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[RP] Le Palazzo

Meremathilde
Finit d'ramasser la tablée, de récurer écuelles et gobelets en faisant l'plus de bruit possible pour pas entendre le vacarme extérieur... Sauf qu'elles s' font insistantes les p'tites oies, surtout que la volée d'ailées s'ramène en renfort. L'odeur de roussi lui pique le groin. S'sentant pas trop concernée par c'te chamaillerie, décide d'apaiser sa soif en allant faire p'tit tour dans un bouge d'la cour. Tant qu'à y être, autant visiter.

Toute façon pas c'soir qu'elle aura entretient privé avec la lumineuse et sa muse rasée. S'éclipser, elle veut bien mais comment? S'dandine caboche pour trouver solution quand l'idée lui vient. Grimpe sur le comptoir d'la cuisine, ouvre la fenêtre.. S'ra pas simple d'y passer son large fion. Tente le coup avec réussite, avant dégringoler cul par dessus tête dans la neige. Se secoue un brin, longe le mur en catimini puis fait signe au garde aperçut lors de son arrivée.


Ptss! Ptss! Mon costaud... J'suis qu'une boniche moi, pis l'chamaillage, j'ai plus l'âge d'y participer. Escorte-moi donc jusqu'à la sortie la plus proche, doit bien y avoir autre ouverture dans ces grillages nop?

Suit l'rustaud qui l'aide à s'tailler vite fait. Ni vue ni connue... La vieille s'éclipse en douceur. R'viendra faire le ménage, ramasser les restes quand l'temps s'ra venu.
Azzera
Sœurs entres sœurs.

Le spectacle des retrouvailles de l'apprentie avec sa marraine serait émouvent s'il se passait en d'autres lieux.
Pas le temps de penser... Azz se relève, les brûlures lui font mal aux cuisses et que dire de la fumée... pourtant, elle n'a pas le temps de se faire une protection respiratoire... Rebaille est là...
Le feu semble s'étendre, un arbre, puis le palais lui même... pensée furtive en imaginant le palazzo dévasté par les flammes.... sourires esquissés.

Sort son épée et s'en sert comme d'une canne pour aider sa sœur meurtrie à se lever

Le regard d'Azz ne prend pas garde à la proximité de la libertadienne tant l'état d'Alandrisse et inquiétant... soudain, elle se souvient de la fiole que Dragonet lui a donnée un peu plus tôt, quand elles n'étaient pas encore arrivées dans cet enfer.

Elle fouille ses poches prestement, et là... elle trouve le flacon, protégé sans doute par la terre fourrée dans ladite poche.
Retire la petite bouteille et un peu de terre sableuse.
L'ouvre et la pose sous les narines d'Alandrisse, jusqu'à ce qu'elle respire ces sels dont Azz ne connait rien... à ce moment, celle-ci crie de façon inaudible


Azz... Baile.


Azz releva la tête, pas le temps de prendre des nouvelles du regard... Jades attendra...
Elle se redressa, lentement... observant cette femme de haut en bas... alors la voila donc, leur soeur... hum... ancienne soeur ... à qui elle devaient leurs présence ici... Regards sans émotion aucune, lèvres serrées, respiration lente...

Les mains de l'apprentie lancent la terre dans les yeux de Rebaile, voulant par là même l'aveugler un instant... Ce qui ne manqua pas d'arriver...

Juste le temps de prendre son épée en main et la voila prête ....

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Ayerin
[Sentinelle sur un toit pentu]

Mortecouille!
Que m'emportent les Mânes sur le champs, si je rate a nouveau mon aut'tir !


Bras tendu toujours en visé.
Avec en prime un sourire qui s'dessine, lèvre supérieure gauche qui s'étire afin de marquer l'annoc'ment de sa satiété... enfin l'immolée allait être offerte aux Dieux !
Et d'la haut ne cessera de louer son nom que ce soit Ayerin la grande, Locarin la fêlée ou Catherine qui faisait partie de son identité.

Mais ne pas s'égarer, rester concentrer sur sa protégée, douce brunette qui va connaître un grand bonheur dès que cette flèche viendra lécher ses nippes imbibées.
Dernier regard sur son arme, la corde bloquée en position armée, l'index posé sur l'dispositif mécanique prête à libérer le carreaux d'une faible pression, à la pointe enrubannée de tissu et enflammée.
La Gamine retient sa respiration et commence à relâcher doucement la pression de son index quand au gré des vents, venant de nulle part un projectile vint l'érafler d'la joue jusqu'à l'arcade sourcilière. La douleur lui faisant lâcher son arbalète que la môme ne put rattraper a temps et qui alla terminer sa course en bas de sa tour de guet.

