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[RP] les Pont Notre-Dame et Petit Pont: passer la Seyne

---fromFRGaetano dell Verro
Surtout, surtout ne change rien Gaetano, ils sont parfaits. La sagesse des anciens nous a légué une théorie amusante, chaque personne aurait et part féminine, et part masculine, voilà les tiennes incarnées. Par contre tu devrais lancer un cordage à ton moi pataugeant, il a l'ai aussi doué qu'enclume, l'amarre ? Pas idiot, l'esquif sera libéré, et le poisson à la traine.

Oune croisière en votre compagnie, magnifico, la cabine n'est pas grande, ma nous la partagerons en famiglia, souberbe.

Range ce sourire égrillard sous ta moustache, ta notion des liens familiaux a toujours été déplorable, tes cousins et cousines en conservent souvenirs émus, doivent marcher les dit souvenirs maintenant non ?

Alors, le gouvernail... Mamma mia !

A l'inverse abruti de rital ! Ah, travers du courant, la bôme, attention, bien, tu vois, t'es capable d'apprendre, et éviter les piliers du pont, tu sais faire ?
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Travailler, moi ? Jamais !!!
---fromFRNik Talope
Remontée sur le pont, pli de réprobation au front. Essorage imposé, triturage de vidange. Il faut se délester de l'eau absorbée. Son ange en démon transformé. Sauver l'honneur, dissimuler l'humeur.

L'ami, il faudra ranger ton foutoir, ton bordel pousse au désespoir. J'ai chu ! Mortadelle ! Ton rafiot m'a râpé le fut.

S'en sortir comme l'on peut, mentir si cela doit. Talope se refuse à admettre que sa belle pourrait le démettre. La tasse il boit, mais la coupe elle finira. Femme tu paieras pour cela ! Quelle buse.

Plier le genou, l'esquive en leçon jusqu'au bout s'apprend. On ne va pas le pendre après l'avoir baigné. Quand on ne sait pas naviguer, on se paie un bain de pied, on reste chez soi ou mieux on se noie. Talope l'a mauvaise, on veut l'estourbir après le refroidir.


Mordiable ! Vois donc où tu cabotes, maîtrise tes câbles. Point de bosse ou tu goutes ma botte, pire, je te rosse.
---fromFRLuneDeMiel
Alors mon beau, vous êtes passé par-dessus le ponton des soupirs ?

Et papillonnage de cils. Elle le regarde, c’est qu’il est plutôt bien de sa personne, que ça se voit mieux sous les étoffes mouillée et que son ton colérique ne lui déplait pas. L’emportement était une autre forme de passion. Elle reprend son intention du coté de l’italien, qui gesticule agréablement du gouvernail.

Notre hôte ne la certainement pas fait exprès … N’est ce pas messire Gaëtano ?

Elle s’approche et frappe malencontreusement dans le seau d’eau qui devait garder le ponts propre, émets quelques petites éclaboussures, sens les tangages, évites la chose qui se dirige vers son faciès à la vitesse de son pied vers la sensibilité d’un type fauché aillant dans l’idée de profiter de sa nature généreuse… Elle prends une bonne inspiration, ravalant probablement tout les jurons qu’elle connaissait, voir en inventer d’autre. Dans sa cambrure pour éviter la chose, elle valse sur son arrière train, heureusement gentillement charnu, Rabats se soulève avec ses mains, pose un regard menaçant à l’homme talope, fronce le regard encore davantage à l’italien, pas un mot, pas un rire, elle se relève et époussette ses jupes, l’œil noir, alors que l’on le cru bleu quinze minutes auparavant.

J’en conclu que vous ferez attention, à l’avenir.

Enfin, elle a l’air de compter dessus, d’ailleurs, il parait que les poires sont bonnes à cet époque de l’année, et que les fraises poussent bien dans la neige. Elle note la mouette qui virevoltes aux dessus de leurs têtes, prie pour qu’elle ne la benisse pas, surveille l’horizon…
Mais elle ne dit plus rien, on avance et c’est plutôt joli à voir la Seyne la nuit tombante.
Elle se demande si Celle qui l’a sortie du trou est quelques part dans l’ombre à guetter son départ. Peut être n’en a elle rien a fiche. Elle soupire, écoutant les clapotements.

