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[RP] Le Palazzo

---fromFRBralic
un sourire et la batarde fut rangée, regagnant son fourreau frappé des armes de la ville de Dole. le manteau de cuir venant à nouveau l'abriter.
La main du commandeur se posa néanmoins sur le pommeau à tête de loup de son couteau de chasse, pret à le tirer hors de son étuis pour trancher la gorge de l'encagoulé.


Ce sera un plaisir que de danser à nouveau avec vous belle dame... dommage que vous ne dévoiliez pas votre visage. Ce sac me gache la vue de votre jolis minoi.

Un nouveau sourire adressé à l'homme à la capuche, et le regret de ne pas avoir pu finir. Presque de la frustration même. Mais cela ne serait surement que partie remise.
Attrapant un mouchoir noir dans une poche intérieur de son manteau, le vicomte le lança à son adversaire en indiquant son cou.


Vous devriez essuyez ça, ça fait négligé....
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
---fromFRnimroden
Nimroden balaie d'un geste les dernières paroles, se laissant aller à un regard méprisant et cynique. La réponse, cinglante, court sur ses lèvres et s'arrête, Pierrot ayant autre chose à faire. Se tourne vers Rhuyzar puis Bralic, les détaillant retient encore un commentaire. Le clown marchant droit s'avance au milieu du cercle des gens présent, sa main gauche se crispant toujours de la même manière régulière, posée. S'arrête. La voix se fait douce.

Je n'ai tout à l'heure pas fini de me présenter. Comme notre ami ici présent est Licornien, j'ai été moi Général d'armée en Dauphiné. Pour les gens encore présents semblant venir avec nous, regard amusé vers Aldebbarant voici comment cela va se passer.

Le Livide, le Gris et moi-mêmes passons en tête. L'Antre, comme l'a dit Laure, est un cul de sac. Le succès sera notre rapidité. Moi et mes amis attaquons de front, attaque temporaire destinée à tâter le terrain et occuper la masse. Pendant ce temps, Laure s'organise et vous dispose, suivant le terrain. Se retournant vers l'Epervier et les Licorniens Vous constituez un groupe d'appui. Une fois mis en place, vous ferez mouvement en avant, nous rejoindrez et nous épaulerez, de sorte de nous dégager. Votre ligne devra être serrée et ne pas avoir de faille. Par ce mouvement, on pourra les déborder et atteindre le fond de l'Antre. Cette attaque s'effectuera donc par vague, chaque vague devant conserver le terrain de l'autre, permettant l'avance.

Nouveau demi-tour, le Capitaine marche et continue son discours, s'adressant à tous, la voix égale.

Nous ne connaissons pas la disposition interne, n'avons aucun élément sur ce qui nous attend là-bas. Pour cela, ce plan se trouvera modifié suivant le terrain et l'évolution. Laure commandera deux groupes, la Licorne et Ilm, et mes hommes accompagnés de l'Epervier, de Dante et... notre ami désignant Thorolf auquel elle se joindra. Jamais ces groupes ne doivent se disloquer, ils devront réagir suivant ce que l'on aura en face. La tactique de sortie suit le même procédé que l'attaque, l'échelon le plus en avant se repliant derrière les autres, et ainsi de suite... S'ils en restent debout. Sourire blafard et froid, à côté d'une mèche fripone jouant avec le visage de son propriétaire Tous les mouvements doivent s'effectuer en fonction de ces trois groupes.

Tous ceux qui d'une manière ou d'une autre mettent en danger la vie de Cal, si ils venaient à sortir de la Cour, récupèreraient leur bourse en travers de leur gorge, suis-je assez précis?


Le sourire se fait charmeur, accompagnant le ton léger. Arlequin et ses fariboles supportent Pierrot. Enveloppé dans son long manteau noir, le pitre tourne une dernière fois, envoyant le vêtement valser dans les airs, silencieux jusqu'au faible bruit d'étoffe froissée qui accompagne sa redescente. Sa main droite remonte rapidement vers sa nuque, tirant le manteau au-dessus de la garde du sabre qui dépasse, la masquant aux regards et aux éclats. Seuls au travers des mèches brunes aux reflets cuivrés, continuent à briller les deux yeux gris. Un éclat de rire d'enfant s'échappe encore, avisant Mange-rats. Récupère une dague plus courte, joue avec un instant, la rengaîne. N'a rien dû oublier. Si, peut-être... Demi-tour sec, se tourne vers Lorenz et la regarde

Un arc peut-être? Jamais de trop. Arbalète...

