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[RP] Le Palazzo

---fromFRL'Epervier de sang
Les choses s'emballaient. Le bruit de crécelle était bien réel, mais le lépreux ne l'était pas. Juste une femme déguisée. Une petite blonde. Tout le monde semblait la connaître, beaucoup étaient heureux de la voir, ou plutôt soulagés. Elle par contre semblait avoir perdu quelqu'un. Elle s'était mise à hurler, espérant sans doute voir quelqu'un sortir de l'ombre.

Un baiser rapidement échangé avec l'imprudent licorneux. Cela le fit sourire. Les bons sentiments même ici. A vomir... Puis des cris, un homme ayant accompagné le licorneux découvre son visage et gifle la blonde. Des lames sorties, des menaces, une tension palpable...


Hé ben. Je ne sais pas contre qui vous comptez combattre, mais vu les tensions entre vous, ils n'auront pas de mal à vous éventrer. En même temps, un licorneux, un hospitalier si j'ai bien compris, vous ne pouviez pas plus mal vous entourer. Entre celui qui appartient à un ordre se disant noble et réunissant les plus grosses crapules du coin et celui appartenant à un ordre se disant militaro-religieux et se limitant aux pansements, que voilà une belle escorte.

Enfin, je suppose que vous savez ce que vous faites. Et puis, dans toute guerre, il faut bien de la chair à canon. Alors pourquoi pas commencer à dégraisser ces ordres piteux. Bon, lorsque vous aurez fini de vous étriper, nous pourrons peut être nous mettre en route non? J'ai cru comprendre que le temps pressait.


Il se tourna à nouveau vers Laure, sans même attendre les éventuelles réactions à ses provocations. Voilà un jeu qu'il aimait beaucoup. Et puis, cela servait souvent, cela exacerbait les combattants en général. En dehors des faibles d'esprit qui ne savaient pas se contrôler et dirigeaient leur colère vers le provocateur plutôt que de l'utiliser contre leurs ennemis. Cela lui donnerait l'occasion de voir s'il allait combattre avec de vrais guerriers, ou simplement des incapables agitant une épée sous leur nez et pensant savoir se battre. En même temps, des membres de ces deux ordres...

Nous partons quand vous voulez.
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La mort n'est qu'une récompense pour avoir enduré la vie...
Rhuyzar
Le courroux, la colère l'envahissent, en même temps il le savait, l'incompréhension et l'imbécilité sont partout, même ici, dans cet endroit se disant libre... il se tourne vers l'homme qui a parlé, le toise du regard, sans lacher Ilmarin, essayant de contenir la rage présente dans son esprit à cette insulte...

Crapules ? Renseignes-toi avant de proférer les pires idioties ! Et n'insultes plus mes frères devant moi ! T'ai-je insulté quand je suis entré ici ? Ai-je insulté un seul de tes compagnons ? Connais-tu ma vie ? Mes actes ? Autre chose que les insignes que je porte ? Si c'est là la seule chose que tu es capable de juger tu ferais mieux de garder le silence, il te sera profitable, plus que ton discours imbécile en tout cas !

Pourquoi était-il venu ici à visage découvert ? Pourquoi n'avait-il pas revêtu sa vieille tunique de mercenaire ? Celle du loup ? Pourquoi toujours devoir essuyer ces critiques et ces menteries, il aurait presque pris cela pour de la jalousie s'il ne connaissait pas déja un peu les lieux...
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---fromFRL'Epervier de sang
Un grand sourire fendit le visage de l'Epervier derrière son masque. Ses yeux pétillèrent de malice. Il murmura.

Faible d'esprit, bien ce que je pensais.

Se retournant vers l'homme.

Au lieu de diriger bêtement votre colère contre moi, contenez-la donc en attendant les combats. Elle vous sera plus utile. Là, vous nous cassez les oreilles pour rien. Je vous espérais plus...fin. Enfin ce n'est pas bien grave. Espérons que vous utilisez mieux votre lame que votre cervelle, sinon on va au devant de gros problèmes.

Quant à votre Ordre... Il y a peut être de bons éléments, comme partout. Mais non seulement il y a de nombreux fruits pourris, mais en plus j'ai une certaine dent contre les ordres, quels qu'ils soient. Enfin, là n'était le but. Je ne voulais que vous faire réagir devant la stupidité de cette dispute. Et accessoirement voir vos réactions. Je ne suis pas déçu. Enfin, si je puis dire... Bon, on envisage de se bouger, ou on passe la journée ici en attendant que chacun soigne son petit ego?

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La mort n'est qu'une récompense pour avoir enduré la vie...
---fromFRgeorgio
Restez

Le ton est doux, pas autoritaire. Georgio écoute les échanges. Un combat se prépare donc. Vers l'Antre des In Tenebris. Elle ne saisit pas trop le pourquoi de cet affrontement. Mais à la Cour, les chocs sont de mise. Et les clans sont voués aux éclats. Parfois ils s'unissent pour une cause commune. Souvent ils s'entrechoquent pour la même raison. Ainsi va la Cour.

