[RP] Le lac de Cosne

Bellule

En ce mois d'avril le temps était plutôt pluvieux sur la belle ville de Cosne, les habitants se terraient chez eux ou passaient leur journée dans leur échoppe où ailleurs.. enfin tout ça pour dire qu'on ne croisait pas grand monde dans les rues du village.. Bel était peu sortie aussi, les commandes de vêtements et autres articles étant nombreuses ces jours ci ; cela ne l'empêchait pas d'aller siroter quelques cervoises en taverne à différents moments de la journée histoire de discuter avec les quelques voyageurs qui s'étaient aventurés dans son village natal. Elle y avait fait de belles rencontres d'ailleurs ce qui lui avait rendu le sourire après le départ de ses amis.

Ces derniers jours, le temps s'était radouci, la pluie avait fait place au soleil, sur les arbres les bourgeons laissaient naître des feuilles bien vertes, les oiseaux commençaient à chanter, le printemps s'installer doucement en ces terres reculées de Bourgogne.

Bel profita donc cette journée ensoleillée pour aller faire un tour sur les rives du lac, son lieu favori en été pour la fraîcheur qu'on y trouve, mais très agréable à cette période ci de l'année pour admirer la nature renaître après ces longs mois d'hiver.

Elle marcha donc dans les herbes encore courtes, cueillant les pâquerettes, comme elle pouvait le faire étant enfant, qu'elle plantait les unes dans les autres pour en faire une "guirlande". Boulasse, son chien la suivait, comme toujours, il était tout fou a essayé d'attraper tous les insectes et autres bestioles qui s'agitaient sur le sol ou dans les airs.

Bel aperçut un pêcheur en bord de rive, n'arrivant pas à distinguer qui s'était elle marcha dans sa direction pensant que cela pouvait être Sulfus, lui qui passait ses journées à pêcher. Sachant qu'il ne fallait pas arriver à grands pas pour ne pas effrayer le poisson, elle marcha tranquillement, gardant une certaine distance s'il fallait qu'elle se détourne de cette silhouette si elle ne lui était finalement pas familière..

RP ouvert à tous!!

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Miss Cosne 1456
Adoratrice de Sainte Boulasse
Tisserande à "La Bel'Echoppe"
Souleuse n°3 des Cosnois déchaînés

Dartagnan

Ce jour là, Dartagnan pêchait.
Il avait déposé son épée près de lui et avait plongé sa ligne dans l'eau.
Et puis à force d'attendre, il s'était endormi.

Bellule

Alors qu'elle s'approchait doucement elle distingua mieux la scène, une ligne était à l'eau mais le pêcheur était allongé.. drôle de position pour surveiller sa ligne.. Se disant que quelque chose ne tournait pas rond elle avança encore un peu, un homme qu'elle ne connaissait pas était couché par terre, son corps semblait inerte.. Bel eu une pensée terrible s'imaginant qu'il avait pu avoir un malaise, elle se pencha alors sur l'homme et lui parla espérant qu'il ne soit quand pas mort...

" Ouh ouh messire!! "

Bel attendait une réaction avant d'entreprendre de le secouer un peu...
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Sulfus

Sulfus pris sa canne et sortit de sa chambre d'hôtel et comme tout les jours depuis son arrivé dans la ville il alla au bord du lac

Arrivé près du lac il cru reconnaitre Dame Bellule il se rapprocha pour la salué.

Bonjour comment comment allez vous Dame?

Il ne fit pas attention à l'autre pêcheur

Bellule

Alors qu'elle était penché sur cet homme inerte, une voix l'interpella derrière elle, voix qu'elle connaissait, elle tourna la tête et sourit en voyant Sulfus. Elle se leva pour le saluer.

" Bonjour Sulfus, je vous ai dis, Bellule, ou Bel suffit, pas de Dame, ça me vieillie!! Et je vais bien, merci!! Pas comme cet homme là.. je me demande s'il est pas mort.. "

Bel désigna l'homme au sol se décalant pour que Sulfus puisse le voir aussi.

" J'ai eu beau lui parler, il répond pas.. vous le connaissez?? "
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Dartagnan

Dartagnan d'ouvrir un oeil, écoutant les zozios autour.
D'ouvrir les oreilles sans bouger, "ah ben non, ce ne sont pas des zozios"
D'ouvrir le second oeil, et tendant a main vers son épée "des brigands sans doute"
D'ouvrir le second oeil : "ca va ma bourse est encore là"

De se redresser doucement sans se faire remarquer.

Une blonde eh oui encore une et un type sans allure.
"Bon pas de danger en tous cas rien que je ne puisse affronter"

Poser la canne à pêche, se lever et saluer en montrant bien son arme quand même au cas où.

Bonjour msieur dame.
Beau temps pour une promenade.

Bellule

A peine sa phrase finie que Bel sentit du mouvement, elle jeta un œil à terre pour voir cet homme, et tomba sur ses pieds.. elle releva les yeux jusqu'à son visage.. il s'était levé et leur parlait comme si de rien, Bel haussa un sourcil en l'écoutant. Elle remarqua qu'il tenait son arme, ce que Bel trouva louche.. encore un persécuté.. ou un apprenti brigand..
Elle le salua tout de même et lui répondit :

" Bonjour Messire... oui beau temps pour une promenade... pour une sieste aussi visiblement... "

Bel n'en dit pas plus, elle aurait pu se présenter c'est vrai mais elle n'avait pas un bon ressentit envers cet inconnu, à tort peut être, mais un sentiment ne se contrôle pas, et préféra le laisser parler, ou partir, comme bon lui semblera..
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Dartagnan

as de zozio, pas de blonde non plus.
Juste une dame. Jeune, moins jeune, difficile à dire.
Dangereuse ou pas, impossible à deviner.
Mais bon, ça reste une femme.
Et le jeune bretteur de faire un léger sourire et d'esquisser une inclination de tête.

Je me nomme Dartagnan.
Oui la pêche c'est bien mais c'est ennuyeux. C'est pour ça que je me suis endormi.
Je vais plutôt aller me promener et faire le tour du lac.
Si vous voulez m'accompagner, je saurai vous protéger grâce à mon épée.

Sulfus

Sulfus entendit un homme mort.

Il regarda l'homme a terre qui ouvrit un oeil puis le deuxième et il se mit a parlé.

Ah il parle je pense pas qu'il soit mort ou ...

Sulfus le regarda sans rien dire.

L'homme proposa à Bel de l'emmener se promené.

Sufus chuchota à Bel:

Partir seul avec un inconnu armé serait t'il prudent

Bellule

Bel sourit à la remarque de Sulfus qui se faisait protecteur, il n'avait pas tord remarquez, cela pouvait être dangereux de partir avec un inconnu d'autant qu'il ne semblait pas si détendu pour quelqu'un qui venait de piquer un somme. Néanmoins il se présenta et se montra plus agréable.

" Enchantée Dartagnan, moi c'est Bellule et voici Sulfus. Je comprend que la pêche puisse vous ennuyer mais c'est tout de même agréable de traquer le poisson et de réaliser une belle prise.. enfin après chacun ses goûts..
Et merci pour la promenade, j'étais moi même en train de me balader et je vous suivrais volontiers si Sulfus nous accompagne.. après tout plus on est de fous plus on rit.. "

Elle regarda Sulfus essayant de lui faire comprendre qu'il devait venir aussi ne se sentant pas d'y aller seule et voulant aussi qu'il profite de cette belle journée pour ne pas rester seul.
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Sulfus

Sulfus était au lac plus pour pêcher que se promené mais en voyant le regard de Bel il comprit qu'elle souhaitait pas y allé seul et comment refusé quelques chose a Bel

Il accepta de l'accompagner

Si le sir est d'accord pour je vous accompagne, la pêche est un loisir qui peut attendre.

Dartagnan

Dartagnan décida qu'il allait faire confiance à ces deux-là.
Il rangea son épée dans son fourreau et sourit aux deux inconnus.
Puis il remballa son attirail de pêche.

Bien entendu, plus on est de fous, plus on rit. Marchons donc ensemble.
Et ne craignez rien, mon épée est à votre service. Si l'on tombe sur des brigands, je saurais m'en servir.

Bellule

Bel fût soulagée et ravie de voir que Sulfus acceptait l'invitation. Elle regarda donc Dartagnan qui accepta aussi, parfait, de plus il se décida à ranger son épée, il n'avait pas l'air bien méchant finalement.
Le trois compères étaient donc près pour une ballade en bord de rive, elle leur emboita le pas et c'est sereine qu'ils entamèrent la marche, par contre pas facile d'entamer une conversation, elle connaissait que très peu Sulfus et venait à peine de rencontrer Dartagnan.. mais il fallait bien se lancer pour ne pas que cette promenade devienne pesante par son silence.

" Oh vous savez avec tous les militaires qui se trouvent en ville je pense que les brigands ne seront pas de sortie.. mais bon c'est certain que c'est toujours mieux d'avoir de quoi se défendre, au pire votre épée pourra nous servir pour attraper un faisan.. enfin, vous êtes bon chasseur messires?? "
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Dartagnan

Oh vous savez, je ne suis pas un militaire.
Mon épée me sers uniquement contre les malfaiteurs. Mais je l'utilise rarement, Elle fait si peur qu'il suffit que je la montre pour que mes adversaires se calment.
C'est un objet qui me vient de mon père. J'y tiens beaucoup.

Bellule

Bel, accompagnait de ces deux jeunes gens, marchait le long de la rive en regardant le paysage qui s'offrait à eux tout en discutant.

" Oui ça se comprend, personne n'aime faire face à une personne armée, on ne sait jamais les intentions des gens..
Donc elle était à votre père?? Hum... je comprend pourquoi vous ne la lâchez pas, mais à Cosne je ne pense pas que vous en aurez besoin.."

Boulasse était tantôt en avant, tantôt en arrière à fouiner sous les haies ou a courir après des papillons.. Les trois cosnois marchèrent ainsi une bonne partie de l'après midi, puis se quittèrent à l'entrée du village où chacun rentra chez soi.
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Le lac de Cosne

Bellule

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Dartagnan

Ce jour là, Dartagnan pêchait.
Il avait déposé son épée près de lui et avait plongé sa ligne dans l'eau.
Et puis à force d'attendre, il s'était endormi.

Bellule

Sulfus

Bellule

Dartagnan

Bellule

Dartagnan

Sulfus

Bellule

Sulfus

Dartagnan

Bellule

Dartagnan

Bellule

Eden_blue

Après avoir festoyé en ville dans une auberge au lumière douce et accueillante, j’allais m’assoire sur le bord de la Loire en attendant le moment du départ. Insensiblement la lune se leva, l'eau devint plus calme, on entendait juste le petit claquement des vagues sur une barque posée non loin de moi.

C’est à ce moment qu’une irrésistible envie d’aller dans celle-ci me prit. Regardant autour de moi, comme si j’allais faire quelque chose d’interdit, je m’y installais confortablement sans bruit afin de ne pas retrouver mon postérieur dans l’eau.

