Alphy
[27 Moulin d'Alphy]
Urp cétait donc lui fidèle à lui-même toujours là où on ne lattendait pas et pas sous une barque ce coup-ci Elle lentend il ricane comme à son habitude et se pavane
Elle se redresse en grimaçant, sa cheville la fait souffrir, prise dans le drap, elle sest tordue plus que la nature ne lui permet habituellement
Non nenfoncez pas cette porte, jai pas les moyens de la faire refaire... jarrive
Telle une déesse au temps des olympiades enfin ce quelle pouvait en imaginer ou une momie peut-être plutôt, la voilà qui se drape au mieux et sautillant se rapproche de la porte de bois.
Je je ne suis pas habillée, alors je vous ouvre mais vous me laisserez le temps de me tenir décente devant vous, je compte sur vous car je crois que vous allez devoir me mener au monastère plus tôt que prévu
Elle fait glisser le loquet et ouvre la porte de la grange et apparaît, le teint sûrement pâle, se tenant de côté sur un pied.
Vous ne mavez pas fait chavirer mais je ne vais pas pouvoir être un bon guide je pense prochainement à Niort, je comptais déjà aller prendre repos chez les surs avant de repartir, mais je vais vous demander de my amener sil vous plaît, dès que jaurai repris... tenue humaine un petit sourire forcé, son coude la lance et elle tient fermement malgré tout le drap autour delle. Voilà... Restez là, je vais essayer de faire vite.
Elle se retourne et séloigne avec ses vêtements dans le coin le plus sombre de la grange pour shabiller, elle est consciente que cela met un temps assez important et espère ne pas devoir demander de laide. Elle opte pour le plus simple, pas de corset, elle ne peut pas le lacer, sa chemise simplement qui se colle sur sa blessure au coude, elle soupire. Sa jupe et ses chausses dont elle narrive pas refermer sur le pied droit le lacet et par-dessus le tout sa cape pour avoir un peu plus chaud. Elle prend une grande respiration, se sent après ses contorsions en sueurs et secoue la tête
Sapprochant de Urp, elle finit par lui sourire. Je peux ? Elle lui prend le bras, sans attendre et le regarde comme une enfant.
Vous voulez bien hein ? Il nest pas loin le monastère et puis elles mattendaient les surs nous pourrons parler sur le chemin sur vos intentions durant mon absence. Elle sappuie un peu plus quelle ne le souhaiterait sur son bras, car naimant pas demander de laide, mais elle na pas le choix alors sourit un peu plus pour se faire pardonner.
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Urp cétait donc lui fidèle à lui-même toujours là où on ne lattendait pas et pas sous une barque ce coup-ci Elle lentend il ricane comme à son habitude et se pavane
Elle se redresse en grimaçant, sa cheville la fait souffrir, prise dans le drap, elle sest tordue plus que la nature ne lui permet habituellement
Non nenfoncez pas cette porte, jai pas les moyens de la faire refaire... jarrive
Telle une déesse au temps des olympiades enfin ce quelle pouvait en imaginer ou une momie peut-être plutôt, la voilà qui se drape au mieux et sautillant se rapproche de la porte de bois.
Je je ne suis pas habillée, alors je vous ouvre mais vous me laisserez le temps de me tenir décente devant vous, je compte sur vous car je crois que vous allez devoir me mener au monastère plus tôt que prévu
Elle fait glisser le loquet et ouvre la porte de la grange et apparaît, le teint sûrement pâle, se tenant de côté sur un pied.
Vous ne mavez pas fait chavirer mais je ne vais pas pouvoir être un bon guide je pense prochainement à Niort, je comptais déjà aller prendre repos chez les surs avant de repartir, mais je vais vous demander de my amener sil vous plaît, dès que jaurai repris... tenue humaine un petit sourire forcé, son coude la lance et elle tient fermement malgré tout le drap autour delle. Voilà... Restez là, je vais essayer de faire vite.
Elle se retourne et séloigne avec ses vêtements dans le coin le plus sombre de la grange pour shabiller, elle est consciente que cela met un temps assez important et espère ne pas devoir demander de laide. Elle opte pour le plus simple, pas de corset, elle ne peut pas le lacer, sa chemise simplement qui se colle sur sa blessure au coude, elle soupire. Sa jupe et ses chausses dont elle narrive pas refermer sur le pied droit le lacet et par-dessus le tout sa cape pour avoir un peu plus chaud. Elle prend une grande respiration, se sent après ses contorsions en sueurs et secoue la tête
Sapprochant de Urp, elle finit par lui sourire. Je peux ? Elle lui prend le bras, sans attendre et le regarde comme une enfant.
Vous voulez bien hein ? Il nest pas loin le monastère et puis elles mattendaient les surs nous pourrons parler sur le chemin sur vos intentions durant mon absence. Elle sappuie un peu plus quelle ne le souhaiterait sur son bras, car naimant pas demander de laide, mais elle na pas le choix alors sourit un peu plus pour se faire pardonner.
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