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Retrouvailles

Pailettedargent
Citation:
...Tu penses que nous allons devoir faire une demande officielle en mairie ?


-Au moins ça!


Pailette se mit à rire à nouveau,tout en glissant ses doigts dans la chevelure de leur fils.

-Tu étais sérieux mon cœur quand tu m'a dit qu’un autre enfant était une idée?

Amaury s'était endormi ,tandis que les autres enfants jouaient sur le sable.

-Papaaaaa,'iennns!'Iolette,'Zeph m'embêtent!!!!

-Oh le devoir t'appelle mon amour.


Duguay_trouain
Se pose, s'allonge et s'endort.
Damelin
Lin, après être sortie de taverne, vit de loin cette grosse ligne bleue qui semblait s'étendre à perte de vue. Elle décida d'aller en sa direction et arriva sur la bande de sable qui formait la plage. Elle regarda les gens qui y étaient, couples et familles avaient l'air d'y être heureux. Elle se mit un peu à l'écart, se déchaussa, et s'avança.

C'est donc cela, l'océan ? Murmura-t-elle, la gorge serrée par l'émotion.

Elle qui n'avait jamais rien vu d'autre que les labours et les forêts profondes ... Le choc était de taille.

Après quelques pas, la thouarsaise s'accroupit, puis pris du sable et le frotta entre ses doigts, en regardant l'horizon.
Puis, elle se releva, et alla tremper ses pieds dans la mer froide. Elle ferma les yeux et écouta, en souriant, les doux sons qui émanaient des roulements de vagues venant s'étendre sur la plage, tout en savourant le vent frais qui faisait voleter sa tignasse brune.
Henri_de_plumaugat
Citation:
- Tu étais sérieux mon cœur quand tu m'a dit qu’un autre enfant était une idée ?

Il la regarda en souriant.

- Je ne plaisante jamais quand il s'agit des enfants. Tu sais bien que cela ne me dérange pas d'avoir toute une ribambelle d'enfants autour de moi. Mais je ne suis pas tout seul, et je pense à toi.

Il se pencha par dessus Amaury endormi et déposa un baiser sur les lèvres de celle qu'il aimait plus que tout au monde.

- Papaaaaa, 'iennns ! 'Iolette, 'Zeph m'embêtent !!!!

Citation:
- Oh le devoir t'appelle mon amour.


- Oui...

Il se leva et rejoignit les enfants.

- Qu'est-ce qui se passe ici ?

- C'est 'Iolette et 'Zeph, y m'embêtent...

Et la petite de commencer à pleurer.

- Eh ! Eh ! Eh ! Qu'est-ce que c'est que c'est larmes ? Ne pleure pas et essayez de jouer ensembles tous les trois sans vous disputer... Papa va jouer avec vous. A quoi vous voulez jouer ? Violette, une idée ?
Lili23
Violette regarda sont père et reflechit:

-Hum...on pou'ait jouer a fai'e des chateaux?
Elle sourit en regardant sont père.
Henri_de_plumaugat
- Hum... on pou'ait jouer a fai'e des chateaux ?

- Oui, bonne idée ! Allez, tout le monde au travail. Il faut commencer par construire le donjon, c'est la partie centrale et la plus solide du château.

Tous à genoux, ils se mirent à élever une tour plus ou moins droite et plus ou moins régulière.
Pailettedargent
Pailette les observait en souriant,elle était fière de ses enfants et de son époux.
Henri,son Amour,sa vie,elle ne pouvait pas imaginer une seule seconde vivre sans lui,il représentait tout pour elle,il était son pilier,sans lui,elle s’effondrerait.

Dans un souffle,comme pour elle même,Pailette murmura un "je t'aime" qui fut suivi par un:

-Moi 'ssi ,t'aime.

Elle tourna la tête vers Amaury,le petit bonhomme s'était réveillé,elle le prit entre ses bras,l'embrassant de toute la tendresse d'une maman.
--Yaouen


Ni le premier, et encore moins le dernier essai. Son coeur s'emballait à mesure que la plage approchait. Pitchounet qui frissonne. Epaisseur des chausses, surchausses, chemise, doublet en laine dont maman a attaché elle-même les aiguillettes bien serrées comme il faut, petite houppelande de page dessus, puis ledit chaperon et pour finir la petite cape en laine…tout était passé au crible par l’œil de maman qui avait permis aucun écart. Ça avait été laborieux.
Bref au final, c’est un saucisson, le Yaouen, un p’tit pâté en croûte de laine comme avait dit Maman hilare pendant toute la séance essayage.Puis il était vexé, vertement vexé ! L’était pas une poupée, il est un p’tit mec, et il est plus un bébé. Noooon même que ça fait des jours et des jours qu'il s'entraîne et qu'aujourd'hui c'est le grand jour !

Alors il encaisse le petit prince, il encaisse, écarlate, la bouche pincée et les poings serrés.
"Oui…. Oui…. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !"Pitchounet qui part d’un fou rire cristallin."Alors là, ça va être la guerre à partir d'aujourd'hui ! ". Un coup d'oeil en arrière, maman et son gentil marin bougent pas un arpion. Il le connait pas des masses mais il fait sourire maman alors il a gagné son attention et ses risettes.

