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[RP]Paroisse dé Fécamp-mariage, Num&Mena

Laveternate
Citation:
C'est bon, toutes les déclarations ont-elles été faites ? Quelqu'un a t-il un message personnel à faire passer ou bien souhaite t-il s'exprimer avant que nous reprenions ?


Lave leva le doigt

OUI , moi j'ai une déclaration à faire ! Un message personnel, oui, c'est bien ça !

Alors voilà, je voulais dire ceci :

Tuck, je t'aime !

et je voulais aussi demander :

C'est quand que c'est fini ce mariage parce que j'ai soif et faim ?
--Augustine
Le voyage fut ponctué de ses pleurs , des claques distribué à num junior à chauqe fois qu'elle entendait :

Quand est ce qu'on arrive??? c'est encore loin ???

et des reflexions de son père sur le fait qu'elle avait eu un batard sans etre mariée et qu'il etait la honte de son village.

Elle fut donc heureuse d'arrivé en vue de Fécamp.

Ils s'arreterent non loin de l'église et entra dans celle ci. Mais le mariage avait déjà commencé , Augustine soupira d'aise quand elle entendit

Citation:
C'est bon, toutes les déclarations ont-elles été faites ? Quelqu'un a t-il un message personnel à faire passer ou bien souhaite t-il s'exprimer avant que nous reprenions ?


elle n'eu pas le temps de dire oui qu'une femme en blanc se leva et déclara son amour pour un certain tuck et aussi qu'elle avait faim et soif . Elle prit son fils par le bras et s'avança dans l'allée centrale

Oui !!moi j'ai quelque chose à dire , je m'appelle Augustine et l'homme qui se tient là devant vous et le père de mon fils

Num tu te rapelles de moi ...Avranches ..le buisson quand tu combattais les bretons .


Elle tira sur le bras de son fils

Voici le fruit de notre amour , je ne veux pas empecher ce mariage mais je veux que tu reconnaisses ton fils !D'ailleurs regarde comme il te ressemble !!
--Ogustin
Ogustin ne décolerait pas , sa catin de fille était une catin et il enrageait .... Ah, c'est qu'il allait payer le bougre , celui qui lui avait fait le rejeton !
Il suivit sa fille et entra derrière elle dans l'église bondée .




Citation:
Oui !!moi j'ai quelque chose à dire , je m'appelle Augustine et l'homme qui se tient là devant vous et le père de mon fils

Num tu te rapelles de moi ...Avranches ..le buisson quand tu combattais les bretons .


Dès qu'elle se tut, il passa devant sa fille , prit le gamin par le haut de sa chemise et le leva devant lui vers Numenor .

Alors, c'est toi le père de ça ?

Et bien tiens, on te le rend !!
Bon debarras !

Viens, ma fille, ton honneur est lavé , rentrons chez nous à Avranches !
Numenor


Numenor entendi Lave et sourit. Pas étonnant c’est du Lave tout craché, manger, boire faire la fête tout ça était dans ses gènes. Il la regarda et leva les yeux au ciel avec un grand sourire. Quand soudain les portes de l'église s'ouvrit de nouveau laissant entrer un homme âgé , une femme et son enfant.
Citation:

Oui !!moi j'ai quelque chose à dire , je m'appelle Augustine et l'homme qui se tient là devant vous et le père de mon fils

Num tu te rapelles de moi ...Avranches ..le buisson quand tu combattais les bretons .


Voici le fruit de notre amour , je ne veux pas empecher ce mariage mais je veux que tu reconnaisses ton fils !D'ailleurs regarde comme il te ressemble !!


Numenor soupira et se frotta les yeux, décidément... les gens aujourd'hui n'avait pas finit, Il voulait tous son héritage ! Il en était sur ! Mais de la à trouver plein d'excuse pour dire qu'il était le père d'un tel ou d'un autre... ça commençait à bien faire.

Il n’eut pas le temps de réagir que l'homme réagi aussi froidement.


Citation:

Alors, c'est toi le père de ça ?

Et bien tiens, on te le rend !!
Bon debarras !

Viens, ma fille, ton honneur est lavé , rentrons chez nous à Avranches !


