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[RP] Le Palazzo

---fromFRLe Rouquin
De parfaits incapables. Tous !

Le ton est rude. Nicolas n’élève pas la voix, il n’en a pas besoin. Une autorité nouvelle, acquise de haute lutte y transparaît et personne n’ouvre la bouche dans une tentative de plaidoirie.
Etrangement, le bout de leurs bottes devient soudain un spectacle des plus captivants.
Les trois gardes présents sentent le courroux du rouquin se déverser sur eux. Il en a laissé deux à la porte, dûment sermonnés.


Que croyez vous donc garder ? un moulin ? ! Personne ne doit entrer ici sans avoir décliné identité et motif à sa venue, personne vous entendez ? ! Même si le roy lui même se présentait devant vous il devrait en fournir le pourquoi.
Vous avez déserté vos postes. Est-ce pour un si piètre service que l’on vous compte chaque semaine autant d’écus ? J’attends de vous bien autre chose, auquel cas vous irez toucher la solde ailleurs sans plus revenir jamais dans les parages.
Est-ce clair ?


Ses crétins ne feront pas long feu, le prochain manquement et ils iront ailleurs quérir travail et salaire. Nicolas ne permettra plus telle négligence. Il referme la porte d’un geste sec, les renvoyant à leur poste avec ordre, cette fois, d’intercepter toute personne. Il y a choses et gens à protéger ici. C’est à ce moment précis qu’un quatrième vint annoncer l’arrivée de... un chuchotement Tu es certain ? Si longtemps qu’elle avait disparue sans que quiconque en connaisse la raison. Il n’avait vocation de se mêler de leurs affaires mais savait certaines choses. Etrange qu’elle revienne justement en ces temps troublés. pensa t’il tout haut en se dirigeant vers la porte.

Elle n’avait guère changée.


Bienvenue La Balafre. Entrez. Vous êtes chez vous. Un temps d’arrêt, il hésite, songe au temps passé, ce qu’elle ignore de la situation, ce qu’elle a pu apprendre, que faut t'il dire ? ou taire ?... il se résoud à parler, Marlowe’s n’est pas là. Il a laissé un message que je devais transmettre à Mara et Lithian, il vaut sans doute pour vous, ils sont partis pour la ruelle de l’antre. Il sera heureux de votre venue.
Il y aurait tant à dire. Oui tant. Mais les siens s’en chargeront.
Il songe toutefois que des siens, ceux du noyau, il n’en reste guère...

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Rhuyzar
Lentement il la lâche et se recule, pour la laisser parler, expliquer la tactique, ou du moins le semblant de plan pour ce qui s'annonce être une boucherie sans nom.

Certains sont déja partis, il sait que bientôt ce sera leur tour, craint cet instant, se replonger ainsi dans un univers, des sentiments, des émotions qu'il pensait avoir laissés derrière lui...

Il l'écoute, d'une oreille distraite, pas très compliqué, juste dangereux, il va falloir faire gaffe et rester soudés malgré la possible étroitesse de l'endroit. De sa main droite il tâte le pommeau de son épée, perdu dans ses pensées, dans ses souvenirs...

Elle semble avoir fini, attend quelque chose, un signe ? Une réponse. Il hoche la tête, il a compris ce qui allait se passer, affronter une dernière fois peut-être ce passé qui le ronge...

Il regarde autour de lui, retient un rire, malséant à ce moment précis et tourne les talons, trop de monde dans cette pièce, trop de pensées qui affluent, une bête qui renait...

Il devine déja ce qui arrivera, ce monstre en sommeil qui n'attend qu'une danse pour ressurgir. Violence, rage, sang... Ne pas lui montrer ça, ne pas être un poids dans ce combat qui doit sonner la libération de son amie. Il s'éloigne du groupe, besoin de solitude, il les attendra dehors et les suivra...

Une petite voix dans sa tête, celle de la bête qui s'éveille, qui sait que bientôt son heure sonnera.