Un profond silence s’installais au même moment de mon assise au milieu de la barque. Le bruit égal et mesuré des rames m'excitait à rêver. Le chant assez gai des bécassines, me retraçant les plaisirs d'un autre âge, au lieu de m'égayer, m'attristait. Peu à peu, je sentis augmenter la mélancolie dont j'étais accablée. Un ciel serein, les doux rayons de la lune, le frémissement argenté dont l'eau brillait autour de ma silhouette, le concours des plus agréables sensations, la présence même de celle-ci, rien ne put détourner de mon cœur mille réflexions douloureuses.

Je commençais par me rappeler une promenade semblable faite autrefois durant le charme de mes premières amours. Tous les sentiments délicieux qui remplissaient alors mon âme s'y retracèrent pour l'affliger ; tous les événements de ma jeunesse, nos entretiens, nos lettres, nos rendez-vous, nos plaisirs…

Ces petits rien qui m'offraient l'image de mon bonheur passé, tout revenait, pour augmenter ma misère présente, prendre place en mon souvenir. S'en est fait, disais-je en moi-même ; ces temps, ces temps heureux ne sont plus ; ils ont disparu à jamais. Hélas ! Ils ne reviendront plus ; et nous vivons, et nous sommes ensemble, et nos cœurs sont toujours unis ! Il me semblait que j'aurais porté plus patiemment sa mort que son absence, et que j'avais moins souffert tout le temps que j'avais passé loin de lui.

Quand je gémissais dans l'éloignement, l'espoir de le revoir soulageait mon cœur. Je me flattais qu'un instant de sa présence effacerait toutes mes peines ; j'envisageais au moins dans les possibles un état moins cruel que le mien. Mais se trouver auprès de lui, le voir, le toucher, lui parler, l'aimer, l'adorer, et presque en le possédant encore, le sentir perdu à jamais pour moi ; voilà ce qui me jetait dans des accès de fureur et de rage qui m'agitèrent par degrés jusqu'au désespoir.

Bientôt, je commençais à faire rouler dans mon esprit des projets funestes, je frémis en pensant à la tentation de me précipiter dans les flots, et, de finir dans ses bras ma vie et mes longs tourments. Cette horrible tentation devint à la fin si forte, que je fus obligé de quitter brusquement là où je m’étais assise pour passer à la pointe de la barque.

Là mes vives agitations commencèrent à prendre un autre cours ; un sentiment plus doux s'insinua peu à peu dans mon âme, l’attendrissement surmonta le désespoir, je me mis à verser des torrents de larmes, et cet état, comparé à celui dont je sortais, n'était pas sans quelques plaisirs. Je pleurais fortement, longtemps, et fus soulagée.

Quand je m’en trouvais remise, serrant contre mon cœur ce mouchoir fort mouillé, je relevais lentement mon visage vers la clarté de la lune, et fit tomber la dernière larme dans les flots scintillants. Mon souhait le plus cher serait-il exaucé ? Mes prières entendues….

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Almandian

Almandian aimait passer prés du lac.
Le chemin était agréable et la vue imprenable, reposante.
Quelle ne fut pas ça surprise lorsqu'il vit Eden, rencontrée la veille en taverne.
Il hésita un instant puis alla la rejoindre.
Le destin fera le reste ...

Bonjour Eden

il lui sourit. Eden se retourna surprise de cette seconde rencontre.
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Eden_blue

Mon regard perdu dans cette immensité d’eau où se reflétait le ciel comme dans un miroir se détourna brusquement au son de la voix que je venais d’entendre. J’essuyais rapidement mon minois au teint de porcelaine en me piquant le haut des joues afin de redonner à celui-ci plus de gaieté. Il fallait que je sois présentable en toute occasion, cacher le moindre soupçon de cette mélancolie qui venait de me prendre par surprise.

Mes yeux se posèrent sur la silhouette masculine qui s’approchait lentement de moi, et, reconnu au fur et à mesure de son approche Almandian. C’est alors que j’esquissais un sourire en inclinant légèrement la tête :

Bonsoir…Al…Vous vous promenez au clair de lune…vous aussi... ?

Revenant au milieu de la barque lentement, je me concentrais sur le fait de ne pas me prendre les pieds dans mes jupons pour ne pas me donner en spectacle. J’imaginais déjà la scène d’ici, tombée à l’eau malencontreusement et sauvée des flots par ce gentilhomme qui m’aurait vaillamment porté jusqu’à la rive en m’y posant délicatement en me réveillant par le bouche à bouche habituel du sauvetage.

Arrivant au milieu de la barque, non sans mal par le remue des vagues et de mes pas, je lui tendis la main afin qu’il puisse m’aider à le rejoindre sur la terre ferme. Sourire aux lèvres en attendant sa précieuse aide, je mis mon pied instinctivement sur le rebord de la barque.

Pouvez-vous m’aider à ressortir de cette barque sans que je ne sois obligée de faillir dans l’eau ?

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Almandian

Almandian, voyant la barque légérement tanguer, s'exécuta rapidement et attrapa la délicate main...
mais au moment où le pied d' Eden se posa sur le rebord de l'esquif, celle ci bascula vers l'avant et tomba dans les bras du jeune homme.
Ou la ... attention à vous

il lui sourit.
Ce court instant, où la belle se retrouva entre ses bras, parut être une éternité.
Comme ces petits moments où le temps s'arrête de tourner, mais que l'on arrive à savourer.
Elle est légére comme une plume se dit- il. Et la reposa aussitôt sur le sol.
Il ne pouvait s'empêcher de la regarder ... il sentait en elle une vive émotion.
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Marine.

La rouquine se promenait bien évidemment dans Cosne pour un peu découvrir le paysage qu'elle connaissait que trop peu. Elle avait entendu dire qu'il y'avait un lac donc c'est tout naturellement qu'elle se dirigea pour regarder et juste regarder les flots. Peut-être qu'elle arriverait à dépasser cette peur de l'eau...Mais ça allait être difficile car en plus, elle ne savait pas nager.
Le coeur tambourinant dans sa poitrine elle marcha vers le lac mais plus elle avançait plus elle sentait comme une boule dans son estomac, elle se mit à trembler. Une sensation de vertige commençait à augmenter quand soudain son regard se posa sur Almandian et Eden qu'elle ne reconnut pas tout de suite, elle ouvrit de grands yeux quand elle vit cette dernière tomber dans les bras du blond. Là Marine Blanche oublia son malaise presque immédiatement. Restant à bonne distance afin que les deux interessés ne la voient pas, elle se mit à réfléchir sur ce qu'elle devait faire !

Son regard bleu se posa sur la boue présente devant elle, elle en prit une bonne poignée qu'elle mit dans ses poches pour ensuite monter discrètement dans un arbre. La petite pestouille en rigolait déjà d'avance ! Elle ressortit une petite poignée de boue qu'elle fit une petite boule avant de lancer sur Almandian puis elle reprit une autre poignée pour en lancer sur Eden !

Alala ! La vie était quand même belle depuis qu'elle avait fugué, hein. Pour sûr qu'elle avait une bonne dose de rebeillon en elle ! Et faut dire que la rouquine, c'est pas le genre à s'en cacher !

Marine mit ses deux mains devant sa bouche pour éviter de rire trop fort pour pas que les deux personnes savent où elle était.

Pour brouiller les pistes, elle décida d'imiter le bruit du hibou car le hibou étant un animal sauvage, il ne risque pas d'être près d'un être humain. Elle esperait que les deux bougres aient la même logique. Toujours les deux mains devant la bouche, elle éffectua le cri :

HOOOOOOOOUUUUUUU HOOOOOOOOOOOOUUUU

Eden_blue

Donnant volontier ma main à ce bel âtre, je ne pouvais qu’approuver cette délicate attention.

Merci….cher ami…

Mes deux pupilles vertes sondaient les siennes avec intensité. Je trouvais dans cet homme un charme certain malgré son assurance. Beaucoup de femmes devaient se pâmer devant l’élégance et le raffinement de ses traits. Beau blond aux yeux clairs…qui ne pourrait y succomber.

Lorsque tout d’un coup, nos visages et corps récurent de la boue. Riant à ses côtés, je ne pu m’empêcher de lui prendre le bras, bien bâti au passage afin de lui proposer ceci :

Vous avez vu….Il pleut de la boue…Nous sommes bien obligés d’aller nous trempez maintenant…Un bain de minuit, vous serait-il agréable à mes côtés ?

Ni une, ni deux….J’enlevais mes vêtements pour ne garder qu’une longue chemise blanche ouverte sur les deux côtés laissant à sa vue le haut de mes cuisses galbées. J’inclinais légèrement ma chevelure sauvage sur le côté afin de les remonter pour laisser la brise me caresser la nuque. Je lâchais son bras en courant en direction du Lac, l’eau était quelque peu fraîche mais je préférais encore être lavée de cette boue gluante que de rentrer comme ca à l’auberge. Je me tenais devant lui à moitié ensevelit dans cette eau qui brillait de mille feu.

Allez Al….Venez donc….

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Almandian

Almandian était troublé par la beauté d' Eden.
Il ria de cette situation.
Lui, la boue plein les cheveux, le sourire au coin des lévres.
Elle, magnifique de naturelle , une chemise légère effleurant sa peau ...

La proposition était trop belle ... et puis pourquoi se mettre des barriéres?
Almandian était du genre à n'écouter que son coeur et à saisir l'instant présent.

Avec plaisir Eden
Il se mit torse nu puis se laissa guider par la belle ...
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Eden_blue

Je ne pu évidement retenir mon regard qui se posa immédiatement sur sa peau ainsi dévoilée. Quoi de plus sensuel que d’admirer un court instant le torse frissonnant d’un homme perlé d’eau. Les plaisirs les plus simples ne sont-ils pas les meilleurs.

A son approche, je m’immergeais totalement dans l’eau afin d’enlever rapidement cette boue. Relevant la tête hors de l’eau, je pris appuis sur mes jambes pour le prendre par surprise derrière son dos, agrippant son cou et ses épaules afin d’essayer de le faire tomber à la renverse. Mais costaud le gaillard… C’était peine perdue. Je me résignais en lui lâchant délicatement le cou auquel j’étais pendue.

Placée sur le côté, sourire en coin, un sourcil relevé et l’œil aguerri, je ne me considérais pas encore vaincue au côté de ce molosse aux pieds d’argile.

BATAILLEUUUUUUUUUU !!!!!!!!!!

Suivant le geste à la parole en riant aux éclats, je pédalais avec ferveur dans l’eau pour l’éclabousser autant que possible. Essayant de me débattre quand celui-ci riposta à la hâte pour m’engloutir au fond des eaux. Nous passâmes un bon moment, jouant innocemment à qui allait noyer l’autre en premier. Evidemment, Al a gagné largement !

Sourire aux lèvres et éclats de rire partagés, nous gagnons le rivage afin de reprendre notre souffle ainsi que nos affaires. Quand tout à coup, j’entendis les pas des sabots de chevaux claquants sur les pavés jouxtant le bord du lac.

L’heure du départ et des adieux étaient proche. Je m’avançais alors près d’Al, grimaçant quelque peu de ce court moment qu’on avait partagé mais qui laissera un souvenir indéniable aux saveurs divines de boue sucrée et fraîchement accueillie. Déposant un baisé sonore sur sa joue, je me mis dans ses bras une dernière fois lui faisant une accolade amicale.