Jurons maugréés en sourdine contre ce qui lui fit perdre son arme et mit fin à ses desseins de flamme éternelle... quelle maudite souffrance que cela !
Mains portées à son visage, celle-ci était en sang. Mais Locarin n'aura ni l'temps de rechercher l'auteur de cet acte, car une douleur à l'épaule la fit hurler de douleur …


ARGHHHHHHHHHH !

Et se retrouva à g'noux sur le toit pentu à râler comme un beau diable !
Sa vue troublée par le premier coup et cette horreur plantée dans son épaule la fit s'affaler sur le dos sur c'toit recouvert d'neige naissante. La môme avait beau lutté et tenté de garder les mirettes ouvertes, elle partit en vrille et perdit connaissance pour un temps …
Quand ses mirettes s'ouvrirent à nouveau, un goût métallique en bouche, l'carmin d'sa blessure au visage ayant coulé dans la gorge,... mais ce qui lui rappela qu'elle n'était point morte et prête a passer les portes d'l'enfer c'était cette putain de douleur que la flèche toujours bien plantée dans son épaule gauche et non ressortie lui filait comme martèlement et meurtrissure jusqu'à lui bruler les chairs.
Elle se releva péniblement, s'trainant sur les g'noux vers la cheminée. Elle savait qu'il lui fallait retirer cette flèche de son épaule sans plus tarder. Sa tête lui faisait mal, sa vue troublée par sa blessure. Elle crut discerner d'la fumée sortant d'un des vantaux du Palazzo mais n'pouvait dans son état comprendre ce que cela signifiait.

Vision, réalité !
Tout s'embrouillait sous ses tifs.
Sa respiration était lente.
La gamine tentait de remettre de l'ordre dans ses idées, autant qu'elle le put.
La flèche !
Cette putain de garce qu'elle devait déloger allait être son prochain cauch'mars. Elle devait se l'ôter, nul autre ne pouvant dans l'instant s'en charger. Prendre enfin la décision... celle qui lui semblait la meilleure. La gamine posa ses deux mains sur la flèche et après maintes inspiration se décida à l'enfoncer plus profondément dans ses chairs afin que cette pointe ressorte.


PUTTERELLE !!!!
Résidu de basse fosse!


Cracha t'elle,...
Sa respiration devint plus rapide. La douleur plus intense. Mais il lui restait a briser cette pointe, mais droite en contact avec celle-ci, la brisa d'un coup sec, jurons lâchés en salve et se devait après cela retirer définitiv'ment celle-ci de son épaule. Mains à nouveau posées sur cette plume diabolique et lentement retira en hurlant son mal cette chose de son corps.

Visage en sueur, sang mélangé, grimace qui s'étire sur sa trombine en sang... "Lance, lance, danse, danse mon mal,... je vais devoir te terminer!"
Prend l'une de ses dagues accrochée à ses bottes, brule la pointe à cette torche toujours plantée dans c'trou d'cheminée qui lui sert de refuge. Ote son bras meurtri de son mantel, arrache sa chemise et à chaque extrémité se crame la viande, afin que cesse coulée d'carmin et referme les orifices, au moins pour un temps... le temps que vienne des secours, les Libertadiens étant une famille... enfin c'est ce que son esprit délirant s'imaginait... un pour tous, tous pour un, mais chacun pour soi ...!

Soyez maudits !

Mais elle était là, la môme, elle était encore là, du moins jusqu'à ce que ces Oies s'cassent … après que tout brule, c'n'était plus du tout son affaire …
Fumée ou pas, que l'palais crame ou pas, vision ou réalité car cette fumée qui sortait de cette fen'tre l'enveloppait plus encore, n'avait à ses yeux plus d'importance, elle était là pour Elle et ceux qui les soutenaient et c'est tout c'qui comptait ...!

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Kalimalice
Kali s’étonnait que la Rebaile ne la voie pas, occupée avec Jades et Azzera à détacher Allandrisse .Peut être que le scribe faisait ombrage à la gardienne qui ne manqua pas de se précipiter pour la relever

.Rien ne pouvait arrêter kali ni la donzelle sur le toit qui enflammait ses sœurs offertes comme des sacrifices, elle en était même à souhaiter que leur palais brule et que toutes ces raclures soient prises aux pièges comme des rats.

Jamais la dame d’Allanche n’avait eut une telle haine que ce jour dans cette cour des miracles ou plutôt enfer car même sur les champs de bataille, les soldats avaient du respect pour leurs ennemies et ne les torturaient pas.

.Jades était un peu sonnait, le feu lécher ses braies .Elle défit sa cape et se mit à taper sur les flammes .très vite sa sœur repris ses esprits et les flammes cessèrent de caresser ses jambes Une fois Jades remise sur pied, elle regarda la Baile au fond des yeux.


