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[RP]L'Eglise Saint-Arnvald

Paimbohe
Au moment où Paimbohé allait se rendre en taverne pour sa bière dominicale, il vit un homme en sortir. A sa mise, il reconnut un religieux.

Mais bien sur que oui! C'est dimanche! Jour de messe!

Alors, le vieux marchand emboita le pas à l'homme vêtu de noir et se rendit à l'église.

In nomine Dominus, Aristote et Christos

Voilà bien des mots que le bonhomme n'avait plus écoutés depuis bien longtemps.
C'est trop souvent qu'il oubliait la maison du Très Haut... Comme beaucoup sans doute.

Puisqu'il y était, il pria pour le bien-être de ces amis présents passés et à venir.
_________________
Thomasdeclerel
Le Duc de Dun-le-Roy et maire de Bourges, entre autre, se présenta à l'office dominical, comme à chaque fois qu'il le pouvait.

Il prit place dans l'église et écouta pieusement le curé parler.
Minlawa
Le Curé de Bourges regarda la maigre assistance, puis s’approcha de la lice et pris la parole.

Mes frères , mes sœurs,

Messire duc, et maire de Bourges, merci de montrer l’exemple et d’être là.
Je dis merci au risque de surprendre car il est normal pour un noble de montrer l’exemple…D’ailleurs où sont les nobles de Bourges aujourd’hui ?
Son Eminence notre archevêque m’avait nommé à Bourges en me disant:
« Il faut d’urgence un curé à Bourges car les habitants se plaignent du manque d’office, depuis que la mère Lladrane est partie aider les croisés »…

Bien évidemment, il est hors de question d’en vouloir à la mère Lladrane pour ce noble geste, bien entendu. Mais où sont les plaignants ?

Où sont les gens qui critiquent et ne font pas?
Certes il est facile de crier haro sur les clercs qui devraient être là, disponibles, présents...Et soi-même de ne pas trouver le temps d’aller à la messe.
Alors je demande aux présents de le dire aux absents…Ils peuvent avoir honte, de leur fénéantise !

Surtout que l'on ne vienne pas me dire, "je n'ai pas besoin de messe pour prier". La messe n'est pas une prière c'est un moment de partage et d'affirmation d'une communauté, on n'est pas une communauté seul dans son coin.

Je n’épiloguerai pas, et je clos cette parenthèse.

Dimanche prochain, je dirai donc une autre messe, et pourrai prendre alors la mesure de la foy à Bourges, au lieu que de parler devant des bancs vides.

Merci messire Duc, d’avoir prouvé qu’un duc est au dessus des autres de part sa noblesse et sa vertu, et non juste par ses titres.
Thomasdeclerel
Le Maire de Bourges de Bourges dans l'assistance écouta avec attention le prêche de l'homme de Dieu, puis à la de l'office, il se permit de s'approcher de lui et lui tint ces propos :

Le bonjour mon père, permettez moi de vous remercier pour votre office et de vous souhaiter la bienvenue à Bourges. Ne prenez pas ombrage de l'absence des berruyers, sans vouloir les excuser, beaucoup ne sont pas habituer à venir à la messe. Cependant, pour vous aider à remplir l'église, je me suis permit de les y inviter dans mon panneau d'affichage municipal, le ferais de nouveau dans ma lettre d'information aux habitants de mercredi et via le panneau à nouveau en fin de semaine.

Le Duc marqua une pause, puis poursuit :

Je vais essayer de faire venir plus d'habitant à votre prochain office. Il est vrai qu'il est chose aisée que de se plaindre de l'absence de curé et dans le même temps de ne venir à l'église que pour s'y faire baptiser ou se marier, et bien vite après l'oublier...Soyez assuré que Bourges saura mériter son curé, du moins, je vais essayer de faire cela, mon père.
Minlawa
Avec grand sourire, le curé accueillit les parole de l'homme qui lui faisait face.

- C'est hélas un problème redondant auquel il faut s'habituer. Peu de clercs supportent cette situation de quasi servitude permanente et ingrate.
Nous les voudrions, présents, disponibles, très souvent dans l'urgence, mais aussi, vite oubliés passées les noces.
Comme le dit un vieil adage, "la rivière passée, l'on se souci peu du passeur".
Je suis parfois critique vis a vis de mes ouailles, c'est aussi le rôle du prétre que de piquer un peu ces derniers là où cela fait mal. Mais si ce n'est pas moi qui relève leurs petits défauts ou péchés, qui le fera ?
D'autres peut être mais avec bien moins de gentillesse, sans doute.

