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[RP] Le Palazzo

Mysouris
Tout se passe autour d'elle, et pourtant elle ne relèvera pas la tête. Quelques paroles qui fusent. Cris, haines, menaces. Le tenant d'un combat qui aboutira bien tôt.

Le temps semblait presque suspendu. L'oie perchée avait toujours froid, mais là bas sans qu'elle ne puisse la soupçonner, la folle veillait sur ses invitées. Une flèche passa en sifflant et vint se planter pas si loin. Une seconde suivie. Une chaleur étouffante lui fit oublier le froid. Ou même plutôt lui fit réclamer le froid.

Les combats commençaient. Cris, douleurs. Ici une Baile qu'elle entendait combattre contre... Azz ? Là une Barbi contre Nanny. Et elle au milieu de cela, se sachant la cause et la raison de tout ce fracas. A côté d'elle, Teia qui s'essouffle dans son bâillon. Plus loin Alandrisse qui semble détachée. Un cri. Azzera. Odeur du sang et de la chair brulée.

Souvenirs qui envahissent son esprit. Le feu. Les écuries. Ce n'était pas possible, pas encore. La blanche voulu crier, et s'étouffa dans la fumée qui augmentait.

La tête lui faisait mal, prise entre la perte de sang, le froid glacée précédant et la chaleur trop vive de maintenant. Toussoter de son mieux. Avaler une grande goulée d'air avant de tenter de se pencher le plus en avant possible. La fumée monte, l'air frais est en bas. Mais elle est solidement saucissonnée. Impossible de se défaire de ses liens.

A présent le reste l'indiffère. Sans savoir ce qui s'est passé, elle sait que Rebaile est pas loin d'elle. Sans chercher à comprendre qui est où et pourquoi, l'otage subit ce qu'on lui offre. Perdue dans ses souvenirs atroces d'écuries qui brulent.

Un aboiement pas loin suivit de près d'une douleur dans la main. Morsure du fol venu la retrouver. Pourquoi diable vient il maintenant celui là ? Frémissement de la main pour qu'il vienne s'y frotter. Il doit avoir peur lui aussi. Léger sourire totalement incongru qui se pose sur les lèvres de l'oie plumée. Drizz le fol, c'te brave bête. S'il est là, tout ira bien. Elle le pense, et se le répète comme un doux refrain.

C'est alors qu'au milieu des coups d'épée elle éclate d'un rire puissant et sonore. AHAHAHAHAHAHAHAH ! Teuh Teuh Teuh HIHIHI Teuh... Impossible de se retenir de tousser, mais pourtant le rire se poursuit. Elle le sait maintenant, tout cela est un rêve. Exactement un fichu rêve. Comment serait ce possible autrement ? Elle rit, elle rit à n'en plus finir. A en mourir étouffée par la fumée noire du feu qui continue à faire luire son front de sueur. Dans cette folie, persuadée de rêver, elle ne se rend même pas compte que si le rêve n'était pas réalité elle ne serait pas là à tousser, ni à souffrir d'une douleur qui la prend du pied gauche gelé au crane martelé de façon monotomne.
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Ecuyère Dame Blanche

L'histoire dont vous auriez pu être le héros
Diabolikbarbiturik
Elle ne lachait pas Wonder du regard, attendait le moindre geste de celle ci pour agir, autour d'elle l'agitation commençait a s'emplifier, mais elle n'y prétait presque pas attention, juste Nanny l'importait. Soudain la voix de celle ci résonna :

Et de quel type de baiser veux tu donc m’octroyer ? de paix ou bien…

Elle lui sourit et lança

De paix voyons, avant d'en finir avec toi, je te dois bien ça

Elle laisse entendre un rire démoniaque, s'avance doucement vers la blanche, prudente, les yeux allant de droite à gauche éspionnant les allantours, des cris venant de partout, des ordres lancés, l'ébullition qui animais le corp de Diab' s'emplifiait et soudain wonder approche et la bouscule.

Barbi ! Pousse toi ! Je n’ai point l’intention de combattre avec toi. Allez ! Laisse moi passer !

