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[RP ultra-ouvert] Dictature d'un moustachue

Sayuri
Citation:
Habitants de Périgueux, le maire que vous avez élu Pertacus s'est moqué de vous. Il a abusé de ses pouvoirs pour favoriser les moustachue qui ne sont pas plus particulier que chacun d'entre nous. Il est temps de mettre un terme a ce délire complètement idiot ! Ne laissez pas quelqu'un comme lui vous dictez sa loi. Révoltez vous et mettez un termes a son règne !


La mouette fit volte face, qui osait donc brailler ainsi dans la ruelle et qui plus est plus fort qu'elle ! c'est le pas lourd qu'elle dirigea vers la fenêtre pour observer l'homme. L'oeil brillant posé sur lui elle inspira un bon coup.

Ohé vous là ! on s'entend plus causer entre moustachus ! voulez pas descendre de vot' canasson et exposer votre point de vu ?

Elle réarma une mèche au dessus de ses lèvres toisant toujours l'homme qu'elle regardait de la fenetre.
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William.
Une femme avait interrompu les cris de guerre de chacun, il tourna donc la tête vers elle.

Je ne parle pas avec ceux qui soutienne ce genre de discrimination et de chose complètement absurde, un moustachue n'est pas plus intelligent beau ou quoique ce soit que ceux qui n'ont pas de moustache.
Sayuri
Citation:
Je ne parle pas avec ceux qui soutienne ce genre de discrimination et de chose complètement absurde, un moustachue n'est pas plus intelligent beau ou quoique ce soit que ceux qui n'ont pas de moustache.


Une moue se figea sur son visage, doucement ses sourcils se froncèrent et la jeune femme tenta de se donner un air plutôt méchant mais en vain, ses traits fins et sa bouille toujours souriante prenant le dessus.
Les propos tenus par l'homme l'intriguèrent se rendait-il compte qu'en agissant de la sorte il provoquait aussi de la discrimination ? Elle en douta alors elle se permit de le lui dire.

Messire euh.... vous parlez discrimination des moustachus mais en ne voulant pas leur parler vous les discriminez !
Allez venez faites pas l'enfant, descendez d'vot canasson et venez parler ici... pis plus on est de fous plus on rit non ?

Le sourire s'était peint sur ses lèvres purpurines, les pommettes saillantes et rosées s'étaient réarmée. Toujours joyeuse et rieuse la mouette était fidèle à elle même.
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William.
La femme ne voulait vraiment pas le lacher, mais il n'allait pas pour autant descendre de son majestueux cheval noir pour discuter avec eux.

Hors de question, je compte bien redonner leur liberté aux habitant de Périgueux. Et pourquoi devrait ce être moi qui devrait me déplacer ? Enfin bref trêve de bavardage.

Il se retourna vers les habitants de Périgueux.

Citoyens de Périgueux, celles et ceux qui sont d'accord pour combattre ce maire, suivez moi ! Ouvrez les portes.

Plusieurs centaine d'habitant était parti avec lui, il ne restait plus que des moustachue dans la ville ou presque. Ils avaient pris la direction de la forêt pour rejoindre le camp qui avait été préalablement monté, provisions, armes, outils et matières premières était la.
Dufresne
[En foret, sur la route d'un soi-disant camp.]

Dudu cueillait des champignons. Ah bah oui, ça lui arrive de glandouiller de temps en temps comme ça... Et non, il ne faisait rien d'autre en pleine foret ! M'enfin, toujours est-il qu'il était accroupis à faire preuve de sa force contre chaque chapeau qui voulait un tant soit peu résisté... Lorsqu'une horde d'habitants menés par un cavalier ridiculement sombre arriva en grande fanfare.
Surpris, Dufresne bondit sur ses pieds.

"OH LA ! Qu'est-ce qui se passe ici ?? Les champignons sont la propriété du Roy ou quoi ?!
-Hep Dudu, c'est pas ça; c'est william qui va diriger la révolte contre les moustachus. Rejoins-nous !"

Il n'en fallait pas plus au jeune homme pour blêmir. Une révolte contre les moustachus ? Mais ils étaient fous. Un seul moustachu pouvait à sa guise repousser tous les assaillants tant leur prestance unique les avantageaient.

"Ah non, vous êtes dingue !" Et ni une ni deux, avec une petite pensée pour william qui décidément, était devenu fou, Dufresne courut jusqu'à la mairie.

[Un peu plus loin, la mairie.]

"PEEEEEERRRRTAAAAAAAAAAACCCUUUUUUUUSSSSSSSSS !"