Numenor soupira une seconde fois... regarda Sylvak en haussant un sourcil et dit à voix haute.


Bonjour bienvenue à Fécamp...


Il fit un petit silence et continua.

Cela fait un bon moment que vous venez tous l'un après l'autre en vous faisant passer pour une vielle conquête enceinte. Je tient à vous signaler que je ne donnerais pas un héritage merveilleux ! Je ne sais pas se que vous cherchez tous mais voici mes possessions pour ceux qui pense vraiment que je suis blindé de fric.

Une taverne,
Un champ,
Une forge,
quelques sous,
et une superbe garde robe.

Quand à ce Bambin je ne peux pas le reconnaitre, ni encore vous reconnaître si je vous ai connu mademoiselle.
Demandez donc à Sylvak, il m'a accompagné à Avranche, nous avons toujours été ensemble. Quel hasard c'est son rôle de témoin en plus aujourd'hui. A l'époque d'Avranche j'avais une autre compagne qui est morte il y a de cela maintes années, Isananine. Tout le monde peut vous le dire ici.

Alors cessez avec vos boniments, asseyez vous et laissez donc cette messe se poursuivre.


Numenor se retourna vers Pancrace lui dit qu'il est bon pour continuer. Ce retourna vers Menaline lui prit les mains dans les sienne et la regardant dans les yeux lui promis.


Mena, ma douce Numenor sourit à ces mots, il se disait bien que dans cette salle peu le pensait, mais pour lui c'était sincère.

Je te promet de te chérir, de te protéger et de t'accompagner dans ta vie de tout les jours, que se soit pour enquiquiner le monde aussi bien que pour s'ennuyer devant une partie d’échec. Je souhaite vieillir avec toi que se soit en bien comme en mal.

Et surtout Mena, je veux que notre complicité reste tel quel, que nous nous laissons pas aller à la routine comme peut le vivre Gribouille et Aupyl.






































Sylvak
Je confirme que je vous connais pas et vous soupçonnes d'être venu ici de la par d'un tiers qui souhaiterais pourrir ce mariage

De ce fait...

Il joignit le reste de sa phare au mouvement de sa main se posant sur la poignée de son épée

Je vous conseil vivement de faire silence et de quitter les lieux.En tant que témoin et responsable de la sécurité, je risquerai de vous botter les miches si fort que vous en perdrez l'usage

Puis il se retourna vers le prêtre et les deux presque mariés

Sur ce, vous pouvez reprendre
Tuck06
Tuck était un peu troublé.
D'abord l'annonce de la mort de Jobart, son père caché, ensuite tous ces gens qu'il ne connaissait pas et qui semblaient connaître Num.
Et puis ce gros type près de Gribouille...il lui rappelait quelqu'un.

Il se leva après avoir entendu le prêtre et alerta l'assemblée.

OUI moi Tuck, je m'oppose à cet enterrement ! il faut d'abord savoir de quoi le vieux Job est mort ! Je demande une autopsie. Lave, ma compagne et par ailleurs le meilleur médecin de Fécamp, pourra la faire. Ensuite seulement nous pourrons enterrer le vieil homme.

Sur ces bonnes paroles, il se rassit en souriant à Lave.
--Columbo
Un jeune couple était venu faire une déposition le soir précedent au bureau de police . L'homme etait vêtu avec élégance d'une toge à la mode romaine et la femme qui l'accompagnait etait tout aussi belle et bien vêtue . Le chef Columbo avait rarement vu un couple avec une telle classe .

C'est d'abord l'homme qui lui raconta avoir entendu un certain Numenor se vanter d'avoir tué un dénommé Jobart et la femme continua en précisant qu'il avait dit l'avoir découpé en morceaux .

Columbo s'écria :


BOn sang mais c'est bien sûr !!! Je m'en doutais ! la disparition du propriétaire du phare m'avait toujours sembleée bizarre !
C'est donc un meurtre !

Ne bougez pas , je reviens !


Columbo enfila son pardessus tout rapiécié et fila vers l'église, sachant que le sieur Numenor y etait .

Le plus vite qu'il put, il courut et entra comme une bombe dans l'eglise dejà bien remplie .

