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[RP]Repère des spécialistes de bêtises en tout genre

Adenora
Sans doute exaltée par le souvenir de ces instants privilégiés en compagnie de son amoureux et de son papa, la petite rouquine se montra des plus loquace.

Ahhhh! C'était un gage pour le perdant alors!
Tu veux te mesurer à moi? Cela revient-il à dire que tu as souvent perdu... heuuu, que tu t'es beaucoup entrainé depuis je veux dire.

En tout cas je suis plutôt douée pour le cochon pendu, nous verrons bien pour le poirier.


Adenora débarrassa leur table improvisée, secoua l’étoffe, puis demanda à son amie.

Autre chose à me raconter ma belle? Ou tu veux redescendre pour que nous jouions dans la forêt?

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Eliotte
Eli était venue à la cabane pour venir chercher des munitions et aussi pleins de choses pour décorer le sapin de david.

Elle était sûr qu'elle trouverait toutes les choses qu'elle avait besoin. La forêt était une mine d'or pour ceux qui savaient chercher et surtout regarder. Ensuite, on pouvait faire des décorations, des cadeaux en tout genre.

Pour la petite rousse chipie, la forêt était un vrai coffre à jouet et des moments de bonheur à passer.

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Eliotte
Avant de partir, éliotte avait toujours suivi ce cérémonial. Dire kenavo à sa petite cabane où elle avait déjà vécu tellement de chose les joies comme les larmes.

Elle fit le tour doucement et la laissait en garde à grand tonton qui veillait toujours sur la cabane quand éli n'était pas là.

la petite rousse était tellement gâtée d'avoir une grande famille et être entourée comme ça. Mais, elle ne voyait pas sa chance même si inconsciemment elle le savait.

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Celiano
Un jour de début de Mars 1461, dans la fraicheur du petit matin, le blond s'aventure dans la forêt de Rohan, à la recherche de cette cabane aux mille et une bêtises. En effet, sa petite rousse préférée et adorée lui avait donné pour mission de s'occuper de la dite cabane pendant son absence.
Néanmoins, trouver le repère ne fut pas si aisé qu'il l'avait pensé.
Mais enfin l'endroit se dévoile et le blond jette un coup d’œil en l'air, regardant la fameuse cabane perchée en haut d'un arbre massif. Et il ose se lancer à l'ascension.
Grimpé là haut, il ne manque pas de se cogner la tête, bah oui, le plafond est bas pour un grand comme lui ! De son point de vue perché, il observe les alentours et comprend pourquoi la petite chipie aime s'y réfugier. L'endroit est calme, paisible, silencieux, sans personne à l'horizon pour venir déranger. Un instant durant, il reste là, à contempler le soleil levant de la fenêtre et espère qu'Eliotte ne lui en voudra pas d'être monté dans son repère. Surement que non, puisqu'elle l'a chargé de s'en occuper ! Et comme il lui avait promis, il entreprend de se charger de la cabane en la dépoussiérant un peu, histoire qu'elle ne soit pas trop sale au retour de la petite rousse. L'affaire ne lui prend que quelques minutes et l'endroit enfin dépoussiéré fait sourire le blond, qui se remémore des souvenirs de son enfance.
Après un quart d'heure passé dans le repère, il reprend finalement le chemin de sa maison, récoltant au passage quelques fleurs fraichement poussées pour la femme de sa vie !

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Eliotte
Le retour de sa mère, le mariage de son père et sans doute l'annonce qui n'allait pas tarder d'un autre enfant qui pue et pleure, humm cela en faisait beaucoup pour la petite rousse chipie.

Elle décida de retourner dans son refuge, au fond du bois, dans sa cabane. Elle y apporta son journal de voyage afin de le cacher. Elle pourra continuer à l'écrire .





Avant de vous raconter ma nouvelle aventure en bateau et en terre celte, je vais me présenter. Je suis une petite fille rousse de 11 ans, dénommée Eliotte et je suis la chipie officielle de Rohan et là je dois dire que j’en suis très fière. Après un début de vie assez difficile car je fus rejeté par mes vrais parents car selon eux et une partie du village les enfants aux cheveux rouges étaient les enfants du diable.

Puis, un jour, je fis la rencontre d’un petit garçon aux cheveux rouges aussi et on devint inséparable mais ce dernier retourna chez lui à Felger. Un matin, ma décision fut prise, je préparais donc mon balluchon et je pris la route pendant des jours et des jours en traversant des forêts sombres mais je devais le faire, je devais fuir cette vie pour retrouver une autre vie auprès de nanour.

