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[RP]Le phare de Guilberville, chez Matou et Stromb.

Jobart
Ça devenait de pire en pire.

Et voilà qu’à présent Gribouille de Malfoye arriva avec son air blond ainsi que ça fille.

D’ailleurs chaque fois qu’elle vient au phare, elle le fait en barque. Alors que Jobart lui a expliqué maintes et maintes fois qu’il y avait un pont. Mais ce n’est pas le pire….car une fois qu’elle prit conscience de l’existence de celui. Il vient en barque. Mais en portant celle-ci sur le pont justement …Ca en devenait désolant.

Citation:
Oh ? t'es de retour Jobart ? ah ben Kiki va ça va être content il te croit mort ! Limite il est en train d'organiser ton enteremment!


Il n’eu même pas le temps de relevé que Matou probablement excédée ,car on pouvait apercevoir les varices de ses chevilles gonflées, ajouta :

Citation:
Non, je ne fais rien, Lave va tuer Job, et puis voilà...Non mais tu crois quoi??? J'en ai MARRE qu'on prenne MON phare pour le dernier endroit à la mode où on s'amuse!!! Je dois préparer mes affaires, en plus, parce que je quitte Fécamp...


Il déglutit difficilement.

Me…me tuer ?

Il regarda autour de lui. Cherchant un espoir une lueur de sortie.

Non mais je ne ….non !!!

Il fallait réagir vite.

Oh ! Lav ! Regarde un Tuck au fromage derrière toi ! Pointant l’horizon derrière elle. Evidement la seule qui regarda c est Gribouille. L’air stoïque de Lave qui cligna à peine des yeux était effrayant.

Il fallait trouver autre chose pour détourner son attention. Une chose qu’elle affectionnait. Une chose qu’elle cherchait et voulait depuis bien longtemps.

Jobart ouvrit précipitamment ses braies en grand. Laissant Zobinette prendre l’air pleinement. Ce fût comme un mirage. La pièce si sombre s’illumina. On pouvait même entendre un écho d’enfants de cœur en fond. La diversion était faite, Lave bavait. Il fallait maintenant agir avant que le service à gants de toilette de reprenne ses esprits. Gribouille de son côté scrutait toujours l’horizon, cherchant probablement le Tuck au fromage….…. Elle n’eu même pas le plaisir , comme sa fille ,de voir « Messie »

Il bondit alors sur la fille de Gribouille qu’il prit comme un vulgaire sac à patate et prit la tangente vers la seule issue qu’il avait….La Cave ! Il avait l’avantage du lieu car c’était un vrai labyrinthe mais ça restait son ancienne demeure. Et nul doute qu’il pourrait trouver un échappatoire. Il y avait une sortie….mais elle était difficile d’accès. De plus il pourrait ainsi voir qui est détenu et peut être que celui-ci pourrait l’aider.
Matouminou


Jobart changeait de tête maintenant qu'il connaissait le sort qui lui était réservé. Inutile de lui faire croire le contraire, ce qu'en temps normal Matou aurait fait dans sa grande bonté. Mais là, elle buvait du petit lait à le voir passer par toutes les couleurs, aussi ne fit-elle rien pour le rassurer.

Mais c'est mal connaitre l'homme habitué à être cerné et à devoir se sortir de situations inextricables. Il est clair qu'elles n'étaient pas aidées avec Gribouille qui, bien sur, en entendant les bêtises de Job, y avait cru et cherchait la bouche en cul de poule, le Tuck et le fromage. Matou soupira, et essaya de ramener l'attention de Grib dans le phare:


- pssssttt...y'a pas de Tuck à l'horizon, Grib! et encore moins de fromage....alors comment veux-tu qu'il y ait un Tuck au from....

Elle ne put en dire davantage, car, ce qui se passa par la suite, relève de la scène d'horreur la plus horrible. D'ailleurs, plutôt que de regarder, bouche bée la bien nommée Zobinette, qui n'était pas bien gaillarde , elle préféra s'imaginer un petit moment de tranquillité en forêt. Elle ferma donc un petit moment les yeux et se mit à rêver:

http://www.youtube.com/watch?v=kI3jO-XBuik&feature=related

Mais, il était décidé qu'elle n'aurait pas la paix, car, Job, plus vite que l'éclair, se jeta sur la petite Marine et, l'enfant sous le bras, il courut vers la cave.

