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Retrouvailles

Gwenvael
Un jeune garde de Médréac m'avait fait parvenir le mot de ma douce. Je lui avais donc laissé quelques instructions pour mon absence a venir. Et sans hésitation j'avais enfourché mon étalon noir et blanc et j'étais partis au galop, direction la plage de Vannes.

Je passais rapidement le port, apercevant au passage le vieux pêcheur qui nous avait offert une courte ballade dans le golfe, je le saluais rapidement sans m'arrêter.

Mon étalon posait enfin ses sabots sur le sable, je m'arrêtais un instant cherchant Morgannen du regard. Je lorgnais rapidement vers l'océan. Et je regardais dans le ciel les oiseaux marins, enviant un instant leurs pouvoir de liberté. Puis reportant mon regard le long de la plage, je reconnu non loin la silhouette de ma brune. J’ordonnais a mon étalon de partir au pas pour m'approcher calmement de ma brune.

J'étais assez silencieux, couvert par le cris des goélands, des mouettes et de la houle. Je m'arrêtais a quelques pas de Morgannen, prenant quelques instant pour apprécier les courbes de ses hanches et de son fessier.

Demat Gente dame, il est fort imprudent pour une dame, de ce promener seule sur une plage. Quelques manants pourraient bien profiter de la situation.

Perché sur mon étalon, j'attendais qu'elle ce retourne, et je remettais en place mes cheveux qui avaient été mal menés par ma folle chevauchée jusqu'ici.
Morgannen
Mes prunelles perdus dans l'horizon mes pensées continuaient de voguer sur les flots. Le soleil était plus haut dans le ciel et il faisait même presque chaud. Je profitais pleinement des rayons du soleil qui venaient caresser ma peau et de la légère brise qui venait m'apporter les odeurs salées de la mer.

J'étais tellement plongée dans mes pensées que je n'avais pas entendu les bruits de sabot s'approcher. Aussi je sursautais un peu quand la voix du capitaine me parvint.

Me retournant je lui souris heureuse qu'il soit venu.


Demat capitaine. Vous avez sans doute raison mais maintenant que vous êtes là, je ne risque plus rien.

Je me redressais pour m'approcher de l'étalon et de mon tendre. Ainsi perché sur son noble destrier, il ressemblait vraiment à un seigneur.
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Gwenvael
Je souriais a ses paroles. Bon maintenant que nous étions là j'avais une idée derrière la tête, la plage était déserte, c'était l’occasion de lâcher les chevaux comme l'on dit.

Je lui tendais la main pour l'inviter a grimper sur le cheval en ma compagnie.

Monte! on va galoper un peu sur la plage.

Je la regardais avec le désir des premiers jours, rien n'avait changé malgré le temps et mes fonctions prenantes.
Morgannen
Galoper tous les deux sur la plage ? Ca n'était pas vraiment mon idée mais ma foi nous avions la journée et puis tout ce qui m'importait c'était de passer un moment avec lui.

Je perçus son regard et je ne pûs empêcher mon corps de frissonner. Malgré le temps qui passait cette passion et ce désir pour l'un l'autre qui nous liaient depuis le début, ne s'étaient pas estompés.

Je lui adressais le même regard alors que j'attrapais sa main pour monter derrière lui. Une fois bien installée je me penchais sur mon capitaine pour effleurer ses lèvres d'un baiser puis lui murmurer doucement à l'oreille
Trugarez d'être venu, da garout a ran.

Puis je passais mes bras autour de sa taille

Allons y capitaine montrez moi ce que votre étalon à dans le ventre.
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Tamella
Une dernière promenade sur cette plage, les pieds nus. Une matinée ensoleillée, le calme enfin revenu, la tempête passée, reste les déchets sur le sable, les branches, les algues et tout ce que la mer peut rejeter de mauvais ou de bon... Les vagues viennent lui caresser les pieds, puis repartent la laissant frissonnante, mais si bien.
Un coquillage est arrivé là, et tam' ne le voit pas.... elle marche dessus



Un coquillage avec de longues pointes, qui s'enfoncent profondément sous son pied. La douleur lui remonte jusqu'au coeur, tant elle est violente. Comment ne pas repenser à toutes ces piques, ces pointes qu'elle a subies et supportées ces derniers jours. Cette immense fatigue accumulée par ces nuits sans sommeil, à se demander pourquoi continuer, à attendre que tout s'apaise, à espérer, à voyager, à fuir... Elle sent s'est forces l'abandonner et vacille, puis tombe sur la plage. Inanimée. Le trou noir !
Son pied saigne abondamment, et les vagues viennent plus souvent maintenant s'approcher d'elle. Bientôt elles l'envelopperont, pour la réveiller enfin... ou la noyer.
Elle sursauta, réveillée par une vague plus forte que les autres. Trempée, grelottante, surprise... Et la douleur, toujours présente. Elle se releva et parvint a s'éloigner de la plage en essayant de marcher, sur la pointe du pied, se retenant de gémir à chaque pas... La ville était bien loin...