Si je peux je te tuerai moi même, mais je ne veux pas enlever à Jades ce plaisir
Soies maudite toi et tes libertad


Lestement elle fila en direction d’Azzelie trainant Brad, et vient lui porter aide, elles ne seront pas trop de deux pour la mettre sur un cheval
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kalimalice.....
Finute
Flammes qui s'éveillent, la jument surprise commença à se mettre sur ses pattes arrières manquant de faire tomber sa cavalière.
Reprenant les raines de son cheval, Ela la calma en réalisant quelques tours sur place, regardant à droite et à gauche d'où pouvait provenir cette flèche enflammée. Maudite soit-elle !

Mains qui attrapent Flèches et arc... c'était au tour des archères de jouer, les soeurs avaient besoin d'elles.
Haine, une soeurs se roulait dans la neige pour éteindre le feu qui commençait à l'engloutir. Respire.... Odeur de carbone, odeur nauséabonde.... Arc qui se met en place en direction d'un adversaire.
Froncement de sourcils, l'arc se tend, flèche en position.
Les flammes dansaient devant ses yeux, mais ses soeurs avaient besoin d'aide. Brad et Azelie avaient besoin d'aide à ce moment présent.

Qu'elle rentre blessée ou pas, cela lui importait, le principal est qu'une de ses soeurs aille bien...

Loges-toi dans un endroit qui puisse l'immobiliser quelque peu...
Plissement des yeux avant de relacher son étreinte sur sa flèche et que cette dernière file droit vers l'homme qui retenait Brad et Azelie...
Préparation d'un autre flèche dans une même direction...

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Rebaile
Arrêt brutal d'vant la dame blanche au sol.
Son nom lancé, main tendue vers elle.. S'croirait rêver la baile, si l'épée qu'elle serrait fort ne commençait à lui faire mal à la paume.
Pourquoi l'appelle-t-elle? Croit-elle qu'elle va céder à sa voix affaiblie?
Impossible...
Non elle n'est pas un démon, la baile, quoi qu'en pensent certains, et malgré la violence qui s'était révélée en elle et dont elle peut faire preuve encore.
C'est Nanny qu'elle voulait, et la jeune fille au sol, qu'elle connaissait un peu, n'aurait jamais dû s'retrouver ici.
Pas plus qu'Azzera d'ailleurs, dont elle perçoit un mouvement à ses côtés. Tourne la tête vers elle, mais n'voit pas la boule de terre et de neige qui éclate sur son visage et dans ses yeux, l'aveuglant le temps d'pousser un juron et d'se nettoyer le regard.
Fixe la jeune femme, prête à se battre. Jeune, oui, à peine dix-sept dix-huit ans, comme Alandrisse à ses pieds. C'est quoi, ces gamines envoyées à l'assaut du Palazzo, alors que la venue d'une seule dame blanche, la seule qui importait en cet instant, aurait suffi à éviter beaucoup d'choses!

C'est Nanny que je veux! Retournez d'où vous v'nez, et dites-le-lui!

Réalise qu'elle vient de penser à voix haute, et s'jette sur l'apprentie qui la r'garde avec surprise. Non elle n'est pas folle, la baile. Tourmentée peut-être, et alors? C'est sa réalité, qu'elle plaise ou pas, et son épée s'abat de toutes ses forces sur Azzera qui pare, tant bien qu'mal, cette attaque de colère.
L'est pas une combattante aguerrie, l'apprentie face à elle, et la baile le sent. S'acharne alors pour la désarmer et l'envoyer derrière les flammes comme elle l'a fait avec Jades.
Mais elle résiste encore, et l'impatience grandit en elle. Porte une nouvelle attaque frontale qu'Azzera esquive elle ne sait comment. La jeune fille lui répond en se ruant sur elle, épée en pointe. Pare le coup, la baile et d'un geste rageur et sec, réussit à faire lâcher prise à la dame blanche.

L'épée vole à quelques pas de là. Et tout se passe très vite.
Azzera se jette littéralement pour la saisir, main en avant, et la baile abat son épée pour l'empecher de saisir la sienne.
Un cri inhumain déchire l'air et ses tympans. R'gard vers le sol neigeux qui commence à rougir. Un doigt, c't'un morceau de doigt qui colore la neige de rouge, et la jeune dame blanche se tient la main en criant de douleur.
Une lassitude immense s'empare de la baile et elle plante sa lame dans le sol moelleux.

Va-t-en Azzera, va-t-en.
Lève-toi et prends Alandrisse avec toi. Dis à Nanny que c'est elle que j'attends, si elle veut éviter un autre bain de sang pour récupérer Mys...


Mais la dame blanche ne réagit pas de suite. Le visage déformé par la douleur, elle regarde sa main meurtrie.

Va-t-en!