Le loup tremblerait à l'approche du combat ? Voila pourtant l'occasion parfaite de te montrer, toi et tes talents de mercenaire. Tu te souviens ? C'était bien avant, l'odeur de la mort qui te suivait chaque jour, cette ivresse sur le champ de bataille, cette peur que ton nom inspirait, le Tourmenté, chuis pas sur qu'il t'allait très bien, hi hi hi !

Son poing fermé se crispe, vient s'abbatre avec fureur contre un mur, il crie, repousser l'intrus, le faire disparaitre, avant de se rendre compte qu'il n'a pas hurlé que pour lui-même

Silence !

Des regards surement, peut-être, il n'en sait rien et ne veut pas le savoir, sortant d'un pas rapide du bâtiment pour patienter dans la ruelle et calmer ses nerfs à vif.
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---fromFRLithian
Du mouvement s'effectuait. Mange-rats passa. Qu'était-il venu faire ici ? La dernière fois qu'il l'avait vu c'était à Notre Dame, il avait fui rapidement derrière Aliénore. Peut être que la gamine serait là également. Les chemins se croisaient souvent entre les gens de la cour. C'était un petit monde, voilà tout.

D'autres sortirent également. Visages connus. Deux du moins. Le premier, blafard comme à son habitude. Impossible de ne pas le reconnaître. Sa démarche également, si... pittoresque. Le deuxième, de gris vêtu. Le Gris indéniablement. Il était en meilleure forme que la dernière fois où ils avaient fait un bout de chemin ensemble. Heureusement. Le troisième. Inconnu mais il semblait que ce soit un ami.

Les trois étaient armés. Leurs visages étaient fermes et s'orientaient sans faiblir. On aurait dit des chasseurs. Mais que chassaient-ils ? Les suivre doucement. Sans bruit.

Un dernier coup d'oeil pour le Palazzo. Les gardes avaient repris leur place. Où étaient-ils allés resterait un mystère. En tout cas, ils avaient commis une faute. La réprimande que Lithian vit perché en haut de son toit le montrait admirablement. Le rouquin avait été clair. A peine le temps de refermer la porte qu'une rousse s'arrêta devant. Les gardes avaient bien compris la leçon semble-t-il. Un d'entre eux alla quérir ce pourquoi la dame venait à une vitesse folle. Impossible de voir son visage, seulement son dos et sa chevelure rousse.

A nouveau la porte s'ouvrit, une nouvelle tête, encore. Mais que ce passait-il ? Sans même regarder les gens qu'il croisa, ils traversa pour se retrouver dans la ruelle. Énervé, pleurant, criant, réprimant ? En tout cas, il n'avait même pas vu la chevelure rousse qui se balançait à l'écoute du rouquin. Étrange.

Lithian hésita. Suivre Marlowe's et le Gris ou alors continuer à surveiller le Palazzo qui, soudain s'agitait. Il attendrait encore un peu. Puis si le calme venait, il irait retrouver le livide. Les toits méritaient au moins ce détail, ils permettaient d'aller vite.
---fromFRCinharis
Dernier hochement de tête, le lieutenant regarde le capitaine s'éloigner, attendant qu'il disparaisse à la vue. Puis tourne les talons, jetant un bref regard à Asermath. Marchant lentement, tous deux se dirigent vers l'entrée du Palazzo, dégageant chacun leur épée à la vue. Droites, légères. Epées de cavaliers, à la garde portée décalée et baissée par rapport à la normale, permettant plus de mouvement.

La démarche n'a plus rien de discret, on occupe l'espace. Lieutenant en tête, sergent en arrière, sur sa gauche. Les deux hommes s'arrêtent en face de l'entrée du Palais, face aux gardes à qui Cinharis adresse un rapide signe de tête, paumes ouvertes. Puis se posent à côté du mur, en face, détaillant la cour et ce qui se trouve à l'intérieur. Apercevant plusieurs personnes.