Tourne encore, s'avise que sa chère demoiselle a disparu dans l'affrontement. Une mimique déçue s'esquisse rapidement, puis disparaît, absorbée par le sourire, devenu fin, rayonnement léger, répondant au regard grisé. Dernier demi-tour, s'arrête, fixe. Un instant de pause, à côté du porche, s'appuyant de l'épaule contre la pierre froide du Palazzo, fait signe à Vvarn et Marlowe's, puis s'inclinant brièvement, montrant le portail de sa main droite

En route.
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Ancien Général, Capitaine mercenaire


Mort, presque.
---fromFRVvarnëleen
Quel joyeux bordel. Le Gris range son épée et part se mettre a côté de Marlowe's. Dès que les nobles débarquent ici, ils se croient tous permis... Et il en avait marre. Par contre, la dextérité de Bralic... Etait plaisante. Il se demanda s'il avait toujours son trébuchet d'a l'époque de la Franche Comté, puis se ravisa en se demandant d'où il sortait ça. Il ecoute l'exposé de Nimroden, pose la main sur son épée et hoche la tête. Ca allait être l'enfer. Mais ne serait ce que pour le plaisir de massacrer des IT a l'entrée de leur antre, ca allait être un véritable plaisir.

"Bien... Nimroden, Marlowe's... C'est quand vous voulez."

Il avait l'esprit vide, le coeur déja au combat, et aucune envie de s'étendre sur les émotions qui trainaient dans son esprit.
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Mort au 19 décembre 1453 Dans la Cour, qu'il à tant aimé qu'il lui donna sa vie.
---fromFRBralic
Le vicomte avait écouté d'une oreille distraite les indications de l'attaque... un enfoncement classique et une retraite par rotation entre trois groupes. Rien de bien follichon ou sortant de l'ordinaire. pas de quoi fouetter un chat en somme...

Il avait traversé la salle, attrapé une chaise et retiré sa botte gauche pour bander l'estafilade, gromellant qu'il allait égorger ce foutu cordonnier et faire bouffer ses tripes à ses cochons.

Aprés avoir enduit la plaie d'une sorte de pate verdatre et puante issue d'un flacon tiré d'une poche ornant sa besantine, il banda ensuite sa cheville à l'aide d'un pansement lui aussi issus d'une poche de son armure de cuir. Il smblait n'avoir cure du discours qui se tenait à proximité... une chose le fit cependant réagir.


Sans vouloir vous froisser les enfants... On vient de récupérer Ilmarin, et c'était un peu notre but, du moins le mien...
Outre donc le fait que c'est marrant de trucider des gens, surtout des gros nazes qui se prennent pour des méchants pasqu'ils font peur aux bourges avec leurs épées élimées et rouillées que s'ils te frappent avec tu meurre plus de maladie que de tes blessures... quel est dont l'interet d'aller trucider les pauvres zouaves suscités ?

C'est une expédition punitive ou bien ?

Remarquez, j'ai rien contre, hein, mais je vois mal l'interet qu'on en tirerait à trucider vos terreurs du bac à sable, puisque c'est le nom que dans le métier on donne à la cour....

Le vicomte souleva sa botte en gromellant aprés le trou fait, se jurant de se rembourser des frais de cordonnerie sur le cadavre de l'encagoulé. puis la repassa, calant sa cheville.

'fin.... si Rhuy et Aldé vous suivent, je veux bien venir pour aider les potes... je suis jamais contre un petit bain de sang.
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
---fromFRMange-rats
Tonnante et vibrante, la tempête s’est levée. Coups, cris et insultes, rage et tension, le tonnerre gronde avec superbe. Le gosse ne pense plus, il faut agir, désormais. A peine un coup d’œil pour confirmer sa prémonition, c’était bien sa lépreuse. Pas un mot, regard vole vers Lorenz qui semble s’inquiéter pour lui.

Ca risque de te lancer quelques temps encore. Oublies. Ca passera. Tout passe.

Sourire goguenard, petit rire léger, ses yeux brillent d’excitation.


Ca ira. Merci, Lorenz.

