Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >>

[RP] Ruelle entre le palais des Reys et le bal du Masque

---fromFRAutumn
Les doigts repliés sur l'angle du mur qui la cache, le haut de la tête dépassant à peine, juste pour y voir, Autumn ne bouge plus. La scène sous ses yeux l'épouvante. Où est elle tombée??
Ca grouille de monde, ici, elle ne sait pas qui fait quoi, qui est qui, ni ce qu'il s'est passé, mais ce fut violent, ça, elle le devine facilement! Elle ne veut avoir à faire avec personne, personne!! Sauf lui! Elle a suivi le géant mais il l'a amenée au milieu du chaos.
Un frisson la parcourt, sillonne sa peau encore grasse, parfumée, souple et dorée, malgré les privations et le froid. Elle est habillée de soie, de plusieurs couches de soie, et ça tient normalement assez chaud.. mais ici, tout est glacé, et ça vous rentre sous la peau aussi facilement que coule votre sang. A t-on jamais chaud, ici? Ses babouches de cuir se sont trempées dans la neige, elles sont irrémédiablement abimées et ne la protègent plus.
Elle regrette, elle aurait du parler à l'homme dès le cimetière, car ici, ce n'est pas possible, et c'est peut être trop tard.
Un rat détale non loin d'elle et elle réprime son dégout. Une seconde, derrière ses yeux noirs, apparait le sérail et ses coussins moelleux, ses dorures somptueuses , résonnent le rire des femmes, et les pleurs des enfants trop tendrement gâtés, chauffent les rayons du soleil qui jouent dans les reliefs des dentellures de pierres sculptées à travers desquelles les recluses indolentes espionnent en riant sous cape le monde des hommes. Autumn sait que ce monde est perdu à jamais, et sa raison s'habitue à l'idée funeste d'être libre dans un monde hostile. Mais jamais elle n'aurait imaginé que ce monde fut si violent! Au harem, on empoisonnait grâce à une douce patisserie mielleuse, parfois, on plantait un fin stylet ouvragé dans un coeur trop ambitieux, mais jamais on ne se livrait à cette barbarie.. boucherie. Elle mord dans sa lèvre pleine, avec angoisse. Il lui faut rester cachée, mais elle doit lui demander, à lui en particulier, protection!
Le géant siffle, comme un appel. Elle le devine chez lui dans cette rue comme partout dans ce quartier immonde.
Que faire, Seigneur, que faire!!?
Bireli
Attente… cortège qui s’éloigne et disparait… attente… s’caller contre un mur en guettant l’animal…. siffloter en patientant… mirettes qui toisent Zahra, puis l’ciel… au loin là bas… fumées qui s’dégagent… crémation en cours… voir un départ…

Patience a limites qu’celles qu’on veut bien lui coller dans les pognes… bah là… à s’regarder dans l’blanc des yeux à s’faire risettes et grimaces… ça commence à lui prendre la tête… l’a beau avoir la réputation qu’il a, il a l’air d’un gros béta à r’garder tout autour comme ça… s’bouger, défiler d’vant lui en hochant la caboche sur l’coté, sourire en coin… envoyer au passage sur les groles d’la masse un beau molard, juste pour l’souv’nir…


A tantôt l’affreux… ou non…
Et paume pas ta hache, t’aurais vraiment l’air du Rey des abrutis…


Finir son tour de place… signe de tête vers la Libertadienne, épaules qui s’soulèvent… autre guss avec une tête pas claire dans un coin, sarbacané prêt à l’emploi… hauss’ment d’sourcils… le v’la donc l’sifflement… faire un écart pour lui lâcher deux mots avant d’reprendre la route…

Range ça l’ami… on va pas l’grailler ton p’tit patron… l’est bien trop mignon…

D’se diriger vers Lycia, amusé qu’elle soit dans les parages après la séparation au Palazzo… n’rien afficher sur sa face, elle l’sait assez… gourde à moitié pleine sortie… il pèle… s’réchauffer avec c’qu’on a… gorgée pour l’chemin à parcourir… lui tendre en s’marrant… doigts qui s'effleurent...

