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Retrouvailles

Tamella
Le voyage qu'elle avait entrepris avec Le Baron et sa famille l'avait laissée épuisée. Tamella, rentrée dans la nuit n'avait pourtant pas trouvé le sommeil et, dès le petit matin elle vint faire une promenade sur la plage.
Elle avait croisé quelques personnes et sentait une agitation particulière dans la ville. Deci delà des affiches, de la propagande... Les élections étaient proches.Elle se devait d'apporter sa voix à l'une ou l'autre des candidates, mais souhaitait y réfléchir plus avant. On ne pouvait l'influencer. Faire le point sur sa vie ici et surtout envisager son avenir. Elle avait passé plusieurs jours aux côté sur Baron de Magoer et s'était profondément attachée à lui et à ses filles.
Elle trouva un gros tronc d'arbre rejeté sur la plage, et décida de s'y installer quelques instants, face à la mer. Réfléchir, surtout... réfléchir !

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Tamella
Après avoir pris sa décision, elle se leva, respira encore à plein poumons l'air du large et rentra au village. Là elle prit la direction de la Mairie, pour faire son devoir de citoyenne.
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Morgannen
Quittant la prison où je venais de rendre visite à la comtesse je pris la route du port. Je n'avais pas envie de rentrer tout de suite au domaine.

En chemin j'apercus Gwenvael, je ralentis le pas pensant qu'il s'arreterait un instant mais il ne remarqua pas ma présence et poursuivit sa route.

Soupirant doucement j'avais alors repris mon chemin. Le temps était sec mais le vent était lui bien présent. Je le sentais caresser violemment mon visage et s'engouffrer dans mes cheveux.

Plongée dans mes pensées je luttais contre les bourrasques qui m'empechaient d'avancer. Il aurait sûrement été préférable que j'emprunte un cheval à Medreac pour venir en ville mais marcher me faisait du bien.

Les rues de Vannes étaient vides. Chacun devait être à son échoppe ou ses champs. Ce n'est qu'en arrivant près du port que je commençais à y croiser quelques habitants.

Il y avait toujours autant de bateaux de toutes tailles. Je reconnus le
pêcheur qui nous avait servi de guide lors de notre arrivée. Celui-ci venait d'amarrer sa barque. Je le saluais, en relevant la tête il me reconnut et me salua à son tour en m'adressant un sourire que je lui rendis. Il me demanda quand il aurait le plaisir de nous faire découvrir d'autres îles et je lui répondis en haussant doucement les épaules que je l'ignorais.

Lui souhaitant la bonne journée je repris la route jusqu'à la plage. L'edroit était lui aussi désert. Seul quelques oiseaux marins se trouvaient sur le sable. Ici le vent était encore plus fort. Je regardais un long moment les vagues venir rageusement s'abattre sur l'étendue dorée gagnant à chaque fois un peu plus de terrain.

Tout en regardant la nature se dechainait je repensais à ma première venue ici, à notre balade en bateau, à notre rencontre avec la dame en noire. Je me demandais ce qu'elle était devenue, si elle avait retrouvé la paix ou si elle avait rejoint son bien aimé. Souvent je la revoyais dans mes songes. Je me voyais aussi parfois bien des années plus tard vêtue moi aussi de noire venir me recueillir et fleurir la tombe de celui que j'aimerais à jamais.

De temps en temps je me retournais espérant le voir s'approcher mais je savais bien qu'il n'en ferait rien cette fois. Premièrement parce qu'il ignorait que j'étais ici et deuxiemement parce qu'une fois sa visite auprès de la comtesse terminée il regagnerait Medreac pour reprendre son poste.

Et pourtant j'aurais aimé partager ce moment avec lui. Ces instants étaient devenus si rare et je devais bien admettre que ca me manquait même si je préférais ne pas lui en parler.

Tirant de ma besace l'instrument sur lequel je m'entrainais, je me mis à jouer une douce mélodie