Voilà comment ma nouvelle vie commença à Felger d’abord où je fus adoptée par toute une tribu de fous, je dois dire mais tellement adorables. Puis, à cause d’une méchante grenouille, nous avons tous déménagé pour aller vivre à Rohan et c’est toujours dans cette ville que je demeure.
Mais, une nouvelle fois ma vie changea quand je fus adopté par un charmant messire et qui est devenu à jamais mon papa.

Voilà, nous sommes de retour dans le présent…….

Mercredi 6 février

Le début de l’aventure………….

Après un premier voyage avec mon père et des amis qui s’était mal fini puisque mon papa s’était séparé de sa compagne du moment et qui s’était enfuit avec leur fille, un bébé qui pue et pleure. Il était clair que pour une petite rousse comme moi, ce n’était pas bien grave car mon seul rêve était de rester la fille unique de papa.

Mais passons je n’aime pas raconter mon histoire car elle est tellement triste et que je préfére oublier et vivre ma nouvelle vie, mais il en sortait tout de même un lourd passif avec les adultes et les femmes en particulier.
En cela, mon père ne m’avait guère aidé car il avait le don de choisir des dames qui ne le méritaient pas et qui finissaient par détester la relation entre le père et la fille pour aboutir finalement à une rupture.

Enfin bref reprenons mon récit car je suis une vraie pipelette quand je m’y mets comme dit mon paparoux. Ah oui au fait, paparoux ce n’est pas mon papa hein, on ne mélange pas. Mon papa c’est gui de guennec.
Paparoux c’est un messire que nanour et moi on a adopté car il est tout roux aussi et cela nous amuse de l’appeler paparoux.

Mais je continue mon récit de voyage enfin je le commence plutôt hihi….

Voilà donc déjà plusieurs jours que mon nanour et moi étions montés à bord du navire avec mon papa et flore.
Il faut dire que j’attendais cela depuis plusieurs mois car c’était une grande promesse de mon papa pour se faire pardonner de la dernière relation, et en plus, enfin j’étais sur un navire.
J’en rêvais depuis que la famille de cœur avait acheté un bateau mais je n’avais pas eu encore la chance de monter à bord.
Mais mon paparoux m’avait promis et même que je serais capitaine. Cela sera chouette et nanour sera jaloux et na.

Afin de préparer ce nouveau voyage ci, j’avais tout préparé et tout organisé au mieux. Papa m’avait dit que chacun aurait des tâches bien précises une fois sur le bateau et ça c’était une demande du capitaine Carla mais surnommée par moi « grande portion ». Il faut dire que « grande portion » n’aimait pas les enfants et elle les nommait « demi portion »

Ainsi, j’avais décidé que mon papa et flore feraient toute la partie logistique à savoir nourriture, rangement, câlin, bisous et récitation d’histoire pour nous endormir.

Pendant ce temps, nanour et moi, on pêche, fait des concours, des parties de cache-cache enfin vous voyez quoi, une vraie vie de petits roux.

Après un séjour de deux jours à Vannes pour dire un demat au meilleur ami de mon papa et que je considère comme un tonton.

Arriva le jour de l’embarquement et 1er jour sur le bateau et 1er jour de pêche,

Comme personne ne s’occupait de nous, les deux petits roux, que nous étions, avaient commencé par aller chercher notre attirail de pêche avec les appâts car nous avions tout prévu et nous avions passé deux jours à ramasser des tonnes et des tonnes de vers de terre et aussi nous avions pris sur nous notre stock de mouches car bien évidemment cela n’était pas la saison pour les mouches.

Mais des spécialistes de bêtises comme nous, devaient tout prévoir.

Cependant, nous passions tellement de temps à discuter et à regarder par-dessus bord les animaux dans la mer et aussi à courir partout sur le pont car tout était neuf et nous étions très curieux.

Qu'au final, nous n’avions rien pêcher.

En plus, après manger, nous ne savions pas où nous allions dormir car personne nous avait parlé d’une cabine alors nous avons dormi sur le pont et dans les voiles.

Il faisait froid alors nous nous sommes serrés l’un contre l’autre mais c’était magnifique avec pleins d’étoiles dans le ciel.

Jeudi 7 février - 2ème jour sur le bateau et 2ème jour de pêche,

Après une nuit fraîche, nous avons activé nos cerveaux pour trouver un changement de style. Pas question de rester deux jours sans pêcher un seul poisson, nous les spécialistes de la pêche de jour et de nuit.

Alors, avec nanour, nous nous sommes concentrés sur la pêche avec un objectif bien précis. Donc pas question de se laisser aller et surtout il a fallu que nous évitions les distractions, oreilles et yeux fermés à tout et là ce fut la réussite.

