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[RP] Le Palazzo

Dragonet
Une jeune femme entra dans la piece. Il reconnu une des Dames Blanches.. qui par le froid l'etait

Citation:
Hum, bonjour, j'peux entrer ? Il fait frisquet ici !


Sous l'effet de la chaleur soudaine, le sang afflua et elle se mis a rougir. Par association, il songea à sa pêche aux ecrevisses chez les Dames Blanches. et souriat

Citation:
Aaaahhh et marde de marde !


Citation:
Bonjour, Bitterly, enchantée, je cherche une gamine blessée, vous l'auriez pas vue par hasard ?


Il sourit à la maniére dont elle se présenta.

Bonjour, enchanté de vous connaitre, même si le lieu se prête guére aux mondanitées, je suis le vicomte de Saint germain, Dragonet de Castelcerf.

Cette chambre est désormais mienne, et si il y a une blesssée en ce lieu, cela ne peut être qu'une de mes patientes, vos querelles m'importent peu, en véritée, un blessé est un blessé.

vous vous battrez en pleine forme, vous en aurez que plus de mérite, et j'ai horreur qu'on charcute mes patients à ma place,il est de coutume qu'on me laisse les remettre debout avant de les rallonger à nouveau.

Sur ce....


Ignorant un moment la jeune femme, il replongea son regard vers l'extérieur pour voir si secourir un autre blessé etait désormais possible.
Alandrisse
[Après les flammes..]

Le visage d'Elliandra, elles y étaient arrivées, les deux Dames Blanches étaient sorties de l'enfer. En piteux états certes, mais en vie tout de même. Un affrontement qui laisserait des séquelles pour toutes. Elle quitta le soutient d'Azz pour celui de son autre soeur. Les sentiments qu'elle ressentait étaient tellement mélangés que l'apprentie ne savait pas si la douleur ou la fatigue était la plus forte. Son regard s'attarda sur la main de sa soeur, aucun son ne sortait de sa bouche. Elle se tourna vers Elli qui avait aperçut ... Brad et Azélie. Il valait mieux s'habituer à ces scènes. Doucement, sa soeur la déposa à terre, retour vers le froid du sol, sa main lui servait d'appui pour éviter de s'écrouler. Azz ne bougeait plus, elle aurait aimé la secouer...

La Dame Blanche bouillonna de l'intérieur, si elle avait la force de se lever, la force d'hurler, de tenir une épée... Son incapacité à se contrôler à vouloir agir sans reflechir avait causé toute une avalanche d'action, menant à ce moment, à cet instant où la bataille faisait rage. Ce jour aura été une épreuve, lui permettant d'ouvrir les yeux sur ce qu'elle devait corriger. Mais il fallait avant tout survivre à ce jour et pouvoir atteindre le lendemain.

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Bitterly
Bonjour, enchanté de vous connaitre, même si le lieu se prête guére aux mondanitées, je suis le vicomte de Saint germain, Dragonet de Castelcerf.

Cette chambre est désormais mienne, et si il y a une blesssée en ce lieu, cela ne peut être qu'une de mes patientes, vos querelles m'importent peu, en véritée, un blessé est un blessé.

vous vous battrez en pleine forme, vous en aurez que plus de mérite, et j'ai horreur qu'on charcute mes patients à ma place,il est de coutume qu'on me laisse les remettre debout avant de les rallonger à nouveau.

Sur ce....


L'Esquire l'eut mauvaise... Son visage de figea, elle fronca les sourcils... Déjà de quels droits est-ce qu'il s'appropriait cette chambre ? Il n'était apparemment pas un Libertad, ni une Dame Blanche, forcément...
Un bléssé est un bléssé hein ?... Elle se retourna et put voir en effet une certaine gamine quoi dormir ? Dans un lit... Elle maugréa, sûr qu'elle aurait préférer la battre sans qu'elle soit blessée mais elle même n'était pas au mieux de sa forme depuis que la "patiente" du messire l'avait sauvagement frappée, assommée... Bref Bitterly n'était pas contente et le noble messire se mettait en travers de sa route.

