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[RP ouvert] Pas d'quartier, REPAS d'quartier !

Andrea_
Trop d'intelligence tourne en folie...



C'est pas elle qui l'dit, elle, la chiasse, elle s'est contenté de le croire parce que ça l'arrangeait bien et qu'entre nous, ça donne un peu de profondeur à sa folie, une sorte d'excuse.
Aujourd'hui est une belle journée, les arbres commençent à se couvrir de bourgeons, l'air devient plus léger, le petit vent bien qu'encore frais ne fait plus rosir son nez, les lapins se sont lentement remis à la lourde tâche qui est la leur - autrement dit la surpopulation lapinale des forêts- et les oiseaux chantent. Enfin pas tous, la Colombe elle, dans son arbre perchée, piaille.
Non pas qu'elle râle hein, elle piaille. Piapia pia par ci, pia pia pia par là. C'est pas du rossignol mais c'était tout aussi joli à entendre.
La branche est solide - l'embonpoint de l'hiver comprenez...- et la belle, à califourchon sur sa pousse observe le paysage. Rien, elle ne pense à rien. Autant dire que pour elle c'est un peu l'rêve ! Même totalement pour être honnête...

Un coup d'oeil en bas, tout est prêt, enfin tout... Le drap est déplié, le panier est là, y a rien dedans c'est un fait, seulement bon, les pic-niques, c'était pas trop son trip -'fin sauf quand c'était tout prêt-, la biche est présente, la chiasse l'avait acheté y a quelques jours déjà, et l'avait fait gonfler au soleil pour une utilisation maximale.
Y avait plus qu'à espérer qu'allait s'pointer un ou deux pecnos avec de quoi grailler sinon... Tiens! Elle avait juré être monté sur un sapin et la voilà qui cueille une pomme, comme quoi, les apparences sont parfois trompeuses... Les crocs de la belle viennent se planter dans le fruit, juteux, sucré à souhait, elle savoure ce qui sera peut ètre son seul repas de la journée.

Un coup de vent et là voilà allongée, laissant son bras lacéré pendre, apprécier la hauteur. Quand la brise se fait joueuse et se glisse dans ses cheveux lui arrachant un sourire, la chiasse comprend que le calme n'est finalement qu'un autre mot pour aider les gens à supporter leur solitude. Le soleil vient caresser le visage diaphane, l'aidant à fermer ses paupières, d'une douceur qu'elle n'avourait jamais aimer, les rayons effleurent ses lèvres pâles pour mourir dans son cou. Elle jouie de la douceur d'un printemps qui s'est fait attendre, elle se délecte du silence, savoure cet instant volé au temps.



Humm... J'vote pour ... Si c'est elle la preum's, j'lui réserve une surprise...


Là, on pourrait croire qu'elle parle toute seule mais en fait...Chut, elle est sur son nuage notre Colombe, 'fin pas vraiment sur un nuage, puisqu'elle est dans un arbre, mais ça aurait pû être possible, tout est réalisable quand ... Bref, elle est où elle est mais elle compte pas en descendre tout d'suite, à moins que ...
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Alzin
[Jack The Ripper*]

Le génie a toujours un grain de folie. Les semailles dispersées aux quatre vents pour éblouir ses contemporains avec ce qu'il possède au fond de ses entrailles. Le génie se mire dans le miroir de son indépendance. Mais la vérité est bien plus cynique et de ses verdicts iniques, elle abreuve "l'artiste" d'une abondante solitude, sa seule dépendance. Pas un jour ne passe sans qu'il bénisse et maudisse sa sentence. Voici la racine profonde de sa repentance. Pour faire pleurer ou rire. Tout simplement pour écrire. Il se doit de souffrir. Mais n'est pas génie qui veut... S'il suffisait d'intégrer les rangs d'une légion de martyrs pour prétendre en être, de tout son être. L'aisance prendrait donc naissance dans la démence. Puisqu'il faut être fou pour vouloir renaître, se repaitre et mourir chaque jours que Dieu fait. Tel Prométhée. Avec pour seul Espoir, de vouloir briller...

Le tueur a toujours un grain de folie. Qu'il exprime encore, en éternel interprète, d'un geste gracile sur sa victime au corps désormais inerte. Sélection naturelle pour une semence trouble d'une descendance débordante de dégénérescences. Voici le Mal & son essence. Il ira peindre ses maux avec des lettres de sang. Décrivant son aliénation sans aucune altération avec la rancune de ses allitérations. Ainsi quand se lève la Lune, son unique compagne l'accompagne dans sa campagne guerrière. Les vitraux sanguinolent et ses fenêtres deviennent des meurtrières. Quand le meurtrier immole ses assaillants jusqu'à ce que le Soleil vienne à Zénith reposer son séant. L'aisance prendrait donc naissance dans la démence. Puisqu'il faut être fou pour vouloir renaître, se repaitre et mourir chaque nuits que Nocturne fait. Tel Nyx. Avec pour seul Espoir, d'être "l’ante-christ" du Vice...