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Tamella
Enfin de retour dans sa ville, Tam encore épuisée par ce voyage n'en éprouva pas moins le besoin de venir respirer l'air du large.
Elle n'avait pas encore récupéré ses chiots au Domaine du Baron Ftn, aussi c'est seule qu'elle parcouru le chemin entre sa maison et la plage.
Elle s'était un peu assoupie à leur arrivée à Vannes, dans la nuit et c'est assez tard dans la matinée qu'elle put enfin venir se délasser les pieds dans le sable.
Elle respira à pleins poumons cet air frais, vivifiant. S'installa sur le tronc où elle avait pris l'habitude de se poser et qui, semblait désormais bien fixé sur la plage. Les vagues ayant probablement décidé de l'y laisser encore pour quelques temps. Puis elle songea à ce voyage qu'elle venait de faire, à ce grand bouleversement dans sa vie depuis sa rencontre avec le Baron et sa famille. Elle éprouvait désormais de réels sentiments pour cet homme, avait une affection sincère pour ses filles et hâte de connaître son fils. Mais le temps devait faire son oeuvre et le deuil du Baron devait prendre fin avant qu'elle ne puisse imaginer un quelconque avenir officiel à ses côtés. Mais par dessus tout elle souhaitait que son honneur soit préservé et qu'aucun ne puisse la traiter de fille légère, accompagnant un Baron pour quelques temps... Aussi il lui fallait garder des distances et ne point crier sur les toits tous les sentiments qui l'animaient.
Elle soupira.... soupira encore et regarda les vagues, jusqu'à ce qu'un sentiment d'apaisement la gagne et l'encourage à se lever pour rentrer chez elle...

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Tamella
Elle arriva essoufflée sur la plage cet après-midi !
Tam' avait vu, en l'espace de quelques heures sa vie basculer dans le bonheur total !
Tout d'abord cette demande surprenante de Bors, cousin du Baron Ftn, d'être la nouvelle tavernière de Vannes. Demande qu'elle s'était empressée d'accepter. Puis, la non moins surprenante mais tant espérée demande en mariage du Baron !
Il avait surgit en taverne et, devant tout le monde, lui avait demandé de l'épouser. Quelle surprise et quel grand bonheur. Quel honneur surtout. Etre l'élue d'un homme si bon, si apprécié de tous.
Après avoir passé un long moment à discuter avec ses amis et connaissances en taverne, Tam' avait rendu visite à son ami et ancien Tribun Johanis puis, elle avait éprouvé le besoin de venir sur la plage, respirer et crier sa joie


Il m'aime !!! Il m'aime !!!!!!!

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Tamella
Réveillée comme à l'accoutumée tôt le matin, Tam' s'était une nouvelle fois rendue sur la plage. Mais avec au fond d'elle cette fois-ci une profonde colère, que même les vagues n'arriveraient pas à apaiser. De retour à Vannes depuis 3 jours à peine, elle avait dû supporter bien des désappointements. Tout d'abord la colère hystérique d'une femme qui visiblement n'appréciait pas sa relation avec le Baron ou qui plutôt aurait aimé être à sa place, mais n'avait jamais eu le courage de lui avouer... et dont elle attendait des excuses pour son comportement inqualifiable et public. Mais s'excuser c'est faire preuve d'intelligence et ce n'est pas donné à tout le monde... La colère tout aussi hystérique de certains membres du Conseil Municipal qui ne cessaient de se crêper le chignon et devenaient absolument insupportables, ruinant l'ambiance conviviale de cette ville. Les tensions, messes basses, critiques, divisions, délations... Allant jusqu'à faire fuir les plus honnêtes et dévoués Vannetais. Tout ceci n'était pas pour elle. Elle l'avait précisé à maintes reprises, elle ne souhaitait en aucun cas prendre parti. Mais il lui était devenu impossible de croiser certaines personnes et surtout, elle avait autre chose à faire que de perdre son temps à ces stupidités. La politique n'était pas faite pour elle !
Alors certes, si comme elle le prévoyait, rien ne pouvait changer désormais à Vannes, elle partirait aussi ! Au diable les promesses, les bonnes intentions. Quelqu'une voulait sa place, et bien soit, qu'elle la prenne ! Les ami(e)s, les familles, les amours et les emmerdes (pardon, pardon) trop peu pour elle ! Elle était arrivée seule, elle repartirait seule.

Qu'ils aillent tous au Diable, puisqu'ils ne veulent que la guerre !!!

Devant, le bonheur était devant et elle allait le chercher !!!


Si quelqu'un connait une ville calme, apaisée, joyeuse... merci de me donner son nom, je pars sur le champ ! Même en France...
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Emmuzzz
Muzette vint marcher au bord de l'eau.
Elle enleva ses chausses, pour sentir le sable frais sous ses pieds.

Elle regardait les bateaux et rêvait de voyage...mais pour le moment, elle devait patienter.
Il était trop tôt pour partir..même si en ce moment Vannes se désertifiait de ses villageois, un peu plus chaque jour!!