Bitterly voulait se venger, quitte à attendre que la sale mioche se reveille, elle allait pas la découper alors que celle-ci dormait, elle avait tout de même un certain sens de l'honneur ! Elle fronca les sourcils tandis que l'homme lui tournait le dos. Sans plus réfléchir elle sortit se dague et le frappa à la tête, de toutes ses forces avec le pommeau.
Le vicomte tomba. Elle lui mit un coup de pied dans les côtes dans un élan d'énervement, de quel droit interferait-il dans sa vengeance ?!

Elle saenouilla cependant et vérifia qu'il respirait toujours tandis qu'un pfilet de sang poisseux imprégnait ses cheveux noirs...

Alors qu'elle se redressait pour se diriger vers la gamine aux fleches folles elle remarqua... Que l'homme portait une fleche enfoncée à un endroit peu commode. Elle fronca les sourcils et manqua d'éclater de rire ! Comment n'avait-il pu sentir cela ? Elle s'approcha d'une comode, il y avait du papier, elle ouvrit les tiroirs à la recherche d'encre et de plume.. Elle trouva son bonheur et inscrivit, totalement hilare ces quelques mots :

Citation:
Messire le vicomte de Saint germain, Dragonet de Castelcerf,

Je crois que vous avez une flèche dans l'cul.

Cordialement,
Bitter le hamster



Elle laissa la plume et l'encre en plan, mit le parchemin dans la main du "médecin" et se dirigea souriante vers le lit ou dormait un démon...
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Kalimalice
Les lames continuent de s’entrechoquer, kali toujours en bonne posture ,l’épée qui attaque ,elle voit l’homme faiblir ,se fatiguer .Il baisse sa garde et elle aussitôt porte un coup d’épée qui entaille l’homme de part deux fois .Le sang gicle et coule sur ses mains .Kali prend le gout de ce sang chaud .C’est elle maintenant qui en veut du sang et cherche même la mort .Alors voyant dans les yeux de l’homme qu’il n’y croyait plus elle attaque de plus belle et plante sa lame dans son flanc
Sa lame rentre dans sa chaire, mais en même temps la lame de l’homme dans un dernier effort rentre dans son épaule


HAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!

La douleur lui extirpe un cri ? Elle lâche son épée et s’agenouille dans la neige .Le froid lui redonne du courage. De sa main elle ramasse un peu de neige et la passe sur son épaule, elle retire sa main, la regarde le sang la rougit.
Et la ce fut une erreur. Ces secondes précieuses perdues .Il est la devant, il commence à la frapper, frappant tant et plus sur son épaule et chaque coup lui arrache un cri et un rictus enlevant tout sourire de son visage.
Elle essaye tant bien que mal de lui rendre .Mais le martèlement de ses coups la laisse parterre, étourdie, un peu partie ailleurs, complètement plus dans le duel qui l’opposait à l’homme.
Elle est la étendue, dans la neige souillée de terre, du feu, de sang .Elle n’a plus rien d’une dame blanche, fière et orgueilleuse .

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kalimalice.....
Ayerin
Nature du genre

Hum,...
Se prélasse la gamine,...
S'étire, la ouate est son asile,...
Son corps est serein, elle se sent légère sans crainte, ses mirettes sont fermées, elle est souriante, sa nature lui redonne vie...
La féérie était dans sa caboche depuis que tout s'était arrêté après sa chute, depuis que l'cornu lui avait fait boire remède -dont elle n'avait point besoin afin de perturber son activité psychédélique- ou boire d'l'élixir de ce père et maitre Bacchus, allez savoir, elle était inconsciente après tout... Bacchus pour qui elle voue un culte depuis quelque temps déjà !

Douce mélasse,...
L'obscurité de la nuit était tout autour d'elle, éprise par ces vapeurs d'ivresse offerte ... la gamine errait en plein bois, sa tour était tout à elle, sans déséquilibre, elle se sentait libre sans aucun mal, la mère nature épelant même son nom "Locarin..."
Pas après pas, elle s'enfonçait, échappait à chaque impasse lui barrant le chemin, elle était insoumise mais soumise aux sons d'instrument d'musique qui lui ouvraient la voie,... "Viens à nous, Locarin,... tu es des nôtres,..." lui susurraient en chantant des voix.

La paix égayait son âme, la môme se sentait même en mesure d'affronter tous démons qui l'empêcheraient d'atteindre son but ... elle se voulait auprès de celles qui la conviaient à les rejoindre, la tête haute, pleine de liesse, plus de compromis, la tête pleine de merveille.