Il se souvient comme hier de sa première victime. Une jeune femme ayant délaissée quelques instants son troupeau de brebis pour rejoindre le village. Seulement, l'hiver est de nature traitresse et l'obscurité se fit hôte au sein de ce funeste tableau. Sur le chemin du retour, elle fit une mauvaise rencontre.
Et si vous pouviez pénétrer dans les pensées de son bourreau ?

- Un phénomène lié aux hormones, hymen empli de phéromones. Célérité épouse ma cérébralité résultante d'une normalité, qu'est-ce que la normalité ? Si c'est la conscience de l'existence d'une originalité ? Est-elle enceinte ? Un poing pour avorter ses plaintes et arroser le tout d’absinthe, cordon ombilical à vocation lianescente, une relation incandescente, pour entamer une indécente descente. Je suis le Ripper**, elle a pris peur, c'était un hurlement s'échappant de ses lippes ?! Trois lettres R.I.P... Éphèbe pour dissimuler mon hideur. Et naquit la définition de l'horreur. Injection de mon poison à l'instant de ses interjections. Étrangement ! Étrangement rime avec étranglement. Parallélisme de construction dans la destruction. Ironie du sort, il se met alors à résonner dans ma tête le cor de mon émerveillement, quand elle halète. Sous mes mains aux doigts d'or se bandant comme la corde d'une arbalète.


Les jours passent, les proies se succèdent. Ainsi est la base de la pyramide de ses succès. Sans cesse, il puise son allégresse dans leurs regards pleins de détresses. Mais son besoin est une drogue, son laudanum, son opium. La dose doit à chaque fois lui fournir le maximum afin qu'il s'extasie de ce "summum". Et parfois, il se désaltère à la source de ses souvenirs d'ires. Suivant le lit du fleuve "Hier", il dévore de sa nature - nourricière - le lard de son art barbare. Prendre son plaisir dans le massacre et voyager avec, de Paris à Acre.

- Je rapine, hallucine. Mes désillusions se ravivent dans le vil. Mes sensations s'abattent dans un battement de cil. La raison de vos oraisons raisonne en vrille pour écarteler ces innocentes victimes, ces filles résidentes malheureuses de cette ville. L’ombre vacille... Triste constat, que le diktat édicta de cette nuit où tu tremblas d'effroi, tes poumons se chargèrent de froid. Quand s'effrite la mémoire des Rois, ta mort est mon "alléluia". Je suis un horrifique "dictateur, mirifique auteur de ces heures qui s'meurent, je suis ton maléfique prédateur. Mes pulsations suivent les impulsions de mes pulsions. Meurtrières et sibyllines, j'affûte mes canines pour croquer la chair de ma chère et tendre. Quand les liens commencent à se distendre. Tout prendre, pourfendre pour fendre l'atmosphère que me tend en offrandes ta peau, festin sous une "visite" chylifère. La folie me submerge, m'immerge et je deviens l'Hannibal des cannibales. Le regard azuré aux reflets de métal suit la cadence d'une démarche assurée et martiale. Instinct animal et brutal. Je m'abreuve de ta liqueur lacrymale. Avant que fondent nos deux corps d'une façon "isoclinale" avant que tu étouffes ton dernier râle sombrant sous notre ébat létal et goutant à mes lèvres glaciales, un adieu fatal... C'est ainsi que je garde un souvenir de ma famille, de ma cousine. En conservant leurs restes dans des bocaux d'urine.

Et il rôde, il rôde jusqu'à perdre sa route. Celui que le monde ne quitte pas des yeux. Celui qu'on a immortalisé sous la coupole des Dieux. Afin que rien ne nous sépare du jugement des cieux. Les Hommes ont prétendu qu'il y aurait le Paradis et l'Enfer, le Feu et la Terre.

Mais lui. Lui, ses pas le mènent vers une Colombe. Son plumage sera-t-il toujours aussi immaculé, sous les assauts répétés ? Est-ce que des perles incarnates seront conviées aux réjouissances sous des claques colorant ses joues de chatoiements écarlates ? ...



* Jack l'éventreur
**Éventreur

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1pecno, incarné par Farfadettes
Trop de pecno tue le pecno. La viande gonflée au soleil, avait laissé échappé ses délicates vapeurs putrides jusqu'à son groin. Il approche croise un autre bonz le nez en l'air et tout aussi malin il le lève aussi. Le coin était prometteur et l'appât appâter sec, il envoyé le pâté. Il jette un oeil, à gauche, puis à droite, le voilà aveugle, un coup d'oeils qui vous coûte les yeux de la tête. Mais y a pas des volatiles comme cela, c'est rare, et ça le laisse dindon. Il glousse:

Faites quoi la haut? Un sapin pommier qui se fume? C'est de la bonne?