Lui lance sourdement cet ordre, jusqu'à c'qu'elle se relève enfin. Un pied sur son arme l'empêche de la reprendre. La baile l'accompagne un moment du regard, et ses yeux s'arretent sur un regard qui la fixe, la haine en débordant. Fixe Kali sans lui répondre, puis se détourne et se dirige vers la grille, près de Mys, où elle se laisse glisser, attendant cette femme qu'elle veut affronter, si Diab ne réussit pas à lui faire rebrousser chemin...

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Dragonet
Personne ne viens , des cris sur le toit, de surprise, de douleurs et encore de douleurs. Il se risque à jeter un oeil et apperçoit Aye se bruler la plaie avec un couteau. A terre, une fleche cassée..

Quelle vilaine habitude ont les blessés de se "soigner" en faisant une autre blessure par le feu. Lorsqu'il y a suppuration certe,pour pas que la gangrene gagne, mais sur une plaie aussi fraiche..c'est ce faire mal pour rien.

prêt 2 mn plus tôt à neutraliser si besoin Aye pour l'empecher de causer des pertes, son etats la place du coté des victimes, et donc cela suffit à Dragonet pour lui venir en aide. Dans toutes guerres, les seules perdants sont les morts et les blessées, et pas tellement les capitaines.

Il l'appelle. Sa voie est ferme, mais elle n'est pas autoritaire, on y distingue une touche de douceur sans qu'il y a de signe de pitié.


Aye, reste pas comme ça, tu va te faire descendre.. Je sais pas si je suis du cotée des gentils ou des mechants, mais je vais pas te laisser tomber. Et je peux te garantir que si dans ton etats tu reste dans la neige allongé, c'est une des morts les plus stupide qui t'attend.. Approche toi de moi que j'examine ça, et m'oblige pas à t'assomer pour te soigner, ça pourrait me tenter.

Tout en parlant, il reste loin du bord, histoire d'eviter une flêche.. pas si perdu que ça.
Bitterly
Seule sur les toits, debout, et puis peur de se faire repérer, se remet accroupie et regarde devant elle un peu sur la droite, la furie aux flèches qui s'apprête à tirer une fois encore.

Et puis se reconcentre sur sa propre situation, ne pas s'faire voir, ne pas tomber et tenter d'avancer, hum pas facile, le toit est enneigé, glissant, pentu, groumph !

Elle rampe presque plutot qu'elle n'avance, gelée comme pas deux à cause de ses vêtements tout mouillés, les doigts qui deviennent tout rouge et qui bougent difficilement à force de se cramponner sur le manteau glacé.

Mais elle avance, peit à petit, gagne du terrain, sur le côté du toit ou elle ne peut voir la Gamine mais ou celle ci ne peut pas non plus la voir ! Elle souffle et fini par s'arrêter, se serre elle même les mains entre elles et souffle dessus pour tenter de leur redonner un peu de vie... Elle aurait dû acheter des trucs pour protéger ses frêles petites mains, comment pourra-t-elle correctement manier sa dague après ca ?
Un juron sort de sa bouche puis elle remonte vers le haut du toit, grimacant à l'effet du froid sur sa main, elle passa la tête et ne voit pas la fille... Fronce les sourcils, regarde mieux, regarde autour d'elle, vérifie encore et la repère finalement, à terre, sur le toit, à terre ?! Se peut-il que quelqu'un ait fait le travail à sa place ?

Une grosse insulte contre le monde franchit ses lèvres.
Mais le corps bouge, elle est au moins en vie, même que soudainement elle se redresse la vipère et qu'un fabuleux cri d'injures en sort.

Un sourire satisfait decrispe le visage complètement gelé de l'Esquire.
Petite fille tu es en vie, petite fille tu es à moi... chantonne-t-elle dans sa tête... Puis se dit qu'elle vire à la folie, se donne une claque pour se remettre d'aplomb et faire circuler l'sang dans sa main et dans sa joue.
Reprend sa progression, manquant de déraper plus d'un fois, se f'sant de belles frayeurs !

Et enfin, là à quelques mètres l'objet de sa vengeance et de sa présence ici !
Mais soudain une voix masculine s'élève non loin d'elle d'ailleurs...
Elle s'arrête net, NON NON NON et NON ! Agir, mais que faire ?!

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Wonderanny
Que de familiarité ! C’est cela aussi de partager la vie intime des chambres d’un… château. Une certaine complicité en ce lien qui les unit. Etoiles scintillantes dans les prunelles de la Blanche. Amusement de ces paroles. Un homme… disparu. Le centre de leurs rivalités….
Haaa si seulement Barbi savait ! Haaa les femmes ! A la fois si complices parfois, à la fois si coriaces quand « ils » sont au centre de leur visée.
La Blanche la sent nerveuse, elle ressent cette soif de vengeance qui talonne la Barbi.
La Blanche se veut désintéressée. En coin, léger, posément, le sourire se dessine.


