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[RP]Le phare de Guilberville, chez Matou et Stromb.

Stromboli
Il avait écouté Matou la pipelette, et la tête qu'il faisait ressemblait approximativement à ça :

Quand elle eut fini, il ouvrit la bouche pour tenter de répondre...


Citation:
- Oh!! mon volcan! tu t'es fait mal ?


...Mais bien évidemment trop tard.

Ben...euh...je... non non c'est pas grave...

Pour ce qui est de la malle... Oui oui, tu as tout à fait raison, autant emporter ce qu'il faut... Mais bon, moi j'ai un paquet d'affaires chez moi, donc ça ira.


Il s'avança vers la dite malle, tenta de fermer le couvercle qui en effet, avait bien du mal à fermer. Alors comme on dit, aux grands mots les grands remèdes. Il monta carrément dessus, lui arrachant un couinement. Et histoire d’aggraver encore ses souffrances, il sauta afin de fermer complètement le tout. Enfin, il ferma les attaches en fer, puis les lanières de cuir. Quand il eut fini, il redescendit et regarda le résultat, satisfait. La malle semblait sur le point d'exploser.

Hum. Matou ? Tu feras attention au moment de l'ouvrir... Y'a de grandes chances qu'elle nous saute à la figure.

Il sourit, content de lui.
Matouminou


Bien sûr, une malle ne faisait pas peur à son volcan. Et après l'avoir rassurée sur ce boitillement, sans lui en donner les raisons, il essaya de fermer la malle.

- Ah tu vois? c'est pas fac....

Elle ouvrit alors de grands yeux quand, sans hésitation, il se mit debout sur la malle.

- Euh..tu vas la casser.....haan!

D'autant que maintenant il s'était mis à sauter dessus, ce qui fit gémir la pauvre malle en bois. Matou écarquilla les yeux, s'attendant à tout moment à ce qu'il passe au travers.

- Haaan...

Mais la malle était résistante et résista donc. Vite il ferma les attaches de fer et sangla les lanières de cuir. La malle faisait penser à un tonneau déformé par une boisson ayant fermenté. Elle regarda Stromb puis la malle et hocha la tête lorsqu'il la mit en garde:

Citation:
Hum. Matou ? Tu feras attention au moment de l'ouvrir... Y'a de grandes chances qu'elle nous saute à la figure.


Elle grimaça:

- Hannnn, faudra que je m'en souvienne...je vais mettre un signe distinctif, tiens!!

Elle attrapa un bout de bois noirci dans la cheminée éteinte, et entreprit de faire un dessin sur la malle.



Satisfaite, elle regarda son volcan avec un grand sourire:

- Voilà...c'est beau hein?

_________________












Pardallian
par ce joli matin neigeux,pardy arriva devant la demeure de ses Amis,en arrivant ,il vit un petit lapin detaler devant lui,il sourit et ce dit que ce petit lapin avait bien de la chance que son loup ne soit pas venu avec lui.

arrive devant la porte,il frappa,l'homme de confiance de Stromb lui ouvrit la porte,et le pria de bien vouloir entrer.


c'est gentil ,mais je viens m'occuper du poney et de la vache,je n'ai pas trop le temp de m'arreter ,cela sera pour une autre fois .

l'homme lui montra ou se trouvais les animaux,pardy sorti reureu de l'enclos lui mit une longe ,et commenca a le faire tourner dans la carriere,au petit trop,le poney etait assez docile.

au bout d'une demie heure de travail,pardy rentra reureu dans sa stalle ,le pansa,le bouchouna bien avec de la paille fraiche,lui remit de l'eau fraiche dans son sceau et une bonne dose de foin dans le ratelier.

ensuite il alla voire la vache,lui changea la paille souillee et lui refit sa litiere,lui donna a boire et a manger,ayant passe deux bonnes heures a s'occuper des deux animaux ,il alla dire au revoir a l'homme de confiance de Stromb,et rejoignit sa taverne.
Pardallian
comme tous les deux jours ,pardy,se rendait au phare ,il s'occupait de la vache ,et ensuite du poney d'Antoine.

