Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 37, 38, 39, 40   >   >>

[RP]L'Eglise Saint-Arnvald

Sidney
Lorsque chacun eut communié, le Pére Sidney reprit la parole.



Mes bien chers frères et soeurs, prions ensemble. Ayons un pensée pour tous ceux qui nous sont chers et nous ont quitté, prions pour le Très Haut, dans son infinie bonté les accueille à Ses côtés.
Prions pour tous nos proches, nos familles, nos amis, que la sagesse d'Aristote guide leurs pas sur les chemins de la Vertu et que la Paix de Christos soit sur eux.
Prions pour tous les Berruyers et les Berrichons, que le Très Haut leur donne de vivre dans la Vertu et l'Amitié aristotélicienne.


Après un court moment de prière silencieuse, le Curé reprit :

Je vous remercie tous d'être venus si nombreux célébrer le mystère de la foi. Que les paroles de Christos et Aristote germent et fleurissent dans vos esprits.

Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos. Amen.

Allez en paix.


Un Halleluia fut chanté par la Chorale
Sidney
Le Père Sidney, se rendit à L'Eglise Saint-Arnvald
afin de vérifier si tout était bien prêt, pour accueillir les villageois et les gens de passage.

Ensuite il alla à la Sachristie,et demanda aux enfants de choeur de faire sonner les cloches à la volée, pour prévenir tous les personnes que la messe allait commencer.









L'invitation
Sidney
le Père Sidney continua la messe

il lut la prière du Pardon

Devant l'assemblée

Sidney
Le père Sidney continua et entonna le credo



et continua par le livre des Vertus.

La Vita d'Aristote
Livre Ier - Dialogues


Gloire à toi Seigneur

[Aristote] Dialogues VII - La rupture
    Aristote suivait l’enseignement de Platon avec avidité. Ce que le maître disait, l’élève l’intégrait comme inaltérable vérité. Les grandes capacités d’Aristote en avaient fait le disciple préféré de Platon, et lorsque le maître énonçait un principe, l’élève trouvait toujours le moyen d’en assurer l’exactitude, par quelques réflexions ou exemples bien trouvés.

    Mais un beau jour, le maître et l’élève eurent leur première dissension, alors que Platon affirmait la chose suivante.

    Platon : "Ainsi, les idées sont une création abstraite de notre intellect. Elles ont une existence qui leur est propre."

    Aristote : "Vous voulez dire, maître, qu’il n’existe pas autant de choses que d’idées ?"

    Platon : "Oui, c’est ce que je veux dire, brillant disciple."

    Aristote : "Mais par là même, vous prétendez qu’il existe des choses sans qu’une idée y soit associée, et inversement."

    Platon : "En effet, l’idée est le produit de la conscience, et la chose celle du réel. C’est deux objets qu’il convient de distinguer."

    Aristote : "Voilà bien une proposition étrange, cher maître, de dissocier ainsi ce qui est indubitablement lié."

    Platon : "Que veux-tu dire ?"

    Aristote : "Et bien qu’une idée ne peut exister sans la chose à laquelle elle se réfère."

    Platon : "Mais que fais-tu de l’abstraction, Aristote ?"

    Aristote : "L’abstraction est une illusion, cher maître. L’idée ne vient à l’esprit que tant qu’il existe la chose. Nous sommes parties d’un tout, et si un élément devient intelligible, c’est bien parce qu’il existe."

    Platon : "Mais par telle affirmation, tu nies le pouvoir créateur de l’esprit."

    Aristote : "L’esprit ne fait qu’observer et constater. Les idées ne sont que la faculté de l’homme à voir ce qui l’entoure. Elles ne font que rendre intelligible l’essence des choses. Et par extension, les choses qui sont intelligibles à l’homme ne sont qu’une copie des idées qu’il s’en fait. Rien n’existe en dehors de l’intelligibilité."

    Dès lors, la rupture fut consommée entre le maître et le disciple. Aristote, entretenant toutefois un respect à l’égard de Platon qu’il conserva intact jusqu’à son trépas, prit la décision de s’affranchir de son professeur, et quitta Athènes.


Louange à toi Seigneur

Voyez chers fidèles, ou plutôt entendez ! Ici, est expliqué ce qu'est La Vie d'Aristote

Je vous invite à méditer
Sidney
N'oubliez donc pas mes biens chers frères et sœurs, que notre guide en ce bas monde est Dieu et ses représentant sur terre tel notre bon Roy et sa Sainteté le Pape.


