Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 27, 28, 29   >   >>

[RP] Chapelle Saint Louis, épousailles de Johanara et Valezy

--Mathilde_la_blonde
Mathilde avait jeté un regard mauvaise à la brunette qui entourait le beau Nk de ses bras.

Cerise.. Pffiooo bien un nom de brune. Enfin il devait sûrement y avoir d’autre gents damoiseaux à ces noces!

Se promenant sans vergogne en la Chapelle , avec tout ce monde peu prêterait attention à la chambrière qu’elle était , elle se faufilait de bancs en bancs, ses longs cheveux blonds s’accrochant parfois à une broche ou un pourpoint , les yeux bruns toujours rieurs et la bouche charnue épanouie en un radieux sourire.

Pour sûr que ça la changeait des corvées et du linge sale!

Un murmure se fit entendre parmi les convives. Tournant prestement son front pâle vers les lourdes de portes de l’édifice , elle ne put qu’écarquiller grands les yeux devant l’entrée de son futur maître.

Boudiou qu’il était beau , et plaisant à mirer , et grand , et joliment vêtu!

La blonde , bouche grande ouverte, sentit son cœur tambouriner en son sein et elle se demanda si comme la plupart des nobles , le futur Baron de Lignières aimerait passer du bon temps avec ses domestiques. Bien qu’elle vouait à sa noble maîtresse une dévotion sans limite , un mot du jeune seigneur et elle serait dans sa couche!

Se levant et longeant
le mur , elle pénétra en la sacristie où tout n’était que bruit et vacarme.

Ma dame! Ma dame! Votre fiancé est là! Bien beau! Z’avez une sacrée chance! Et vous êtes bien belle aussi ma foi! Mais point de trace d’la soutane ma dame. Fin j’veux dire de l’ évêque ! J’y retourne et j’préviens quand il arrive!

Courbette dévoilant ses jolis mollets blancs avant d’filer à toute allure vers l’un des bancs.

C’est qu’elle avait repéré un brun ténébreux fort séduisant dont la vêture laissait deviner quelque noble lignage.

S’installant près de lui , les cheveux fleurant bon la vanille , elle lui adressa un sourire timide.


B’jour Messire. Suis Mathilde , beau mariage hein!
Masacio
Mais ..ne me dites pas que ! …. que vous avez osé emmené un canard ! Le visage du jeune diplomate s'empourpre, sa colère est visible. Ah non ça non ! De quoi ai je l'air désormais ? Je vous fait confiance pour trouver un cadeau à celle que je considère comme ma seconde marraine et vous ne trouvez rien de mieux qu'un vulgaire palmipède !

Zoyah, légèrement honteuse, n'osa affronter le regard de Masacio. Tout juste osa t elle protesté par un  mais j'ai fait un joli noeud pour ce canard ! et puis pourquoi cela ne ferait pas un beau cadeau pour la baronne ? Vous m'en avez bien offert !... Norf la jeune fille avait du répondant... Il est vrai que lorsque la brunette avait voulu des animaux nains, il avait préféré lui offrir des palmipèdes plutôt que de voir sa propriété transformée en Arche de Noé... Il ne put que répliquer Et bien là voyez vous c'est différent ! Un canard pour la rousse de Lignères ? Mais elle va me le plumer mon canard ! Johanara adore les robes en plumes !

La mine contrite, Masacio dénoua sa main de celle de sa promise. Pour se calmer quelque peu il attrapa sa bouteille de blanc en faisant attention à ne point tacher son habit immaculé.

Un renfoncement dans la route et le canard se fit entendre, mais cette fois ci un second
coin coin lui répondit ! Masacio écarquilla ses yeux de jades. Il n'en revenait pas... Il n'y avait pas qu'un seul canard mais deux ? Se retournant vers Zoyah ayant du mal à faire sortir son indignation, il ne pu sortir qu'un  mais c'est pas vrai !

Respirant profondément il lui demanda :
Ne me dites pas que vous avez pris un couple de colverts ! Cette fois ci, blessée, la tisserande de Chateauroux se planta ses yeux céruléens dans le regard de son aimé. Et bien ? Nous sommes invités à un mariage donc je n'allais pas faire cadeau que d'une seule bête quand même ? Oui j'ai pris un couple de volatiles pour un couple qui va se marier cela est bien normal non ? Le canard de Messire Valezy a un petit ruban bleu, et la cane de Johanara en a un rose.