Le lieutenant s'attend à trouver d'autres soldats, Licorneux apparemment, quelques Couriens. Et Libertad. Une ombre au-dessus d'eux passe et s'estompe, en réponse sa main glisse vers sa dague, ne la dégageant pas. Pas encore. Il va peut-être aussi retrouver sa demoiselle, voir ce qu'elle devient, et ne pourra pas l'accompagner. Lorenz. A ses ordres donc, directs et sans la lâcher.

Devant l'entrée se trouve une autre dame, sa chevelure rousse battant au vent. La leur est brune, sera sans doute accompagnée par une blonde. L'attente commence, mais sera courte, apparemment. Le lieutenant glisse une main dans ses cheveux, redescendant le long de sa joue pour aller gratter sa barbe, vieille de plusieurs jours. Peut-être semaines. Grognement de dépit, il se saisit d'un court morceau de chique et commence à le mâcher, ses yeux verts continuant à balayer les gens présents, et qui ont le bon goût d'apparaître à sa vue. Contracte une jambe, la relâche. Coup d'oeil au sergent, vert, un voile noisette, pour la bonne humeur.

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Cinharis In Ered Nimrayan
---fromFRBralic
Le Vicomte se rapprocha de son groupe alors qu'Ilmarin expliquait qui ils allaient affronter. Lui n'écoutait pas, il s'était déjas renseigné avant de venir sur le petit peuple de la cours.

Les choses avaient changées depuis sa derniére visite, mais le bordel était toujours le même. Absence de pouvoir stable conduisant à une gueguerre sans fin entre groupes tous plus pathétiques les uns que les autres.

Et puis.... son esprit était attiré ailleurs... vers une odeur. Trés faible... un parfum de jasmin... Une odeur lui rappellant un corps... un dragon... une ange tombée sur terre...


Ange'...

Son attention fut à nouveau attiré par Ilmarin, le tirant hors d'un réve nostalgique. Quand elle eut fini, il vint se placer entre Kratos et Aldé, tournant la tête vers une porte close d'où semblait lui parvenir cette odeur.

Dites les gars, je sais pas pour vous, mais je trouve que niveau hospitalité, les bonz de chez Libertad, c'est zéro, voir moins.... Non seulement ils disent pas bonjour, ils se présentent pas, ils offrent pas à boire et rien a becter, ils vous embrigadent dans une expédition punitive pour sauver un de leur potes.... et tout ça en nous dénigrant sous prétexte de noblesse comme si vivre tous les jours le cul vissé sur un tas de merdes puantes les rendaient supérieurs....

Et c'est des types comme ça qui sont contre toutes formes d'autorité et de supériorité... niveau anarchisme ils repasseront, je pourrais leur donner des cours...

'tain, j'ai connus des nazbrocks de nobles qui semblaient avoir moins de manches à balais dans le fondement... Aprés ils se demandent pourquoi on a envie de cramer leurs cahutes en peau de chévres avec un comportement comme ça.... je me demande bien ce qu'Ilmarin et Sélène peuvent leur trouver. Moi j'ai envie de leur distribuer des baffes au kilos et je suis même pas là depuis une plombe. C'est dire, ces types me portent autant sur les nerfs que ces gros nazes de la Diéte Impériale, ils ont la même façon d'agir et de regarder les gens de toute la hauteur de leurs talonnettes...
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
---fromFRLa Balafre
L'attente ne fut pas très longue avant qu'un jeune rouquin passe la porte. Il lui semble bien l'avoir déjà croisé, mais où? Peu importe, le temps n'est pas aux souvenirs...
Un signe de tête et elle l'écoute avec attention. Il semble que malgré sa longue absence, elle n'ait été oubliée, voilà qui la rassure un peu.
"Vous êtes ici comme chez vous.", elle n'aurait pu rêver mieux. Ces mots résonnent dans sa tête, Libertad son toit!
Des milliers de questions fourmillent dans son esprit. Pourquoi le jeunot ne fait référence qu'à Marl et Mara? Où sont les autres? Qui est ce Lithian? Et Sélène ?...
Elle est partie depuis si longtemps...