Les orgues jouèrent alors une douce mélodie incitant ainsi à la réflexion…


Préparons-nous maintenant à la célébration du repas, symbole de l’Amitié Aristotélicienne qui nous lie.

Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde; qu'il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle.

Partageons ensemble le pain et le vin, symbole de l’amitié Aristotélicienne et du peuple des hommes réunis tous égaux devant Dieu et en toute humilité. Prions ensemble au moment de ce partage, prions le Seigneur pour ses biens faits, pour son amour et sa grande générosité.


Sidney
Lorsque chacun eut communié, le Pére Sidney reprit la parole.



Mes bien chers frères et soeurs, prions ensemble. Ayons un pensée pour tous ceux qui nous sont chers et nous ont quitté, prions pour le Très Haut, dans son infinie bonté les accueille à Ses côtés.
Prions pour tous nos proches, nos familles, nos amis, que la sagesse d'Aristote guide leurs pas sur les chemins de la Vertu et que la Paix de Christos soit sur eux.
Prions pour tous les Berruyers et les Berrichons, que le Très Haut leur donne de vivre dans la Vertu et l'Amitié aristotélicienne.


Après un court moment de prière silencieuse, le Curé reprit :

Je vous remercie tous d'être venus si nombreux célébrer le mystère de la foi. Que les paroles de Christos et Aristote germent et fleurissent dans vos esprits.

Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos. Amen.

Allez en paix.


Un Halleluia fut chanté par la Chorale
Sidney
Le Père Sidney, se rendit à L'Eglise Saint-Arnvald
afin de vérifier si tout était bien prêt, pour accueillir les villageois et les gens de passage.

Ensuite il alla à la Sachristie,et demanda aux enfants de choeur de faire sonner les cloches à la volée, pour prévenir tous les personnes que la messe allait commencer.









L'invitation
Sidney
le Père Sidney continua la messe

il lut la prière du Pardon

Devant l'assemblée

Sidney
Le père Sidney continua et entonna le credo



et continua par le livre des Vertus.

La Vita d'Aristote
Livre Ier - Dialogues


Gloire à toi Seigneur

[Aristote] Dialogues VIII - L'Unité de Dieu
    Aristote, qui se sentait en age de maturité philosophique, et émancipé de la tutelle de son maître, décida qu’il était temps pour lui de fonder sa propre école. Il savait qu’Hermias, son ami de longue date et seigneur d’Atharnée, avait réuni un petit cénacle d’anciens élèves de l’académie d’Athènes à Axos, sur la côte de la Troade. Aristote décida donc de diriger cet enseignement, et fonda ainsi sa première école.

    L’académie d’Aristote avait grand succès. Des élèves de toute la Grèce affluaient pour recevoir les lumières du maître. Par un beau jour de printemps, un disciple prometteur vint trouver Aristote.

    Le disciple : "Maître, j’ai bien pensé, jusqu’à n’en point dormir, et il est toujours une question qui taraude mon esprit juvénile."

    Aristote : "Je t’écoute. Dis moi ce qui te tracasse."

    Le disciple : "Et bien maître, vous nous enseignez que l’univers est dynamique, vous nous enseignez que si l’essence est statique, la forme, elle, est mouvante comme une onde sur la surface de l’eau."

    Aristote : "Oui, c’est vrai."

    Le disciple : "Mais maître, selon ce principe, à tout acte correspond une puissance, comme vous le dites vous même, et ainsi donc, à tout effet correspond une cause."

    Aristote : "Certes."

    Le disciple : "Alors, maître, si je remonte dans l’ordre des effets et des causes, je ne devrais aboutir qu’à une seule cause pour tous les effets. Or, sauf votre respect, il est notoire que les dieux sont plusieurs. Ainsi, selon votre théorème, le monde ne devrait être que chaos, car dès l’origine, les causes sont multiples et ne se concertent pas en volonté. A moins de postuler que tous les dieux ne sont les effets que d’un seul, puissant par-dessus tout. Pouvez-vous m’éclairer ?"

    Aristote : "Mais, cher disciple, la solution se trouve dans l’énoncé du problème. Raisonne un peu, mon ami. Tiens t-en aux principes de la dialectique et du syllogisme. Il y a, dans ton exposé, un élément exogène, et parasitaire, à savoir ce que tu qualifies de savoir public. Je te l’ai déjà dit, nous sommes des philosophes, et l’on ne peut atteindre la vérité que par l’action de notre esprit qui qualifie la substance, non en prenant quelques postulats pour argent comptant."