Mais l'instinct de la truffe le rapporte vite au sol, fouille dans le panier, zoub, ah pic nic de bol d'air, l'air pur y a que ça de vrai. Les écoutilles aux aguets. Le fumet le rappel à l'ordre, il scrute l'horizon, et la voilà qui apparaît, la biche qui lui tendait les bras, une belle biche ronde et l'odeur ah le parfum de la biche grillé au soleil, de quoi vous exciter un loup aux abois...


Il relève la truffe: Le cuir est bon?

Et le revoilà repartit sans attendre la réponse en tournant autour de l'arbre, il grimpe pas aux arbres, question d'hauteur, de plus un arbre c'est plein de branche et là c'est pire encore, elles bourgeonnent et vous secrète un tas de liquide bizarre, truc qui colle, résineux, et son haillon pouvait bien encore lui servir, un bourgeon qui vous échappe et c'est la catastrophe cataclysmique. Et puis y a plus qu'à attendre, à moins qu'elle s'envole, mais il y croyait pas de trop. Et puis tant kiavait de la biche. Pas de quartier! Il garde encore le nez en l'air, une colombe c'est pas mal aussi vue du dessous.
Andrea_
Dansons maintenant...

Et les "invités" commencent à arriver... Perdu le pari, envolée la surprise, l'air se glace soudain, le ciel s'assombrit, et la chiasse étouffe un ricanement sadique, continuant d'observer le ciel prenant des allures apocalytiques, celui qui arrive a les éléments avec lui et ne laisse pas à la Belle le loisir de s'enquérir de son identité, elle sait... Elle soupire


Il semblerait que tu n'sois pas au scénario, mais ta présence me ravie...


Les prunelles ne quittent pas le dôme embruni, la chair de poule envahi ce corps, partagé entre le stimulis masculin et cet air sec qui ne cesse de la caresser. C'est le moment que choisit un pecno pour faire son entrée, la scène se dessine, le décor se plante, et les acteurs rappliquent, et bien malgré eux, le spectacle a commencé...
Un regard vers l'inconnu à l'odorat bien affuté, peut être que la Colombe prendra le temps de lui expliquer à quoi devrait servir la biche, bien que la pensée de le voir dévorer l'animal fétide n'est pas pour lui déplaire.
Aucune envie de lui répondre, seul un regard suffit, accompagné d'un hochement de tête et d'un sourire carnassier, le visiteur devrait de suite comprendre qu'il est le bienvenue, mais qu'il n'est surement pas là où il aimerait se trouver. Faîtes confiance aux artistes, les figurants ne resteront pas sur la touche...
Le corps est comme happée par le sol, douce Colombe s'envolant vers son hôte premier, se déposant à quelques centimètres à peine de l'oiseau de mauvaise augure qui s'invite à la "fête". Une main diaphane est glissée dans la sienne, le regard clair se fait profond, et le bout des doigts galopent sur le bras d'Alzin. La lippe rubiconde est caressée par un croc acéré, et les ongles vagabonds se plantent dans la nuque du "chauve". Les lèvres s'approchent et se frôlent et les mots sont soufflés délicatement



Une visite de courtoisie... J'en ai... rêvé.


Et c'était vrai. La Chataîne avait cette faculté de rêver, chaque nuit, des songes souvent incompréhensibles mais dont la belle savait se repaître une fois éveillée. Songes... hallucinations ou réalité, parfois le tout se mélangeait, la frontière était mince et jamais sa conscience ne s'y invitait, la folie avait du bon...
Les doigts frêles viennent caresser une paupière, avec la folle envie de vérifier si l'esprit est aussi " distant" que le regard. Alzin de toute évidence était dans un état second, ce qui ne déplaisait pas à la belle, l'animation ferait son effet...

Et comme il est rare qu'elle reste en place plus de trois minutes, le demi tour est amorcé et les azurées posées sur le pecno.


Alors toi, j'espère que t'as faim... ou que tu as bien mangé, le repas ne sera pas... vraiment ce que tu penses...

Le sourire s'étend, et le regard s'habille de malice, non vraiment, le festin sera de mise... Une viande encore... inédite.
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1pecno, incarné par Farfadettes
Faim....

Tilt, la rampe gauche du couloir de la mort s'allume, la pensée tourne, encore un passage sur le gouffre de l'effroi, ne pas perdre la boule, pas tilter, pas tilter si on veut claquer une partie sans crédit, restons crédible. Le gazouilli de faim, réveille son je, tendu, et le maquille derrière un air de douceur, de simplicité et bonté, juste quelques étincelles, quelle que micro pointe de trip de feu. Le regard profond pénètre les prunelles, et il aime les prunes. Le mâle hisse son plus beau sourire à ses quenottes et se dresse fièrement pour la mettre en appétit. Le mâle quoi, le truc avec le bouton qui dépasse, on off pour le cerveau.