Citation:
OUI moi Tuck, je m'oppose à cet enterrement ! il faut d'abord savoir de quoi le vieux Job est mort ! Je demande une autopsie. Lave, ma compagne et par ailleurs le meilleur médecin de Fécamp, pourra la faire. Ensuite seulement nous pourrons enterrer le vieil homme


Moi aussi, je m'oppose, je suis le lieutenant Columbo et je vous arrete messire Numenor !

Je vous arrete pour le meurtre de Jobart !
Savoie
Cela commençait à bien faire... Ou Savoie commençait à s'habituer... Il hésitait toujours. Nous nous trouvions dans une église, dévouée au Très Haut, tout de même... Pas au théatre...

Savoie commençait à regarder autour de lui, si, dans les invités, il n'y avait pas de représentant des forces de l'ordre, que ce soit de l'ost ou des forces policières du village. Ainsi, s'il y avait débordement, la sécurité des fidèles -et celle des célébrants- serait assurée.

Car il ne pensait pas que celui qui venait d'entré était véritablement un sergent de police. Un sergent de police ne serait pas entré dans une lieu Saint. Il aurait attendu dehors. Ou il en aurait d'abord parlé avec le prêtre.

Non. Ce mariage avait eu son lot de rebondissement. Ce n'en était peut-être qu'un de plus. Une façon pour les amis des mariés de faire la fête.

Mais bon, cela commençait à déranger un peu le cardinal. On était pas ici dans une salle des fêtes...

_________________
fidèle parmi les fidèles
--Temoin1
Elle etait toujours dans les bons coups. Elle arpentait mariage , bapteme et autres pour pouvoir se nourrir à l'oeil comme il y avait toujours du monde personne la remarquait.
Elle se remplissait la panse et sa besace, ainsi ses enfants pouvait manger pendant une semaine voir deux .

Elle avait mis son habit dimanche et du fond du l'église n'en perdait pas une miette quand l'inspecteur parla , elle se dit que la verité devait éclater . Elle se leva

Je suis temoin oui !! moi !! d'ailleurs il n'y pas que le marié de coupable !! ils sont tous coupable !car il n'y pas que je vieux Job qui a disparu .
Je vous explique comment ils procedent. D'abord il y a la femme du gros la blonde là qui ramene des etrangers ou esmoutille des anciens , apres la rousse la mariée les empoisonnent avec son ragout .Quand ils sont morts Le gros capitaine les depouillent de leur écus puis le futur marié les amene à la borgne habillé en blanc là !! avec l'aide de son mari celui qui porte des tunique et qui va toujours derriere l'église le dimanche quand les chèvres y trainent ben ils les coupent en morceau pis les donne à la grosse mairesse chatte turlait ,celle qui se prend des jeunes escuyers pour les faire passer dans son lit , comme ça elle elle donne des mandats à la blonde pour faire des viandes qu'elle vend au marché !!


Elle montra au fil de ses explications tour à tour Gribouille, Aupyl , Mena , Num , lave ; tuck et enfin matou

sont coupables ! j'vous dit !!! tous !!!! qu'on les pende !!! sont des voleurs !!
Numenor
Numenor en avait marre, il soupira et regarda une nouvelle fois Sylvak.

Bon ! C’est finit la je demande à tout ceux que je n'ai pas invité de sortir Illico de cette église ! Alors le gus la les deux fausses amantes et son père, le bambin, le faux détective et autres trucs dans le genre sortez maintenant ! Laissez nous en paix nous en parlerons tranquillement aprés !
Menaline
Menaline regardait toutes les personnes s'agitaient. D'ailleurs étranges, elle pensait que ce serait les gens qu'elle connaissait qui rendrait le mariage difficile, mais non que des inconnus. Elle soupira un grand coup, laissant Num régler le problème, écouta ses vœux. C'est quand elle s'apprêta à faire les siens qu'une des personnes dit une chose qui la choqua profondément.


EH ! JE NE SUIS PAS ROUSSE, JE SUIS CHÂTAIN CLAIR !!!!


Elle croisa les bras, furieuse. Que des personnes gâchent son mariage, elle s'y attendait, mais celui là allait trop loin. La traiter de rousse, non mais !
--Carmena.