    Le disciple : "Que voulez-vous dire, maître ?"

    Aristote : "Je veux dire que si tu remontes l’ordre des causes et des effets, tu trouveras la cause finale, l’intelligibilité pure, comme tu l’as dit. Ainsi, s’il est notoire que les dieux sont plusieurs, ça n’en est pas moins faux, car telle affirmation ne résiste pas à l’examen logique de la proposition."

    Le disciple : "Euh, pouvez vous être plus clair, maître ?"

    Aristote : "Certes, je le peux, par ce syllogisme enfantin : une cause finale est une intelligence pure, une divinité. Si on remonte l’ordre des causes et des effets, on ne trouve qu’une seule cause finale. Donc Dieu est unique."

    Le disciple : "Ah bah ça alors !"

    Aristote : "Je ne te le fais pas dire, cher disciple. De Dieu il n’y en a qu’un, ce moteur immobile du monde, cette volonté parfaite qui est la source de toute substance, de tout mouvement. Dieu est la finalité cosmique de l’univers."

    Et le disciple de s’en retourner à ses pénates, satisfait de la réponse de son maître…


Louange à toi Seigneur

Voyez chers fidèles, ou plutôt entendez ! Ici, est expliqué ce qu'est La Vie d'Aristote

Je vous invite à méditer
Sidney
N'oubliez donc pas mes biens chers frères et sœurs, que notre guide en ce bas monde est Dieu et ses représentant sur terre tel notre bon Roy et sa Sainteté le Pape.


Les orgues jouèrent alors une douce mélodie incitant ainsi à la réflexion…


Préparons-nous maintenant à la célébration du repas, symbole de l’Amitié Aristotélicienne qui nous lie.

Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde; qu'il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle.

Partageons ensemble le pain et le vin, symbole de l’amitié Aristotélicienne et du peuple des hommes réunis tous égaux devant Dieu et en toute humilité. Prions ensemble au moment de ce partage, prions le Seigneur pour ses biens faits, pour son amour et sa grande générosité.


Sidney
Lorsque chacun eut communié, le Pére Sidney reprit la parole.



Mes bien chers frères et soeurs, prions ensemble. Ayons un pensée pour tous ceux qui nous sont chers et nous ont quitté, prions pour le Très Haut, dans son infinie bonté les accueille à Ses côtés.
Prions pour tous nos proches, nos familles, nos amis, que la sagesse d'Aristote guide leurs pas sur les chemins de la Vertu et que la Paix de Christos soit sur eux.
Prions pour tous les Berruyers et les Berrichons, que le Très Haut leur donne de vivre dans la Vertu et l'Amitié aristotélicienne.


Après un court moment de prière silencieuse, le Curé reprit :

Je vous remercie tous d'être venus si nombreux célébrer le mystère de la foi. Que les paroles de Christos et Aristote germent et fleurissent dans vos esprits.

Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos. Amen.

Allez en paix.


Un Halleluia fut chanté par la Chorale
Sidney
Le Père Sidney, se rendit à L'Eglise Saint-Arnvald
afin de vérifier si tout était bien prêt, pour accueillir les villageois et les gens de passage.

Ensuite il alla à la Sachristie,et demanda aux enfants de choeur de faire sonner les cloches à la volée, pour prévenir tous les personnes que la messe allait commencer.









L'invitation
June
June avait le temps d'aller à la messe ce jour, il se rendit donc à l'Eglise Saint-Arnvald de Bourges pour suivre la messe du Père Sidney.
Le Berry avait besoin de prières et de paix en ces temps difficiles où la guerre inutile le menaçait chaque matin et faisait peur aux habitants qui se souvenaient encore des six mois de régence royale, terribles pour tous, où la misère, la famine et la maltraitance avaient été décrétées.

_________________

Capitaine des Armées de Berry - Seigneur de Sarzay - Président du FIER
Seiko
Les cloches sonnaient et la châtaine sortait de son profond sommeil. Ah, ce qu'elle regrettait d'avoir ingurgité autant de chopes la veille ! C'était bien la première fois d'ailleurs ...
Enfin, il fallait maintenant se repentir d'un tel manque de tempérance. Une rapide toilette, l'enfilage d'une tenue convenable puis de son mantel de fourrure et la jeune demoiselle était parée pour affronter la grisaille matinale.
Entrée en l'église, elle salua l'Excellentissime et le Père Sydney avant de prendre place.
Sidney
le Père Sidney continua la messe

il lut la prière du Pardon

Devant l'assemblée

See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 37, 38, 39, 40   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)