Puis Zoyah commença à parler du travail qu'il lui avait fallu pour faire ses morceaux de tissu, comment elle avait brodé leurs noms... L'écoutant d'une oreille distraite, le blondinet leva les yeux au ciel. Mais avez vous pensé une seule seconde que de faire voyager deux palmipèdes dans un panier, ils seront vite remplis de merdaille ? L'ancienne Prévôte du Berry s'arrêta net... elle n'avait pas pensé à cela puisque sa bouche forma un O parfait...

Le cabriolet stoppa, dans un vaste cancanement dans la malle... Le jeune homme reconnu le domaine de Lignères. Il sauta prestement de la voiture, ouvrit la porte à Zoyah et l'aida à descendre malgré sa colère.

_________________

La Guifette Noire
Tiamarys
Tiamarys entra dans le lieu saint suivant de près Niall et cerry. Sa main tendrement enlacée à celle de Paillard ils trouvèrent quelques places libres et s'y installèrent afin de suivre la cérémonie.
Fifounijoli
Salutations, sourires, la vicomtesse commençait à s’impatienter et avait besoin de poser son séant sur un banc. Ne voulant interrompre les nouvelles retrouvailles de son cavalier, elle lâcha son bras, lui murmurant discrètement qu’elle allait prendre place pour la cérémonie, faisant signe à demoiselle Ayerin qu’elle pouvait se joindre à elle si le cœur lui disait, avant de lui montrer discrètement la fiole que sa cousine Joffrey essayait de dissimuler tant bien que mal non loin d’elles
Ayerin
[Chapelle ou Tombeau ouvert pour Locarin]


Allée centrale,...
La gamine suivait la troupe en soies et dentelles du Suz'rain, la main d'Marko toujours dans la sienne, s'demandant à présent pourquoi elle avait répondu par l'affirmative à l'invit' d'sa Baronne 'dorée.

Ça s'arrête, ça fait de nouvelle présentation, mais Aye n'y prêtait guère attention cherchant des yeux Linon afin de lui rapporter l'gamin qui était porteur des alliances.

Mais pas d'Linon en vue, non,...
C'que ses mirettes s'prirent comme azur ce furent ces prunelles qu'elle croyait avoir oubliés, et enterrés,...
Un choc,... choc frontal d'un mur en pleine trogne ne lui aurait pas été plus douloureux ... et du souv'nir qui sans crier gare lui revenait en mémoire,...
elle était donc en vie, on n'lui avait pas menti,... elle était là, face à elle, et en fit d'même, devenue quant à elle, statue mortifiée prête à être enterrée.

La gamine serrait la main du pov'Marko, et serrait si fort'ment sa mâchoire qu'aucune phrase n'aurait pu sortir, si y avait eu d'la demande.
A cette minute, elle haïssait la terre entière,... bien plus qu'avant, a s'voir si crétine, l'regard plombé par la Baile ... ...

_________________

Que celui ou celle qui n'a jamais péché m'jette des pierres, grâce à elles, j'me bâtirai un château ... Libertad !!!
Killijo_de_denere
Killi s'était camouflé dans une malle avec son cousin Max pour venir assister aux épousailles. Ah sa mère n'avait pas voulu qu'ils soient présents parce qu'ils n'avaient pas été sages à la cérémonie d'allégeance à la duchesse, qu'à cela ne tienne. Il voulait venir au mariage, il y venait. Et son Papou, de toute manière, il sera d'accord avec lui. Il avait trouvé une grande malle où il s'était glissé avec son cousin. A 8 ans, ils arrivaient encore à se débrouiller et à tenir à deux. Le voyage avait été assez douloureux, ils se sont pas mal cognés, et on récolté quelques bleus, mais quand il arrive dans l'église, et qu'il la voit, il se dit qu'il n'a pas fait le chemin pour rien. Qu'elle est belle ! Il regarde sa robe, sa coiffure fine, il n'a jamais vu plus belle femme. A part Mamou, bien sûr. Il se retourne vers son cousin, cachés derrière un banc et lui dit

Il faut qu'on soit discrets hein, pas de bêtises ici.

Il se cala contre le banc, et en essayant de dégager une jambe quelque peu endolorie, il perdit l'équilibre et se retrouva à plat ventre dans l'allée centrale.
Nk
Cerry s'étant absentée, il passait son temps à dévisager les gens qui entraient, des visages connus, ou pas...