Je vous remercie, mais là n'est pas ma place. Pas pour l'instant du moins.
Nous nous reverrons, j'en suis certaine. Votre vie a couté l'âme d'une gosse. Cela se pait. En temps et en heure. En sueur et en sang.

Demi tour sur les talons. Direction la sortie. Inclinaison légère de la tête vers le Livide, juste pour lui rappeller que lui aussi lui doit une vie. Mais elle ne doute pas de son honneur.

Légère pause, comme si quelqu'un était sur sa route. Elle tourne à nouveau la tête vers celui qui s'est présenté comme étant Nimroden.


Je dois retrouver un soldat, un jeune lieutenant qui m'a mené jusqu'à vous. Peut-être est-il sous vos ordres habituellement... Souhaitez-vous que je lui transmette un message? ...

Après tout, s'il doit y avoir quelque chose à faire dans les heures à venir, autant que cela soit efficace.
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An amzer a dro
An Ankou a sko
Lorenz
Une vision sortit de nulle part. La petite Ilm, vêtue de son déguisement de lépreuse. Par Aristote! Elle est si peu couverte! Dug est prompt à l'attraper tel un vieux père. Un autre homme se précipite pour la prendre dans ses bras: Rhuyzar sans doute. Un autre encore, mais pour la gifler cette fois.

Pas le temps de réagir que Llian est déjà sur lui. On ne touche pas à un Libertadien. Sauf eux. Il risque de l'apprendre par la manière forte. Mais les hommes sont pressés de défendre celle qu'ils croient être leur. Etonnant qu'Ilm n'est pas déjà réagi elle-même… Elle ne doit pas être en forme. Lorenz grimace. C'est elle qui lui a indiqué ce déguisement. Pourvu qu'elle n'ait pas attrapé la petite mort…

Nouvelle entrée, sabre en main. Mais le Capitaine semble heureux de cette retrouvaille et jongle avec délicatesse. La dame aux cheveux ébène amorce rapidement un départ. Parle de soldat. Il est vrai qu'ils s'apprêtaient à partir au combat avant qu'Ilm ne réapparaisse.

D'ailleurs…

Llian lui a offert un poignard. Elle a tout juste eu le temps d'apercevoir les pierres que déjà celui qui se fait appeler l'Epervier demande à se mettre sous son commandement. Le regard en dit plus long que les mots. Forcément, elle paraît frêle et fragile dans ce corps de jeune femme recouvert de boue. Pourtant cela fait quelques jours qu'elle peste intérieurement contre la louve, contre la P'tite, contre ce fichu pétrin dans lequel elle n'a pas encore eu le droit d'aller mettre à la main. Sous son apparence sereine, le cœur est en ébullition, les sens aux aguets, l'esprit et le corps prêts à l'assaut.


Le temps presse effectivement. Chaque minute qui passe nous éloigne de Cal. Cessez vos querelles d'hommes flattés par un ego surdimensionné. Une vie est en danger. La votre passera après.
Laissons partir le Capitaine, Vvarn et Marlowe's. Soyons leur ombre. Mieux que leur ombre.


Un regard plein de tendresse et de force mêlés passe sur les trois hommes. S'il devait leur arriver quoique ce soit, elle ne se le pardonnerait pas.

L'Epervier, Dante, Thorolf… Rapide tour des "troupes". Léger rictus lorsqu'elle se tourne vers Mange-Rats. Ca risque de te lancer quelques temps encore. Oublies. Ca passera. Tout passe.
Elle se tourne vers Dug et ses amis. Le comte la suivra. Les autres feront comme bon leur semble. Retournement de situation: je reprend mes fonctions de connétable en quelque sorte, pas vrai l'Comte?

Lorenz sent son cœur battre la chamade. Jamais elle n'a osé parler ainsi. Jamais son père ne l'aurait toléré. Mais elle a grandi, apprit à se fonder une famille et en a retenu un cri. Ses yeux se posent sur Ilmarin. Long silence éloquent, partagée entre une envie de l'embrasser et de la secouer vivement. Aura-t-elle la force de se joindre à eux? Peut-elle se permettre de se poser un instant la question?

Voix sourde qui monte alors des entrailles.


Un seul est frappé… Tous répondent
Un seul tombe… Tous le relèvent
Un seul cri… Tous le reprennent

Libertad…
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---fromFRBralic
Une ombre sortit de l'ombre, sombre silhouette vétue d'epais cuir noir comme émergeant du néant, apparaissant avec la nuit alors que le soleil laisse place à la lune dans le ciel parisien chargés de nuages menaçants.

Le Vicomte n'aimait pas la ville, à forciori celle de Paris... Centre du pouvoir et de toute la corruption qui gangrênait cette société aux relents des fientes du bas peuple crevant de faim et benoitement servile se laissant guider tel un mouton à l'abbatoir... relents mélés à l'odeur ennivrante du poison glissé dans les verres de vin lors des banquets de la noblesse concupiscente.