Un poisson chacun....

Youpiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Mais nous nous étions tellement consacrés, que nous n'avions pas remarqué que le bateau avait fait escale à Brest et que des passagers étaient montés et dont une petite fille. Il faut dire que l’escale fut de courte durée avec l’ordre formel de ne pas descendre à quai ce qui il faut être franche sans importance pour nous car nous avions trop de choses à faire avec les poissons de la mer qui étaient tellement têtus pire que mon papa, c’est pas peu dire.

Ah nous voilà avec chacun poisson et nous étions supers fiers et surtout que flore n'avait pas réussi en avoir un et nous étions pliés de rire. On s’est mis à sauter partout et nous partîmes à la recherche de papa pour lui montrer leur réussite. Nos efforts étaient enfin récompensés et nous nous sommes mis à hurler partout à travers le bateau :


papaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa on a un poisson , on a un poisson, on a un poisson, on a un poisson. et pas flore nanèreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee


Mais attention, ce n'était pas de la méchanceté contre flore mais plutôt de la joie pure d'enfant ayant réussi là, où les grands qui savent tout, n'y arrivaient pas. Un moment de triomphe pour deux petits roux comme nous.

Après quelques minutes de pure plaisir, nous sommes remontés sur le pont après avoir déposé nos deux trésors dans la cantine pour qu’on puisse les manger le soir même. C’est à ce moment, que nous avons regardé la petite fille qui s'accrochait à un vieil ours et qui parlait avec flore.

humm, pensais- je, au moins c'est pas un bébé qui pue et pleure. là c'est déjà une bonne chose.

Puis, je décidais de m’approcher de la gamine et lui tendit un sucre d'orge, et oui les fameux sucres d'orge de grand tonton fynou. Depuis le temps, j’en possédais bien un bon stock alors je pouvais partager un peu.

Vendredi 9 février – 1ère escale

Après deux jours de tempête et de pertitude dans la mer, le soleil revint et au loin, avec lui, la terre d'Irlande.

J’étais contente car j’allais pouvoir courir dans une nouvelle ville avec nanour et aussi découvrir une nouvelle langue.

Et là papa allait avoir beaucoup de travail pour traduire car les deux petits roux, que nous étions, nous ne parlions que breizh.
Alors, ce n’était pas simple surtout que comme je l’ai dit précédemment j’étais une vraie pipelette et pas question de rester muette tout le séjour.

Je pense qu’ici la fin du voyage, papa préféra nous apprendre l’anglais comme cela sera plus simple pour lui et aussi plus autonome pour nous.

Mais en ce matin, nanour et moi, nous n’étions pas contents contre les poissons. Pour eux, les poissons de la mer ne préféraient que les grands car papa et flore étaient les seuls à avoir eu deux poissons pendant la traversée et nous un seul et pourtant nous nous sommes donnés du mal.

C’était vraiment pas juste mais alors pas du tout juste.

Mais à notre âge, nous passons très vite à autre chose.
C’est ainsi qu’une bonne partie de la journée, nous avons regardé le bateau qui s'approchait peu à peu du quai et par là nous avons trouvé que le papa avait fait du bon boulot même s'il s'était occupé peu d'eux.

Enfin, maintenant, papa allait pouvoir se rattraper à terre. Nous aperçûmes papa qui venait les rejoindre sur le pont alors je lui criai :

papa, papa, papa, papa on peut descendre à quaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ? on veut visiter nousssssssssssssssss.

Vous devez penser que je passe mon temps à crier mais pas du tout, le soucis c’est que mon papa est vieux et par moment bin il n’entend pas bien alors il faut crier.

Samedi 10 février – Port Lairge


Nous voilà à terre pour aller visiter la première ville du voyage. C’est une ville irlandaise.
Vous savez que les breizh et les irlandais sont un peu cousins , on descend des mêmes anciens et on suit les mêmes cérémonies. Je suis contente de visiter les autres pays celtes, cela va me faire un plus pour ma formation de druide. C’est tonton oban qui me l’a dit.
Ah oui, j’ai oublié de vous dire que mon tonton oban est un druide et il me forme pour que je devienne aussi une druide quand je serais super vieille comme mon papa.

Avec mon papa, nous avons été en tav pour rencontrer des habitants et là nous avons rencontré un messire et il m’a expliqué l’histoire de cette ville. Enfin disons que le messire a parlé dans sa drôle de langue et mon papa m’a tout traduit.
Papa et tonton fynou veulent que j’apprenne la langue des anglais mais paparoux veut que j’apprenne la langue du sud. C’est dure d’être une petite chipie car il faut apprendre aussi plein de choses.

