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[RP] Grand Bal Masqué en l'honneur de Mgr Ingeburge

--Cyel


Cyel arriva trés en retard à cette soirée organisé pour Mgr Ingeburge. Un bal masqué quelle belle idée, c'était des choses qui manquaient en Bourgogne surtout des fêtes ou tout le monde pouvait participer et pas seulement les nobliaus, ces emplumés qui passaient leur temps à se regarder le nombril.

Elle s'arrêta devant les gardes et montra pâte blanche. puis entra dans la salle. Plusieurs personnes étaient déjà présentes, elles regarda les masques quelles beautés, des masques bleus, rose, marrons . Certains étaient un peu particulier dont une silhouette lugubre qui se déplaçait entre les personnes toutes en couleur, un loup et un affreux monstre.

L'ambiance avait l'air trés bonne et les couples pas encore formés. Elle se glissa dans la salle et commenca par observer. Essayer de voir si elle connaissait certaines têtes, regarder les yeux seul moyen de reconnaître les personnes cachées sous les déguisements.
--Masque_pourpre


Était-ce possible? Oui, certainement! Pourrait-ce être la bonne, celle qu’il reconnaitrait d’entre toutes? Le feu avait été allumé au fond de son ventre, l’incendie se propageait, de la tête aux pieds, cette vague de chaleur l’engloutit. Caché derrière ce masque, il était plus lui-même que jamais, son état publique était son seul masque, sa seule chaine. Pour une première fois dans sa vie, il se sentait plus nu que jamais, comme si son âme était limpide aux yeux de celle à qui il voudrait s’offrir entier… Pour la première fois de sa vie, il comprenait le sens réel de l’Amour Divin, un amour qui transcende les apparats physiques et sociaux. Il s’approcha d’elle lorsque les convives commencèrent à se diriger à table. En un instant, leurs souffles se mêlèrent un instant, leurs corps s’effleurèrent en un premier rapprochement. Le Pourpre huma l’instant comme le prémices d’un bon parfum, il engouffra en lui tout ce qu’il pu recueillir de ce moment pour mieux le graver en sa mémoire.

-Dame… Je…

Devait-il réellement parler? Il n’en était pas convaincu…

-Je serai ce soir votre dévouer serviteur. Si je le puis, je vous rendrai par mille fois les services que vous me rendîtes. Vous êtes la muse de mon amour, je tenterai d’être l’artisan de votre bonheur.

Comme à l’habitude, il manquait peut-être de conviction en ses paroles… Heureusement, conviction ne rime pas avec volonté pour nostre poëte. Bien souvent, le Pourpre enviait Dante, ce dernier trouvait le mot juste à chaque situation, cependant, il en oubliait également les vertus du silence.
--Scarlet


La Donzelle ne s'attendait pas à ce genre de discours, car ce masque pourpre, face à elle, semblait, en tout point, lui faire la cour..parlant de muse et ...d'amour!

Rougissant à en faire pâlir un coquelicot de jalousie, la belle savait qu'elle bénéficiait de si jolis mots grâce au masque que l'homme portait, car en d'autres circonstances, le visage nu , il ne l'aurai point ainsi, en public, abordé !

Il se souciait du qu'en dira t-on, et ne voulait surtout pas qu'on les voit ne serait-ce que parler ensemble ! La rumeur, celle qui court plus vite que la vérité..chaque fois qu'il en parle, de peur, il en tremble !

Rapprochés cette fois par les hommes, la fête semblant lui donner l'ivresse, elle le voyait se libérer de ses inhibitions habituelles, et plutôt que de se réjouir de cet élan, elle en fut étrangement froissée, voire en détresse...car - l'homme faisant tout de même dans la dentelle - il venait subtilement de lui faire comprendre : pour vivre heureux, vivons cachés en somme..!

Le cœur affolé, ne sachant quoi dire ni quoi faire, ne voulant pas lui porter préjudice lorsque la soirée serait terminée, et les masques enfin tombés, elle décida que le mieux pour lui était de s'en défaire.

C'est la voix tremblante, le souffle court d'un cœur qui bat à tout rompre, la vie et l'envie qui se heurtent à la raison tentant de la corrompre, qu'elle dit d'une voix mal assurée et résonnante :

- Mon cher ami, euh, pardonnez moi, je ne devrai vous nommer ainsi..pas en public, excusez mes maladresses, vos mots me touchent, au plus profond de mon âme, mais de l'amour je ne saurai être votre déesse..en ma compagnie vous finiriez en homme maudit dans les enfers alors que vous méritez le paradis !