Elle se mit à crier:


- LAAAAAAAVEEEEEEE, arrête le!! Et toi, Grib...réagis...passe en mode brune...avec un cerveau!!


Elle même se précipita sur les pas de Job, pour essayer de le rattraper, en bougonnant:

- Je dois tout faire ici...j'ai un gros sur les bras, un kidnappeur d'enfant, une blonde, plus blonde que ça, c'est pas possible et Lorraine de surcroit...et le médecin le plus douée mais option boucherie...j'ai fait quoi à Aristote, non, mais j'ai fait quoi???

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Laveternate
Le vieux grigou essaya le coup du Tuck au fromage mais Lave était aussi maligne que lui , faut que cela faisait des années qu'ils s'entrainaient ces deux là ! !!
De son coté , Gribouille en totale blonde affublée de sa morpionne qui visiblement n'entrerait pas dans les statistiques de mort enfantine en bas âge , faisait ce dont elle était capable, c'est à dire pas grand chose .
Et bien entendu, Matou faisait sa chef comme d'habitude , même pas decontenancée par le contenu des braies que Job déballait allègrement .

Lave souffrant d'une légère presbytie due à son grand âge etait , quand à elle, en train d'essayer de voir ce que Job montrait si fièrement mais elle avait beau plisser les yeux, elle voyait trouble , ce qui la faisait un peu baver de surcroit .

C'est alors que Matou se mit à crier


Citation:
LAAAAAAAVEEEEEEE, arrête le!! Et toi, Grib...réagis...passe en mode brune...avec un cerveau!!


Euh ....l'arrêter ? ben ...euh ......
Ah oui ! je sais . Job, STOP !


Au fait, Matou, pourquoi tu veux que je l'arrête ? Il va à la cave , c'est bien là que l'on voulait qu'il aille , non ?
Finalement, vas y Job , il y a quelqu'un pour toi en bas , quelqu'un qui sera content de voir que tu lui amènes ....................................................sa fille


Et Lave se mit à ricaner de la même façon que Job le faisait tout le temps .
Gribouille87
Gribouille leva un sourcil aux dires de Matou

TON phare ?? atta avec le retour de JOb par sur que tu le gardes ton phare! remarques si tu le tue oui là ça sera ton phare !

quand ...

Oh ! Lav ! Regarde un Tuck au fromage derrière toi !

Elle se retourna pour voir où était le tuck au fromage car depuis qu'elle était enceinte son estomac dirigeait tout ! puis tout se passa très vite ce qui provoqua comme un arrêt sur image car beaucoup trop d'information d'un coup !



Dans le cerveau de la blonde....

neurone 1 : bon on a plusieurs informations à traiter !!

neurone 2 : pfff !! faut qu'on travaille ? la poisse ! je pensais glandouiller moi !

N1 : ben pour une fois on peut faire un effort ! alors dans les information on a :

- Un tuck au fromage , bon là l'estomac réclame à grand cris qu'on le passe en priorité
- Une chose non identifiée que le brun exhibe fièrement mais la vue arrive pas distinguer ce que c'est ! parait que c'est trop petit et ratanité elle préconise qu'on s'approche ou qu'on fasse intervenir le sens du toucher.
- La p'tiote qui est enlevée
- Ah la vue nous signale aussi que la vieille borgne menace de tuer quelqu'un avec une dague
- On a aussi une grosse brune nous presse de nous décider.

n2: heu...on fait comme d'habitude ? on tire à courte paille ? parce que c'est bientôt l'heure de ma pause

n1 : tu prends des pauses toutes les 5 minutes !!

n2 : je sais mais c’est ce qui est marqué dans le règlement

n1 : bon sors les pailles !!


Le cri de matou la fit sortir de son arrêt et elle vit Job s'enfuir avec sa fille

Héy ma fille !!! job ma fille !!! quoi à la cave ??? mais vous savez qui est à la cave !!

Elle se précipita à la suite de tout le monde dans la cave.

Et voila son pire cauchemar allait être là devant elle ..Aupyl et job dans la même pièce car Aupyl savait qu'elle avait failli le quitter pour partir avec Job. Pour sur il y allait avoir du grabuge...

Un sourire se dessina sur son visage et elle s’arrêta dans sa course . Aupyl qui était un grand trouillard devant l’éternel allait surement pas se battre alors Job le tuerait ...et à elle l’héritage !!