Mouv'ment sur sa droite, une femme courait à travers bois, lui faisant signe d'approcher, sourire qui s'dessine sur la pomme d'la gamine ... une impasse lui fit pourtant face, mais la foret lui ouvrit ses bras, la nature semblait la prendre sous son aile et enfin la gamine pu atteindre son paradis ou son enfer, quelle importance !
S'en fiche, elle se sent éprise de passion incontrôlable alors elle presse le pas et rejoint celle qui lui avait fait signe auparavant ... puis se retrouve parmi elles toutes, délicieuses nymphes du maitre Bacchus.

Les unes couraient, quand d'autres dansaient ça et là, sous une nuit étoilée, offrant plus d'ivresse à la gamine qui en resta stoïque d'voir toutes ces nymphes plus belles et enivrantes les unes que les autres, avec leur longue chevelure échevelée portant couronne de lierre, elles étaient pour la plupart à demi nues sous d'la peau d'bête ou couvertes comme sa muse qui lui tournoyait toujours autour avec d'la tunique quasi transparente ... tournoies sur elle-même la gamine, du coup ne sait même plus ou poser ses mirettes, l'palpitant en pleine déroute, la forêt était dev'nue son essentiel comme jamais elle n'aurait pu l'imaginer, et c'n'était pas un rêve, elle ne le voulait pas ... alors se pinça l'avant bras mais les nymphes étaient toujours là, d'l'instrument en main, en jouant du tambourin et en secouant leurs thyrses,...

Somptueux ballet que ces corps dansant, ondulant ... leur chant remplissant l'air, et la caboche d'la gamine avec,... jusqu'à oublier ces cris discordants qui semblaient parfois déchirer son ère, à lui filer d'la douleur dans l'corps et qui semblait v'nir d'autre part, de cet ailleurs ou elle n'comptait pas aller ... ...

Mais sa tête lui tournait vraiment, porte sa main à sa tempe gauche et une coulée d'carmin lui revint en mémoire,... flash après flash, sa muse disparaissait, fumée et fers bruyants rev'nant plus présents à ses pensées,... elle sentait l'ivresse la quitter, elle sentait son épaule la tirailler, sa muse lui échappait, les nymphes disparaissaient, les unes après les autres, la forêt refermait ses bras, abandonnant la gamine qui luttait afin d'y revenir ... paupières qui s'ouvrent et se referment tente de toutes les retenir mais rien n'y fait... les nymphes n'sont plus !

Tout s'embrouille alors ou tout redevient plus ou moins clair,... tourne la tête et là, l'obscurité disparait au gré d'chandelles posées sur une table à son chevet, ou la gamine était alitée ... et là, elle la voit, c'n'est certes plus sa muse, celle-là avait plutôt la trogne dans un piteux état, un poil bouffie et un air à vouloir la mordre malgré ce sourire qu'elle lui offrait !

Aye observa l'endroit.
Elle semblait être dans une chambre du Palazzo, mais certain'ment pas la sienne. La porte était presque grande ouverte et de là venait un froid léger et peu clément qui lui soufflait sur la trogne, mais au moins il avait l'mérite de la sortir de sa torpeur !
Reluqua ensuite sous la couverture qui jusque là, la réchauffait et se sentit bien nue en dessous. Passe alors en revue l'reste de la pièce et aperçoit la chaise qui lui faisait face,... y voyant ses nippes posées dessus.

Fallait s'décider, prendre un air dégagé car à vue d'nez, la belle à ses côtés n'semblait pas être une soubrette à attendre qu'elle se réveille afin d'lui chanter d'la contine.
Alors que faire ?
Fallait bien qu'elle se décide à entreprendre avant d'se faire embrocher dans un pieu qu'elle ne connaissait même pas en plus ... et elle n'avait pas l'temps non plus d'se demander qui avait bien pu poser son fond'ment sur cette paillasse avant le sien.
Car la donzelle n'la quittait plus des yeux depuis qu'elle s'était rendue compte qu'la gamine faisait l'inspection d'cette carrée. N'pas baisser les mirettes et laisser ce sourire pénétrer son regard qui semblait vouloir lui dire quelque chose que la gamine ne saisissait pas. Elle se gratta les tifs mais que dalle sa tronche n'lui rappelait rien, pas l'moindre souv'nir d'elle. Pourtant malgré ses stigmates, la donzelle était pas dégeu à mater, elle était plutôt tripante même, assise là, toute p'tiote sur sa chaise à la toiser ... faudrait même qu'elle cesse de lui sourire même de facon si menaçante, sinon la môme risquait de lui faire d'la déclaration et il semblerait que ce n'soit pas non plus l'bon moment. Car la belle était armée et habillée, quant à elle, elle était désarmée et carrément défrusquée à l'exception de c'bandage qui lui recouvrait sa blessure à l'épaule !


