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[RP] Le comte, la dinde et les croquants, farce théâtrale

--Trou_bas_dour


Tandis que la roture trimait au champs et que la noblesse aRPentait chaque coin et recoin de la grand place ou du chateau, vaquant à divers diner mondain ou organisant des réunions pour choisir quel candidat à la couronne pourrait leur promettre le plus d’avantage en nature afin de s’assurer de leur soutien, la vie s’écoulait paisiblement en Languedoc.

Enfin paisiblement c’était vite dit…

entre la justice à deux vitesses et les belles promesses, tout n’était pas rose pour le bas peuple

La grogne se faisait de plus en plus forte mais peu osait encore vraiment élever la voix…

C’est ainsi qu’un groupe de saltimbanques se décidèrent à tenter de rendre le sourire au peuple du Languedoc car il le valait bien…

quelques artisants furent engagés comme c'était souvent le cas à cette époque,et une jolie petite scène fut montée sur des tréteaux*.



elle fut surplantée d’un magnifique rideau rouge… très vite les badaux s’attroupèrent tandis que une certaine effervescence grandissait derrière les rideaux…

tandis que les artistes finalisaient leur rôle tachant de n'oublier aucun conseillers comtaux dans le scénario, des crieurs publics furent envoyés au 4 coins du comté pour inviter le peuple mais aussi les conseillers comtaux, après tout c'était une belle occasion de réunir tout le monde, et de prouver que la farce qui se jouerait sous peu sur scène serait bel et bien une caricature de la réalité et non pas un triste reflet




les annonces distribuées il n'y avait plus qu'a attendre




afin de faciliter la lecture du RP je demanderai aux joueurs des spectateurs que nous espérons nombreux de ne pas utiliser le balisage RP et de le laisser uniquement pour les posts concernant la pièce de théatre, d'avance merci de respecter ceci

certains liens sont cachés dans le texte, penser à cliquer dessus, un peu d'histoire ou de musique s'y cachera

bon divertissement

* Au pluriel) Théâtre de saltimbanque, théâtre où l’on représente des pièces bouffonnes et populaires. Le drame bouffon, la farce, appartiennent plus en propre au moyen-âge, mais encore ici il y a un certain rapport de filiation entre les acteurs des tréteaux du moyen-âge et les derniers histrions de l'antiquité. — (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française au moyen-âge, Revue des Deux Mondes, 1839, tome 19)


[/quote]
Aimelina
Un divertissement ! Cela ne pouvait manquer d'attirer la conseillère, procureur, grand architecte fantoche, conseillère occulte aux petits croquants de Saint-Paul-de-Fenouillet... Croquants aux amandes qui avaient fait le régal de la table royale, sous le règne de Béatrice Ière, et que la Linèta avait apportés dans une petite aumônière pour ne point risquer un gargouillement de ventre pendant la représentation.

Se doutait-elle de ce qu'elle allait voir ? Son inconséquence s'en verrait-elle assagie ? Pour l'heure, paradant dans sa superbe robe (ne lui dites surtout pas le contraire !), elle grignotait les croquants, espérant que l'Alquines qu'on sort ne tarderait pas. Biatcher, à deux, c'est mieux.



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En dòl... Meu Paire visquèt e moriguèt en eròi. - [Soucis IRL, de retour dès que possible]
Jehan_djahen
Hmmm, des crieurs avaient fait annoncer la tenue prochaine d'un spectacle. Voilà qui pourrait être divertissant et, tout en m'offrant le luxe de rire un peu, cela ferait une belle occasion de m'enquérir du moral de la population tout en faisant voir mes beaux atours. C'est que c'est important le moral du peuple, je ne tiens pas trop à ne plus pouvoir lever d'impôts sur mes domaines parce que les paysans sont de mauvais poil. Comment je payerais mes créanciers et mes tenues ?

Alors, puisque le peuple est ma priorité, que je n'ai pas eu l'occasion de rire -ni même de sourire depuis plusieurs jours, et que je n'ai rien à faire de mes journées à part me creuser la tête pour aider au mieux Carcassonne -ce qui me donne des migraines et cause donc ma morosité, c'est décidé, j'y vais !


Première chose à faire, choisir une belle tenue, pas trop criarde pour ne pas attirer la gueuserie en quête de menue monnaie, pas trop colorée pour ne pas perdre une fortune à la faire nettoyer et teindre si un pécore me touche, pas trop simple pour éviter qu'on me prenne pour un vulgaire bourgeois...
C'est vraiment dur la vie de noble !