Dudu n'était revenu de son très long voyage que depuis quelques jours. Mais rattraper le chariot en marche, c'était son dada comme on dit. Il avait donc convenu de son statut avec Pertacus en public. C'est que Dudu n'avait pas de moustaches, mais il avait un bouc soigneusement taillé et élégant au possible. Pertacus avait donc décrété que... Bien qu'il aurait dû être barbu, Dufresne serait considéré comme moustachu en ville. Ce privilège lui était donc accordé, arguant qu'il avait probablement eu une moustache à un moment; comme à la naissance tiens ?
Enfin, toujours était-il, qu'il arrivait en courant dans le bureau du maire. Il salua d'un signe de tête tout le monde, notant quelques présences intéressantes, et alla poser les mains sur le bureau.

"Perta, pas de temps à perdre. La rébellion contre les moustaches que j'ai dépisté hier et dont je t'ai fait part par courrier... Elle est là ! J'ai vu des gens en foret, tous sans moustaches ! Et ils parlaient de révolte... Un regard aux personnes alentours. C'est que dans le camp des moustachus, ils étaient pas très très nombreux. Il faut faire quelque chose, s'ils attaquent; ils vont se faire massacrer par ta sublime prestance, et tu n'auras plus personne à gouverner ! Nouvelle petite pause. J'aurais bien un plan... Mais il faudrait énormément de paille."
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«Si vous avez construit des châteaux dans les nuages, votre travail n'est pas vain ; c'est là qu'ils doivent être. À présent, donnez-leurs des fondations.»
[Henry David Thoreau]
Pertacus
Perta écouta l'ode de Chevalier, le choix serait difficile pour le départager de Naral.
Puis vint le tour d’Alix, elle payait rien pour attendre heureusement qu'elle lui avait promis une interview sinon il l'aurait fait arrêtez de suite le Perta.

Mais pour le moment, son garde venait de lui amener Sayuri, surnommé la mouette. Qui échangeait depuis sa fenêtre avec notre bon vieux William revenu de Sarlat pour les embêter

Il ne lui manquait pas le William, le Montbazon était même bien content depuis qu'il était parti, enfin bon un couard pour mener une révolte, on aura tout vu
Car Perta n'avait pas oublié que le William en question l'avait menacé de mort a plusieurs reprise, mais refuser tout duel en lice et v’là que maintenant il venait fanfaronner sur un cheval

Quelques minutes plus tard, Dudu arriva en courant dans le bureau



Citation:
Perta, pas de temps à perdre. La rébellion contre les moustaches que j'ai dépistées hier et dont je t'ai fait part par courrier... Elle est là ! J'ai vu des gens en foret, tous sans moustaches ! Et ils parlaient de révolte...

Il faut faire quelque chose, s'ils attaquent; ils vont se faire massacrer par ta sublime prestance, et tu n'auras plus personne à gouverner !

J'aurais bien un plan... Mais il faudrait énormément de paille.



-Merci de ton aide Dudu, j’allais faire le décret te rendant officiellement moustachu, plein de paille tu dis ? Il y en a dans les entrepôts à l'est de la ville, prend les gardes de la mairie pour t'aider

Vous le casqué la, vous allez réunir tout ceux qui défende notre cause sur la place de la mairie et leur fournir des armes et faite barricadé toute les portes

La mouette, avec moi sur les remparts la bas


Accompagner de la mouette, il parti en direction des remparts face au camp des révolté


Mes chers Amis, Pétrocoriens, Pétrocoriennes, n'écoutez pas le discours de se démagogue. Il n'est même pas de Périgueux, c'est un couard en manque de pouvoir

Il a plusieurs fois menacé de me tué, mais il a toujours refusé mes duels a la lice, Voulez vous d'un maire comme ça ? D’un maire qui se ferra écraser par les impôts que demande le comté ?
Un maire qui refuse le duel des urnes pour un duel armée ou vous serez en première ligne, qui causera des morts ferra couler du sang.
Ou un maire moustachu qui veut votre bien, qui se bat pour faire baisser vos impôts, vous apportez des fruits, du poisson, du pain. Du travail !