Un sourire large comme la cour, bref comme ses venelles. La douleur à la main, et la rage au cœur, il regarde, étoiles dans les yeux, Nimroden. Quelle prestance, quel style… Muet, il reçoit les ordres, ne relève même pas le prénom que sans raison on lui attribue, sourit brièvement, comme pour acquiescer. Tend la senestre, la resserre sur la dague, incline le chef, reste muet. Ils parlent trop, mieux vaut rester concis. Arabesques esquissées avec l’arme, alors qu’il tente de se souvenir, sourire satisfait, l’acier plonge dans la poche ménagée dans ses frusques, il en ressort la fronde. Nul doute que tous deux serviront.
Sourire pour répondre au rire enfantin du Captain, il s’incline respectueusement et s’écarte, sursautant à la voix bourrue de l’homme qui bataille avec l’ombre rouge… il est temps de déguerpir, et vite, il fait confiance à Libertad pour ramener ces gens à la raison.
On lui a donné une mission, il l’accomplira.
Nimroden a ordonné.
Il obéira.
Réunir les gosses. Faire de chaque ruelle une oreille, de chaque fenêtre un œil, de chaque coin de rue une embûche. A leurs côtés, des nobles, des soldats, il grimace mais se tait, ce n’est pas à lui de décider… s’ils peuvent leur être utile… tout se paiera. In tenebris d’abord.
Et encore avant… Cal. Calembredaine. La rousse. La retrouver. Ecumer la Cour, écumer Paris. Les gosses sont partout, il en connaît quelques uns, chiper des prunes, ça crée des liens. Si les In Tenebris ont fait un échange, un gosse l’a forcément vu. Les gosses voient tout. La cour, c’est chez eux.
Nul ne connaît mieux la cour que les gosses. Nul ne connaît mieux les gosses… que lui. Sourire certain. Nimroden a vu juste, il pourra leur être utile ainsi, certainement plus qu’au combat. Fil d’acier sur une plaie béante, son pas claque sur le pavé glauque.
C’est la guerre.
Sonnent trompettes.
Roulent tambours.
Claquent sabots.
Le fracas de l’acier va bientôt résonner, déjà Marlowe’s, Llian et Nimroden lèvent le camp. Il doit agir vite, en éclaireur.
C’est la guerre.
Fi des palabres, place aux actes.


Un bond, un autre, il vole par-dessus une flaque croupie… qu’il aurait tantôt éventrée d’un bond voulu, inondant la ruelle… Chaque chose en son temps.
Il avait trouvé un autre jeu.


A moi, gosses des rues, à moi, gosses de Cour
Miraculés perdus, orphelins sans atours
Mille yeux qui observent,
Curieux et sans réserve...
Libertad a besoin de vous...
Debout !
Fronde au poing, langue hors de poche
Couteaux brisés, éclats de roche
Vous qui ici savez tout
Sortez à l'instant de vos trous !

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---fromFRLithian
Le vent soufflait doucement dans ses cheveux. D'un geste sans retenue, il les remit sans se soucier de la légère humidité qui les couvrait. Il avançait tranquillement. Une main se plaça à nouveau dans ses cheveux pour les remettre derrière son oreille. La cour se dessinait à ses yeux fatigués. Il restait encore quelques rues, certaines difficiles à traverser, d'autres sans aucun problème. Il fallait choisir la voie la plus rapide. Ce n'était point une mince affaire.

La voie la plus directe le menait face à ses gens cachés derrière leurs masques. Il pouvait encore passer la seine comme il l'avait fait en barque il y a peu. Mais aucune embarcation n'était amarrée. Le chemin qui était plus long le ferait croiser des gens sans doute peu commodes. Et son seul souhait était rester serein pour revenir dans la cour du Palazzo. Parmi les libertadiens. Choisir.

Une échelle. Elle était posée contre un mur, n'attendant que lui. Il réfléchissait toujours à la meilleur route quand il posa sa main sur son bois frais. La mousse qui la recouvrait partiellement démontrait assurément qu'elle n'avait pas été utilisée depuis un moment. Mais L'attention de Lithian ne fit qu'un tour. C'était par là.

Il grimpa. Une jambe, une autre, les mains se posant de plus en plus haut et il arriva sur les toits de la cour. La vue, elle, était moins belle que depuis les tours du Palazzo mais on pouvait au moins les apercevoir, ses tours. La direction était donc flagrante. La capuche sur le haut du front, il commença à traverser les tuiles. Le bruit qui suivait ses pas était lourd et prononcé. Chaque personne au dessous devait lever les yeux à son passage. Mais il n'y prenait pas garde. Retrouver ses compagnons était le principal.

La bâtisse n'avait donc pas bougée. Toujours au même endroit avec ses tours et ses gargouilles. Le temps avait filé mais au final, combien de temps s'était réellement passé ? Aucune idée. Le rêve nuisait à la gestion du temps. Il en était désormais certain.

Le toit sur lequel il était posé donnait une vue imprenable sur la ruelle du Palazzo. Tous les détails se distinguaient parfaitement. Les traces de pas, les arrêts, les chevaux qui étaient passés, les rondes des gardes, les traces de la porte qu'on ouvrait. Tous.

Du mouvement avait été fait il y a peu. Vraisemblablement des hommes et des femmes vu la taille des pieds qui s'étaient enfoncés mais c'était un option bancale. Les hommes se retrouvaient parfois avec des pieds ridicules. Bref. Il y avait trop de marques pour que ce soit seulement les libertadiens.


Restons sur nos gardes. Murmura-t-il à voix basse, pour lui même.