Il était un guerrier, un chasseur, vivant entre les champs de batailles et les profondes forêts de son pays, ne le quittant guére que pour aller se rendre sur les chemins afin de guerroyer à l'autre bout de la France, ce qui ne le génait pas tant le fracas de l'acier contre l'acier et le gout du sang était une drogue pour lui.... drogue qu'il prenait depuis son plus jeune age. Ce caractére solitaire couplé à son amour abyssal pour la société et l'humanité de veaux qui vivaient sur cette pauvre terre lui faisait éviter les cités comme la peste, préférant garder des contacts en celles-ci via ses espions que d'y aller lui même et de salir ses bottes dans la fange putride de ce monde.

Fange dans laquelle il marchait à ce moment même. Paris devrait songer à se doter d'un systéme de voirie.... Et il serait bon que la noblesse se décide à sortir un jour de ses palais pour marcher un peu dans la défection histoire de voir ce que ça fait. Peut être cela les pousserait il a agir un peu plus pour le tiers état et moins pour leur gueule.... Par les dieux payens, la cour des miracles lui semblait encore plus sale et humide que lors de sa derniére visite.... Les taudits succédant aux taudits, les ruelles et venelles servant d'abris aux clochards, mandiants, lépreux, amputés, tire laine, coupes goussets, ampalmeurs, prostitués de tous les acabits.... Seuls les corbeaux donnaient une touche "naturelle" à ce tableau, leur chant sinistre et lugubre s'accordant sans mal à ce lieu torturé... A peine était il entré qu'il avait été "discrétement" pris en chasse par deux jeunes armés ayant surement pour but de faire les poches à son cadavre... il les avait semés sans mal au détour d'une de ces ruelles putride.

Le commandeur en était à se dire qu'un bon incendie serait le bienvenue en ces lieux, réduisant ces cabanes en torchis à l'état de compost qui serait idéal à la plantation d'une forêt... rien d'étonnant à ce que la misére s'installe quand il n'y avait pas le moindre arbre à des lieux à la ronde pour réchauffer le coeur et réoxygéner votre âme... Ses yeux se posérent sur une masure en meilleur état que les autres. Il reconnut imédiatement le batiment que ses sources lui avait décrit : le Palazzo.

Il n'avait pas été surpris en recevant un courier de Rhuyzar lui annonçant qu'Ilmarin avait fuit à l'anglaise.... vu comment cette folle tordue avait l'habitude de n'en faire qu'à sa tête. Cependant, il se reconnaissait en elle, dans son caractére entété, dans son refus de l'autorité, dans sa recherche suicidaire de la délivrance par la mort... il avait beaucoup de sympathie pour elle, et il avait donc décider de mettre de coté son aversion pour ses contemporains, de quitter son manoir comtois et de débuter une nouvelle chasse. Une chasse à l'homme où Ilmarin serait sa proie, mais une chasse sans mise à mort... du moins pas celle de la proie.

A peine était il arrivé à Paris qu'il avait rencontré sa source chez elle, à l'abris des regards indiscrets. La femme l'avait prévenus de la présence de Rhuyzar et d'Aldé en ces lieux de mort et de perdition. Malheureusement, elle n'avait pu les suivre pour pouvoir le retrouver à leur point de rendez-vous et avait du les perdre de vue. Mais nul doute qu'il serait aisé de les retrouver en graissant la patte de quelque mandiant. Elle lui avait aussi donné un lieux : Le Palazzo qui servirait de camp de base à la guilde d'Ilmarin, et un nom : "le Morlon" qui serait son ennemis juré.

C'est donc devant cette grande batisse qu'il se trouvait. Et au bon moment qui plus est, à en juger par les deux visage qu'il reconnaissait, il n'aurait pas a chercher Rhuy' et Aldé bien loin... voila qui épargnerait de l'argent et du temps. Par contre, la situation ne semblait guére heureuse... et tandis qu'il avançait discrétement vers les hommes entrain de discuter, une lépreuse retira ses vétements, chose assez étonnante pour être noté, et dévoila les traits de sa cible, se précipitant sur son amant pour être interceptée en chemin par cet idiot d'Aldé lui mettant une gifle... Un sourire se dessina sur les lévres du commandeur en repensant à Satine... Mais Ilmarin n'était pas Satine et elle n'allait surement pas en redemander.

Un mouvement rapide d'un homme sortant sa lame le fit poser sa main sur la sienne et se glisser dans l'ombre. La lame vient se placer sur le cou d'Aldé qui se fixe alors que Rhuyzar tente de s'interposer.... pfff... toujours à se mettre dans le pétrin... on entre pas dans la cour comme en terre conquise...
Ralentissant le pas, marchant discrétement, ses bottes à semelle de crépe n'émettant pas de bruit dans le silence nocturne, le Vicomte s'avançait vers le groupe, cherchant un moyen d'intervenir pour soutenir ses amis. le moyen se présenta en la personne d'un idiot avec une capuche de bourreau sur le crane qui se mit à insulter la Licorne.