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Gwenvael
Je sentais ses bras autour de ma taille et son souffle dans mon cou. Cela me donné des frissons fort agréable. Je plongeais mon regard trop devant, une grande respiration puis je faisais cabrer kavalek mon étalon tout en prononcant quelques mots a voix haute.

Atao! Feal ni a jomo!(Toujours! Nous resterons fidéle!)

War-raok Kavalek!!!(En avant Kavalek)

Les sabots des pattes avant de l'étalon se posérent violement sur le sable et il s'élançait dans un rapide et puissant galop. Nous longions a grande vitesse la plage, quelque fois arrosé par les éclabousures que provoqué le cheval au contact de l'eau salée de l'océan.

Le vent cumulé a la vitesse du cheval me fouettait le visage et mettait en bataille mes cheveux. Assurément la belle chevelure de morgannen devait elle aussi onduler au gré du vent et de la vitesse, tel un noble étendard.

Quelle sensation de liberté en ce moment. Un peu de temps rien que pour ma dame. C'était rare de part ma fonction mais je comptais lui offrir sans retenu ce temps là.
Morgannen
Et bien je voulais de la rapidité, j'étais servie. Le destrier se révélait être aussi fougueux que son propriétaire. Cette pensée me fit sourire alors que je resserrais mon étreinte autour de sa taille.

Le vent se prenait dans mes cheveux les faisant voler à tout va. Je n'osais imaginer la tête que j'aurais lorsque nous descendrions.

Ma tête posée sur son épaule je gardais les yeux grand ouverts. De temps en temps je sentais sur mon visage les éclaboussures provoquées par les sabots du cheval.

Ce moment de liberté partagé avec lui était plus qu'agréable et je savourais pleinement chaque seconde du temps qu'il m'offrait.

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Gwenvael
Après un chevauchée un peu folle plein de liberté, je faisais ralentir Kavalek pour lentement le faire au final stopper. Je l'entendais souffler tellement la course avait été puissante. je lui caressais l'encolure pour le remercier et lui prouver mon affection.

Puis je sautais de cheval pour laisser mes bottes toucher le sable fin. Je regardais Morgannen lui tendant la main pour l'aider a descendre.

Venez Dame Morgannen d'Esposito, asseyons nous quelques instants sur la plage, pour admirer le vol et le chant des oiseaux, sentir le vent marin nous apporter ses odeurs et admirer l'immensité de l'océan, quelques instants d'évasion.

J'avais juste envie de m'assoir avec elle, contempler la nature et me vider la tête, juste cela.
Morgannen
Kavalek s'était lancé dans une course folle. Il semblait apprécier lui aussi ce sentiment de liberté qui nous avait gagné. J'aurais bien continuer encore un moment cette balade mais il fallait laisser l'étalon se reposer.

Je le sentis ralentir répondant aux gestes de mon brun. C'est deux là étaient vraiment fusionnels. Puis le cheval stoppa complètement. Prenant la main de Gwen je descendis de la monture et lui caressais également l'encolure pour le remercier de la balade.

Je suivis le capitaine et m'installais à ses côtés en m'emparant de sa main. Je restais silencieuse laissant mon tendre s'évader. Je contemplais moi aussi la nature jouant avec son anneau. Sa manche était un peu relevée et en baissant le regard j'aperçus la dernière lettre de mon prénom gravée. Le souvenir de ce moment de folie me revint en tête et je souris.

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Ys.
Quel autre choix ?...

Il était tard dans la nuit quand la jeune femme au bout d'une errance incertaine dans les rues de la cité échoua sur cette maudite plage.