Merci de m'ouvrir les portes si facilement, je ne pensais pas être reçue si bien. Je vais de ce pas rejoindre le funambule, mais pour cela il faudrait m'indiquer où se trouve cette antre. Elle fronce un sourcil et prend un air interrogatif. Et d’ailleurs, nous parlons de l’antre de qui au juste ? Encore un nouveau lieu de ralliement ?

Dans l’attente d’une réponse, elle ne prête aucune attention apparente aux diverses personnes qui lui sont passés à côté, mais reste vigilante quand à la suite des évènements.
Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle est enfin chez elle, lavée du poids d’une vengeance qui lui dévorait les entrailles. Aujourd’hui elle n’a plus qu’un seul but : Les retrouver, et se battre à leur côté !

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La vie n'est pas simple, la mienne l'est encore moins...
Aldebbarant
Encore un combat futile, une guerre sans interêt auquel va devoir participer Aldebbarant. Alors qu'il écoutait les précisions sur les In Tenebris d'une oreille distraite, il se disait en lui même "tous les même gros méchants vilain pas beau incapable de se battre autrement qu'en groupe, encore des masturbés de la dague incapable de se battre ailleurs que dans la fange".

Puis ce fut Bralic qui prit la parole et la le sourire lui revint, son ami était comme à son habitude cassant, direct et il tapait juste


En effet pour seul bonjour j'ai eu droit à une lame sous la gorge, en revanche y'en a un qui s'est présenté avec CV et tout hein, si si, bon certes c'était semble t'il dans l'intention de m'inquieter mais bon....

Moi ce qui me fait doucement rigoler c'est que d'un coté ça crache sur la noblesse mais de l'autre ça devient noble, regarde Selene qui se dit libertadienne et qui est maintenant vassal de ce blaireau de Nakuneuil? regarde Ilm qui va épouser Rhuyzar

leve les yeux au ciel

J'aime les gens qui ont deux discours.....

soupire avant de regarder aussi la porte d'où s'échappait le doux fumet.

Ca donne faim cette odeur et soif aussi, depuis le temps qu'on déambule dans la crasse, je boirai bien un coup moi
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"La gloire s'acquiert en faisant ce qui mérite d'être écrit"
---fromFRKratos71
Voyant son lieutenant commandeur se mettre à ses cotés, Kratos l'ecoutait attentivement...puis ecoute Alde uminer tout autant sur les personnes presente...

Comme vous le dites...Très acceuillant ces gens...C'est même limite si je prefere pas l'acceuil que me reservent ces maudits bretons...Enfin, on vas pas non plus leur demander de nous offrir a becter...en plus je reste persuadé que si ils le fesaient, ils seriaint bien capable de tenter de nous empoisonner...

Quand a leur rejet d'une société noble...je suis franchement du même avis que vous les gars...ils se foutent bien de notre gueule...certain sont autant noble que nous...enfin bon, le jours où ils se serviront de leur tête, hein...


Pousse un long soupir, se demandant bien ce qui l'as poussé a intervenir en de tels lieux... alors que rien ne l'y obligeait...a croire que le jour où il avait accepté d'accompagner Rhuy, la folie c'était emparé de son esprit...Enfin sitôt cette mission terminée, les couriens devraient être heureux, ils ne seraient pas près de le revoir de sitôt...
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Au bout du chemin...
---fromFRBralic
Un CV ? houa, c'est inespéré ça.... ça veut dire qu'il y en a qui ont su faire autrechose de leurs vie qu'espérer changer le monde en gueulant inutilement ?
j'imagine bien le truc... "empalmeur pour la guilde du canard vert de 1438 à 1448, promus chef de bande en 1445, racketteur de petites vieilles de 1448 à 1450...."