Profitant de cette diversion, le chasseur se faufila derriére l'homme, lui tapota doucement l'épaule, provocant son retournement.

Le coups de tête fut donné avec toute la force du ventre, faisant reculer l'homme. Profitant de son déséquilibre, une jambe dressée dans un pantalon de cuir noir se leva et, se dépliant, vint frapper l'homme dans les génitoire avant de se reposer au sol pour permettre au guerrier de pivoter et de profiter de l'élan pour lever l'autre genoux en direction du visage se rabatant vers le sol sous le choc. Le contact fut trés certainement douloureux. Surtout quand le coude droit s'abatit sur la nuque de l'encapuchonné, nuque bloquée alors que son visage rencontrait son genoux.
L'homme tomba au sol et le vicomte posa un pied triomphant sur le crane de l'homme, appuyant fortement tout en dégainant son épée batard de son fourreau, la faisant tourner et la plaçant à la verticale sur la nuque de l'homme, la pointe contre sa colonne vertébrale, la tenant fermemant de la main droite tandis que la gauche appuyait sur son pommeau.

Le mouvement avait été exécuté avec une précision milimétrique digne d'une chorégraphie, traduisant un savoir faire et une maitrise de l'art du combat apprise des années auparavant sur les champs de bataille autant que dans les salles d'entrainement. la scéne n'avait pas durée plus de trois secondes et s'il le chasseur l'avait voulu l'homme ne serait déjas plus de ce monde.
L'assistance n'avait qu'eu le temps de saisir ses armes et de se figer, un sourire carnassier et un regard de prédateur se posant sur l'homme au sol


'coute moi bien mignon de catin.... Si t'as un 'bléme avec un licorneux, vérifie déjas qu'ils sont hors de portée avant de commencer à les insulter... je suis pas d'un naturel méchant, mais j'aime assez moyennement qu'on me crache à la gueule. Verstanden ? Pasque la seule "crapule" de cet ordre, elle est entrain de t'écraser la gueule contre le pavé et si elle ne te considérait pas comme une sous défection de derniére catégorie qui se prend pour un méchant car il porte des fringues déchirées et rouges et attaque les vieilles putes avec un cure-dent le soir au détour des ruelles pour leur piquer leurs joncs, tu serais déjas mort.

Se tournant vers l'assistance sans se départir de ses yeux fou appelant le sang il s'adressa un signe de tête à Rhuyzar puis à Aldé qui était toujours tenus en respect par le guerrier aux cheveux blancs.

Alors ma biche ? Tu t'es encore foutu dans la défection à ce que je vois... C'est par pure habitude ou c'est juste pasque t'aime ça ?

Reprenant à l'adresse des Libertadiens présent, les fixant tour à tour de ses yeux d'un marron sombre tirant sur le noir que seules quelques pailettes de vert venaient rendre plus humain.

Bon... les enfants, loin de moi l'idée de vouloir m'imposer, mais je suppose que ce béjaune... Il indique le sol du menton ... est à vous. Il a la même odeur de clistére mal lavé. Donc je vous propose un échange standard : le type avec le sabre et les cheveux blanc va lacher mon idiot de fanandel et moi, je relache celui-la sans l'habimer plus. Rhuy retrouve, embrasse puis baise sa femme, tout le monde est content, on se murge la gueule pour féter ça et moi demain je rentre chez moi en tirant Aldé par la peau du cul pour que sa nana lui colle une dérouillée en apprenant qu'il a encore failli se faire tuer.
Vu que la blondasse fofolle est revenue, je crois que je me suis déplacé pour rien. 'fin, sauf pour sauver Aldé, hein... se tournant vers lui Tu me dois encore deux caisses de biére ma poule...

Un nouveau sourire mi goguenard mi carnassier vint illuminer le fin visage du commandeur des imperceptibles. Le plaisir de la chasse et du combat faisant trésaillir son coeur. L'odeur de sueur, de sang, de peur.... toujours aussi bon... meilleur que le sexe se dit il.
Sa lourde botte au cuir doublé d'acier et son épée posée sur le crane de l'homme, pret à le tuer en moins d'un dixiéme de seconde si celui-ci tentait d'attraper sa jambe ou de planter une dague dans sa chaire. Son dos en direction du mur pour pallier à toute attaque à revers, il surveillait l'assemblée, un leger vent jouant dans sa chevelure courte d'ébène et dans son long manteau de cuir noir, laissant apparaitre au détour d'un claquement la besantine renforcée qu'il portait sous celui-ci.


Au fait, je me présente.... Bralic... ancien mercenaire, assassin et tout un tas de trucs reconvertit dans la chasse aux criminels. Accessoirement un des commandants en chef de la Licorne. Je venais pour aider à retrouver Ilmarin.
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
---fromFRL'Epervier de sang
L'Epervier fut surpris par ce coup. La grosse brute l'avait surpris et cloué au sol. Plus vexé que blessé, il dégaina une dague qu'il planta dans le mollet de son assaillant, bien protégé par ses bottes et profita de l'effet de surprise pour rouler sur le côté et se relever.

