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Eglise Aristotélicienne de Fécamp

Maitre_aupyl


Aupyl se rendit à la messe de la Saint Noël. Sa fille dormait encore mais viendrait sans doute. Il avait laissé un parchemin sur la table avec un dessin de l'église.
Dans le froid, il passa devant le chantier du port. De la boue et la vase extraite traçait un sillon marron sur le chemin où les carrioles allaient déverser ce chargement.
Avant de rentrer dans l'église il marcha dans l'herbe alentour pour brosser la boue sous ses chausses.
Aupyl suivit l'office de façon plus ou moins attentive. Il pensait plus aux travaux du port qu'au salut de son âme.

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Président de la Société Navale et Commerciale Fécampoise
http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=13125

Le moteur fondamental des Royaumes Renaissants, c'est l'interaction entre les joueurs
Horloger


Matou et Horloger s'étaient rendus en avance, pour une fois, à la messe célébrée pour la Saint Noël. Ils avaient amené avec eux Guillaume et Mahaut, car pour la Saint Noël, qui était une fête où les cadeaux étaient à l'honneur, c'était l'occasion ou jamais d'emmener les enfants, afin qu'ils participent et partagent avec tout le monde.
L'air était plus doux, et un pâle soleil réchauffait l'air. Les restes de pluie des derniers jours avaient laissé ça et là quelques flaques, ce qui permettait à Mahaut de s'amuser à sauter par-dessus les plus petites, au grand dam de ses aprents. Horlo portait Guillaume, dans son couffin, et tenait Matou par la main, tandis que Mahaut gambadait devant eux.
Ils arrivèrent devant le parvis en même temps que les cloches sonnaient à toute volée. Ils entrèrent, et virent Elyena, au fond, près de l'autel. Au premier rang, se tenaient les enfants d'Elyena. Mahaut les vit, et demanda:


"Maman, papa? je peux aller avec eux?"

Matou hocha la tête, et, se penchant vers sa fille, lui répondit:


"D'accord, mais tu te tiens bien sagement. Nous sommes d'accord?"

Mahaut hocha la tête, et fit une bise à Matou et à Horlo, puis elle se dirigea, sans courir, vers les enfants d'Elyena.

Penant ce temps, Matou et Horlo s'approchèrent, et virent Aupyl, qu'ils avaient croisé peu de temps avant en taverne. Ils lui firent un petit signe amical, puis s'assirent.
Elyena commença la messe par la confession, puis elle poursuivit en leur rappelant quelle avait été la vie de Saint Noël, connu pour avoir vécu longtemps, en aidant son prochain. Puis ce fut le temps de la prière, et Matou et Horlo récitèrent le Credo.


"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout-Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine:
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

AMEN"


Puis Elyena annonça qu'elle avait préparé quelques friandises pour les petits et les grands, et invita tout le monde à la rejoindre. Matou et Horlo ne se firent pas prier, surtout Horlo qui ne savait pas résister à une pâtisserie. Il prit le couffin de Guillaume, et tous trois, ayant rejoint Mahaut, se dirigèrent vers l'autel. Ils saluèrent Elyena, la remerciant pour cette messe et ce beau passage de la vie de Saint Noël, puis mangèrent avec elle quelques fruits secs, avec un godet de calva de Fécamp, le meilleur!
Alkemie
alkemie regarde dans toute la maison ne voyant personne commence
a s'inquiète mais il et ou papa , puits se pris un verre de lait et sur l attable il y vais un beau dessin une église sa s'est papa il et la bas.
pris son manteau et se dirige vers l'église, poussent l'énorme porte fis son signe puits regard après son père, le cherche du regarde il y avait mahaut et en regardent bien vu matou et horloger et guillaume leur fis un sourire , et toujours en s'approchent il y avait papa qui était là, s'assoit près de lui



lui chuchote a son oreille t aurai pu m'attendre je me demandé ou tu était


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout-Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine:
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

AMEN"
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Matouminou
C'était un vrai moment de sérénité que de se retrouver dans cette église où la plénitude régnait. Mais, il n'y avait pas que le lieu du culte qui transmettait cette sensation, il y avait aussi la diaconesse Elyena. Elle savait trouver les mots justes et sa voix douce apaisait les fidèles. En tout cas, c'est ce que ressentait Matou au plus profond d'elle même.
elle regarda sa fille rejoindre les autres enfants et s'installa. Il y avait foule, elle vit Aupyl qui, quelques temps plus tard, fut rejoint par sa fille, Alkémie.
Elyena prit la parole pour inviter l'assemblée à se confesser, puis, elle raconta l'histoire de Saint Noël, un homme bon.