Et de quel type de baiser veux tu donc m’octroyer ? de paix ou bien…

La phrase ne sera point finie. Le sifflement d’une flèche viendra l’en empêcher. Le trait fait mouche sur un sol qui étrangement s’embrasse en une imparfaite ligne.
Envahissantes flammes, brulantes lueurs sur un sol blafard et glacé.
Stupéfaction, hébétude, accompagnés des hennissements des chevaux et des cris des Dames.

Quelques pas de sabots vacillants, le cheval s’énerve, s’accule sur ses postérieurs manquant d’échapper à la pression de sa cavalière. La Blanche rapidement se penche sur l’encolure de sa monture le poussant vers l’avant.
Danse saccadée pour l’instant en suspens.
Simulacre de calme de l’animal.
Pont des soupirs d’un destrier.
Temps ou le regard se tourne vers elles, ses soeurs. Les dames dispersées se resserrent à présent. Déconcertées un instant par le brulant accueil, elles tiennent à nouveau tête. Actives, réactives, les voilà qui rejoignent le cœur. Sifflements en réponse des arcs emblématiques. La chasse est ouverte, oui ! Pas qu’elle aime chasser… surtout de si frêles proies, mais bon, c’est… la crise.

Fougueux et jeune le destrier ! c’est qu’il n’a pas fini. C’est qu’il recommence l’exercice le juvénile, nouveau pas de bal à la chorégraphie rythmée, affolé par les flammes. Les mains gantées d’avancent à nouveau sur l’encolure, détendant les rênes. L’animal à nouveau tente de se cabrer. Vivement elle pousse la tête du cheval de côté mais le sent vaciller. Comprenant en une fraction de seconde qu’ils vont chuter, elle glisse sa jambe par-dessus l’encolure, pousse violement sur ses bras et saute sur le sol neigeux. Fallait s’en douter, la glissade est assurée et c’est moins une avant de ne manquer de se retrouver à terre devant la Barbi. Roulé boulé évité, la Blanche se redresse et reprend une certaine prestance devant l’ancienne soit disant rivale.

Tout s’est passé si vite ! Paume sur l’épée, fermement serrée, le regard circulaire jauge rapidement les positions.
Le feu, les Libertad, le Palazzo, le toit, la fumée sombre et … Bitter qui joue à l’équilibriste ! Un petit cri de stupeur lui échappe avant de se retourner et de compter les Blanches débout, deux là bas. Deux à cheval qui couvrent de traits le toit. Soit ! Et plus deux. Voir Kali aider Jades à se relever, et encore deux de plus. Bingo !
Lancer un regard en coin à la Barbi surveillant ses mouvements puis revenir sur celles blessées… Arrêter le rencensement pour apercevoir Azz qui tient tête à la Baile avant d’entendre un cri déchirant.
Le temps est suspendu. Le coeur s'emballe.
A voir la posture de l’apprentie, un frisson la parcourt, les couleurs haineuses viennent mordiller ses joues. Mais quand cette boucherie cessera elle donc ?


Barbi ! Pousse toi ! Je n’ai point l’intention de combattre avec toi. Allez ! Laisse moi passer !

Joignant le geste à la parole, plongeant son regard rageur dans les prunelles de la jeune femme, elle s’avance d’un pas décidé forçant le passage d’un grand coup d’épaule.
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[Cherche joueur pour le fils de W, me contacter par mp]
Azelie
Azelie tirant Brad par-dessous les bras, l’éloignant du brasier, elle entend plus qu’elle ne vois dans un premier temps, une voix rocailleuse et railleuse :

Désolé mais on repart pas sans avoir payer….

La Dame Blanche voit un pied se loger sur le corps toujours allongé de Brad.

Un coup de rein en arrière pour ne pas laisser place à un mauvais coup, elle se redresse fièrement, les yeux jetant un regard dur comme de l’acier, au propriétaire du pied.


Payer dites vous ???

Petit sourire en coin, sa dague change de main et d’un mouvement rapide elle dégaine son épée, jaugeant son adversaire une brute épaisse, estimation des chances, il est lourd, fort, mais elle, elle est agile et a plus d’une passe à son actif.

Elle entend des pas qui court vers eux, furtif regard pour voir si c’est ami ou ennemi, c’est Kali, soulagement, à deux, il n’a aucune chance.

Un sifflement d’une flèche fuse guère loin de ses oreilles, flèche venant se planter dans le monstre d’homme.

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--Drizz_le_fol
[Dans un coin de la cour]

Waf. Odeur de chevaux. Cris. Que se passe t'il ? J'bouge pas, j'veux pas m'prendre des coups encore. M'a fait mal l'autre.

Waf. Mais, j'reconnais ces voix. J'vais voir de loin. Doucement, patte après patte. Voilà comme ça. Bon le coin du mur, et regarder. J'reste bien couché. Pas m'faire voir.