Elle sourit même. Oh? Sérieux? Je peux courir sans que tu m'sautes sur l'poil? Banco! Rester sage. S'tenir bien droit. Ne pas réagir. Ralentir aussi, tout doucement ! Vlan !!. Un paquet blanc lui arrive dans la tronche et ça pique, le sable en pleine face. Et puis ça se met dans les tissus et ça descend dans le col du doublet et de la chemise… piiiiiiiiiiiiiiiiique ! L’est furieux le pitchounet, furieux! S’est fait avoir comme un bleuet.

Mazette… vu d'en haut..

Pour sur qu’c’est grand l'Océan ! Il reste là, bouche ouverte à gober les grains de sable, en regardant l’eau.

Mais quand faut y aller, faut y aller. Lent'ment... sur les fesses.... pieds en avant...le sable c'est pas commode et ça picote les doigts. L'étendue d'eau se rapproche, se rapproche. Jusqu'à ce que ses deux petons bottés se posent dessus délicatement. On se redresse.... doucement.... on met une main en avant d'abord... puis on pousse leeeeeeeeeeeeeeeentement sur le bord pour parvenir à se mettre debout. Le voilà donc sur le terrain, petit prince debout tout raide, les bras écartés en balancier.

Allez on essaie d'avancer ? Serrage de dentines et froncement d'nez pendant qu'il se fait harceler par le vent qui s'engouffre dans sa petite chevelure, comme dans une arène et qui y tourne et retourne comme un char tiré par une centaine de ch'vaux. Il glisse son peton droit... c'est galère... mais ça passe.... peton gouche itou.... ça tangue.... re peton droit.... et là ça commence à devenir très très instable. Peton gauche qui rapplique, trop vite, beaucoup trop vite et pitchounet qui après plusieurs moulinets de gambettes se retrouve sur les fesses en réprimant un gémissement et de se remettre à quatre pattes le môme, et il entreprend de se remettre debout. C'pas aisé, mais au bout de quelques tentatives ça passe. De guingois, pas très assuré, mais ça avance. Petit à petit.

Il prend le coup de main ou plutôt d'pied Yaouen. Tout heureux d'avancer, au fur et à mesure de ses pas en s'éloignant de maman et de son marin. Tu vas voir qu'il va l'faire. Tu vas voir qu'il va réussir. Dans les dents, l'bébé, l''est un p'tit homme maintenant ! Il prend un peu de vitesse. Il lève la tête pour toiser le marin qui le suit à côté de haut. Regard style "ça te la coupe hein ?!" même si il sait carrément pas ce que ça veut dire.

Erreur fatale.

En tournant la tête, ses épaules tournent aussi, et le voilà qui tombe, violemment vers l'avant, s'écrasant de tout son poids sur la plage, les poignets et les genoux amortissant le choc que dalle de chez que dalle....Il regarde avec anxiété l'eau le petit prince.

Ça a beau scintiller comme des diamants un peu partout, ça a une lueur inquiétante, flippante. L'éclat de la houle résonne dans ses oreilles.

Vamm !!*

Bras qui se tendent vers son phare alors que des petites larmes perlent à ses yeux avec ce petit hoquet dont il sait qu'elle ne peut y résister. Dur dur d'apprendre la vie mais ça y est. Il marche.

*maman !
Henri_de_plumaugat
Tout occupé à construire le château avec les enfants, Henri n'avait pas vu la scène entre Amaury et sa maman.

- Ze vais faire les fossés pour l'eau autour du sâteau !

- D'accord, vas-y, il faut empêcher les ennemis d'entrer dedans !

- Et moi ! Quoi ze fais, papa ?...

- Tu peux aller chercher de jolis coquillages, ma puce ? On va décorer le château avec et il sera magnifique, tout comme votre maman, mais un peu moins quand même.

Il se retourna vers Pailette, un sourire malicieux sur les lèvres, mais elle n'avait pas entendu, perdue qu'elle était dans un moment de tendresse avec leur petit Amaury. Henri sourit et retourna au château pour ne pas les déranger. Mais il pensa qu'il avait la meilleure épouse qu'il se puisse rêver d'avoir sous le ciel.
Alienor.
La plage, la mer, les vagues, l'écume, le sable chaud, les rochers......Tout cela s'étendait sous mes yeux. Debout sur la digue, je regardais ce spectacle merveilleux. Ici et là, j'apercevais des gens, des amoureux, un couple heureux entouré de leurs enfants. Comme je les enviais. Ils étaient deux, unis et s'aimaient. Moi aussi, j'avais aimé, moi aussi j'avais connu un homme. Mais ça n'avait pas pu durer.
Prenant les jumelles par la main, je descendis sur le sable. Cassendre, ma fille, était enveloppée et accrochait contre moi. Elle dormait. Les jumelles étaient émerveillées du spectacle qui s'étalait devant leurs yeux. Elles n'avaient jamais vu la mer, ou du moins cette mer. Aucune mer ne la valait. Les yeux écarquillés, elles admiraient en silence et sans bouger. Les instants passaient et je respectais leur contemplation. Je voulais qu'elles gardent ce paysage longtemps dans leur coeur, dans leur souvenir.
Mais, Éléonore et Mathilde ne pouvaient rester longtemps en place. Bientôt elles bondirent partout et s'élancèrent vers la mer
.