Arriva le moment de réciter le crédo. Elle le récita avec ferveur:



"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout-Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine:
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

AMEN"

la messe touchait à sa fin. Ils allèrent communier et récupérèrent au passage Mahaut qui avait été sage comme une image.
Puis, ils sortirent tranquillement, saluant les gens qu'ils connaissaient.
Bien sur, le passage vers les corbeilles remplies de brioches et de fruits secs, fut obligé. Mahaut et Horlo se régalèrent. Matou les regarda en souriant. la fille comme le père étaient aussi gourmands l'un que l'autre.
Elle félicita Elyena pour cette belle messe, en trinquant avec elle.

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Pardallian
Pardy était heureux ,il avait une longue permission pour la semaine,les moines savaient qu'il avait besoin de retrouver ses amis en ces fetes de fin d'année.

il se dirigea vers l'église ,et comme a son habitude ,il se plaça a l'arriere de l'église afin de ne gener personne ,il écouta en silence ,il avait grand besoin de se recueillir en ces moments de grands doutes.
a la fin de la messe il sortit le premier et rejoignit sa maison ,ou il était seul ,car Celtiqua était partie chez sa soeur,il avait hate de la retrouver et de couler des jours heureux en sa compagnie.
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Elyena
Elyena se rendit à l'église pour l'office dominical. Comme d'habitude accompagnée de quelques uns de ses enfants, les plus jeunes venaient ensuite avec la nourrice.

Ils entrèrent et elle donna les consignes à suivre, chacun accomplissant avec de grands airs responsables, souvent amusant à voir d'ailleurs, la tâche qui lui était assignée, les cloches se mirent à sonner et elle alla prier un moment dans la sacristie du temps que les fidèles s'installent .


Mes chers amis et fidèles ,

Bienvenus dans la maison du Très haut .
Je vous souhaite à tous un bon dimanche.
Je vous présente tout d'abord mes meilleus voeux au seuil de cette année 1458. Que le Très Haut dans sa grande bonté vous comble de bienfaits.

Nous allons commencer par la confession.




A présent je vais vous lire un passage du Livre des Vertus que je trouve follement passionnant et je vous demanderais toute votre attention.




Citation:
Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.

Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.

Polyphilos: Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote: Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos: Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote: Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos: Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote: Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos: Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça aux nouveaux riches.

Aristote: Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.

Le jeune fils de Polyphilos s'était approché.

Eumónos: Je le répète sans cesse à mon père. Ces gens ne sont pas ses amis et il doit prendre ses distances.

Aristote: Ce serait tomber dans l'excès inverse, jeune homme. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociales et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle.

Eumónos: Mais comment trouver un parfait égal ?

Aristote : Ce n'est pas nécessaire. Il faut surtout que l'intéressement ne soit pas trop prononcé dans le chef d'un des prétendus amis. Le juste milieu, celui de la vertu, c'est de savoir s'entourer d'amis véritables, de gens qui peuvent compter sur vous et sur qui vous pouvez compter.

Polyphilos et Eumónos hochèrent la tête pour marquer leur accord. Aristote s'éloigna de quelques pas avant de se retourner.

Aristote: Ces feuilles de vigne sont délicieuses, aussi délicieuses que le conseil d'un ami, vous ne trouvez pas ?



Ce que j‘apprécie dans ce texte, c’est qu’il est des plus explicite. Nous avons là une belle définition de l‘amitié selon Aristote. L’amitié provient d’une générosité et d’un don de soi partagé. La notion de méfiance est inexistante.
Prenons le bon de notre nature sociable avec tout le monde, peu importe sa fonction, courtoisie de mise et développons cette facette dans ce qu’elle a de plus absolu avec ceux avec ceux qui nous sont proches.

Cette semaine, je vous invite à dire à vos proches combien ils comptent pour vous.



Je vous invite à la prière .

Elle récita avec eux le credo aristotélicien.



- Que les baptisés approchent pour partager le pain et le vin de l'amitié comme nous l'a demandé Christos.