Ah bon, pas de biche.

Dit il l'air niais, on est pecno ou on l'est pas, la pecnitude c'est plus qu'un art c'est un don! Pas chic, il y a des surprises, finit la joie de la certitude et ses ennuis si rassurant. Puis il repart dans la contemplation de la biche qui lui semble lointaine. Une larme apparaît au coin de l'oeil, les lèvres se fond moues, comme une boule dans la gorge naît. Le choc est intense, une sombre mélancolie l'envahie morbidifique, tous ses espoirs filent à l'angloise, la douche écossaise en pleine face, finit les châteaux espagnols. Hagard, pétrifié, le coup est fatal, pas zouk alternatif. Il a envie de disparaître foutre sa cagoule. Puis non la biche embaume encore des ses parfums putrides! Je l'aurai! La vie du pecno est ainsi, il ne doute de rien, c'est beau son innocence. Il se tire ailleurs, et se cache derrière un brin d'herbe pour suivre la scène.
Astana
    « Errance. »

Est-ce une forêt, ou bien une clairière ? Peu importe...

L'apparition est troublante. L'attitude loin d'être habituelle.
Aujourd'hui, tout est Blanc. D'une vive clarté. Presque aveuglante.
Il n'y a pas de place pour le Noir. Ni pour le Gris.
Tout, tout, est Blanc. Aseptisé. Sans contraste.
Même le cadre dans lequel elle se trouve, teinté de vert et de marron puisque boisé, semble vouloir mourir sous ses pas.

Ici le blanc n'est pas synonyme de pureté. Mais de mort. La mort envoûtante et indolore.
Celle qui vous souffle dans le cou, déploie sa langue pour mieux lécher votre oreille et vous susurre que «tout ira vite». Celle dont la voix est si envoutante que vous vous surprenez à sourire. Et lorsqu'elle vous mord, crocs et griffes plantés dans votre peau, et que le liquide rubicond perle alors... vous ne sentez rien. Sur un nuage, juste... Lové dans du coton. Presque ivre. Plus rien n'a de sens... Vous partez, heureux d'avoir connu un tel baiser.

Astana, faisant figure de prêtresse. D'Ange Déchu. Semant des corps inanimés sur son passage. Ses pieds nus foulent le sol avec une grâce non dissimulée, dans un étrange ballet ; le tissu d'une robe ivoire si léger qu'il semble danser sur ses hanches. La robe n'est qu'un artifice de plus, découvrant deux épaules diaphanes invitant à la morsure, ainsi qu'une cuisse opaline sur laquelle se dessinent deux cicatrices identiques et parallèles, qui intime au doigt curieux de venir tracer leur contour avec soin. Sa chevelure est relevée en un chignon grossier, laissant quelques mèches disparates ça et là, qui viennent caresser une nuque, effleurer une omoplate... Et la Danoise se transforme alors en Nymphe. Gardienne d'une Nature aux secrets bien gardés.

Cette escapade débouche sur une scène des plus étranges. Bien que le goût qu'elle renferme soit des plus connus. Comme une impression de déjà vu. Quelque part, Ailleurs, dans un Autre lieu, un Autre Temps. Bientôt, une langue passe sur sa canine, et se dévoile un sourire carnassier, tandis que deux prunelles argentées fixent les trois protagonistes... Sous ses yeux, non loin de là, à l'exact opposé du voyeur maladroitement dissimulé derrière un bosquet, se trouve ce que l'on nommera un couple détonnant. Un Fou et une Colombe.


Un, deux, trois... nous irons aux bois...

Un pas en avant, que la lumière jaillisse. Un pas en arrière, pour retrouver les ténèbres. Elle passe derrière un arbre.

Quatre, cinq, six... tuer une proie exquise...

Revenir à la lumière, l'espace d'un instant. Quelques secondes à peine. Avant de retrouver l'ombre à nouveau... Et continuer ainsi... ce joli petit Manège...
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--Centnoms
L'Envergure.

D'hivers ou d'Aujourd'hui. D'Autrefois en Lendemains. Et la Face cachée si bien dessinée du Côté Pile de l'Envers de l'Endroit. Sans Queue ni Tête. C'en est à s'arracher les cheveux. Ou les poils. Au choix. Tant de blanc. Recouvrant le par terre d'un voile à la limite du douloureux. Ah! Ses yeux! Qu'il n'a pas par ailleurs. Pourquoi se contenter d'avoir un visage. Ou bien une voix? Faire Cent n'est parfois pas plus mal. N'est ce pas? Il arrive. Se profile à l'horizon. Observe les lieux. La mort du Soleil. Le décès de la lune. Lumière faîte, les ténèbres sont là. Si il avait de quoi rire il s’esclafferait. Le comique de la situation. Évident non? Pourquoi se contenter d'un Oui. Lorsqu'on peut avoir le Non. Et Vice Versa. Qu'importe. CentNoms est là. C'est bien suffisant. Il s'assied et prend ses aises. Observe le tableau.

