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[RP] Eglise de Bourg

Canela
Canela entra dans l'église de bon matin et s'installa pour prier. Certaines choses semblaient aller au mieux et d'autres moins. La jeune andalouse avait perçu quelques tentions sans en comprendre vraiment la raison. Aussi profita-t-elle de ce matin dominicale pour trouver l'apaisement et faire ses dévotions. Elle pria en silence pour remercier le Très haut de lui avoir fait rencontrer l'amour de sa vie, pour que leur vie soit toujours douce et apporter soutien et réconfort à ceux qui en ressentent le besoin.
Dans le calme de l'endroit la jeune femme retrouva sa sérénité. Les églises avaient toujours eu un effet apaisant et protecteur pour la jeune andalouse. Profondément pieux dans sa famille, elle se sentait assez gênée pour n'être toujours pas baptisée mais faire quoi que se soit qui offenserait son futur époux, sa famille et Dieu. Aussi espéra-t-elle y voir mon amour venir la rejoindre en ce lieu.

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Bastien_de_louhans
Kehl se souvint encore trop tard que c'était le jour du seigneur. Ah quelle tête de linotte il faisait, parfois ! Voyant les gens sortir de l'église, la messe achevée, il se dit qu'il irait à la messe de mercredi, pour rattraper.
Valdemeuse
Val gravit les marche de l eglise entra a l interieure , cela faisait
longtemps qu il n etait plus venus dans cette eglise, rien n avait changer.

En fait si tout avait changer depuis la disparition de son amour Cindou
jusqu a la perte de sa fille et toute les frasques qu il avait faite a annecy,
mais bon il voulais oublier le passez et repartir sur de bonne base.

C est pour cela que aujourd hui il venait demander pardon au tres haut.

Val s avanca dans l eglise, fit une genuflexion ce signa, puis vint
s assoire a cote de Canela il lui pris la main et recita le credo a voit basse
et demanda a Aristote de bien vouloir benir leur futur union...





Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

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Canela
Une main venant se glisser dans la sienne la jeune femme leva ses yeux et croisa le regard de son amour Val. Main dans la main tout à son bonheur elle termina ses prières auprès de son futur époux dans la paix de cette église en ce jour dominicale.
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Melisse


Après le calme de la nuit sur les remparts , où un sentiment de mal-être m'avait poursuivie, des pincements au coeur que je ne savais à quoi ils se devaient, la fatigue sûrement me disai-je en me dirigeant à la taverne. Là, sirotant une tisane, toujours mal de tout ce j'avais ressenti durant ma garde, mon amie Tine était arrivée et m'avait prise dans ses bras en me serrant fort et m' annonça la triste nouvelle. Celui que j'avais tant aimé et qui resterai dans mon coeur, était parti rejoindre les anges. Des sanglots dans les bras de Tine et c'est en courant que je rejoignai l'église, y entrai et au devant m'agenouillai, les larmes coulant sur mes joues, je murmurai des prières, mains jointes, pour lui qui avait succombé à de graves blessures de la guerre.

Combien de temps étais-je restée ainsi , mes doigts entrelacés me faisaient mal et les genoux tout autant, mais ces maux là n'étaient rien à ce qui me déchirait.

Je me relevai et me signai en murmurant : au revoir Pather, que ton repos soit doux comme ton coeur fût bon


Je quittai notre église et rentrai chez moi, Abigail et Killian devaient être éveillés et devaient s'inquiéter maintenant, j'accélérai le pas pour rejoindre mes petits coeurs.

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Spads59


Rentré depuis peu à Bourg, le père Spads avait envie de s'éclaircir la voix en allant faire des leçons de morale aux villageois de passage. Il prit donc sa belle crosse neuve et ses vêtements de pèlerin qu'il ne quittait plus que rarement et s'en alla vers le fronton de l'église afin d'apostropher les burgiens qui s'aventureraient dans les parages.

Arrivé sur place, il fut surpris par le peu d'animation de la rue. Il en avait été de même dans toutes les villes traversées ces dernières semaines. Conséquences de la guerre se dit-il tristement. Avisant les environs, il remarqua malgré tout quelques visages connus - enfin reconnus car ils avaient légèrement vieillis depuis la première fois où il les avait vus - il monta lestement sur la deuxième marche du parvis et se tourna vers la petite place.