Il détacha son arc qu'il portait continuellement sur son dos, peu importe les circonstances et arma l'objet. Les gens sortaient de la bâtisse. Des visages connus d'autres non. Vigilance. Il se renfonça plus en arrière sur le toit, prenant garde au bruit.
---fromFRKratos71
Toujours en retrait depuis le debut de leur arrivé, Kratos ne bougeait pas...la capuche toujours abaissée sur son visage...Aucune réaction de sa part lorsque l'homme tout de rouge vetu s'attaqua a l'ordre...Laisser faire et dire les être qui n'avais que peu de cervelle, cela ne le touchait point...Lui savait bien ce que son ordre valait, la pensées des autres il n'en avait cure...
C'est a ce moment la que Bralic fit son arrivé...Bralic... que pouvait-il bien faire ici...il le regardait faire et gueuler comme il en avait l'habitude sur l'epervier de sang...un combat semblait debuter entre les deux hommes...rien de surprenant connaissant Bralic...

C'est a ce moment la qu'Ilmarin eleva la voix....commencant a donner les directives...toujours silencieux il les regardait faire...Lorsqu'il entendit la composition des groupe il abaissa sa capuche devoilant son visage balafré, ses cheveux blond...


Partout où irons mes frères je les suivrait...je suis aussi des votres, ne pensez pas à vous amuser sans moi...
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Au bout du chemin...
Rhuyzar
Rhuyzar restait étrangement calme, malgré les provocations, les insultes et les regards lancés à travers la pièce qui en disaient long sur ce que l'on pensait ici des chevaliers, nobliaux, ou tout simplement étrangers...

L'arrivée du Vicomte fut... à la hauteur du personnage, brutale, grossière, amusante aussi et un léger sourire naquit sur les lèvres de l'Errant.Hormis la vengeance de Berthilde que le Commandeur avait quittée un peu promptement, il n'avait jamais eu l'occasion de combattre à ses côtés, ce serait une expérience enrichissante, surement...

D'une oreille attentive, il écouta le plan, pas la peine de commenter, au pire ils ne feraient qu'aider, cette bataille concernait la cours.

L'exposé terminé, il fit un pas pour se rapprocher du groupe et prendre la parole.

J'ai une dette envers celle des vôtres qui a été capturée, je mets donc mon bras à votre service pour cette entreprise, visiblement il n'y aura pas de lame surperflue.

Un regard vers sa panthère, un autre vers Bralic pour lui signifier qu'il lui expliquera plus tard, au calme, il attend, silencieux et grave, les séquelles de sa dernière bataille sont déja effacées...
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---fromFRDante du Ciel Azur
Une dague ? Le Gris lui donna une dague. Etait ce approprier ? Pourquoi ne pas avoir accepté sa requête ? Peut être n'y avait il pas de rapière en ses murs ! Malédiction ! On dit que les Tenebris sont des monstres de deux mètres et on pour arme d’énorme hache ! Pensait il qu'avec une dague il serai protégé ou même apte a pouvoir faire une seule parade ? Foutre dieu ! Hem... Dante va devoir compter sur sa jeunesse et sa souplesse, il va devoir remuer ses fesses s'il veut avoir une chance de survivre. Une dague n'est pas fait pour attaquer de front mais par derrière et Dante a pour habitude d'attaquer le plus loin possible, pas au corps a corps mais il fera avec. Il faudra trouver un moyen de surmonter ce bel handicap. Dante prit la dague aiguisée, l'observa et la cala entre sa ceinture et lui. Sans fourreau faudra qu'il fasse attention a ne pas se blesser lui même. Le Fils Azuré s'inclina légèrement.

"Merci du conseil... Je tacherai de m'en souvenir Le Gris."

Dante lui rend un sourire, moins joyeux le sien. Il se met donc en retrait pour voir la suite... Une gifle ? Sur la joue d'une Dame ? Dante se retint mais... Il se serait bien glisser derrière le dos de l'homme et aurait fait usage de la dague. Toujours en retrait, il laissa couler et attendit... Sac a main et Licorneux, bataille inutile si ce n'est point pour une Dame. Le plan est redonner par Nimroden, on attend tous le "feu vert" de Lorenz ainsi que ses ordres. Dans tout les cas il les suivrait et obéira scrupuleusement, enfin plus ou moins, aux ordres, car si cela lui déplaît et une stratégie est meilleur, pourquoi obéir aux ordres ? Dante veut se libérer des fils...
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---fromFRgeorgio
Le Capitaine n'a guère le temps de lui répondre. Suivi de près par l'homme de Béziers et d'un autre tout de gris vêtu, il s'engouffre dans la rue. Pas rapides et précis. Ils savent où ils vont. La détermination se lit sur leur visage. La haine et la colère effleurent dans leurs regards.

Georgio n'a plus rien à faire ici. Elle ressert son manteau autour d'elle, cachant son épée aux yeux indiscrets. Il y en a toujours à la Cour.

Sortie de la cour intérieure du Palazzo.

Retour vers le lieu de rencontre avec le jeune lieutenant. Lui faire son rapport presque. Attendre la suite des événements.

