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Eglise Aristotélicienne de Fécamp

Maitre_aupyl


Il se rendit à la messe. En chemin, il s'amusait à chasser la neige avec ses pieds. Un cheminement boueux, mélange de neige et de terre, allait jusqu'à l'église.
Un peu essoufflé, il salua la dame de Guilberville et sa progéniture. Puis il s'assied non loin de l'autel, à sa place habituelle.

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Président de la Société Navale et Commerciale Fécampoise
http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=13125

Le moteur fondamental des Royaumes Renaissants, c'est l'interaction entre les joueurs
Savoie
Les fidèles s'approchaient, se rassemblaient autour de l'église. Comme à son habitude depuis qu'il était à Fécamp, il attendait tout le monde sur le parvis de l'église.

D'ordinaire, c'était pour aller rejoindre un coin de la ville, toujours un différent, en fonction de sa prêche, pendant que l'église était en reconstruction.

Aujourd'hui encore, il allait surprendre les fidèles. Alors qu'ils furent réunis, il s'adressa à eux.


Mes amis, je vous remercie de venir de plus en plus nombreux, aux files des semaines. Vous retrouvez bien vos habitudes, et je vous en félicite!

Aujourd'hui, nous allons visitez un nouveau lieu, dans notre pèlerinage du village. Un lieu que nous avons, ensemble, pas encore visité dans le cadre de nos messes dominicales. Un lieu que vous connaissez bien. Où je vous ai déjà vu pour la plupart, en d'autres circonstances. La semaine dernière, je vous avais promis une surprise. Mes enfants, elle vous attend... à l'intérieur de l'église!

Suivez moi, cette semaine, nous allons célébrer la messe avec un nouveau venu, un invité qui sera parmi nous de nombreuse semaines. Accueillez-le comme il se doit, adoptez-le, et il restera parmi nous peut-être plus longuement encore.

Allons rejoindre notre nouveau curé, le frère Lonhengrin. Je vous invite, pendant l'office, à méditer sur ce qu'il nous reste à faire pour que cette maison soit la vôtre, celle de notre curé, et celle de tous les fidèles de notre belle paroisse!


Sur ce, il ouvrit les grandes portes de l'église, laissant entrer un à un les fidèles, et rejoindre ainsi Lohengrin et Jenjitai qui étaient déjà dans l'église.
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fidèle parmi les fidèles
Harpege
les cloches lui résonnaient dans la tête. Drôle d'idée d'essayer de vider le tonneau la veille, évidemment.... Prenant l'air pour tenter de dissiper les brumes calvanesques, calverasques, calvinistes ? bref normandes, ses pas l’amenèrent devant l'église.

cela faisait bien six mois qu'elle n'avait pas assisté à une cérémonie religieuse, la dernière datait de la Grèce et était célébrée par sa sœur.

L'église était petite, nichée au cœur du village, et surprise, l'officiant attendait son monde sur le parvis. Tout naturellement, elle lui emboita le pas.

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Lohengrin
[début du rp à l'église avec Jenjitai]

Le moine resta interdit … il l’écouta sagement ….

Heuuu … je suis très calme … tu me vois complètement normal … détendu …

Large sourire en guise de preuve …

Tu as besoin de l’église demain … heuuu .. tu sais parti comme c’est parti ça risque de durer la messe … j’attends le frère Savoie avec qui on c’est mal comprit …il est … je sais pas trop ou .. à préparer une messe … en faite je crois que j’ai rien compris …
Sur ces dires le frère Savoie arrive ….

Bonjour mon frère … je suis heureux de te voir …

Il regarda les fidèles commencer à rentrer dans l’église …..
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Matouminou


Ainsi c'était donc cela la surprise! Un autre curé. et la messe dans l'église.
Matou était ravie, pour un peu, elle aurait applaudi. Mais elle se retint et suivit la foule des fidèles.
Elle entra dans l'église et vit le frère Lohen.
Elle ne put s'empêcher de lui faire un petit clin d'oeil en passant devant lui. Elle faillit même rire car il arborait un visage un peu défait, oscillant entre la panique et la crispation...bref, un poil tendu, le curé.

