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[RP]L'Eglise Saint-Arnvald

Sidney
Le Père Sidney, se rendit à L'Eglise Saint-Arnvald
afin de vérifier si tout était bien prêt, pour accueillir les villageois et les gens de passage.

Ensuite il alla à la Sachristie,et demanda aux enfants de choeur de faire sonner les cloches à la volée, pour prévenir tous les personnes que la messe allait commencer.









L'invitation
Kateline
Les cloches de l'Eglis réveillèrent encore une fois Kateline en ce dimanche, à croire que cela devenait une habitude le dimanche.
Une bonne habitude dans un sens car cela signifiait que la messe serait dite, ce qui avait cruellement manqué à la Belle Capitale ces derniers mois.

Elle sortit rapidement de la maison dans laquelle elle se trouvait, faisant un crochet rapide par chez elle afin de se débarbouiller et passer une tenue propre puis se rendit à l'Eglise.

Pour une fois lorsqu'elle passa les portes, elle vit une nef plus ou moins vide, ce qui la rassura sur le fait qu'elle ne serait pas en retard. Pour changer.
Elle s'installa dans un banc en silence, et attendit le début de l'office.

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Sidney
Lorsque chacun fut installé, le Père Sidney fit son entrée dans la nef précédés par deux enfants de chœur qui portaient l'encensoir.
Un cantique était chanté alors que le Curé remontait l'allée centrale.

Il se plaça ensuite devant l'autel et bénit l'assemblée d'un large signe de croix.


Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos. Amen.

Mes bien chers frères sœurs, c'est pour moi aujourd'hui une grande joie de vous accueillir aujourd'hui dans notre Eglise Saint-Arnvald. J'ai l'honneur de célébrer aujourd'hui l'office de ce dimanche.
Célébrons ensemble la paix et l'amitié aristotélicienne.


Les enfants de chœur entonnèrent un nouveau cantique.

Il avait fait un signe de tête aux nouveaux arrivant
Aistulf

A l’entende des cloches sonnées, le seigneur d’aiguesmortes entamait la marche lentement et noblement vers les grandes portes de la cathédrale ou encore quelques marches les séparaient de lui. IL était vêtu toujours comme à son habitude de tissus de grande qualité et ne s’en cachait point. Aussi prétentieux que froid, il arriva enfin vers cette ouverture dont il prit la direction sans aucune hésitation. L’Ambparé poursuivit sa marche naturellement en faisant claquer lourdement ses bottes sur le sol en pierre sans aucune discrétion comme à son habitude…
Arrivant devant l’autel, il posa un genou au sol en faisant le signe de croix avant de relever pour prendre place sur les premiers bancs qui étaient réservées à la noblesse puis attendit que l’office commence. Une attente courte en voyant le curé prendre la parole, Maxence porta son regard froid vers le religieux en l’écoutant attentivement.

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Asterie
La Baronne se rendit à l’église les cloches sonnaient c’était l’heure elle sourit en voyant la taverne rempli.
Elle se demandait s’il n’y avait pas plus de personne dans les tavernes qu’à l’église. Elle observa les personnes entrer. Les Dames patronnesse étaient bien entendus bien endimancher et les premières dans l’église au cas où on leur prendrait leur places ; Leurs maris s’ils avaient de la chance pour certain écoutait un autre prêche en taverne Sainte Boulasse toujours aussi et sinon autant populaire.
Elle sourit et entra à son tour dans l’église. Salua d'un signe de la tête le père Sydney.Elle se dirigea vers son endroit habituel. Son fils y était présent, elle lui sourit.


Comment vas-tu mon cher fils ? Tu as l’air un peu fatigué mon cher fils, j’espère que tout va bien. Elle sourit et lui chuchota ne t’inquiète pas personne ne nous entends.