Bon, mes gens m'ont vêtu. Et détail remarquable, mon habilleuse à réussit à résister à la tentation d'effleurer mon corps en poussant de petits soupirs. Elle a comprit que je n'étais pas un homme facile, namého ! De toute manière, c'est quand JE décide et surement pas suivant les caprices d'une femme ! Quelle idée, se tenir aux envies d'une femme... Enfin bref, chausses noires simples mais robustes, de bons bas blancs, ma braguette, toujours vaillante et emplie de friandises, une bonne sangle au fermoir ouvragé, où pendent dague, aumônière et mon épée, ceinturant une chemise blanche de facture correcte, aux lacets de cuir noir, un mantelet vert brodé d'argent et bordé d'hermine, et une cape, d'un beau noir de jais elle aussi festonnée du blanc animal.

Comme à mon habitude, je porte mes cheveux libres sur mes épaules et je vais tête nue. Pas de coquet chapeau ou de couronne. Me voilà, j'arrive !! A cheval bien sur, pas sur mes jambettes ! Au pas, pas au galop, je ne suis pas une brute non plus !




Du haut de ma monture, je verrais mieux et on me verra mieux. Sans compter que je ne serais pas obligé de trop m'approcher de la scène et que si je veux partir pour quelque raison, il me sera plus simple de pousser les badauds.

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Ayena
Invité, la qu'on sort. Alors, elle répond à l'invitation en se rendant à la farce que l'on allait donnée : remarquez donc son obéissance magnifique. Mais, ayant compris que l'on allait faire passer le Conseil pour des incapables dans cette pièce populaire, elle tenta d'arriver discrètement. Discrètement car elle arriva dans sa voiture aux armes du Languedoc, mais ne fit pas sonner les trompettes. Discrètement parce qu'elle n'avait pas mis sa tenue la plus riche et avait même opté pour des couleurs chatoyantes annonçant le printemps.



La jeune femme, couronne aidant, se fraya un passage en direction d'Aimelina, tête qu'elle avait repéré de loin, par habitude.

- Bonjorn.

On claque dans les mains pour qu'on installe les coussins nécessaire à l'assise de la Boiteuse et on offre un sourire hésitant à son amie.

- Je suis venue pour montrer mon nez puisque je ne doute pas qu'on l'attende, mais j'ai grand peur de ce qui va se passer sous nos yeux...

La jeune femme soupire : si elle accepte les critiques et les remarques quant elles lui sont faites de front, elle a bien du mal à savoir comment se comporter face à d'insidieuses allusions, parfois affabulatrices : et on l'a prévenue, c'est ce qui va se passer ici. Il n'y a plus qu'à espérer que ses informateurs aient été trop négatifs...
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Héraldique
Mordric
Les affiches fleurissaient de partout, un spectacle était donné, ou plutôt une bouffonnerie.
La chose semblait plaisante ! Les croquis sur les annonces étaient des plus réalistes et puis rire un peu en ce moment ne ferait pas de mal...
Se glissant dans les méandres de la foule tel le chat dans la rue de traverse, il se rapprocha de la scène.
Le beau monde était déjà en place. La procureur qui avait laissé son costume de plume au placard et la Qu'on-doit bien-rentrer-de-temps-en-temps-sinon-elle-va-prendre-froid.
D'un signe de tête, il la salua, sans être sûr qu'elle le vit.


Arf... J'ai oublié d'emmener mes grains de maïs... J'ai rien à grignoter...

Il espérait que le spectacle serait fameux et l’empêcherait de ruminer son oubli.
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Un GRAND merci à So pour ma bannière, à Navis et aux filles de DECO.
--Trou_bas_dour




Une fois que tous fut en place le traditionnel coup de baton retentit


TOC TOC TOC TOC TOC TOC TOC TOC


TOC

TOC

TOC


Le Rideau resta clos




Mais un barde se faufilla et s’assis à l’avant de la scène





Il joua de sa harpe

♪♫ Oyé oyé Languedocien languedocienne
Laissez moi vous narrer l’histoire qui est mienne
Elle se passe dans un comté imaginaire
Ou la noblesse aime à se complaire
Une terre ou les Nobles étrangers
Passe devant les gueux qui y sont nés
Là bas les riches naissent pour devenir encore plus riche
Et de la roture et autres gueux tout le monde s’en fiche
Heureusement tous ceci n’est que pure fiction
Fortuite serait, avec le réel, toute comparaison
Alors cessons de nous aigrir
De la vie Tachons plutôt de jouir
Place aux rires !! Place aux vedettes !!
A l’entracte N’oubliez pas nos rillettes ♪♫