Waf. Odeur de feu maintenant. Mais se passe quoi ? Et pourquoi ces cris ? Bon temps pis j'me relève. Faut que j'la retrouve. J'l'ai entendu. Elle est prêt du feu ma maitresse. Et puis l'autre aussi doit être là. C'que j'ai faim moi.

Waf. M'voilà à courir. J'la vois. Là bas. Le feu aussi. Waf. Faut que j'me dépêche. Waf. C'était quoi ce cri. Odeur du sang. Miam. Odeur de peur et de douleur. Waf. Vite. Waf waf.

[Près des oies blanches attachées, et de Mys plus particulièrement]

J'cours vite maintenant. Traversée de la cours, c'est fait. La grille. Elle est là. J'fais quoi ? D'habitude elle me guide. J'ai faim. Waf. L'autre est là aussi tout proche. J'vais la mordre, qu'elle sache que j'suis là. Waf. J'veux à manger. Puis partir. J'aime pas le feu.

Waf. Voilà je lui mord la main doucement. C'quoi ce truc ? Waf. C'pas bon. J'crois que j'vais gémir. Faut qu'on s'occupe de moi. Faut qu'on parte. Waf. J'ai faim.
Jeanbaptiste63
Ca ce décider enfin à se battre dans les deux camps, premier choc de l'acier et première flèche qui vole et comme par hasard c'est pour sa tronche. Par chance les deux premières ne s'enfoncent pas dans ses chaires, juste une qui le frôle. Un " fait chier" qui est lâché avant qui reprenne conscience de ce qui se passe en face. Ce n'était maintenant pas une mais deux dames rien que pour lui. Dans d'autre circonstance il l'aurait bien prit mais la il était sur de pas particulièrement apprécier ce qu'elles compter lui faire.

Ouép, vous avez bien compris. Je veut que vous payez de votre sang avant que je pense a vous la rendre.


Il était pas persuader qu'elles acceptent de payer sans faire d'histoire donc il décide d'aller prendre son du. Charge une des deux avec qui il échange quelque passe histoire de la jauger. A deux doigts de se faire toucher quand la deuxième rentre dans la dance mais esquive d'un bond en arriére. Reprendre son souffle avant de repartir a l'assaut sauf qu'une flèche en avait décider autrement en venant se loger dans le bras. Hurlement incontrôlable et genoux qui viennent s'écraser au sol. Respiration qui s'accélère violemment.
Deux fois blessé en cette maudite journée, elles allaient le payer, ça oui mais avec une flèche dans l'épaule ça allait pas être simple.
Serait plus sage d'enlever la flèche mais pas simple en plein combat, se contente de la briser, on verra pour le reste plus tard si un plus tard il y avait. Se relève difficilement, la larme a l'oeuil. Foutu douleur qui semble le narguer.

Je vais vous tuer, je vous promet que même si je doit en crever je vous tuerais.

Fallait pas le prendre pour le premier lourdeau imbécile qui passait, i lavait réussir a survivre a la cours pendant des années et il survivrait a ceux combats la encore. Enfin ça c'est qu'il espérait. Pas facile de combattre deux adversaires avec un seul bras mais il avait reçu le meilleur entrainement: celui de la rue. Pas de maitre mais une lutte de chaque instant. Telle était la vie ici et il comptait montrer à ces dames le résultat. Choisi une des deux et la prend pour cible, se déplace rapidement pour se retrouver au corps a corps et ainsi contraire l'archère a arrêter de le prendre pour cible, un coup en bas; une attaque haute; esquive; feinte, et c'est reparti. Il montrer tout son art et petit à petit commencer à dominer son adversaire. Utilise tout son corps comme une arme et fini par percer ça defence. Deux coups d'épée plus tard il avait le premier sang. Un coup de pied plus tard elle se retrouve au sol et sa soeur prend le relais.
Rester plus qu'a gagner la prochaine manche.
Ayerin
[Sur le toit.... Mon dernier rêve ?]

Ça lancine, son épaule, sa trombine tout lui fait mal, entre déchirement et brulure, un vrai cocktail de Roy,...
"Même lui ne devait pas avoir le bonheur de connaître cette douleur, bien trop pomponné et protégé par ces maintes escortes !
Arffff.... l'a pas d'bol le grand chef,..." ironisait la gamine en grimaçant.


- Aye, reste pas comme ça, tu vas te faire descendre.. Je sais pas si je suis du coté des gentils ou des méchants, mais je vais pas te laisser tomber.

Et v'la que les voix se remettent à la tourmenter.
Ça faisait un bail qu'elle lui fichait la paix. Une journée, deux ou trois ne s'en rappelait même plus tant elle en chiait dans l'instant.
S'explose alors la tête sur la ch'minée en s'disant que celle-ci allait pêtre lui foutre la paix et aller emmerder un autre esprit que le sien car pour l'heure, la gamine devait se sortir de c'foutoir et se devait d'aller tanner d'l'Oie, puisqu'une sorcière avec cette flèche l'avait privé de son dernier amus'ment,... l'immolation de sa protégée.