Dans tous les cas merci, pour cette aide proposée, qui sera et est déjà appréciée.
Personnellement, je suis à Bourges pour longtemps, bien que cela me coute fort cher... "sourire" Les pensions sont chères en capitale.
J'espère que nous aurons l'occasion de travailler pour le bien des habitants.
La seule chose que l'on ne peut plus me demander est un engagement politique partisan.
Car il est incompatible dans bien des cas d'étre le serviteur de tous en servant les intérêts ou les idées de certains seulement.
Minlawa
GRAND’MESSE

Le père Minlawa de Montfort, s’apprêtait à dire une messe en l‘Eglise de Bourges, il souhaitais ardemment que la noblesse y vienne tenir son rang. Il entra dans la l’édifice en procession, suivi des clercs qui composaient son train et alla rejoindre dans le chœur les clercs déjà présents. Etre curé n’était pas une mince affaire, puisqu’il avait la responsabilité des abbés, diacres, sacristains, novices et autres clercs de la paroisse.
La journée semble belle, à cette heure du jour la lumière qui pénètre par la rosace baigne l’édifice de douceur. Cette lumière du levant symbole de l’espoir d’une vie vertueuse qui mènera l’homme à être admis dans le paradis solaire pour une éternité d’éternités auprès de son père créateur.
Il profite de l’instant et prend une inspiration bénéfique avant de monter à l’autel.
Sa jambe le fait encore souffrir mais il a abandonné sa cane.
Puis il avance jusqu’à l’autel et ayant rendu hommage à la relique, fait une courte prière.
Après une génuflexion difficile, difficulté due à la fatigue des nombreux voyages, il se retourne vers l’assemblée et dit :

In nomine Dominus, Aristote et Christos

l’assemblée répond

Qu’il en soit ainsi

Bonjour à tous !

Frères et Sœurs, je vous souhaite la bienvenue.

Il m’est donné, une fois encore, le plaisir et l’honneur de célébrer devant vous cet office, profitant de ma présence en Poitou, j’en remercie le Très Haut

Ce qu’il y a de bien avec les cérémonials c’est qu’ils sont répétitifs…
Après cette introduction il s'approche de la lice et s'adresse de nouveau aux fidèles présents.

Mais avant de partager ce moment ensembles, il faut nous repentir de nos pêchés.

Oremus :

Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime, avec une âme pure
Qu’il en soit ainsi.


Mes frères, souvenons nous de cet adage !
« Nul n’est autorisé à râler sur l’absence des clercs tant qu’il n’est pas présent lui même aux célébrations »
Tryolite
Tryo arriva toute fraiche pour la messe, c'était le premier jour du printemps et on le ressentait les oiseaux chantaient guilleret et un beau soleil couvrait les plaines. Tryo était particulièrement de bonne humeur, elle venait de passer sur la place du village arracher un exemplaire de journal des mains d'un petit vendeur contre quelques pièces. Les résultats des éléctions était paru et le FIER était en tête avec un jolie score ! Après avoir scandé quelques ''vive georgepoilu !! vive le FIER !! " en buvant quelques chopes elle se dirigea vers l'église pour l'office du jour.

Bonjour mon père !

Elle le salua puis pris une place ou s'assoir en récitant la prière de pardon.

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime, avec une âme pure
Qu’il en soit ainsi.
Minlawa
Le père s'adressa à la foule.

La cité décrite par Aristote…
Quelle citée !
Chacun y a sa place, chacun y fait son devoir !
Certains produisent, certains gardent l’intégrité de la citée, d’autres sont en charge de la spiritualité.
Ce qui est évident c’est que chacun fait son devoir, car si l’une des classe devait ne pas le faire qu’adviendrait-il ?
Que serait la citée si les producteurs ne produisaient pas ?
Que deviendrait-elle si les soldats ne la protégeaient pas ?
Que serait elle si la classe supérieure venait à ne plus servir d’exemple, a ne plus guider le peuple vers la spiritualité, à ne plus faire son devoir ?
Car à quoi bon tout cela si l’homme ne cherche pas à s’élever. A n’être pas différent de l’animal ?
Après tout, les chiens se satisfont de leur sort de chiens et ne cherche pas à s’élever !

Nous aussi avons dans nos royaumes
Des vagabonds, des paysans, des artisans, qui doivent produire.
Des soldats qui doivent défendre.
Des clercs et des nobles, qui doivent gérer montrer l’exemple et amener à la spiritualité et la vertu.