Elle alla ensuite se placer sur le parvis de l'église pour parler un peu avec les fidèles.
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Horloger


Matou et Horloger étaient passés récupérer Mahaut et Guillaume chez Yseult, avant d'aller à la messe. Sur le chemin, alors qu'ils luttaient contre le froid mordant qui s'était abattu sur Fécamp, et que leurs yeux essayaient de percer le brouillard épais qui noyait tout le paysage, ils entendirent les cloches sonner, comme si cela était un signe pour les guider. De fait, quelques instants plus tard, ils se trouvaient sur le parvis.
Ils entrèrent, et allèrent s'installer sur un banc non loin des enfants d'Elyena. Horlo tenait dans ses bras Guillaume, bien emmitouflé, et Mahaut donnait la main à sa maman.
Ils se confessèrent, puis écoutèrent le passage choisi par Elyena. Il était certain que l'amitié était une chose capitale, et Matou et Horlo avaient beaucoup d'amis, sur lesquels ils pouvaient compter, et qui pouvaient également compter sur eux. Cela était un bien grand trésor de pouvoir compter sur de tels amis. Lorsque Elyena les invita à témoigner leur amitié auprès de leurs amis, Matou et Horlo hochèrent la tête; c'était une excellente idiée.
Ils récitèrent ensuite le Credo:


"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout-Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine:
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

AMEN"


Puis ils allèrent communier, et sortirent, non sans avoir remercié Elyena pour cette messe. Pendant ce temps, Mahaut et les enfants d'Elyena se mirent en grande conversation, dans un coin de l'église. L'amitié démarrait aussi comme cela, parfois!
Maitre_aupyl


Dans le brouillard, Aupyl rejoint l'église doucement. on n'y voyait à peine à 10 coudées devant soi.

Dans l'église, la transition fut brutale. Des limbes du ciel, on passait à une clarté presque aveuglante. Si, ça, ce n'était pas un signe du ciel en ces temps obscurs.

Aupyl s'assit à sa place habituelle. Il suivit l'office.
Pendant le sermon de la diaconesse, il pensa à tous ses amis. Il pria rapidement pour chacun d'entre eux.
Il communia ensuite, et à la fin de l'office, il resta à discuter sur le parvis. Le ciel s'était enfin éclairci.

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Alkemie
alkemie qui jouer pas loin de l'église voyant du monde rentré les suivi fis son signe puits alla s'asseoir sur son banc et prié en récitant le credo


"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout-Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine:
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Unie et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés,
En la Vie Éternelle.

AMEN

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Matouminou


A travers le brouillard, le son des cloches paraissait étouffé. Matou n'aimait guère cette atmosphère un peu étouffante. On n'y voyait goutte et tous les repères familiers avaient disparu. Elle tenait la main de Mahaut bien serrée dans la sienne et avait passé son bras sous celui de son mari.
C'était la première messe de l'année et ce serait l'occasion de présenter ses voeux aux personnes présentes.
C'est avec soulagement qu'elle vit apparaitre les contours de l'église. Ils grimpèrent les quelques marches jusqu'au parvis et entrèrent dans l'église.
Elyena était là et ses enfants aussi.

La messe commença, la confession tout d'abord, puis un très beau passage du livre des vertus sur l'amitié. Matou était d'accord, il fallait dire aux gens qu'on appréciait, combien ils étaient importants.

Enfin elle joignit sa voix à celle de Horloger et récita le Crédo:


"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout-Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

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Ils allèrent communier puis, pour la plus grande joie de Mahaut, qui commençait à s'impatienter, ils sortirent de l'église, saluant au passage Aupyl et Alkémie et quelques visages connus.
Guillaume s'était endormi et ni le brouhaha de la foule, ni les rires des enfants que sa soeur avaient rejoints, nul bruit ne le perturbait, il dormait, la tête posée sur l'épaule de son père, du sommeil du juste.
Ils allèrent souhaiter la bonne année à Elyena et une fois encore, la félicitèrent pour le choix de son texte.

Le brouillard s'était dissipé mais le ciel restait bas et l'humidité était bien présente.
Ils discutèrent un moment, puis, ils récupérèrent leur fille.
Ils avaient hâte de retrouver la chaleur de leur maison.