Par un charmant après midi de fin d'Hivers. Voilà qu'Aujourd'hui se retrouvent, tout comme Autrefois trois amis. Et un Pecno. Ça c'est pour la Face cachée du Côté Pile de l'Envers de l'Endroit. Aujourd'hui c'est l'oiseau qui reçoit. De son nid perché il observe le monde, rêve de prendre son envol tandis que la cochonnaille est de sortie. Depuis quand les Colombes sont-elles Carnivore? Étrange. Qu'importe. Un vague mouvement d'Elle tandis qu'elle l'accepte. Après tout. Si le panier est vide, il faut bien trouver de quoi rapidement le remplir. Non? Passons. Pour cela, il faut bien entendu faire appel à un Boucher. Qui a du fricoter d'un peu trop prêt avec le Barbier car le voici, le crâne luisant se pointer.
Lumière. Elle sourit. S'envole et atterrie devant lui. En toute bonne hôtesse qu'elle est. Une plume sur son bras. Le bec claque. Alzticot. Prêt à être avalé tout cru. Si tant est que l'homme soit docile. Mais dans son regard sombre quelques cris de femmes se dessinent. Il est Charmant. Mais pas Prince pour autant. Ah. Et une autre invitée. Mariées pleines de Grâce auraient tout à lui envier. Elle a dans ses Cheveux tout l'Or qu'elle a volé au Soleil. Son pas gracile la fait danser. Pour un peu elle s'envolerait. Mais elle est là. Elle aussi veut sa part du morceau. N'est pas Carnivore pour rien.

CentNoms incline la tête, si de tête il a. Et sonde leur cœur. Avant de pousser quelques grognements bien stridents. Vous attendiez vous à entendre les grincements Enfernales? Allons. Il n'est que CentNoms. Se redresse de tout son long et claque des doigts. Le Jaune se déploie. Tandis qu'il descend lentement la colline. Prenant doucement forme Humaine. Il n'est pas dit qu'il ne serait pas de la partie. Il se campe, non loin. Et observe l'arbre. N'est ce pas une poutre qu'il voit là? Il hoche la tête. Bien. S'approcher pour vérifier ou laisser la blonde tournoyer. Elle est trop belle pour qu'il l'en empêche. Laisser faire les choses. Et que se dessine doucement....
Claquement de tissu tandis que la Robe Jaune prend place. Un premier masque tombe sur le sol. La Peste. Celle ci n'est pas de mise. Il faut du sang. Rien que du sang. Laissons les infections, le pus et compagnie de côté. Il n'est pas dit que ce fléau ne soit pas suffisamment intéressant. Mais cela prend bien trop de temps à agir. Ôtons également Scarlatine. Sérieusement. Ah. Celui là est pas mal, tandis que s'échappe une mèche rousse prenant place sur la joue balafrée de la Compteuse.


Sept, Huit, Neuf. Tuer le Poussin dans l'Oeuf?


Un sourire. Une inclination de tête. CentNoms leur clin d'oeil. Le voilà. Elle également. La Face cachée de la force Obscure. L'Envergure. Pour l'heure elle sera Compteuse. Ils en ont l'habitude. Elle lève la tête et observe la poutre. Tant que celle ci sera là. Tout ira bien. Non? Avançons. Un regard pour la Croqueuse de Viande. Un autre pour la Vilaine. Un autre pour le Chauve. Elle écarte les doigts et laisse s'envoler quelques surnoms par ci par là, emportés par un coup de vent venant caresser les mèches brunes, blondes, et rousses des trois femmes. Elle s'approche, ignorant l'homme et le porc. S'approche de la Vilaine, se penche vers elle et dépose un baiser sur sa joue. Retours à l'expéditeur. Un sourire. Elle demande nonchalamment tandis que le masque se détache lentement et vient tomber dans le panier vide.

Lhyra dérange au moins?

Le regard est clair. Le menton fier. La bouche retroussée en un sourire mutin de lutin tandis qu'elle jette un œil tout autours.

Charmant ici. Un rien trop blanc. Ça manque de couleur.

Elle sourit. Ça ne saurait tarder....

[Cheffe-cheffe Aldraien
Retrait de l'image, cf Règles d'Or. Bon jeu.]
Alzin
[Construire un monde à son image.]