Par contre j'l'aime bien Nak', je sais pas pourquoi, mais je l'aime bien... et tu sera gentil de pas dire du mal de Sélène... quand à Ilmarin.... c'est vrai qu'elle va devenir vicomtesse... la pauvre, elle va se faire descendre en flammes par ses potes, elle va perdre ses repéres et elle va finir par entrer à la Licorne pour se trouver une nouvelle famille.

Un éclat de rire fusa tel une flêche.

Faut avouer que les bretons, eux, au moins, ils ont des crêpes et du chouchen...

se tournant vers Aldé, le vicomte prit un air conspirateur et lui murmura à l'oreille.

chiche qu'on les laisse se démerder tous seuls face à leurs potes couriens. On assome Ilmarin, on prend les paris sur qui gagnera et on fini les survivants.... et quand elle se réveillera, on fera croire qu'elle a été frappée par derriére et que tous ses potes sont morts massacrés par les méchants...
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
Aldebbarant
éclate de rire en entendant le CV imaginé par Bralic

Ben moi Nak je peux pas trop le sentir étonnement, Selene j'ai pas dit de mal, j'ai juste dit qu'elle était devenue vassal de l'autre borgne et pour Ilmarin, oui elle va se faire exclure si ils sont vraiment anti noble mais bon je sais pas pourquoi, je sens qu'ils sont anti nobles uniquement quand ça les arrange et pour essayer de faire les terreurs de bac à sable

Pour le Bretons je connais pas, mais les Champenois j'aime bien l'hospitalité de leurs caves, ça faisait plaisir de boire en fut après l'attaque de Reims.


se penche vers Bralic et lui murmure
pas de probleme pour moi, je prends les paris sur les IT et pour ce qui est d'assomer Ilm, je te laisse faire t'as plus d'experience que moi en ce domaine

sourit avant de de donner un tape amicale à Bralic et à Kratos
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"La gloire s'acquiert en faisant ce qui mérite d'être écrit"
Ilmarin
Son Loup qui se détache. Autant lui arracher le coeur, ça irait plus vite. Il s'éloigne. Elle devine qu'il a besoin d'être seul, que le goût du sang est pas la meilleure chose dans sa bouche, sous peine de réveiller quelque chose qu'elle a voulu tuer par le passé pour qu'il vive...
Ses pas allaient la mener dehors quand les Licorneux commencent à râler. Son sang bout de plus en plus en les entendant... Bon...


sssssSSSSSWWWWWIIIIIIIIIIIIIIIIIIIT !

Bon! C'est fini les pucelles oui? Fini de geindre?Vous voulez pas non plus le tapis rouge et les verres de vin?

Elle serre ses poings rageusement. Une phrase d'Alde la blesse... Elle lui colle une taloche derrière la tête, toute fatigue et tout doute chassés provisoirement.

Alors là, tu me vexes...Tu crois vraiment que je n'épouse Rhuy que pour son titre? C'est ce que tu crois? C'EST CE QUE TU CROIS? Toi qui sait nos liens depuis tout ce temps!! T'as bu ou quoi? Putain fais pas chier concernant Rhuy, tu sais très bien que je supporte PAS!!

Oui, sa voix hausse... De plus en plus... La colère mais surtout la douleur de ces propos concernant celui qu'elle aime...

Qu'est-ce que tu murmures encore toi? C'est quoi votre plan foireux? Je vous oblige pas à rester! Je suis ASSEZ GRANDE pour risquer ma vie seule!! Et si leur amitié s'arrête à un titre que je NE RECHERCHE PAS, alors vous aurez raison. Mais MOI JE SAIS QUE C'EST PAS LE CAS!!! Je mourrais pour eux! Si vous avez un problème, allez les trouver mais BORDEL NE BAVEZ PAS SUR EUX!!!

Elle s'énerve, son souffle se raccourcit, sa gorge la brûle, ses poumons s'enflamment... Ca promet pour la guerre...

Et je compte bien tenir cette baston avec ou sans vous, avec ma mort sur votre conscience ou pas, RIEN A FOUTRE!!!
Alors vous faites pas chier, vous sortez vos putains d'épées, vous serrez vos putains de fesses avant que je vous botte vos putains de culs si fort que vous serez les premiers sur la Lune!!!