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---fromFRSahna
Que réservent-elles, les berges ? Elles ne réservent qu'une surprise. Elle. Elle. Elle. Ce qu'elle se sent merveilleuse.
Elle observe Son pont. Contente. WOooh ! Oooh ! Oooh ! WOooh ! Oooh ! Oooh ! Moqueuse, elle se moque. Souvenir.

Lorsqu'il lui envoie le signe. Celui qui lui dit " débrouille toi ". En réponse. Elle lui envoie un bisou du doigt. Elle l'oublie.
Vers les spécimens, elle s'est penché. C'est le défilé des perturbés ? Peut-être. Elle épie le lieu. Celui qui est sien, sien, sien.

Etrange. Arg. Etrange. Arg. Etrange. Regard à la dame. C'est la danse des canards. Regard à l'autre. C'est la danse des phrases.
Visage à la grimace. Ah. Ah. Ah. Gare à Sahna ! Quelle est cette gueuse ? C'est qu'elle s'énerve. On ose lui interdir les pierres ?

Elle en reprend. Entre les doigts, les vipères : les pierres. Kss. Kss. Kss. Pour le moment, le mieux est d'être concentré. Prête ?
Hu. Hu. Hu. Début du jeu. Elle n'est plus pressée, presque le jugement. Celui d'une Reyne. Oooh ! Folie Colérique. Colérique Folie.

Intérieurement, elle est pleine de fierté. Ce qu'elle jubile, jubile, jubile. Elle en oublie le mOoonseigneur des mots, le perrOooquet.
Surtout son Ooolibrius, son prOoopriOoo rigOoolOoo ou non, idiot. Hii. Hii. Hii. Tout de même, elle observe leur numéro surjoué.

Courtoise Hypocrisie. Hypocrisie Courtoise. Elle pousse son soupir d'ennui. Elle n'en peut plus. Elle déteste les gens, les gueuses.
Oooh ! Folle. Folle. Folle. Elle hurle sur les berges. Elle jette les vipères, les pierres en plein sur elle. Il est interdit de m'interdir !

Elle toise cette demoiselle, pointe le doigt vers elle. Oooh ! Courroux ! Courroux ! Courroux ! Et elle court, elle court, elle court.
Direction. Son Obsession. Oooh ! Nom. Nom. Nom. Ce qu'elle le déteste. Brouillon d'incompréhension. Rejoindre le coeur Courien.

Hop. Hop. Hop.
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Tamorin
En provenance de la rue de la Tonnellerie.

[Les quais]

Pas à dire.
Les berges parisiennes c'est crade, encombré et puant. Le sable y est boueux et le parterre est un dallage de déchêts poissonneux, de bois pourri. Et le vent, en cette saison où l'air se réchauffe, charrie bien des odeurs, peu ragoûtantes. Une rangée de coques de noix, bateaux de trait et de pêche se pressent contre les quais mal-alignés, les revendeurs jactent et les caisses de marchandises passent de mains en mains, puis en brouettes et en carrioles, vers les halles.

La botte du pirate est posée sur une carcasse de chaloupe, coude attablé sur le genou, et c'est une bourse grosse comme une tête de chat qui patiente dans sa main. Le grand gars aux joues creusées qui lui fait face le tient en négociations depuis la matinée, et plus la fatigue pèse au front du capitaine, plus son poing le démmange de faire sauter trois dents à l'escroc. L'embarquation à vendre ne valait pas plus de :


- Trente écus.

Joues-osseuses grogne :

- Cinquante, j'y ai dit.
- Mais regarde moi ça, fieffé cul d'moine, y'a déjà un pied d'eau à fond de cale ! Même qu'à sept montés dedans c'est grazie-mamma si qu'on coule pas à pic...
- Eh bé c'est cinquante piècettes.
- Bon écoute moi bien dans l'blanc des yeux, trouffion. Quand l'tocsin sonne dix coups j'ai mes gaziers qui se ramènent et on s'tire à la descente du fleuve. Si d'ici asteure y'a point d'arrangement trouvé, c'est bien l'malheur mais on va d'voir écourter les badinages... mannière preste.