Mais là encore je m’égare.

Alors, cette ville fut construite par des grands venus du froid, il parait que c’était des supers guerriers et marins. Ils vivaient dans un pays où ils faisaient super froids alors ils portaient des vêtements de bêtes.
Une fois arrivée, bin ils ont chassé les habitants et ils se sont installés.

Humm un peu méchants ces messires mais bon il parait que c’était de supers guerriers.

Ensuite avec nanour et papa on a visité la ville. On a vu un monument qu’ils appellent ici le triangle viking mais bon là j’ai pas compris car le monument c’est pas un triangle mais un grand monument avec une tour. Humm bizarre ça …

Ensuite on a fini par aller dans des rues étroites comme on peut trouver aussi en breizh et oh il y a aussi une grande enceinte. Mon papa m’a expliqué que c’était pour protéger la ville comme on pouvait voir dans la ville de tonton GS à vannes. Tonton GS est un messire super méga occupé, on lui écrit au début d’un voyage et on a une réponse à notre retour chez nous et cela peut prendre des mois et des mois. Et pourtant, j’avais accroché à mon pigeon une petite plume et un petit parchemin.

Hummm bizarre tout ça, papa me dit que mon pigeon a du couler dans la mer.

Enfin ici aussi pas de chouchen, ils boivent une boisson qui pique dans la gorge et pis après cela fait tout chaud dans le corps. Cela m’a fait même tousser.

Mais la journée avait passé si vite et il était déjà temps d’aller se reposer car demain matin de bonne heure, ils devaient tous remonter sur le bateau le lendemain matin de bonne heure.

Le voyage continuait.

Lundi 12 février – partie de cache de cache

Les voilà tous réunis devant le bateau afin d’y monter car grande portion avait dit « départ du bateau à midi tapante », pas question d’être en retard elle serait capable de partir sans nous les deux plus charmants petits roux de la terre.

Et nous revoilà parti pour 2 jours de mer avant la prochaine escale….

Mais, il faut bien reconnaître que la vie sur le bateau est quelque peu routinier et qu’il faut avoir beaucoup mais alors beaucoup d’imagination pour ne pas s’ennuyer.

Mais là-dessus, vous pouvez faire confiance à nanour et moi.

En ce matin, après un copieux petit déjeuner avec le fameux poisson qui ne veut être pêcher que par les grands, bin il est mangé le matin na et bien fait pour lui et rena.

Nous avions donc prévu un cache cache sur le bateau pendant que mon papa dormait. Bin oui car mon papa est de garde la nuit sur le bateau. Alors dans la journée, il dort et se lève tard et pendant ce temps flore s’occupe de son bébé qui pue et pleure et aussi triche en pêchant.

Si si, je l’ai écrit à ma tatie celia, ma tatie c’est un messire en réalité mais je l’appelle tatie car une fois, il a pris les vêtements de sa femme surnommée par moi Dame Hips, et il avait tellement bu avec mon papa notre chouchen breizh , bin il n’a pas pu retirer la robe de sa femme. Nous avons tous ri et depuis je l’appelle ma tatie.

Pourquoi dame hips, vous vous demandez. Si si je vous vois. Alors dame hips cela vient du fait qu’à son mariage, la dame avait trop bu de chouchen, elle aussi et elle n’a pas arrêté de hipser.

Bon où en étais je ?

ah oui , j’ai donc écrit à ma tatie celia et il m’a dit qu’il était sûr que papa et dame flore trichaient et avaient échanger nos appâts pour ça que les poissons ne venaient pas vers nanour et moi.

Humm bin vous savez, mon papa bin il en est bien capable. Il va falloir que j’enquête sur ça…

Enfin là c’est une autre histoire, aujourd’hui on fait un jeu.

Et comme la dernière fois, nous avons joué à la cabane des spécialistes des bêtises, nanour avait gagné. Alors c’est à son tour de compter et moi je me cache.

Je regardais partout où je pouvais me cacher. Pas dans notre cabine sinon c’est trop facile pour nanour, hum pas dans la cabine de pilotage car papa va me trahir en me faisant des bisous et des câlins. Ah il faut que je me dépêche à trouver.

Voilà j’ai trouvé et je grimpe dans la barque et je me glisse sous la bâche. Et voilà il me reste plus qu’à attendre et à sortir en criant : j’ai gagnéééééééééééééééééé.

Ah j’entends des pas alors chutttttttttttttttttt.