Pétrocoriens ! Ne vous laissez pas berner, ne vous laissez pas manipuler. Rejoignez nous, depuis que je suis maire, bien que les moustachus aient quelques privilèges, votre vie n'a pas changer, et vous mesdemoiselles, mesdames. Vous avez de nouveau privilèges aussi car les moustachus sont galant. Alors rejoignez nos rangs


Maintenant que les femmes nous rejoignent messieurs, allez vous rester entre homme, comme des grecs, ou revenir sur le droit chemin de la raison, et rejoindre nos rangs pour lutter contre les fauteurs de trouble et garder une vie paisible

Sachez que toute personne, revenant a Périgueux, armes baisser sera le bienvenu, mais sachez aussi, qu'en cas de tentative de troubler l'ordre public, vous serez sévèrement punit et que s'il vous prenait l'envi de passer a l’assaut, nous nous défendrons


Pétrocoriens! Vous avez un choix à faire

La couardise ou la vaillance ?
La mort ou la vie ?
La démagogie ou la vérité ?

C’est à vous de faire le bon choix


Comme vous pouvez le voir, certaine femme nous on déjà rejoint et des hommes même barbus, sont des notre


Perta montra la mouette pour appuyé ses dires et l'invita à parler a son tour
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Sayuri
Le lâche ! il était repartit sur son canasson ! les poings serrés elle pestait, maugréait... et bien d'autres encore, langage balbutiant incompréhensible même pour ceux qui étaient présents. Le cavalier n'était plus qu'une ombre disparaissant dans la forêt naissante aux portes de la ville. Se penchant un peu plus dans le vide pour l'observer une dernière fois, la porte du bureau claqua à nouveau. Surprise elle sursauta se cognant la tête contre la fenêtre, La main sur la tête un oeil à demi fermé et un petit cri échappé de ses lèvres framboises. La mouette salua le nouvel entrant d'un signe de tête.

Elle gardait le silence écoutant les révélations du VB (Vrai barbu) Dudu, Ses grands yeux bleus témoignaient de la surprise de ce qui se jouait dans le bois. Il était temps d'agir ! Pas question de se laisser faire surtout contre un homme qui ne se donnait même pas la peine de venir parler tranquillement en face à face.

Un plan... de la paille... La mouette se gratta la tête s'imaginant tout et n'importe quoi, m'enfin il en était, il fallait savoir faire confiance et dans un haussement d'épaule elle se tourna vers Perta.

Citation:
"La mouette, avec moi sur les remparts la bas"


Sayuri hocha la tête venant défaire sa paire de chausses, s'ils voulaient se battre ils seraient servis, bien qu'elle soit contre l'usage des mains elle n'était absolument pas du genre à se laisser faire et bon nombre avaient déjà gouté à sa légendaire chausse... oui, elle ne ratait jamais sa cible.

Vînt le discours du Maire, les propos étaient surs et elle était entièrement en accord avec ce qu'elle entendait. La révolte était en marche... la résistance aussi ! et les représailles promettaient...

Citation:
"Comme vous pouvez le voir, certaine femme nous on déjà rejoint et des hommes même barbus, sont des notre "


C'est ainsi qu'elle secoua vivement la tête, les joues devenues aussi rouges que le blason du maire. Elle se pencha discrètement chuchotant à Perta que la montrer ainsi inciterait plutôt les gens à fuir que de les rejoindre. Sayuri se mit à rire amusée par ses propos.

C'est pieds nus qu'elle suivit Perta jusqu'aux remparts, de temps à autre on la voyait froncer les sourcils tentant de se donner des airs de méchantes... mais en vain, on n'échappe pas à sa vraie nature... de mouette.
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William.
Ils avaient croisé Dudu qu'il n'avait pas vu depuis... plusieurs mois déja. Perta sortait enfin de son bureau, pour amadouer comme il l'a toujour fait, les personnes qui l'avait a nouveau rejoint, il était hors de question que William se laisse faire, il se remit a parler.

Chers amis Pétrocoriens et Pétrocoriennes,

Certes aujourd'hui je ne plus pétrocoriens mais, je suis né dans cette ville y ai grandis, il essai encore une fois de vous amadouer, il dit qu'il oeuvre dans votre intérêt seulement, il a donner des privilèges au moustachue, ce qui est pour moi, un affront contre ceux qui se rase comme vous et moi, les moustachue ne nous sont pas du tout supérieurs revenez avec moi et je vous rendrais votre liberté d'autrefois. Il est hors de question que je le laisse continuer cette dictature sans queue ni têtes, ces décrets n'ont aucun intérêt, a part privilègiers certains habitants. Revenez avec nous, et mettons fin a cette histoire inutile.

Will se tourne alors vers un des gardes l'accompagnant

Amène ces gens au camp et donne a chacun de quoi manger, et installe les ensuite vous attendrez mon retour.

Bien, mais soit prudent. Allez, venez suivez moi.

Le garde et les habitants a ses coter s'éloignent pendant que certains qui sont retourner au coter de perta, court pour rejoindre le groupe, qui disparait quelques part dans la forêt. Will repose son regard vers perta.