Gribouille joignit les mains et leva la tête et fit une prière

Merci à vous !!!
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Maitre_aupyl


Du bruit de l'autre coté de la porte.
Comme une cavalcade.

Aupyl sentit que tout cela ne présageait rien de bon.Il s'était convaincu qu'il avait été enlevé par les bretons. La diète qu'il s'infligeait en refusant la nourriture avait eu raison de son embonpoint. Ses braies ne tenaient plus toutes seules; il lui fallait resserrer sa ceinture.

Pour tenir, il avait mangé tout ce qu'il estimait comestible dans cette cellule: la mousse le long des pierres; du coup, la cellule eétait moins humide.
Il s'était refusé à manger les insectes et autres arachnides.

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Président de la Société Navale et Commerciale Fécampoise
http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=13125

Le moteur fondamental des Royaumes Renaissants, c'est l'interaction entre les joueurs. Et de manière RP.
Marine...., incarné par Gribouille87
[que d'histoire]

Bon ben, la petite suivit donc sa mére voyant des oiseaux à chaque coin elle s'arrêta

-"R'gad"

Les mains en l'air comme pour attraper le volatille la petite blonde resta là sans bouger elle le voulait et ayant hérité du cerveau de sa mére, Marine était persuadée que l'oiseau une fois l'avoir vu et avoir compris qu'elle ne voulait que jouer avec viendrais comme par magie dans ses mains.

Hélas, il fallait se dépécher et donc, chaque tentative à cause de sa mére fut décevante. Un soupir elle en avait marre la petite, elle voulait les bras de sa mére au moment où les pleurs apparurent ils était arrivés au lieu dit.

Deux dames avec un monsieur, sa mére la poussa à l'interieur et on se mit à vouloir lui parler. La petite avait décider de ne pas faire d'effort dans ce sens, ne lui offrant qu'un sourire et voulut rejoindre l'exterieur pour retrouver ses compagnons de jeux, les volatilles.

Mais sa mére en decida autrement et donc, elle était obliger de rester là, l'ai penaude.

Quand un objet attira son regard, un objet qui brillait et qui n'attendait qu'une chose, attérir dans ses mains.

Au moment où elle voulut l'attraper, le monsieur la pris dans ses bras, tel un sac a patate, ce n'étais pas confortable et donc, qui dit pas confortable dit forcément des pleurs. Et la des hurlements aussi aïgue que possible.

Sa mére ariva en courant à sa poursuite, et elle atterit dans une salle trop sombre à son goût, c'est donc terrifiée qu'elle serra au plus fort de ses forces le cou de l'homme qui la transportait
Jobart
Jobart descendit les marches avec rapidité. Il ne prit pas la peine de se retourner car nul doute qu’elles étaient à ses trousses.

La fille de Gribouille qui ne le connaissait n’y d’Eve ni d’Adam n’arrêtait pas de pleurer tout ce qu’elle pouvait.

Du coup dans la confusion et dans les pleurs. Il n’entendit pas l’information précieuse que venait de lui dévoiler Lave. Ce fameux inconnu que Jobart pensait utiliser pour l’aider, ne l’aiderait surement jamais puisque c’était Aupyl.

Il courut jusqu’à la partie des cachots. Oui les caves du phare s’étendaient sur des distances assez inimaginables. Faite de galeries souterraines multiples. Un vrai labyrinthe car certain de ces tunnels se prolongeaient sous Fécamp .

Jobart s’arrêta quelques secondes pour reprendre son souffle. Il faisait sombre ici il ne fallait pas faire un mauvais pas. La fille de Gribouille continuait de gindre. Elle s’agrippait fortement au coup du vieux barbu.


Non de non se dit-il. Comme ça mère, dès que c’est un peu rond avec des poiles au bout elle d’agrippes à mort.

Il regarda quel tunnel il pourrait envisager de pendre pour s’échapper après la libération du détenu.

Il y’avait bien la galerie menant chez Lave. Mais hélas celle-ci était instable. Les ébats quotidien de lave, était si intense que des éboulements se faisait régulièrement. Maintes et maintes fois Jobart dut déblayer le passage afin d’assouvir son voyeurisme nocturne. Ce qui entre nous n’était pas très passionnant chez eux…tout se passait la journée lorsque le maitre de maison était absent.