Le barde se retira sous le rire de certains badaux, et une fois que le silence fut revenu, les rideaux s’ouvrirent…

sur scène 3 personnes richement vétues discutaient dans un coin, ils semblaient râler sur le prix du pain qui allait finir par les obliger à repousser d’une semaine leur prochaine visite dans les ateliers de paris-milan.



Charles
Le barbu au ventre poussant -privilège de l'âge- avait ouïe dire qu'un spectacle allait être donné en place publique, il fallait avoué que cela le sortirait de sa torpeur de s'y rendre... sa femme à Mende, sa fille accaparée par ses fonctions, le deuil qui le frappait pour toutes ces raisons il se retrouvait bien seul dans son hostel à Montpelhièr.

Le temps était favorable c'est à pied et sans tenue extravagante que le duc se rendit là où se tramait la farce, d'ailleurs au moment où il arrivait le barde commença son chant.

Le plus discrètement possible notre balafré s'approcha de sa fille et de son amie, il les salua cordialement mais en silence pour ne pas déranger les spectateurs déjà présents, puis ce dernier prit place pour écouter et profiter.

_________________
Vice Amiral de France
Salvaire_d_irissarri
Double baron et deux jolies vestures, forcément ! Il avait donc testé plusieurs longues minutes devant un fenestron encore intact en son castel de Randon et s'était finalement décidé pour la veste à l'échancrure délicate, celle qui devait attirer tous regards énamourés , sans parler de l'effet de manches qui mettait si bien en valeur sa carrure étonnante :


Bref ! C'est donc plutôt tout ravi de lui-même, tout guilleret et fort enclin à poursuivre dans sa nouvelle voie de "tombeur de ces dames" qu'il apparut pour assister à la représentation théâtrale. Il arrivait sans aucune crainte qu'on ne le prenne pour cible, lui qui était si peu connu dans la province et se préparait donc à passer excellents moments, en toute quiétude.

Près de lui, se tenait le pitchounet royal qui ne perdait pas une miette de tout ce qu'il y avait à voir par icitte. Au moment où le barde se présenta, l'enfant, comme il en était de coutume à son âge, se mit à applaudir à grand bruit et Salvaire, tuteur affectueux, le laissa faire en souriant doucement.
Lorsque les acteurs apparurent sur la scène, le silence se fit et le jeune Franc se laissa aller à prendre la main de son "parrain/baron à lui" tout de même un peu inquiet sans doute, d'assister à sa première comédie au milieu de tant de grandes personnes.

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Doble baron en Gévaudan, païs do Lengadòc.
“ Se ne vos pas sentir la fret, te cal minjar un caçolet ”.
-- ΓΝΩΘΙ ΣΕΑΥΤΟΝ --
Morphee
La froidure avait laissé place à un soleil éclatant; ce soleil qui de par sa caresse ambrait les corps et réchauffait les âmes.

La Prime, toujours attirée par les pitreries, puissent-elles être à son dépend, se hâta de rejoindre la Grand'Place. N'ayant pas à tenir une position officielle, la belle avait simplement revêtu une cotardie bigarrée noire et blanche; une étole carmin venait relever le tout. Enfin si l'on pouvait relever plus avant la couleur pétante de notre déesse.

Le deuil devait être bientôt terminé, du moins l'espérait-elle, elle avait grand hâte de ressortir ses tenues aux couleurs vives et cette houppelande rouge qui ne la quittait que peu.

Son regard embrassa les personnes déjà présentes. Les couleurs audacieuses des deux conseillères ne pouvaient laisser indifférente, elle les remarqua de suite, sous le regard bienveillant du papa.
Ses saphirs s'envolèrent ensuite pour se poser sur Jehan, haut perché. Qu'était-il devenu depuis tout ce temps? Sans doute l'avait-il oubliée, plongé dans quelques études ou à manier l'épée.