Et ce disant il écarte un pan de son gilet, dévoilant un pommeau d'épée moulé d'un sceau bien lustré aux armes de l'Anjou, garantissant son titre de corsaire. A l'ombre des ponts, au fil de la lame, les négociations allaient toujours tellement plus vite.

- Mouais. C'vrai qu'elle prend l'eau tout d'même c'te fichue coque... Trente, mais pas rien d'moins.
- Gné hé hé !


La bourse se déverse de moitié dans les paumes du marchand, puis retourne porter bonheur à son propriétaire dans la poche de ses braies. Le comptage est rapide, les six rames remises, et la toile de voile avec ça. L'embarquation est ridiculement restreinte, tout juste ving-huit pieds de long, rayée de bancs et munie d'un abri de vivres à l'arrière et d'un maigre mât d'appoint. Au reste, c'était juste une grande barque... Mais ça les conduirait jusqu'à la côte, jusqu'à la grande Caraque offerte à prêts par les Guérande.

Nostre dame fait enfin sonner ses tocsins. Tamorin s'essuie le nez d'une frottée, vérifie avec une tape sur sa tête qu'il a son tricorne, et regarde à l'alentour, parmi les poissonniers de la berge :


Bon y sont où, ces marsouins.
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Ce compte est :
Foulard bleu.
Sacanonne.
Godelurot.
Ou Pan.
---fromFRJudith_
Il braille, le gosse. Il braille et Judith grimace. Vindieu c’est qu’il lui tord le cœur et les oreilles, c’petit. « Tais-toi ! Tais-toi tu m’fais de la peine. Tiens-toi sage, bordeliouse, ou ta mère va êt’ obligée d’te calmer à coups de latte ! Allez, mon marmouset, sèche tes grosses larmes, sois pas braillard. C’est ça, sois pas comme ça, sois mignon. Tu sois mignon, oui ? Ah c’est bien, c’est ça … Sèche tes grosses gouttes et souris à ta mère. » La putain passe le plat de sa main sur les cheveux laqués glaviot de son môme, murmurant quelque chose dans le genre d’un tu soyes meugnon pour aller voir la Reyne Mère … là, comme ça, oui … et elle lui bécote le front. Asteure ça se dandine à peine au bordel. Ca s’réveille, grognant, pour retourner voir ses femmes ou ça s’endort, baîllantes, après une nuit qu’a fait voler les draps dans tous les sens. Judith fait signe à la blondinette qui sourit tendrement en lorgnant le marmot qu'est bien beau bien habillé pour les présentations à la maquerelle. « Suzon, ramène tes fesses au lieu d’zieuter comme ça eul gosse ! On l'sait qu'il est beau mon mien ! Hein qu'il est beau mon moutard, hein ? Elle va pas y résister la Reyne Zabo ! Elle voudra y croquer et tu verras, elle l’y gardera, ça oui pour sûr ! » Trois bécots. Un sur chaque joue de son môme et un autre pressé sur les lèvres de la blonde. La rouquine lui pousse l’enfant dans les bras. « Tu sauras y faire, hein, t’es sûre ? D’toutes manières faut qu’j’y fonce. Y’a Nostre Dame qui s’énèrve. J’suis en r’tard. »
---fromFR~Ravachol~
Rendez vous a été pris.

Des pas dans les ruelles qui ne mènent nulle part. Ravachol, toujours aussi droit, la démarche chaloupée, le regard perdu dans son vide déambulatoire avance sans but, tuant la nuit tranquillement, évitant de se faire remarquer, délaissant les bordels et les tavernes.
Il sait juste que les jours à venir marquent un nouveau départ, une retrouvaille avec sa vie, celle d’avant son entrée solitaire en forêt. Reprendre ses marques et s’habituer aux compagnons, se retrouver et espérer entrevoir à nouveau une place digne de son art.

Son chemin se poursuit, pensées, propulsions vers l’avant et souvenirs se mêlent au rythme de sa marche. Une main qui glisse sur un rebord de fenêtre, poutrelle en bois délavée par les intempéries. Le bûcheron visualise l’abattage de l’arbre, l’odeur qui s’en dégage, le débit qui s’en suit. Tailler le contour du tronc paisiblement, sueur coulant le long de son échine.
Solitude au calme.