Heureusement, pendant ses gardes, Muzette croisait des voyageurs des 4 coins de la France et même d'Europe.
Leurs histoires la faisaient voyager, car elle avait une grande imagination, la grande rouquine aux joues rouges.

Elle était heureuse car, enfin elle avait prit son courage à deux pieds pour aller en taverne...
Et elle ne regrettait pas.
Elle a pu rencontrer de bonnes et de belles personnes.

Son coeur était gonflé à bloc.
D'amitié et d'amour....
Mais son coeur, à lui, est déjà prit lui a t-on dit...
Et il allait même bientôt se marier...avec Dieu.

C'est ainsi.....!
La belle cheveux au vent divaguait sur cette plage ou beaucoup de gens venaient déverser leurs pensées dans la mer.
Pour que ces pensées tristes partent au loin et ne reviennent jamais.

Elle prit une grande respiration d'air iodé

AHHHH, la mer, l'eau, le sable tant d'éléments qui me ressourcent.

Elle remit ses chausses, chaussa un beau sourire sur son visage et
alla voir Zéphyr.
Le plus précieux de ses amis à poils tout doux.



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Emmuzzz
Muzette revint sur cette plage avec l'homme quelle aimait.
Il était là, avec elle.
Elle n'en croyait pas ses yeux , ni son coeur.
Elle se blottit tout contre lui.


Trugarez, j'avais besoin de prendre l'air.

Elle lui serra le bras très fort.
et l'embrassa sur sa joue gauche.

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Oslohypsnoz
Fauche_corps se sentait léger, sa douce et tendre à ses côtés, la plage, la mer..
Il prit sa Muz dans ses bras et la serra fort, puis lui releva le menton et l'embrassa amoureusement


Quel plaisir d'être là avec toi

Il la prit par les hanches et l'embrassa à nouveau et lui chuchota des mots doux à l'oreille
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Emmuzzz
Muzette était dans un état de plénitude.
Elle aimait comme il la prenait dans ses bras, comme il l'embrassait.
Elle l'aimait si fort, que ses joues étaient encore toutes rouges.

Elle espérait que ce bonheur allait durer, car le bonheur fait toujours des envieux, des envieuses.

Elle lui murmura qu'elle avait
hâte que leur peau se touche, se frôle.



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Oslohypsnoz
C'est une journée bien particulière pour Fauche_corps ,
Il décida d'aller faire un tour sur la plage en sachant qui il allait y trouver
Il vu Muzette habillé de sa robe blanche assise sur le sable, elle regardait vers le large et se pensait seule,
Elle était magnifique, Fauche_corps ne voulu pas la déranger car il adorait la voir vivre
Il resta ainsi à la regarder durant un long moment puis il se décida tout de même de rentrer au village

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--Le_rat_noir



rassemblez vous les survivants , au lavoir
Ys.
Un beau jour, ou peut-être une nuit.

Dans le silence de la nuit, après avoir fait un tour vers les pontons du port pour regarder les navires, la jeune femme avait pris le chemin qui mène vers la plage.

Seule dans la fraîcheur de la nuit, elle avance lentement. La lune est encore assez belle pour éclairer la voie. Le sable est enfin à portée de ses pieds, Neige s'arrête alors aux portes de la plage dénuée de vie qui s'offre à elle. Les bottes sont retirées et gardées en main, le sable épouse à présent la forme des petits pieds fins de la Belle qui se dirige vers l'eau, le rivage. Elle connaît un soubresaut lorsque les premières vaguelettes viennent lui lécher les pieds, saisit soudain par la fraîcheur de l'océan. Un soupir est rapidement lâché juste après, Candyce adorant cette sensation.

Elle entreprend alors de longer le rivage et de laisser l'eau lui monter aux chevilles alors qu'elle laisse divaguer son esprit morose en cette soirée. Sa vie se voit de plus en plus difficile en ce moment, d'un manque certain en rencontres, de rencontres en complicité partagée, de complicité partagée en instants forts comme la naissance d'un enfant dans ses propres mains... De nouveaux liens qui se tissent, d'autres qui résistent au temps, l'envie de bien faire sur tous les fronts, l'envie d'aller de l'avant tout en oubliant personne en route. Le désir de faire en sorte qu'une place soit gardée pour chaque chose et que chaque chose soit à sa place. Le plus difficile étant parfois de trouver les bonnes places pour telle ou telle choses.