Autant de remue-ménage ne peut que laisser présager qu'il y en aura.

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An amzer a dro
An Ankou a sko
Lorenz
Colère sourde ne se tait plus.
Colère qui monte et la prend aux tripes.
Colère qu'elle doit pourtant maîtriser. Parce que le temps est compté et la vie de Calembredaine peut en dépendre.

Fichus mâles en quête de fierté mal placée. Pas eu le temps de réagir et de contrecarrer leurs éclats de voix. Car pour les coups, ils sont minables. Cela promet.

Lorenz décoche un regard qui en dit long vers l'Epervier. Lui glisse entre les dents serrées:


Va falloir te calmer si tu veux nous suivre… L'alliance ne sera que temporaire, mais si ces Licorneux veulent bien nous aider, alors il faudra les tolérer. Comme ils nous tolèrent. Pas de mépris. Pas de respect. Juste une alliance contre.

Et Ilm qui réagit enfin, comme sortant de sa torpeur. Elle retrouve ses vêtements, ses armes et sa vigueur. Lorenz s'avance vers elle après l'avoir écoutée. Le silence s'est fait. Nimroden, Vvarnëleen et Marlowe's ont déjà disparu dans la rue. Suivis de Mange-Rats, un refrain à nouveau sur les lèvres.
Il s'agit de ne pas trop s'attarder.
Une main se pose sur l'épaule de celle avec laquelle elle aime refaire le monde, partager des confidences, rêver. Aujourd'hui, c'est la réalité cruelle qui les réunit à nouveau.


Folie que d'être revenue… Folie aussi de Cal et moi d'avoir cherché à en savoir plus. Pour mieux te protéger. Nous ferons plus tard le bilan de nos responsabilités. Et assumerons nos faiblesses pour en ressortir plus fortes encore.
Tu es sous mes ordres Ilm… qui aurait cru cela il y a quelques mois?
Sourire taquin et complice.

Lorenz se tourne vers les hommes présents. La voix change et se fait autoritaire.


Bien.
L'Epervier, Dante et Thorolf vous viendrez avec moi. J'imagine qu'aucun de vous n'a le vertige et vous me paraissez assez agiles pour grimper sur les toits. La ruelle de l'Antre est serrée, étroite à souhait. Une couverture aérienne me semble de rigueur. L'un d'entre vous sait-il manier une arbalète, ou un arc? Il y a ce qu'il faut dans la salle d'entraînement du palais. Allez vous servir et rapportez moi un arc avec ce qu'il faut. Tirer sur les goélands et les mouettes chapardeuses en pleine mer, c'était mon activité préférée…
Et puis rapportez aussi l'épée avec un manche en cuir que vous verrez près de l'entrée de la salle. C'est celle de Cal, et je suis certaine qu'elle souhaitera la récupérer.


Retour vers Ilm.

Je sais que tu nous aurais sans doute accompagnée sans souci, connaissant ta souplesse. Mais il me semblerait approprié que tu les gères, eux. Geste de la main vers Dug, Rhuyzar, Alde, Kratos et Bralic. Non pas que cela m'aurait fait plaisir, mais vous vous connaissez bien et tu sauras leur dire en peu de mots ce qu'il faut faire. Toutefois, avant qu'ils ne soient TES hommes, sous TON commandement, permets moi une dernière précision à l'un des tiens…

Colère sourde ne se tait plus.
Colère qui monte et la prend aux tripes.
Colère qu'elle laisse juste transparaître dans le ton froid et sec qu'elle emploie alors qu'elle se campe, les yeux d'un vert sombre dans ceux de Bralic.


Vicomte, c'est ça… mercenaire, assassin reconverti et accessoirement un des commandants en chef de la Licorne… sachez qu'ici les titres n'ont aucune importance. Le seul mérite revient au plus fort. Et ici, à Libertad, nous croyons en une force unie, creuset de nos différences.
Or si une différence manque à l'appel, nous y répondons. Sans aucune question.
Or il se trouve que si Ilmarin est là, c'est que l'une d'entre nous a pris le risque de se battre pour elle. Cela devrait avoir du sens pour vous, Non? La solidarité au sein d'un ordre, quelqu'il soit…
Donc, à compter de maintenant, et pour les heures qui suivent si vous vous joignez à nous, vous mettrez votre fierté masculine de bas étage de côté. Et vous en remettrez aux ordres d'Ilmarin. Que cela vous plaise ou non.
Est-ce clair… Bralic?


Colère qui a explosé, mais qui retombe aussitôt. Cela devait être dit. Il prendra cela comme un affront s'il le veut. Les défis seront pour plus tard. Sa seule priorité est désormais de retrouver Cal… dans un premier temps.
Le regard quitte le Vicomte et fait le tour des forces en présence.