Hey, poulette, t'veux bien m'filer mes nippes que j'puisse avoir l'air moins quinaude avant de te foutre une raclée … car t'es là pour ça hein, à moins que tu veuilles v'nir sous la couverture avec moi afin d'me réchauffer et m'redonner la chance de me replonger dans mon rêve que t'as certain'ment interrompu avec ta voix d'crécelle … mais malgré tout, ça m'irait ce choix, tu sais, j'suis une pacifiste moi, j'n'ai que d'l'amour à donner à mon prochain !

La gamine fixait tout sourire la bouffie d'la poire, avec l'idée que si elle se décidait pas dans la s'conde à lui obéir, elle s'extirperait d'ce pieu, à poil ou pas, elle ira, elle-même chercher ses nippes, et au pire se battra même en l'état.
Ça n'pourra qu'être plus drôle … mais bon pas tant que ça en fait, car c'est qu'ca caille ces temps-ci !


Alors ?
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Diabolikbarbiturik
L'élan de la vengeance l'avait emporté, un coup donné, un poid enlevé, enfin peut être, du sang versé qui pourtant ne le ramenera pas dans ce bas monde.

Elle n'esquissera pas un sourire à la vue de Wonder à terre, elle aurait presqu'envie de l'aider à ce relever, mais on lui à souvent répété, "un adversaire à terre n'est plus un danger que lorsqu'il est mort !"

Elle regarde la blanche, essayer d'attraper son épee, et du bout de son pied lui rapproche !

T'en veux encore?

Elle lui jète un dernier regard, observe les allentours à la recherche d'un des leurs qui aurait besoin d'elle, puis se retourne avance d'un pas, ne pas regarder en arrière, va de l'avant maintenant se dit elle...
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Dragonet
Tournant le dos à Bitterfly, il apperçut de la fenêtre wonderanny se prendre une raclée et tomber à terre. Il décida finalement de lui venir en aide lorsqu'un choc violent percuta son crane. Lui habituellement si prudent venait de se faire avoir comme un bleu en se laissant distraire par des conflits intérieurs.

Il tomba lourdement, tout aussi lourdement que sa nonchalence. Ce que les alcools ne faisaient plus sur lui depuis longtemps, lui donner mal à la tête, un manche de couteau venait de le faire.

Comme si c'etait nécessaire, pensait elle qu'il se mettrais à son corps défendant devant sa patiente, c'etait peut probable, aprés tout Aye n'avait pas eu de scrupule à la frapper à terre, et quelques pansement de plus ou de moins à appliquer, quelle importance.

Par contre en l'assomant, elle venait d'en faire une affaire personnel à ses yeux, cependant des plus fermés. Là où Aye avait revé de Nymphette, les rêves de Dragonet auraient fait passer la Lune pour des champs Elysées.
Ninjaturtel
Sur un cheval, encore dodotant, en dehors du palazzo...

L'homme qui aura le plus dormit durant tout ce merdier... Pas fameux ni glorieux n'est ce pas ?
On ne peut pas tout avoir et oui, c'est ainsi que je vous transporte à nouveau dans les rêves de Ninja pour vous raconter tout ce qui s'est passer durant le temps où tout le monde se tape.

Boum il se réveille...
Ou est passer le rêve ? Bah il s'en rappelle plus au réveil, vous savez ça vous arrive souvent également, et bien la pas de chance pour lui il ne s'en rappelle pas !

Par contre, quelque chose qu'il se rappelle c'est qu'il s'était réveillé il y a peu...
Il était pour son plus grand plaisir entouré de plein de femme, que s'est il passé après... Aucune idée.