Mes enfants, je voudrais vous parler de remercier le Très-Haut. Nous ne poserons pas ici la question du pourquoi - largement débattue par ailleurs et sujet peut être d'un prochain monologue - mais plutôt celle du comment.
Il en est parmi vous qui vont donner l'aumône aux pauvres devant l'église, aux jeunes vagabonds déguenillés qui parcourent nos villages dans le but d'être vus du Très-Haut et de ses représentants sur Terre. D'autres encore, moins nombreux, offrent leur or et leurs objets luxueux à l'Église directement.
Il est de mon devoir de mettre en garde ceux qui pratiquent ces actes sans prudence car il n'est de pire crime que celui qui consiste à donner en offrande au Très-Haut ce que l'on a pris à plus pauvre que soi.
Écoutez moi bien, mes enfants, car il n'est reconnu que le don de celui qui vient au Seigneur le cœur pur et les mains innocentes.

Y en a-t-il parmi vous qui pratiquent des prix élevés sur le marché ou dans leur taverne, remplissant ainsi leur bourse au détriment de ceux qui meurent de faim ? Y en a-t-il qui veulent enrichir leur commerce, leur ville, leur duché, leur royaume sans rien offrir à ses frères et sœurs qui souffrent de froid et de faim à peu de distance de là ?

Que ceux là entrent immédiatement en cette église et prient le Très-Haut de leur accorder son pardon !
Qu'il se mettent à genoux et expriment une sincèrement repentance, qu'il ressentent la honte qui couvre le voleur !
Qu'ils entendent la colère de Dieu qui refuse d'être complice de leurs crimes en acceptant leurs présents !

Comment, après avoir prélevé le pain des pauvres, peut-on l'offrir au Très-Haut sans se condamner à errer sur la Lune pour l'éternité ?
Car n'oubliez jamais que le pain des pauvres est leur vie ! Celui qui leur vole ce pain, leur vole la vie ! Celui qui vole ainsi un enfant du Très-Haut par cupidité est un mécréant et un meurtrier.
Et que dire alors de celui qui, non content, de donner ainsi la mort, vient jeter son forfait au Seigneur en croyant ainsi l'honorer ?


Non, mes enfants, le vrai don au Très-Haut est le don de soi, l'offrande désintéressée. La prière pour la sauvegarde de son prochain, le pardon à ses ennemis, la charité du pauvre, l'hospitalité du riche.

La charité n'est pas une vertu que l'on choisit de pratiquer le dimanche en sortant de la messe, c'est un acte qui doit être pratiqué en chaque instant de nos existences ! Dans chaque prix que vous criez sur le marché doit s'entendre la sincérité du juste qui honore le Très-Haut en aidant Ses enfants.

Que le Très-Haut veille sur vous tous.


Spads descendit alors de son perchoir pour aller vers les rares villageois qui s'étaient attardés à l'écouter.
Melisse


Comme chaque matin, je revenais du marché, bien emmitouflée dans ma cape. Approchant de l'église, un petit attroupement était présent et le regard dirigé vers le parvis, un discours se faisait entendre. Plissant les yeux en approchant, je souris en voyant le Père Spads qui délivrait un message aux burgiens présents.

Et cette idée de prêcher sur le parvis, c'était tout lui ça, mais j'en étais ravie.
Je m'approchais en saluant les personnes que je connaissais, leur passait devant et au bas des marches, je souris à Spads en lui faisant petit signe. Je ne sais si il avait débuté depuis long, mais le message qu'il nous donnait en ce dimanche matin me serrait le coeur, sermon fort bien choisi en ces temps de troubles dans les royaumes.

Quand il en eût terminé, il descendit rejoindre le petit attroupement, je le saluais d'un grand sourire.


Bonjour Père Spads, quelle très bonne idée que tu as eue ce matin, mais dommage que tu n'ai pas fait sonner les cloches, celà aurait réveillé Bourg un peu. On pourrait aller boire une tisane ensuite quand tu en auras terminé, qu'en penses-tu, j 0ffre la tournée.