Ella à juste le temps de lui attraper le bras, et lui envoit

Non je te laisserais pas avancer ! j'ai un compte a régler avec toi !

Et d'un geste brusque elle s'apprete à lui assener un coup d'épée. Dans sa tête l'heure de la vengeance a sonnée, sera t'elle soulagée après ça? autour d'elles toujours des cris et l'agitement mais elle n'en est plus là, en ce moment précis dans sa tête un seul mot raisonne, vengeance !
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Finute
Sifflement de la flèche qui atteindra sa cible à l'épaule. Sourire insatisfait, mécontentement, il était enragé, mais pouvait encore se battre.
Regard circulaire, aider Azélie, Téïa était en mauvaise posture et envoyer une flèche dans sa direction pour la libérer de ses liens... trop dangereux.
Cris. odeur de sang. De peau brûlées.
Bruits d'épée. D'injures. De rires même.
L'enfer où combattait le bien et le mal. Les Libertad contre les Dames Blanches.

L'apprentie descendit de son cheval, l'épée accrochée à sa ceinture, l'arc à la main, elle se décala un peu de l'endroit où elle se trouvait. Le feu crépitait devant elle, la nargant, les nargants. Yeux qui se lèvent vers le ciel, recherche de branches hautes... Non, pas la peine...
Pieds bien ancrés au sol dans cette neige fraiche, légèrement de travers, elle positionna son arc. Sa deuxième flèche devait immobiliser cet homme, pour ses soeurs...

Oeil gauche qui se ferme, arme qui se pointe vers l'homme qui se battait contre ses soeurs. Ne pas se râter surtout, mais elle ne râtait jamais sa cible... ou presque.
Ses doigts lâchèrent la flèche qui partit dans la bonne direction...

Elle souffla, laissant s'échapper une petite fumée par ce temps froid avant de courrir en direction d'un meilleur point de vue pour orienter son arc.

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Dragonet
Aye

Citation:
Tu veux m'assommer l'cornu,... ben tu devras attendre ton tour hein,
car là, ben j'suis un brin cabossée mais pas pour ça que si t'amènes ton fessier vers moi que je vais m'laisser en compter par un laid'ron qui porte cornes et queue !
Pi en fait, tu m'fais même pas peur l'affreux,...
...et j'vais v'nir te montrer que même amochée, j'peux encore te mettre un coup de ce que j'pourrais avec un je ne sais quoi, dans je ne sais quoi qui te sert d'enveloppe.


Dragonet souria.. la provocation avait atteint le but qu'il lui avait fixé, faire venir la libertad. La fumée avait finis d'achever la longue suite des maux que ce corps avait subis.

Certe, Aye en avait fait subir autant si ce n'est plus qu'elle en avais reçus, mais la souffrance que l'on infligeait aux autres justifiait elle celle qu'on recevait. Toute la ligitimitée de la loi du Talion se deroulait sous les fenêtres sans qu'aucuns ne prenne le temps d'y reflechir. L'action en lieu et place de toute raison.

Lançant de coté ses reflexions, il fit glisser le corps vers ce qu'il avait décidé être sa chambre. Cette piece où avait vecus la comtesse ecarlate lui "parlait" profondement, comme le faisait d'ailleurs souvent les boudoirs des dames. Une fois le corps entré, il ferma soigneusement la porte, utilisa les rideau pour en boucher les orifices et posa la femme sur le lit, examinant la blessure.

Retirer une fleche etait un art complexe, rien que Guillaume de Salicet y avait consacre 22 chapitres sur les 26 de son livre . On utilisait généralement un repoussoir ou un impusoir, voir une pince à bec d'oiseau. Le faire ainsi, sans même de precausion avait du être rterriblement douloureux. Y rajouter le traumatisme du fer brulant etaient inutile, cela ne se justifiait que dans un cas comme l'amputation, et encore Hieronymus Brunscwick recommandé quand à lui la ligature des vaisseaux aux lieux de la cautérisation.