Il se redresse donc du cheval, manque de tomber car n'était pas conscient qu'il dormait encore sur le dos d'un cheval, puis ouvre délicatement les yeux.
Il aurait aimé pouvoir laisser ses narines fermée seulement ce n'était pas possible, il devait se réveiller avec cette puanteur dans le nez, et ces yeux qui avait bien du mal a s'ouvrir entièrement.

Analyser la situation, il regarde autour de lui pour voir ou il est, et ce qui se passe.
Coup de chance, ou plutôt de malchance, il croit voir des gens non loin.
Habitué à faire des réveils vifs, il descend du cheval et la masamune prête a être dégainer il s'approche.

Il voit alors plusieurs femmes, dont une qui s'accroupit vers une autre qui a l'air s'évanouit... (bradbury et elliandra)
Un peu perdu, ne sachant pas ce qu'il se passe, il se précipite tout de même vers la dame, un peu chancelant quand même.


Excusez moi, puis je vous aider ?
Je suis médecin et... j'aimerai savoir ce qui se passe exactement s'il vous plait dit il d'un air embarrassé.
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Rebaile
Fermer les yeux un instant.
Oublier les cris et le bruit des lames alentours.
Oublier cette femme, à portée de main, dont elle a patiemment attendu l'arrivée en ce lieu.
Oublier ces autres, qui la haissent et la veulent morte.
Oublier ce tourbillon de violence en elle, qui la condamne aux yeux de ceux qui ne voient pas plus loin.
Oublier cette tempête dans son esprit, dans laquelle elle se perd et contre laquelle elle ne peut rien. Encore.
Oublier que le monde s'en fout de ses états d'âme et ne l'aidera pas, dans sa souffrance.

Oublier, ne plus penser.
Dos à la grille, attendre. Attendre que vienne son heure, l'heure d'affronter ce passé qui la hante plus que tout.
Ouvrir les yeux avant que tout ne s'embrase en elle.

Elle se relève, la baile, et r'garde le champ de bataille. Ne voit personne, qu'elle... Nanny, à terre, blessée... Fermer les yeux... Se voir courir vers elle, la relever, lui dire qu'elle est là et qu'elle la protègera...
Tu es un loup déguisé en agneau, Baile, mais tu ne seras plus jamais l'agneau!
Les voix explosent dans sa tête en un tumulte assourdissant.
C'est fini Baile, ce n'est plus ta GA, réveille-toi!
Se réveiller?... Comment?... Elle voudrait crever de douleur, ici et maintenant... S'prend la tête dans ses mains mais les voix sont toujours là...
Rebaile est partie. Rebaile nous a trahies. Rebaile est morte!
Faire taire ces voix... Tuer ces voix avant qu'elles ne la tuent... Les arracher de sa tête et hurler qu'elle est Baile, Baile, et que cette femme au sol dont elle avait provoqué la venue à la Cour était Nanny, sa Nanny... au-delà de tout...
Main sur le pommeau d'son épée.. La sortir, trancher dans l'vif...

Mais les voix se taisent, brusquement. Remplacées par des aboiements continus qui lui font ouvrir les yeux. Drizz... Sauvée par le chien d'une auto-décapitation..
Fixe Mys au visage hagard d'une folie annoncée, et revient progressivement à la réalité..
Se rapproche de la jeune femme et sans dire un mot, lui tranche les liens qui la maintenaient à la grille. Retient de justesse l'écuyère, et l'aide à se maintenir debout.

Va-t-en Mys, va-t-en... C'est bientôt la fin...

Détourne les yeux pour les fixer de nouveau sur cette femme au sol luttant pour récupérer son épée... Un cri lui échappe, Qu'elle ne cherche pas à retenir..

Nannyy !

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Finute
A peine était-elle partie vers un point de vue qu’elle vit Azélie, Elliandra. Ela fit un quart de tour et partie en leur direction, manquant de glisser à plusieurs reprises, elle aurait pu recevoir des coups d’épée, se battre, mais rien n’y fait jusqu’à ce qu’elle arriva vers les filles en même temps qu’un homme qu’elle reconnue avec surprise.

Baron ? Que faites-vous donc ici ? Elle était partit peu après ses sœurs et n’avait rien suivit de ce qu’il s’était passé auparavant. Sont regard s’attarda quelques instants sur lui avant de le reporter sur ses sœurs.