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Spads59



Comme la semaine précédente, le père Spads s'était senti une envie de prêcher en se levant le dimanche matin. Sans pour autant vouloir parasiter la messe, il voulait faire entendre la parole du Très-Haut. Assez actif malgré ses contusions dues au voyage à Mâcon, il allait de l'église au marché, du marché à la mairie pour faire entendre son prêche et inciter les gens à prier.

Mes enfants ! Écoutez-moi ! Écoutez prêcher la parole du Très-Haut en ces temps troublés où les guerres se multiplient. Vous tous, vagabonds ou nobles seigneurs, avant de prendre le chemin de la bataille, n'oubliez pas que la colère est un vice et un péché ; que la violence vous condamne à la Lune... Que celui qui sent sa raison lui échapper et son bras se lever pour frapper son prochain se jette dans l'instant à genoux pour prier le Seigneur ! Ne vous laissez jamais abandonner à la haine de l'autre ! N'appelez pas à la violence contre le sort qui vous afflige ! Vous êtes, tous, des enfants du Très-Haut ! Votre âme vous chuchote tempérance et compréhension. Écoutez, réfléchissez, discutez ! Souvenez-vous de Léviathan ! Ne laissez pas la haine guider votre destin et ouvrez vos coeurs à la bonté. Vous éviterez ainsi la fin du terrible prince-démon. Allez, mes enfants, allez répandre la parole de Christos qui disait jadis à des hommes qui se battaient devant lui : "Mais vous allez vous aimer les uns les autres, au nom de Dieu !".


Melisse


Encore une matinée bien fraiche, mes joues étaient rouges du petit vent qui les pinçait, je m'en allais faire mes courses au marché avant d'aller à l'église comme je l'avais promis au Père Spads. Surprise quand j'entendis une voix que je connaissais bien, je souris en voyant le fossile donner son sermon sur la place du marché.

J'approchais sourire aux lèvres, ravie de la bonne idée du Fossile Précieux.... J'espérais n'avoir pas trop raté du sermon, mais j'écoutais attentivement et je ne sais pourquoi, mais je ressentais encore plus fort ses paroles qu'à l'habitude, une récente entrevue la rappelait.

Quelques burgiens et burgiennes s'arrêtaient et écoutaient.... puis quand le Père Spads en termina, je profitais d'aller le saluer.


Bonjour à toi Spads, quelle belle idée de donner sermon sur la place du marché.... et quel sermon, un rappel bien donné grand merci. Je t'invite à prendre une tisane à la taverne ou vas-tu prêcher encore ailleurs ?

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Korma
La discussion de la veille de la quittait pas. Errant dans la rue, l'esprit ailleur, ses pas la guidèrent à l'église. Ainsi c'était bien sa destination. Elle ne pouvait plus reculer, elle devait affronter ce qui lui faisait tant peur au nom du grand amour.
C'était la première fois qu'elle venait dans cette église. Plusieurs fois elle était passée devant sans guère n'y preter grande attention. Pourtant il se trouve que c'est une magnifique batisse. Battant des cils pour se proteger du soleil, elle observa de longues minutes la pierre brute qui lui faisait face. Voilà près de trois ans qu'elle n'avait pas mis pied dans une église. Serait-elle pardonnée? Il lui faudra pourtant pour entreprendre pour l'être. De sa vie elle n'avait jamais été aussi sure d'elle. Elle pris une grande inspiration et ouvra la porte. Le poids de celle-çi la surpris si bien qu'elle se rabattis la porte sur le pied. Se mordant la lèvre afin d'éviter de gémir de douleur elle regarda autour d'elle. Dans un premier lieu elle ne perçu grand chose ses yeux n'étant pas habitué à l'obscurité.
Il ne semblait y avoir personne. Le silence qui regnait lui glaça le sang. Cela lui changeait des tavernes. Elle passa devant l'autel et s'y attarda.
Ne voyant toujours personne elle decida d'aller s'assoir en attendant l'arrivée d'Awenna.
Awenna


Rentrée de voyage il y a plusieurs jours maintenant, elle ne pouvait avoir vu Korma puisqu'elle n'était pas là au moment des faits. Cependant elle espérait que personne n'avait eut un énorme besoin de sa présence.
Awenna mettait en ordre la paroisse, avec tous les chamboulements qui avaient eut et avait lieu, elle devait écrire un message à l'attention de les burgiens.