- Et je peux te garantir que si dans ton état tu restes dans la neige allongée, c'est une des morts les plus stupide qui t'attends..

C'qui changeait d'l'autre voix c'est que celle-ci n'la poussait pas au pire. Cette voix semblait même courtoise, un brin amical... et de plus, ne se foutait pas d'sa poire en lui contant son éternel refrain "bouffonne un jour,... blablabla, bouffonne toujours,... blablabla..."

Etait-ce un piège ?
Le pacte lui revint en tête,... car ces autres voix étaient féminines et là, elle était masculine celle-ci, même qu'elle lui causait plutôt bien, elle gouaillait pas,... ça semblait bien étrange quand même surtout avec tout c'bordel autour d'elle... pourquoi tant de douceur ?

Puis tous ces cris qui montaient vers elle, ces aboiements, ces bruits d'fer en contact,... et sa vue toujours voilée alors qu'elle ne cessait de s'essuyer sa blessure du revers de son mantel qu'elle avait remis sur ses épaules.
Entre fumée et flamme, ça manquait d'air et du coup, elle ne savait plus trop ou elle se trouvait la môme... Serait-ce son dernier rêve ?


- Approche toi de moi que j'examine ça, et m'oblige pas à t'assommer pour te soigner, ça pourrait me tenter.

Ben voilà, à peine eu l'temps d'penser qu'cette voix était chaleureuse, bien attentionnée à son égard, qu'ca passait en trois s'condes aux menaces.

"M'assommer !"

Se retourne vers l'son d'la voix...
car elle en chiait là au cas ou ça ne se serait pas vue... et pas l'bon moment pour lui conter d'la sornette ou v'nir lui foutre les nerfs plus en rogne.


Tu veux m'assommer l'cornu,... ben tu devras attendre ton tour hein,
car là, ben j'suis un brin cabossée mais pas pour ça que si t'amènes ton fessier vers moi que je vais m'laisser en compter par un laid'ron qui porte cornes et queue !
Pi en fait, tu m'fais même pas peur l'affreux,...


La gamine n'termina pas sa phrase qu'elle se glissa sur les g'noux s'aidant de son unique bras de valide vers la fen'tre d'où l'empafé semblait lui tailler la bavette,...

...et j'vais v'nir te montrer que même amochée, j'peux encore te mettre un coup de ce que j'pourrais avec un je ne sais quoi, dans je ne sais quoi qui te sert d'enveloppe.

A hauteur de la fen'tre grande ouverte, la gamine pose son fond'ment sur le rebords, passe guibole après guibole et s'laisse tomber lourd'ment sur l'plancher,... le pif imbibé d'émanation à vous bouffer les tripes,... et pour la seconde fois, s'retrouve dans les vapes ... avant d'sombrer, la môme se dit que sauter des repas c'n'était pas vraiment ce qui fallait faire avant chaque bataille ... mais voilà, elle a préféré l'gout d'la bouteille ... ...!
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Azzera
Azzera sait, maintenant pourquoi elle est venue, au début, sa fougue lui avait ordonné de suivre la grande Amazone sans en demander plus, mais maintenant, elle savait...
Diantre que son adversaire semble rageuse, oh, rien à voir avec les visages de ses soeurs lors des combats de l'entrainement.... et même le "truc" donné par Mys pour rendre l'opposant aveugle un instant n'avait pas fonctionné...
Elle saisit l'épée des deux mains, en appui sur ses pieds, le corps autant stable que possible... Son visage est marqué par la couleur de la douleur qu'elle ressent toujours au niveau de ses brûlures... ne rien dire, ne rien montrer...

Affrontement, face à face, rencontre...
L'épée de la Baile est levée et s'abat sur elle dans un mouvement plus de rage que de technique, alors Azz pare en se servant de sa propre épée comme d'un bouclier, prenant garde de prendre la lame à plat sur la main... protection salvatrice, le mouvement venu la sauver, ne sera pas le dernier, parce que son adversaire semble ne pas vouloir en démordre...
Cela aurait été trop facile, n'est-ce pas?

La libertadienne prouve par ses attaques successives qu'elle est beaucoup plus forte que l'apprentie... à cet instant, Azz a une pensée furtive pour celui qu'elle aime... le reverra-t-elle? finalement, elle n'en a cure et se jette dans l'arène, épée en avant....
Perte d'équilibre, se demande un instant si son heure est venue, regarde la Baile qui vient de la désarmer... duel du regard qui ne dure qu'une fraction de seconde...
Elle ne pense plus à rien, l'apprentie à ce moment, se sent prête à l'affronter à mains nues... quoi? une épée contre une paire de menottes?
Cheveux collés au visage, traits défaits par la rage qui l'emporte, esprit embué par la colère qui l'étreint.