Je vais vous parler de la noblesse. Cette classe qui devrait être la plus élevée et la plus spirituelle.

Il est des vulgaires gueux, je précise que cela n’est pas une insulte, c’est un fait, c’est un confort parfois, on ne demande pas au commun des hommes de réaliser des exploits.
À la vérité, celui qui est noble a des devoirs sacrés à remplir envers la société ; ce caractère lui impose la tâche immense de s'élever par ses vertus au-dessus du commun des hommes ; dans les camps, par ses lumières et son courage ; dans la vie civile et privée, par sa tolérance et son humanité.
Il faut que les roturiers en le voyant se disent : consolons-nous de ce que la naissance a mis une distance entre lui et nous, la nature l'a doué des dons qu'elle accorde rarement au vulgaire! Et avouons que, s'il fallait désigner le plus digne, ce serait lui que nous nommerions!
Voilà comme le peuple peut être rappelé aux sentiments de respect et de vénération qu'il doit à la Noblesse.


Chaque noble, chaque dirigeant, chaque responsable, chaque membre de la classe d’or de cette citée rêvée doit s’élever.
Par ta conduite ;
Par ton langage ;
Par ta tolérance ;
Par ta vertu ;
Par le respect envers Dieu, le clergé, la Noblesse, les hommes et les traditions ;
Par ta façon de vivre dans notre siècle, comme un homme de notre siècle
Au dessus du commun des hommes.
Regardez vivre les nobles, mes enfants, mais ne regardez pas leurs bannières, car c’est par leur façon de vivre qu’ils se doivent d’être nobles, pas par leurs titres. Car une chose est vraie, toute personne prétendument noble qui se conduit comme un gueux n’est digne que du rang de gueux!

Messire Duc merci d’être présent et de montrer à chacun ce qu’est la valeur d’un serment, comme le serment de baptême par exemple.
Où sont-ils ceux qui ont prêté ce serment et qui n’assistent pas au partage du pain ?
Encore une fois merci au Duc régnant de nous montrer ce que devrait être toute la noblesse.

Je tenais, avant de partager le pain avec vous, à féliciter les nouveaux élus pour leur victoire.
Leur demandant de ne pas oublier ceux qui dans le peuple n’ont pas voté pour eux.
Leur demandant d’être les élus de tout un peuple.
Leur souhaitant toute la réussite dans leur gestion, en se souvenant que le but de toute manœuvre ne peut être que le bien.
Thomasdeclerel
Le maire de son Bourges comme à son habitude vint à la messe et prit place dans l'assemblée. Il écouta avec attention le prêche de l'homme de Dieu tout en regardant en coin les personnes présentent, en espérant que d'autres allaient arriver...
Minlawa
Le Père s’approche de l’autel préparé pour le partage du pain,
Récite à voix basse et renouvelle le rituel du partage

Il continue en disant
Priez mes frères, Nous allons partager le pain, ce partage symbolise que nous partageons aussi les joies, les peines, la vie. Que lorsque la maladie ou la guerre, la soldatesque ou la famine s’abattent elles ne s’abattent pas sur l’un d’entre nous mais sur nous tous. Symbole que nous partageons tout.
Qu’il en soit ainsi

Vient le moment du partage en lui même

Minlawa reprend la parole
maintenant, sœurs et frères partageons le pain et le vin comme il nous a été appris à le faire.



Le père Minlawa se saisit du calice, le tend vers les fidèles, et en boit. Certains fidèles ayant apporté du vin le boivent aussi dans la communion puis s'avancent vers l'autel, il leur distribue les pains, il invite l’assemblée pour distribuer quelques morceaux du pain rompu et faire boire un peu de vin pour manger et boire.

Suivent quelques instant de méditation

Je terminerai en remerciant les fidèles de la Paroisse qui ont assisté à cette messe.
A tous je souhaite du courage pour surmonter les épreuves….

Il lut la dernière prière.
Et Il bénit l’assemblée.

Benedíctat vos omnípotens Dominus, et Artistote et et Christos

L’assemblée répond :

Qu’il en soit ainsi

Ite messa est

Pour en savoir plus sur l’Eglise Aristotélicienne posez la main sur l’image ci-dessous :
Bubul27
Bubul avait suivi la messe au fond de l'église saint arnvald ; il y avait si longtemps qu'il n'avait assisté à une cérémonie religieuse.
Il espérait avoir du vin avec le pain.