VOUS AVEZ CINQ MINUTES POUR ETRE DEHORS SANS MOUFTER COMPRIS?????

Collant trois taloches à chacun des raleurs, elle sort en claquant furieuse des bottes, cherchant à se calmer avant de le rejoindre. La tension encore dans sa voix, ses mains tremblant de colère et d'impatience, elle s'approche de Rhuyzar sans bruit, se serrant contre son dos...

Mon ange.. Que se passe-t-il... Parle moi s'il te plait... Profitons de ces quelques instants s'il te plait...

Une inconnue dans les lieux. Elle la suit du coin des yeux... Se présentera plus tard. Juste lui. Uniquement lui. Avant le sang, les défis et la mort...
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---fromFRBralic
le Vicomte reste interloqué quelques secondes avant d'exploser de rire.

Elle frappe toujours aussi mal la gamine... y a pas à dire.... par contre, sa gueulante, chapeau bas, on dirait moi... en plus fleur bleu... Qu'est ce qu'elle t'a mise mon gros Aldé...

Glisse sa main sur son visage pour essuyer une larme de rire à l'aide de son gantelet de cuir, puis extirpe une flasque d'acier de son manteau pour la tendre à son vieil ami hospitalier.

Tiens bichette, du 'sky 10 ans d'age, je le fais importer directement d'Irlande. C'est pas ces pécores qui pourront t'en offrir de l'aussi bon... Déjas qu'ils offrent rien... 'fin bon, on est jamais que de vilains nobles et d'immondes chevaliers plein de pognons et de titres gagnés à la sueurs de nos fronts et de nos muscles noueux alors qu'eux ils en sont réduits à attaquer les marchands pour se faire trois sous.

donne à son tour une grande claque dans les dos de ses compéres et s'élance gaiement hors de la maison, se retournant sur le parvis pour faire signe à ses amis de se déployer en formation serrée.

Bon, allez les pucelles, si on allait sauver les miches du copain des gentils malheureux libertadiens obligés de vivre dans un trou sentant la mort. Copain prisonnier des griffes cruelles et velues des gros vilains sectateurs buveurs de sang avec un nom ridicule...

Hahue !
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"N'est pas mort, ce qui à jamais dort." disait Lovecraft. Rassurez vous. Bralic ne dort pas et ne dormira plus jamais tant il est ardu de trouver le sommeil avec un dos transpercé de 37 coups de couteaux "amis".
---fromFRDante du Ciel Azur
Lui tirer a l'arc ? Sa c'est le boulot de Tata Ôka hehehe. La vieille peau d'Ambassadrice était excellente archer enfin... Dante tire comme une brouette. Il se demanda si en suivant l'Epervier qui irai chercher les arcs, il pourrai chiper une rapière discrètement... Mais la question se pose... A t il le vertige ? Dante ne le savait pas car monter sur un toit n’était pas une chose qu'il avait essayé. Il verra bien et prendra sur lui si c'est le cas. L'Epervier ne bougea pas ses fesses, demandant a Lorenz la direction, Dante l'attrapa par la main et partit parcourir rapidement le Palazzo avec l'Epervier, riant aux éclats, ouvrant des portes, se heurtant a certaines closes... Un jeu, drôle et amusant, comme avant quand il parcourrait seul la Cour. Apres quelques minutes de course, le souffle haletant, il trouve...

"Vas y l'piaf, prends ce que tu as a prendre !"