Et dans le cas présent, nettoyer la plaie comme on le faisait dans l'ecole de salerne ou l'enseigné theodoric aurait suffit. C'etait sans doute un des effets secondaires du sadisme, on ne pouvait envisager pour sois même autres choses que la violence en thérapie.

Il dechira en partie la chemise déja transpersé par la flêche et brulé par le feu pour examiner de plus prêt.Il n'avait rien sur lui contre le feu, n'ayant pas prevu de soigner de brulure, il n'avait pas d'eau et mettre de l'alcool ne créerais qu'un traumatisme de plus sur la chair à vif.

Il decida de faire un cataplasme leger et provisoire maintenu par un bandage fait, destiné juste à appaiser légérement la brulure, et eviter les frottement, puis choisis un peu de jus d'opiacé qu'il lui fit ingérer pour la laisser dans une torpeur eloigné de toute souffrance. ça et l'absynthe constitue sa réserve peersonnelle dont il abusé pour soigner sa propre souffrance, lancinante et permanente, invivable sans ses "medications".

Puis il l'examina, retira bottes,armes, la mettant à l'aise avant de la couvrir pour anticiper une fievre, retirant toutes vetements humide au contact de la neige.

Il lui susurra:


Dormez bien, que vos reve vous apporte enfin quelques paix. Je reviens bientôt avec ce qu'il vous faut

Puis il jeta un oeil par la fenêtre, afin d'y voir l'etats de la bataille, cherchant à déterminer quel serait la prochaine personne qu'il pourrait aller secourir.
Alandrisse
Elle avait fermé les yeux un instant, un bref moment du moins s'était l'impression qu'elle avait. Dernier souvenir, plisse des yeux quand elle revoit le moment, Baile arrivait près de Azz... elle avait tenté de prévenir sa soeur, mais elle n'avait pu que lui montrer et dire ce nom, qui lui brûlait les lèvres, un poison qui ne faisait que raviver la flamme de sa rage. Quand elle vit le visage de sa soeur, alors elle crut que l'apprentie avait eu raison d'elle. Mais la rage était toujours là, sifflant dans ses entrailles, murmurant son envie d'être rassasiée.

Couché dans la neige, son corps s'engourdissait, il fallait qu'elle remue, la voix de sa soeur lui paraissait étrange, une vibration qu'elle ne lui reconnaissait pas. Les doigts, puis le bras... elle se lève doucement. Sa tête lui faisait mal, elle se sentait aussi froide que la mort elle-même, mais elle respirait et souffrait. Signe de vie, elle tourna la tête et voyait le chaos, assise ans la neige, la Dame Blanche fixa sa soeur. Elle ne devait pas avoir une bonne mine, mais elle tenta d'esquisser un sourire pour la rassurer. Ni l'une ni l'autre n'était capable de se battre... ses yeux émeraudes se dirigèrent vers la main sanguinolente. Al prit une grande respiration et parla doucement.


Il .. il faut que l'on s'éloigne d'ici, Azz.

Les deux soeurs se regardèrent, bien que l'envie de se battre persistait, il fallait être.. raisonnable. Mot qui lui écorcherait la bouche si elle l'avait prononcé. De toute évidence, elle avait pour une fois choisi le chemin le plus sûr. Azz glissa son bras valide sous l'épaule de sa soeur, appuyant tant bien que mal sa main contre son corps pour ralentir le saignement. Elles se dirigèrent vers leurs soeurs, d'un pas incertain. Alandrisse regarde derrière elle, tout n'était pas encore fini, ses soeurs étaient là bas, la grille, le lieu de captivité possédait encore ses trophées et les Libertads... Baile. Elle serra la mâchoire et continua.
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Zya62
Le brasier donnait des signes d'essoufflement. L'alcool, ca ne brûle pas éternellement, il faut le rappeler.
Devant elle, la boue faisait place à la neige, qui, fondant, faisait que l'eau se mêlait à ce qu'il y avait dessous. Boue contenant on ne sait quoi... mais boue. Des trouées se faisaient ça et là, dans le brasier, là où le feu n'avait plus trouvé de quoi s'alimenter. Et même s'il redoublait du côté arboré, trouvant de quoi se nourrir, du côté des grilles, rien ne se laissait lécher par lui. Aussi, étirant sa langue rougeoyante, il tentait de ne pas suffoquer et de trouver un second souffle. Et apparemment, une de leurs sœurs semblait être ce pain qui rassasierait sa faim.