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Pardallian
Pardy,avait décidé d'aller a la messe ,il sortit du monastère ou il résidait depuis quelques mois ,les moines le laissaient sortir un peu plus libre que ces derniers mois.

il traversa le village ,dans le brouillard,il rejoignit l'église et entra ,il se mit comme a son habitude derriere,il y vit ses amis Matou,horloger et leurs enfants,il écouta attentivement les paroles de dame Elyéna.
comme a son habitude ,il sortit le premier de l'église ,et rejoignit le monastère ou l'attendait une soupe bien chaude,ensuite comme a son accoutumé il se retirerait dans sa chambre pour se reposer,il est vrais qu'il était encore affaiblit par sa maladie.
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Elyena
Accompagnée de toute sa petite famille, Elyena se rendit à l'église pour l'office dominical.
Elle entra, sonna les cloches puis alla prier un moment du temps que les fidèles s'installent .


Mes chers amis et fidèles ,

Bienvenus dans la maison du Très haut .
Je vous souhaite à tous un bon dimanche.
Nous allons tout d'abord commencer par la confession.




A présent je vais vous lire un passage du Livre des Vertus.



Livre des vertus , Livre I, Le mythe Aristotélicien, la Fin du Monde, Partie I, Le rêve. Il s'agit d'une révélation faite à Ysupsos, pieux croyant d'Egypte, par Dieu, par l'intermédiaire d'un songe. Dès son réveil, Ysupsos coucha par écrit cette révélation afin que chaque homme, chaque femme puisse profiter de cet inestimable témoignage.


Citation:
Moi, Ysupso d’Alexandrie, pieux croyant d’Egypte, vais vous décrire la révélation qui me fut faite en songe. Cela peut paraître étrange de considérer un rêve comme une véridique prémonition, mais la lecture de mes révélations vous montrera qu’il ne s’agit pas d’un rêve ordinaire. Je remercie d’ailleurs le Très Haut de m’avoir confié la divine mission de transmettre au monde Sa volonté.

Mon rêve commença par une douce lumière blanche. J’avais la sensation de me réveiller et, comme au petit matin, j’émergeais petit à petit de mon état léthargique. La lumière apporta, au fur et à mesure de mon réveil imaginaire, son lot de nuances. Je finis par voir un groupe d’être humains aux grandes ailes d’oiseaux, surmontés d’un anneau lumineux. Ils resplendissaient d’amour et de douceur. Leurs regards étaient pleins de bonté et de tendresse.

J’avais en face de moi tous les humains qui, par leur sainte vie vertueuse, avaient accédé au statut d’anges. Sept d’entre eux dépassaient leurs compagnons par la sensation de bien-être que je ressentais en leur présence. Je reconnus sans difficulté les sept archanges bénis de Dieu: Georges, patron de l’amitié, Miguaël, patron du don de soi, Raphaëlle, patronne de la conviction, Gabriel, patron de la tempérance, Michel, patron de la justice, Sylphaël, patron du plaisir, et Galadrielle, patronne de la conservation.

Derrière eux, je voyais de vastes paysages idylliques. Tout resplendissait la beauté et donnait envie d’y rester pour l’éternité. Mais cela semblait bien vide. Je pouvais admirer les innombrables élus, peuplant le Paradis, sur le visage desquels s’affichait la béatitude. Voyant un tel bonheur emplir ceux qui avait vécu dans la vertu, je me réjouissais pour eux et espérais pouvoir les rejoindre.

Alors, j’entendis une voix dure et sereine me dire: “Ceux que tu vois ici sont ceux qui ont su gagner le Paradis, suivant la parole que J’ai confiée à Aristote et à Christos. Mais sache que l’avenir ne sera pas aussi radieux pour tous”. Je compris que c’était Dieu Lui-même qui m’adressait ce divin message. Alors, les anges me laissèrent seul, en communion avec le Très Haut. “Regarde dans la flaque d’eau à tes pieds”, me dit-Il.

J’y vis alors un beau pays. La douce chaleur du soleil caressait les arbres des vergers, nourrissait les épis de blé, qui se dressaient, fiers, vers le ciel, et donnait tout son amour aux légumes, qui prospéraient. Plus loin, je pouvais voir les vaches paître placidement, accompagnées de moutons gardés par leur pâtre. L’agréable brise prêtait sa force au travail du meunier en faisant tourner les ailes du moulin.