L'architecte a un esprit d'orfèvre et la pensée visionnaire. L'audace de vouloir tout confronter. L’Endroit et l'Envers, le Noir et le Blanc. En prendre l'essence, le modeler à sa guise et assembler ces contraires pour qu'ils ne fassent plus qu'Un. L'improbable se fait siamois de la logique. Quand le masculin n'est rien d'autre que féminin. Et que le terme réciproque se substitue à celui d'unique. Le Haut se trouve en Bas, Dextre à Senestre. Le bonheur dans le sinistre, le malheur dans les vertes plaines de la Félicité. De sa main experte, sa plume se laisse vagabonder, avec frénésie, à quelques extravagances, quelques caprices. Pérégrinations dans l'inaction. Des fondations au sommet de l'édifice.

Elle puise à la source de son inspiration le liquide de ses envies. Les matériaux sont faits d'autres choses que de fer et de bois. Seul ce nectar opiacé issu de la "Voie Lactée" lui procure satisfaction. De la comète à l'étoile filante en passant par la "Supernova" de ses confections. La plume est instrument de musique sous les mains de l'artiste. L'architecte de nos songes. Celui qui donne au moindre détail sa réalité illusoire. L'effort, le réconfort, la douleur s'écoulent doucement dans les canaux d'un jardin chimérique. Dans les cellules d'une matière aux parois grises, les prisonniers s'offrent de radieuses évasions. Même si quelques "détenus" quant à eux sombrent dans les abysses de ces funestes tortures de l'âme. Les menant tout droit au pilori, au billot, à la potence avec la corde tressée des fils noirâtres des cauchemars...

A force d'être le concepteur d'ambivalences. L'architecte, las, décide de monter aux créneaux. D'une certaine manière. Sa volonté tient le siège jusqu'à ce que son éternelle insatisfaction s'estompe comme un nuage de fumée. Son dessein n'arrive pas à se sublimer sous la médiocrité de ses dessins. Il ne peut exprimer pleinement ce qu'il ressent mais à force d'acharnement, il propose aux astres, la nature de cet intolérable désastre. Le Soleil doit s’éclipser et la Lune doit briller de milles feux. Le voile pernicieux s'immisce dans les cieux. Pour un mariage en blanc, un mirage entre la bougie céleste et les vapeurs de l'océan. Sur un tapis lilial, ils convolent sous une pluie immaculée de colombes, menant à l'autel. Inondé par les larmes du Soleil, quand les deux êtres fusionnent de leurs lèvres vermeilles. Brasier de pureté qui s'allume, au moment où l'astre nocturne épouse la brume. Emmitouflée sous sa Pèlerine ivoirine...

Retour à la réalité. A moins qu'il ne s'agisse d'un rêve. Nul ne peut prétendre avec conviction où débute et se termine le Vrai de l'Abstrait. Où commence le Vrai et le Songe. Après tout, notre conception de la réalité n'est peut être que le fruit d'une imagination biaisée. Et que le seul endroit où on peut feuilleter le recueil de le Vérité se trouve de "l'autre côté". Dans ce que nous appelons péjorativement la "Petite Mort". Alors que c'est peut être, sans doute l'opposé. Et si le sommeil n'était que source de vie ? Et la Vie, le repos avant la mort. Il faut donc observer, écouter, sentir, goûter et toucher avec notre sixième sens pour entrapercevoir l'horizon de l'Au-delà.

Frêle et fragile avec une force intérieure incommensurable. Telle est la définition de l'oiseau descendant de son arbre. Une joute de regards puis un jeu. Entre prédateur et proie, entre chat et souris. Les invités ne se font pas désirer. Ils se succèdent comme lors d'un ballet. Étrange danse à laquelle, ils sont tous conviés. Sensations inexplicables aussi. Ne réprimer qu'à ses paroles, un vulgaire grognement.

Disparaître. Le blanc efface ses traces, ses empreintes dans la neige. Pour que le décor arbore désormais une lumière bleutée. L'arbre se fait inquiétude alors que ses branches tourmentées ressemblent aux doigts crochus d'une femme ayant trop vécu. Le brouillard se lève avec nonchalance nappé d'une couleur pervenche. Il vient prendre sa revanche. Caressant doucement les hanches de l'Ondine à la crinière ambrée et aux prunelles azurées. L'herbe semble être maudite affichant une texture céruléenne. La bise chasse doucement la chaleur ambiante. Afin que naisse la Mort drapée de sa robe bleuâtre. Jusqu'à ce que les flammes lèchent leurs corps inanimés dans l'âtre.

Il s'approche alors de sa prochaine victime. Celle qu'il a tant espéré, tant aimé. Et dont la seule qui a su répondre à ses cris de détresse, ses appels à l'aide, n'était rien d'autre que la Solitude. Malgré la distance, la souffrance, elle répond toujours présent. Alors, il veut offrir à l'objet de ses convoitises, une fin digne de ce nom. La douleur l'assaille dans son ventre; la faim. Sa gorge hurle sous le manque; la soif. A quelques pas de son festin. Le chaos lance l'assaut au sein de son crâne. Entre le "Moi" de son émoi et le "Moi" de son désarroi. L'un veut préserver, l'autre veut tuer...Astana. Qui des deux vaincra ?