Hum c’est bizarre ça , cela ne ressemble pas au pas d’un ptit roux ça mais plutôt au pas d’un grand papa. Ah flûte, il ne faut pas que papa me trouve non plus.

Rhooooo mais va-t-il se taire, il crie mon nom et celui de nanour.


Je n’ai pas longtemps à attendre que je reconnais la voix de nanour avec celle de papa et ils se mettent à me chercher en m’appelant. Mais pas folle la chipie, je ne vais pas sortir de ma cachette.

Puis mon papa s’énerve car je l’entends :

ELIOTTEEEEEEEEEEEEEEEE RAMENE TES FESSESSSSSSSSSSSS ET TOUT DE SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Il a quoi papa à crier comme ça , pour une fois j’ai été très sage et j’ai pas fait de bêtise moi.

Enfin vous comprenez maintenant pourquoi je crie, car mon papa crie aussi. Hihi.

C’est alors que mon papa a entendu une voix sous la bâche :
mais euhhhh arrête de crier comme ça.

Vous avez deviné la voix c’est moi.

Tout à coup, je vis le jour et je me mis à voler dans les airs. Mon papa me porta hors de la barque et là bin devinez.

Et oui, je me suis fait disputer par papa. Que je ne devais pas monter sur la barque, que celle-ci pouvait tomber dans la mer et que moi je pouvais partir loin loin loin dans la mer.

Ah là là là et cela a duré des heures et des heures. Si si promissssssssssssss.

Bon heureusement la journée était presque finie et il était l’heure d’écouter l’histoire du soir.

Mais bon la partie de cache de cache est à refaire car personne n’a gagné.


Mardi 13 février – jour d’héritage.

Le jour où tonton oban avait appris que je partais en voyage, il m’avait envoyé un pigeon car il souhaitait me parler. Bien évidemment, je suis allée aussitôt car bin c’est mon tonton quoi. Et tonton oban est très important pour moi c’est comme un père, un mentor et je l’aime beaucoup.
Enfin ce jour là, tonton oban me parla de son amie qui vivait là bas en Irlande. Je me souvenais vaguement de la dame car elle était venue une fois à rohan quand j’étais plus petite.

Et là mon tonton me dit que je devais prendre contact avec cette amie car elle voulait me confier des marchandises. Tout d’abord, je pensa que ces marchandises étaient pour mon tonton alors oui je voulais bien l’aider et lui ramener les dites marchandises. Mais ce n’était pas ça en réalité et je fus bien surprise quand je découvris la réalité. Car voyez vous, la dame voulait me les donner à moi comme une sorte d’héritage mais pour cela je devais venir les chercher.

Aussitôt rentrée à la maison je fis part de ça à nanour et à mon papa et surtout savoir si on allait y aller dans cette ville. Mon papa me dit que normalement notre route ne passait pas par là mais la vie change nos destinées. Enfin, comme nous n’avons pas pu aller en angleterre dans un premier temps car bin les anglais sont en conflit et qu’ils ne veulent pas de bateaux chez eux. Le choix fut donc porté sur la ville où vivait l’amie de mon tonton.

Mais comme les transactions sont toujours super longues avec les grands, la dame monta directement sur le bateau et depuis bin elle est toujours avec nous.

Mais elle ne monta pas vide, elle m’apporta les fameuses marchandises et j’écarquillais les yeux en les voyant. La marchandise était en réalité des mets précieux : whisky et du foie gras.
Humm ça le whisky je connais mais si vous savez bien la boisson irlandaise qui fait tout chaud dans le corps après. Mais par contre le foie gras, ça je ne connais pas enfin on verra bien quand on sera à la maison.

Puis je me suis précipitée pour écrire à mon tonton que j’avais les marchandises et que je rapporte tout à la maison.

Une fois fait, je retrouvais nanour et on commença encore une fois notre partie de pêche mais on approchait de notre prochaine escale , un ile selon mon papa.


jeudi 15 février

Voilà après 3 jours de mer, nous allions retrouver la terre ferme après avoir été sur une île.
Vous savez que c’est une île vous ?

bin c’est une terre au milieu de la mer. Et on ne peut y aller qu’en bateau, bin moi je dis que les habitants doivent s’embêter là bas si pas de bateau les temps où les bateaux sont en pertitude.

Pendant le voyage, nous sommes passés au ras d’une île et avec nanour on s’est penché par-dessus bord car on voulait mieux voir des animaux qui y vivaient. Et c’était marrant ils faisaient les mêmes cris que les chiens et pourtant c’était pas des chiens mais des animaux que nanour et moi on avait jamais vu.
Et même si papa ne voulait pas qu’on se penche , on était grimpé sur le bord du bateau pour mieux voir mais on jetait parfois un œil pour voir si papa passait par là.