Pertacus, nous nous reverrons bientot, et cette fois ci tu seras a mes pieds.

William s'en va en direction de la forêt et disparait accompagner du deuxième garde.

[Au camp 1 heure plus tard]



William avait demander a tous de se rassembler, cette fois ci il s'était séparé de son fidèle déstrier. William se mis donc a parler.

Mesdames, Messieurs,

vous nous avez rejoins pour faire tomber votre maire Pertacus, pendant que vous vous installiez, j'ai préparer un plan. Avant tout il va me falloir plusieurs charpentier, lever la main ceux qui sont charpentiers. Bien, 10 charpentiers, vous allez avoir du travail messieurs.

Je vais vous demander de construire une tour de siège, un bélier et une catapultes. Construisez d'abord une catapulte, et faites qu'elle puisse etre tiré par des chevaux pour la déplacer plus rapidement, vous avez tout le bois que vous voulez ici il y a déja des stères, mais si il vous en faut plus n'hésitez pas a couper des arbres. Ensuite Vous apprendrez tous a manier une épée, un bouclier et un arc.

Vous serez entrainer par les deux gardes ici présent. François vous entraineras au corps a corps et Jean a l'arc. Nous avons a partir de demain une semaine pour construire les armes de siège et vous entrainer a vous battre. Reposez vous bien cette nuit, demain seras une journée longue et dure.

William était fier de voir autant de monde a ses coters, il alla dans sa tente, surmonter d'un drapeau inconnue.

Gantra
la blondinette toujours contre et se battais seule contre cette dictature de la moustache a peri elle entendit un homme crier .

elle se rendit sur les lieu au plus vite,la foret quel bonne endroit pour comploter, elle alla au campement qu'un sir avais préparé et alla voir se qui en était.

b'soir je suis gantra
blondinette reyne des enquiquineuse de périgueux
oui oui en capitale, quand j'ai appris que vous vous battiez comme moi contre cette dictature de moustache j'ai accouru.

la blonde regarda l'homme bien décider a en savoir plus
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William.
Une femme venait d'arriver au camp quand Jean lui crias

Eh !Vous la halte !

William sorti de sa tente et s'approcha

Du calme Jean c'est une partisante qui ce bat aussi contre Pertacus.

Bonjour,

Bienvenue parmi nous, avez vous des bagage ou quelques babiole ?

Je vais vous montrez votre tente. Comme je l'ai dit avant au groupe reposez vous bien ce soir demain seras une longue et dure journée, vous allez etre entrainer au corp a corps et a l'arc. Nous avons 7 jours a patir de demain pour construire les armes de siège et vous entrainez le mieux possible pour le combat futur.

Arrivé devant la tente, il s'arrête et ouvre la tente a la femme.

Voici votre tente, je vous laisse vous installez. Voici une miche de pain pour vous restaurer.

William sourit a la femme attendant sa réponse.
Dufresne
Dufresne il est très imaginatif comme bonhomme. Mais il faut dire ce qui est : quand il s'agit de taper sur un ancien ami qu'il n'avait pas vu depuis des mois... Ca émousse son inventivité. Quand bien même le cavalier hurlait à la révolte contre les moustachus. Du coup quand Perta lui indiqua où trouver de la paille, il ne se fit pas attendre bien plus longtemps et il s'éclipsa.

Pendant que les discours avaient lieu, que chaque camp grattait quelques esprits égarés pour rejoindre leurs causes; le jeune Dudu s'en était allé vers les granges de la ville.

Il en revint quelques minutes après et se hissa aux côtés de la mouette et de perta, juste au moment où celui-ci évoquait les barbus qui avaient ralliés la cause des moustachus. Mais cette fois, en plus de son bouc finement taillé, Dufresne arborait un autre atout : une moustache !
Et oui, faite de paille et collée juste sous son nez. Elle n'avait pas le panache d'une véritable moustache, mais c'était pour le côté symbolique vous voyez ? Du coup, il avait l'air malin avec sa fausse moustache de paille... Et le seau remplis des mêmes moustaches pré-fabriquées à la hâte.

Et celui qu'on surnommait l'homme de paille, de chuchoter à Pertacus en y avancant le seau devant les pieds.

"Hep, mirifique moustachu, y a plein de fausses moustaches pour tes partisans là. Fabriquées par Dudu. J'en profite pour te dire que j'vais ouvrir la première échoppe de barbier en ville... Mais on en discutera plus tard."