S’asseoir contre une porte, l’espoir de retrouver de vrais meneurs d’homme, le Capitaine et son Second sauront sans doute ouvrir les yeux et diriger la troupe sans trembler ni les lasser.

Une nuit passée sous un porche, le paquetage sous la tête, sa hache posée sur ses bras en croix, le manche posé sur ses pieds, le fer caressant son visage.
Les yeux s’ouvrent avec le soleil et l’agitation dans les ruelles. Il se renfrogne, se retourne et somnole quelques minutes supplémentaires. Arriver à point, ni en avance, ni en retard.

Compter les coups, le temps de se redresser, de s’épouiller et se défroisser le crâne quelques instants, le temps de se mettre en marche. D’un geste souple, il remet à l’épaule son barda, ajuste sa dague, harnache sa danoise et se dirige vers les berges de la Seyne, lieu de rencontre.

Les lèvres pincées, le visage toujours aussi livide, il marche en guettant figures familières de quelques heures. Populace s’activant, grouillis de vie humaine, il détaille les traits en avançant.
Un tricorne, une face connue, le Macaque, seul, semblant patienter. Se diriger vers lui, l’œil pétillant, lèvres tirant étrangement vers le haut. Tête à tête d’accueil, les lombaires se contractent. Il se plante face à lui et le salue du chef.

‘jour Capitaine.
Tout est prêt. Je suppose.


Echo d’une rencontre passée se répercutant en lui. L’allure ne veut tellement rien dire. Il l’a vu.

Montre-moi que tu gères, que je sache qui je sers.

Sourire franc apparaissant, la tête cherchant aux environs les signes de préparatifs en cours. Se douter de devoir se mettre à l’œuvre, espérer qu’une répartition des tâches ne le mène pas à accomplir n’importe quelle besogne.
---fromFREmiliano_
Rajeunir de 10, 20 ans...
Sentir comme autrefois dans ses jambes les fourmis d'excitation remonter le long de ses cuisses.
Le sourire en permanence sur son vieux visage.
Les mains qui fouinent et farfouinent dans ses poches à la recherche dont ne sait quoi.
Prendre la mer...
Perspective tellement alléchante.
Tellement excitante.
De cordages en barre, de mat en fond de calle...
Le bruit d'une ancre jetée à la mer, le roulis des vagues, les tempêtes qui se lèvent.
Nulle peur.
On y passe tous un jour ou l'autre.
Et tout marin souhaite finir en mer...
La terre, c'est bon pour ceux qui ne rêvent pas.
Emiliano est un éternel rêveur. Il a beau avoir l'âge qu'il a, des rhumatismes pleins les doigts, il a beau avoir vécut à lui seul plus d'aventures qu'il n'en faut, à chaque fois c'est la même rengaine.

Baluchon à préparer.
Toujours le même.
Le moindre contours de ses effets personnels, la moindre trace du temps, les yeux fermés, les retrouver...
Un vieux coutelas, que la mer s'échine en vain de rouiller....
Une boussole cabossée de partout, un morceau de corde... Souvenir de son premier voyage en mer...
Une lettre... Lue et relue... Plus torchon que vélin, les mots ayant perdu de leur couleur depuis belle lurette, qu'importe...
Ils sont là... Dans sa mémoire.
La feuille n'est qu'un... une... preuve.
Préparer tout cela, le sourire aux lèvres, caressant chaque chose, une bouteille de vin pour le premier soir, sous les étoiles....

Puis se mettre en route...
En route vers l'aventure. En route vers l'inconnu.
Arriver au bord de Seyne.
Apercevoir un visage aperçu y'a quelques jours. Moustachu.
Chercher l'reste des yeux.
Apercevoir le capitaine, signe de tête genre:
S'lut, t'mas ben vu, j'ai pas encore crevé.
Sourire en apercevant la minuscule embarcation. Si c'est d'ssus qu'il voulait les emmener faire son long voyage, ça risquait d’être ben comique...
---fromFRvegastar
La jeune femme rencontrée sur les halles lui faisait confiance et il l'avait mené jusqu'ici, sur l'un des plus beaux ponts de Paris qu'il avait remarqué en chemin. L'air y etait frais et pur, de plus peu de monde se trouvait sur le pont, c'etait ce qu'il fallait pour cette future maman d'apres lui. Appuyé sur la rambarde il la regardait, un petit sourire au coin des levres, et lui prit la main pour un baise main.