Elle s'arrêta à sa hauteur pour lui chuchoter rapidement:


- Tout va bien se passer...pensez à vous présenter..vous savez...le sapin, la tasse, chaque jour est nouveau...


Puis, elle alla s'installer au premier rang, non loin de Aupyl.

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Savoie
Une fois les fidèles entrés à l'intérieur, le frère Savoie les suivit, mais continua son chemin jusqu'à l'autel, ou se trouvait déjà Père Lohengrin. Au passage, il salua soeur Jenjitai. Il préféra un salut poli; s'il s'était arrêté, il aurait pu causer des heures. Ils avaient temps de choses à se dire... "Attendre la fin de la messe, attendre la fin de la messe", se disait-il, au risque de faire attendre la messe...

Ainsi, après un sourire et un geste de la main, il passa devant, et s'installa à l'autel. Il regarda un instant son frère franciscain, le salua du regard, et dosa le degré de nervosité que celui-ci traînait. "Mmm... assez élevé", jugea-t-il. "Parfait, il va se défoncer dans son sermon. Réchauffe-lui l'assemblée!".


Mes amis, on peut dire que nous y sommes presque. Certes, il reste encore à faire en cette église. Mais je voulais que nous y prions, en ce jour, afin de voir que nous touchons la fin. Il ne manque plus que quelques revêtements cosmétique, et cette église sera à nouveau la copie du Beau, tel qu'Aristote nous suggère de faire chaque chose de nos vies.

Avec notre curé-invité-surprise-qu'on-souhaite-parmi-nous-pour longtemps, nous avançons un stade de plus vers la normalité aristotélicienne dans la paroisse. Grâce à vous: vous m'avez offert un bel accueil, je lui ai vendu, il est venu.

Je ne vous parlerai pas ici de la mission, car c'est le jour de notre nouveau père. Je ne vous parlerai pas des fiançailles qui suivront cet office, car c'est le jour de notre nouveau père. Je ne vous parlerai pas des baptêmes qui se feront sous peu, car c'est le jour de notre nouveau père. Simplement, je vous dirai: la vraie foi est de nouveau bien en marche dans notre belle paroisse. Non pas qu'elle l'aie quitté un jour. Vous êtes tous et chacun de vous restés bien pieux. Je dis plutôt que nous, clercs, sommes désormais bel et bien à votre service, et qu'à en juger par votre accueil, vous l'appréciez bien. Ainsi, je vous en remercie grandement.

Maintenant, avant de passer aux choses sérieuses, je vous invite à vous recueillir dans la prière de manière à nous laver de nos péchés. Bientôt, le confessionnal sera sur pied à nouveau, et nous pourrons vous y recevoir. Entre temps, à moins que le besoin vous soit si pressent que vous deviez venir me voir en vitesse (ou un de mes collègues, bellement représentés ici en ce jour), faisons-le en prière.


Le frère Savoie se recula d'un pas, ferma les yeux, et récita en douceur le crédo, afin d'entrer en phase avec le Très Haut, grâce la prière.


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fidèle parmi les fidèles
Jenjitai
Jenjitai avait salué tout le monde d'un signe de tête , avait embrassé ceux qu'elle connaissait et se recueillait avec ferveur
Le crédo fut récité , longtemps qu'elle n'avait pas assisté à une messe sans être l'officiante




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Lohengrin
Le missionnaire regarda le Frère Savoie traverser la nef d’un pas assuré.. y’a pas à dire … un clerc heureux d’être en son église c’est beauuuu … On dirait un ange sautant de nuage en nuage au royaume des cieux …

Il se plaça à ses coté … et c’est parti mon kiki ….

Il l’écouta parler ….

Il sourit à son discourt … bon ben celui qui sait pas qu’il y a un nouveau curé tout chaud à Fécamp …. Puis il se recueilli pendant la prière … La récitant la tête baissé en pesant chaque parole faisant ainsi vibrer son âme …
On a beau être un moine farceur … le Crédo c’est beau ! bien plus que la peinture à l’eau …

Il apprécia le silence qui se fit après le crédo …

presque envoutant…

il sursauta …

norf c’est à moi maintenant … qu’est ce que je voulais faire … Les cloches c’est fait.. La bienvenue … c’est fait …. Le crédo …c’est ok … …. …. Le blanc ….. grand moment de solitude .... il se reprend ....