Alie! Alie! Viens avec nous!!! Viens dans la mer avec nous! On va se baigner. La mer nous attend!! Vite! Vite!

En riant, je les suivais, ramassant les vêtements qu'elles semaient à tout vent sur le sable. Je les suivais de près, ne voulant pas qu'elles aillent trop profondément dans l'eau. Cassendre me gênait un peu. J'avais eu la bonne idée de prendre le couffin. M'éloignant un peu, je le posais sur le sable et doucement, je posais Cassendre dedans. Je la couvrais bien, et je rejoignis les jumelles. Elles s'amusaient comme des folles et étaient trempées de haut en bas. Elles semblaient avoir tout oublier, leur déception, leurs chagrins, l'attente désespérée de Mayly et Wen. Elles jouaient telles des petites filles, heureuses de vivre. J'étais heureuse de les voir revivre. Pendant le voyage, elles étaient mornes et là elles souriaient à nouveau. Il ne manquait presque plus rien à leur bonheur.
M'assseyant sur le sable, je regardais le papa qui jouait avec ses enfants à construire des châteaux de sable. Je me revoyais petite jouant avec les Dardemont et je laissais couler quelques larmes en y repensant. Jamais les petites ne connaîtraient un tel bonheur. Jouer avec un papa.
Pailettedargent
Prenant Amaury dans les bras,Pailette alla rejoindre le reste de la famille.

-Mais il est magnifique ce château!


Elle prit le ruban qui tenait ses cheveux et l'accrocha sur la plus haute des tours.

-Et voilà,un joli drapeau.

Au passage,elle déposa un tendre baiser sur les lèvres de son époux.
Keyan
Keyan, à peine arrivé à Vannes, passa à l'auberge pour prendre une chambre. Elle déposa ses affaires dans sa chambre, la ferma à clef, et parti vers la plage. Cette plage où elle avait passé tant de temps à contempler la Mer. Cette plage où elle l'avait vu pour la première fois. Toujours vêtu de sa tenue de voyage, elle resta un long moment à contempler la Mer mais ses pensées étaient toutes tournées vers une maison sur la falaise, vers une personne, un homme.
Kiklan
Un petit tour sur la plage ne lui ferait pas de mal! Après avoir cuvé le wiskey et une fois sa colère totalement effacée de son esprit il voulait contempler l'entité abysale. Mystérieuse comme toujours elle était assez calme sans pour autant être lisse! Des pas derrière lui, il se promenait tranquillement, sa maison visible sur la falaise... Soudain, une image surgit dans son esprit et se colla à la personne un peu plus loin. Ces cheveux, il les avait déjà vus... Quand à l'image que son esprit lui montrait il la connaissait.

Serait-ce possible que? Non? Ce serait vraiment...

Il courut du plus vite qu'il put puis une fois arrivé à la hauteur de la jeune femme, il lui toucha l'épaule sur son identité.

Bien le demat et bienvenue en Breiz... Keyan!!!!

Il lui sourit jusqu'aux orreilles et essaya de capter sa réaction. Lui il était très surpris et surtout heureux! Il ne savait vraiment pas qu'elle était en Bretagne, elle lui avait fait une très bonne surprise!

(J'ai pas oublié cette date spéciale pour Keyan^^!)
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Plutôt la mort que la souillure!
Keyan
La jeune femme était perdu dans ses pensées, quand quelqu'un lui tapota l'épaule.

Bien le demat et bienvenue en Breiz... Keyan!!!!

Elle se retourna, et se retrouva face à face avec Kiklan. Elle lui fit un sourire mutin.

Demat Kiklan !
Kiklan
Le demat échangé ils continuèrent à marcher ensemble sur le sable qui n'allait pas tarder à se faire recouvrir par la mer...

J'ai pleins de choses à te dire, pleins de gens à te présenter et surtout une chose à ne surtout pas oublier de dire: Bon anniversaire Keyan!
Ne me demande pas comment je le sais, j'ai quelques indic dans tout le royaume^^!


Et toi? Ton voyage s'est bien passé j'espère? Pas trop de brigants sur les routes?

Le faire ou ne pas le faire? That is the question! Il ne savait pas si elle le sentait aussi mais pour sa part il s'était passé quelque chose la première fois qu'ils s'étaient rencontrés. Aussi, sa main partit à la rencontre de la sienne, timidement... Il lui prit la main alors qu'ils continuaient à marcher. Cela ne voulait rien dire, ou peut-etre trop...
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Plutôt la mort que la souillure!
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