Elle tourna la tête vers la scène, alors qu'un troubadour poussait la chansonnette. Morphée, roture de son état, option gueuse quand son verbiage se ressemblait plus à son ramage, décida de se mêler à la foule.

Un divertissement en une belle journée, que demander de mieux? Une petite liqueur peut-être té!

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Rejoignez vous au Domaine de Melgueil!
Le Lengadoc a besoin de vous!
Arthurus009
[Une promesse de friandise... au doux parfum de vérité?]

L'Encapuchonné flânait dans les vieilles rues les mains pleines de friandises quand soudain... Diantre,... une pièce de théâtre se joue en cette ville? Oh, oh,... le titre est alléchant... Le comte, la dinde et les croquants... Voilà un acte digne de courage qui mérite que détour j'y fasse. Mais faisons vite... l'heure tourne...

Tout en se rendant à cette farce burlesque, L'Encapuchonné s'imaginait les différents actes qui peut-être s'y joueraient... le fameux concours de courbettes à celui qui se pencherait le plus bas pour s'octroyer les plus fantoches compliments,... Peut-être aussi les deux portes du tribunal où d'un côté siégeait la noblesse et de l'autre la plèbe pour un verdict des plus improbables mais ceux-ci était un clin d'œil s'avouait-il... Ou encore les... mais voyons dépêche toi... Tu vas finir par manquer la pièce... pensa-t-il.

L'excitation grandissait à chaque nouveau pas effectués... et ses pauvres friandises qui s'évadaient d'entre ses mains à trop courir... Allait-il lui en rester à s'essouffler en toutes les directions pour arriver à l'heure?

Quand il arriva enfin devant l'objet du délice celle-ci avait commençait... et c'est donc à pas feutrés, pour ne point déranger une noblesse à l'écoute, qu'il prit place sans faire de bruit...

Ouf... Il m'en reste deux... murmura-t-il.
Boulga
Boulga, dès qu'elle avait su la nouvelle, avait voulu se rendre au spectacle. Pour rien au monde elle n'aurait manqué une occasion de s'amuser un peu.
Aussi, elle délaissa un instant ses travaux, la mine réjouie et impatiente de découvrir la farce.
Elle avait hésité à accompagner son maître, le senher d'Irissarri, mais finalement ne lui avait pas parlé de son intention d'assister à la représentation. Mieux valait le laisser parader avec son filleul.
Et puis... et puis... décidée à le sortir de ses pensées, elle pourrait regarder à loisir et en toute discrétion les autres hommes de l'assemblée.
Le chanteur, sur les tréteaux, par exemple, avait une bonne tête.
Un autre, en retrait et juché sur son cheval, faisait aussi bonne figure qu'un chevalier de la Table Ronde. Elle avait déjà dû l'apercevoir à la cérémonie d'hommages. Elle reconnut également un homme à capuche croisé plusieurs fois à Mende.
Enfin, tout cela, c'était juste en attendant l'entrée des acteurs, n'est-ce pas ?
--Trou_bas_dour



Boum boum boum boum


Un homme à la démarche lourde traversa la scène et s’installa près des 3 autres, 2 femmes et un homme

Il approuva bien vite les dires de ceux ci, les denrées de luxe étaient hors de prix dans ce comté et il devenait difficile d'offrir des jolies parures aux belles femmes afin d'obtenir leur grâce

L'une d'elle fulmina




Mais regardez moi ce boa
il n’a plus le même éclat…
je n’oserai me montrer avec ça…

Faut qu’on trouve une nouvelle rentrée d’argent et vite… avec ce foutu Galak maire de Lodève qui ne nous laisse même pas faire ce qu’on veut sur son marché malgré tout ce qu'on a fait pour ce comté et qu'il se disait notre ami, on a du réduire nos marges bénéficiaires…

Heureusement que tonton babar était là


l'homme répondit

Ohria, ma très chère Amie, ne me parlez plus de ce galak, quelle plaie celui là, ternir ainsi notre image... et puis quel nom ridicul galak vu sa bedaine il aurait du s'appeler grosquick mais ne vous lamentez pas, tonton babar est là et puis Aurélien à bon être droit…nous avons 2 alliées précieuse pour l’endormir et veiller à ce qu’il ne soit pas trop regardant. un coup de rillettes par ci, une larme d'alcool de noisette par là et les yeux très vite il refermera