Ha vi… la prêche !!!! Bon je leur cause de quoi …. Heu je n’avais pas préparé un truc ???

Re blanc …. re moment de solitude ...

Bon on improvise …..

Il releva la tête … se dirigea vers la chaire … il monta les marches en rebaissant la tête … Posa les mains à plat sur la main courante, il apprécia le lustre du bois poli par ses prédécesseur …. Il releva la tête l’air sombre …

Puis regarda les visages tourné vers lui … ha ça ils devaient bien se demander à qu’elle sauce il allait les manger …. Lui aussi d’ailleurs ….

Et puis d’abord il n’aimait pas être perché trop haut … il n’était pas un stylite nanmého … il commença à parler en redescendant doucement de son perchoir …


Mes enfants … Des rivages du Portugal … aux hautes cimes des alpes … il m’eu assez peut permis de rencontrer village aussi accueillant …

j’avais bien pensé vous parler de la cité idéale dont vous êtes quelque part un exemple très touchant … ou vous partager mon amour de notre saint patron saint François … ou tout simplement vous parler de notre divine sainte boulasse …

Mais je crois que ce que votre cité m’inspire le plus ce trouve dans l’un de nos plus ancien texte … Une série de textes plus exactement …. Dans le Livre de la Création, « La question », « l’amour », « la décision »…

Alors que les hommes se pensaient délaissés par leur créateur, et que les animaux s’imaginez être les élus pour les qualités qu’Il leur avait donné, Dieu réuni toutes les créatures en une vaste vallée….

Il leur posa une simple et unique question ….


Citation:
Chapitre VI :
1 Ce fut la plus grande concentration de créatures qui ait jamais eu lieu.

2 Elles étaient plusieurs milliards à s’être réunies sur la même gigantesque plaine. Elles se côtoyaient sans la moindre animosité. Les loups attendaient auprès des moutons, les chiens auprès des chats, les aigles auprès des mulots et les lions auprès des gazelles. On y voyait même des végétaux. Ainsi, les chênes, sapins, peupliers, oliviers, pommiers, dattiers et autres arbres formaient la plus gigantesque forêt qui soit. Les fleurs, les légumes, les fruits, le blé et le maïs étaient aussi présents. La gigantesque plaine était un véritable sanctuaire pour toute la vie, car elles attendaient toutes patiemment que Dieu vienne à elles pour leur poser la question.

3 Alors gronda le tonnerre, les nuages s’écartèrent et une douce lumière se fit dans l’espace ainsi dégagé dans le ciel. Parmi les créatures, un grand silence se fit. De la lueur céleste, une voix grave, pénétrante, mais douce et sereine se fit entendre. Alors, la voix dit: "Ecoutez-Moi, vous que J’ai conçus, car Je suis votre Dieu. Sans Moi, vous n'existeriez pas, et à Moi, vous devez fidélité."

4 Dieu ajouta : "Nombre d’entre vous se disent Mes préférés, mais jamais Je n’ai jusqu’alors donné de préférence à quelque créature que ce soit. Alors, le temps est venu que Je change cela. Le temps est venu que Je fasse un choix parmi Mes créatures. Le temps est venu que Je nomme une espèce parmi vous "Mes enfants". Pour faire ce choix, Je vais vous poser une unique question."

5 Dieu leur demanda donc : "Vous vivez grâce à Moi, car Je suis votre créateur. Vous vous nourrissez, vous vous reproduisez, vous élevez votre progéniture. Mais vous ne savez pas pourquoi vous vivez. Selon vous, quel sens ai-Je donné à la vie ?"

6 La plupart des créatures ne surent que répondre. Elles se regardaient les unes les autres, espérant trouver chez leurs voisines la réponse à cette bien étrange question. On pouvait observer un poisson rester béat, ne sachant que dire, un cheval frottant le sol de ses sabots, un chêne se courbant, cherchant désespérément la réponse à ses racines, et même une colombe se grattant la tête en signe de réflexion.