La jeune Apprentie mis son arc sur ses épaules aidant ses sœurs. Azélie avait envie d’y retourner, Finute ne la laisserait pas seule.
D’un geste légèrement plus brusque qu’elle ne l’aurait voulu, elle posa sa main sur le bras d’Azélie, la regardant droit dans les yeux.


Azélie, si tu veux y aller, je viens avec toi, et cela, ça ne se discutera pas.

Elle savait Ninja médecin, les filles étaient entre de bonnes mains, elle en était sur pour ce point là. Finute avait un peu de mal avec la médecine, elle savait soigner quelques blessures et maladies, mais cela était tout…
Un regard vers Azélie à qui elle tenait toujours le bras.

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Azzera
Lente descente aux enfers!
La nuit a envahit son esprit... plus aucune douleur, elle est là, avachie sur la neige et elle ne ressent rien... ni la douleur, ni le froid, ni la honte de manquer à son devoir...

Une soeur viendra bien la chercher.... ou pas....
Elle ne voit pas Baile détacher Mysouris, pas plus qu'elle ne réalise que tout continue... que tout commence....

Azzera, apprentie chevalier... sans doute si elle sort de là vivante... rien n'est moins certain....

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Alandrisse
[Après les flammes]

Le voilà ce sentiment d'abandon qu'elle avait oublié dans un recoin de son esprit. Elle était parmi ses soeurs... Couché sur ce sol, ses yeux se perdirent dans le ciel, elle avait toujours aimé regarder cette immensité. On se sentait si petit à côté, insignifiant, Là haut, on ne connaissait ni la douleur, ni la haine. On pouvait être le jour et la nuit en toute quiétude. Il n'y avait ni démon, ni ange, seulement la paix. Elle entendait des sons, des cris... toujours des cris et les flammes qui elle le sentait continuaient de se sustenter.

Peut-être avaient elles commis une erreur en venant ici...peut-être qu'elles n'étaient pas prêtes tout simplement. La plus part était jeune, voulant faire leurs preuves. Mais elles voulaient toutes être des chevaliers, n'y avait il pas le courage dans les préceptes qu'elle avait appris. Ne fallait-il pas choisir un ennemi plus fort que soi? Tellement de valeurs qui se contredisaient en elle, faire plus se dépasser, exiger davantage...devenir ce qu'on est pas au final. Il avait fallu subir tout cela pour qu'elle se rende compte qu'elle n'était pas devenue ce qu'elle voulait. Malgré tout il fallait s'accrocher à ce qui lui restait, l'Ordre des Dames Blanches, ses soeurs, la commanderie et peut-être lui.

Elle n'était pas au seuil de la mort, juste à celui de l'abandon. Sa soeur non loin, elle l'entendit tomber à terre. Même si elle ne pouvait être utile, le soutien était parfois le meilleur des soins. A la force des bras, l'apprentie se redressa, puis s'approcha de sa soeur tant bien que mal. Elle était à portée pour la secouer une bonne fois. Le coup parti rapidement, elle n'avait pas la force de la ramener par la méthode douce. Claque se fit sonore sur sa joue, Azz se mit à réagir. Sa main saignait, toutes deux avaient besoin de soin.

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Jades
Une morsure glacé autant que brulante avait saisit le visage de l'esquire après la frappe de Baile. Frappe dans le dos elle aurait du s'y attendre venant d'une traitresse comme elle.
Les limbes de son esprit l'entourait, une main sur son épaule. Difficilement elle ouvre un œil prête à parer.
Kali l'observa, l'aida, le remit sur pied puis reparti. Un gout de métal se glissa en elle.

Machinalement la Blanche porta la main à sa lèvre. Le contact la saisit douloureusement. A terre des taches de sang qui tranchait avec le manteau neigeux, sur sa main des taches de sang. Point le temps d'y faire plus que d'oublié la douleur. A terre Azzera puis Alandrisse qui tentait de la sortir de ses songes.


Al..

Du sang encore. sur la joue de l'apprentie, sur la main de l'autre. Et qu'avait elle pour les aider? Rien. En quelque pas elle fu à leur coté, agenouiller.