Il nous sortira de ce mauvais pas, après tous les gueux ont l’adage "les amis de mes amis sont mes amis…"

nous, nous avons bien mieux…

"les vassaux de mes vassaux sont mes vassaux…"

La solidarité nobiliaire c’est comme les brunes… Ca compte pas pour des prunes


L’homme rit d’un rire gras pour ponctuer sa boutade

La brunne répondit en riant


Ouep zul tu as raison, c’est bien vrai quoiqu'elles disent ou fassent il les défendra toujours, comme on dit elles le tiennent par les couilles, le pauvre aurélien, on finira par l’appeler sa découillue grandeur à force

Tous rires aux éclat et zul repris la parole

Enfin bref, j’ai faim moi et j’ai beau être noble Languedocien verser 20 deniers à mon comté pour m’acheter du pain…Très peu pour moi

Mais écouter mes AMIS j’ai un plan…


Les voix devinrent murmurent et là-dessus le rideau tomba…

Un homme traversa la scène avec une pancarte

Citation:
« Les rillettes Yaya, aussi bonne que celle de papa »


Après cet intermède publicitaire le rideau se leva à nouveau sur une scène au château…

Zul et se AMIS avançaient à pas feutrés dans une salle remplie de nourriture, la salle aux victuailles du Comte,


le barde vint se placé sur le coté de la scène afin de narrer ce qu'il se passait dans la têtes des coquins



aux dernières nouvelles le comte était occupé la voix était libre, au sans nom le pain sec et les denrées fadasses réservées aux peuples…

En tant que conseiller comtal, noble de surcroit, il était normal qu’il ait accès à ce qui se fait de meilleur… ils arrivèrent devant un monticule de croquants aux amandes




Si j'en prends un ou deux il ne verra rien murmura-t-il, et puis s'il voit quelque chose suffira que je désigne le premier gueux qui passera par là, comme je suis un grand Noble de ce Comté et du surcroit Conseiller Comtal, il me croira...de toute façon on lui fait avaler n'importe quoi...au pire dindelina fera trainer les choses, elle a lancé un procès hier, on est tranquille 15 jours-3 semaines

Tandis qu’il posait la main sur un croquant, tandis qu’il le portait à sa bouche et commençait à le manger goulument le rideau tomba à nouveau, laissant le temps aux artistes de changer les décors...






























Eilinn_melani
Eilinn Melani avait déjà vu cette plume de paon quelque part, avant de se rappeler ou. Et surtout de se rappeler qui la portait. Zigzagant entre les badauds, la vicomtesse s'approcha de la scène, et surtout des bancs qui hébergeaient Ayena et Aimelina.

A cette dernière, qu'elle salua, elle lança un :


Cette plume te va à ravir !

Sans gêne, elle se glissa à côté de la comtesse consort, plaisantant à demi.

Comtesse, vous pourriez faire l'aumône d'un bout de coussin à une humble cuisinière ?


D'ailleurs la pièce reprenait, elle tombait au bon moment.

J'espère qu'ils vont distribuer des croquants.
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Jehan_djahen
Du haut de ma monture, dominant les péquenots qui sont venus à pied et les bonnes gens qui n'ont pas peur d'attraper puces, poux et autres vilaines choses que véhiculent les gueux, j'en profite pour regarder qui parmi les présents fait partie de mes connaissances. Hmmm, non, pas lui, pas lui, il a une tête de mangeur d'enfants ce mec là, trop grosse, trop petite, trop mal habillé, trop sale, trop blond -il fout quoi ici d'ailleurs lui ? je vais devoir me pencher sur son cas à ce Baron qui sort de nulle part, ... tiens ?! Cette chère Morphée, il faudra que je l'invite !! Histoire de prendre de ses nouvelles et, au passage, de tester mon fluide sur une personne qui m'a connu plus jeune. Sans compter qu'elle me serait utile. Allez, je note dans un coin de mon esprit : lettre à Morphée ;
On passe à la suite...

La Siarr et la conjointe du Coms sont là ? Hmmm, la femme mariée, à éviter pour le moment. On va attendre qu'elle se lasse de son vieillard pour aller la courtiser. C'est toujours utile d'avoir le cœur d'une femme avec lequel jouer, surtout si son époux a de l'influence. Et ce sera d'autant plus facile de lui courir après qu'elle ne peut se sauver vite.