7 Mais l’une d’entre elles s’avança. Elle semblait sûre d’elle et de sa réponse. Toutes les autres espèces lui ouvrirent le passage et, bientôt, un espace se dégagea autour d’elle. Elle leva les yeux vers Dieu, mais son regard était plein de suffisance. Elle répondit: "Tu as fait les créatures animées par le besoin de se nourrir. Tu as fait les forts capables de dévorer les faibles. Sans conteste, il s’agit donc d’assurer la domination du fort sur le faible !"

8 Elle ajouta: "J’en veux pour preuve que je suis le dernier représentant de mon espèce. Seul le plus fort a survécu parmi les miens ! Si Tu me nommes "Ton enfant", je saurai Te montrer qui, de toutes créatures, doit dominer le monde."

9 Elle attendit que Dieu la félicite pour sa réponse, mais en vain. Car Il ne lui répondit pas.

Cette question … combien d’entre vous bon aristotélicien vous l’êtes vous posé ? Consciemment ou inconsciemment …

Il était redescendu de la chaire et maintenant marchait entre les travées portant le texte sacré dans ses bras … regardant dans les yeux chacun des fidèles …

Combien d’entre vous se sont demandé le pourquoi de leur existence ? le pourquoi de leur douleur, de leur misère ??? Se sentant délaissé par leurs amis, par leurs amours...Par Dieu lui-même ….
Ecoutez la suite mes amis …


Il reprit sa lecture ….

Citation:
Chapitre VII - « L’amour »




1 Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort sur le faible.

2 Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

3 Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

4 Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

5 Et Dieu lui demanda: "Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre ? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !" Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: "Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste..." Et Dieu lui ordonna: "Parle et je te le dirai !"

6 Alors, Oane répondit: "Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur."

7 "C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste."

8 "Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.


Il releva son nez de sa lecture, le visage illuminé par la réponse d’Oane, ce texte il aurait pu le récité tellement il l’avait lu, mais l’émotion qui s’en dégageait était toujours autant authentiquement puissante … la vérité était si hurlante d’évidence…

Vous trouvez peut être la réponse simpliste, naïve peut être.. Mais il s’agit là du sens de la vie !!!

Il pointait un doigt magistral vers le ciel … (index plus exactement …)

Du fond de l’abime dans lequel peut se retrouver l’esprit des hommes.. jamais il ne faut oublier le sens de la vie, ce sublime appel vers Dieu à l’aimer …

Mais aussi à aimer ses frères et sœurs, nous sommes tous ses enfants, nous sommes tous frères et sœur, et à se titre nous devons nous aimer, simplement, honnêtement ….

Parce que même le plus grincheux, le plus aigri ne saurait vivre sans amour, et je vous invite à bercer, le plus exécrable des emmerdeurs… La plus harpie des casseuses d’ambiance, de mots doux et bienveillants.
Arretez de chercher l’amour que l’on vous porte alors que le sens de la vie est d’aimer l’autre, c’est dans le don du cœur qu’est le salut !!!


Il referma le livre des vertus et le posa sur le bord de l’autel .. puis se posta face aux fidèles, ponctuant chaque parole forte d’un mouvement de la main en la direction de l’un d’entre eux ….

Personne …oui ! je dis personne !!! ne saurais vivre sans amour !!!

Aimez votre frère … Prenez le dans vos bras, bercez le, cajolez le … vous !!! …


Il montre quelqu’un dans la salle

dites lui que vous l’aimez … Aimez votre sœur, adorez-la, chérissez-la, l’amour est le bien le plus précieux ….

Il pointe quelqu’un d’autre

… vous … puis un autre... vous …. Personne ne peut vivre sans AMOURRRR

Vous … moi …. Eux … tout le monde ….. TOUT LE MONDE


Il brandit les bras en l’air… les mains tremblantes tendues vers le ciel ….

oane, tou, tri, faurrrr

Il entonna un vieux cantique anglois des frères bleu

Everybody Needs Somebody To Love Everyyyybody … neeeeede somebody … toooo looooove ….

Il frappait dans ses mains pour donner la mesure … il marchait en chantant … chantait en marchant …pointant quelqu’un d’autre à chaque refrain il souriait, il riant … Prenant la main de l’un pour la poser dans celle de l’autre … passant une main amical sur une épaule, ébouriffant les cheveux d’un enfant au passage ...
Il dansait d’allégresse.. se dandinant entre les banc s… il fini le cantique un genoux à terre, les deux bras tendu vers son créateur … il était en quasi transe ….