Je…Je dois partir….Al…Prend soin de toi…et qui sait…un jour nous nous reverrons…et cette fois je te mettrais la pâtée …. sourire aux lèvres.

Je m’éloignais du rivage doucement en lui faisant un dernier signe de la main, laissant les vagues emporter au loin mes souvenirs d’antan.

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Almandian

Aprés l'insouciance, le retour à la réalité.
Ce moment, de fraicheur et de joie partagée, restera à jamais dans la mémoire d'Almandian.

Prend soin de toi aussi Eden ... et merci pour ce moment passé ensemble !
Ils echangérent un dernier sourire , un dernier regard ...
Almandian la regarda jusqu'à ne plus la voir. Il inspira profondement et reprit son chemin ...
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Marine.

Toujours dans l'arbre, la petite rouquine avait une de ses envies de les embêter mais ils étaient dans l'eau ! Dans l'eau ! Alors elle risquait pas d'y aller donc c'est en rouspetant qu'elle resta à les regarder avec une certaine pointe de jalousie ! Car ils s'amusaient, eux, hein !
Aaaaaaah quelle idée aussi de leur jeter de la boue ! Elle aurait dû pousser Al dans l'eau ! Ca aurait été beaucoup plus marrant pour elle, hein ! Tss ! La rouquine manquait d'imagination parfois !

Marine Blanche entendit aussi que c'était l'heure du départ donc quand ils partirent, elle partit rejoindre Eden.

Bellule

Après s'être arrêtée devant l'arbre où se trouvait le jeu de l'histoire sans fin, Bel continua sa balade nocturne sur les rives du lac. Tout était si calme, si reposant, seuls résonnaient le cri de quelques bestioles et l'écoulement de l'eau, Bel qui aimait l'animation des tavernes, aimait tout autant ces instants sereins où elle avait le sentiment d'être seule au monde, admirant ce spectacle magnifique que lui offrait la nature.
Elle marcha là un moment avant de s'asseoir dans l'herbe fraîche de la nuit, s'allongeant et mirant les étoiles qui brillaient dans le ciel. Bel pensait à tout un tas de choses, de la nostalgie à ses envies futures.. a des choses agréables, et d'autres moins plaisantes mais tout ça dans une certaine légèreté qui l'a laissée dans un certain bien-être...

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Miss Cosne 1456
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Almandian

Fourbu de sa longue journée, Almandian passa prêt du lac pour se dégourdir un peu avant de rentrer chez lui.
Quelle ne fut pas sa surprise quand il aperçut Bellule allongée sur l'herbe, à l'endroit où précisément ils avaient fait leur premier pique nique ensemble.
Quelle coïncidence amusante ... décidément le destin savait toujours les retrouver... Il s'approcha et s'allongea à ses côtés ...

Bonsoir Belle Demoiselle ...
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Bellule

Perdue dans ses pensées, les yeux rivés dans le ciel étoilé, Bel était à milles lieux d'imaginer que quelqu'un pouvait arriver jusqu'à elle, et c'est pourtant ce qui arriva.. Bel n'avait pas entendu un bruit, et ce "Bonsoir belle demoiselle" la fit sursauter, l'adrénaline faisait battre son coeur à toute allure et c'est d'un coup sec qu'elle se redressa, se retrouvant ainsi assise aux côtés de ce jeune homme qu'elle reconnu tout de suite, soulagée que ce soit lui d'ailleurs, elle était là à le regarder une main sur la poitrine comme pour "tenir" son coeur qui se calmait peu à peu.

" Han!! tu m'as fais peur!! "

Il s'était allongé comme si de rien, un sourire sur ses lèvres qui brillaient dans cette demie obscurité. Elle finit par lui sourire, la peur du moment étant partie, et se pencha sur lui afin de lui déposer un baiser.

" Alors beau blond!! On s'amuse à faire peur aux jeunes demoiselles!! "
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Almandian

Al sourit à la réponse de la belle. Il la regarda dans les yeux.

Peur? ... oui j'ai l'âme d'un vampire .. capable de s'approcher lentement de ses victimes le soir tombé ... et de les sucer jusqu'à la mort ... éh éh!

A ces mots, il l'attrapa et lui embrassa le coup ...
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Bellule

" Jusqu'à la mort.. hum.. tu ne pourrais pas me tuer!! Je suis si.. irrésistible que tu ne pourrais te passer de moi!! "

Elle lui lança un sourire coquin, sachant qu'il avait très bien comprit de quoi elle parlait et lui déposa un baiser.
Elle s'allongea ensuite contre lui, la tête posée sur son épaule, ils contemplèrent à deux ce ciel étoilé sans dire un mot, profitant de ces derniers moments passés ensemble avant une longue absence.
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Enelia

Enelia attendait sa cousine au bord du lac.
En cette journée d'août, il faisait très chaud, et elle décida de se rafraîchir un peu en attendant la venue d'Ascadellia.
Elle ôta donc ses chausses et ses bas, et s'assis au bord de l'eau, y trempant ses pieds.
Touffu gambadait autour d'elle, mais lui aussi semblait avoir chaud. Il ne trouva rien d'autre à faire que de sauter dans l'eau, éclaboussant la jeune fille au passage.
Soudain, un bruit de pas se fit entendre derrière elle...
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Elena...

Ascadellia vit sa cousine Enelia de loin.
Elle s'approcha d'Enelia en douceur. Flocon s'avança vers le lac, puis il bondit dans l'eau en nageant vers Touffu.

Bonjour Enelia ! Tu vas bien ? fit Ascadellia.

Elle aussi enleva ses chausses et elle plongea dans l'eau et s'amusa avec son chien.
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Enelia

Oui, je vais bien et t...

Enelia ne continua pas sa phrase, toute surprise par le plongeon de sa cousine. Mais c'est qu'Ascadellia avait eu une excellente idée ! Après tout... Il n'y avait personne, et elle avait chaud...
Elle se cacha derrière un buisson, ôta prestement ses braies, et courut dans l'eau, uniquement vêtue d'une courte tunique en lin. La jeune fille imita sa cousine, et sauta la tête la première dans l'eau fraîche du lac.

Hmmm, ça fait du bien ! s'exclama-t-elle en sortant la tête de l'eau.

Elle se mit à rire et éclaboussa Ascadellia.
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Elena...

Ascadellia vit Enelia sauter dans le lac. Et sa cousine l'éclaboussa.
Elle secoua ses cheveux.

Oooh, Enelia, tu m'as éclaboussé. fit-t-elle.

Ascadellia plongea sous l'eau et regarda les poissons nager. Elle remonta à la surface et sortit de l'eau pour prendre un bâton et le lança à son chien.
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Oscar_w.

François avait pour habitude- après son indispensable Chiporhum !- de fair un petit tour revigorant dans l'air frais du matin, au bord du lac généralement désert à cette heure matinale...

Aussi qu'elle ne fut pas sa surprise en entendant les rires cristallins de deux femmes, jeunes assurément, qui semblait s'ébattre dans l'eau...

Il décida de continuer sa route mué il faut le dire par une certaine curiosité...qui vira vite à la confusion lorsqu'il les aperçut en tenue d'Eve !
Ne sachant trop quelle conduite tenir dans cette situation fort embarassante, il se mit à tousser comme un poitrinaire, espérant attirer l'attention des deux (fort jolies) dames.
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Elena...

Ascadellia vit un homme de loin, et se cacha. Elle tapota l'épaule de sa cousine Enelia.

Enelia, cache toi ! Il y a un homme près du lac, cache toi il va te voir et nous nous sommes dévêtues ! s'exclama-t-elle à sa cousine au bord du lac.
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Elena...

Elle vot l'homme partir, et saa cousine aussi. Puis elle dit à sa cousine :
Je reste ici ! Bisous !
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Chocapics

Chocapics s'approche doucement du lac, en effet on lui avait souvent parlé de ce beau petit coin de paradis et il ne pouvais l'éviter en étant de visite à Cosne.

Elena...

Ascadellia vit Chocapics. Toute contente, elle lui fait signe de venir auprès d'elle.
Mon Choca ! Tu es là ! Je suis contente de te voir au lac ! As-tu vus ma cousine, une blonde ?
Je t'aime tellement, tu m'as tellement manqué ! Je t'adore !
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Chocapics

Entends Ascadellia et la rejoint avec un grand sourire, allant d'une oreille à l'autre
Dellia ! Tu m'as manqué aussi tu sais ! Vivement que cette fichue guerre se finisse, en tout cas ce lac est un petit coin bien paisible quand on sait que partout la guerre éclate... Et non, je n'ai pas croisé de blonde par ici !

Elena...

Ascadellia voit Choca se raprocher.

Ah, tu n'as pas vu ma cousine Enelia. Oui, c'est vrai que c'est un endroit très paisible. Quand la guerre sera finie, et bien nous allons allez à Compiègne, et peut etre apres à Dieppe.
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Chocapics

Chocapics prends Ascadellia dans ses bras et la serre fort, le nez collé dans sa nuque, s’enivrant de son parfum.

Oui je te suivrais où tu voudras, être avec toi me suffit, peu importe où ! Mais il faut attendre la fin de la guerre malheureusement...

Wendoline

Elle était arrivée la veille, à la fin de la nuit et avant d'aller prendre un peu de repos, elle avait lancé ses lignes sur le lac.

Puis ce dimanche matin elle prit à nouveau la direction du lac. Des envies de promenade alors que le jour pointait, seule elle marchait lentement le long de la berge. Elle songeait à cette guerre qui n'en finissait pas, qui épuisaient les valeureux défenseurs et inquiétaient les épouses, fiancées, compagnes, amantes...

Elle prit une brindille qu'elle porta à sa bouche et la coinça entre ses dents laissant échapper un léger soupir....

Alors qu'elle s'approchait d'un ponton, elle surprit des voix. Machinalement elle sourit, elle n'était pas seule à apprécier le calme du matin.

Prudemment elle s'approcha et aperçut à quelques pas, un couple qui lui tournait le dos.
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Oscar_w.

François et Medeline avaient décidés d'organiser la fête et la cérémonie de leur mariage au bord du lac.
François avait déja commencé à tout préparer :

http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1784905

Et venait repérer les lieux pour trouver un grand espace plane et ombragé...après nombre de Chiporhums il ne faudrait pas que le soleil cogne trop fort sur les têtes de Cosnes et d'ailleurs...

Se détournant du couple dont la voix féminine lui était familière et ne voulant pas les déranger, il tomba nez à nez avec une dame qu'il ne connaissait pas...
François lui fit un sourire et décida d'engager la conversation.

Hé bien ! Que de monde sur ces berges ce matin !
Que diriez-vous de prendre le frais en ma compagnie ?
Ho ! Au fait !
Je suis François...n'avez vous point vu un endroit pour organiser une grande fête d'où vous venez ?
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Elena...