La mer fournissait aux pêcheurs moult poissons, afin de les nourrir, et exhalait ses senteurs rustiques mais si agréables à ceux qui savaient les apprécier. Au coeur de cette paisible vie, une ville, ceinte de murailles, fourmillait d’activité. Les artisans oeuvraient afin de fournir à la population tout ce dont elle avait besoin et les commerçants faisaient l’éloge de leur marchandises aux clients venant faire leur marché.

Les enfants jouaient, riant et courant le long des rues animées. Des tavernes sortaient des rires et des bruits de liquides que l’on versait dans les chopes. Un petit groupe était attroupé autour du maire, qui écoutait leurs interrogations et y répondait. Les cloches se mirent à sonner et nombre d’habitants sortirent de leurs maisons pour se rendre à la messe."




Que nous apprend ce texte? Quel message a voulu délivrer le Très-Haut à Ysupsos? Quels enseignements devons-nous en tirer?
La révélation que Dieu fait à Ysupsos commence par la découverte du Paradis solaire et des êtres qui le peuplent: les Anges .
Tout de suite, l'accent est mis sur la vertu: seuls ceux qui ne sont sont pas écartés du chemin de la vertu y séjournent. Et certains, les Archanges, en sont arrivés à un stade supérieur car ils ont de plus acquis la sérénité et la paix. C'est le premier enseignement que nous pouvons tirer: la vie vertueuse est toujours récompensée.

Ysupsos découvre le Paradis solaire et le bonheur que l'on peut y ressentir. Au-delà, il découvre autre chose qui est capitale pour chacun de nous: il découvre l'espoir. Ysupsos veut pouvoir rejoindre cet endroit et se met à espérer. Il se dit que lui aussi, il doit pouvoir le rejoindre, qu'il en est capable. C'est le deuxième enseignement: l'espoir de gagner le Paradis solaire.

C'est alors que le Très-Haut s'adresse directement à Ysupsos. Nous avons ici la confirmation du premier enseignement que nous avons tiré du début de la lecture: seul le chemin de la vertu permet de gagner le Pardais solaire. Et le Très-Haut précise ce qu'est ce chemin: c'est respecter ce qu'Il a transmis à Aristote et Christos.

Nous avons l'immense chance de pouvoir avoir accès à l'enseignement divin.
Mais le Très-Haut va plus loin et nous pouvons tirer un troisième enseignement: tout le monde n'aura pas sa place au Paradis solaire. Et afin de donner plus de poids à cette révélation, le Très-Haut montre quelquechose à Ysupsos: la Terre et ses habitants. Et à travers cette vision montrée à Ysupsos, nous pouvons tirer un dernier enseignement: le Très-Haut a créé un monde merveilleux où chaque homme et chaque femme peut vivre et se nourrir, assurer sa subsistance et travailler, se divertir et s'informer. Le Très-Haut nous a comblé de bienfaits.



Je vous invite à la prière .

Elle récita avec eux le credo aristotélicien.



- Que les baptisés approchent pour partager le pain et le vin de l'amitié comme nous l'a demandé Christos.



Elle alla ensuite se placer sur le parvis de l'église pour parler un peu avec les fidèles.
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Pardallian
Pardy se rendit a l'église,il tenait a remercier le tout puissant de lui avoir permit de guérir et de pouvoir ce retrouver parmi ses amis et amies,comme a son habitude il se mit a l'arrière comme pour ne pas déranger il pria ,et ressortit comme il était venu.
il salua de la téte dame Elyéna et reparti vers l'auberge
.

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Maitre_aupyl


Ce dimanche, les cloches sonnèrent fort, semblait-il à Aupyl. Sans doute, le son était plus tintant ou moins étouffé par les jours de brouillard.
Il se rendit, seul, à l'office après avoir surveillé les travaux au port. Il pria fort pour sa fille et sa belle-soeur qui avait rencontré des mésaventures sur la route de Bayeux.

Après l'office, il resta quelques instants, au soleil sur le parvis de l'église, à regarder le printemps qui ne tarderai pas.

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Nuage


Apres de long mois d'absence Nuage rentrait chez elle..son premier et dernier pas fut vers l'église pour remercier le très haut de l'avoir gardée en vie
Elle franchit la porte doucment elle rentra ..*

Elle prit place au fon de l'eglise se signa et prit place pour ce prier

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le retour de L'indomptable!
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