Bah t’es là…
J’bouge saluer un homme qui a choisi sa vie et sa mort…
Un Libertadien…
T’viens s’tu veux… ç’prendra pas longtemps…


Tourner les talons et r’partir l’Mont hurlant… flammes à apercevoir… disparition à respecter pour derniers adieux envoyés…
Garder la paluche sur la garde… impression qu’des têtes peuvent voler facil’ment…

_________________
---fromFRZahra
En silence. Bienvenue...qui se dissipe. Suivi d’un bruit... le sifflement. C’est qu’il prévient un... chien ? C’est... une surprise.
Observer. Se rendre seule, juste seule près d’une... bête. Observer. L’énormité... souillée. Où l’on confond... odeur de sueur.
Horreur d’une mort, tout... en couleur. Monstruosité... douée pour te torturer. Intérêt. Lorsque l’homme montre les... crocs.

Intérêt. Divertissement. Est-elle expressive ? Neni... elle retient l’envie. Sourire... noir, et toiser pour profiter d’un inconnu.
In Tenebris, en petite... visite. Honneur d’une... rencontre. Déshonneur d’une... présence. Second... pion en position. Chien.
Ombre... comme pénombre. Observer... un jouet. Que lui réserve-t-il ? Une surprise... empoisonnée ? Peut-être... elle recule.

Non loin... une curieuse. En veut-elle... un peu ? Si oui. Miss risque... de le ressentir. S’en servir ? C’est... une idée, un intérêt.
Derrière. Elle l’entend le... Bireli. L’animal... maître impatient. Regarder... le spectacle. D’une saveur... dégueulasse.
Hum.
Zahra... au passage, hausse les épaules. Geste vers... Halleck. Regard... s’attardant à sa gauche. Elle désigne... miséreuse.

Elle désigne... curieuse. Conseil. Pour un mollusque.
Cueille une fleur. C’est mieux que de compter les mouches. Elle le défie.
L’enfoncer... leçon. Tu t’es trompé de. Sourire... noir. Période. Réveille-toi. Reculer... prendre le temps. Elle n’est guère... pressée.
Regret. S’incliner... si peu d’intérêt. Jusqu’à la fin... elle l'a nargué. Attendant... la lame à l’épaule. Avant de disparaître... nonchalante.

_________________
---fromFRLailah
Un peut plus loin dans l'ombre.

Une jeune demoiselle fait une marche, elle est distraite
et sen s'en appercevoir elle a emprunté une ruel qu'elle ne connaît pas.
Elle continu d'un pas décidé et est dans ses préoccupations.


Une Ombre la suit et l'observe, au moment ou elle passe
près d'une bâtis, même la lueur de la lune ne peut plus l'éclairer.
L'ombre en profite pour se jetter sur elle et d'une morsure dans le cou
s'abreuva jusqu'a plus soiffe. Elle n'avait qu'une petite soiffe, la belle
a encore de la vie qui cour dans ses veines et se débat pour se libérer
et cour le plus vite, le plus loin, elle s'essoufle, la bête de l'ombre
la suit de trop près encore, elle s'épuise, devien faible, perd ses forces,
le sang qu'elle a perdu l'affaibli, la blessure a son cou lui brûle.

La Bête de l'ombre est décidé a l'achever et la pousuit jusqu'èa un cimetière.

_________________

Épouse de Angel of the nigth et mère de Angélique.
---fromFRAnonymous
" Nous étions cinq à six bons bougres
Revenant de Longjumeaux
Nous entrâmes dans une auberge
Pour y boire du vin nouveaux, Oh !

C'est à boire, à boire, à boireuuuh
C'est à boire qu'il nous faut ! Ohooooh !"

Cela manquait un peu d'echo mais qu'importe ! Le p'tit provincial sans le sou venait depuis peu d'arriver dans la capitale. Quitte a être pauvre, autant l'être a Paris que dans le fond de sa cambrousse ! Et qui sait, peut être trouverait il sa fortune ici. Mais avec rien dans les bras et e savant que manier les cure-dents il n'ira pas forcement très loin... Cela dit au moins son visage n'est pas encore cabossé, quoi qu'il ne vaudra certainement que peu de temps en voyant dans la rue où il est tombé... M'enfin, lui manque un oeil qu'en même. Haren, se prononce Harenne et pas harant, quoi que vu l'odeur c'est pas loin, se frotta le haut du grande semblant un brin perdu...