Puis il resta à méditer sur les derniers évènemenys de sa vie, espérant qu'Aristote le guiderait.
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Wendoline
Arrivée à Bourges depuis quelques jours elle n'avait pas eu la force de venir se recueillir plus tôt. Pourtant il était important pour elle de lui rendre un dernier hommage. Cet ami de longue date qui avait parcouru tant de lieues pour elle et son fils, pour leur apporter une chose essentielle à la vie et qui ne peut se commander ; l'amitié sincère. Son ami Jacquescoeur2 les avait quittés tous....
Elle entra dans l'église, se signa et prit place sur le premier banc qu'elle trouva. Près d'elle son petit Tristan se tenait sagement assis, sa tête bien câlée contre elle.
Elle resta un instant à regarder dans le vide, alors elle se souvint d'un texte qu'elle avait lu au Manoir et doucement murmura


Citation:
Je vous prêterai pour un peu de temps,
un de mes enfants, dit Dieu,
Pour que vous l'aimiez tant qu'il vivra,
Et le pleuriez lorsqu`il vous quittera

Ce sera peut-être six ou sept semaines,
Trente ans ou trois ans,
Le voulez-vous, jusqu`à ce que je le reprenne,
Pour prendre soin de lui à ma place ?

Il apportera son charme pour vous égayer,
Et même si son passage est bref
Vous aurez de doux souvenirs de lui,
Pour vous consoler de votre peine.

Je ne peux vous promettre qu`il restera,
Puisque tout sur la terre est passager,
Mais il y a des leçons qui s`y enseignent,
Et je veux que mon enfant les apprennent.

Et là, sur la terre avec vous,
Je prête cet enfant qui est mien,
Pour bien des âmes qu`il touchera,
Avec les leçons que j`envoie.

J`ai regardé ce vaste monde,
En cherchant des âmes fidèles,
Et dans la foule qui encombre le chemin de la vie,
Je vous ai choisis.

À présent voulez-vous lui donner votre amour,
Sans penser que ce soit labeur inutile,
Et sans me détester quand je viendrai,
Pour le reprendre ?

Je vous imagine me disant :
"Seigneur que ta volonté soit faite ! "
Pour toutes les joies que cet enfant nous a données,
Nous acceptons les risques du destin.

Mais tu es venu le reprendre,
Bien plus vite que nous pensions,
Seigneur, pardonne à nos larmes,
Et aide nous à comprendre


Puis elle ferma les yeux, se souvint des moments passés avec cet ami. Au souvenir de ses paroles "Ton fils sera un grand homme il a été choisi par le Très Haut".... un léger sourire éclaira fugitivement son visage. Elle espérait que le Très Haut lui avait réservé une place de choix, il le méritait.

Elle laissa couler ses larmes et avant de quitter l'église prenant Tristan par la main, ils allumèrent un cierge.
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Gentiane
Claya venait fraîchement d'arriver à Bourges et elle voulait remercier le Très Haut de l'avoir garder en Sa sainte garde tout au long de son voyage. Elle espérait que cela serait la ville où l'amour avec son Loup pourrait s'épanouir et qu'il trouverait enfin une date pour se marier. Il lui tardait de passer de l'amour courteois à l'amour de couple marié.

Elle poussa la porte,, elle se signa remit sa médaille correctement sur sa chemise et partit s'asseoir sur un banc pour réciter son crédo.



Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Elle se releva , elle devait trouver un endroit où dormir et se restaurer. Le froid du matin était encore vif et elle s'enroula un peu plus dans sa cape.
Verty
MESSE du DIMANCHE



Mère Verty, fatiguée de ses allés retour dans le Berry, s’était rendue à l’Eglise de Bourges, pour y dire la messe.
Elle s’approcha de l’autel dressé, en pierre, au milieu de celle-ci, elle resta un long moment dans la sacristie.
Après s’être revêtue des ornements sacerdotaux, elle avança au devant de l’autel

Mes biens chers frères, fidèles Aristotéliciens.
Bienvenue en cet office, qui comme vous le savez, est l’occasion le mercredi et dimanche, entre fidèles aristotéliciens, de partager un instant de spiritualité et de convivialité dans la communion de l'amitié Aristotélicienne.
Mais avant de partager ce moment ensembles, il faut nous repentir de nos pêchés.

Oremus :
Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.

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Bubul27
Bubul, réveillé de bonnes heures, se rendit à l'église pour assister à la messe dominicale.
Il s'installa dans les rangs du fond comme à son habitude et écouta les saintes paroles.
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