Il lui répondit d’un léger signe de tête. Regardant si on ne l’observait pas. On ne sait jamais l’Ambparé pris en défaut à sourire, certes c’était à sa mère mais bon. Ce qui amusait particulièrement la Baronne. Son fils avait beau être distant et prétentieux, il n’en avait pas pour cela un cœur d’or. Mais bien sûr elle n’oserait le dire.

Elle se concentra sur le déroulement de la messe.

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Sandrine28
Sand arriva à l'église, on était déjà dimanche, ca passait vite une semaine. Elle rentra et sourit à Astérie, puis salua maxence.

Bonjour vous deux, pas grand monde aujourd'hui.
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Sidney
le Père Sidney continua la messe

il lut la prière du Pardon

Devant l'assemblée

Kateline
Kat entonna la prière de pardon avec l'assemblée des fidèles, à demie-voix.


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Sidney
Le père Sidney continua et entonna le credo



et continua par le livre des Vertus.

Livre 2. Aristote et Christos. La Vita d'Aristote Livre Ier - Dialogues


Gloire à toi Seigneur

    [Aristote]Dialogues X - La morale

    Par un rude jour d’hiver, un disciple, qui avait atteint le terme de son enseignement, vint trouver Aristote, avant de quitter le lycée.

    Le disciple : "Cher maître, maintenant que je vais être livré à moi-même, il y a une chose que j’aimerais savoir."

    Aristote : "Je t’écoute, brillant disciple."

    Le disciple : "Vous m’avez remarquablement formé à l’art de la logique et à la science métaphysique, mais vous ne m’avez rien dit quant à la morale."

    Aristote : "Tu dis vrai, mon ami. C’est en effet une lacune de mon enseignement. Que veux-tu savoir au juste ?"

    Le disciple : "Il est important pour un homme, je le crois, de savoir identifier le bien du mal, afin de se conformer aux règles qui conduisent au premier, et qui permettent d’éviter le second."

    Aristote : "Certes."

    Le disciple : "Ce qui m’amène à cette question simple, maître, qu’est-ce que le bien ?"

    Aristote : "C’est un problème tout à la fois vaste et d’une simplicité limpide comme le cristal. Le bien, dans son principe, c’est la perfection de la nature de l’objet, de sa substance."

    Le disciple : "Mais pourquoi donc, cher maître ?"

    Aristote : "Parce que le bien ultime réside dans le divin, sans nul doute. Et pour identifier le bien, il suffit donc de s’attacher à l’analyse de l’essence du divin. La substance du tout puissant étant intelligibilité pure et parfaite, le bien ne peut être que perfection de la substance, et donc de la nature d’une chose. Comprends-tu ?"

    Le disciple : "Oui, cher maître, je comprends."

    Aristote : "Je t’ai enseigné, cher disciple, que la nature d’une chose réside dans sa destination, puisque le mouvement révèle la substance de l’objet. Tu sais donc quelle est la nature de l’homme n’est-ce pas ?"

    Le disciple : "Certes, maître, la nature de l’homme est de vivre en collectivité, et cette collectivité prend le nom de cité."

    Aristote : "Tout à fait. Le bien de l’homme, c’est à dire ce qui tend à réaliser la perfection de sa propre nature, est donc une vie vouée à assurer les conditions de l’harmonie au sein de la cité. Or, le bien de la cité, est tout ce qui participe à son équilibre, puisque la nature de la collectivité est de se perpétuer. Ainsi donc, tu peux le constater, le bien de l’homme conduit au bien de la cité."

    Le disciple : "C’est remarquable !"

    Aristote : "En effet, ça l’est. Vois-tu, l’homme ne fait le bien qu’en s’intégrant pleinement à la cité, en participant à la politéïa, et en faisant tout son possible pour en maintenir l’harmonie."

    Le disciple : "Alors, cher maître, l’homme de bien est donc le citoyen ?"

    Aristote : "Je n’ai pas dit cela, cher disciple. Un esclave peut être un homme de bien, s’il a conscience de sa propre nature d’homme, et qu’il sait se satisfaire de sa condition, car ainsi il œuvre au maintien de l’équilibre de la cité. La politéïa n’est pas que la participation aux assemblées."