"Mais qu'est ce que je fou ici ? Ces quartiers m'ont l'air énormément accueillants ! Il vaudrait que je demande mon chemin a quelqu'un ou... Ou trouver une taverne ou je pourrais me réchauffer qui j'espère, ne me fera pas payer la consommation."

Lui voler ? Jamais ! C'est pas un voleur et de toute façon c'est le talent qui lui manque. O ! Il a bien essayé je vous assure mais le résultat était moche a voir. Même ses parents avaient flairés ses qualités de bon a rien des sa naissance et l'avaient abandonnés. Mais c'est pas lui qui va s'en plaindre... Il a qu'en même survécu jusqu'ici grâce a la bonté de quelques gens qui s'était estompé. Il aurait mieux fait de se pendre, mais l'idée ne lui avait jamais traversé l'esprit...

"Bon bon bon... Je vais où maintenant ?"

Le choix est dure en sachant qu'il est au milieu de la rue et qu'il n'y a pas encore d'intersection.

"Ah !"

Haren semblait légèrement agacé de sa question.

"Tout droit pour l'instant..."

Le voila enfin a une intersection.

"Bon bon bon... Je vais où maintenant ? Gauche... Droite..."

Il y avait un truc en ruine qui ressemblait a rien, ou une sorte de grande bâtisse aux allures de palais. Un peu de luxe ne serait pas de refus... Surtout que des ruines ne l'attire pas. En avant pour tenter de squatter un lieu qui pourrait être gardé ! Un pavé ressortant un peu plus que les autres... Haren se cassa la gueule par terre et s'éclata, juste un peu, le nez... L'homme se releva et essuya d'un revers de manche le mince filet de sang qui coulait de son nez...

"J'ai toujours eu de la chance dans ma vie."
---fromFR.:Syphaël:.
Fuir, le voleur n'avait que ce mot là à la bouche.
Fuir très loin, le plus vite possible et échapper à tous ceux qui l'avaient vus là bas, à la Rose Pourpre.
Ne jamais regarder derrière, toujours regarder là où tu poses les pieds afin de ne pas tomber n'importe où...

Il n'était peut-être pas très bon en matière de vol mais pour ce qui était de prendre la fuite, il était parfois très dur de l'égaler.
Il court le plus vite possible, tenant fermement le baluchon renfermant son butin si précieux à ses yeux et au bout de la rue, à quelques dizaines de mètres de là, une ruelle, endroit idéal pour se cacher.
Il se dépêche, il accélère la cadence de ses pas et bientôt il arrive face à la sombre et petite ruelle.

Retourna toi un moment afin d'apercevoir la progression des flammes loin dans la Cour. Il ne sais pas ce qui est devenu du Quartier Pourpre mais il s'en moque, la seule chose qui l'importe est ce qu'il tient dans ses mains et qu'il évite de montrer aux passants.

Il pose son derrière sur une caisse en bois qui manque de s'écrouler sous le poid de son corps, il cache le baluchon derrière lui dans une autre caisse.
Le visage plein de crasse, 'esprit complètement embourbé et la sensation d'être l'auteur d'un crime contre tout une Cour.

Ce n'est pas de sa fautte non, c'est la rouquine qui à lancée la chandelle qui mit le feu à la chambre, il n'y est pour rien dans cette histoire mais pourtant... le fait d'être le responsable de cet incendie ne lui déplait pas vraiment loin de là.

Il s'imagine déjà traverser la Cour, les regards se posant un à un sur lui et tout sa à cause de cette soirée qui restera sans aucun doute gravée dans les mémoires de la Cour des miracles.

Cette odeur, l'odeur du diable, l'odeur des enfers. Le vent à tourner et le feu à suivit une tout autre direction mais... ce n'est pas de sa fautte, à lui de le prouver désormais même s'il sait déjà que cette tâche sera vraiment difficile.