Tant pis….il aviserait par la suite.

Il s’approcha de l’unique cachot fermé. Hélas il faisait tellement sombre qu’on ne pouvait distinguer qui était à l’intérieur. Il fallait faire vite car déjà les furibondes se rapprochaient.

Il posa Marine au sol , non pas sans mal. Une vrai sangsue.


Il l’a regarda et dit

Tu ne bouges pas ! ….pis si tu bouges de méchants monstres cachés dans le noir vont te manger toute crue ! Il fit un regard menaçant.
Puis se penchant vers la porte du cachot il souffla.

Psss….psss…et…je sais pas qui tu es mais je vais te libérer d’accord ?......pis on s’évadera toi comme moi de cet endroit….on a le même but, échapper à ces furieuses !

Hélas pas de clef ….c’était ennuyeux. Il regarda Marine qui semblait apeurée plus que jamais regardant partout autour d’elle.

Tu peux tourner les yeux stp….ça me ….enfin ça me gêne quand on me regarde , j’y arrive pas.

Il sortit Zobinette et l’inséra dans le trou béant de la serrure. Un mouvement à gauche, un mouvement à droit. Un petit sautillement et on entendit un « click »
Et voilà !

Remballant le matos ,il prit Marine par la main et il ouvrit la porte .Mais ne distinguant pas tout de suite qui était enfermé là car la pénombre cachait son visage.

Allez viens !!!
Laveternate
Ah le vieux grigou .... décidément, il était encore rapide pour son âge ! Le voilà qui s'enfuyait vers les sous sols avec la gamine sous le bras .
Comme tout le monde , Lave se mit à le suivre en courant . Heureusement, elle connaissait aussi le phare comme sa poche . Faut dire qu'elle s'y était souvent perdue lors de ses rendez vous secrets avec son ...son .....euh avec personne !
Finalement, Jobart allait vers le cachot où Aupyl était en cure d'amaigrissement un peu forcé .
Lave se dit que c'était une bonne idée et Aupyl , même tout maigre , aurait tout de même la force de reprendre sa gamine et Jobart serait bien embêté sans son otage .

Mais le kidnappeur avait de l'avance et lorsqu'elle arriva , elle n'eut que le temps de le voir entrer dans le cachot d'Aupyl avec la gamine sous le bras .
Elle s'arrêta , fit signe aux autres de se taire en posant son doigt sur ses lèvres et les entraina un peu en arrière .


Chut les filles, laissons faire les choses , ils seront obligé de passer par ici pour sortir de toute façon , écoutons ce qui se passe et on avisera ce qu'on fait , ok ?
Lave regarda Gribouille , plus blonde que jamais , sans doute un effet de la pénombre ...

Mais , t'es toute seule ? Où est Matou ? Ne me dis pas qu'elle est partie faire ses bagages ainsi que ceux de son amant et qu'elle nous laisse toutes seules ?
--__matou__
Citation:


Bien entendu ce fut la cohue, sans parler de la petite qui s'était mise à hurler, il y avait de quoi, Job était plus proche du père Fouettard que du gentil nounours. Lave réagit un poil trop tard, déjà Job dévalait les escaliers qui menaient à la cave, l'enfant sous le bras.
Grib avait fait un gros effort de compréhension en criant les mots adaptés à la situation et qui la résumaient parfaitement:


Citation:
Héy ma fille !!! job ma fille !!! quoi à la cave ??? mais vous savez qui est à la cave !!


Mais chassez le naturel, il revient au galop, Grib redevint très vite la blonde lorraine auquel tout le monde était habitués,en arborant un grand sourire et en joignant ses mains comme pour prier.

Matou était sur le point de lui dire que ce n'était pas le moment de préparer sa prochaine messe, il fallait agir, et surtout, il ne fallait pas perdre Job, Grib, dans un sursaut courut derrière Lave et elle les suivit à son tour à la cave, en râlant tout ce qu'elle savait:


- Marre, mais marre...ils me rendent dingue...cette histoire terminée, j'vous jure que je fais raser le phare....