- Lutte fratricide -

La beauté d'Aphrodite s'effrite quand Elle offre ses appas en la compagnie de la tiédeur de l'air. L'eau prend alors quelques douceurs, délicieux hydromel, sève de miel, lymphe des nymphes. Dans les dédales, les foultitudes de bras aux chairs en décomposition tentent de s'emparer de l'âme errante. Le Styx, fleuve de sang, s'écoule lentement jusqu'aux portes des Enfers. Tout droit dans la niche du Cerbère. Chaque souffle est une injure, une provocation. Le diable n'admet pas les parjures, juste les damnations. Sa peau est pâleur, innocence, insouciance. Science de mes espoirs, ruisseau de ma volition d'y croire. Rose sans épines de volupté, juste l'attirance de ses aimants au charme bleuté. Le mal galope, galope se développe ôte l'enveloppe de "Pénélope". La joliesse horripile ma peau. De son épiderme d'oripeaux, il ne reste désormais que des lambeaux.

- Dans tout combat, l'un prend l'ascendant sur l'autre. -

Elle me brise le cœur. Elle me dévore le cœur. Suis-je lucide quand j'envisage le suicide ? Amant avide du morbide. Le vil prend place du vide. État d'âme, esprit criminel. Condamnable, noyau de mes séquelles.

Sous le joug de ma lame acérée, lacérer, coup incisif, vif, instinct primitif, core du corrosif. Décoreras-tu de mon arbre la cime, ma pauvre victime ?
Sous le joug de ma lame acérée, lacérer, coup incisif, vif, instinct primitif, core du corrosif. Décoreras-tu de mon arbre la cime, ma pauvre victime ?

Se présentant alors face à elle. Couteau en main, le palpitant au bord de l'explosion, la respiration bruyante et les yeux injectés de sang...

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Andrea_
Il y a eu un moment dans ma vie où tout a basculé, un moment où la folie a pris toute la place, un instant où j'ai perdu le contrôle, où je ne la sens plus arriver, et si je le pouvais, est-ce que vraiment j'en ferais quelque chose?
Est ce que ce ciel qui sent la fin du monde m'inquiète ? Est-ce que j'ai craint ce que j'ai vu dans le regard d'Alzin ? Est ce que je me suis demandé ce que la compteuse faisait là, et encore plus pourquoi elle m'embrassait, elle qui refusait tout contact il n'y a pas si longtemps ? Est ce que... NON.
Mon esprit me laisse tranquille depuis des jours maintenant, le jour, la nuit, je ne pense plus. Ma conscience, mon subconscient, mes mains, mes lèvres, tout mon corps réagissent seuls. Instincts primaires reprenants le dessus, me laissant un peu de repos...


Comme... dans un rêve, la Colombe se fait rapace, troquant son plumage immaculé pour un pennage ténébreux, allongeant son bec pour un ramage des plus...irritants. L'oiseau de paix devient oiseau de proie et cette dernière n'est rien qu'un homme. Un homme qui sans ce qu'il a dans les braies se sent bien démuni pour réfléchir, un homme qui ne pense quà manger, qu'à... un homme donc.
Les prunelles argentées fixent le pecno, et la belle reprend son balet, s'approchant du brin d'herbe et l'écartant pour observer l'homme de plus près. La langue de la belle passe sur ses lèvres, appréciant la saveur d'un baiser volé au temps, volé aux songes, volé... à la blonde. Le drapé virevolte au gré du vent, laissant paraître ça et là des plumes qui n'ont rien perdu de leurs superbes. De son oeil d'aigle, elle fait le paon, petit à petit l'oiseau fait son nid, se rapprochant de son "pigeon", la folle envie de lui voler dans les plumes, maintenant. Le regard s'assombrit soudain, alors qu'elle plaque sa proie contre son perchoir. En effet, son innocence est belle, c'est tellement...Berdol qu'il est naïf, on s'retrouve pas là par hasard, c'pas possible!



Non. Pas d'biche. Du pigeon... Du pigeon voyageur... et curieux...


La main opaline est glissée contre la cuisse de l'oiselle, son sourire s'élargit alors que le pecno se fait " boudeur". Tel un enfant qui ferait un caprice parce qu'on ne lui a pas laissé mangé de la biche, il nous sort la totale panoplie du lunatique. Et le tilt se fait, son cerveau se remet en marche, tintamarre insoutenable lorsqu'on est habitué à la quiétude de l'esprit. Tout se mélange, s'emmêle et s'entremêle. La chiasse en ferme les yeux et secoue doucement sa tête, envoyant son auréole luminescente valser un peu plus loin. la main remonte instantannément près du cou de sa " proie". Les doigts ivoirins se referment lentement contre la gorge de l'imprudent.