en quelques jours le poney avait fait de gros progres,il acceptait maintenant les deux sacs de sable que pardy lui mettait sur le dos,ceci pour lui faire accepter,le poid d'un homme ,bientot il lui mettrait un filet dans la bouche ,mais bon il ne voulait pas bruler les etapes,en ce moment un simple licol suffisait.
apres avoir fait travailler une bonne heure le poney,et apres l'avoir bouchonne,il lui donna a manger ainsi qu'a la vache.
il prit le temp ensuite de discuter avec Clement ,il lui avait amene une bouteille de son calva ,apres un verre ,voire meme deux ,il prit conge et se rentra chez lui.
.clement.
Et voilà, toute la smala était repartie sur les routes. Et lui, et bien, comme à chaque fois, il avait hérité de la garde du phare. La dame de Guilberville savait qu'il n'aimait pas être éloigné du domaine qui, petit à petit retrouvait visage humain, même si l'avancée des travaux était très lente.
Elle l'avait donc convoqué quelques jours avant leur départ et lui avait dit:


- Clément, cette fois-ci nous partons, sans doute un peu plus longtemps que l'été dernier. Je pense, après en avoir parlé avec Messire Stromboli, que nous ne rentrerons qu'à la fin du printemps. Aussi, comme je sais que le phare n'est pas franchement un endroit où tu te plais, j'ai demandé à mon vieil ami Pardallian de venir te donner un coup de main....notamment pour les bêtes. Du reste, tu n'auras pas du tout à t'occuper du poney.
En revanche, les piranhas, si...Pardy ne veut rien savoir avec ce genre de poisson..


Elle avait eu un petit rire cristallin et il avait esquissé un sourire. Parfois, la dame de Guilberville avait de bien étranges idées...ces piranhas en étaient une parmi tant d'autres. Clément, lui, ne cherchait pas à comprendre. Il obéissait.
Il avait donc hoché la tête:

- Bien Dame...

En réalité, il n'y avait pas grand chose à faire au phare. De temps en temps, il aérait, il nettoyait et débroussaillait les abords...mais en hiver, ce genre travail était très vite exécuté.
Les jours suivant, il aida Didier et Messire Stromboli à monter les malles, à charger les charrettes, tirant, poussant, changeant de place certains objets, afin de pourvoir tout caser. Il fallait partir du principe qu'il était tout bonnement impensable de laisser une des malles de la Dame de Guilberville et pourtant, cela aurait bien aidé.

Les malles donc casées, le bois, le fer, le mât, le berceau de Guillaume, une paillasse pour Luna, faites avec les pelotes de laine, autant qu'elles servent à quelque chose durant le voyage, divers objets...et tout fut prêt.
les charrettes débordaient et Clément ne put s'empêcher de pousser Didier du coude:


- Ben mon gars! si vous pêtez pas un essieu avec tout ce poids...c'est que Aristote aura bien veillé sur vous...Deudiou!! ça c'est du chargement!!

Un grand silence s'était abattu sur le phare après le départ des Guilbeville/ Mazaryck. Cela faisait un peu drôle à Clément. Et puis, la vie s'était organisée. Il avait vu à plusieurs reprises le Sieur Pardy. Ils avaient échangé quelques mots. L'homme était affable, calme et prenait le temps de faire le tour du phare. Il terminait par le poney à qu'il domptait avec patience.
Parfois Clément s'arrêtait dans ce qu'il était en train de faire et il le regardait. C'était fascinant de voir avec quelle dextérité, l'homme faisait accomplir au petit cheval, ses exercices.

Doucement, la neige avait fondu, le temps s'était radouci. Clément savait que ce n'était pas encore un signe annonciateur du printemps, loin de là...mais tranquillement l'hiver s'écoulait.
Pardallian
apres son travail dans la maison de Fee,ou il residait maintenant,Pardy se dirigea vers le phare,le soleilbrillait haut dans le ciel,la nature recommencait a vivre .
Tonnerre son etalon marchait tranquillement au pas ,il s'arretait de temps a autre pour manger une petite touffe d'herbe verte ,Pardy regardait les arbres ,ils avais certes perdus leurs feuilles ,mais se dressait fierement vers le ciel.