Elle n'acheva pas, il faisait sombre dans la cave, il y avait toutefois, au ras du sol, des soupiraux qui dispensaient la faible clarté du jour. Elle hésita à remonter pour prendre une torche, mais il ne fallait pas qu'elle perde Lave et Grib. Ses yeux s'habituèrent petit à petit à l'obscurité, elle se mit à avancer, guidée par le bruit des pas précipités de Job sans doute, les pleurs de l'enfant, et les pas lourds de Lave et Grib. Soudain, celle-ci s'arrêta et Matou faillit lui rentrer dedans, elle retint de justesse un juron, Lave dit alors:

Citation:
Chut les filles, laissons faire les choses , ils seront obligé de passer par ici pour sortir de toute façon , écoutons ce qui se passe et on avisera ce qu'on fait , ok ?


Alors là, chapeau!! elle était trop forte, pas sur qu' il repasse par là, et si c'était le cas, il les trouverait sur son passage et qui sait ce qu'il imaginerait pour les menacer? Lave demanda alors:

Citation:
Mais , t'es toute seule ? Où est Matou ? Ne me dis pas qu'elle est partie faire ses bagages ainsi que ceux de son amant et qu'elle nous laisse toutes seules ?


Matou s'avança un peu:

- Je suis là, je suis là, tu crois vraiment que j'allais vous laisser seules dans cette cave, à faire n'importe quoi...déjà ton affirmation qu'il va revenir par le même chemin, je suis pas aussi sûre, moi! N'oubliez pas qu'il est sur son domaine...cette cave, il la connait par coeur...Non..moi, je pense qu'on devrait le prendre en tenaille...il doit être dans le cachot d'Aupyl...en plus, on sait pas dans quel état est Aupyl..parce que...euh...j'crois que Ef a oublié de lui apporter son pain rassis quotidien et son écuelle d'eau ...à mon avis, il doit être maigre comme un lacet...et pas bien solide sur ses jambes...donc, il ne représente pas un danger...maintenant , la rage et la colère peuvent décupler ses forces...Bon...faut savoir...On sauve la gamine? on tue Job? on laisse encore un peu jeûner Aupyl? tout ça, ça se réfléchit, faut pas agir au hasard....


















Maitre_aupyl


Clic clac.

Il distingua le bruit du verrou qui s'ouvrait.
Il se tenait prêt à vendre sa peau chèrement. Il ne savait pas comment, en fait. Il n'avait qu'une écuelle vide comme arme.

La porte s'ouvrit. Il ne vit pas son geôlier dans la pénombre.

Allez viens !!!

Pour toute réponse, Aupyl envoya l'assiette vers la voix.

Nan, mais, je viens si je veux. Pis, on n'a pas bourlingué sur la même mer, mon gars. Espèce de brecon de malheur! Je ne sortirai qu'à la force des..... des ....
Aupyl chercha un mot qui pouvait l'amour-propre d'un breton...
qu'à la force ... oh pis zut, je reste là, moi!

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Président de la Société Navale et Commerciale Fécampoise
http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=13125

Le moteur fondamental des Royaumes Renaissants, c'est l'interaction entre les joueurs. Et de manière RP.
Jobart
Jobart toujours devant la porte du cachot. N’eut que pour première réponse une écuelle qu’il prit méchamment en plein visage.

Lâchant alors Marine il se tint le visage car la douleur était assez aigue.


Non.. …non de non…mais ça va pas ! je viens vous délivrer moi !!!

Citation:
Nan, mais, je viens si je veux. Pis, on n'a pas bourlingué sur la même mer, mon gars. Espèce de brecon de malheur! Je ne sortirai qu'à la force des..... des .... qu'à la force ... oh pis zut, je reste là, moi!


Se frottant la joue et le front. Il fronça les sourcils . Cette voix……cette voix il l’a connaissait. Mais qui ?.....Réfléchissant rapidement. Car il ne distinguait toujours le visage de l’homme et lui non plus apparemment.

Cette voix….Oui c’était la voix…..Il regarda alors Marine. Elle n’avait peu eu autant de mal que lui pour reconnaitre son père , car au vue de la réaction qu’elle tenait.

Merde…..Me voilà bien maintenant, se dit Jobart. Alors j’échappe à la mort et je kidnappe la fille de Gribouille pour tomber sur son mari soit le père de Marine….Non mais franchement ! C’est pur poisse là !!! Et derrière les autres qui arrivaient. Là c’est sûr il était de la m****

Réflechis ……réfléchis……réfléchis……. Il fallait vraiment trouver une alternative qui tournerait à son avantage maintenant.

Et là ce fût le déclic.