Mais il ne peut pas mentir et se faire passer pour l'auteur de ce tragic accident car mentir serait alors trahir la Cour, trahir celle qui la accueillie depuis toujours alors que son destin était en train de changer...

_________________
Je suis en internat : Disponnible le vendredi, samedi et dimanche.
---fromFRWoom
L'homme avait une nouvelle fois disparu, encore une fois... Woom était à bout de souffle, le voleur l'avait fait courir longtemps et si Woom n'avait pas perdu sa trace jusqu'à présent, c'était dû à la chance, seulement à la chance.

Il était à présent dans une grande rue, de tout bords, il y avait des ruelles sombres, des culs-de-sac. Il y en avait au moins une dizaine,Woom avait perdu le voleur.

Il s'apprêtait à abandonner lorsqu'il vit dans une petite ruelle, une silhouette assise sur une caisse. Woom crut rêver, il s'approcha et vit que c'était un homme, la pénombre hélas, ne lui permettait pas de mieux distinguer les traits de l'inconnu.

Woom s'engagea dans la ruelle et se plaça devant une pile de caisse, de sorte que personne de la grande ne puisse voir l'homme et lui. Là, Woom prit son arc, encocha une flèche, s'il voulait savoir qui était l'inconnu, autant le tuer, ce serait la manière la plus rapide et la plus efficace. De plus, si c'était le voleur, Woom pourrait prendre le butin.

Il tendit la corde... et celle-ci émit un craquement sonore, typique quand la corde est trop vieille. Woom leva les yeux au ciel, la silhouette l'avait repéré, il opta donc pour un tout autre plan. Il abaissa son arc et demanda:


Holà messire, qui êtes-vous ? Et que faîtes-vous donc dans une ruelle si sombre aux heures où un feu ravage des bâtiments entier ?
---fromFR.:Syphaël:.
La lune si présente éclaire toutes les parties de la Cour misent en évidence.
Les flammes grondent, les habitants crient...
Des personnes se ruent sur les flammes au loin pour tenter de les éteindre.
D'autres encore prennent maladroitement feu et sont contraint de se rouler dans la neige.

Une vision aux yeux de Syphaël lui donnant le sourire aux lèvres, c'est une vision pour le moins ilarante, c'est ainsi qu'il voit les choses...
Seul, assis sur la caisse en bois il attend, simplement il attend que le temps passe avant de pouvoir reprendre sa route vers un endroit sûr, loin de toute l'agitation de la Cour.

Réel désastre qu'il vient de commettre, il en est presque fiers et serait même prêt à s'en vanter auprès des siens s'ils le pouvaient.
Mais le calme de la ruelle dans laquelle il se trouvait fut interrompu par la venue de ce qui à première vue était un homme.

Un bruit de corde qui lâche, encore une situation pouvant faire rire Syphaël qui souriait déjà en regardant celui qui se prétendait être un bon archer rien que dans ses manières et... dans ses paroles.
Encore un nouveau à la Cour qui se croit avoir tous les droits. Syphaël en a plus que marre de ce genre de situation.

Regard rapide, il empoigne son sac renfermant le butin.
Il se lève puis se rapproche du nouveau venu, le regardant droit dans les yeux avant de lui dire à voix basse.

« Écoute, tu apprendra bien vite qu'il vaut mieux se mailer de ses propres affaires si l'on ne veut pas finir au fond d'un lac, une pierre accrochée à un pied ou... se retrouver bruler au milieu d'un terrible incendie ! »

Sourire aux lèvres, il le regarde une dernière fois avant de s'éclipser à nouveau vers un endroit encore plus sombre et plus mystérieux de la Cour, prenant cette fois si le soin de ne pas se faire suivre par un autre inconnue de passage...