Arrive au phare il attacha l'etalon a une barriere,alla dire bonjour a Clement a qui il donna une bouteille de son calva,lui demanda s'il pouvait l'aider a quoique ce soit,et parla un peu avec lui.

Au bout de quelque temps ,il se dirigea vers l'ecurie ou se trouvait le poney,il lui passa le licol et l'enmena travailler dans la carriere,le poney se trouvait tres obeissant,le travail avancait tres vite.

Apres avoir fait travailler le poney Pardy le rentra et le bouchonna ,lui changea la paille et lui remit de la paille fraiche ,lui donna a manger et changea son eau.

Il se dirigea ensuite voire la vache ,a qui il changea egalement sa litiere,lui donna a manger ,la brossa tout en lui parlant,la vache le regardait comme si elle le comprenait,bleuga legerement comme pour le remercier,et se mit ensuite a manger.

Pardy repassa dire au revoir a Clement et rejoignit l'etalon qui broutait paisiblement,il remonta en selle et rejoignit sa taverne.
Pardallian
pardy arriva au phare de ses Amis,attacha son cheval a la barriere ,prit dans sa besace les deux bouteilles de calva qu'il avait amener pour Clement.

il le trouva dans l'etable ,lui dit bonjour et lui remit les deux bouteilles,ensuite il s'occupa de la vache,la pansa ,lui changea sa litiere et lui donna a manger et a boire.

ensuite il se dirigea vers l'ecurie,donna deux trois carottes au poney,il le brossa ,lui cura les pieds ,lui mit egalement un licol et prit avec lui la petite selle qu'il avait confectionner pour le poney.

arrive dans le rond de debourrage,il mit doucement la selle sur le dos de l'animal,celui ci ne broncha pas ,il regardait simplement pardy lui poser cette drole de chose sur le dos.

apres une heure de travail ou tout se passa bien ,pardy ramena le poney dans son ecurie,le bouchonna ,lui donna une bonne tournee de foin et remit egalement dans sa mangeoire quelque carottes comme recompense

il retourna dire au revoir a Clement et reprit le chemin de sa taverne.
Pardallian
pardy etait tres fatigue ses derniers jours,bien sur Fee etait de retour et il etait si heureux de l'avoir a ses cotes,mais une grande fatigue le tenaillait de plus en plus,aussi il se reposait de plus en plus et sortait que tres rarement,mais il se forcait de passer au phare de ses amis.

il alla saluer Clement et s'occupa de la vache et du poney,et repartit bien vite se reposer chez lui.
Jenjitai


C'est en se traînant tout le long de la route sur le chemin pour aller demander de l'aide à son amie Matou, elle l'avait déjà fait et toujours elle l'avait aidé
Devant la porte elle poussa un grand soupir enfin arrivée
Elle frappa un bon coup , pensant ne plus avoir de force mais elle devenait une dure à cuire


"Il y a quelqu'un ?", MATOU ? c'est Jen"

Elle espérait qu'elle serait là sans cela ou allait elle pouvoir demander de l'aide
.clement.
Il entendit frapper à la porte, haussa un sourcils, se demandant qui cela pouvait être. Il alla ouvrir s'attendant à voir le sieur Pardallian car c'était le seul qui passait régulièrement. Quelle ne fut donc sa surprise en voyant une femme qu'il ne connaissait pas, et cette femme semblait bien mal en point.
Très vite, il la prit par le bras doucement en lui disant:


- Par Aristote! Entrez...venez, mais...mon dieu...

Il réussit à l'emmener jusqu'au premier fauteuil et l'y installa.