Ne t'en fais pas pour moi mon gros, je ne suis pas du genre à me laisser faire. Et je ne suis pas venu ici pour tailler de la licorne, j'ai autre chose à faire.

L'Epervier se recula dans un coin sombre, attendant que chacun se décide enfin à bouger.
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La mort n'est qu'une récompense pour avoir enduré la vie...
---fromFRBralic
la dague se planta dans sa botte et la pointe traversa en partie la protection d'acier de celle-ci, venant s'enfoncer dans la chaire de sa jambe.

Comme promis la lame s'abatit sur le cou de l'homme, trop tard, le mouvement ne faisant qu'éffleurer et érafler la nuque, y laissant une estafilade de sang frais à l'odeur ennivrante.

Etonnement, la doueur ne semblait pas géner le vicomte, c'est tout juste si son sourire ne se faisait pas plus grand et son regard plus fou tandis qu'il se plaçait en garde, plaçant ses épaules dans l'axe de son adversaire, avançant lentement sur lui, le dos au mur, en jetant de rapides coups d'oeils à l'assistance. La situation s'annonçant amusante, le premier sang ayant été versé... et le sang appellant le sang, celle-ci allait bientôt devenir meilleur encore.

Sa botte serrée maintenant sa jambe dans l'axe, le vicomte souriait intérieurement, son coeur battant au plaisir du combat.... il n'y avait que dans ces moments qu'il se sentait vivant.


Ilmarin, j'espére que tu m'en veux pas si je fais un aigle de sang avec les tripes de ton pote.... Dommage qu'il n'y ai ni arbres ni loups dans cette ville, on aurait pu s'amuser....

Se tournant vers l'homme encapuchonné, il reprit
Quand à toi... t'as effectivement autrechose à faire... fuir par exemple...
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
---fromFRL'Epervier de sang
Il sentait le sang s'écouler doucement de l'estafilade. Cet homme n'était bien entendu pas n'importe qui. Son accoutrement pouvait le trahir, mais au delà de ça, il avait une façon de se déplacer, de regarder partout qui ne trompait pas. Bralic... Ce nom ne lui disait pas grand chose, mais vu de là où lui même venait, ça n'avait rien d'étonnant.

L'Epervier se mit en garde, faisant glisser ses pieds sur le sol, s'ancrant dans l'attente d'une première attaque. Le premier qui romprait sa garde risquerait gros, et lui ne voulait pas prendre le risque. Contre un guerrier, c'était trop risqué.


Fuir? C'est mal me connaître que de me le proposer. Quant à faire un aigle de sang, tu me sembles bien présomptueux. Serais-tu du genre à sous estimer tes adversaires? Dans ce cas, tu peux remercier le hasard d'être toujours en vie.

L'Epervier l'attendait, le provoquait un peu. Autant les deux autres ne lui avaient pas parus impresionants, autant cet homme là dégageait quelque chose de particulier. Ses yeux se mirent à pétiller. L'excitation du combat, du jeu, se faisait plus présente à chaque seconde.

Alors ma mignonne? Tu bouges tes grosses fesses ou je dois me déplacer pour te les botter moi même?
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La mort n'est qu'une récompense pour avoir enduré la vie...
---fromFRBralic
Le sourire du vicomte s'agrandit... c'était le moment de l'intimidation.... délicieux moment... les préliminaires en quelquesorte...

Cherche pas tête de sac.... t'arrivera pas à me faire baisser ma garde avec ce genre d'idioties digne d'une gamine en fleur... au pire tu peux essayer de me faire marrer, mais chui même pas sur que tu sois assez malin pour ça.

l'épée commença à danser dans les airs, virevoltant en moulinets puissants imposés du poignet droit tandis que sa main gauche se recule pour passer sous le manteau de cuir noir. Sa voix était douce, presque suave... une voix enjoleuse, joueuse... une voix que seules ses amantes entendaient.

L'homme en face de lui était vif... vif mais moins bien équipé pour le combat lourd. Son point fort serait la vitesse, il fallait qu'il l'en prive, qu'il le coince dans un coin et l'empéche de lui tourner autour. Là il serait à sa mercie et pourrait le tailler en quartiers de viandes et répendre son sang sur les murs.... juste par gout du spectacle.

Il stoppa son mouvement d'avancée, se plaçant juste hors de sa porté. Son épée plus longue lui faisant bénéficier d'une plus grande allonge. Moulinant devant lui comme pour dresser un mur de lame, il dégagea son mouvement sur la droite, offrant légèrement son flan gauche en une feinte classique, voulant vérifier par là le niveau d'escrime de son ennemi. Son coeur battait dans sa poitrine, ses muscles se bandaient, ses yeux couraient... chacuns de ses sens en alerte... savoureux moment de vie que l'approche de la mort.

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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
Ilmarin
JOUR J: Balade dans le Palazzo...