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Alkemie
Étant revenu son voyage, elle passa devant l’église entendent des voix des claquements des mains puis quelqu’un chanté, ce disent bizarre premier fois quelle endenté chanté comme sa dans l’église.alké rentré dans l’église il y avait du monde elle se signe puis discrètement elle va s’asseoir, vu sa tapé dans les mains elle fit pareille au son de la musique .
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Laveternate
Lave était aussi croyante et pratiquante que la porte d'entrée d'une taverne mais elle était curieuse , très curieuse . Pas autant que Matou , Gribouille ou Mena, certes mais curieuse quand même . Elle décida donc d'aller d'aller à la messe .

Pas de problème pour trouver l'église , cette dernière tronait en plein centre de Fécamp un peu comme un siège dans une latrine .

Le nouveau curé racolait devant la porte , c'était sans doute un truc copié devant certaines tavernes pour attirer le client . Lave sourit au curé et entra .
Elle eu la bonne surprise de croiser une vieille connaissance : Jenjitai en pleine prière .


Eh Jen !!! Bon diou mais qu'est-ce que tu fais à fécamp ? T'as enfin quitté ton village fantôme ? En tout cas, ça fait plaisir de te voir vieille couenne !!!

Elle l'embrassa bruyamment sur les deux joues et s'assit au hasard sur un banc . Plutot vers l'avant de la salle, elle ne savait pas si elle avait le mal d'église alors valait mieux s'asseoir près du chauffeur .
Le curé commença à parler , parler ..parler ..... et Lave s'endormit
.


Citation:
dites lui que vous l’aimez … Aimez votre sœur, adorez-la, chérissez-la, l’amour est le bien le plus précieux ….

Il pointe quelqu’un d’autre

… vous … puis un autre... vous …. Personne ne peut vivre sans AMOURRRR

Vous … moi …. Eux … tout le monde ….. TOUT LE MONDE


Lave se réveilla en sursaut et ouvrit des yeux ebahis en decouvrant Lohen qui la montrait du doigt !

Euh .... mon père ....... vous êtes sûr ?

Puis rougissante et confuse

Euh ....ici ? .............maintenant ?
Jenjitai
La prêche , oui la prêche , Jenjitai se mit à rire mais discrètement sous son col mais quand Lave lui adressa la parole elle ne put s'empêcher d'éclater de rire
Elle l'enlaça très fort à l'étouffer , bien fait pour elle , non mais la traiter de vieille couenne sans blagueeeuuu


"Bien , je vais bien ma vieille branche, et toi tu massacres toujours les pauvres bougres ? Ben contrainte et forcer si je suis ici ... mais je te raconterais plus tard, chutt écoute ce qui se dit"

Pour écouter elle écouta mais s'endormit aussi sec, Jen rit à nouveau décidément cette Lave ... elle changerait jamais
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Matouminou


Quelle messe! Matou n'en revenait pas. Ca avait commencé traditionnellement avec le Père Savoie qui, comme à l'accoutumée, avait demandé aux fidèles de réciter le Crédo. Ce que Matou avait fait avec ferveur. Elle aimait bien cette prière. Puis, le Frère Lohen s'en mêla. Non pas qu'il fut de trop, bien sur que non, bien au contraire, c'est lui qui devait poursuivre la messe. Cependant, il le fit d'une manière quelque peu surprenante. Il sembla à Matou qu'il improvisait. Elle l'écouta attentivement.
A un moment son fils, Guillaume, la tira par la manche et lui chuchota:


- Dis maman, il a bu le curé?

Elle hocha la tête, puis rectifia en la secoua en signe de négation, inutile de décevoir l'enfant, il aurait bien le temps de se rendre compte pas lui-même de certains travers des adultes, quoique le calva en Normandie avait tendance à être considérer comme un bien d'utilité publique et à se consommer sans modération.... Sur le même ton, elle lui répondit:

- Non, non...il est surement un peu angoissé, c'est sa première messe à Fécamp...