Je ne me suis meme pas presenté tout a l'heure veuillez m'en excuser. Je suis Vegastar, mais appelez moi Vega, c'est plus simple a retenir. Ce coin vous plait j'espere, je ne connais pas Paris, c'est la premiere fois que je viens ici, mais en venant j'avais remarqué ce pont.

Il regardait son ventre et imaginait ce qu'un homme pouvait ressentir en apprenant la venue d'un enfant. A la place du pere de cet enfant il serait aux anges. Voulant discuter et connaitre cette jeune femme qui lui faisait etrangement de l'effet, il se fit sans s'en rendre compte indiscret.

Le papa doit etre comblé..Neammoins c'est pas tres prudent de vous laisser seule venir ici dans cet etat. Faudra penser a lui dire.
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Maelisse@
Un doux frisson lui parcourût le dos quand l homme lui baisa la main, elle la retira doucement et sourit.
Donc cet Homme se nommait Vegastar, nom qui lui allait plutôt bien pensa t elle.
L endroit était charmant, elle aimait les ponts de Paris, trouvait qu’ils avaient un mystère.

L air frai lui caressait le visage, douces caresses sublimées par la tiédeur des rayons de soleil. Elle se sentait bien, et la présence de cet homme l apaisait, sans savoir pourquoi. Maelisse avait déjà connu ça le jour ou elle avait rencontré Sulian...

Elle posa ses affaires, sur le sol et s adossa elle même sur la rambarde du pont, scrutant le paysage, on pouvait voir briller Notre Dame.
Vega lui parla de futur papa et du faite que cela n était pas prudent d aller dans les halles en son état. Elle tourna son regard sur lui pour lui répondre.


Je me nome Maelisse, et le papa est heureux d avoir un enfant certes mais je vis seule, et suis libre d aller ou je veux...

Elle ne pouvait pas lui dire, que cet enfant avait été conçu par viole, d une folie masculine de vouloir un héritier...non pour le moment ne pas s étaler sur ça.

Elle regarda encore Vega, il était vraiment beau...
---fromFRvegastar
Il se sentait troublé par son regard, elle etait belle..meme tres belle et son sourire etait celui d'un ange. Il baissa un instant la tete pour tenter de ne pas faillir sous ce regard de cristal.
Mais il ne put s'empecher la tete en apprenant qu'elle vivait seule, son coeur se mit a battre plus vite, et il plongea son regard ocean dans le sien.

Je vis seul egalement, a Sarlat, je pourrais peut etre vous faire visiter ce petit village du Perigord, je suis certain que vous aimerez..

Il stoppa son invitation, et se sentit un peu honteux de cette proposition rapide, ses joues venaient de rougir legerement. Son regard echappa a celui de Maelisse et se posa sur l'horizon, Notre Dame etait magnifique vue de ce pont.

C'est beau Paris..

Il etait appuyé sur la rambarde, et posa a nouveau son regard sur cette charmante jeune femme.

Vous venez souvent ici Maelisse? eh..puis je vous appelez par votre prenom?
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Maelisse@
Il avait l air troublé, Maelisse sourit intérieurement, elle plaisait encore, même avec son ventre.
Penser visiter le Périgord, lui plaisait, elle était vagabonde et aimait voyager.

Les joues rosies de Vega, le rendait encore plus attirant. Elle ne savait pas pourquoi tout était si naturelle avec lui, mais Maelisse connaissait ce coquin de destin, a vous faire des surprises, au moment ou l on n'y croit plus. Et aussi que quand deux êtres sont fait l un pour l autre, tout était évident.

Maelisse prit la main instinctivement du jeune homme et le regarda.


Sarlat, dites-vous? Je ne connais pas et j avoue aimer visiter les villes que je ne connais pas.