Bonjour Alde…

A peine le temps de répondre à la colère sourde qui court dans ses yeux, à peine le temps de finir de le saluer que par une claque qui retentit à ses oreilles, tintant dans son tympan. Elle reste abasourdie, s'attendant certes à un savon phénoménal mais une gifle…
Pourquoi ne dit-elle rien? Elle le comprend en fait… Elle pensait bien faire face à une réaction d'angoisse et de colère. Une manifestation quelconque. Limite, elle serait presque étonnée de ne s'en prendre qu'une… Comment leur expliquer que, venant de son ami, malgré l'étrangeté de ce geste, elle ne le relèvera pas…


Puis tout se bouscule… Des bras chauds et protecteurs qui l'enveloppent… Vvarn qui la protège… Nim qui provoque… Beaucoup trop vite pour elle… Elle allait devoir se secouer, rejeter un peu plus loin sa maladie et forcer sa main. L'heure est aux combats. Mais pas entre ses amis… Une voix devenant familière… Un nouveau venu. Elle jette un regard presque amusé à Rhuyzar: avait-il prévenu toute la Licorne?
Malgré tout, elle devait s'arracher aux bras de son Loup, se précipitant vers Vvarn pour poser sa main sur son bras et plonger ses yeux dans les siens.


Vvarn… Notre Gris… Abaisse cette lame s'il te plait… Il ne l'a pas fait méchamment. Il devait avoir peur pour moi… Tu sais que je suis impulsive et que je fais tout le contraire de ce qu'on me demande… Il a abandonné sa famille pour venir ici, risquer sa vie pour moi… Tu le comprends, je le sais…

S'il te plait… Doucement mais fermement, sa main appuie pour faire descendre le sabre, sans le quitter des yeux. Et je tiens à dire que je n'ai pas d'excuses à accepter. Son inquiétude a parlé et je ne sais pas si je n'aurais pas fait de même…
Une fois le sabre abaissé, elle se retourne vers Alde et lui murmure timidement: C'est à moi de m'excuser… Vous vous êtes inquiétés et tu as bravé ton dégoût de la Cour pour me chercher… Merci… Faible mot hein? Mais merci…

Faisant un clin d'œil à Nim, sachant très bien que M ne tarderait pas à lui dire sa façon de penser, elle revient dans les bras de son Loup, se serrer fort contre lui. Moment de paix si éphémère gâché par un inconnu visiblement venu s'abreuver de sang au dépend de leur combat. Elle se demande même s'il comprend seulement leur combat, leur but, leurs liens… Mais Bralic se charge visiblement de lui faire ravaler sa morgue. Ses lèvres s'ouvrent dans le vide, Rhuyzar se défendant, Lorenz enchainant, Bralic l'assomant à moitié. Pas son sang qui lui manquerait…

Libertad…
Son ventre se nouait à nouveau à la mention de leur devise. Cal en danger…
Libertad…
Mais elle se sent un danger pour eux… Si les IT la recherchent elle, elle sera un poids et un danger pour ses amis.
Libertad…
Mais Cal est tombée par sa faute. Sera-t-il dit qu'elle aura abandonné son amie?
Libertad…
Lorenz qui lui hurle sa raison de vivre, sa famille...
Libertad...


Mon amour, je te demande une minute…

Traversant rapidement la salle, elle court jusque dans sa pièce personnelle. Les frusques volent dans un coin, elles serviront à faire le ménage. La crécelle ramassée sera posée sur son bureau. Un souvenir précieux qui peut encore avoir son utilité. Ses gestes sont précis, rapides, sa main handicapée ne l'empêche pas de se préparer. Gestes si souvent répétés. Pantalon noir, le sang tâchera moins; bustier; bottes lacées rageusement d'une main ferme, l'autre juste bonne à tenir les nœuds le temps de les serrer; un cri rageur pour attacher ses armes, en glisser dans ses bottes. Elle se pose juste un instant. Regardant sa mitaine de cuir noir serrant sa main presque inerte. La serrer encore. D'un cran. Porter sa punition et subir les conséquences. Assumer un geste complètement crétin. Comme souvent. Presque en sourire finalement.

Elle redescend les rejoindre, déterminée, ses cheveux libres, ne pouvant les nouer en chignon. Apparemment, le gros malin a trouvé un gros malin avec qui jouer… Même pas le temps de s'absenter qu'il fait mumuse avec un nouveau jouet... Ces hommes...


Bonjour Bralic… Quand tu auras fini d'essuyer tes bottes sur le manteau de monsieur, tu voudras que je te présente pour te joindre à nous? Il semble pressé de boire le sang d'inconnus pour une cause inconnue… Me demande quel est son prix d'ailleurs… Elle fixe rageuse, l'inconnu. Espérons pour sa santé que je ne sois pas ce prix…



ssssssssSSSSSSSSSSWWWWWWWIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIT !

Le sifflement fend l'air, vrille les oreilles, obligeant tout le monde à se figer. Son pouce et son index, courbés entre ses lèvres, quitte lentement sa bouche, prêts à y retourner pour une nouvelle alarme.