Mais je voulais savoir c’était quoi ces animaux alors j’ai écrit à mon tonton oban pour savoir. Lui il savait tout et surtout il lisait beaucoup de livre au manoir des druides.

Puis plusieurs heures après et un accostage en prime, nous sommes tous descendus à quai pour visiter la ville de Whithorn.

C’est une ville en écosse dans le duché de Drumfries et Galloway. J’aimais bien ce nom dumfries, si j’ai un autre chien bin je l’appellerais comme ça.

Mais j’étais super contente d’être en écosse car je voulais vraiment savoir si mon tonton oban avait raison. Il parait que les messires là bas, bin ils portent des jupettes. Vous y croyez vous ? moi je veux voir.

Tonton m’avait dit aussi que je devais me rendre à l’église car il parait que pleins de gens y viennent pour faire un pèlerinage.

Alors à peine descendus sur les quais, nanour et moi bin pour la première fois nous sommes restés les yeux grands ouverts et la bouche ouverte.

LES MESSIRES PORTENT UNE JUPETTEEEEEEEEEEEEE OU UNE ROBEEEEEEEEEEEE

Nous sommes restés comme ça pendant quelques minutes, le temps qu’il a fallu à mon papa de remarquer que nous étions bloqués et qu’il soit venu nous pousser pour nous faire avancer.

Je peux vous dire qu’on suivit mon papa dans un état second mais le plus dur c’est pour nanour. Imaginez des messires en jupette, pauvre nanour.

Pour nous en remettre, papa nous conduisit dans une taverne et là j’ai eu un flash, je me rappelait ce que mon tonton m’avait dit : interdiction de se baisser pour ramasser quelque chose.
Sur le coup j’avais pas compris pourquoi mais comme nous étions en taverne, il fallait bien que je sache pourquoi.

Alors discrètement je fis tomber mon mouchoir et je me baissais comme si de rien n’était.

Je me suis très vite relevée et par la même, cognée la tête contre la table mais surtout j’étais toute rouge…

Pourvu que personne ne l’ait vu enfin surtout mon papa.

Mais je murmurais à nanour ce que j’avais vu.

Ah les hommes, nanour se baissa direct et sans prendre soin de faire une diversion pour voir aussi. Et lui aussi, il était devenu tout rouge.

Nous étions donc deux petits roux tout rouge. Comme discrétion il y a mieux…………..

Jeudi 16 février

Avec papa, flore et nanour, nous avons donc passé la soirée en taverne et là j’ai rencontré un couple très gentil. La dame qui avait appris que j’étais une petite celte auchi, m’avait fait pleins de sourire et m’avait pris sous aile pour me montrer les bons petits plats d’écosse. C’est ainsi que je l’aidais à préparer le plat traditionnel écossais : le haggis.

En écosse, il fait assez froid alors les gens d’ici doivent manger des choses qui tiennent au corps et le haggis fait parti de ces plats.
Je suis sûre que vous êtes tous curieux de savoir la recette de ce fameux haggis.

Alors pour faire un haggis, vous prenez un plat : 1 panse de brebis, un ensemble composé de foie, du cœur et des poumons, des rognons de mouton, du gras de mouton, 3 oignons et du flocon d’avoine avec sel et poivre.

On coupe la viande en tout petits morceaux mais tout tout tout tout petit. Puis, on mélange le tout et ensuite on met tout dans la panse de brebis. Mais alors, il faut faire attention car tout est gras mais de chez gras.

Ensuite, on pique la panse et on n’oublie pas car sinon plashhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh partout dans la cheminée.

Après on met la jolie panse dans l’eau bouillante et on la fait cuire pendant des heures et des heures et des heures.

Voilà c’est prêt et on mange.

Et comme j’ai été bien sage, la dame m’a donné une panse entière pour manger ce midi avec la famille. Ah j’espère qu’ils vont aimer et même nanour car je sais que lui il adore mes petits moutons quoiqu’il préférait l’élevage de cochons.

Ah j’attends avec impatience leur avis car j’ai bien aidé à cuisiner ce festin.

vendredi 17 février

demat, je me présente , je suis titgillian le nanour de ma nanour éliotte. Là, je viens de trouver son petit journal alors j'ai décidé d'y laisser un mot.

Je ne sais pas ce qu'il se passe mais j'ai été chassé de la cabine par papa gui, il voulait parle à sa fille. Je pense que ma nanour ne sera pas de contente et après nanour elle va bouder encore plus. Ah là là là cela ne va pas être simple la journée.