Il tenta de croiser le regard de Nayria, totalement à l'opposé de la joie de vivre que sa fille dégageait en taverne l'autre soir.
Elle finit par l'apercevoir, lui rendant tristement le sourire qu'il lui avait adressée.
Il se leva pour la saluer lorsqu'elle passa à sa hauteur.


Bonjour Nayria, bonjour messire, Dragonet, je présume? Enchanté de faire votre connaissance, je suis Niall Kilkenny, Irlandais tout comme votre ravissante épouse.

Se tournant vers Nayria :

Et bien, ma chère, où est passé votre sourire qui rayonnait en toute circonstance, là bas dans le sud?

Des Eluzates arrivaient également, Titpuce, Ryan, séparément hélas. Altania qui se faisait discrète, Xzily, encore plus. Il voulait aller à leur rencontre, mais il craignait de ne plus retrouver les places qu'ils occupaient, les invités commençant à affluer.

Puis Cerry revint enfin, accompagnée de Lyngwen toute intimidée.
Le Vicomte Strakastre les suivait, ils avaient certainement taillé une bavette dehors...
Bien qu'il ne soit pas jaloux pour un sou ( ), il ne lui faisait que peu confiance et tenta de dissimuler sa mine renfrognée lorsque sa belle fiancée vint le rejoindre accompagnée de Lyngwen.


Ça alors, je vois double? Deux charmantes bretonnes en belle robe de bal!
Lyng, je suis content de te revoir! Mon amour, je te présente Nayria, la maman de Yuna.

_________________
Navigius


L’italien navigua habilement entre les convives pour se rendre au devant de l’autel, suivit par Benoît qui apportait les deux prie-dieux d’offices, de vieux meubles dévernis, dont le capitonage avait fui depuis lurette. La promesse de souffrance des mariés se concrétisait par le dépôt des centenaires meubles, subreptiscement réquisitionnés par l’italien à Cambrai, pour ne pas dire volés, car un prêtre ne vole pas!

Une fois installé, il se retourna vers Messire Valezy, lui indiqua qu’il était prêt, la salle étant bondée. Ne manquait que la mariée.

_________________
Nayriagrimwald
Bonjour Nayria, bonjour messire, Dragonet, je présume? Enchanté de faire votre connaissance, je suis Niall Kilkenny, Irlandais tout comme votre ravissante épouse.

Nayria tourna les yeux vers l’arrivant et eu un faible sourire, le fait qu’il ai dit Messire allait faire tique son époux, mais elle-même s’en fichait éperdument. Niall l’irlandais, elle eu des souvenirs heureux qui lui revinrent.


Niall, ravie de vous voir ici lieu, cela fait si longtemps.

Un sourire plus franc allait monter à ses lèvres lorsqu’il reprit la parole

Et bien, ma chère, où est passé votre sourire qui rayonnait en toute circonstance, là bas dans le sud?


Le faucon reste coi, elle ne savait pas répondre, elle se sentait percée, étrange sensation, cependant c’est le deuxième homme d’une vie passée qui lui demandait. La brune tenta un sourire de convenance, et vit l’arrivée de deux belles femmes comme un salut.

Lyng, je suis content de te revoir! Mon amour, je te présente Nayria, la maman de Yuna.


Enchantée demoiselle, je suis Nayria Grimwald, irlandaise comme vostre fiancé, et j’ai ouïe dire de vous, en fort bon terme, je suis ravie donc de vous rencontrer. Nostre cher Niall est un homme bon et simple vous avez grande chance de l’avoir.

Elle eut un large sourire envers Niall et se tourna sur Dragonet.

Je vous présente mon époux le Vicomte Dragonet et sa fille Beulbeul.

Elle les montra d’un geste de la main, elle-même s’était levée du banc sans s’en rendre compte.

_________________
Rebaile
S'était figée la gamine, et l'temps avec elle.
Le cerveau d'celle qui n'est plus rouge enregistre les informations sans qu'aucun mouvement d'corps ne trahisse pour le moment l'explosion qui continue d'la secouer.
La Baile reconnait l'gamin d'Gila à côté d'elle, Li ne doit pas être loin.
Elle note qu'Aye semble en bonne santé et s'dit qu'Nea est passée par là...
Trop de questions dans la tête, trop d'ressenti qui r'monte à la surface...
Il faut qu'elle parle à la gamine, Aye qu'a l'meme âge qu'sa Cap...

S'tourne vers l'Ange blanc et n'reussit qu'à sortir un seul mot.

Cap'?...