Puis comme tout bon Dufresne qui se respecte : il arbora un large sourire en tournant son regard vers les partisans moustachus, bien nombreux.
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«Si vous avez construit des châteaux dans les nuages, votre travail n'est pas vain ; c'est là qu'ils doivent être. À présent, donnez-leurs des fondations.»
[Henry David Thoreau]
Alix_du_vivier
Voilà, à peine une guerre terminée, que la maréchale Royale s'en retournait combattre la dictature.
Armée d'une fourche a deux piques et d'un bâton cassé, qu'elle rejoignit le camps des libérateurs.
Ce Perta, se croyait invincible caché derrière sa touffe de poil ridicule.Et la jeune brune allait le rosser comme il se doit pour lui remettre les idées en place.


--Oh là!!! Garde je suis Alix, je viens regonfler vos rangs

--Attendez là, oh, on ne rentre pas ici comme dans un moulin.

Alix le regarda, sourcil levé, trouvant cette expression ridicule elle esquissa un sourire; au moins le camp était bien gardé, c'était déjà ça.
Elle patienta voyant un homme au loin près d'une femme qui parlait, elle en déduit que ce devait être le chef de la croisade.
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William.
William discutant encore avec la femme arrivée que voila qu'un groupe venait encore d'arriver. Décidément pas possible de rester tranquille deux seconde.

Vous m'éxcusez Dame, je reviens vite.

William s'avance vers le groupe nouvellement arriver et reconnu un tête mais impossible de se rapeler de qui, il entend le nom Alix, il pressa alors pas.

Oh, Bonjour, Dame Alix,

je vais vous montrer vos tentes a vous et vos hommes si il y en a encore assez... Que nous vaut l'honneur de votre aide ?

Le garde qui vient lui chuchoter Tu la connais ?Est lui répondre Mais oui sombre crétin c'est la Maréchale de France Alix du Vivier !

Un sourire vers Alix en attendant sa réponse
Pertacus
Perta toujours percher sur les remparts, fit signe a un des fonctionnaires de la mairie d'approcher et de noté



Que cela soit lu, su et entendu de tous !

Nous, Pertacus, en qualité de Maire de Périgueux,

Déclarons qu'a partir 13 du mois de avril 1460, Messire William, Habitant de Sarlat est déclaré traitre a la moustache, ainsi il lui est interdit d'entrée en la ville de Périgueux.
Sous peine de procès pour trahison.

Fait en Périgueux, le 13 du mois d'avril de l'an de grâce1460

Pertacus
Maire de Périgueux



Puis il continua sur un deuxième décret



Que cela soit lu, su et entendu de tous !

Nous, Pertacus, en qualité de Maire de Périgueux,

Déclarons qu'a partir 13 du mois de avril 1460, Messire Dufresne dict. Dudu, Fier Pétrocorien est déclaré moustachu de mérite, je lui donne aussi le commandement des armées de la moustache ainsi que la charge de défendre la ville de Périgueux

Fait en Périgueux, le 13 du mois d'avril de l'an de grâce1460

Pertacus
Maire de Périgueux



Puis se tournant vers Dufresne toujours affubler de se moustache de paille


-Elle te va à ravir, j'ai ptet un plan pour contrer cette révolte, mais on va en parler loins des oreilles indiscrète on ne sait jamais, déjà, nous allons faire infiltrer leur camp pour savoir ce qu'ils préparent et nous agirons en conséquences


Un messager arriva tout essouffler


-Messire Perta, Dame Alix, elle a été vu avec les révoltés


-Bien, prennes un cheval et allez avertir le comte, passer par cette Porte vous ne risquerez rien


Le jeune Montbazon fit de suite envoyer un pigeon a la maréchal




Bonjour Alix,

C'est avec tristesse que je vous écrit de voir que vous luttez contre votre adjoint , surtout pour suivre un Pécore écervelé , qui a plus d'une fois manquer de respect envers les femmes , vous pourrez le demander a Notre Reyne Leyah qui en a fait les frais a son arriver a Périgueux.

Pourquoi tant de haine, envers une vérité connu mais non reconnu de tous ?
De plus, en notre bonne ville de Périgueux bon nombre de privilèges sont accordé aux femmes

Vous ne devez pas être sans savoir que chez nous l'adultère est punit de haute trahison et encore plus sévèrement envers un moustachu qui pourrait en perdre son admirable pilosité

Je crois que vous este tomber dans les filets d'un démagogue, de plus, je vous attends pour mon interview

Bien à vous

Pertacus de Montbazon Navailles


Perta fit envoyer l'oiseau et resta encore un peu sur les remparts face a la foret, songeant a son plan
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