Elle se rapprocha de lui.

J'ai un prenom, donc oui vous pouvez m appeler Maelisse. Je ne suis pas venu a Paris depuis un long moment, cela me manqué je dois avouer.

Elle posa la main sur son ventre et souffla.

Je crois que je vais devoir m assoir...
---fromFRvegastar
Sa main dans la sienne fit naitre un doux frisson qui lui parcourait tout le corps, cette jeune femme avait un charme fou et savait y jouer. Elle semblait si proche de lui, il pouvait presque sentir son souffle se melanger au sien.

Sa main sur son ventre, et ses dernieres paroles lui firent comprendre qu'ils devaient quitter ce merveilleux endroit, pour trouver quelquechose de plus confortable. Il regarda les alentours et vit un banc de l'autre coté du pont.

Je vous propose d'aller nous installer sur ce banc Maelisse, ou sinon nous pouvons voir pour trouver une auberge agreable, peut etre avez vous faim?

Il rapprocha sa main de son visage, elle glissa lentement sur sa joue et prit une meche de ses cheveux pour la replacer derriere son oreille. Ce geste pourtant si banal l'avait comme fait defaillir, son coeur battait la chamade devant cette jeune femme au regard cristal. Son dernier mouvement fut son plus beau sourire pour elle.
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Maelisse@
Non elle n avait pas faim, juste un petit coup de fatigue de fin de journée, normale dans son état. Et non certainement pas une taverne ou il y aurait plein de monde, être la avec lui au calme, elle aimait.

Le temps était doux encore, profiter de la dernière lueur du soleil, même le voir se coucher, spectacle féerique et reposant.

Ils étaient bien la sur le banc, et si la faim venait à faire sentir, elle avait de quoi dans son sac. Pour le moment, ce que Maelisse désirait, c est de le connaître mieux … l inconnu qu’elle pensait connaître depuis toujours. Il avait cet air d enfant que l on a envie de cajoler, mélangé a cette pointe de virilité masculine, qui faisait de lui un homme des plus attirant, mais a qui on voulait faire confiance.

Quand il lui avait effleure son visage elle cru a un moment sentir Sulian, elle frémit… elle ressentait ce qu’elle n avait ressentit depuis bien longtemps.


Si… si nous restions ici encore un peu…je n ai pas faim.

Maelisse le regarde de nouveau, mais que lui arrivait il, elle devenait mièvre, bon sang cela n était pas a son habitude pourtant, était il sorcier ? Paris était elle ville ou Aristote lui donnait l amour ? Puis peut être qu’il était la pour la piéger de nouveau… Maelisse ne savait que penser. Doucement ma belle se dit elle, laisse faire …

Dites moi pourquoi être venu sur la capitale ?
---fromFRvegastar
Il etait troublé lorsqu'il la regardait, mais ne pouvait detourner son regard d'elle trop longtemps. Assis tous les deux sur ce banc, ils admiraient le soleil lentement se coucher, aucune tension autour d'eux, simplement un sentiment de bien etre.

Cette jeune femme qu'il venait a peine de rencontrer, semblait appartenir a son coeur depuis toujours, elle lui donnait cette impression de s'etre deja vu, de se connaitre par coeur, et cette impression l'effrayait autant qu'elle le fascinait. Comment deux etres qui se connaissent a peine pouvaient -ils se sentir si bien ensemble?

Je suis venu a Paris car on m'a dit que je trouverais beaucoup de choses interessantes, et aussi la curiosité, l'envie de voyager, de m'evader de Sarlat..Et quoi de plus agreable que de visiter la capitale du Royaume. J'en suis ravi en tout cas d'etre venu... il la regarda avec un sourire qui sous entendait la raison de son bonheur d'etre la, et vous Maelisse, qu'est ce qui vous amene ici?

Sans vouloir etre entreprenant ou imposant, il deposa sa main sur celle de Maelisse, qui etait posée sur le banc, tout pres de lui. Ses yeux oceans refletaient une certaine maturité melangée a un coté enfant, homme fort mais si fragile. Tout son bien etre etait transposé dans son regard, comme pour le faire partager a Maelisse.
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