---fromFRnimroden

Les mèches se promènent, reviennent et jouent avec le nez, les joues de leur propriétaire. Se balancent devant l'oeil et repartant, toujours humides, s'accrochent à un coin de peau, dansent encore. Arlequin rêveur embarque sur son navire Argo, perdu au milieu des étoiles, les yeux gris fixant cet horizon couleur d'embrun, dont le seul écho est un sourire indifférent et un peu voilé revenu errer sur son visage. Le pitre l'air de rien absorbe l'information, s'en imprègne et la libère, la maintenant en dehors de son univers bercé d'infini.
Ca s'active, un gosse débarque, déjà croisé, vite fait, ici-même. Avise sa main, mimique chagrinée d'Arlequin lui souhaitant bon courage, en avisant le mouvement de Lorenz vers le brasero des gardes. Et pirouette, demi-tour net, d'un bloc et sur un pied en entendant la suite des informations. Les yeux gris s'enflamment, allumés d'une lueur bleue couleur d'acier, froide, tandis que lentement, périodiquement la main gauche recommence à se serrer violemment sur son pansement maltraité. Arrivée d'étrangers. Encore. Mais... Pierrot général avise un visage connu, rapidement croisé en Alençon. Informé, Arlequin tourne vers lui un visage amusé, barré d'un sourire narquois mais amical, empreint de curiosité, contrastant avec la lueur au fond du regard. Derrière lui d'autres, au port étrange, malgré tout bien connu car rappelant un temps ancien. Engoncés dans leur vêtements, il peut y avoir beaucoup de raisons à cela. Hommes d'armes peut-être.
Nouvelle pirouette, Arlequin joueur laisse courir sur ses lèvres un accent moqueur, pas encore cynique. Se tourne vers Vvarn et Marlowe's, les regardant tour à tour, jouant distraitement avec une dague. Puis, déambulant lentement dans la cour son manteau recommence à voltiger derrière lui, doucement bercé par l'air déplacé.
Pierrot soldat revient et reprend
Le nombre importe peu, il faut savoir où frapper. Quant à la vitesse, je ne me fais aucune illusion. Deux lames amies sont actuellement à la Cour, il s'agit simplement de les trouver. Travaillons par priorité. Ilm est une grande fille, et Cal est capturée. Les Ténébris sont soldats, mais lourds et patauds sans stratégie de combat, ni plus de finesse. A ce jeu nous connaissant nous sommes vainqueurs, par ailleurs escrimeurs pour le moins... confirmés
Arlequin peint de nouveau un splendide tracé narquois sur les lèvres du clown, réhaussé par ses pommettes creusées, moqueuses. Un éclat de rire se glisse, il poursuit, amusé
Wulfy, 'fait longtemps que je ne l'ai vu, ou entendu parler de lui.
Travaillons sur deux groupes, oeuvrant de conserve. Deux fronts ouverts sont autant de problème à résoudre en face. Marl's Llian et moi pourrons aller ensemble. Laure dirigera mes deux petits soldats, accompagnée peut-être de ceux de nos amis qui le souhaiteront.
Un sourire crispé par le calcul, l'esprit cartésien marque une pause et peaufine sa réflexion. Relevant un regard vers les derniers arrivés, il regarde Dug, appuyant fermement. Autour des yeux le visage a abandonné toute trace d'amusement, trop occupé.
La première entreprise devra aller vite, car d'autant nous pourrons ensuite récupérer Ilm. Au besoin, nous pouvons détacher le reste de nos connaissances après elle... Les mômes peuvent marquer le terrain. La conjonction de nos forces en un point certain, pour le coup chez nos camarades enleveurs de jeunes filles, permettra ensuite de nous disperser pour la trouver.
Le sourire revient, le pitre se sent l'envie d'une pirouette et l'exécute, revenant vers Marlowe's.
S'interrompt, salue, une mèche revenant barrer son front, dérivant au-dessus de son oeil gauche, oscillant sous le vent. Le pari est risqué, mais entamé trop tard face à un ennemi indéterminé, le salut passe par le danger... et savoir le manier. Baissant les yeux vers sa rapière, le clown extirpe les dix premiers centimètres de lame de leur fourreau, les contemplant d'un oeil torve. La mimique est sans équivoque, sa chère arme lui manque.
Cher, mes acrobates sont égarés, les rappeler prendrait du temps. Allons-y
_________________
Ancien Général, Capitaine mercenaire