STOOOOOOOOP!!!

Maintenant, on se fixe! Ras-le-cul des débordements hormonaux masculins de cette putain de pièce! Vous voulez du sang? Vous allez en boire votre compte les Loupiots! Mais faites plus chier tant que vous êtes entre les murs du Palazzo! Le premier qui moufte, j'en fais de la cancoillotte!

Nim, tu bouges ton derche et tu réexpliques le plan. Tout le monde, j'ai bien dit TOUT LE MONDE se soumettra à tes ordres!

Lo, il t'a désigné Meneuse? Je te suis. A TES ordres. Ignorer le regard de Rhuyzar. Ils se parleront une fois le calme revenu. Et puis, il sait pourquoi elle est là…

Papi, si tu veux te reposer, tu seras à l'abri ici, avec ceux qui voudront y rester.

Bralic? T'es des nôtres? Tu connais les IT ou on te briefe sur ce banc de morues mal dégrossies qu'on va fumer?

Je sais pas qui a amené ce gars mais vous avez intérêt à vous en occuper. Moi je gère les Licorneux ici présents. COMPRIS? Elle passe un regard noir à Bralic, essayant de ne mettre son effet par terre en imaginant ses pensées alors qu'elle lui hurle un ordre...
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---fromFRDUGESGLIN
Elle présente devant lui, vivante. Alors longue attente, ces moments de recherche, prenant des risques, lui avait déclenché rage et inquiétude. Mais les mots lui avait échappé de la bouche, surprise aussi soudaine que partagée. L'histoire serait bien longue à conter, le moment n’était pas tout à fait choisi pour lui dire ses aventures depuis son départ du refuge franc-comtois. Les autres aussi se demandaient, l'heure était venue de s'expliquer sur cet acte inconsidéré.

Plus tard pour mon retour en la Cour... j'suis pas fâché contre-toi, juste que tu aurais pu prévenir...Tu m'as vraiment fait peur puis ses problèmes qui te suiv.....

Il se tut refusant d'y penser, déjà cette histoire créait des ennuis, une capture malencontreuse, il redoutait sa réaction quand elle franchirait les portes. Tout avait sorti le branle-bas de combat pour cette guerre. Règlement de compte, hostilité déclenchée, ne tarderait pas à rendre pourpre le sol de la Cour. Ce n’était pas l'heure d'en rajouter. Enfin rentré, dans la salle silencieuse il la balaya rapidement se demandant qui allait être le premier à commencer à lui asséner reproches alors que lui-même, le gamin se tenait près du Gris jouant avec une dague, dans tous les regards on pouvait lire la détermination mélangée à la colère.

Puis soudain ce cri déchirant à travers la pièce. Elle avait compris son fiancé à peine retrouvé on lui arrachait une autre partie d'elle-même. Il la regarda sa haine qui l'avait soudain envahi puis une tentative d'explication sur ce départ les raisons de ces recherches vis à vis d'elle. Il désapprouvait sa conduite, si risqué son visage se fermait au son de sa voix. Puis Aldebbarant en furie vociférant, fallait s'y attendre si ce n'était pas cette gifle partie un peu vite, incontrôlée. Qui aurait pu être évité, en ces lieux. Trop tard,, il n'avait pas eu le temps de réagir que le Gris lui intimait déjà l'ordre de s'excuser, à la pointe de sa lame.

Il aurait du se méfier, savoir qu'il était pas chez lui pour agir ainsi, puis cette colère bouillante trop long temps refoulé n'aurait pas du exploser. Il regarda Nimroden et Rhuyzar s'avançait tenter calmer la situation. l'un pour des excuses l'autres pour qu'il sorte. La meilleure chose à faire dans ce genre de cas. Mais se mordit les levres de repondre, moyennement d'accord qu'il souhaite partir aussi vite de la Cour, lui qui avait souhaité venir, il devait assumer ses actes jusqu'au bout. Le dernier mot du pitre avait été clair l'affrontement était lancé et un choix devait être fait.

Puis un homme prit la parole, commençant à cracher sur les ordres, sur la licorne. Certes il en faisait plus partie pour diverses raisons mais son sang fit qu'un tour, la volonté d'apaisement était décidément pas dans les rangs. Son regard devient mauvais, une lueur de haine dans ses yeux. Pas devant eux ni lui ni aujourd'hui ni jamais ! Ce sot allait vite le comprendre son erreur, mais la colère etait partagé son ami avait commencé à élever la voix defendant l'ordre. Logique... Malgré le discours du vicomte, il continuait de plus belle a porter offense. Dug eut envie de prendre la parole mais une voix forte s'eleva enervé...Bralic...ses yeux s'équarquillèrent quand il reconnut le Commandeur de l'Ordre. Comment avait t'il pu savoir ? Décidement c'était aujourd'hui une sorte de festival pour les nouvelles.