Elle détourna le regard, reprenant sa main tremblotante, et un diamant sembla briller sur sa joue, lorsqu'une larme y passa furtivement terminant sa course folle dans le creux de son cou.
--Andalousia



Elle observait tout autour toujours intrigué par qui pouvait être son cavalier, sur le mot elle n'avait pas trop d'idée elle s'avanca et regarda tout les visages caché derriere ses masques.

Qui cela pouvait être? elle caché son visage derriere son evantail noir seul ses yeux se voyait.
--Orceleste
--Miss_Malin Ocean a écrit:

Elle regarda Le Loup et Orceleste d'un regard aussi profond que les abysses qu'elle habite.



Orceleste
observa l'Ocean et déclara d'une voix forte pour que l'assistance attende :

Par Aristote,
Je veux bien ma Dame me noyer dans la profondeur de vos yeux abyssaux assis près de vous tout en discutant et buvant peut etre plus que de raison.
Il semblerait que le Malin me tente fort ce soir.
Il murmura à lui meme Vade retro Satanas puis il s'assit près de Ocean pour deguster ces mets raffinés...

Alors Dame ce bal sied il à l'Ocean?
--Lupos


L’homme au masque de Loup s’inclina devant l’invitation d’Océan et s’installa à son coté, attentif aux paroles d’Orceleste, assis de l’autre coté…

Certes la vue de toutes ces couleurs miroitantes, ces masques magnifiques où se cachent des regards inquisiteurs laisse présager une nuit agréable…Et vu les mets délicieux qui nous sont proposés, il semble que nos hôtes n’aient pas lésinés pour assurer le succès de la soirée…
Ainsi allons nous pouvoir deviser et essayer de mieux nous connaître. Il est vrai qu’en dehors de ces murs, nos vies et nos obligations nous amènent à croiser tant de monde que l’on a peu le loisir d’approfondir ces connaissances…


Puis vers Orceleste

N’est il pas étrange qu’ainsi protégés par nos masques nous nous faisons l’effet d’être aveugles et d’être obligés d’accorder une attention soutenue à chacune des paroles dites….dans l’espoir de reconnaître une intonation de voix, une tournure d’expression familière ?....
--Endymion


Il ne reconnut qu'elle, et cela lui suffit. Il n'avait pas besoin d'en connaître une autre. Sa belle chevelure rousse ne laissait pas de doute, son costume était l'évidence-même, éblouissant de sa lumière dorée les invités du bal, les reléguant dans l'ombre. Elle resplendissait, tout simplement, et il osait à peine l'approcher par crainte de l'évaporation. Léger comme un nuage que l'on repousse d'un souffle, avec la démarche d'un buffle qui rumine son approche, il se sentait à ce point ridicule que ses pieds métamorphosés en sabots ne l'auraient pas étonné.
Pourtant son rôle il fallait tenir, respecter son personnage, jouer, amuser, séduire, comme les nuées de Zeus transformer chacun de ses mots en une pièce d'or. Or, son cœur semblait battre de la boue, et ses pensées se dressaient sous sa langue comme des rebuts de ferraille. Les yeux baissés, ne prêtant attention à rien, sauf au gouffre qui s'étendait sous ses pieds, il fulminait de se conduire comme un jouvenceau, alors qu'il était....
Il avisa alors une coupe de vin sur un plateau, et soudain ses pensées se délièrent comme la corde d'une ancre. Sa main gantée saisit la coupe, et il traversa la salle pour s'approcher d'Eos. Une véritable odyssée! Le vin clapotait à la surface de la coupe, menaçant de tacher son costume à chaque pas. Les invités se pressant autour de lui le gênaient dans sa quête, son habit empesait sa démarche. Nerveux, il joignit ses deux mains autour du ciboire, à sa déesse apparut ainsi, peu à son avantage. Il redoutait de l'entendre rire, ce rire pourtant si frais, aurait coulé comme de l'or fondu en ses entrailles. Ses yeux, par les étroites fentes du masque, traduisaient une gêne immense, il osa à peine la regarder quand il lui tendit le calice:


Pour vous, dame Eos....Que ce nectar...Puisse combler votre palais, cet Olympe dont....Dont...La beauté dépasse l'imaginaire.

Désastreuse entrée en matière. Pour se rattraper, il crut bon d'ajouter:

Je suis Endymion....Enchanté.

C'était son premier bal masqué....Cela se voyait.
--La_feline


C'est par une douce nuit printanière que l'on pu apercevoir une silhouette féline déambuler dans les rues de Dijon. Elle se rendait en toute hâte au bal masqué donné en l'honneur de l'Archévêque de Lyon. Elle se présenta haletante au portier relativement oisif qui la laissa passer sans lui poser de question.