Plonge ses yeux dans ces émeraudes auxquelles elle parle en silence.
Des "je peux sortir un moment?", "te laisser seule?" et autres questions muettes se bousculent dans sa tête...
Son regard devient flou à force de la fixer, et le déferlement d'souv'nirs menace de l'emporter avec lui.
Le gémissement d'douleur de Marko la ramène en ce lieu, et elle regarde de nouveau la Cap', puis Aye, à qui elle pose la même question muette, "tu sors un moment avec moi?"

_________________
Fablitos
….Pas b’soin d'être Jérémie,
Pour d'viner l'sort qui m'est promis,
S'ils trouv'nt une corde à leur goût,
Ils m’ la pass’ront au cou,
J’ne fait pourtant d’tort à personne,
En suivant les ch'mins qui n'mènent pas à Rome,
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout l'mond' viendra m’voir pendu,
Sauf les aveugles, bien entendu….


Après s’être prêté d’bonne grâce aux formalités d’usage et avoir montré patte rouge à l’entrée du domaine de Lignières, c’est un andalou chantonnant et encostardé d’pied en cap, éternel sourire insolent vissé au coin des lèvres, qui traverse le parc en direction d’la chapelle. Traînant nonchalamment ses bottes dans l’sens indiqué du geste par un des gardes présent à l’entrée, il profite des derniers pas qui l’séparent de l’édifice pour réajuster correctement sa veste sur ses épaules et emprisonner les mèches rebelles d’sa crinière de jais dans un catogan retenu par un fin lacet de cuir. L’crissement des bottes sur l’gravier de l’allée s’arrête net d’vant les marches qui mènent à la chapelle, l’hésitation est r’poussée alors qu’une pensée pour Evan’s, l’ange pyromane libertadien, lui traverse fugacement l’esprit, étirant encore un peu plus l’sourire qui barre sa trogne. La porte est poussée sans plus d’préliminaire et l’arrêt marqué, il est temps pour l’toro d’se jeter dans la fosse aux lions

L’temps d’laisser les mirettes s’familariser avec l’ambiance et la luminosité intérieure… l’temps d’sentir quelques r’gards s’poser sur sa trogne… conversations momentanément interrompues. L’air désinvolte l’andalou embrasse l’assemblée d’son r’gard émeraude…ça r’cherche celle à qui il avait fini par céder et promis de lui servir de cavalier pour l’occasion, la soulageant par là même d’la compagnie d’un Vicomte libidineux. Quelques pas d’côté rapidement effectués pour v’nir s’adosser contre la pierre d’un pilier du fond, ça s’pose et ça continue son observation sous un autre angle, sourire ironique toujours calé au coin des lèvres et envie d’se marrer en reconnaissant quelques trognes.

Les mirettes tournent encore un instant sur l’assistance, s’posent quelques secondes sur chaque personne... r’gard vers Marko et Ayerin, la chandelle doit pas être loin… dans un coin Yrka est là aussi… tiens donc, l’andalou lui sourit gentiment, s’sentant pas trop seul finalement. Breves salutations au borgne encapuchonné d'un geste de la main. Haussement d’sourcil, perplexe… L’coqu’licot, en face de lui… Baile d’un jour, Libertadienne temporaire r’devenue oie blanche… encore une pour qui des choix se sont imposer… sal’té d’passé, sal’té d’histoire… un geste du doigt vers elle, un sourire… hésite à aller la saluer de suite... patienter encore et laisser v'nir...
_________________
--Theobald_


Il commençait à faire chaud comme dans un four dans cette chapelle. Il fallait cependant avouer que le poids de son armure n’était en rien pour remédier à ce désagrément.

A ce constat, une lourde main trapue vint lisser les moustaches du garde tandis qu’il regardait la salle avec grande insistance.

Crédieu, c’est qu’il y a foule, se dit-il alors, je n’ai pas souvenance d’avoir jamais vu autant de monde réunit dans un si petit lieu.

Ses prunelles se portèrent alors avec un air suspicieux sur les voutes de l’édifice.

Faudrait voir à ce que tout ça ne nous tombe pas sur la gueule.

Enfin, Théobald n’était point là, debout comme un i, à camper du haut de toute sa stature près de l’entrée, pour ses compétences sur le bâti et la maçonnerie. Mais, plutôt, pour veiller à ce que tout se passe bien.