Cri, déchirement, malaise.

La douleur ressentie, elle ne l'a jamais vécue, elle vacille, tombe à genoux, serre les dents pour ne pas pleurer, son bras brûle de souffrance... elle comprend pas l'apprentie que la Baile vient de lui couper un doigt, elle en bave de désespoir. Sa main valide serre la blessure, mais le sang s'échappe peu à peu...

Va-t-en Azzera, va-t-en. Yeux voilés par la douleur, esprit qui ne sait réfléchir... la Baile lui parle... hébétée, Azz écoute, mais entend-elle?

Lève-toi et prends Alandrisse avec toi.Al... l'apprentie se souvient... elles sont à la cour... pour Mys... Al... oui, biensûr... regard éphémère vers sa soeur

Dis à Nanny que c'est elle que j'attends, si elle veut éviter un autre bain de sang pour récupérer Mys... Elle ne bouge toujours pas, sa raison voudrait qu'elle obéisse pour sauver ce qui peut encore l'être, mais son corps refuse de se mouvoir.

Va-t-en! Pourquoi? pourquoi répond-elle à cet ordre? Azz n'a pas à écouter cette femme, pourtant, elle se releve, se dirige vers Alandrisse, tenant fermement sa main blessée...

Al... la secoue lentement... Al réponds!!!
Alandrisse?
Complainte éplorée vers une soeur qui vit un calvaire... il faut qu'elle réponde, il faut qu'elles se lèvent...
Azzera laissa couler ses larmes, d'ici, personne ne pouvait la voir....

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Teia
Teïa toujours attachée à cette grille, toujours bâillonnée, commence à brûler, ses vêtements enfin ce qu'il en reste ne sont plus que cendres. Elle délire, entend des cris mais personne ne s'occupe d'elle, la croiient-elles morte? est-ce un rêve ou plutôt un cauchemar. Essaie de remettre de l'ordre dans ses idées mais n'y arrive pas. Ou est-elle, il fait froid, il fait chaud, est-ce un rêve ou plutôt un cauchemar.

Soudain un aboiement, Teïa cherche, mais cherche désespérément, que lui rappelle cet aboiement? ............Dizz sûrement lui, se rappelle Mysou, Al et Brad, qu'étaient-elles devenues! Elle était arrivée avec ses soeurs pour chercher Mysou et lui et c'est moi pensa-t-elle qui vais rester là sur cette grille, bientôt carbonisé si le feu continue à avancer.

Essayez d'ouvrir les yeux, paupières plaies béantes, cheveux brûlés essayez encore, le chien est là! Essayez de l'attirer. Cherchez au fond de soi les dernières forces, ne voit rien. Horrible odeur de viande qui brûle, la sienne, désespoir, vais-je vraiment mourir ici!

Dernières pensées pour ses soeurs, ses amies et le petit chien.......

Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi.
Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a été prêtée,
le temps d'une vie terrestre.
Elle m'a permis de te connaître et de t'aimer à ma façon.

Mon vrai moi, l'Âme que je suis ,
vient de traverser une nouvelle étape vers l'accomplissement de soi.
Ne sois pas triste, sois heureux(se) pour moi.
Là où je suis,
la Lumière et l'Amour m'enivrent puisque,
en plus de nager dans un Océan d'Amour limpide,
j'ai emporté avec moi celui que tu m'as
si gentiment et inconditionnellement offert !

J'aimais la Vie, tu le sais bien.
La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Âme !
Ce que j'avais à apprendre ou à faire
dans cette vie-ci est accompli.

Je n'emporte que de bons souvenirs car,
un événement triste ou encore un obstacle,
dans mon ancien monde,
est un privilège, c'est une occasion
de GRANDIR
qui est offerte, une occasion d'évoluer
un peu plus à chaque fois.

S'il y a quelque chose que
tu aurais aimé me dire,
il n'est pas trop tard. Je suis maintenant
" CONSCIENCE " ;
je peux, par le fait même, percevoir tes pensées
et tes vibrations les plus pures.


Ce soir ou même ici,
installe-toi dans un coin calme,
entre en toi,
ouvre ton cœur et perçois mon image
au centre d'un radieux soleil.
Sens son incommensurable chaleur
qui t'apaise et t'irradie.
C'est à ce moment-là que je t'enverrai d'ici,
tout l'Amour à l'état cristallin
qu'il t'est humainement possible de recevoir !

N'OUBLIE PAS que c'est ici,
EN TOI,
que tu pourras toujours reprendre contact.
Même si, parfois, tu ne me percevais pas,
sois certain(e) que j'y serai tout de même !!

Ta Vie continue,
la mienne aussi…
Rendez-vous dans une autre dimension,
au moment opportun.
Je t'y accueillerai.
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