Elle attendit quelques instants avant d'entrer, que ra respiration reprenne un rythme normal, puis pénétra à pas de velours dans la salle des fêtes.

Elle était d'humeur joueuse ce soir, elle était là pour se détendre et s'amuser. Elle remarqua que des petits groupes s'étaient naturellement formés ici et là. Elle avait hâte de découvrir que qui cachaient sous ces masques tous plus originaux les uns que les autres.

Elle s'approcha du buffet, et picora quelques fruits secs. Elle n'avait pas prêté attention aux mimosas tous proches d'elle... trop proches. Les quelques minutes qu'elle passa à côtés de ces fleurs auxquelles elle était allergique suffirent à lui provoquer une série d'éternuements. Lorsque la crise fut passée, elle se dit qu'au moins son entrée ne sera pas passée inaperçue...
--La_mort


La Mort écouta Ketsurui parler... Elle semblais s'attendre à ce que la danse commence dés maintenant, hors le programme de la soirée n'en était pas encore là. Il ne lui semblais pas avoir entendu quelque musique que ce soit. Il s'apprêta à lui suggérer de faire connaissance, lorsqu'Arielle s'interposa... Visiblement le souper avait été annoncé... La nouvelle venue c'était faite aguicheuse, et se proposais de lui ouvrir l'appétit... de dîner avec lui en somme... Elle s'était montré très démonstrative se faisant. C'est le moment se dit on sous le masque!

BONSOIR A VOUS... IL VOUS FAUDRA FAIRE GRAND ŒUVRE POUR M'OUVRIR QUELQUES APPÉTIT QUE CE SOIT: JE SUIS SOUS LE RÈGNE DU PRINCE DE L'ACEDIE QUE L'INSTIGATEUR DE CETTE SOIRÉE M'INTERDIT DE NOMMER...

La Mort laissa les deux dames s'imprégner de ses paroles, et observa leurs réaction... Puis il reprit.

MES DAMES, ALLONS DÎNER ENSEMBLE. JE PRENDRAIS QUELQUE POTAGES

Le Spectre brandit triomphalement son chalumeau comme on aurais brandis une épée magique.


SI LA CROQUEUSE DE FRUIT MANGERAS PROBABLEMENT A BELLE DENTS LA VIANDE, JE ME DEMANDE BIEN CE QUE MANGERAS MON HOMOLOGUE.

Sous le masque, on avait l'esprit au jeu, et pas envie encore envie de se montrer folâtre avec une seule personne... Un œil lancé à Scarlet et au Pourpre laissait deviner que ces deux là passerais leur soirée ensemble... Une chambre aurait suffit à leur bonheur, pourquoi venir encombrer ce bal?... L'idée de prêter deux bras aux deux dames, et que cela reste sans conséquence, lui semblait délicieuse. Qui irait reproché au Spectre de la Mort d'avoir l'esprit mal tourné?
--Eos_



Le souper est annoncé; un digne maître queux et son armée de marmitons et autres gâte-sauces se présentent, au garde-à-vous, prêts à ravitailler les convives et à répondre aux moindres désirs gastronomiques de ces derniers.

Eos est soulagée. La soirée passera plus vite en mangeant et à défaut de lier connaissance avec des êtres de chair et de sang, elle fera des victuailles son unique compagnie.

Elle regarde ses compagnons s'attabler, hésitant sur l'endroit où elle pourrait prendre place, ne voulant pas troubler les groupes formés.
Elle se décide enfin mais sa progression est interrompue par une blanche apparition surgissant sur son chemin.

Elle s'arrête, frissonnante, elle pourtant compagne d'infortune du chaleureux Hélios. C'est qu'elle a reconnu
le berger mythique et froid avant même qu'il ne donne son nom.

Elle demande, intriguée :
-« Les habitants de l'Olympe vous ont donc accordé la faveur d'être à nouveau éveillé? »

Elle accepte le hanap offert et le garde dans sa main, observant les petites vaguelettes se former sur la surface du rougoyeant liquide.
Puis, elle regarde à nouveau
Endymion, murmurant :
-« Le nectar, boisson des dieux... Votre liberté d'un soir vous donne des ailes, vous ne semblez pas craindre le courroux de Sélène dont la jalousie est légendaire.
Puisque vous êtes prêt à défier les mythes, soyez donc mon commensal... il se dit que l'ambroisie sera à portée de tous ce soir. »


Et elle s'éloigne vers la table du banquet, rêveuse.
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--Andalousia



Toujours discrete attendant l'indice, elle regardait de ci de la qui pouvait être qui, toujours intrigué par le mot sur son papier, elle regarda la mort se demanda si il concordait avec l'indice ou peut être le grodublair.

elle n'en avait aucune idée le nom sur le papier lui faisait penser à un demont, Andalousia tournait autour de chaque masque mais resta discrete sans montrer son regard qui la trahirait, elle faisait des sourires à tout le monde, se laissa bercer par la musique ambiante et les froufrous de costumes.