Il faut dire que papagui est très sérieux quand il s’y met et là j’ai l’impression que le sujet est grave et je pense que je connais le sujet mais chut, nanour vous racontera sûrement prochainement.

Pour ma part, je profite pour lire tranquillement et voir ce que nanour a pu tant écrire comme ça pendant des heures et des heures.

Bon déjà, je peux vous dire que je ne suis guère content et je proteste comme les grands.

D’abord, nanour n’est pas la spécialiste des bêtises, j’ai aussi cette spécialité et avant nanour puisque je suis né avec elle. Soit pas longtemps mais quand même je suis le premier.

Ensuite je suis plus doué qu’elle pour pêcher. Que voulez-vous c’est un fait ça. Je suis rendu à mon 3ème poisson et nanour un seul.

Mais, je dois dire qu’elle pense trop à autre chose car elle attend depuis des jours et des jours un courrier de son tonton GS mais rien.

Et pis aussi, c’est pas vrai je ne suis pas aussi curieux que nanour vous le fait croire. Dans la taverne, je me suis baissé juste pour voir si nanour avait bien vu. Si si , c’est elle la curieuse moi je voulais juste voir si elle disait vrai et en plus, j’étais pas tout rouge car je suis un homme enfin bientôt.
Ah mais, j’entends les pas de nanour, vite je remets son journal en place. Kenavo ….

je t'aime ma nanour


dimanche 18 février : une demande spéciale

Grrrrr nanour a écrit dans mon journal. Enfin je verrais ça plus tard car j’ai quelque chose de super méga important.

Dans la matinée, mon papa est venu me chercher dans la cabine car il souhaitait me parler de quelque chose important. Hum j’aimais pas trop ça car en général c’était rien de bon parfois pour mes fesses mais je me devais de suivre mon papa.

Une fois installé dans sa cabine, mon papa me prit sur les genoux. Alors là c’était certain, la discussion sera sérieuse car mon papa fait toujours ça quand il veut me parler ou me demander quelque chose et qu’il a peur un peu de ma réponse.

Enfin, cela faisait un moment que je me doutais bien que cette discussion finirait par arriver un jour mais il est vrai que je pensais que j’aurais encore du temps mais il faut que croire que mon papa est pressé.

Voilà mon papa commença par me demander comment je trouvais flore, si je m’entendais avec elle, si je l’aimais bien. Et oui, vous avez deviné la suite.
Après quelques minutes d’interrogation, voilà la question qui tombe : serais tu d’accord si j’épousais flore ?

Et voilà ce que je redoutais, la question est arrivée.

Que voulez-vous que je réponde ?

Je veux que mon papa soit heureux et c’est le cas avec flore. En plus, je ne ressens pas des mauvaises ondes comme avec les autres dames. Donc j’ai fini par dire oui, qu’il pouvait l’épouser.

Même si j’ai déjà une maman que je vois très peu car elle préfère voyager et aller avec d’autres personnes que rester avec nous à la maison. Il paraît que cela existe des mamans qui sont des mamans de loin. Humm moi je dis que c’est un dommage car nanour et moi bin on grandit et elle ne sait rien de nous.
Donc je suis retournée voir nanour pour lui dire la nouvelle.

Ah oui j’ai oublié de vous dire, je dois avoir une nouvelle robe pour le mariage. Papa ne veut pas que je sois en braie et chemise. Pourtant moi, cela me convenait bien mais bon il me reste plus qu’à chercher une robe pratique, pas trop décolleté, pas trop longue, pas longue manche, de couleur bleu ou vert.

Et non je ne suis pas du tout mais pas du tout difficile.


aujourd'hui c'est le jour de bouderie pour une petite rousse

oui oui je suis de mauvais humeur et vous savez pourquoi ?

bin à cause des poissons de la mer. ils sont tous nulssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss.

papa a eu pleins de poissons, nanour a eu 4 poissons et moi rien que deux et pis depuis 6 jours les poissons bin ils me narguent.

ils refusent que je les pêche. Ils ne sont pas gentils.

Et pis, papa ne veut pas que je saute dans la mer avec mon épée pour couper la tête aux poissons. Et pis, grande portion ne veut pas me prêter son canon pour tirer sur les poissons de la mer.

alors je boude na


Jeudi 22 février : la bataille navale

Voilà vous avons quitté depuis quelques jours le port et nous sommes entourés par des navires irlandais. Ils sont arrivés par la nuit en direction d’holywell à la recherche de navires ennemis.