L'autre je l'ai déjà sur ma liste de partis potentiellement intéressants. Il faut avouer que son domaine, avec ses revenus, ça m'aiderait bien. En plus, vu son état, on dira de moi que j'ai grand cœur de la choisir. Elle est d'autant plus intéressante qu'elle me mettra en valeur par son handicap. Un peu comme se faire accompagner d'un gros ou d'un nain pour paraître mieux.

Continuons, continuons. Tiens ? C'est qui celle là ? Son visage ne m'est pas inconnu... Oui, je me souviens ! Une femme de l'entourage du blondinet. Sans doute est-ce une servante, dans ce cas, je vais me renseigner à son sujet, peut-être me montrer prévenant, attentionné et charmeur. Sur l'oreiller, elle pourrait me fournir des informations précieuses.
Allez, qui d'autre ?


Par les bourse du Sans-Nom ! Je crache entre mes dents, des gens me regardent et marmonnent. C'est qu'ils n'aiment pas être dérangés les paysans. Ils ont tant de mal à suivre les mots et à comprendre le texte qu'au moindre écart, ils perdent le fil. Mais je m'en fout de leur avis, c'est elle que je fixe. L'autre là, à coté du gibier à plume. Celle qui vient à peine d'arriver. Je l'ai reconnue et une chose est sure, je ne l'aime pas. Elle m'a fait de la peine quand j'étais petit, et je n'ai toujours pas pu me venger. Tu parles que si je peux prendre son cœur, ce sera pour l'écraser du talon.
Vengeance, douce vengeance.


Heureusement, j'ai une révélation, une vision extatique qui m'arrache à mes projets de représailles. Joli corsage la paysanne...

Petite note à moi même, toujours venir à cheval pour profiter de la vue, toujours...


Mais déjà, voilà l'entracte et j'ai manqué tout le début de l'histoire. Dire que j'étais venu pour me changer les idées. Maudites femmes, pourquoi faut-il qu'elles me tentent tant avec leurs formes insolentes que je devine sous les voiles colorés, leurs poitrines lourdes de promesses, leurs lèvres charnues ? Concentrons nous. Ordre et discipline sont les piliers de la raison.





N'empêche, un peu de désordre, ça n'a jamais fait de mal. Juste un coup d'œil, un tout petit riquiqui...

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Bentich
Ben avait profite d'une accalmie dans le travail pour se rendre sur le lieu ou se déroulait la fanfaronnade. Il n’était pas le premier ni même le dernier.

Les personnes dont on allait faire la caricature étaient présentes et installée sur les siège au premier rang.

Il se mélangea a la foule ds gens du peuple, saluant ça et la quelques connaissances, mais elle, il ne la voyait pas, peut être allait elle venir plus tard. Il savait qu'elle avait beaucoup de travail du à sa fonction.

Dans son balayage de la foule il aperçut le jeune Baron d'Exat, qui passait sur son destrier, il le salua respectueusement

Ha be devenu un jeune homme lui, il est loin le temps ou le jeune gamin se promenait avec son précepteur. il avait une façon de regarder la gente féminine d'une façon assez profonde et détaillée. Le bailli avait entendu des bruits sur son penchant pour les rapports intimes. Mais de cela Ben n'en avait cure, il était jeune est profitait de la vie et il avait bien raison. ET qui était il pour le juger, quand il était au Puy, cela défilait dans son lit, un seul regret, il lui en avait manqué deux à l'époque, et vu leur position sociale et professionnelle, c’était raté pour, et bon la actuellement il n'avait qu'elle en tête, et il savait que c’était réciproque. leurs dernière nuit ensemble l'avait carrément vidé.

Ben repensa au jeune Exat, de qui pouvait il bien tenir cette addiction aux belles dames et à leur faire connaitre le plaisir charnel. ben avait servit sous les ordres de son Grand-Père, le grand Djahen Shaggash, homme qu'il connaissait et qui ne s’était jamais montré empressé, sa grand mère Mariedouce, femme très douce comme son nom l'indique, son père Quirin n’était pas ce que l'on appelle un coureur, peut être que cela venait de sa mère, mais la Ben ne pouvait le certifier, ne connaissant de Majda que ce qu'elle montrait en public. Le Sénéchal balaya d'un geste de la main ces pensées qui de toute façon n'apporterait rien de plus à sa vie.

Il alla s'installer pour admirer le spectacle et prendre un peu de détente. Et il n’était pas mécontent d'être la car cela commençait très fort

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