Elle a dû éviter les soûlards et autres personnes peu recommandables cette nuit là. Elle se serait sans doute laisser faire sinon, par dépit, par renoncement. Ses pas la mène vers cette plage pour y faire quelques mètres dans le sable jusqu'à poser ses yeux sur l'horizon. Ce n'est pas la première fois qu'elle vient ici, et certains souvenirs y sont douloureux. Ses joues sont inondées de larmes de tristesse mais également de colère. La pluie lui glace les os mais peu lui importe, elle ne le sent qu'à moitié de toute façon. La soirée a été horrible, au début cela allait encore mais la fin aura été une terrible épreuve. Pourquoi a-t-elle fait cela ? Ce geste qui l'a profondément blessée ? Elle ne comprend pas qu'elle lui en veuille à ce point, après tout ce qu'elle a dit avant. Ou peut-être que si après tout... Elle est déçue elle-aussi, blessée et brisée, oui... Mais le mal est fait.

Ses yeux se perdent dans la nuit, la pluie s'intensifie mais la jeune femme ne bouge pas d'un cil. Un choix a été demandé, un choix a été fait. Elle ne peut pas la quitter, elle ne peut pas. Et au fond d'elle, elle sait bien que tous les autres choix découlant de celui-là auraient été encore plus source de souffrance. Son cœur saigne aujourd'hui, mais c'est de sa faute, elle l'a bien cherché comme une grande et a accepté de tout prendre sur ses épaules. À présent, il lui faudra vivre avec ce poids à porter. Il y a des liens qui ne peuvent être détruits... Ce soir, elle en paye le tribut. Une vie a été brisée par sa faute et elle ne se le pardonnera jamais. Elle devra néanmoins le cacher au fond d'elle, autant qu'elle puisse par Amour pour sa femme. Elle se doit d'assumer ses choix pleinement. Aphélie s'est montrée étonnante et Candyce se doit d'être à la hauteur. Les choses sont ce qu'elles sont, et l'on se doit de faire avec, ou mourir.

La jeune femme s'avance vers l'eau une fois de plus mais s'arrête juste avant que les vagues mourantes n'atteignent ses bottes trempées. Elle repense à la dernière fois, et se dit que peut-être... Oui, elle pourrait s'y jeter une fois de plus, mais non, elle ne le peut. Elle a choisi et doit s'y tenir. Quelque chose s'est brisé en elle, une partie d'elle-même s'est refermée ce soir là.

Neige empoigne sa perruque puis la lance à l'océan, telle une offrande pour une vie gâchée. À présent, elle doit retrouver sa femme qu'elle sait ne pas dormir, qu'elle sait inquiète, qu'elle sait en souffrance à cause d'elle. Et comme la promesse qu'elles s'étaient faites dès le début de leur relation... Celle de ne jamais se mentir, de rester ensemble jusqu'à la toute fin, la jeune femme retourne vers son « Épouse »... Même si les choses ne seront sans doute plus jamais comme avant, elles seront à leur place de nouveau.

Candyce se retourne et rentre à la cité sous la pluie battante. Elle passera par sa chambre personnelle avant de rejoindre Anne. Assise devant son pupitre et son miroir, celle-ci entreprendra de raser son crâne à l'aide de l'une de ses dagues avec méthode et minutie en s'aidant de plusieurs miroirs à la fois pour l'arrière. Ce n'est qu'une fois cela fait, qu'elle rejoindra Aphélie dans leur chambre commune pour y passer la nuit. Une nuit glacée, comme si la pluie avait réussi à pénétrer ses os.

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Peu importe mon nom...
 
Oslohypsnoz
Thomas alla profiter de cette belle journée de printemps pour aller sur la plage,

Il enleva ses bottes et ses habits ne gardant que ses braies qu'il remonta au dessus des genoux,

Le sable était chaud, il lui caressait les pieds à chaque pas, il avait prévu une miche de pain pour jouer avec les goélands qui volaient tout autour de lui, il s'amusa à les courser essayant vainement de les attraper. Il souriait en jetant des morceaux de pain ici et là et en regardant les oiseaux se battre pour arriver le premier dessus.

La marée était basse et des rochers couvert de moules étaient accessibles sans trop se mouiller. Il alla chercher un sac en peau et revint sur les lieux.

Il rentra dans l'eau et alla à la pêche aux moules, pensant à la régalade que seront ce soir ces coquillages préparés à la marinière




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Emmuzzz
Muzette aimait bien se balader au bord de l'eau, cheveux au vent.
C'était un après midi chaud, elle avait besoin de se rafraichir un peu.