Et bien, qu'attendez-vous? A vos armes! Et séparons-nous sans pour autant nous quitter de vue. Des vies en dépendent. Et pas seulement les nôtres.
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---fromFRBralic
Un grand sourire et un regard plus glacé et profond que les fjord de norvége fut la réponse du commandeur à la jeune femme qui le regardait.

Les deux regards se croisérent, se frappérent, se soutinrent, aucuns des deux ne quittant l'autre, aucun des deux ne voulant céder.

Il aimait les fortes têtes. Il aimait les gens qui s'opposent à l'autorité, il reconnaissait toute sa folle jeunesse dans ces yeux plus verts mais moins sombres que les siens.

Etait-ce car il s'agissait d'une femme que le vicomte ne lui avait pas encore brisé le nez et le reste de ses os ? Non... il n'était pas du genre à faire une distinction entre les sexes, pas plus qu'entre les classes sociales. Pour lui, tous les humains n'étaient que des nuisances méritant au mieux une mort rapide et au pire une mort lente et spectaculaire à l'oeil dans le cas de tous les rebus qu'étaient les voleurs de toutes sortes, qu'il s'agisse des encapuchonnés attaquant de nuit ou des politiciens frappant de derriére leurs paperasse.

Le regard le quitta, et il lui laissa poliement finir sa phrase avant de répondre.


Ma belle... J'emmerd* les titres certainement plus que vous tous réunis ici... j'en veux pour preuve que je n'hésite pas réguliérement à prendre mon pied en pissant dans les potages servit en entrée aux bals dans lesquels toutes les grosses vaches embagousées dites "nobles" ont le malheur de m'inviter.

Je connais les lois en vigueure dans la cour pour avoir fréquenter ce taudis que vous appellez votre maison bien avant même que vous n'y posiez votre petit pied si délicieusement féminin.

Je suis vicomte, blindé de jonc, de propriété, je culbute des comtesses dans les couloirs de la Pairie et je fréquente la haute société, j'en conviens. ça ne veux pas pour autant dire que j'aime cette bande de débiles profonds pervers et tordus qui passent leurs vies à se goinfrer, à s'emmancher et à se poignarder dans le dos pour des raisons de fierté personelle en se contrefoutant royalement des pécores qui crévent pour les satisfaire. Mais n'allez pas non plus croire que j'ai la moindre considération pour un peuple assez débile pour se laisser marcher dessus sans rien dire. Tout comme vous je me contrefous des titres et ne crois qu'en une seule chose : Les actes.

Et pour ce qui est des actes... demandez à Ilmarin ou aux différents "nobles" présents de vous parler de ma personne et de ce que j'ai fait... et croyez bien que sans moi, votre vie elle même ici, à la cours, serait encore pire que la fange actuelle dans laquelle vous vous vautrez... vous êtes jeune... bien des choses vous dépassent. Et même si je n'ai "que" trentes hivers. J'ai bien plus d'expérience du milieu dans lequel vous vivez que vous ne pouvez ne serait-ce que l'imaginer.

N'oubliez pas que dans la vie, il ne faut jamais se fier aux apparences.

Le vicomte commença à réajuster ses armes à son ceinturon, vérifiant que tout était en ordre.

Je suivrais donc les demandes d'Ilmarin car je la connais et que j'ai confiance en elle. Mais pour moi, vous et vos amis, vous n'êtes rien. Je ne vous connais pas et à vrai dire me contrefiche royalement de votre sous-existence.... n'espérez donc pas que votre ton, votre regard, et vos ordres, n'aient d'autres impacts sur ma personne que me faire sourire, et profitez en, c'est rare en dehors des combats.

Sur ce, si votre ami à payé de son sang la libération d'Ilmarin, alors je me joindrais à vous en titre de remerciement.... et aussi pour les plaisir d'exsanguiner quelques pécores mals dégrossis se prenant pour de dangereux criminels.

Maintenant, gardez vos forces pour le combat qui s'annonce... me gueuler dessus ne fera rien de plus que de vous coller une extinction de voix, ce qui serait dommage tant celle-ci est plaisante à entendre... vous devriez faire du chant, vous avez une magnifique voix de soprano.
Ne me forcez pas à vous embrasser pour vous faire taire, bien que j'y prendrais beaucoup de plaisir, je douterais qu'il en soit de même pour vous.
Bref, faites vos preuves. Je ferais les miennes.

J'ajouterais pour finir que jusque là, ceux qui ont fait montre d'un comportement hautain et dédaigneux... c'est vous... pas nous les "nobles" et encore moins moi...