Ascadellia vue François, elle fesa signe de venir.
Oh, cher François, vous êtes là ? C'est une bonne compagnie qu'on a là ! Je pense que je n'ai pas besoin de vous présenter "Chocapics" ! Car, je vous en ai beaucoup parlé c'est temps ci ! Et puis vous m'aviez hier en taverne que vous vous connaissiez déjà ! Je suis là depuis longtemps, a vrai dire, j'adore ce lac, il est magnifique et paisible comme le dit mon amour ! La guerre est venue vers Cosne, elle est d'ailleurs à Cosne, d'apres mon Choca !
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Oscar_w.

Souriant, François lui fit la bise...et à Chocapics également.
Tempérant les propos d'Ascadelia, il lui dit :

Tu sais, heureusement que la guerre n'est pas encore à nos portes !
Mais...je croise les doigts : j'aime vivre paisiblement !

Lui souriant toujours il ajouta :

Oui je connais ton Chocapics...et en ai fort entendu parler !

J'ai justement une fiole de Chiporhum sur moi...celà s'arrose !

Puis après en avoir bu une large rasade, il essuya le goulot avec sa manche, les invitant à partager le délicieux breuvage...
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Elena...

Ascadellia écouta François.
Elle répond :

Oui, c'est vrai que heureusement la guerre n'est pas à nos portes ! Ma cousine m'a dit que : "La guerre est en Champagne, mais la elle est vers Reims, une capitale, je crois, et si il combatte Reims,et si il gagne, toute la Champagne est Artésienne !" Dire que je veux aller à Compiègne, mais ce n'est pas grave, je m'en fiche du moment que je suis avec ma cousine Enelia !
Elle lui rend le sourire.

D'accord, petit cachotier !
Oh, tu as toujours une fiole de Chiporhum sur toi, non ?!
Elle accepta la fiole, puis elle réessuya le goulot, puis elle but, contente.Puis, elle enleva ses chausses, puis elle trempa ses pieds dans le lac.[/

Merci, pour ton Chiporhum !
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Medeline

X = 16
Y = 19
Qualité : 130 %

c''est la meilleure place avec une braque.

Elena...

Ascadellia vit Medeline.

Ah bon ? Et ça rapporte combien de poisson ? Mais, surtout il faut aussi de la force...
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--Levieuxgeorges

Le vieux Georges avait décidé de profiter du frais au bord du lac et se promenait tranquillement...en titubant sérieusement !

Il aperçut un jeune tendron et décida de tenter sa chance...

Holà ! ben l'bonjour la belle !
Moi c'est Georges, hé,hé !
Menestrel de mon état et ben vert encore malgré mon jeune âge...
Viendrez-vous visitez le bois en ma compagne ?

Il tenta alors de mettre sa main aux fesses d'Ascadellia mais ne réussit qu'à lui envoyer une sérieuse bourrade dans le dos qui projeta la d'moizelle fort loin dans le lac !

Ben désolé p'tite dame !
D'autant que chais point nager pour aller vous récupérer !

Elena...

Ascadellia vu le sire.

Bonjour "Georges".
Je suis Ascadellia !
Euh... Je ne sais pas peut être...

Ascadellia tomba dans l'eau à cause du geste malheureux de cet homme, elle en resta bouche bée.

Oh, ce n'est pas grave du tout, je sais nagée, heureusement, je sais nagée !
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--Levieuxgeorges

Le vieux Georges voulut tout de même voler au secours de la damoizelle !
Avisant et long bâton qui trainait là, il lui cria :

ACCROCHE TOI MA POULETTE !

et tenta de l'atteindre...hélas il tapa une fois à gauche, l'autre à droite...la troisième fois fut la bonne !
Malheureusement au lieu de lui tendre le bâton, il lui mis un violent coup sur la caboche, qui la fit couler dans les profondeurs du lac !

ben ça morbleu, mer... alors ! j'étais pourtant sûr d'avoir bien visé, pis j'ai juste bu 2, 3...heu 12, 25 verres !

Elena...

Ascadellia vu Georges lui tendre un baton, elle esseya de l'attraper

AIE ! Au sec... blouppp

Ascadellia tomba dans les profondeurs du lac
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Pestouille

Pestouille qui passait par là.. l'était partout la gamine..vit le vieillard donner un grand coup de baton à quequechose au bord du lac

Elle courut vite voir ... une énorme masse glissait au fond de l'eau

Georges Georges faut appeler Thema c'est un specialiste des grosses morues

Elle se mit à hurler tout en se dirigeant dans le village

Themaaaaaaaaaaaaaaa

Pestouille

Elle avait beau s’époumoner à hurler le nom de Thema celui la ne venait toujours pas

Bin... heu ....où l'est passé encore cet énergumène ?? à courir la gueuse encore ??

Elle revint au bord du lac et donna des coups de pied dans le postérieur du vieux Georges qui cuvait son vin , allongé dans l'herbe , en ronflant bruyamment

Dis lvieux aide moi ! je vais prendre ma lange et mettre un hameçon au bout et on va pêcher la grosse bebette qui est dans l'eau, faudra m'aider à tirer

Chocapics

Chocapics qui était avec Ascadellia il n'y a pas longtemps se demanda où elle était passée. C'est en entendant la petite crier sur le vieux qu'il comprit que c'était Ascadellia le poisson qu'elle voulait pêcher. Il se déshabilla alors, s'approcha de la petite, et lui tendit ses habits

Garde moi ça petite !

Sans attendre la réponse, Chocapics plongea au fond de l'eau et alla chercher Ascadellia

Elena...

Ascadellia sortit de l'eau dans les bras de chocapics
Respire un bon coup, puis crache de l'eau et dit :

-Merci beaucoup mon amour ! C'est à cause du vieux Georges ! Il est bouré et sans faire expres il m'a fait tombé dans l'eau !!! Je le déteste !
Toi seul à bien voulu me sorti de l'eau ! Tu es mon HEROS !!!

Elle l'embrasse langoureusement, puis lui fait un calin, elle pose sa tête contre l'épaule de chocapics
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Pestouille

L'homme sans rien lui demanda lui colla ses vêtements dans les bras

Hey !c'est fort en chocolat ça , faut pas tgéner ptit gars!

Elle jeta les vêtements sur lvieux georges et regarda le couple s'embrasser ...attendrissant....cela lui faisait penser à un comte de fées ...ils furent heureux et eurent une sacrée marmaille

--Levieuxgeorges

Le vieux Georges fut brutalement éveillé par un tas de vêtement qui sentaient bizarre...on aurait dit du savon, jetés sur lui !

Levant la tête il aperçut d'abord la petite dame , sortie nue du lac, qui embrassait fougueusement un jeune blanc-bec !

Puis la petite peste qui l'avait mordu aux fiançailles de...il eu un trou...enfin bref aux fiançailles...
Il l'attrapa prestement et lui relevant sa chemise lui flanqua une bonne fessée pas volée !

Puis il se posta derrière un bosquet et regarda avec gourmandise les amoureux se livrant à des pratiques solitaires hélas...

Elena...

Ascadellia n'est pas nue !!!!!! elle est tombée dans avec ses habits !!!!!!!

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Oscar_w.

François fut attiré par les cris de Pestouille...
Se trouvant sur l'autre rive du lac, il du en faire le tour...

Quelle ne fut pas sa surprise en arrivant de voir Chocapics nu, faisant des câlins à Ascadellia, le vieux Georges donner la fessée à Pestouille avant d'aller faire des choses inavouables dans les buissons...

Il en resta bouche bée et fut stoppé net dans son élan...
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Kraft_

Quelques timides rayons de soleil avait attiré Kraft aux abords du lac, il aimait marcher paisiblement le long de l'eau afin de se ressourcer un peu.

Quelques oiseaux chantaient nichés dans les arbres aux couleurs chatoyantes, l'automne et son arc en ciel de feuilles l'aidai à s'évader.

Il marcha un long moment d'un pas tranquille puis fini par trouver un large rocher plat pas très loin de l'eau et faisant face à l'horizon.
Si l'oiseau avait sa branche... lui avait également trouvé un endroit de repos.

Il s'allongea sur la pierre, les deux bras repliés sous sa nuque et scruta le ciel. Quelques nuages dansaient lentement.
Ses pensées prirent de la distance, il vida son esprit lentement jusqu'à ne plus penser.

Nous étions encore en automne et le froid cherchait à s'installer. Etrangement ce matin il faisait doux et les bruits de la nature le berçai.
Il se laissa donc à fermer les yeux... la nature... ses bruits... la vie.
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--Levieuxgeorges

Soudain des cris se firent entendre !

- Héééééééé ! et moi alors ?
J'veut pêcher avec toi fillette !
Fais moi donc une p'tite place !

Titubant dans l'eau jusqu'à la taille , une bouteille dans une main et s"empêtrant avec sa canne à pêche dans l'autre, au milieu des pêcheurs qui participaient au concours, le vieux Georges tentait de grimper dans la barque de Verowill manquant à chaque instant de la faire chavirer ...

Il braillait comme un vieux putois dont il avait la douce odeur...

-aaaaatends moi donc nom de d'là !

Avant de s'affaler à grand bruit dans l'eau en jurant comme un charretier.

Bellinda

Le petit comité avait prit le chemin depuis l'église jusqu'au lac, et pas un mot n’avait été prononcé
durant cette marche, qui les amenèrent au bord du lac.

Bellinda avait parlé a Vévé de son souhait pour les dernier instant de son bébé, qui était de la mettre
sur un radeau de bois de rose embrasé, pour que les flammes l'emmène près du très haut...

Pendant que le radeau se mettait à flot, bien avant que Bellinda ne posa sa petite fille de 4 semaines sur ce dernier,
la jeune mère gardait son enfant bien contre elle, la berçant,
comme si elle la nourrissait encore..
Elle avait le regard affable et lointain, pensant à cette semaine,
passée qui lui avait prit tout ses rêves et ses désires.

Il lui faudrait surement un bon moment pour pardonner à l'homme qui lui avait fait espérer que la vie était belle,
mais elle était sur qu'elle n'oublierait jamais le désespoir qu'elle ressentait maintenant...

Toujours agenouillée à même le sol sablonneux et vaseux du bord du lac, la jeune mère n'attendait plus rien de la vie,
se balançant et pleurant toutes les larmes de son corps, répétant sans cesse comme une mélopée...

Pourquoi!!!! pourquoi... pourquoi mon bébé...Pourquoi mon bébé!!

Verowil

Vv avait fait le chemin avec Bellinda. Elles accompagnèrent Ambre pour son dernier voyage. Vero retenait ses larmes, elle voulait rester forte pour soutenir Bellinda dans cette démarche.

Elle essayait tant bien que mal de réconforter Bellinda,mais savait que cette peine resterait toujours en elle, peut-être atténuée avec le temps, mais beaucoup de temps.

Elle aida Bellinda à poser Ambre sur le radeau, fit un dernier au revoir et après avoir bien recouvert Ambre, elle recula avec Bellinda.
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Bellinda

Béllinda regardait le radeau embrasé éloignée...

A chaque onde que les vague l'éloignaient de la rive, elle pleurait comme si on lui déchirait le cœur, sa chaire sa vie...

Elle était anéantie, et transparente..