Il paraît que selon les grands, les anglais ont été méchants avec les irlandais et ont coulé un de leur navire.

Holywell est une petite ville galloise et là aussi les messires portent des jupettes. C’est une manie dans les pays que nous visitons que les hommes sont si jaloux des femmes qu’ils leur piquent leur vêtement pourtant pour des guerriers cela ne doit pas être facile. Car je dois dire que je ne crois pas ce qu’un grand m’a dit sur eux.

Il parait que pour se battre bin les guerriers retirent leur jupette.

Non mais vous y imaginez ?

Mais on ne peut pas tromper une petite chipie rousse et je ne gobe pas toujours ce que les grands me racontent ça car les grands bin ils disent souvent des bêtises et ne disent pas toujours la vérité aux enfants. Et je dois dire que c’est bien dommage ça.

Mais nous avons dû faire attention car au milieu de bateaux qui se coulent bin il faut faire gaffe à nos fesses mais bon au moins nous sommes passés. Après nous, nous sommes des breizh.

Mais nous ne restons dans cette ville très longtemps car le voyage continue.


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Lupin_darc
Lupin se promenait dans la forêt à la recherche de champignons - comment ça c'est pas la saison?? - lorsque ses pas le menèrent près de la cabane aux bêtises de sa meilleure ennemie, la bien-nommée Chipie de Rohan.
Cela faisait bien longtemps que le petit blond n'était pas revenu dans les environs. C'était avant de partir pour Brest, avant d'apprendre le métier de pêcheur et même avant que ses petits frères et soeurs n'apprennent à parler.

En s'approchant de la cabane, Lupin se souvint de toutes les humiliations qu'Eliotte lui avait fait subir alors qu'il était plus petit qu'elle. Mais à présent il l'avait revue en taverne et il l'avait rattrapée en taille et cela le mettait particulièrement en joie.
Eliotte l'avait cependant provoqué en appuyant sur le fait que sa famille ne serait pas là pour l'anniversaire de Lupin, qui aurait lieu deux jours plus tard. Et ça, Lupin ne pouvait le lui pardonner. Il se sentait seul, abandonné et il n'allait pas laisser Eliotte la linotte lui pourrir son anniversaire. Ses dix ans! Ca non...

Il fit le tour de la petite masure et vit qu'une fenêtre était restée entrouverte. Il passa la main à l'intérieur et réussit à l'ouvrir complètement. Puis il se hissa à l'intérieur, non sans avoir vérifié les environs.
Décidément la petite rousse n'avait pas appris à mettre des pièges pour empêcher les intrus de pénétrer dans son repaire.

Une fois à l'intérieur, il fit le tour des lieux. On voyait bien que c'était un repère de fille, car tout était bien rangé à l'intérieur. Seule la poussière trahissait le fait que ses occupants n'y venaient qu'occasionnellement.
Lupin commença à ouvrir les malles, remplies de vieux jouets. Quelle gamine pourrie gâtée! se dit-il, non sans une point de jalousie. Il tomba aussi sur une réserve de vieux bonbons, dont il piocha une pleine poignée qu'il fourra dans la poche de son gilet.

Soudain, son regard fut attiré par un ensemble de feuillets, cachés à la hâte dans un tiroir. Il fit coulisser le-dit tiroir et lut les premières lignes à voix haute.


Avant de vous ra... conter ma nouvelle aven... ture en ba... teau et en terre... celte, je vais me... présenter..

Mouarf! C'était le journal intime de la chipie en personne! Autant dire du pain béni pour le Lulu à plumes en quête de vengeance.

Il parcourut les feuillets, sautant de nombreux passages.

Gnagnagna... blablabla... non mais je rêve! Elle a regardé sous la jupe des Ecossais! Mouahaha! Oui le "Lulu à plumes commun" s'esclaffe très souvent, même quand il est tout seul.

Ayant lu l'essentiel du manuscrit, Lupin se gratta au dessus de l'oreille, comme il avait l'habitude de le faire lorsqu'il réfléchissait intensément.


Hmmm, je pourrais en tirer une rançon de ce journal...

Aussitôt, il attrapa une feuille de papier vierge et de sa plus belle écriture - c'est à dire à peine lisible - écrivit:



Si Vou Voulé Revouarre Votr Gournale Heintime, dePauzé Troi Zonce de bonBon alle Annisse O pié dèz Esscalié Dissi Demin Souare.
Sinié X


Tout content de son larcin, Lupin laissa le mot en évidence sur la table et ressortit par la porte en la déverrouillant de l'intérieur.

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