Hors de question.

Et comme elle s'apprête à tirer une autre fois vers les toits, elle hésite. Bref instant. Lance quand même sa flèche vers une ombre passant par la fenêtre, comme elle pensait avoir affaire à Ayerin, petite vassale de son Stra. Mais rien n'était moins sûr. Enfin, elle savait ne pas avoir touchée une des leurs, vu que toutes étaient plus ou moins sous ses yeux. Tant pis pour celui ou celle qui se promenait où il ne fallait pas. Après tout, chaque bataille tarit son flot d'innocents... et de moins innocents.

Puis la belle démonte. Carquois pendant, guisarme récupérée et accrochée, et la voici qui donne une large tape sur la croupe de sa jument, pour qu'elle fuit à toutes jambes, elle qui ne demandait que ça.

Et de s'avancer vers la ligne de démarcation.

Qui? Qui était encore sur les grilles? Mys? Et après? Teia... Ca devait être Teia. Plus besoin d'elle pour les toits. Plus personne, hormis Bitter et la Gargouille qui ne l'était peut être plus à présent. Et devant, mieux valait se rapprocher.

Traverser vite la barrière des flammes diminuant. Dommage, de la poix... ca, ca aurait tenu. Des heures et des heures.
Tapoter le bas de sa cape qui subissait l'insatiable faim du feu. Il serait dit qu'elle abîmerait toujours ses capes dans les incendies.
Et elle s'avance, pas après pas, vers Teia, arc tendu, prête à lancer une flèche à qui s'approche d'elle.
Et puis aux grilles, mettre l'arc sur l'épaule et sortir de son giron sa lame réclamant les cris de miséricorde, puis trancher les liens de la première venue, celle qui brûle, Teia. Lui murmurer quelques mots pour la rassurer, où qu'elle soit, avec elles ou ailleurs.
Et se tenir sur ses gardes, l’œil prospectant les alentours. La lieutenante sait très bien qu'on ne la laissera pas faire. Mais qui? Qui viendra? Monsieur plein de muscles? Ou sa Baile?

Option sur le Monsieur Muscles. Baile veut Nanny et uniquement Nanny. Elle se contentera donc d'aller chercher Nanny à l'autre.... l'assoiffée de vengeance.

Zya, elle, c'est Monsieur Muscles qui l'intéresse.

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Wonderanny
Retenue surprenante dans l’avancée, une poigne ferme enserre les muscles tendus de son bras. C’est qu’elle ne s’y laisse pas faire la Barbi… c’est que la Diab s’est réveillée et ne s’en laisse pas compter. Etonnement. C’est qu’elle a prit de l’assurance la jolie poupée. Voilà femme sans peur, voilà femme qu’il lui faudrait recruter.
Bras droit arrêté, main gauche qui se serre sur la garde de l’épée. Volte face d’un visage surpris, tendu par l’angoisse de laisser la jeune Azz affronter la Baile. A voir les traits de la Luciole Libertadienne, l’heure n’est pas à la courtoisie.


Dis Barbi c’était pas un baiser de paix que tu devais me donner ?

Sourire en coin, taquin avant de reprendre une expression neutre.

Allez ! laisse moi passer ! Je ne te veux pas de mal !

Détente des membres avant de faire échapper de la main le bras prisonnier. Regard rapide sur les positions de ses sœurs qui poursuivent l’avancée. Les doigts gantés caressent lentement l’arme tandis que les prunelles des deux femmes se défient. Retour sur la belle poupée.
Alors ? on joue ou on joue pas ?