Citation:
Chers Villageois de Bourg,

Votre Diaconesse a besoin de vous, il serait temps de venir me voir pour ceux qui le désirent, afin de devenir Diacre ou Diaconesse.
Cette charge n'est qu'une aide apporter au curé qui sera en place à bourg. Elle ne vous empêche pas de vous marier ou d'avoir un(e) galant(e). Tout autre poste que cela soit au conseil municipal ou ducal, ne vous sera pas refusé. Vous pourrez faire faire des pastorales afin de célébrer des baptêmes ou encore des mariage précédent d'un entretien. Mais tout vous sera expliquer quand vous en aurez besoin.
Quand à moi, la prière m'appelle et de ce fait il me faut un(e) replaçant(e). J'espère vous voir venir nombreux frapper à ma porte.

Avec toute mon amitié aristotélicienne
Awenna Land de Marie, votre diaconesse.


La jeune femme pointa le parchemin sur le panneau d'affichage de l'église.


--Abi




Abigail avait pris le chemin du village tôt ce matin, s’était vêtue de sa jolie robe bleu ciel et s'était bien coiffée, tout celà dans le silence de la maison où sa maman et son frère dormaient encore.

Son petit bouquet de primevères à la main, elle arriva sur le parvis de l'église. Une affiche y était fixée, elle tenta de lire et puis haussa les épaules, c'était trop long pour elle, ouvrit la porte et entra dans l'édifice où l'odeur de renfermé la fit grimacer.

Laissant la porte ouverte, la petite avanca jusqu'a l'autel, déposa son bouquet dans un vase



et s'agenouilla au premier rang, joignit ses mains. Abigail murmura des prières pour tous ceux qu'elle aimait , pour sa maman chérie, pour son frère Killian, pour son papa dont elle n'arrivait plus à se rappeler et puis pour sa tata Tine qui maintenant était allée rejoindre son papa au ciel. Elle ne sût combien de temps elle resta ainsi agenouillée, les yeux fermés, des larmes coulant doucement sur ses joues, les questions se bousculaient dans sa tête : pourquoi tous ces malheurs, pourquoi on devait toujours lui prendre ceux qu'elle aimait........ toutes ces questions elle n'y trouvait aucune réponse, peut-être était-elle encore trop petite du haut de ses huit ans pour celà.

Abigail ouvrit les yeux, se releva et frotta ses genoux qui lui faisaient mal, regarda autour d’elle et puis remercia le Seigneur de l’avoir écoutée, lui demandant de protéger sa famille et ses amis, se signa et ressortit de l’église déserte. Elle cligna des yeux en arrivant dehors, il devait déjà être tard dans la matinée et le soleil lui picotait le visage.

Vite, il fallait qu’elle rentre sinon maman sera inquiète.., se mit à courir en direction de sa maison.
Gaudefroy
gaudefroy alla changer les livre de la chappel des mort pour les remettre au premier majistra.
Puis,il referma la porte de la chapelle

il se mit sur un blanc et récita sa prière

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN
Gaudefroy
gaudefroy revenais dans l église pour cette se confesser au cher vernérable dieu

je vous remerci de avoir mit sur mon chemain une dame aussi rayonnante

je me pose question pour quoi elle as choisi un coeur blaisser?

va t elle réussir as réouvrir l amour que j ais peu avoir pour une dame que j avait demander en mariage?



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN
Elendil1


je rentrais dans le lieu sain pour aller prier le très haut de protéger ma tendre épouse et mon deuxième enfant qui a du mal a venir au monde je m'assis sur un des bancs près de l'autel et je reprit mon calme je croisa mes mains et je pria
s'il vous plait seigneur ne rappeler pas ma tendre épouse a vos côtés auprès de vous j'ai besoin d'elle dans se monde et je désire plus que tout au monde que notre deuxième enfant puisse naître et vivre avec nous je sais que je vous demande beaucoup mais je les aiment plus que tout au monde et je ne saurais vivre sans eux merci de votre écoute
je me releva et puis le cœur rempli de tristesse et de peur je retourna a l'hôpital savoyard

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