Un magnifique majeur tendus, ganté de cuir noir, vint cloturer cette diatribe, faisant écho au sourire charmeur se dessinant sur les lévres du guerrier
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
---fromFRLa Balafre
Cela lui paraissait faire une éternité qu'elle n'était revenue à la cour.
Quelques rides s'étaient creusées sur son front jouant avec malice sur sa cicatrice. Le regard plus dur encore qu'avant et la mine plus sombre, tels étaient les nouveaux stigmates qu'elle devait à ces derniers mois.
Ce qu'elle avait vécu resterait à jamais marqué en elle.
Cett vielle raclure qui avait strié son visage et son âme d'enfant était enfin morte.
Elle avait regardé la vie quitter son corps avec un sourire qui aurait fait hurler un bourreau.
Si ce gamin n'étais venu lui donner ce précieux message, elle n'aurait jamais quitté la cour, elle ne l'aurait jamais retrouvé, elle ne se serait jamais vengée...
Pendant des mois elle l'avait traqué, comme une bête sauvage traque sa proie, ne lui laissant aucun répit, que la crainte soit son quotidien et qu'il la craigne comme elle le craignait petite.
Il avait supplié qu'elle lui laisse la vie sauve, et ce moment elle ne l’oublierait jamais.
Quel doux son que celui de sa lame pénétrant les entrailles. Et celui plus net quand elle avait tranché sa virilité...
Huuum... Elle avait ressentie le même plaisir orgasmique que lorsqu'elle enfouissait son visage dans la chaude intimité de ses conquêtes féminines.
Mais il était tant de revenir dans son monde...
Ce monde qui l'avait accepté, ce monde de lutte pour une même cause...
Liberté...
Ses rue froides et humides où rats et voleurs ne font qu’un.
Où la saleté des âmes n’a d’égal que celle des rues…
Enfin chez elle !
La dernière fois qu'elle avait vu ses compagnons, un jeune idiot s'était auto proclamé roy de la cour.
Mais elle était partie sans un mot, sans prévenir, pour rattraper son passé.
Elle n'avait plus eu aucunes nouvelles et ne savait pas trop à quoi s'attendre à son retour.
Libertad où es tu?
Qu'es tu devenu?
Me pardonnerez-vous pour cet affront?
Me pardonnerez-vous d'être partie sans un mot?
Un seul tombe, tous se dressent...
Et Sélène, oui douce et merveilleuse Sélène, pourrais je encore plonger mon regard dans le tien et me laisser enivrer par les senteurs de ton parfum?
Ses pas l’avaient guidé jusqu’au Palazzo.
Peut être que Libertad y siégeait toujours.
Trop de temps passé depuis son départ, qu’allait elle retrouver ?
Le vent froid s’infiltrant dans le moindre recoin de son corps, elle arrive enfin devant l’imposante bâtisse. Il n’y a pas à dire, la comtesse a du gout.
Elle n’était jamais venue en ces lieux, le temps lui aillant manqué, et les gardes ne sauraient certainement pas la reconnaitre.
A une époque, elle serait entrée et serait partie à la recherche des siens, mais il est des moments où la sagesse prend le dessus.
S’approchant de deux gardes, elle s’annonce.


Veuillez avoir la courtoisie, d’allez voir l’hôte de ces lieux, où quiconque qui pourra me recevoir, et de lui signifier que Labal est de retour poussée par un vent de liberté.


Un des gardes acquiesce et rentre par une lourde porte dans le bâtiment.
Les dés sont jetés, il ne lui reste plus qu’a attendre de savoir ce qu’est devenue son ancienne vie.

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La vie n'est pas simple, la mienne l'est encore moins...
---fromFRL'Epervier de sang
L'Epervier avait écouté le plan tout en essuyant le peu de sang ayant coulé de la blessure. Il était plutôt bon, à supposer qu'en face ils ne débarquent pas à cinquante. Mais avoir différents groupes était une bonne idée. Dispersion, attaques diverses, bref il y avait tout pour surprendre l'adversaire et l'affaiblir avant qu'il ne se reprenne.

Lorenz lui lança un regard noir. En réponse, il inclina la tête en un salut quelque peu provocateur, montrant toutefois son approbation. L'heure n'était à une stupide guerre interne. Ils devaient se tolérer, il les tolèrerait. Il n'était de toute façon pas venu pour créer des tensions, pas avec eux en tout cas. Il avait mieux à faire que diviser les forces.

Pour cette raison il se retint de rire lorsque Lorenz hurla sur Bralic et il garda ses réflexions sur le ton hautain et totalement méprisant et crétin de Bralic pendant sa longue, très longue, interminable diatribe. Encore un qui aimait s'écouter parler. Fallait espérer qu'il manie l'épée comme sa grande gueule. Il aurait une chance d'être utile à quelque chose. Lorsque "grande gueule" eut terminé, l'Epervier prit juste la parole un instant.


Moi je sais me servir d'un arc. Indique-moi où se trouve la salle d'entraînement, et je vais récupérer le nécessaire.
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La mort n'est qu'une récompense pour avoir enduré la vie...
Ilmarin
Une étreinte chaleureuse... Son plus vieil ami... Serrée contre lui, comme s'il avait peur d'un rêve. Elle reste sans voix un instant, malgré le hurlement qu'elle vient de pousser. Alde à genoux, son épée à son service... A elle... La Courienne toujours fourrée dans les ennuis...