La_linotte

Au petit matin, sur la berge du lac, un corps échoué. Face contre terre.
Une femme aux longs cheveux tressés qui doivent être blonds sous la couche de boue.
Visiblement elle ne dort pas.
Qui viendrait s'allonger là dans la neige par ce froid?
Pas de barque amarrée.
A ses côtés une besace et un bâton que la "dormeuse" tient fermement.
Et puis soudain...
Voilà que les épaules tressautent.
La blonde tousse et vomit de l'eau avant de grimacer.
Une presque noyée.
Enfin, au ralenti, elle prend appui sur ses mains pour se mettre à genoux.
La tête lui tourne et puis le froid qui bleuit ses lèvres et ses doigts la fait claquer des dents et frissonner de tout son corps.

Trempée, sale, courbattue et frogorifiée mais vivante!
La Linotte est vivante malgré le bain forcé et le flot qui l'a emportée.
Cela mérite bien une petite action de grâce... mais pour plus tard!
A présent il s'agit avant tout de ne pas mourir de froid.
Frissonnant sans pouvoir se contrôler, la vagabonde finit de se relever en s'aidant de son bâton.
Chaque geste lui coûte mais elle tient bon.
Le temps de saisir la besace, de vérifier que l'écritoire est toujours là et en serrant les dants elle fait quelques pas vers ce qui semble être un chemin.
Qui dit chemin dit cité...
Mais où a-t'elle atterri?
Sémur et le pont Pinard doivent être loin... ses poursuivants aussi.
Peu importe, il faut trouver un feu pour se réchauffer sinon...

AAAAAAAATCHOUM!

Un feu et ensuite elle repartira puisque le ciel est de son côté.
C'est que la Linotte est coriace à défaut de savoir nager.

j'ai supposé que l'Armençon débouchait dans le lac de Cosne... désolée pour l'incohérence mais c'est pour les besoins du post.

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Cherche "banniériste" siouplaît...

Antoine_de_cosne

Antoine s'était levé de bon matin et du bon pied !

Tout guilleret, il décida d'aller explorer son nouveau village encore ensommeillé, voyant au passage un champ à vendre...bien trop cher.
Il fit la grimace, puis dirigea ses pas vers le lac repéré la veille en allant pêcher.
Les berges enneigées et les branches des saules qui le bordait ployant sous le poids plus encore que d'habitude lui avait semblé un merveilleux paysage où il n'avait pas eu le temps de s'attarder lors de sa journée de pêche.

Entreprenant d'en faire le tour, il entendit soudain tousser, cracher, éructer... comme si quelqu'un se noyait.
Il se mit à courir en direction de ces bruits et aperçu une femme, frigorifiée, marchant péniblement, et trempée des pieds à la tête...
Aussitôt il se précipita et avant même de lui adresser la parole, lui jeta la couverture trouée qui le couvrait sur les épaules et la frictionna vigoureusement.

Puis lorsqu'il jugea que la femme reprenait quelque couleur, il lui adressa enfin la parole.

-Hé bien Dame, vous voila sauvée...mais vous avez eu de la chance !
Prenez donc mon bras, je vais vous conduire en une taverne où brûle un bon feu !
Vous vous réchaufferez et pourrez me narrer comment vous êtes tombée dans ce bain glacial...

se disant, il pensa à se faire fabriquer une superbe bannière dans les ateliers de Lysandart...

Lietus

Lietus le saltimbanque était de bon matin partit a la pêche avec sa barque au milieu du lac , un moment de détente .
Il rame tranquillement sur eau calme , dans le silence de ce bon matin , le temps était frais en ce mois de Janvier.
L 'aurore venait a peine de ce levé , le bateau flotté tranquillement sur l eau sous le soleil qui monté doucement a sont apogée

Lietus avait tout prévus pour cette journée de pêche , le nécessaire pour pêcher , mais surtout un panier repas pour deux
Car il compter bien retrouver sa blonde sur le lac et lorsque leur deux barques seront une a coté de l autre , déguster un bon repas ensemble
Cela donnez le sourire au saltimbanque, il avait tout prévus , même une surprise pour sa magnifique compagne .

Il lève les rames , les remet dans sont embarcation , puis ce met debout en faisant attention de gardez l équilibre
Lietus telle un timonier , le saltimbanque regarde horizon pour apercevoir la barque de sa douce arriver
Homme de spectacle , toujours debout sur sont embarcation décide de faire la sirène du lac et appeler sa belle
D une voix douce et tendre , il exclame en souriant :

Tu es ma diablesse et tu m envoute
Tu es diabolique et tu m enflamme
Au creux de mes bras , tu a le feu qui brule en toi
Je resterais une éternité envouter par ton regard
Je souhaite allez dans tes enfers

Je suis un ange qui a perdu ces ailes blanche
Je peut plus allez au paradis
J ai étais déchus , je suis un ange noir
Tu étincelle en ma présence
Car tu brille de mille feu la nuit
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Gantra

la blondinette en ce beau matin de janvier, le temps était assez doux, elle été arriver a cosne,attiré par le lac elle se leva doucement sans réveiller personne.

elle passa prés de la meute et les nourrit, puis elle expliqua a Orion qu'elle allez pêcher et que si il serais sage elle leur donnerais du poisson.elle dit a Orion de bien surveiller le groupe et de pas effrayer les villageois elle espérait en croiser le soir même en taverne.

elle mis sa barque a l'eau alla voir si tous le monde dormait, et elle prépara sa barque,comme a son habitude elle mis de la bière, elle aimais bien boire tranquillement tous en pêchant pour sa elle devais remercier son père adoptif qui lavait bien éduquer, elle mis la barque a sa sœur a l'eau comme elle l'avait toujours fais pour lie elle ne savait pas si elle devait le faire allais til venir pêcher ou choisirais t'il plutôt de travailler dans un champs cela étais une bonne question.

elle continuais de mettre ne place le matériel nécessaire, elle is un filet dans chaque barque, le panier dans celle de myu, elle ne voulais pas mourir de faim, de la tisane bien chaude envelopper dans un papier qui garde au chaud en cas d'accident, et quelque couverture bien chaude un accident tes vite arriver avec ses chauffard des eau.

elle était fin prête a partir pour une journée de pêche.elle posa un mot a sa sœur et l'autre a lietus a coter des un et des autre pour le moment ou il se réveillerais

Ma rouquine comme habitude ta barque est prête, une fois que tu aura trouver un bon coin viens me chercher a moins que le mien soie bon ou tu me rejoindra trouve moi et nous mangerons ensemble

ta blonde

mon ange, depuis que nous somme arriver je n'arrive pas a dormir l’appel de eau etais trop intense que je n'est pu y résister, comme a mon habitude je part pour une journée de pêche, je ne sais pas se que tu vas faire mais si le cœur t'en dit tu peut venir me rejoindre, la rouquine je sais pas mais devais au cas ou venir me rejoindre aussi

je t'aime bisou ta blondinette

une fois ses message mis, elle pris sa barque et se laissa flotter,elle avait des couverture dans la barque, il fessait encore nuit elle alla au large et fit tomber ses filet dans l'eau, et s'allongea dans sa barque regardant le ciel étoilée, laissant ses idées voguer
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Lietus

Lietus debout sur sa barque a surveillez horizon en chantant pour que sa douce le rejoigne et passez une bonne journée romantique ensemble
Le saltimbanque voie au loin une barque , la barque de sa belle et il ne l aperçois pas , sont cœur s accélère , le temps ce fige
Plus aucun son ne sort de sa bouche , un moment de panique , l émotion est forte , lietus regarde partout , crie sont prénom

- Gantra , Gantraaaaaaaaaaa

Écoutant que sont courage , le saltimbanque regarde l embarcation de sont amie et avec le regard vif , prend sont élan est saute a l eau
Le corps de lietus était dans le lac et bat des pieds et des mains et ces a ce moment là qu il se souvient qu il n avait toujours pas appris a nager
Il faisait du surplace et ce fatigue vite a patauger dans le lac , une grande respiration est il lance un grand

- Au secours , je sais pas nager
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Gantra

le ciel étoiler la fessais fondre, elle écoutais les vague taper contre sa barque, le jour se levait peu a peu,sa sœur allais bientôt la rejoindre.un endroit si calme que la blondinette aimais être la un endroit qui la détendais être sur l'eau ou dans l'eau étais son endroit favoris.

elle sursauta quand un cri lui arriva, elle se redressa elle reconnu sans hésiter la voix de son brun, elle le chercha quand elle l’aperçut dans l'eau.
il se débattais en compris qu'il ne savait pas nager, sans cherche a comprendre elle se déshabilla et sauta a l'eau , et tirais sa barque en sa direction.

elle arriva prés de lui elle l’attrapa et l'aida a mettre ses main sur la braque, elle le regarda.

Mon ange ça va?
rappelle moi de t'apprendre a nager

puis la blondinette regardais si elle ne voyais pas quelqu'un pour venir l'aider, elle regarda dans tous les sens quand elle reconnut la barque de sa soeur et la elle crie

Myu vient m'aider
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Myungi

la rouquine venais de se réveiller quand elle trouva le mot de sa sœur.

Ma rouquine comme habitude ta barque est prête, une fois que tu aura trouver un bon coin viens me chercher a moins que le mien soie bon ou tu me rejoindra trouve moi et nous mangerons ensemble

ta blonde

la jeune femme alla faire un brin de toilette et mis sa tenue de pêche puis alla voir grizzly et lui demanda de rester la.
elle lui murmura qu'il aurait de bon poisson pour le repas si il se tenait a carreau.

comme souvent sa sœur avais prépare la barque et l'avait mis a l'eau, elle monta dans sa barque rama et jeta son filet pour voir si c'est un bon coin elle essaya plusieurs endroit quand elle aperçut la barque de sa sœur vide,elle rama plus vide quand elle entendit la voix de sa blonde.

elle l'aperçut a l'eau au coter de lietus qui se tenais fermement a la barque, elle avais un bras autours de lui surement pour le maintenir hors de l'eau.
elle s'approcha et mis sa barque a proximité du couple puis elle tendis la main pour aider lietus a monter dans la barque.

Monte mon bof
tu sera en sécurité dans ma barque nous allons t'aider a regagner les barques.
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Lietus

Lietus était dans l eau a patauger comme un toutou , il essaye de tenir en appelant sa belle , car il avait une grande confiance en elle , c est comme cela dans un couple de saltimbanque.
Une grande respiration lorsque la tête est hors de l eau , les bras qui font la moulinette et une douce voix arrive a ces oreilles

Mon ange ça va?
rappelle moi de t'apprendre a nager

Le saltimbanque retrouve le sourire est regarde sa Gantra avec une grande satisfaction , sa douce était venus le sauvait , il était serein et heureux .
Il la tient doucement a sa compagne en attendant tranquillement de l eau du lac la venus de la rouquine qui arrive sans ce pressé
Myungi tant la main a Lietus et l aide a remonter dans sa barque , homme très heureux d être hors de la flotte pousse un oufff de soulagement , épuisé par sont apprentissage de la natation
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Colombe_de_singrist

Belle journée qui s'annonçait en ce dimanche de mi janvier. De rares nuages flottaient dans le ciel bleu, et l'atmosphère était réchauffée par un soleil radieux. Les bords du lac etaient encore gelés. Mais qu'importe. Colombe avait bel et bien décidé de profiter de cette journée.
Une balade en barque lui ferait le plus grand bien.
Aussi, de bon matin, elle prit un peu de pain dans sa besace, et partit pour la peche.
Arrivée au milieu du lac, elle lança son filet et laissa son esprit divaguer.
Et des pensées, en ce moment, elle n'en manquait pas.
Elle laissa le soleil caresser doucement son visage, trouvant cela bien agréable.