_________________
Je suis en internat : Disponnible le vendredi, samedi et dimanche.
---fromFRWoom
Woom leva les yeux au ciel, le voleur avait dû le prendre pour un réel idiot. Il aurait bien fait de le tuer, malgré ce bruit de corde, il n'aurait pas été blessé dans son orgueil au moins. Woom ne savait pas pourquoi il ne l'avait pas tué d'ailleurs, il y réfléchissait mais ne trouvait pas pourquoi il avait fait un tel cadeau à un voleur.

L'homme avait déjà disparu, dans on ne sait quelle direction. Woom remit son arc à l'épaule et planta la flèche dans la caisse, rageur... Il était passé à côté d'une jolie somme, quelle déception. Il leva la tête vers la lune, songeur...

Enfin, quelques minutes plus tard, il se remit en marche, tête basse, déçu. Il se mit à déambuler sans but précis: essayer de retrouver le voleur, aider les gens à éteindre le feu, ou encore partir loin d'ici...
---fromFRAznar de L'aube rouge
Quel besoin, étrange question. Quand l’ogre véreux d’Opale cogne sur la tête de son petit cousin par alliance, la technique peut être frustre elle ne lui en donne pas moins raison. De fait, l’autre, passé de vie à trépas, ne viendra plus lui tenir la dragée haute. Ha. Faut-il en tirer la conclusion qu’on n’utilise ses bras, gourdins, lames, pagaies, fer à cheval, tisonnier, vase opulent, seulement lorsqu’il n’est point possible de soutenir une opposition. Probable, probable.

Moue renfrognée et haussement d’épaules, il se renseignait, voilà tout, il faut bien et le bougre aurait pu se trouver satisfait d’être ainsi invité à participer activement à son apprentissage.


Tout de même, la riposte était assez disproportionnée. Dépense d’énergie bien futile.

Pour une pierre, même pas grosse, se jeter ainsi dans les draps de la mort, sont ils bêtes. Le géant roule des mécaniques, l’air de rien. Vrai qu’il avait été surpris de la contre attaque mais arpenter la ville aux côtés de son Oncle qui venait de dézinguer, péter la tronche, éclater la face, faire avaler ses dents à ce type, lui marave la gueule, ça lui faisait regretter qu’il n’y ait personne dans la rue, il aurait pu leur faire des regards façon, viens y, aller, viens y, t’as peur hein ! Il avance, agitant les poings pour boxer le vide.

Puis, il avait aimé le son. SPROUNTCH. Un peu juteux et, en même temps, résistant. Ca lui aurait plut de recommencer. Il faudrait pouvoir essayer d’autres matières. Qu’est ce que cela donnerait avec un pot de terre ou une chausse ferrée ou …. un boulet … Il s’arrête, enfonce les mains dans les poches. Evidement le boulet c’est lourd, cela obligerait de plus à une position en hauteur.

La marche reprend, il n’a pas tout compris au discours de son Oncle. « Mon neveu, vous vous comportez en dilettante », cela le laisse songeur. Un bout de bois le distrait quelques secondes au bout de sa godasse, à l’envoyer voyager au royaume des braises essoufflées. Nouvel arrêt, face au masque et il dit :


Les tentes.

Il repart, allongeant l’enjambée tente de caler son pas au sien, par tous les DIABLES que ces jambes sont courtes.

Job, c’est votre voisin de palier ?

Même les Encapuchonnés doivent avoir des voisins. Ils en avaient bien eux à Valence.

Un balcon à balustrade, c’est ça qu’il faudrait.

Ses mains s’écartent en un lâché calculé. Il s’y voyait bien lui, allongé au sol, les bras entre les barreaux de fers, le boulet ajusté à ses mains à attendre qu’un cobaye de qualité passe. Blarf !
_________________
---fromFRBelzébuth l'Encapuchonné
Marcher, sans armes, dans les rues de la Cour des Miracles, et se sentir invulnérable. L’être. Car qui ne craint rien n’a rien à craindre. C’est aussi ça, être démon. Errer, mais savoir. Avoir sous ses pieds le Monde, mais le porter dans son esprit. Façonner, inexpugnable, du haut de sa science. Franchir le Crime, et lui commander. Franchir le Pur, et le souiller. Marcher toujours, d’un pas inéluctable, sans trêve ni hâte.
Insaisissable.
Il ajuste son masque. Il tâte l’étoffe de sa bure. Et il a un affreux sourire qu’heureusement les mortels ne contemplent pas. Il rit, et, tel l’un des cavaliers après l’Apocalypse, contemple la Cour des Ruines. Ah, Babylone…


Sens comme le temps est lourd, rien ne sera plus comme avant.