Thom était entrain de faire le déménagement entre les chaumières et la maison suspendue.
Elle lui avait laisser un petit mot sur la table de la salle à manger:




Je suis partie me baigner, rejoins moi quand tu es disponible , si tu veux ..je t'aime ta Muz



La belle s'était confectionnée un habit de baignade, elle aurait bien voulu nager nue, mais vu l'heure de nombreux villageois et voyageurs allaient sans doute errer sur la plage.

Elle avait cousu un habit étrange, deux petits triangles en coton blanc brodé de dentelle, le tout relier par un lien pour cacher sa jolie poitrine en forme de pomme d'api.
Elle attacha ce bout de tissus derrière le cou et derrière le dos.
Puis elle avait confectionné une sorte de braies très courtes, laissant apparaitre les cuisses, mais cachant l'essentiel, toujours en coton blanc et bordé de dentelle.

L'artiste était un peu folle de mettre ce genre de vêtement sur la plage, tout le monde était bien couvert!
Mais mince, un lézard a besoin de sentir les rayons du soleil sur la moindre écaille, sur le moindre centimètre de peau.

Elle marcha en direction de l'horizon, son corps disparaissait au fur et mesure qu'elle marchait... quelques mètres plus tard on ne vit plus que sa tête.
Puis elle disparut complètement.....seules quelques bulles à la surfaces marquaient sa présence.






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Oslohypsnoz
Thomas en rentrant vu un mot laissé par Muz

Citation:
Je suis partie me baigner, rejoins moi quand tu es disponible , si tu veux ..je t'aime ta Muz


Voyant qu'elle voulait qu'il la rejoigne, les idées se bousculèrent dans sa tête.
Il avait d'excellents souvenir de leur ébats sur la plage et dans la mer même froide.
Il l'imagina toute nue dans la mer ou presque nue sur le sable prenant le soleil...
Il garda juste les habits nécessaire pour la traversé du village, ses braies et son haut de laine, quelques peu déchirés et usé mais propre.

Il arriva sur la plage et scruta les environs, personne en vue sur la plage, personne dans l'eau non plus, étrange...
Il avança sereinement pensant qu'elle voulait le surprendre et peut être se cachait elle.
Rien de cela, en regardant la mer il vu sa tête au dessus de l'eau, elle nageait, il était tout excité de la retrouver ici.
Il se mit torse nue et s'approcha de la mer, il regarda autour de lui et sur la plage en général et ne vu personne, il enleva ses braies et rentra nu dans l'eau.
Muz l'avait vu et elle nagé vers lui, il se dirigea vers elle rapidement, remuant les flots qui freinaient son avancé.

Il s'enlacèrent vigoureusement, s'embrassèrent.. Il posa ses mains sur elle, sous l'eau, et sentit des tissus recouvrant son exquise féminité, il passa ses mains dessus et la caressa puis coquinement insinua ses doigts dessous...

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Emmuzzz
Muzette vit son homme arrivé sur la plage, elle replongea dans l'eau telle une sirène, et se rapprocha du rivage.

Il était là en tenue d'Adam, la tenue que la rousse préférait.
Enfin, ils se retrouvèrent après une longue journée loin de l'autre.
Enfin, ils pouvaient se respirer, s'embrasser...

Une immense tendresse raisonnait dans l'eau.
Les amants jouaient dans les vagues, leurs corps brûlés, enlacés...
Ils étaient fou, fou d'amour....



Je suis contente mon Thom que tu sois là....
J'aime quand tu es proche de moi, je me sens tellement vide quand tu es loin...même à un mètre.

Elle rit , puis se mit à nager au large, pour qu'il la rattrape...
Son rêve était trop beau...Le soleil se couchait, les amoureux s'aimaient encore et encore.

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Oslohypsnoz
La nuit s'approchait et Thomas ne voulais pas partir tout de suite,

Il alla chercher le bois qu'il trouva ici et là sur la plage et alluma un feu de bois.







Il posa sa cape sur le sol pour que Muz puisse s'y allonger, il avait envie de lui faire des milliers de caresses et d'admirer son corps encore et encore.

Muz s'allongea sur le ventre, presque nue, près du feu, n'ayant gardé que le minimum pour cacher son intimité au cas où quelqu'un passerait par là.
Il passa ses mains délicatement sur son corps, lui donnant la chair de poules à certains endroits, lui faisant pousser des petits gémissements à d'autres.
Sa Muz était aux anges, elles fermaient les yeux, Thomas profita de ce moments de détente et de bonheur absolu.

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