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Diabolikbarbiturik
La Dame Blanche s'entetait, elle ne lui voulait pas de mal qu'elle disait, mais Diab' s'en foutait, elle avec un compte à régler, afin d'éffacer, peut être, les douleurs d'un passé encrés en sa mémoire. Il y à des sentiments qui s'assouvissent que lors qu'on à accomplis ce que l'on désire, et en cette instant ce désire Diab' l'avait en elle.

Non Nanny! je te laisserais pas passer comme ça, m'oblige pas à te frapper dans le dos ! Bas toi !

En cette instant êlle s'apprête à assener un coup d'épée à la Blanche. Les nerfs à vifs, les questions qui l'envahisse, pourquoi ne veut elle pas ce battre avec moi, que c'est il réellement passé dans cette chambre, se serait elle trompé? aurait elle écouté à tors de vague bruit de couloir? Non, sa rancoeur était bien là, il fallait qu'elle se libère de ce poids ! Et Soudain elle avance d'un pas vif

Bas TOI !
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Elliandra
Elliandra était restée à l'écart, avec le baron qui n'vaait dit mot et ne bougeait pas. De tout façon, il était en trop mauvais état pour faire quoi que ce soit.

La Dame Blanche était tout de même descendu de cheval et s'écarta davantage pour s'assurer que Ninja ne risquerait rien. Tout était confus, le feu se mit de la partie, et ses soeurs semblèrent se disperser...

Un peu honteuse de ne pas se lancer a corps perdu dans les conflits, elle se rassura en se disant qu'elle ne pouvait laisser un blessé seul, bien qu'il fut à l'écart du Palazzo, la Cours des Miracles restait elle meme un endroit dangereux.

Elle aperçut alors Azzera qui soutenait Alandrisse et se précipita pour les aider, posant ses yeux sur le doigt de Az.


Oh non mais qu'est-ce qu'on vous a fait??
Wonderanny
Non Nanny! je te laisserais pas passer comme ça, m'oblige pas à te frapper dans le dos ! Bas toi ! Bas TOI !


Comprenant que la Barbie ne la laissera pas passer aisément, que le bras est levé et le coup pas loin d’être octroyé, le premier réflexe est de reculer d’une foulée. L’œil furtif lancé sur le duo Azz et Al qui péniblement échappe aux griffes de la Baile. Volte face. Retour sur la poupée avec une seule idée en tête : Mais c’est qu’elle est têtue la Diab ! Mais pourquoi lui en veut-elle ainsi ? Pour un simple baiser ? Ridicule ! Heu… oui bon… trois ! J’avoue ! Mais cela ne peut être vrai ! Un combat pour trois furtifs échanges ? Risquer ainsi blessures ou pire pour de si futiles entrelacements ? Non ! Cela ne se peut ! Impossible ! Comment en s’ont elles arrivées là ?

Les deux femmes se toisent un moment. Silence dans les rangs. Le temps semble s’être arrêté. Les femmes se jaugent, les prunelles se mesurent. Cœurs silencieux des quelques flocons de neige et de fumée mélangés qui entourent le duo sur le point de se confronter. Cœur palpitant de la Dame des Dames sentant le combat s’engager dans l’instant. La tension s’accentue, les secondes s’égrainent plus rien n’existe à présent… Face à face inexorable, imminent. Au loin des aboiements…

Blanche lame a son tour est dressée. L’étincelant fer est forcé de s’extirper.
Dommage ! Mais l’heure n’est plus à la négociation. C’est qu’il y a des Blanches en danger. Pis une lieutenante a sortir avant qu’elle ne rôtisse.
Navrée… plus le temps ! L’heure est donc arrivée, plus rien de pourra les arrêter.


Bien ! Vu que tu y tiens ! Finissons-en !