Aussi, c’est ce qu’il finit par faire tout en reportant son attention sur la scène qui se déroulait sous ses yeux. Les convives étaient venus en nombre pour ces épousailles et parmi eux certains semblaient être de bien drôle de zozio.

Néanmoins tout se déroulait dans le calme et le nombre de candélabres forgés à même des métaux précieux était toujours strictement identique qu’avant l’arrivée de tout ce beau monde… Il y avait lui-même veillé, en les recomptant régulièrement.

Là bas, au fond de la nef, tout près de l’autel, le promis, escorté de ses témoins, attendait, quant à lui, sa promise. Le jeune seigneur d’Antras et de Magnet tentait alors de masquer tant bien que mal son excitation tout en rivant son regard sur les portes demeurées grande ouverte du lieu de culte.
Yrka
La brune était entrain d'piquer du nez, quitte à occuper son temps intelligement...'fin d'son point d'vue d'affamée n'tenant pas en place... la tête tombant presque du côté du borgne mutique..
Citation:

'lut tit gardon! Vais dire une évidence, mais c'en est une surprise d'te voir ici...


Baile!!!

La gueuse sursauta , c'qui bougea un peu l'borgne mais n'le sortit pas d'sa torpeur.. puis tourna l'regard vers la source d'la voix... "gardon".. y avait qu'une personne qui pouvait l'appeler ainsi... souvenir de longues dissertations sur les différences entre les poissons d'eaux vives et ceux d'mortes ondes comme l'était l'bled d'où elle venait...'fin dissertations...trouble devant ce regard qui lui rappelait c'qui lui avait fait comprendre qu'a vie n'était pas à attendre dans c'trou que quelquechose se passe enfin et l'avait décidée à partir, la vie étant trop riche pour s'en priver!

la brunette allait s'enquérir d'son sort mais n'en eût pas l'temps :

heyyy Baile !!! fait drôlement plaisir !!! comment tu.....

Citation:
D'solée Yrka, l'devoir m'appelle!


l'clapet bouclé , yrka restait pour le coup bouche bée telle la carpe à laquelle elle n'voulait pas ressembler..
L'regard suivit la direction d'celui d'la Baile et elle vit Ayerin... statufiée...
L'ecervelée brunette comprît qu'son silence était d'rigueur et qu'elle n'avait plus rien à faire içi.. avait envie d'un coup d'un poisson qui grillerait au bord du lac , loin d'tout c'fatras qui n'la concernait pas et où elle faisait tâche ...
S'leva sans bruit et s'tourna vers la sortie , liberant une place tant convoitée alors que l'mariage commençait et qu'les gens arrivaient à contresens par rapport à elle ,levant l'nez elle apperçût Fab qui lui souriait:
heyy Fab , b'jour ! wouaaawww quelle classe!!! j'vais prendre l'air j'te laisse la place tiens !
Escalibur2
[Sacristie de la Chapelle]
Cela faisait quelques minutes maintenant qu'un silence hum ... religieux ... s'était fait dans la sacristie. Estelle Caroline constata avec amusement que le sacristin qui était là depuis le début sembla d'un coup apaisé : le pauvre homme n'était en effet pas habitué à tout ce babillage qu'il venait de subir. Il alla même jusqu'à sembler souffler de soulagement lorsque la Baronne de Lignières hurla :
Sanguienne! Si j'en vois une qui trainaille je la tonds! Le menton droit , le minois souriant , en avant mauvaise troupe!

Toutes prirent la promise très au sérieux, c'est donc d'un seul homme (si l'on pouvait dire ainsi) qu'elles se relevèrent et ajustèrent une dernière fois leurs tenues. Toutes les demoiselles d'honneur étaient vêtues de robes faites de la même étoffe. Estelle Caroline trouvait que cette couleur allait à merveille avec son teint ainsi qu'avec ses longs cheveux blonds coiffés en tresse avant d'être relevés sur sa tête.


Le cortège marial ne mit guère longtemps à se mettre en branle pour rejoindre l'église. Il se forma juste à la sortie de la sacristie sous les ordres de la mariée qui avait déjà tout prévu : La petite Iria d'Ambroise devait ouvrir la marche avec un petit panier de fleurs destinées à être lancées au passage de la mariée dans la nef de l'église. Juste derrière elle, se trouvaient Maryan, la soeur de la mariée et Estelle Caroline, sa cousine, qui elles-même précédaient les témoins et la mariée.