Antoine_de_cosne

Antoine avait décidé de profiter de cette belle journée pour arpenter les bords du lac, prenant avec lui sa canne à pêche au cas où l'envie lui prendrait d'aller titiller le gardon.

En marchant tranquillement il pensait...
A son démménagement prochain, à la vie qu'il allait construire avec Goonz, à leur baptême qu'il fallait préparer puis à leur mariage, aux enfants qui en naitrait...
La vie lui semblait belle, comme cette journée où un soleil d'hiver brillait.

Perdu dans ses pensées il contemplait la surface calme du lac.
Lorsqu'il aperçu une barque, sa soeur songeant à l'intérieur, aussi pensive que lui l'était auparavant...
Leurs pensées se rejoignaient sans doute...

Son départ, son amour pour Koulous qui la rendrait heureuse, son Diaconnat, leur mariage aussi qu'elle célébrerait.
Comme si elle pouvait le voir, il lui sourit...
Jamais il n'avait connu sa soeur si heureuse, si amoureuse d'un homme qui l'était tout autant...
Il en était empli de bonheur pour elle.
Fusse au prix de son éloignement...
Il ne la verrais plus... et une ombre passa sur son visage, vite remplacée par un sourire.
Goonz, Koulous...
Tous deux avaient trouvé l'amour de leur vie.

Il reprit son chemin, heureux, et alla un peu plus loin lancer sa canne à pêche.
Oui, pour eux deux la vie se montrait douce et généreuse...
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Goonz_des_tenebres

Ce jour s'annoncait beau et ensoleillé. Encore fallait il que Goonz finisse son travail au champ pour en profiter. Elle jeta un coup d'oeil a son embaucheur qui ronflait de loin, et sans aucune hesitation elle decida de se prendre une petite pause. Sans trop penser, elle repris ses affaires et couru le long des epis de bles en bousillant quelques uns au passage. elle passa pres de la taverne municipale ou elle avait repere son cheri, et courru lui faire un long baiser tendre avant de filer jusqu'au lac Arrivee labas, le paysage lui parraissait tres paisible. Elle cueilla une rose petillantesur son passage et la mis dans sa chevelure. Quel bonheur etait cet endroit calme et berce par les roucoulements d'oisillons. Elle s'alongea sur l'etendue d'herbes hausses, fraiches par la rosee du petit matin et profita du bain de soleil qui lui caressait sa peau delicatement de sa chaleur. Une petite coccinelle vint lui porte compagnie sur son epaule. Elle la pris sur sa main et la regarda.
- Cette belle bete devrait bien avoir la vie de bonheur a se promener en liberte dans un si bel androit. alors petite? on s'amuse? qu'est ce que je t'envie tu sais..
elle la regarda vortiger et se dit qu'elle n'appreciait pas beaucoup qu'on lui souffle nos reflections. Eh bien elle avait raison! A trop entendre les maux des autres on finit par devenir comme eux. Et d'un coup elle se redressa, s'aprocha du bord du lac et y plongea ses pieds. Le froid de leau moussante la relaxait. Dire qu'avant, elle ne venait ici que pour pecher et s'en aller. Quel gachi l'etre humain naif!
le ruissellement de l'eau lui inspirait le calme. Elle soupira longuement avant de se souvenir que son embaucheur etait surement reveille. Elle sorti ses pieds les secha rapidement pour enfiler ses bottes et couru loin du lac en hate.

Jehan_de_dardemont

Je m'étais levé et habillé du mieux que je pouvais ce matin là.

J'avais demandé à une dame de me rejoindre ici dans ce coin merveilleux. Je ne savais si elle viendrait mais j'étais prêt à l'attendre.
J'avais étalé un drap par terre pour lui permette de s'asseoir ailleurs que sur l'herbe humide. Sur ce drap, j'avais également posé des victuailles espérant qu'elle accepterait de partager un repas près du lac.

J'avais construit des pêches à la ligne pour pêcher notre repas et déjà elles flottaient à la surface de l'eau.

J'avais choisi pour notre rencontre un lieu charmant. Sous un arbre et celui ci se reflétait dans l'eau scintillante du lac. Assis contre le tronc, je laissais mon regard admirait l'eau et les ondes qui la parcouraient. Très souvent mon regard se levait pour voir si elle arrivait. Je fermais les yeux et je me souvenais d'elle: de sa tête charmante, de ses yeux magnifiques, de son nez si bien dessiné et de sa silhouette merveilleuse. Je souriais tout seul en l'entendant parlé avec son accent si charmant.

Mysaline

BRRRR !! Froid d'canard au saut du lit, la brunette s'empresse de faire un feu dans la cheminée de sa mazure et chauffe de l'eau dans sa marmite dont une partie lui servira à se faire une tisane et le reste pour ses ablutions matinales.

Ses braies neuves recouvrant ses haillons et ses chausses à ses pieds, elle se couvre les épaules de sa couverture et s'apprête à sortir quand un pigeon se pose à sa fenêtre.

"Qui qu'tu fais là toi ? C'est-y qu't'as froid toi aussi ? Pi faim p'têt' ?" qu'elle dit, surprise.

Ouverture de fenêtre et attrapage du volatile pour le rentrer et lui donner quelques miettes. La jeune femme voit alors qu'un p'tit parchemin roulé est attaché à la patte de l'oiseau.

"C'est quoi qu'ça ?"

Elle prend délicatement le message et tente tant bien que mal de le déchiffrer. C'est qu'elle sait pas trop lire, ni écrire. Elle a appris un peu quand sa mère était bonne chez des nobliaux, mais c'était y a longtemps, elle était alors qu'une petiote. Fronçant les sourcils et tirant la langue tout comme elle l'avait fait la veille pour écrire un remerciement au nobliau qu'elle avait rencontré la veille en taverne.

Un bien brave messire qu'avait eu la gentillesse de soigner sa brulure, enfin c'était un peu d'sa faute à lui aussi si elle s'était brûlée... bref il l'avait soigné et lui avait même donné un mouchoir pour sêcher ses larmes. Un mouchoir qu'elle gardait maintenant précieusement dans c'qui lui servait de corsage et qui lui tirait un sourire sur les lèvres chaque fois qu'elle le regardait. C'est qu'on lui a jamais fait beaucoup de cadeaux à la Myseline. Alors sa couverture que François lui avait donné à son arrivée et ce mouchoir offert par Jehan, le nobliau, elle y tenait comme à la prunelle de ses yeux.

Une lettre après l'autre formant un mot puis une phrase, la brunette déchiffre donc ce surprenant message, qui n'a de surprenant que le fait qu'il lui soit adressé. Un fin sourire s'affiche sur son visage et s'élargit au fur et à mesure qu'elle en comprend la teneur. C'est une invitation.

Une invitation du Nobliau à venir le rejoindre au bord du lac pour faire plus ample connaissance. Elle sait pas trop c'qu'elle doit faire. Y aller ? Pour dire quoi ? Que f'rait-elle avec un nobliau qui cause bien et qu'a des manières ? Parce que pour sur qu'il en a des manières... et vas-y que j'te baise la main... et vas-y que j'te vouvoie... et vas-y que j'te montre de l'attention... Elle est pas habituée à tout ça la gueuse. En même temps, faut bien avouer qu'c'est pas si désagréble que ça. Pi l'est plutôt mignon et gentil. Pi aller voir c'qui veut exactement ça engage à rien...

Le roucoulement du pigeon la tire de ses songes. Elle l'attrape, dépose une bise sur sa tête et le laisse s'envoler par la fenêtre. Resserrant sa couverture sur ses épaules, elle prend sa canne à pêche, quitte sa mazure et prend le chemin du lac. La matinée est belle, idéale pour aller pêcher. Si enplus c'est en bonne compagnie, pourquoi pas...

Arrivée au bord du lac, elle entreprend dans faire le tour. C'est qu'il est grand et d'criques bordées d'arbres. Va-t-en savoir où l'nobliau à bien pu s'mettre ? Elle finit par l'apercevoir assis contre le tronc d'un arbre. Sans s'en rendre compte, elle accélère le pas et son sourire, qui n'a pas quitté son visage depuis la lecture du parchemin, s''élargit encore alors qu'un léger rougissement teinte ses joues.

"B'jour M'sire Jehan !!" lui dit-elle en arrivant auprès de lui. "Belle journée pour pêcher hein ?"

Et soudain intimidée, elle sautille d'un pied sur l'autre. Est-ce que ce juste bonjour suffit, ou peut-elle déposer une bise sur sa joue comme elle se l'est permise hier ?

Jehan_de_dardemont

J'étais perdu dans mes rêves ne sachant si la dame allait accepter sa demande. Toute sa personne remplissait mes pensées depuis que je la connaissais. C'est à dire depuis très peu de temps. Les lignes bougeaient et je me levais pour regarder au bout et il y avait un poisson. Je l'attrapai et le mit à cuire sur le feu que j'avais préparé un peu plus loin pour éloigner les odeurs. Je mis le poisson à cuire et tout en surveillant la cuisson adossé contre mon arbre je repris le cours de mes pensées. Il n'y en avait que pour elle.
Soudain j'entendis un bruit de pas et j'ouvris les yeux. Elle était là devant moi toute belle enveloppée dans sa cape.
Elle me salua avec son accent délicieux mais de loin, j'aurais tant voulu un baiser.
Bonjour Mysaline, je suis si content de vous voir!! Je vous remercie d'avoir accepté mon invitation, je ne savais pas trop si vous accepteriez.
Je lui souriais émerveillé de la voir devant moi. Elle était venue,elle avait acceptée de me revoir, de partager avec moi un moment ensemble au bord du lac.
Oui, c'est une magnifique journée pour pêcher! J'en ai déjà pêché un et il est en train de cuire sur le feu un peu plus loin. Vous voulez vous asseoir là sur le drap? vous seriez mieux que assise dans l'herbe humide.
J'avais une folle envie de l'embrasser. Son visage rougi par le vent vif était magnifique à voir. Ses yeux brillaient.

Mysaline

La brunette s'assoit sur le drap installé là par le nobliau rien que pour elle, pour pas qu'elle prenne froid sur l'herbe. Ca aussi ça lui fait tout drôle à Mysaline, encore une gentille attention. Va falloir qu'il prenne garde Jehan parce qu'elle pourrait bien s'y habituer facilement à ce traitement. Pi ce sourire qu'il arbore quand il l'a r'garde, ça la f'rait presque rougir. Enfin une chance c'est que c'coup là, il lui a pas pris la main pour la lui baiser. Ca la rendait pas à l'aise elle tout c'genre de mondanité des nobliaux. D'où elle vient, on s'salue seulement, des fois c'est une grande tape sur l'épaule ou alors on s'fait une bise quand on s'apprécie vraiment.