Mais sa présence était rassurante, une lame de plus n'est pas négligeable en pareilles circonstances. En tout cas l'imprudent s'en rapellerait de son pasage. Un échange ainsi proposé, bon choix il reconnaissait bien là son esprit guerrier. Soudain la voix de lorenz faisant l'inventaire des troupes parées pour le combat, se fit entendre. Il ne put s'empocher de rire à l'évocation de ce souvenir.


à vos ordres m'dame, pas d'souci si j'laisse le titre pour mettre combattant, m'encombre un peu d'puis l'Alençon... Sinon j'suis près...

Il fit un tour de la pièce espérant que la situation se règle avant de la suivre à l'extérieur, partir aider avec la pensée de commence cela se finirait ne le réjouissait pas. Au cas ou il ne devait pas revenir, il voulait partir la conscience tranquille. Apparament Ilm après avoir décidé de remettre les choses à leur place pour tous. Lui proposait un fauteuil pour se reposer, pas encore l'heure de la retraite d'ailleurs connaissait pas vraiment ce mot. Il se retourna vers elle

Vieux p'être mais pas assez pour botter l'fesses d'morpions...j'suis assez en forme pour suivre Lorenz

Pas question de rester les bras croisés sans rien faire, en plus elle allait y aller, si elle voulait lui faire faire une attaque...Bonne solution.
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Comte de Forez et de Brantôme
Aldebbarant
Un geste paternel et des excuses, une accolade qui aurait du survenir si un héros ne s'était pas jetté pour le menacer. Encore un qui agit plus vite qu'il ne réfléchit. Mais celà lui allait bien de dire ça dans le cas présent. Puis les présentations sensés lui faire peur, mais qu'est ce comparé à son propre parcours.

Encore une fois le ton monte. Entre son ami et un encapuchonné, surement trop laid pour montrer au monde son vrai visage. ou alors il n'assumait pas ce qu'il était, chose fort plus probable. Les mots volent, le ton montent et surgit son ami, voulant le sortir de là. Son grand copain Bralic, arraisonnant déjà le crasseux. Et Ilm qui vient pour eviter une lutte à mort entre les deux hommes au sang chaud. La lame baissée, il touche sa gorge machinalement, son regard se détourne maintenant de cet ex connétable et l'ignore totalement. Ses yeux ne sont plus que sur Ilmarin. Il s'approche d'elle, pose sa main sur son épaule et lui sourit.


Je suis moi aussi désolé, tu m'as fait une peur bleue. Je n'aurai pas du lever la main sur toi. J'ai agis avec impulsivité et comme un pere.

Il la prends dans ses bras et la serre, il veut sentir qu'ele est bien là, qu'il ne reve pas, qu'il l'a bien retrouvé celle qui n'a de cesse que de lui faire des cheveux blancs. Il la relache et la rends à son fiancé. Puis se retournant vers Bralic:

Mon caneton, tu arretes de jouer? il peut peut être encore servir à nos hôtes dans leur guerre contre je ne sais qui.

Se retourne encore vers ilm et met genoux à terre devant elle

Ilmarin, mon épée et ma science du combat sont tiennent. ordonne moi, j'obéirai. Je suis ton protecteur à partir de cet instant
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"La gloire s'acquiert en faisant ce qui mérite d'être écrit"
---fromFRBralic
le mouvement hypnotique et lancinant de l'épée se redécala sur la gauche pour reformer une protection efficace tandis qu'Ilmarin commençait à hurler.

Un puissant rire envahit la piéce, venu du fond du coeur, d fond de la gorge puissante du vicomte. Quand il l'entendait s'énerver, il avait l'impression de s'entendre lui même... avec plus de retenue. Pas de doute, cette femme avait de l'envergure.

Son regard ne quitta cependant pas l'homme encapuchonné de ce qui semblait être un sac poubelle en cuir rouge.... trés hestétique pour sortir la nuit la capuche de bourreau, trés discret surtout...

Ses yeux passérent rapidement sur ceux d'Ilmarin, lui tirant un sourire amusé.


Mais c'est quoi cette cour des miracles ou on peut même plus étriper le parfait inconnus en paix.... Bientôt vous allez lancer des procés pour TALP ou bien ? Gaffe les enfants, la bureaucratie sclérosante vous guette.

Le moulinet cessa tandis que le vicomte effectuait deux pas en arriére, restant cependant en garde face à son adversaire.
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
---fromFRL'Epervier de sang
Le combat était sur le point de commencer, l'excitation qui l'accompagnait était bien là. Bralic savait combattre, il tentait même une feinte de débutant. Amusant. L'Epervier glissa lentement dans sa direction, avant d'être arrêté brutalement par un hurlement. La nouvelle venue. Manquait pas d'air elle. Ils la cherchent tous, ils s'inquiètent, et elle ouvre sa grande gueule dès son arrivée. Bralic recule, reste en garde tot de même. L'Epervier recule à son tour et range son épée.

Dommage, je suis certain que le combat aurait été plaisant. Ce ne sera que partie remise. Bon, on se décide à y aller maintenant? On se refait une petite danse?
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La mort n'est qu'une récompense pour avoir enduré la vie...
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