Puis, elle se reconcentra sur ce que disait Lohen. Elle acquiesçait de temps en temps la tête...donner un sens à sa vie...oui, certes...encore fallait-il lui donner le bon sens..quant à l'amour, elle réprima un sourire

C'est alors que le Frère Lohen sembla pris d'une frénésie presque incontrôlable. En désignant ça et là les fidèles, il se mit à chanter:


Citation:
… vous … vous …. Personne ne peut vivre sans AMOURRRR

Vous … moi …. Eux … tout le monde ….. TOUT LE MONDE


Matou entendit alors une voix bien connue, celle de Lave:

Citation:
Euh .... mon père ....... vous êtes sûr
Euh ....ici ? .............maintenant ?


Elle se retourna et se mit à rire en voyant Lave, rouge de confusion, mais son attention se reporta de nouveau sur le Frère Lohen qui là, était en transe véritablement. Il chantait à tue-tête, dansait, se dandinait, frappait dans ses mains.

Matou écarquilla les yeux, hésita un instant quant à la conduite à tenir. Finalement, l'allégresse du Frère eut raison des conventions protocolaires qu’elle avait tendance à s’imposer. Elle se mit à frapper, en rythme, dans ses mains. Jamais, elle n'avait assisté à une telle messe, c'était un vrai changement.

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Savoie
Le frère Lohen savait décidément comment faire lever ces paroissiens. Que faire? Cela n'était pas très... classique... Devait-il mettre un terme à cela? Invoquer la solennité d'un église, dédiée à la réflexion et au recueillement? Mettre un terme à tout cela?

Ces vieux réflexes de curé lui dictaient la chose...

Mais il voyait la foule. Les paroissiens appréciaient. Buvaient les mots de Lohengrin. Se levaient, et en accord avec les mots du père, l'essence du message du prophète, célébraient son discours. Tout cela ne faisait qu'un. C'était certes moderne... Mais était-ce déplacé? Non. Au contraire. Il fallait non seulement laisser faire, mais, qui plus est -voir plus important- entrer dans la danse.

Lui-même s'activa les mains, clap clap clap. Les pieds commencèrent à suivre.


Citation:
Aimez votre frère … Prenez le dans vos bras, bercez le, cajolez le …


Il répondit à l'appel. Prenant Lohengrin d'abord, il fit deux ou trois (peut-être quatre, au final...) tour, au rythme de la chanson. Puis le lâcha, se dirigea vers les fidèle, et invita de la main une paroissienne à tournoyer quelques autres tours, prit par l'allégresse et la transe de l'invocation de son frère le nouveau curé de Fécamp. C'était la fête. Tout l'idéal d'une célébration, quoi...
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fidèle parmi les fidèles
Jenjitai
Suivant le rythme, Jen se leva embrassa les personnes pas loin d'elle, frappa dans les mains , chanta à tue tête elle aussi

Dieu qu'il était bon de chanter ainsi à la gloire du Tout Puissant , qu'elle ambiance ...

Certainement tout le monde serait envahit d'une énergie hors du commun en sortant d'ici , Jen avait même l'impression de se réveiller d'un long sommeil

Elle vit Savoie prit dans le tourbillon , en transe comme les autres , elle lui sourit ses yeux pleins d'étoiles
Décidément ces Fécampois ... toujours aussi surprenant

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Laveternate
Lave regardait tout le monde danser et se trémousser .

Si j'avais su que c'était ça une messe, y'a longtemps que j'y serais allé . ...
Le père Savoie faisait tournoyer ses paroissiens et elle se leva pour faire comme les autres . Matou et Jen avaient l'air complètement en transe .

Décidément, les deux là, ça fait les coincées du posterieur en public mais quand elles se dechainent , ouah là, c'est le grand jeu ! Je le savais qu'au fond, elles etaient aussi folles que les autres , c'est pour ça que je les aime bien d'ailleurs .
Et elle dansait, frappait dans les mains comme tout le monde .

Croisant le frère Lohen qui relançait la cadence sans arret , elle lui chuchota à l'oreille :

Et c'est quand qu'on "s'aime " comme vous avez dit ? ça se passe comment exactement, on choisit ses partenaires ou c'est vous ? Faut pas m'en vouloir,c 'est ma première messe , je n'y connais rien !
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