vitesse tout à fait raisonnable en « mesure Léonienne ». Mais le moment qui fit plaisir à la blondinette fût le point final de la cérémonie. Elle en lâcha même un soupire de soulagement.

Maintenant, il faudrait attendre la sortie du couple marié ; et rejoindre les festivités ! Léonie croisa les doigts d'y trouver enfin un quelconque amusement !? Dur dur de lui plaire...



[hrp: édit pour correction de fautes d'orthographes ]
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