Se positionner, assurer son équilibre, serrer les mains sur la garde, bien campée sur ses pieds, le visage se fige, les muscles se tendent un à un. Mouvement souple de la lame qui ronronne dans l’air. Sifflement trop bien connu avant choc attendu. Croisement des armes, choc résonnant. La parade est solide, la Barbi a son tour répond rapidement, les coups s’enchainent inévitables et acharnés.
Féroce combat mêlé de réflexion, mêlé de non compréhension. Etrange combat que celui là. Chocs qui se poursuivent, musique macabre des armes qui se croisent. Tournent et retournent les armes des deux femmes. Acharnées les deux, mais la vengeresse bien plus motivée que la défenderesse prend l’avantage. Pas assez concentrée la Dame des Dames, trop pressée de rejoindre les siennes, trop perdue dans ses pensées angoissée pour ses sœurs, trop perdue dans l’incompréhension du combat qui se déroule, trop… bien trop !

Glissement de lame en plein croisement… Le choc est violent. La tête lui tourne, le dos se cambre dans la douleur. Tout tourne dans la cours. La lame de la Barbi a fait mouche.


HAAAaaaaa...

Hurlement avant qu’elle ne se retrouve à terre, la main gantée laisse échapper la lame qui échoue à quelques pas. Le souffle est saccadé, les yeux sont clos, les sens perturbés. Tout s’accélère alors.
Non ! Pas ici ! Pas maintenant ! Elle serre les dents avec hargne. Glisser sur le côté pour croiser le regard de la Barbi qui vient de lui assener un sanglant coup. Ne pas lui tourner le dos, surveiller des yeux mi clos ses mouvements. La garder dans sa visée. La main se glisse avec mal vers la garde échappée. Une froide sueur court sur son visage, les boucles brunes collées sur son front et qui s’éparpillent à présent sur la neige piétinée gênent sa vision. Relever le menton. A tâtons… aveuglé par la douleur, la main cherche. Grimace sous la souffrance lancinante. Caresser des doigts glacés l’épée si proche et à la fois si insaisissable. Encore un effort pour la rejoindre. Allez !

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[Cherche joueur pour le fils de W, me contacter par mp]
Azelie
Azelie jambes bien encrées au sol, légèrement fléchies, son épée tenue bien fermement dans sa main droite, sa dague dans l’autre, jauge son adversaire, l’homme qui doit être le double d’elle-même, lance l’attaque en premier, se ruant sur les deux femmes.

La Dame blanche pare le coup son épée vacillant à peine, elle se remet en garde et seule le bruit des lames s’entrechoquant lui vint aux oreilles, se concentrant sur chaque mouvement qu’elle effectue, ses doigts se crispent sur son épée, une feinte à droite, une feinte à gauche, elle tourne autour de son adversaire, cherchant une faille pour l’atteindre, pour que sa lame rentre dans son corps, blessant ses chaires pour rendre ce qu’il à fait à ses sœurs, son visage est crispée, ses yeux luissent d’une rage que peu de personne ne lui a vu.

Quelques pas en recul, Kali rentre dans le jeu, et échange avec lui quelques passes avant qu’une nouvelle flèche fuse, venant se planter dans le bras du géant des lieux, Azelie le voyant se tordre sous la douleur, en profite pour tirer Brad plus loin, essayant de la rapprocher de son cheval.

Elle pensait en rester là avec cet individu, mais elle l’entend revenir à la charge en hurlant sa haine….

Elle le voit se précipiter vers elle, le sang s’écoulant de son bras, dommage soit il est ambidextre, ou bien son bras touché n’était pas le plus fort, elle se redresse, et pare les deux assaut, sa blessure au lieu de l’affaiblir, l’a rendu fou de rage, sa force se trouve en être décuplée et elle pendant ce temps à perdue de concentration, elle sent sa lame effleurer son bras, une douleur la paralyse et d’un coup il l’envoie valser au sol.

Il continue à batailler avec sa sœur, et pendant ce temps elle examine sa plaie, qui n’est que superficielle, un mouchoir, une légère pression le sang devrait vite s’arrêter de s’écouler.

Elle en profite pour tirer Brad vers un lieu sur, elle aperçoit au loin Elliandra et deux autres de ses sœurs, il faut qu’elle arrive là bas pour repartir au plus vite aider encore, quitte à y laisser sa vie.


Elliandraaaaa…….


Elle voudrait déjà retourner au combat et sauver encore ses sœurs restantes.

