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[RP]L'Eglise Saint-Arnvald

Pandorha
Pandorha était bouche bée, une bonne route ? Elle ne savait pas qu'elle devait partir quelque part. C'est qu'elle avait prévu de prendre un appartement ici, donc forcément on la verrait assez souvent, mais de là à repartir toute suite. Elle fit un sourire, mais laisser le jeune diacre poursuivre.
Bubul27
Je vous remercie de cet office très bien mené.
Vivement le prochain que je vienne à nouveau vous écouter la bonne parole.


Bubul s'allua le diacre et son éminence Verty, qui le rejoignit.
_________________
Pandorha
Pandorha avait été absente ce jour, elle avait eu besoin d'être seule, elle avait eu besoin de réfléchir. Elle se rendit en début de soirée à l'église, elle entra et prit place. Une fois là, elle regarda partout où son regard pouvait se porter puis elle baissa la tête et récita le crédo à voix calme.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
Maxence.
Il était tard. Dans les rues de la ville, plus aucune lumière ne filtrait des rideaux fermés. Les courtes mèches des rares éclairages publics s'étaient entièrement consumées et il lui était impossible de distinguer le noir du blanc sur ses propres vêtements.
Et l'Ambparé, lui, traînait dans les rues ... Il marchait, comme privé de raison, cherchant un endroit où s'arrêter.
Toutes les tavernes avaient fermés. Les derniers ivrognes étaient retournés se coucher, par manque d'argent ou de forces. Il ne les aimait pas, ils étaient brutaux, parlais fort, et ne le supportais auprès d'eux que pour pour sa bourse et pourtant il avait passé la soirée avec eux, dans cette petite taverne des bordures de la ville où ils étaient légion.

Soudain, c'est l'Eglise qui lui apparaît. Pas très distinctement, certes, mais c'est bien la pierre blanche qui reflète la lune, à quelques mètres de lui. Il sourit. Il à trouvé un endroit.

Poussant, à grand bruit, la lourde porte, il entra dans l'église. L'espace d'un instant, il pensait au diacre qui dormait, surement à côté ... Un faible sourire apparu sur le jeune visage. Lui, le chasser ...

Il tira jusqu'à l'Autel un banc et s'y assis, juste en face d'Aristote qui trônait au milieu du mur, face à lui. Il commença alors à penser.
A ce qu'il avait dit. A ce qu'elle avait dis. A ce qu'ils s'étaient dis. Il ferma les yeux un instant ... Elles avaient intérêt d'être bonne, ces raisons !
Bonnes ou pas ... C'était trop tard de toute façon. Demain, il serait loin et elle aussi.
Il en venait presque à regretter la Champagne. Lui,l'amoureux de sa terre Berrichonne, en venait à regretter le pays du Roy ...

Il ne priait pas. Il était là ... pour l'endroit. Il aimait cette fraîcheur, cette quiétude, que l'on ne trouve que dans les églises.
Il parcourait maintenant la nef, par les bas côtés.
Il lui en voulait .... Mais à qui ? Qui était responsable ? Pas lui, non. Pas elle. Qui d'autre ? Dieu peut être ...
Il frissonnât à l'idée qui venait de lui traverser l'esprit. C'était ridicule. C'était une épreuve, envoyée par Lui, rien de plus. Il le testait, comme chacun de nous. Du moins, était-ce qu'il espérait.

Puis, dans un regain d'energie, il s'engouffra, les portes restés grandes ouvertes, dans le silence de la nuit.
Pandorha
Pandorha avait eu une nuit difficile, elle se rendit à l'église en fin de matinée, elle avait besoin de prier et besoin de se repentir comme elle le faisait depuis quelques temps déjà.

Ainsi dans une robe mauve, les cheveux détachés, les yeux fatigués et rouge d'avoir pleuré, elle prit place sur un banc du milieu et commença ce qu'elle était venue faire.


"Je confesse à Dieu tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, par action et par omission.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu."

"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN"
Wolf.
Wolf pénétra dans l'église, avec la ferme intention de demander pardon pour ses actes prochaine. D’ordinaire elle aurai plutôt été dans la forêt pour prier, car son dieu a elle n'était point Aristote. Elle était Celte, elle avait ses propres dieu mais bon.... Elle s'approcha des banc, s'installant sur l'un d'eux et ce mis a prier. Elle demanda le pardon pour les ennemies qu'elle allait tuer prochainement au court de la défense du Berry.... Alors une fois qu'elle eu fini de prier elle symbolisa celle ci par un signe de croix avant de quitter l'église d'un pas franc et surtout avec la ferme intention de faire du ménage au porte du Berry..
Waleran_jr
Le père entra dans l'église, surpris d'y trouver du monde.
Les fidèles boudaient les messes, mais venaient visiter les églises. Curieux.
Il avait entendu bien des gens en confession depuis hier.
La mobilisation pour défendre Georges le Poilu était conséquente.
Il se demandait en quoi faire une telle guerre à si peu de temps d'une échéance électorale ?...
Mais ce n'était pas de son ressort.
Il salua les gens présents et alla vers le confessionnal.