"C'est chouette c'coin là..." dit-elle en r'gardant autour d'elle. "J'suis 'core jamais v'nue jusque là... C'est bien ombragé, l'poisson doit aimer ça."

Du coin d'l'oeil, elle lorgne le poisson qui cuit un peu plus loin.

"L'est belle vot'carpe, pi elle sent bon !! Z'avez fait comment pour le feu ? Z'avez appris à l'faire d'puis hier ou c'est un coup d'chance ?" lui dit-elle en pouffant de rire. Faut dire qu'la veille, l'avait pas été très habile et ça lui avait valu sa brûlure à la gueuse.

Baissant les yeux pour regarder ses mains, la brunette songe qu'elle est p'têt' pas très gentille de l'taquiner ainsi alors qu'lui l'a si gentillement traité jusque là. Alors elle cherche quelque chose de chouette à dire pour s'excuser.

"Heu... j'suis contente d'êt' là, ça m'fait plaisir de v'nir pêcher avec vous..." dit-elle en rougissant, un peu embarrassée. "M'ci m'sire Jehan !"

Jehan_de_dardemont

Je m'étais levé à son arrivée et une fois assise sur le drap je la regardais. Je ne savais si je pouvais m'asseoir près d'elle. De toute façon il me fallait m'occuper du poisson.
Je souriais en l'entendant dire que ce coin lui plaisait. J'avais envie de lui dire que je l'avais choisi rien que pour elle mais je n'osais pas. Une bonne odeur de poisson cuit me chatouillât le nez et me rappela à la réalité.
Eh bien pour être très honnête damoiselle, ce n'est pas moi qui ai fait ce feu. On m'a aidé et expliqué.
Je baissais les yeux un peu gêné de mon ignorance. Mais ce qu'elle me dit par la suite me remonta le moral:
Heu... j'suis contente d'êt' là, ça m'fait plaisir de v'nir pêcher avec vous
Elle était contente d'être près de moi, ou du moins de pêcher avec moi. J'étais au septième ciel. Mais le poisson était cuit. En faisant attention de pas me brûler je saisis le poisson et e déposais sur un plat de terre près de la jeune fille.

Xhena

Xhena n'avait jamais voyagé e si loin elle sentait la fatigue dans ces jambes et son estomac qui crier famine mais elle était la plus heureuse des femmes sont bien aimé lui prouvé son amour pour elle chaque jour un peut plus en la protégeant lui tenant la main tendrement

Elle continua de marcher et aperçut de l'eau surement un lac il doit y avoir des poissons?

Elle se tourna vers son Amour et lui murmura

Je vais enlevée mes vêtements et voir si je peux en prendre un à la main je sens que nous allons faire bonne chair ce midi !!

Xhena se déshabilla en regardant son époux de son sourire coquin elle mit le bout du pied dans l'eau et frissonna

Ahhhh....

Soudain Xhena glissa et se retrouva avec de l'eau jusqu'au cou elle commença à se débattre dans tout les sens ne sachant pas nager elle réussit à sortir la tête de l'eau en hurlant..

Au secours mon Amour

Aide moiiiiiiii.....

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Jehan_de_dardemont

Je commencais à dépecer le poisson loin d'elle pour pas que ses yeux souffrent d'une chose aussi peu belle à voir. Je lui coupais un beau morceau et je lui tendis dans une assiette préalablement lavée avec le plus grand soin

Tenez ma belle damoiselle! J'espère que la cuisson vous satisfera, sinon n'hésitez surtout pas à me le dire et je vous ferai dorer davantage votre morceau. S'il est trop cuit, j'irai en pêcher un autre.

Je lui souriais en lui tendant l'assiette. Je lui tendais également une fourchette. Je ne savais si cet outil était parvenu jusqu'en France mais je tentais ma chance avec cette magnifique jeune femme. Je ne savais s'il fallait que je lui explique mais je décidais d'attendre. Je me servis également un morceau et j'attendis qu'elle commence à manger pour pouvoir moi-même commencer.

Bel après midi n'est ce pas? Après déjeuner, je vous propose un bain dans le lac.Qu'en pensez vous?
Je dissimulais autant que possible mon sourire. Je voulais qu'elle soit persuadé que j'en avais vraiment envie.

Antoine_de_cosne

Antoine continuait sa marche, solitaire.

Il avait regardé sa soeur de coeur regagner le rivage, puis s'éloigner joyeusement.
Il n'avait point été lui faire ses adieux, craignant de gâcher son bonheur par la grande tristesse qui s'emparait de lui.
Ce soir elle embarquerait sur la Loire, puis à pied ou à cheval, descendrait jusqu'à Montpellier, fort loin de Cosne.

Il s' assit contre un arbre, sorti un parchemin, de l'encre et une plume de sa besace commenca à rédiger un pigeon qu'il lui enverrait demain.
Sa tâche finie il l'enroula et rangea le tout, puis repris sa promenade.
Soudain, il entendit des cris !

Une imprudente, la voix était celle d'une femme, était en train de se noyer !
Il hésita un instant, craignant de périr aussi, puis se jeta à l'eau, se mettant à nager vigoureusement, pour ne point geler lui aussi, en direction de la malheureuse !
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Mysaline

La gueuse sagement assise sur le drap observait l'nobliau finir de préparer le poisson qui devait maintenant être cuit. Il lui tendit une assiette et une fourchette. Elle reconnaissait l'ustensile qu'ça mère lustrait pendant des heures quand elle travaillait chez les gens d'la haute. Elle, elle avait jamais voulu s'en servir. Bien mieux d'manger avec les mains, ou au mieux avec une cuillère.

Elle regarda l'objet en fronçant les sourcils. Une moue dubitative se ficha sur ses lèvres. Devait-elle vraiment s'en servir de c't'outil là ? Si encore z'étaient à table avec tout'la ferblant'rie d'rigueur dans les grands r'pas d'gens qu'on des sous et d'l'éducation... Mais là, z'étaient assis sur un bras, au bord de l'eau, pi juste tout les deux. Est-ce que ça l'choqu'rait l'nobliau si elle mangeait à pleine main. Elle sentait son regard peser sur elle. Elle hésita puis se dit qu'il fallait pas chasser son naturel. Elle était gueuse, s'était un fait et elle avait pas à en avoir honte. Elle posa la fourchette à côté d'elle est du bout des doigts, elle prit un bout de poisson et le porta à sa bouche.

"Hummm... Très bon vot'poisson. Z'êtes un bon cuisinier !!" Souriant elle enfourna un nouveau morceau.

"Bel après midi n'est ce pas? Après déjeuner, je vous propose un bain dans le lac.Qu'en pensez vous?"

Mysaline ouvrit de grands yeux surpris. Un bain ? En plein hiver ? Elle avait toujours su qu'les nobliaux avaient des idées extravagantes, mais là...

"Prendre un bain ? Z'êtes pas fou dans vot'tête des fois ? Y fait beau c'est vrai mais s'baigner en plein hiver c'est vouloir attraper la mort... Moi, j'tiens encore à la vie, même si el'm'fait pas toujours d'cadeau." Soudainement prise de frisson, elle resserra sa couverture sur ses épaules. Pour s'baigner, fallait s'dévêtir en plus. Cette idée la bloqua dans son geste. Elle fronça les sourcils, contrariée.

"Hé !! pi faut pas croire qu'j'vais oter mes habits d'vant vous com'ça... J'suis p'têt' qu'une gueuse mais j'suis pas du genre à m'mettre tout' nue d'vant l'premier bellâtre qui passe..."

Jehan_de_dardemont

Tandis qu'elle prenait l'assiette, je la vis regarder avec une moue dubitative la fourchette. Je souriais en moi même. Elle n'avait pas l'air décidé à s'en servir. Je la vis prendre le poisson à plein main pour le manger. En moi-même, je me disais: Quelle étrange manière de manger. Pourtant en la regardant dévorer son poisson, l'envie me vint de faire pareil. Je lâchais la fourchette et en souriant, je croquais à même dans le poisson.
Dis donc, c'est vrai qu'il est bon le poisson! Je souriais largement quand elle me dit que j'étais un bon cuisinier.
Je finissais de manger. Mon regard était sans arrêt poser sur elle. Elle était tellement belle. Ma contemplation cessa quand je l'entendis s'écriait:

Code:

[color=violet]"Prendre un bain ? Z'êtes pas fou dans vot'tête des fois ? Y fait beau c'est vrai mais s'baigner en plein hiver c'est vouloir attraper la mort... Moi, j'tiens encore à la vie, même si el'm'fait pas toujours d'cadeau.[/color]

Je partis d'un grand éclat de rire. Ainsi elle m'avait cru.
Mais non damoiselle, nous n'irons pas prendre de bain. Je voulais m'amuser et vous taquiner, rien de plus. Ne m'en voulez pas. Et de plus en aucun cas je ne voudriez que vous attrapiez la mort en vous baignant en cette saison.
Je me murmurais à moi-même: je vous aime
En l'observant toujours en riant, je la vis prendre un air contrarié et ce qu'elle dit me fit montait le rouge à la figure:
Damoiselle, je vous prie de croire qu'aucune idée ne m'avait traversé l'esprit quant à cela. Je ne voulais en aucun cas vous offenser, je vos respecte trop pour cela. Je vous prie de m'excuser.

Mysaline

Le rire du nobliau rassura quelque peu la gueuse qui l'écouta se complaire en excuses et le vit virer au rouge. Un sourire en coin se colla sur le visage de la brunette, après tout chacun son tour d'rougir comme une pivoine. Pi elle aussi elle aimait bien l'taquiner et pour le coup ça avait bien marché. Pour sur qu'il s'sentait pas à l'aise dans ses chausses l'nobliau et elle s'en amusa longuement. Mais les plaisant'ries les meilleures étant les plus courtes et les moins longues, qu'elle lui disait toujours la mère, Mysaline adressa un franc sourire à son hôte.

"Si l'temps n'est point à la baignade, l'est bien propice à la prom'nade, z'en pensez quoi ?" Se levant, elle alla relever les lignes qu'aucuns poissons n'étaient v'nu taquiner depuis son arrivée.

Elle revint près de lui, attrapa le drap et commença à le replier.

"Allez M'sire Jehan, on s'bouge un peu ou z'allez faire du gras. C'est point beau un homme trop gras et vous trouv'rez point d'femme qui voudra d'vous." P'tite pause et sourire en coin avant de poursuivre. "Est-c'qu'vous savez éteindre un feu mieux qu'vous savez l'allumer ? Zouh, hop hop hop !!! L'vez donc vot' popotin d'là !!!"

Elle pouffa de rire, rien à faire, elle pouvait pas s'empêcher d'le taquiner. Son rire cristallin envahit les lieux. Elle se sentait bien. Cétait comme ci rien n'avait d'importance, il était Jehan, elle était Mysaline. Y avait pas d'gueuse et pas d'nobliau, juste deux villageois qui appréciait d'passer du temps ensemble.