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Kalimalice
Ouép, vous avez bien compris. Je veut que vous payez de votre sang avant que je pense a vous la rendre.

Payez de notre sang, dites vous ?
Je suppose que vous vous moquer de nous s’il vous faut du sang !!!!


Tout en parlant l’homme lui porte une estocade

Elle s’interrompit, à ce moment précis la flèche rentra dans le bras du seigneur des miracles, une perle de son sang vint se déposer sur sa joue, signe qu'Aristote voulait sa victoire.
Kali esquissa un sourire, un sourire moqueur, narquois elle avait une envie de rire.
Vous savez ce fou rire dans des situations ou le rire n’est pas adapté.
La colère de l’homme s’intensifia il se mit a hurler



Je vais vous tuer, je vous promets que même si je dois en crever je vous tuerais.

Il fonce sur Azzelie et l'envoie valser au sol d'un geste.
.Il ne lui fait pas peur, elle s’avance vers lui épée à la main .Elle le regarde dans les yeux, de ce regard haineux qui est le sien depuis son entrée dans cette cour de l’enfer .Elle se plante face à lui, le regard relevé, positionnée sur sa jambe d'appui, elle assure son équilibre, elle doit l’affronter
Elle ne perd pas de temps et attaque, l’homme esquive d'un revers de lame, on entend les cliquetis des épées qui s'entrechoquent, son corps et tout proche et kali n’a qu’une seule envie: l’embrocher,
Alors elle redouble de rage, les épées se chatouillent et elle attaque lui laissant peu de temps de répit, il fallait l'épuiser, le faire courir, tourner en bourrique, pour que la rage le fatigue et le déstabilise .Mais le bougre a des ressources, il esquive et ne baisse pas sa garde.
Il n’est pas question qu’elle lui donne une goutte de sang alors elle avance toujours plus, ses pas sont saccadés, elle porte des coups bas, des coups hauts, pare, sans arriver à le toucher. Elle tourne autour de la proie comme un vautour autour d'un cadavre. Concentrée, elle ne baisse pas son visage face à l'ennemi, observant son visage, ses gestes, tout les retords qu'il pourrait avoir et qu'il lui serait avantageux.
Qui remporterait la manche de ce duel, elle se posait la question, elle ou lui ? Seule son épée et sa tête en décideraient.

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kalimalice.....
Bitterly
La gamine était rentrée, un homme l'avait aidée. Bitterly en aurait pleuré de rage. Elle s'approcha précautionneusement de la fenêtre par laquelle la sale ******* était passée. Arrivée sur le bord de la goutière afin de rester cachée aux yeux de ceux qui étaient dans la pièce elle faillit glisser, son pied droit se retrouva un instant dans le vide, elle se pencha contre le mur, rafermit sa prise sur ce dernier tandis que son coeur faisait des bonds dans sa poitrine.

Elle retint son souffle, se cala contre la pierre froide, ramena son pied et n'osa plus bouger pendant... Pendant un bon moment, un long moment, un très très très très long moment... Ses doigts étaient fort rouge et elle ne les sentait plus. Au moment ou elle commencait à se dire que si elle ne bougeait pas elle allait mourir de froid car tout son corps s'était mis à trembler à présent, l'homme qui avait contrarié tous ses plans revint vers la fenêtre et jeta un regard vers les combats qui se déroulaient au loin.

Elle saisit cette chance pour lancer naturellement un :
Hum, bonjour, j'peux entrer ? Il fait frisquet ici !

N'attendant pas vraiment de réponse et profitant du léger effet de surprise elle se hissa et entra péniblement à l'intérieur. Immediatement une sensation de brulure envahit son corps tout entier.


Aaaahhh et marde de marde !
Ne put-elle s'empêcher de s'écrier. Ses doigts surtout semblaient être enflammés tant ils lui faisait mal ! Elle savait que ce n'était dû qu'au froid, mais ca n'atténuait pas pour autant la douleur, surtout que ses pieds et ses orteils connaissaient le même sort.