Le murmure s’envole, il pose sa main sur l’épaule du gamin. Main qui se crispe, volte violente, le gosse est face à lui.

Schblaff !

Petit, tu es un brutal. On ne peut faire mal sans connaître soi-même la douleur, voilà qui est fait.


Sourire satisfait sous le masque, la gifle est jolie. Sûr que sa mère le couve, après tout, il doit découvrir la vie. La vie et le respect.
Seuls les Princes Démons sont invulnérables.


Une masure un peu plus haute, a demi effondrée, branlante, mais droite, au milieu d’un ilôt épargné par l’incendie, attire le regard du Prince. La demeure du Rey. Il sourit. Des bienfaiteurs, des généreux, des imbéciles, quoi !

Maintenant, on va voir de quoi sont capables tes nerfs. Tu vas rentrer dans ce… rire sarcastique Palais, faire l’affamé, et obtenir de quoi te nourrir pour aujourd’hui.
Il n'y a pas de mal à profiter de la crédulité et de la générosité d'autrui, n'est-ce pas ?

_________________
Bien mal acquis profite... mais plus à la même personne, voilà tout !
---fromFRAznar de L'aube rouge
Crotte de flute, bigre, peste, bougre, diantre, fichtre, ta mère ROGNUTUDJIOU DEDIIIIIIIIIIOU !

Ho le malade, le dingue, le fou furieux, l'insondable névropathe, le loufdingue toutes catégories, le désembrayé du neurone !

Il aurait bien pleuré seulement le choc lui a fait remonter toutes sécrétions lacrymales jusqu'aux sources. Une bouffe, il venait de se ramasser ce geste de légende dont il avait ouï dire l'existence mais jamais encore rencontré de spécimen vivant. La talmouse a cinq tentacules est donc bien réelle, ce n'est pas simplement cette chose qu'un père agite sous les nez du géant les jours d'entente cordiale.

S'il avait pu escompter quelques centimètres supplémentaires, il se serait fendu à son tour d'une leçon à l'attention de l'Oncle, les canines maternelles s'héritent. Toutefois ... toutefois, il ne fallait pas tenter le Belzébuth, celui-ci avait le bras trop long et la pédagogie chevillée au corps des autres.

Sa grandeur la Radinerie venait de s'offrir la plus grosse dette jamais reconnue. Ca prendrait le temps qu'il faudrait mais par tous les &µ£#§ de la création, ça allait se payer. Façon usure. Il allait régler ça à sa manière. Pas la peine d'en parler au père, celui là était bien capable d'en rajouter une lichette, quant à la saveur ... non non, ce serait trop facile et le plaisir retiré du son déchirant des chairs de l'Oncle ne serait que fugace.

Une vieille histoire de lion contée au coin de l'âtre.


Patience et longueur de temps ...

Plier l'échine c'était ce qu'il y avait de plus judicieux pour le moment. Et réfléchir, remuer des projets et surtout, surtout, se taire. Un reniflement, une joue frottée avec délicatesse, un gnourf qui s'en vient caresser le mollet, le géant se dandine. Résolu il l'est, mais ça chauffe, puis ça fait mal oui. Comme quand on s'emmêle les pinceaux sans avoir le réflexe de porter les mains en avant. La seule différence étant que dans ce cas de figure, c'est le sol qui lui a sauté au visage.

J'y vais.

Lui tourner le dos et mettre le cap sur la maison désignée. Tu vas voir l'Oncle, tu vas voir ...

Je suis Aznar de l'Aube Rouge fils d'Azazel Lupus Luxuriae, Prince Démon de la Luxure et de Calembredaine Louve des Royaumes Sans Limites, Saveur de Toutes Choses ... ça va chier.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)