Alde... Je... Je ne sais pas quoi dire... Enfin si... J'accepte bien sûr... Tout comme Papi... Relève toi s'il te plait... Je ne mérite pas tant de bienséance...

Une main sur son épaule, un baiser furtif sur sa joue, un sourire plus révélateur de son trouble, de l'honneur qu'il lui fait et de sa joie qu'une déclaration trop longue et éprouvante.

Un clin d'oeil à Bralic, ses soins rapides pendant que Nim expose ses plans. Tout le monde se mettant en branle-bas-le-combat. Elle acquiesce silencieusement, réfléchissant déjà aux personnalités des hommes sous ses ordres, pendant que Lorenz tente de recadrer Bralic... Amusée, elle se serait presque détendue si l'enjeu n'était pas aussi énorme.
Cal. Un mauvais pressentiment. La lune qui s'arrondit doucement.
Cal. Les IT. Cal. La vague d'assaut...

Pendant que tout le monde faisait les présentations, écoutait les idées, prenait ses marques, repoussant un instant ses pensées, ses angoisses, elle s'approche de son Loup, l'enlace tendrement et se serre contre lui, cherchant sa force, son calme, sa sérénit, dont elle a besoin pour la suite, posant son visage contre son épaule, murmurant à peine audible:


Merci d'être là... Merci d'être venu... Je suis partie parce que j'avais peur de t'entrainer ici... J'ai peur de te perdre... J'ai peur du Morlhon... J'ai peur d'être séparée de toi... J'ai si peur... Pour nous, être forts n'est-ce pas? Pour nous, tirer l'épée ensemble à nouveau? Pour nous, combattre le passé pour un futur...

Un murmure qui se perd dans le brouhaha ambiant, mais son regard souligne ses paroles, son amour pour lui, l'espoir en eux.
Les premiers partent déjà, suivis de Mange-rats. Elle-même, tenant la main de Rhuyzar dans la sienne si faible, secouée de spasmes nerveux, se rapproche de Bralic, pose sa main gauche sur son bras, le forçant fermement mais délicatement à se rapprocher de son groupe, lui faire comprendre de laisser Lo découvrir par ses actes ce qu'il vaut. SON groupe. Les Licorneux. Dont son papi et son fiancé. Un hospi. Des soldats. Elle, ancienne mercenaire fonctionnant à l'instinct. Quelle galère vu les phénomènes...


Bien. D'abord, merci de cette confiance Bralic. Sourire fugace tranchant avec l'éclat rageur de ses yeux. Je ne sais si je serais à la hauteur. Mais un seul but. Survivre pour sauver Cal.

Elle se met à masser nerveusement et par réflexe sa main droite. Elle devait aller au combat. Comment faire avec une dague faible... Sa survie est sa rapidité.... Chacun devra combattre pour sa vie, elle ne peut être un poids... Quelle chienlit...

Expédition punitive? Oui, en un sens. Personne ne touche à Libertad. Nous leur feront entrer ce proverbe dans la tête à coups d'épées dans la tronche s'il faut.

Je ne vous demanderais pas une action précise... Je fonctionne à l'instinct, suivez le votre. Mais nous ne devons pas offrir de failles. Rester groupés. La ruelle serait sombre et étroite d'après les rumeurs. Combat épaule contre épaule je pense. On part a priori avec une couverture d'archers. Outil que je ne manipule pas. Si vous savez le faire, il est temps...
Rapidement, concernant les morues avariées qui nous font face. Les In Tenebris fonctionnent au morbide, au sang, aux offrandes à leur déesse sanguinaire qui se régale de leur mort, surtout acompagnées de mille cadavres d'ennemis. Sont capables des pires coups fourrés pour chercher une faille. Je le sais, j'ai combattu avec eux. Soutenir les regards étonnés de ses amis, un rictus aux lèvres. Vous le saurez plus tard, vivants et en bonne santé, autour d'un bon verre de vin blanc, près d'une cheminée. Et je fais le serment que vous y serez, j'y veillerais. Personnellement.

Elle regarde à nouveau Rhuyzar à ces mots prononcés d'un ton sec, lourds de sous-entendus. Changé. Un souvenir qui remonte, manquant de la faire vaciller. Il n'est plus lui mais un autre oublié. Chasser ces souvenirs d'un geste. Se concentrer sur le présent.
Alors. En attendant Lorenz qui va briefer les autres qui la suivront, d'autres questions sur les minables? Ou d'autres questions simplement? On est là pour la charcut et la bouillie. Pour sauver une grande rousse aux yeux verts... Un sourire vers Bralic...
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