Le groupe contourna l'église pour ne pas que la mariée soit vue avant "le moment fatidique", mais peut-être aussi, pour faire en sorte que si elle changeait d'avis à la dernière minute, personne ne le remarquerait... C'est ce que pensa Estelle Caroline lorsqu'elle vit le détour qu'elles firent. Elle chuchota à Maryan d'un oeil complice :

Eh beh ! Semblerait que ta soeur n'ai pas peur de crotter sa robe !

Lorsqu'elle termina sa phrase, le groupe se trouvait juste devant l'église, prêt à rentrer. Un dernier signal de la mariée et voila que la petite fille ouvrait le passage donnant le signal à l'orgue de la chapelle de commencer à résonner. Estelle Caroline qui suivait, reconnu de nombreux visages connus dans l'assistance. Quant elle aperçut Rebaile en compagnie de la capitaine des Dames Blanches sur un des rangs du fond, elle sourit en pensant et espérant que son ancienne filleule ne manquerait pas de venir saluer "son roseau".

Le cortège continua ainsi jusqu'au pied de l'autel. Tout le long de la nef, les yeux de la Baronne étaient à la recherche d'un visage. Un visage fin et doux accompagné d'une magnifique chevelure épaisse et blonde qui ne la laissait pas indifférente, bien loin de là même. Malheureusement, elle ne le vit pas. Peut-être était-il masqué par la foule ? Peut-être n'avait-il pas trouvé la route ? Ou, peut-être était-il tout simplement en retard ? Ca elle le saurait plus tard..

_________________
Sakou
Alors qu'elle reposait son regard vers l'avant, elle eut le temps de ressentir le malaise qu'elle venait de créer. Elle ne voulait point que l'homme croit qu'elle était une de ces femmes impolies n'ayant jamais appris aucune règles d'étiquettes, mais se fessant passer comme telle.

Son regard se laissa porté durant quelques instants sur le flot continuelle d'invités qui passaient la porte et décida de prendre son courage à deux mains et d'offrir ces excuses à l'homme de l'avoir dévisagé.

Elle retourna sa tête de nouveau en direction de l'homme à la magnifique chevelure rousse. Curieusement, l'homme était face au mur et venait tout juste de jeter un coup d'œil par-dessus son épaule. Puis dans un petit geste rapide de la main, s'essuya la bouche et ranga discrètement se qui semblait être un flacon.

Avant que celui-ci se retourne complètement, pour faire dos de nouveau au mur, Sakou s'est retourné la tête dans la même direction que l'autel.
Sourire au lèvre, elle trouvait que l'homme était remplie de bonne idées et chercha discrètement de sa main droite, le flacon qu'elle cache dans son petit sac de voyage.

Horreur, elle ne le trouvait pas. Puis se rappelant soudainement qu'elle l'avait laissé sur la banquette de la calèche, oubliant de l'a remettre dans son petit sac après avoir bu quelques gorgées d'hydromel durant le trajet.

Sakou n'osait pas se lever, craignant qu'un quelconque invité, par grande politesse, lui entretienne une conversation.
Tout à coup son regard se porte sur une jeune dame, dont elle reconnaît aussitôt la silhouette. dame Altania, l'héritière de feux, sa sœur Irisandre.

Comme elle semblait plus qu'occupée, Sakou préféra ne pas aller la déranger, se qui aurait été un prétexte parfait pour se faufiler jusqu'à son carrosse pour ramasser son flacon.

Mais à force de penser à ce satané flacon, elle commença à ressentir les effets de la chaleur qu'il y avait dans la chapelle.
Sa gorge et la commissure de ces lèvres s'assèchent rapidement.
Elle avait beau passer discrètement sa langue pour humecter ces lèvres, on dirait qu'ils s'asséchaient plus rapidement.

Elle décida d'y aller le tout pour le tout!
De toute façon se dit-elle, il doit déjà me trouver fortement impolie de la façon dont je l'ai regardé.
Un peu plus ou un peu moins...

Elle entendit que personne d'autre ne soient autour d'eux, sans se retourner la tête, et dit assez fort pour que l'homme puisse entendre;


Que dois faire une jeune femme pour se faire offrir un boisson, afin de l'aider à supporter cette chaleur?

Puis, toute souriante, elle tourna sa tête dans la direction de l'homme au magnifique cheveux roux, pour qu'il comprenne bien qu'elle lui posait la question.
_________________
dame Sakou de Franchimont
Matriarche de la famille de Franchimont
Protectrice de Lailah!
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 27, 28, 29   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)