Il s’approcha d’Aupyl en prenant garde que celui-ci ne le reconnaisse pas. Le poussant violement contre le mur. Il pensait que Jobart était un breton…il ferait comme si.

Allez maintenant donne-moi ta chemise et plus vite que ça ! Le forçant à se déshabiller.

Jobart retira son veston et sa chemise et les tendit à Aupyl.

Maintenant tu vas mettre ça et plus vite que ça ! Sale Normand ! Et pas de discussion !

Il remit alors la chemise humide et malodorante de Aupyl assez précipitamment.

On à capturer ta fille aussi ! Alors prend là et sort dans la cours histoire de prendre l’air ! On te fais expetionnelement une fleurs mécréant ! Et le veston c’est parce que dehors il fait frais….et on ne voudrait pas que tu y reste….on a besoin de toi pour faire chanter ta gourdasse !!!

Il le poussa , lui et sa fille violement hors de la cellule et leurs montra la direction à suivre. C’était un passage qui contournait les cellules mais qui revenait vers l’entrée de la cave.

Puis Jobart laissant Aupyl à son sort. En espérant que les femmes se laissent bernées.Retourna dans le cachot et referma la porte en prenant soin tout de même que celle-ci ne se verrouille pas.

Puis il prit une position de foetus , dissimulant ses traits dans un coin de la geôle en attendant que les furies le confonde lorsqu’elle passerait par là….enfin….il l’espérait.
Laveternate
Lave aperçut enfin Matou et sourit , heureuse qu'elle ne les ait pas abandonné .

Citation:
- Je suis là, je suis là, tu crois vraiment que j'allais vous laisser seules dans cette cave, à faire n'importe quoi....blabla ...euh...j'crois que Ef a oublié de lui apporter son pain rassis quotidien ...Blabla ........Bon...faut savoir...blabla .........On sauve la gamine? on tue Job? on laisse encore un peu jeûner Aupyl? encore blablabla....


Par miracle, Lave ne s'endormit pas en écoutant Matou , c'est dingue ce que ça peut être bavard les hommes politiques enfin les femmes dans le cas présent .

Lave répondit à voix basse :


Hein ? Ef a oublié de le nourrir ?
Si ça se trouve, il est mort maintenant, c'est malin !


Mais elles furent vite rassurées en entendant la voix d'Aupyl et encore plus lorsqu'elles comprirent qu'il se croyait ches les bretons .

Bon, on sauve qui alors ? Job , la gamine ou Aupyl ?
J'en sais rien moi !
Ecoutons les , on verra bien .....


Des brides de conversation leur parvinrent :
Citation:
plus vite que ça !.................
...................
Sale Normand !................... Et pas de discussion !
........chanter ta gourdasse !!!


Mais qu'est-ce qu'ils fabriquent ?
Les filles hésitèrent un moment et après une heure de discussion , comme elles n'arrivaient pas à se mettre d'accord entre : on se tire ou on va voir dans le cachot , elles firent un plouf et la deuxième solution fut choisie .

Se bousculant l'une et l'autre, elles entrèrent dans le cachot en même temps .
Ben ...... mais ?

Aupyl était bien là, tassé dans un coin mais point de Jobart ni de gamine .

Euh Matou, je crois que t'avais raison , il devait y avoir un autre passage .....
Matouminou


Elle s'exclama, à l'intention de Lave:

- Bien sur que j'ai raison, contente que tu l'admettes...pfff...alors tu as un autre plan?

Tout en disant ça, elle s'approcha de la forme tassée dans un coin de la pièce, un peu inquiéte de son immobilité.
Elle fit un petit signe à Grib et à Lave et murmura assez fort pour qu'elles l'entendent:


- Mon dieu, pourvu qu'il ne soit pas...j'ai l'impression qu'il ne fait plus que la moitié de ce qu'il était...Lave?? Faut que tu l'examines, et toi Grib, regarde ce que tu nous as fait faire...pfff...on n'a pas idée!!

Elle regarda Grib et poursuivit:


- Aupyl, il a toujours dit que son embonpoint c'était signe de prospérité et de réussite...c'est malin d'avoir voulu le faire maigrir...s'il est mort, c'est de ta faute!! en plus, un mort maigre, ça fait pitié, et Aupyl, il avait pas envie de faire pitié...