Les murs avaient des rangées ou bon nombre d'armes y étaient entreposés. Ses yeux azur cherchèrent son bonheur, ils trouvèrent rapidement la rapière avec son fourreau en cuir.... Dante regarda en premier la garde de l'arme pour savoir son origine. C’était une garde italienne, celle qui trouvé le plus a son goût. Il prit délicatement l'arme et la sortie de son fourreau pour observer la lame tranchante. Il a déjà hâte de la manier. La dague du gris en plus cela lui conféra un avantage. Une dague sans fourreau ne lui plaît pas alors il chercha un fourreau qui conviendrai a la lame pour l'attacher sur son flanc droit, a l'opposé de la rapière. Il trouva rapidement et se lança de nouveau en recherche d'une arme, celle de Cal. "Une épée avec un manche en cuir". Au petit bonheur la chance il trouva une épée qui correspondait mais peut être était ce une autre ? Mais c'est la seul arme avec un manche en cuir ici alors... Le gamin prend la lame qui se trouvait dans un fourreau et l'attacha sur son dos. Bien équipé a présent il se tourna vers l'Epervier.

"Bon je sors du Palazzo le Piaf. On se retrouve sur les toits. Hum... Bonne chance."

Dante lui balança un grand sourire mélancolique et sortit de la salle pour sortir de cette endroit...
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Aldebbarant
Après la harangue d'Ilmarin, Aldebbarant reste interdit quelques secondes avant d'éclater de rire. Reprenant difficilement ses esprits il attrappe la flasque que lui tends Bralic

Merci, je vais en avoir besoin après sa gueulante. Decidemment elle me plait.... aaah

boit un coup

merci mon grand

lui rends la flasque

J'adore quand elle rale de sa petite voix qu'elle essaye de faire puissante, c'est très mignon.
Sinon, le coapin qu'on doit sauver, c'est une copine d'après ce que m'a dit Ilmounette et elle est rousse, je pensais ce détail interessant pour toi mon Bralic


sourit et commence à marcher pour rejoindre le groupe en faisant signe à Kratos de pas trop trainer derriere.
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"La gloire s'acquiert en faisant ce qui mérite d'être écrit"
---fromFRAlvera
Manger, boire ... Enfin. Elle déambulait dans les rues crasses, butait dans les pavés disjoints, trébuchait à la moindre occasion. Son corps était comme démantibulait, doucement, prenant tout son temps, la crise prenait le dessus.

Vas t'en il a dit oui oui

manges, bois et vas t'en

sale rat !

ça veut pas de toi dans sa maison non non

ça veut garder tout le manger pour lui

oui oui

mais ça paiera


Les rues s'enchaînent, une, une autre, encore une. Toutes pareil, toutes la même odeur fétide. L'air poisse autour d'elle comme les jours où là bas, au loin, elle luttait pour dormir les nuits d'orage. Le nez au sol, elle avance, marmonante et hystérique. Tics et déformations, déformations et tics. Son corps tressaute et se rebiffe, aucun contrôle. Quelqu'un la percute, elle hurle son dégoût. Tant pis marcher encore.

Ca veut pas que tu dormes non non

ça veut que toujours tu cours oui oui

mais ici trop de monde

ici trop de monde

trop de monde

trop de monde


Encore une venelle putride, encore un endroit d'où l'on ne voit pas le ciel. Des gens partout autour d'elle, la folie la suit, la précède. Trop de monde dit sa tête encore, encore, encore .... Elle se met à courir, il faut fuir. Petite, maladive, elle se faufile, elle tente au possible d'éviter tout ces gens. Elle trébuche, percute une âme perdue ... tant pis laisser filer l'esprit, le peu de raison qui la fait avancer.

Ca doit pas te toucher !

Courir plus vite, se cacher. Une entrée, une grille ouverte, elle s'engouffre. Sans regarder, elle avance au plus vite, à perdre haleine. Le choc, des corps chauds partout autour d'elle. La folie a gagner cette partie, la raison est retournée voir ailleurs ......... Elle tape, cogne, hurle, se débat. Une femme ... qu'elle crève.

Vous pas me toucher non non

Sale vermine oui oui

toi la femme mourir pour moi oui oui

laissez moi repartir ...........

toi mourir aussi oui oui

toi aussi tous !

PAS ME TOUCHER

Gnyéééééééééééééééééééééééééééééééééééééé

NOOOOOOOOOOOOOOOOoooooooon

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