Montre moi ta main. Qu'est-ce qu'il est arrive à Azzera?
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[Bannière en reconstruction]
Bitterly
Bitterly la fixait d'un oeil noir la gamine. Elle semblait dormir, jusqu'à un moment ou ses yeux s'entrouvrirent légèrement, l'Esquire lui laissa le temps de recouvrer quelques peu ses esprits. On ne s'attaque pas à une sale gosse desarmée et probablement nue comme un vers, déjà blessée qui plus est. Cependant son regard était plus glacé encore. Elle jeta qand même un rapide coup d'oeil en direction de Dragonet pour vérifier qu'il était toujours à la même place, au cas où... Mais celui-ci n'avait guère bougé.

Hey, poulette

Elle reporta son attention sur la "blessée" en haussant un sourcil, signe chez elle de très grande contrariété dissimulée.

t'veux bien m'filer mes nippes que j'puisse avoir l'air moins quinaude avant de te foutre une raclée … car t'es là pour ça hein, à moins que tu veuilles v'nir sous la couverture avec moi afin d'me réchauffer et m'redonner la chance de me replonger dans mon rêve que t'as certain'ment interrompu avec ta voix d'crécelle … mais malgré tout, ça m'irait ce choix, tu sais, j'suis une pacifiste moi, j'n'ai que d'l'amour à donner à mon prochain !

Elle restait là sans bouger, que répondre à tant de culot ?..

Alors ?

Bitterly se leva en moins de deux, attrapa les vêtements d'son ennemie du jour, voire de sa vie toute entière, les lui lanca dans la tronche en disant d'un ton posé :

Tiens enfile tes guenilles. M'foutre une raclée ? C'pas un peu paradoxale pour une pacifiste ? Tss tu m'fais bien rire. Ton amour j'en veux pas.
Elle montra son arcade en sang. T'as vu c'que tu m'as fait sale peste ?! Bah savoure, j'te l'rendrais au centuple !

Puis elle ajouta d'un air quelques peu méprisant...

Aller magne toi, j'ai pas que ca à faire, j'dois aider mes soeurs après !

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Elliandra
Excusez moi, puis je vous aider ?
Je suis médecin et... j'aimerai savoir ce qui se passe exactement s'il vous plait


Elliandra se tourna vivement vers la voix masculine, étonnée. Elle écarquilla les yeux de voir le baron debout devant elle. Médecin? Alleluia! Elle ne pu retenir un sourire et faillit le prendre dans ses bras. L'anxiété lui ferait faire n'importe quoi...

Et Finute de les rejoindre et d'afficher le meme étonnement face à Ninja.

Elle se releva alors, prenant le baron par le bras.


Vous allez bien? Vous ne vous souvenez pas de ce que je vous ai dit tout à l'heure? Cour des Miracles? Dames Blanches? Elliandra?

Petit silence.

Vous êtes médecin alors? C'est la meilleure nouvelle que j'ai apprise de la journée! Azélie allait m'expliquer ce qu'avait Brad pour pouvoir la soigner...

Puis elle releva les yeux vers Finute qui s'adressait à sa soeur souhaitant retourner vers le Palazzo. Elle ne leur dit rien et se contenta d'hocher la tête. Puis reportant son attention sur Ninja...

Baron? Je sais que ça doit etre difficile a comprendre mais pourriez-vous vous occuper de Brad? J'ai laissé tomber deux de mes soeurs, j'espère que...

Regard dans leur direction. Un frisson la parcourut lorsqu'elle vit Az s'effondrer. Elle ne finit même pas sa phrase et se précipita, mais Jades était déjà là.

Les larmes lui montèrent aux yeux. Cette impression de ne rien controler, de devoir être partout à la fois, et de ne pas savoir que faire. Elle faillit baisser les bras et se mettre à pleurer comme une gamine... Mais elle se retint, ça n'était vraiment pas le moment. S'il le fallait, une fois rentrée chez elle, elle ferait des cauchemars à n'en plus dormir et pleurerait toutes les larmes de son corps, mais pas là... pas tout de suite, encore un effort...

Que faire? Laisser Jades s'occuper de Azzera et Alandrisse et retourner avec Ninja ou rester là pour aider la Montbazon-Navailles?

Plantée là, au milieu, ses yeux se levèrent vers la grille du Palazzo, et son regard croisa le sien...

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