Le calme ne devrait pas être... Les pupilles noircies lâchent l'homme pour observer le drôle de manège qui se jouent plus loin...
Il semblerait que le chauve pense plus que de raison, et tout le monde sait qu'à trop penser, la raison devient irraison... Ne pas intervenir, parce qu'elle sait comme beaucoup combien l'amour fait souffrir, parce qu'elle n'est pas aveugle et qu'elle avait vu... Et surtout parce que s'il touche à sa blondeur, il en mourra, de l'intérieur. Elle se fera un plaisir de le regarder se battre avec sa conscience jusqu'à la fin de sa vie, et il est évident qu'elle fera en sorte que sa vie soit longue...
A cette pensée lentement son regard se reporte sur le pecno, les ongles glissants sur ses bras, espérant y laisser des " empreintes"



Alors mon lapin, une idée sur ta mort ? J'veux dire, tu préfères un truc rapide ou... prendre ton pied ?


Demander l'avis du chanceux, toujours, parce qu'au final on s'en fiche, mais qu'ça lui donne de l'importance.
Il est midi et la lune s'est invitée aussi, remplaçant l'astre d'une main de maître, la brise envoyant valser les étoiles, un combat vieux comme le monde, l'un fuyant l'autre... Il semblerait qu'aujourd'hui la noirceur l'ai remporté...

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1pecno, incarné par Farfadettes
Il sourit, le pecno donne envie, il attise la convoitise, de pecno, il passe à héros du jour, encore un qui va remplir les cimetières.


Il sourit à la question, c'est marrant, déjà on sent bien, le manque d'expérience quand à mettre à mort, mais aujourd'hui, il a de la chance c'est pour sa pomme. La pensée s'accélère, le coeur s'emballe en coup sourd, le sang circule, la puissance de la vie monte, monte, restons cool! Les jets d'adrénaline sont presque que plus puissant que les nuits d'André à l'île, trop top, restons cool, on ne la vie qu'une fois profitons en!

-Je vais être sincère, si, si promis, mais c'est bien parce que vous me le demandez! En un rapide ou lente, je vais prendre mon pied! Depuis le temps que j'attends, il était temps, en deux désolé, nan ça c'est pas vrai, la désolétitude n'est pas un concept que je comprends, mais vous me faites rire, de la faute à Chrisaor ça, pégase je l'ai laissé au box, mais quand on franchi le styx, ben chronos il existe plus, alors rapide ou lente c'est une notion de vivant! Donc je ne suis pas concerné merci d'en prendre compte! La notion de temps pour Moi ne va pas être la même que vous, surtout que là, j'ai un avantage non négligeable, C'est moi qui baise méduse et quand on lui fait l'amour, sincèrement on est tellement raide, que le temps on s'en moque un peu.

-En trois, Comment sincèrement peu m'importe, tant qu'elle ne me fait pas faux bond c'est le principale, ça m'énerverait coton d'être éternel,là j'aurai trop grave les boules! Chacun son bins. Mais le mieux je dirai par surprise, comme maintenant c'est très bien.

-Et en quatre, faites vous plaisir!



Curieux il regarde l'ange de la mort et se demande bien comment, elle va procéder, les techniques ne manque pas, et la machine n'est pas bien compliquer à arrêter.
Andrea_
Et il n'est pas la moitié d'un pélos, le pecno. Il est marrant de sentir le rythme cardiaque de l'homme entre ses doigts. Sentir le souffle qui s'accélère, le sang qui coule, coule vivement. Qu'il est bon de le regarder prendre conscience que c'est SON instant, qu'après avoir survécu à ses amis, quelques membres de sa famille, c'est SON heure. La chiasse jubile, et de sa bouche ne sortent que des sons guturaux, elle babille, tentant de couvrir la voix de l'homme qui ne cesse de s'égosiller. Faire durer le plaisir, elle n'a que ça en tête, ce n'est pas tous les jours qu'une proie était "consentante".

Il semblerait qu'en plus, ça soit un bien pour l'humanité toute entière de s'en débarasser, j'sais pas vous, mais personnellement je n'ia pas compris grand chose du baratin qu'il nous a servi.

La Colombe penche sa tête à droite, puis à gauche, laissant craquer ce cou impatient, de son dos jaillit deux ailes aussi blanches que les neiges éternelles qui se déploient dans un fracas retentissant pour finalement enceindre le pecno. Les crocs de la chiasse viennent contrarier sa lipe ivoirine et son index s'aventure sur le visage de l'homme, insistant sur ses paupières. Le doigt de fée s'insinue dans la cavité alors qu'elle soupire entre leurs lèvres



Je me fais plaisir, j'espère que tu aimes aussi...


Règle numéro un : prendre son temps.
En effet, la machine n'est pas bien compliquée à arrêter, faudrait pas gâcher la marchandise...

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