Il faut que je trouve pourtant ce nom m'intrigue, peut etre que le garde de l'entrée si je lui fait du charme me donnera un autre indice
--Endymion


Aux paroles de la divine Eos, ses mouvements se libèrent, ses gestes sont plus fluides, ses pensées circulent mieux. Il se glisse à côté d'elle et lui présente son bras, que la flamme de ses doigts effleurent la soie immaculée. Le son de sa voix, sous les lèvres de glace, est un souffle chuchoté, de peur qu'elle ne s'éteigne, ou bien qu'elle ne l'embrase.

Je plonge en vos paroles comme en la Mer de Sérénité, frôlée de vos doigts roses. Ne savez-vous pas comment je me suis libéré de ma prison de marbre? C'est une lueur de l'aube, quand l'horizon scintille, quand vous coiffez vos beaux cheveux, qui a éclairé mon oeil scellé dans la pierre. Une larme en a jailli, et sa chaleur a fait fondre le caveau, car le soleil donne la vie comme je sens le souffle de vos lèvres à mon oreille. Enfin délivré des tourments de Sélène, qui se cachait à ce moment de votre frère, je suis venu jusqu'à vous, pour vous en remercier.

Devançant d'un pas la silhouette gracieuse d'Eos, il avance une chaise pour qu'elle puisse s'asseoir.

Si le nectar s'évapore à vos lèvres, je glacerai la coupe. Si l'ambroisie fond trop vite en votre bouche, sans que vous ne puissiez en gouter la saveur, je gouterai vos plats pour qu'ils se refroidissent. Ainsi, vous, soeur du soleil, et moi, berger sorti du Styx, nous pourrons nous entendre à merveille. Dites-moi si cela vous convient, puis parlez moi un peu de vous, moi qui suis assoiffé d'espérance.
Majordome/placier, incarné par Vaxilart
Le majordome en charge du souper s'avança. Les plats venaient d'être déposés sur la table, le fumet qui s'en dégageait laisser présager un agréable moment!



Ce dernier vérifia les derniers préparatifs, puis, il regarda son plan de la salle à manger. Il l'avait laissé trainer dans les cuisines, et bien que son vélin n'était plus aussi frais qu'au départ, il s'efforça de guider les convives à leurs places.



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Les règles sont simple, on choisit sa place! Et, le rp s'en suivra! (c'est simplement pour mettre en forme visuel où sont placés les convives et pouvoir définir les personnes étant à porter de voix!)
--Miss_ocean


En charmante compagnie, installée convenablement à la tablée en la place 22, Océan attendait l'arrivée des plats, et oui même les dames ont besoins de se nourrir. Elle se fit servir un verre de vin en attendant et demanda au serveurs de faire de même pour ses voisins.

Elle tournait la tête afin de parler aux deux hommes, ne pas faire de jaloux car ce n'est pas très poli. La soirée commençait bien mais il lui fallait trouver son prince. Le billet qu'elle avait reçut n'était pas très clair. Enfin ... nous verrons bien.


Messieurs,
dit elle toute souriante, je vois que vous éludez ma question, je n'en sais pas beaucoup plus sur vous. Ce bal est fantastique mais je trouve que la luxure est partie prenante ce soir, a savoir si c'est un bien pour un mal.

Sire Orceleste, je trouve dommage que vous pensiez que c'est le malin qui me guide vers vous. J'aurai préféré que vous pensiez que c'est Aristote afin de mettre plus de lumière dans votre vie.

Messire Loup j'avoue me demander qui sont mes compagnons, j'aurais surement une surprise à la fin du bal mais la curiosité l'emporte.


Elle adorait être avec ses charmants messires. La soirée était vraiment bonne mais qui étaient -ils?
--Scarlet


L'Ecarlate , à l'annonce du majordome, qui comme un " i " se tenait droit, avait suivi les autres invités, sans avoir laissé la possibilité au masque pourpre de voir et répondre à son désarroi.

Elle ne savait s'il la suivrait, ou si perdu par ses dernières paroles, irai voir ailleurs si d'autres belles y étaient.

Elle s'installa en bout de table, à la place 18, se demandant si cette histoire aurait une suite. Elle se disait qu'avec un peu de chance, la rejoindrait quelques personnes affables.
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