Elle était énervée et ajouta:

- Sans penser que va falloir inventer je ne sais quelle histoire pour expliquer sa mort...et puis, on a perdu Job et ta fille... ils sont surement loin, et peut-être qu'il va se débarrasser de ta fille en la jetant à la mer, ou en la perdant dans la forêt, elle se fera mager par les louops ou peut-être même qu'il la vendra dans les bas-quartiers de Fécamp...


Elle en rajoutait volontairement, pour faire culpabiliser la Lorraine. Elle savait que Job ne ferait jamais rien de mal à un enfant. Enfin, mise à part, une grosse grimace qui bien souvent les faisaient éclater en sanglot, sinon, rien de bien méchant.

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Jobart
Jobart était toujours étendu au sol. Position recroquevillé sur lui-même.

Il attendit un petit moment et c’est alors qu’elles arrivèrent. La porte s’ouvrit.

Ça marchait. En entendant les réactions, ces greluches le confondaient avec Aupyl. Impeccable tout se passait à merveille. Enfin !

Il entendit alors que l’une d’elle se rapprocha de lui. Il ne fallait pas flancher.

Reconnaissant la voix. C’était celle de Moumoumiaou. Celle-ci commença alors à débiter, à défaut de se faire biter, toute sorte d’ânerie. Apparemment le subterfuge était parfait.

Seulement la situation devenait délicate. Si Jobart ne bouge pas , elles vont croire qu’il est mort et du coup elles sauront que ce n’est pas lui et là, ça risque de tourner au vinaigre balsamique. Soit il se lève et profite de l’effet de surprise. Mais là encore ça va tourner au vinaigre d’alcool.

Dilemme……….

Il fallait faire quelques choses car seul un miracle pourrait le sauver.

Il ne pouvait regarder dans la pièce. Il fallait donc deviner au bruit où se trouvait chaqu’une d’elles assez précisément. C’était son oncle Bear Grylls qu’il lui avait enseigné cela.

« ferme les yeux et ressent avec Zobinette* » (* Veuillez nous excusez. Pour des raisons techniques et éthiques nous avons préféré le renommer ainsi sachant bien que Bear l’ignorait. Pour tout réclamation veuillez contacter Grodudule production© )

Oui l’instrument ne servait pas qu’à se reproduire, uriner, divertir, éblouir, détourner, crocheter et balafrer. Celui-ci servait également de sonar. Pour se diriger dans la pénombre.

Ce fût presque comme si ses yeux regardaient la pièce …

Se levant d’un bon il fonça vers la porte , poussant violement Lave qui obstruait le passage (elle a grossit) . Le plan était impeccable. Mais ça c’était sans compter l’écuelle qui trainait au sol et qui , malheureusement se trouvait dans le passage de pied de Jobart.

Même pas le temps de franchir la porte que le pauvre s’étala de tout son long. Arrachant au passage un bon morceau du corsage de Gribouille en tentant de se rattraper.


Brrroooollllllafff……gling gling gling gliiiiiing .
La douleur était intense. Aussi bien à la cheville, que son nez.

Aie…..ché’ai mal. Ché’ai peau être ancestral ….ché’ai mal
Gribouille87
La blonde rêvassait ...

Au lieu d'écouter les joutes verbales des deux commères , Gribouille faisait des projets avec son héritage ..à elle les plus belle auberges , les plus belles houppelandes..quand

Hein ? Ef a oublié de le nourrir ?
Si ça se trouve, il est mort maintenant, c'est malin !


La blonde leva les bras

ça y est il est mort ??? super !!!

Puis voyant le regarde incrédule des deux femmes

oups ...l'émotion ça ...heu...ben...on alors on fait quoi?

Puis elles rentrèrent en même temps dans le cachot , la blonde de cogna la tête et écouta les jérémiades de Matou qui essayait de se dédouaner de la mort d'Aupyl

Ben on voit que c'est pas toi qui le nourrissait qui supportait son poids pour le devoir conjugal ...ah tu crois que JOb va .....héy du coup je serais seule sur l'héritage !! c'est génial ça !!

Elle s'approcha du corps recroquevillé

Ne vous inquiétez pas j'ai un truc imparable pour le faire réagir , je vais lui piquer sa bourse .

Ce fut au moment qu'elle s'approcha que la forme se leva et essaya de s'enfuir , la bousculant et la poussant vers Matou , les faisant basculer toutes les deux par terre
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