Elle avait l'impression d'être une grosse chaudière.
Elle resta un instant prostrée avant de se détendre un brin et de se présenter, sans plus réfléchir.


Bonjour, Bitterly, enchantée, je cherche une gamine blessée, vous l'auriez pas vue par hasard ?
Demanda-t-elle innocemment sachant pertinemment qu'il était la dernnière personne à avoir croisé l'objet de sa vengeance...
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Elliandra
Elliandraaaaa…….

Azzera n'avait pas eu le temps de lui répondre, la baronne tourna la tête et aperçut Azélie qui tentait de trainer un corps. Son regard se reporta sur ses deux premières soeurs.

Désolée Az, je reviens, je crois qu'on a besoin de moi... Ca va aller? Je suis là dans un moment, on va mettre nos blessées en sécurité et les soigner.

Elle tentait d'etre rassurante. Elle, elle n'avait rien, elle n'était pas blessée. Précautionneusement, elle lacha Alandrisse et se précipita vers celle qui avait hurlé son nom.

Gisante, elle reconnu Brad. Levant des yeux désespérés vers Azélie, elle tenta de reprendre un regard réconfortant pour ne pas déprimer sa soeur un peu plus... Pourtant, elle avait envie de hurler, de pleurer et d'aller tuer Baile qui était la cause de tout cela... Elle le paierait un jour, elle se le promettait...


Azélie... Tu n'as rien? Tu es sure de vouloir y retourner?

Elle s'accroupie pour observer Brad de plus près.

Bon... Aide moi à la porter jusqu'a mon cheval et explique moi ce qu'on lui a fait exactement, je vais essayer de la soigner...

Elliandra maudit Chloé de ne pas être venue. Elle avait passé son examen de médecine mais elle n'était pas encore assez sure d'elle pour soigner... Il faudrait pourtant su'elle se débrouille espérant que cela n'empirerait pas l'état de ses soeurs.
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Jeanbaptiste63
Autour de lui il n'y avait rien, il n'entendait pas les cris, il n'entendait les épées qui s'entrechoquait, il ne voyait plus rien. IL savait juste une chose, la mort l'attendait depuis trop longtemps est aujourd'hui elle avait envoyer les dames blanches faire le sale boulot. Car il ne combattait plus que pour sa survie, les autres combats autour de lui avait un sens, le sien l'avait perdu. Oui plus qu'une explication, la mort réclamer son du aussi non aussi non pourquoi devrait il combattre tant d'adversaire.

Enfin suppôt de la mort ou pas son adversaire se battait bien et semblait ne pas vouloir céder un pouce de terrain. Lui s'épuiser de plus en plus et bientôt des failles ce créèrent dans sa défense. L'adversaire en profite et ces deux nouvelles entailles qui viennent s'ajouter à la collection. Pour gagner il devait cacher encore un peu son jeu, faire croire qu'il était fini. D'esquive maladroite en attaque lente il y arrive. Son ennemi s'apprête a lui porter le coup de grâce, il le sens.
Une attaque, tout allait se jouer sur cette attaque, il n'aurait le droit qu'a une seul chance. Se concentrer que sur l'épée et sur elle seul, voir le coup arriver, esquiver et attaquera nouveau. Tout était parfait mais son plan n'avait qu'a moitié fonctionner, oui il avait esquiver mais trop lentement laissant l'épée mordre profondément la chaire de ses cotes, oui sa contre attaque était belle mais trop lente touchant l'épaule a la place de la gorge.

Apres il se souvient de pas grand chose, deux cris de douleur, les armes qui tombent au sol dans un bruit sourd, lui rampant vers son adversaire et une lutte au corps a corps ou il se rappelle avoir mit plus de coup qu'il n'en avait reçu et enfin son adversaire qui semble plus se relever. Ensuite avec ce qu'il lui servait encore de corps il s'était mis a la recherche de son épée avec le peu de dignité qu'il lui restait laissant une trace rouge sur le sol blanc de la cour derrière lui. Enfin il la trouve sous le pied d'une dame au regard de fer.... Ainsi commencer ce qu'il espérait être le dernier combat.

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