_________________
Pandorha
Pandorha avait eu envie d'aller à l'église, elle y allait aussi souvent qu'elle le pouvait, elle était diaconesse après tout et puis cela était souvent reposant.

Elle repensa aux derniers jours, juste avant les élections, ou elle avait réfléchit au score que sa liste pourrait faire et elle avait finalement vu juste, c'était comme avec le Bouge, deux sièges. Ainsi, elle avait rejoint le conseil, à peine avait-elle eu les clés qu'elle avait reçue deux courriers. Un de Alleaume tête de liste FIER et un de Blackhorn tête de liste BIL. D'ailleurs ce dernier faisait plus ou moins des menaces si elle ne le reconnaissais pas duc. Il ne connaissait de toute évidence pas Pandorha, s'il pensait qu'elle irait le reconnaitre simplement parce qu'il se disait royaliste. De plus jamais Feue la Reyne n'avait dit oui pour une guerre. C'était une guerre privée, en rien une guerre contre les royalistes, simplement contre des gens qui voulaient du mal au Berry, ce qui était totalement différent.

D'ailleurs, Pandorha en avait eu la preuve ce matin. Fin bref, elle avait envoyé une copie des courriers de Blackhorn à sa supérieur, car Pandorha était elle-même officier royale et ce genre de courrier était indigne.

Ainsi, elle prit place sur un banc et pria en silence, elle avait son choix.
Pandorha
Il commençait à être tard, nous étions un mardi, par un début de soirée, Pandorha fut prise d'une envie d'aller à l'église. Elle avait revêtu pour aujourd'hui, sa robe blanche de deuil, entre le noir et le blanc ça n'allait plus. Elle voulait retrouver ses robes de couleurs joyeuses... mais hélas, on ne lui avait pas laissé le choix, d'abord la Reyne, une femme de la noblesse qui était de Bourgogne et qu'elle avait rencontré pour la première il y a plusieurs années, celle-ci était venu pour célébrer la naissance de sa fille, seulement deux nobles de la noblesse de Bourgogne avait fait le déplacement, Beatritz et la vicomtesse Sorane, toutes deux avaient rejoint le Très haut...

Puis sa Eriphile...une jeune fille, à peine plus jeune qu'elle, la bâtarde de Théodomir, son époux...un simple époux et rien de plus maintenant... elle aussi avait rejoint le Très haut. Elle l'avait aimé dès qu'elle l'avait vu, d'abord, car Eriphile était la chair et le sang de Théodomir, puis ensuite pour les points communs qu'elles pouvaient avoir. Elle aurait pu se sentir seule et peut-être est-ce mal de se sentir le contraire, elle était entourée, elle avait ses parents, ses frères, sa presque soeur Gabrielle, ses filleuls, ses ami(e)s et son ange gardien, car oui elle avait un ange à ses côtés.



Ainsi, elle arriva devant l'église, elle entra doucement puis elle fit quelques choses d'inhabituelle, elle enleva ses chausses qu'elle laissa prêt du dernier banc, puis ses bas, qu'elle posa sur le dernier banc et pieds nus elle s'avança. Une fois à la hauteur du premier banc, elle se mit à genoux, croisa ses mains pour prier et baissa la tête les yeux fermés....


"Je confesse à Dieu tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, par action et par omission.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Seigneur notre Dieu."

"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN"
Frere_tuck
Frère Tuck se dirigea vers l'église de Bourges pour aller se recueillir et prier le Très-Haut.

L'église était vide, voir même abandonnée au vue des toiles d'araignée sur l'Autel...

Il se signa et s'assaya sur une chaise du premier rang et commença sa prière..


Mon Dieu, je suis inquiet... nous voila arriver dans une ville à l’accueil glacial ! voyez vous ce matin, en allant en taverne saluer les habitants autour d'une bonne bière, la patronne d'une taverne m'a sauvagement mis à la porte.. Pensez vous donc ! jeter un simple moine comme une bassine d'épluchure au cochon !