Mort, presque.
Ca s'active, un gosse débarque, déjà croisé, vite fait, ici-même. Avise sa main, mimique chagrinée d'Arlequin lui souhaitant bon courage, en avisant le mouvement de Lorenz vers le brasero des gardes. Et pirouette, demi-tour net, d'un bloc et sur un pied en entendant la suite des informations. Les yeux gris s'enflamment, allumés d'une lueur bleue couleur d'acier, froide, tandis que lentement, périodiquement la main gauche recommence à se serrer violemment sur son pansement maltraité. Arrivée d'étrangers. Encore. Mais... Pierrot général avise un visage connu, rapidement croisé en Alençon. Informé, Arlequin tourne vers lui un visage amusé, barré d'un sourire narquois mais amical, empreint de curiosité, contrastant avec la lueur au fond du regard. Derrière lui d'autres, au port étrange, malgré tout bien connu car rappelant un temps ancien. Engoncés dans leur vêtements, il peut y avoir beaucoup de raisons à cela. Hommes d'armes peut-être.
Nouvelle pirouette, Arlequin joueur laisse courir sur ses lèvres un accent moqueur, pas encore cynique. Se tourne vers Vvarn et Marlowe's, les regardant tour à tour, jouant distraitement avec une dague. Puis, déambulant lentement dans la cour son manteau recommence à voltiger derrière lui, doucement bercé par l'air déplacé.
Pierrot soldat revient et reprend
Le nombre importe peu, il faut savoir où frapper. Quant à la vitesse, je ne me fais aucune illusion. Deux lames amies sont actuellement à la Cour, il s'agit simplement de les trouver. Travaillons par priorité. Ilm est une grande fille, et Cal est capturée. Les Ténébris sont soldats, mais lourds et patauds sans stratégie de combat, ni plus de finesse. A ce jeu nous connaissant nous sommes vainqueurs, par ailleurs escrimeurs pour le moins... confirmés
Arlequin peint de nouveau un splendide tracé narquois sur les lèvres du clown, réhaussé par ses pommettes creusées, moqueuses. Un éclat de rire se glisse, il poursuit, amusé
Wulfy, 'fait longtemps que je ne l'ai vu, ou entendu parler de lui.
Travaillons sur deux groupes, oeuvrant de conserve. Deux fronts ouverts sont autant de problème à résoudre en face. Marl's Llian et moi pourrons aller ensemble. Laure dirigera mes deux petits soldats, accompagnée peut-être de ceux de nos amis qui le souhaiteront.
Un sourire crispé par le calcul, l'esprit cartésien marque une pause et peaufine sa réflexion. Relevant un regard vers les derniers arrivés, il regarde Dug, appuyant fermement. Autour des yeux le visage a abandonné toute trace d'amusement, trop occupé.
La première entreprise devra aller vite, car d'autant nous pourrons ensuite récupérer Ilm. Au besoin, nous pouvons détacher le reste de nos connaissances après elle... Les mômes peuvent marquer le terrain. La conjonction de nos forces en un point certain, pour le coup chez nos camarades enleveurs de jeunes filles, permettra ensuite de nous disperser pour la trouver.
Le sourire revient, le pitre se sent l'envie d'une pirouette et l'exécute, revenant vers Marlowe's.
S'interrompt, salue, une mèche revenant barrer son front, dérivant au-dessus de son oeil gauche, oscillant sous le vent. Le pari est risqué, mais entamé trop tard face à un ennemi indéterminé, le salut passe par le danger... et savoir le manier. Baissant les yeux vers sa rapière, le clown extirpe les dix premiers centimètres de lame de leur fourreau, les contemplant d'un oeil torve. La mimique est sans équivoque, sa chère arme lui manque.
Cher, mes acrobates sont égarés, les rappeler prendrait du temps. Allons-y
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Ancien Général, Capitaine mercenaire

Mort, presque.