    Le disciple : "Et bien, cher maître, voilà des réponses qui me satisfont."

    Aristote : "J’en suis heureux, mon ami."

    Et sur ce, Aristote ne revit jamais son disciple qui, selon la légende, vécut une existence exemplaire, inspirée par les principes de la vertu.


Louange à toi Seigneur

Voyez chers fidèles, ou plutôt entendez ! Ici, est expliqué ce qu'est La morale
Je vous invite à méditer
Sidney
N'oubliez donc pas mes biens chers frères et sœurs, que notre guide en ce bas monde est Dieu et ses représentant sur terre tel notre bon Roy et sa Sainteté le Pape. [/b]


Les orgues jouèrent alors une douce mélodie incitant ainsi à la réflexion…


Préparons-nous maintenant à la célébration du repas, symbole de l’Amitié Aristotélicienne qui nous lie.

Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde; qu'il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle.

Partageons ensemble le pain et le vin, symbole de l’amitié Aristotélicienne et du peuple des hommes réunis tous égaux devant Dieu et en toute humilité. Prions ensemble au moment de ce partage, prions le Seigneur pour ses biens faits, pour son amour et sa grande générosité.


Kateline
La brune récita le crédo...



Elle écouta ensuite la lecture du père Sidney, sur le passage du livre des vertus concernant la morale.
Elle médita un moment sur ce qui était bien ou non ici bas, dans les actes de tous mais surtout les siens.
Une grimace se dessina un bref instant sur le visage de Kat, lorsque le père parla du Roy comme d'un guide ici bas.
Comment un homme excommunié pouvait-il être un guide?! Ceci la laissa perplexe...

_________________
Sidney
Lorsque chacun eut communié, le Pére Sidney reprit la parole.



Mes bien chers frères et soeurs, prions ensemble. Ayons un pensée pour tous ceux qui nous sont chers et nous ont quitté, prions pour le Très Haut, dans son infinie bonté les accueille à Ses côtés.
Prions pour tous nos proches, nos familles, nos amis, que la sagesse d'Aristote guide leurs pas sur les chemins de la Vertu et que la Paix de Christos soit sur eux.
Prions pour tous les Berruyers et les Berrichons, que le Très Haut leur donne de vivre dans la Vertu et l'Amitié aristotélicienne.


Après un court moment de prière silencieuse, le Curé reprit :

Je vous remercie tous d'être venus si nombreux célébrer le mystère de la foi. Que les paroles de Christos et Aristote germent et fleurissent dans vos esprits.

Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos. Amen.

Allez en paix.


Un Halleluia fut chanté par la Chorale
Sidney
Le Père Sidney, se rendit à L'Eglise Saint-Arnvald
afin de vérifier si tout était bien prêt, pour accueillir les villageois et les gens de passage.

Ensuite il alla à la Sachristie,et demanda aux enfants de choeur de faire sonner les cloches à la volée, pour prévenir tous les personnes que la messe allait commencer.









L'invitation
Sidney
Lorsque chacun fut installé, le Père Sidney fit son entrée dans la nef précédés par deux enfants de chœur qui portaient l'encensoir.
Un cantique était chanté alors que le Curé remontait l'allée centrale.

Il se plaça ensuite devant l'autel et bénit l'assemblée d'un large signe de croix.


Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos. Amen.

Mes bien chers frères sœurs, c'est pour moi aujourd'hui une grande joie de vous accueillir aujourd'hui dans notre Eglise Saint-Arnvald. J'ai l'honneur de célébrer aujourd'hui l'office de ce dimanche.
Célébrons ensemble la paix et l'amitié aristotélicienne.


Les enfants de chœur entonnèrent un nouveau cantique.

Il avait fait un signe de tête aux nouveaux arrivant
Sidney
le Père Sidney continua la messe

il lut la prière du Pardon

Devant l'assemblée

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