Que se passe t-il donc dans cette ville, les gens n'ont plus aucun respect envers quiconque. Comment peut-on classer les gens comme étant bon ou mauvais à leur simple lieu de vie ? Ces gens là font plus confiance à un breton sorcier qu'à un auvergnat sympa ?

J'espère que vous tiendrez rigueur de certains comportements dans cette bourgade en tout cas..




Il se signa et se dirigea vers la sortie..

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Plus qu'une abbaye, un véritable partenaire pour bières, vins et autres boissons réconfortantes !
Frere_tuck
En ce dimanche, le moine se dirigea vers l'église et alla se recueillir et prier pour les siens.

Il n'y avait personne. Le curé n'avait pas préparé la messe. Il devait être blessé ou absent de Bourges.

Il aurait bien fait une petite cérémonie mais dans les circonstances actuelles, cela serait mal vu certainement...

Néanmoins, il resta dans l'église, assis sur une chaise et pria longuement pour les morts et les blessés, les orphelins et les veuves et veufs, au destins tourmentés par ces dernières semaines..

Peut être que des paroissiens vont venir aussi se recueillir..

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Plus qu'une abbaye, un véritable partenaire pour bières, vins et autres boissons réconfortantes !
Yvan
Tandis que Drunk se rendait au 52 Rue St-Arnvald pour installer les latrines de la Enece, il passa devant l'église.

Le très haut devait certainement apprécier les frasques du vieux fou.
Drunk sourit à l'idée qu'il était sur la bonne voie concernant sa quête de Pardon.

Ceci dit, il pensa qu'il devrait songer à se réunir avec les soldats de la Enece afin de faire une prière commune pour remercier Déos de cette belle victoire.

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Jimmy_de_aragon
Lavatar sentit une odeur fétide à l'entrée de l'église... La fraîcheur du lieu saint le rassura et il s'agenouilla après s'être signé devant l'autel pour prier... à la grandeur du Berry...
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Pandorha
La jeune femme pouvait tourner une page de sa vie. Elle avait enfin dissous son mariage, elle avait la garde de ses enfants et ils restaient légitimes. Néanmoins, Pandorha ne pourrait jamais les priver de leur père, qui bien que n'ayant plus d'amour pour lui, elle avait de l'affection et ne voudrait pas que ses enfants pensent le moindre mal de lui. Ce n'était pas parce qu'ils étaient séparés, qu'ils devaient être méchant l'un envers l'autre. Ses enfants étaient après tout, le fruit d'un amour, ils étaient également, les descendants de deux grandes familles dont une était Bourguignone, mais Pandorha n'avait jamais eu de haine ou autre à l'égard des Bourguignons, bien sûr en ces temps de guerre, elle commençait à voir claire, mais il ne fallait pas rendre coupable tout un peuple des actes d'une minorité qui hélas avait le pouvoir.

La jeune femme entra dans l'église, elle prit place et silencieusement pria. Elle pria pour la paix, elle pria pour toutes ces personnes tomber à cause de la stupidité et de la violence d'autres hommes.

Elle restait là, à sa place, tranquillement, prenant le temps de se repentir. En tout cas, certains FIERistes qui avaient parlé d'elle, en disant que jamais elle ne pourrait dissoudre son mariage, car elle avait des enfants devaient être sous le choc. L'arriviste qui avait laissé une couronne ducale, car son mariage d'amour, n'était plus d'amour. Enfin bref, elle devait donc se repentir, elle avait déjà été à confesse, mais elle y retournerait surement.
Waleran_jr
Le père Waleran était revenu de son éxil forcé. Forcé...Oui forcé, comment évoluer à Bourges où il n'y a ni pain, ni fruit, ni viande, ni poisson...Rien !
Ville où de plus les salaires sont les plus bas de tous les royaumes !

Et cette situation n'était pas du à la guerre...Il l'avait connue bien avant et avait été obligé d'aller ailleurs, pour gagner de quoi s'acheter les denrées dont on a besoin.
Le voilà boulanger !
Il avait vendu 50 sac des blés, à 11,50 afin d'avoir de la farine pour faire du pain pas cher pour les ouailles.
Un certain Hugo de Lancaster avait tout acheté...Mais point de farine pour le prêtre boulanger !
Devrait-il encore quitter Bourges pour trouver de quoi travailler ?
Bon quel changement à Bourges ?
On entendait plus le FIER...Où donc était ce parti ?
Waleran soupira
Il dirait la messe ce mercredi soir, nous verrons bien.

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