Il y a un temps où l'on se pose des questions sur soi, sur ce que l'on désire vraiment, de notre place dans cette vie. Une vie que l'on aurait dû quitter il y a déjà longtemps... Mais que l'on a choisi de poursuivre, sans trop savoir pourquoi. On pense savoir qui on est et ce que l'on fait, mais parfois, certaines choses viennent nous prouver que quelque chose ne va pas tout à fait comme on le croit. Parfois on se berce d'illusions, on essaye de se convaincre que tout va bien, que l'on a tout ce qu'il nous faut. Dans le fond... ce n'est peut-être pas le cas réellement. C'est dans ces moments là qu'il faut tenter de se recentrer sur l'essentiel, sur ce que l'on connaît et que l'ont a d'acquis. Mais il est parfois dangereux de le faire aussi.

La jeune femme stoppe sa marche et se tourne vers l'océan, le large, l'horizon. Le bruit des vagues calmes l'hypnotise. Son regard se perd dans le lointain, dans l'obscurité de la nuit. La lumière lunaire se reflétant faiblement sur l'eau qui ondule tel un serpent. Il y a parfois des instants où l'on ne sait plus ce que l'on veut, où l'on nage dans les incertitudes, où l'on se perd dans les méandres de sa personnalité. Parfois on ne sait plus, tout nous échappe et on se laisse aller à s'imaginer l'avenir, si on fait tel ou tel choix, telle ou telle chose. Des fois nous n'avons rien, des fois nous voulons tout. Un tout déchirant lorsque l'on prend conscience que le juste milieu est inacceptable, insupportable. C'est dans ces instants que tout se bouscule, tout se mélange dans un tourbillon qui mène jusqu'à la rupture avec la vie.

Et c'est ainsi que l'on avance sans trop savoir, que l'on rentre dans l'eau, qui nous saisit et nous refroidit à mesure que l'on s'enfonce irrémédiablement vers les abysses qui nous accueillent et nous emportent au loin. Silhouette nue qui s'enfonce dans l'obscurité, ne laissant qu'une robe, une chevelure blanche et une paire de bottes sur le sable fin dans le silence de la nuit.

Mais cette fois, Jorbas l'a suivie. Ah... ce cher Jorbas, toujours là quand il faut... et même quand il ne faudrait pas. Le Kraken rejoint sa maîtresse afin de la sortir des abysses. Pour la seconde fois, toujours dans le silence de la nuit.

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Peu importe mon nom...
 
Tamella
Tam' sur la plage ...

Revenir ici, flâner les pieds dans le sable et la tête dans les nuages, et regarder les gens se promener. Les amoureux, les solitaires, les courageux, les tavernières...
Revenir seule mais accompagnée dans le coeur et remplie d'espoir de repartir ailleurs.
Revenir ici, s'éloigner un peu... marcher dans le sable et rêver. Etre attendue, espérée peut-être. Y a-t-il encore quelqu'un ? un endroit ?
Faut-il partir très loin pour être bien ? Etre chez soi ?
Faut-il tout quitter encore pour le trouver enfin ? Qui suivra ou restera ?
Qui aimera ou pas ?
Vouloir parler et puis se taire. Quelle importance le silence ? C'est comme la guerre !
La mort des uns fait-elle le bonheur des autres ? l'amour des uns fait-il envie aux autres ?
Faut-il se séparer pour ne pas être enviés ? se rapprocher pour lutter ?
Et l'amitié ? faut-il la rejeter ou la garder ?
Pardonner à ceux qui blessent, mais s'en aller, sans laisser d'adresse. Ne pas fuir surtout, juste s'en aller.
Elle est fidèle et le suivra, où il ira ! Elle a confiance, il l'aimera... toujours !
Elle l'aime tant, son élégant !

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Morgannen
En quittant le domaine j'avais pris le temps de me balader. La journée commençait à peine et il faisait encore frais.

J'avais le coeur en fête et je sifflotais joyeusement. Ca n'était pas très digne pour une dame mais j'étais seule je ne risquais donc pas de choquer quelqu'un.

Je longeais un petit ruisseau où j'apercus des poissons filer à tout allure. De temps en temps je m'arretais pour cueillir des fleurs des champs qui commençaient à éclore.

Puis mes pas finirent par m'amener sur la plage. J'appreciais cet endroit et j'étais ravie d'y revenir. Comme la première fois où j'étais venue ici je m'installais sur un rocher et plongeais mes prunelles dans l'horizon. Le bruit des vagues était agréable et apaisant.

De temps en temps je me retournais pour voir si Gwen arrivait. J'espérais de tout coeur qu'il viendrait à notre rendez vous.

En attendant mes pensées volaient vers lui et les doux moments passés ensemble me revinrent en tête me faisant sourire.


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