Tandis qu'elle s'avançait vers sa petite fille chérie, une espèce de vent de folie sembla souffler dans l'église. Un homme en toge se mit à parler d'une messe d'enterrement. Plusieurs personnes se mirent à parler en même temps. Carmena ne comprenait plus rien. Elle regarda les gens les uns après les autres, saisit qu'il était question d'un mort qu'on n'avait pas autopsié, d'un enfant que le futur marié ne voulait pas reconnaitre et dans son esprit encore embué des vapeurs de calva de la veille, elle essayait de se raccrocher à quelque chose de cohérent. Elle grommela:

- Bon, c'est quoi c'te messe??

Elle joua encore des coudes, écrasa quelques pieds, ne s'embarrassant plus d'excuses. Elle n'était plus qu'à quelques toises de sa fille lorsque celle-ci se mit à hurler:


Citation:
EH ! JE NE SUIS PAS ROUSSE, JE SUIS CHÂTAIN CLAIR !!!!


Qui? Quoi? Le sang de Carmena ne fit qu'un tour. Elle venait de sentir toute la détresse de la chair de sa chair, du sang de son sang. Elle contourna Ménaline et se planta devant elle:

MENALINETTE!! C'EST MAMAN!! MA TOUT'P'TIOTE...DIS A TA VIEILLE MAMAN QUI T’EMBÊTE.......


Et s'adressant aux autres personnes, elle lança:

- MA P'TIOTE EST PAS ROUSSE...ET OU QU'IL EST MON GENDRE????








Ephear


Ephear pénétra les lieux sacrés, voués au Très Haut, à la prière, à la repentance, à la communion, au bonheur des unions, des sacrements.
Bref, ça ressemblait à un sacré foutoir quand même. Il n'aurait pas su aussi bien s'y prendre.
Il aurait bien aimé participer, mais le Père Savoie l'avait à l’œil.

Il prit tout simplement place à côté de sa Dame Matou.
Baissa la tête.
Puis dit à voix basse.


Je vous aime tous, surtout toi, surtout moi.
Laveternate
Lave s'amusait bien à ce mariage , d'ailleurs, elle se disait que c'était le plus marrant qu'elle n'ait jamais connu . Des inconnus tous aussi fous les uns que les autres venaient à tour de rôle faire de surprenantes déclarations et Tuck, en plein délire qui se croyait à l'enterrement de Job ....
C'était du grand Fécamp comme elle aimait tout ça .

Mais bon, le curé ....bah ....on ne pouvait pas lui en vouloir, la chasteté , ça rendait un peu hargneux , elle le comprenait bien ...donc le curé commença à râler .
Sylvac devint menaçant et le marié , Num , envoya tout le monde aller se faire voir ! Niant tout d'un bloc quand aux accusations diverses .

C'est ainsi que un par un, les trouble-fêtes s'en allèrent tristement .

Lave leur fit un petit signe de la main en signe d'adieu , l'air navré et se serra contre son fidèle Tuck . Heureusement, il lui restait son Tuck, c'était le principal .et avec lui, elle s'amusait encore bien !


Bon, ben y'a pu qu'à attendre que cette messe finisse .... Tuck, tu voudras bien me réveiller quand ce sera fini ?
--Carmena.


Elle attendait des réponses à ses questions, mais visiblement la femme en face d'elle semblait peu disposée à lui répondre.
Un doute s'immisça alors dans son esprit...à y regarder de plus près, elle ne reconnaissait pas trop celle qu'elle pensait être son enfant.
Elle l'observa avec insistance, la jaugeant de la tête aux pieds.
Autour d'elle, quelques murmures, bruissements de voix inaudibles, se faisaient entendre. Elle n'y fit guère attention.
A vrai dire, les messes, mariage, enterrement, baptême, c'était pas son godet de calva. Elle en avait même plus qu'assez.
Alors, elle se contenta de dire à cette femme qui continuait de faire comme si elle n'existait pas:


- Mouai...ma p'tiote est ben pu belle que toi, salutations à toute la compagnie!


Elle est tourna les talons. Cette fois-ci, elle se paya le luxe de repartir en empruntant la grande allée. Elle repartit comme elle était arrivée, en trainant la savate et en ronchonnant.
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