- La Dame de Guilberville est en voyage...Il vous faut un médecin...racontez moi ce qu'il vous est arrivé...
Jenjitai


Elle fut accueillie avec gentillesse par quelqu'un qu'elle ne connaissait pas
Elle se laissa guider , prit place dans le fauteuil si gentiment mis à sa disposition
Aux questionnement elle répondit


"Ma fois je me suis fait détroussée et battue, mais ne vous inquiétez pas je vais pas trop mal, j'ai tellement pris de coup dans ma vie que je suis pratiquement insensible , mais je n'ai plus rien , ni argent , ni nourriture j'ai besoin que l'on m'aide sans cela je risque de mourir de faim
Je suis attristée de ne point voir mon amie Matouminou mais bon si elle est en voyage ma fois , j'ai une autre amie pas loin, puis je avoir un peu de pain et de quoi boire je ne vais pas vous déranger longtemps ?"
Pardallian
Pardy allait mieux et decida de passer au phare,arrive a la porte ,il allait frapper quand il entendit des voix de plusieurs personnes,il ne voulut pas deranger,et alla directement a l'ecurie,apres avoir deposer devant la porte la bouteille de calva pour Clement.

il fit travailler le poney,ensuite alla s'occuper de la vache .

avant de repartir il ecrit un message pour Clement,lui disant qu'il serait absent un mois ,il devait faire un voyage avec sa compagne Fee et leur fille.

il mit la lettre sous la bouteille,et rentra a sa taverne.
Laveternate
Lave passa par là , regarda le phare vide , eut une pensée pour le vieux schnock qui y vivait autrefois , sourit en pensant aux propriétaires suivants et s'en retourna chez elle pour aller faire la sieste avec son Tuck .
.clement.


Les jours s'écoulaient paisiblement. De Fécamp, Clément avait quelques rumeurs, ici et là...un nouveau maire, une Lave pas contente, avait-il entendu dire, une nouvelle taverne...
Cela faisait une éternité qu'il n'avait pas vu le sieur Pardallian. Il avait lu le petit message qu'il lui avait laissé le prévenant qu'il partait en voyage. Il espérait qu'il allait bien.

Il vivait un peu en reclus, ces dernières semaines, car le beau temps était enfin arrivé, et il avait pas mal de travail au phare. D'autant qu'au rythme où le temps filait, la dame de Guilberville, son volcan, comme elle l'appelait, et toute leur smala seraient bientôt là. Dans la dernière missive qu'il avait reçu, elle parlait d'une arrivée début juin.

Il passait donc toutes ses journées à remettre en ordre, à débroussailler, à nettoyer et à faire quelques menus travaux de bricolage. Et le soir, épuisé, il n'avait plus le courage d'aller au village. Il se contentait alors de se mettre sur le vieux banc au pied du phare, banc qui surplombait la mer et offrait une vue magnifique, notamment sur de splendides couchés de soleil. Tranquillement, il fumait sa pipe, buvait un godet de calva, songeur. Il repensait alors à sa défunte femme, Victoire, au seigneur Horloger aussi, à la vie d'avant au domaine de saint Amand de Thorigni, et au bonheur retrouvé de sa dame.

Il avait hâte de revoir le phare reprendre vie, entendre les rires des enfants, retrouver Suzon, qu'il considérait comme sa fille...
Dans moins d'un mois, si tout se passait bien, il les accueillerait, heureux d'entendre les récits de leur voyage.
Kalghar


Kal était enfin sorti de chez les moines, aussitôt la porte passée, il avait un saut par la taverne pour voir si il n'y avait pas de vieux piliers de comptoir qui traînaient par là. Il n'y avait trouvé personne, qu'à cela ne tienne, il s'était enfilé quelques verres de bon calva quand même.

Ces pas l'avaient alors guidé jusqu'au phare où il espérait tomber sur ces vieux amis, Matou et Stromb. Il savait bien qu'ils étaient partis en voyage, ben oui, il était même censé les accompagner ... Si seulement il n'avait pas eu ce petit besoin de remise en question. Malgré tout le beau Kal espérait que ses amis soient déjà rentrés. Bien qu'il avait peu d'espoir, n’apercevant pas les enfants jouer dehors par un si beau temps, il frappa à la porte du phare en attendant qu'on vienne lui ouvrir.
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