Jehan_de_dardemont

Je me trouvais dans une situation embarrassante mais heuresement sa proposition me fit compendre qu'elle m'avait pardonné. Je me levais promptement:
Avec le plus grand plaisir. Quel plaisir ça sera que de marcher dans la neige près de vous. De plus, je ne veux pas "faire du gras"comme vous dites. Alors allons y.
Je l'aidais à ranger les restes de notre repas puis j'allais remplir un seau d'eau pour éteindre le feu.
Je ne sais pas si c'est comme ça qu'on fait hein! Mais c'est la méthode la plus radicale.
Je riais avec elle. Comme elle était charmante et ses yeux brillaient. Et son rire! J'aurais voulu qu'elle rit encore. Il se répercuta sur le lac silencieux.
Allons-y!
La prenant par le bras, je l'entrainais pour faire avec elle une promenade dont je me souviendrais surement toute ma vie.

Romaric

profitant d'un moment de solitude
je decidais de faire un tour au bord de se lac si magnifique et si paisible
a l'abrit des regards pouvant penser a rien d'autre que cette personne qui m'intrigue a cette inconnu qui me connais et qui est si loin en meme temps
je lance des pierres dans le lac me teins le menton aller go
je dois preparer ma menture et aller la rejoindre je n'ai rien a perdre
la vie est faite de surprise et de magie

regarde une derniere fois ce lac et part tout doucement ce preparer

Arthurlion

Il venait d'arriver à Cosne ce matin et avait déjà bien envie de visiter la ville.

Le voyage était bon jusqu'à présent et l'envie de ce promener dans cette nouvelle ville était là.

Apres avoir arpenter les ruelles et vu le port, il se dirigea vers le lac. Arrivant vers celui ci, il pris plaisir en ce matin plein de fraîcheur de marcher au bord du lac, le temps d'un instant, le temps de vider encore quelques pensées en cette endroit si délicat.
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Swan

Qui aurait cru qu'elle serait bras dessus, bras dessous avec son mignon ? Qui aurait cru qu'elle se serait entichée d'une de ses victimes aux poches vide comme ça ? Enfin enticher le mot était peut-être un peu fort, il lui plaisait assez pour avoir envie de le connaitre plus ... Intimement.

Une petite balade au bord du lac avait été proposé et les voilà qui sortaient ensemble de la taverne municipale. Couple complètement dépareillé, lui noble, elle ... J'vous laisse imaginer ... Enfin elle était contente, elle avait trouvé un moyen de le revoir régulièrement, même si elle éviterait autant que possible de se retrouver derrière les barreaux ...

Elle marchait donc à son côté, visage souriant et heureuse du moment passé avec lui. Elle prenait toujours ce qu'elle voulait et elle en profitait le moment venu. Nul ne savait de quoi demain était fait, alors en profiter le moment venu. Vivre au jour le jour était parfait pour elle.

Regard en coin, elle l'observait. C'est vrai qu'il était beau, mais pour elle et juste pour le râler, il resterait son « mignon ».

Main accrocher dans la sienne, elle se retourne, lui vole un baiser et l'entraine sur le chemin qui bordait le lac encore désert.

- Où mène ce chemin ?

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Gautier.de.vaisneau

Oui, qui aurait cru qu'il se serait entiché d'une brigande... euh saltimbanque ? Surtout après que celle ci lui ai vidé les poches. Elles n'étaient pas bien pleines, certes, mais c'était le geste qui comptait. Enfin... entiché était un bien grand mot. Disons qu'il l'appréciait assez (surtout son joli minois) pour songer à la connaitre plus... intimement. Comment ça, je copie ce qu'a écrit la joueuse de Swan ?

Et Gautier souriait, également. Il faisait beau, le printemps revenait, les oiseaux chantaient et il avait une femme à son bras. Que demander de plus ? C'était ainsi qu'il vivait avec les femmes. Un jour il en voulait, l'autre jour non puis il revenait. Un inconstant, un homme. L'amour était pour lui comme un appétit. Un jour on a faim puis, quand on est rassasié, on n'a plus faim. C'était également le gout du défi, et le gout des plaisirs charnels.

- Où mène ce chemin ?

Regard qui passe du chemin à la rousse et il haussa légèrement les épaules.

- Tu sais, je ne connais pas beaucoup plus la ville que toi. Mais il me semble que celui ci mène au lac.
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Swan

- Tu sais, je ne connais pas beaucoup plus la ville que toi. Mais il me semble que celui-ci mène au lac.

Elle hocha la tête. Le chemin menait bien au lac, alors elle tira un peu plus sur son bras pour presser le pas pour se rapprocher un peu plus de l'eau et se planter bien droite devant l'étendue calme qu'elle avait devant les yeux !

- Un jour, j'serais capitaine d'un grand navire de guerre !

Elle le regarda avec un grand sourire. Pour y arriver, elle allait devoir « travailler » très dur, ce qui sous-entendait que son futur défenseur du barreau allait trimer aussi dur qu'elle pour la défendre.

Avisant une souche d'arbre non loin de la berge, elle s'y installa, tapotant le bois pour que son « mignon » vienne la rejoindre.

- C'dur d'être un avocat ? Non j'demande ça parce que, c'est pas dur du tout d'être brigande ! Enfin cela dépend, sur qui l'on tombe aussi !

Elle le regarda du coin de l'oeil. Elle se mordit la lèvre inférieure, une envie soudaine de l'embrasser lui tiraillait les entrailles, mais si elle se jetait sur lui comme ça, elle ne pourrait plus s'arrêter.
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Gautier.de.vaisneau

Capitaine d'un grand navire de guerre... Lui aussi ça lui plaisait bien, les bateaux. Libre et tranquille, porté par les flots.
Il faudrait pour cela qu'il trouve de l'argent. Et c'était durant ces moments là qu'il songeait à épouser une veuve très riche.
Le jeune homme s'approcha de la rousse tandis qu'elle lui pose une question.

- C'dur d'être un avocat ? Non j'demande ça parce que, c'est pas dur du tout d'être brigande ! Enfin cela dépend, sur qui l'on tombe aussi !

Gautier songea un instant aux mois qu'il avait passé à Paris, pour étudier.

Oui, plutôt. Disons qu'il faut travailler.

Le Vaisneau passa une main taquine sur son cou puis désigna de la tête le lac, souriant, malicieux.

Tu m'as dit ne pas être frileuse ?
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Swan

Elle écouta sa réponse. Oui comme tout, il fallait travailler dur. Fallait pas croire hein, mais ce n'était pas de tout repos la vie de brigand. Faire des nuits blanches, apprendre à sauter sur les victimes comme elle l'avait fait avec petit mignon, bien tout ça, ça s'apprenait ! Et oui ! Pis fallait aussi se défendre quand on tombait sur des récalcitrants qui s'accrochaient a leurs écus plus qu'à leur vie !

Ses doigts sur son cou la firent frissonner. Oh pas de froid rassurez vous !

Tu m'as dit ne pas être frileuse ?

Elle suivit son regard et leva un sourcil. Il voulait aller faire trempette dans l'eau ? Elle n'était pas trop frileuse, mais l'eau ne devait pas être très chaude quand même. Pourtant, elle releva le défi. Etre fière comme un pou ça avait ses inconvenants, mais elle ne reculerait pas d'un pouce, même si elle ressortait bleu de froid de ce lac !

- Non j'suis pâ trop frileuse et ... Toi

Etrangement le tu avais fait son apparition entre eux et cela n'était pas pour lui déplaire !

- T'veux aller faire une baignade dans le lac ?

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Gautier.de.vaisneau

- T'veux aller faire une baignade dans le lac ?

Sourire. C'est que... non, il avait très moyennement envie d'aller faire un tour dans le lac. Si elle n'étais pas frileuse, lui l'était. Et sa peau typée montrait bien d'où il venait.
Le jeune homme s'allongea donc sur l'herbe tiédie par le soleil, passa ses bras derrière sa tête et leva son regard sur elle.

Sans façon non, je t'attends ici.

Dit de cette manière, cela ne lui donnerait certainement pas très envie d'aller se baigner. Gautier chercha donc quelques paroles pour l'encourager.

Mais crois bien que si tu le fais, j'aurai beaucoup d'estime pour toi. Et puis d'ici, j'aurai d'avantage le loisir de te... contempler.

Et si après ça elle ne rentrait pas dans l'eau, il voulait bien déclarer sa flamme à Tibère !
Nouveau sourire, songeant qu'il pourrait prendre plaisir à lui cacher ses habits, aussi.
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Swan

Sans façon non, je t'attends ici.

Comment ça non ? Elle le regarda s'allonger négligemment sur l'herbe et croisa ses bras sous sa poitrine qu'elle avait généreuse. Elle allait ouvrir la bouche pour manifester son mécontentement, mais il ajouta ...

Mais crois bien que si tu le fais, j'aurai beaucoup d'estime pour toi. Et puis d'ici, j'aurai d'avantage le loisir de te... contempler.

Yeux plissés et lèvres pincés, ça avait tout d'un défi ! Et qui disait défi, elle ne pouvait que relever. Et puis qu'est-ce qu'elle ne ferait pas pour avoir l'estime de son mignon avocat.

- Et bien soit ! Contemple moi autant que tu le désirs, moi j'vais me baigner, mais tu n'sais pas ce que tu rates, même si l'eau est un peu froide en cette saison !

Elle se leva, menton relever puis se dirigea vers la berge. Comme à chaque fois qu'elle venait dans un village, elle s'habillait comme toutes les jeunes femmes. Jupe et chemise surmontée d'un bustier. Lui tournant le dos, elle délassa en premier celui-ci puis le fit tomber dans un geste nonchalant en jetant un petit coup d'oeil derrière elle. Elle fit ensuite passer la chemise par-dessus sa tête et lui fit rejoindre le bustier.

Ses cheveux tombèrent en cascade rousse sur ses épaules, cachant à la vu du petit brun la marque qu'elle avait incrusté dans sa peau blanche et tendre. Un nouveau regard et un sourire en coin, elle ne disait pas un mot.

Vint ensuite le tour de la jupe qui tomba dans un bruissement de tissus à ses pieds. Passant par-dessus, elle se décala un peu, pour s'asseoir sur le sol, dos toujours tourné, il contemplait pour l'instant son dos. Elle retira ensuite ses chausses et ses bas qui étaient surmontés d'une jarretière avec un ruban rouge feu. Elle se releva ensuite et fit glisser le dernier vêtement qu'elle avait sur elle, sa culotte longue.

Il pouvait maintenant contempler sa chute de rein que venait chatouiller la pointe de ses cheveux. Tournant son visage vers lui, elle lui sourit demandant encore une dernière fois.

- Toujours pas tenter pour venir faire trempette avec moi ?

Elle se tourna enfin vers lui, lui offrant par la même occasion la vision de son corps devant. Si Tibère lui avait bien appris une chose, c'était qu'elle ne devait pas avoir honte de son corps. Elle n'était donc pas pudique pour un écu.

Elle commença à reculer et quand le premier pied fut mis dans l'eau elle s'arrêta net. Diantre qu'elle était froide. Serrant les dents et sentent les frissons la parcourir de partout, elle recula encore, regardant Gautier sans le lâcher des yeux. Petit à petit elle s'enfonçait dans l'eau.
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[RP] Le lac de Cosne