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[RP] Chapelle Saint Louis, épousailles de Johanara et Valezy

Alena
Entrant à la suite de Sepa, Alena semblait se cramponner à sa main. Pas de chance, ils étaient en retard !
Persuadée que tous les yeux se tournaient de leur côté, elle ne pu s'empêcher de baisser la tête.

Que de monde ...

Heureusement, Sepa choisit un banc de suite à l'entrée, la jeune fille n'était pas sur que ses jambes tremblantes lui auraient permis de traverser la chapelle.

Elle se pencha discrètement vers le jeune homme pour lui chuchoter quelque chose lorsque la mariée fît son entrée. Vivement elle se redresse et, comme tout le monde, se tourne pour la regarder passer.

Elle n'arrive pas encore a croire qu'elle se trouve ici ! Elle essaya d'oublier ses angoisses pour se concentrer sur la cérémonie.
Pour le moment, elle ne connait personne mais plus tard ...
Mentalement elle ne peut s'empêcher de croiser les doigts, prise de doutes. Du moins, elle l'espére.
Dragonet


A la presentation, il se leva et salua courtoisement Niall Kilkenny et son épouse Cerridwen.

je suis ravis de découvrir des amis de Nayria, qui sont de fait les miens par définition.

Il sentit le dos le picoter et se retourna. Son ancienne Suzeraine Marie-alice le regardait avec des yeux mauvais. Il eu pitié pour elle, sa vie devait être bien vide pour n'aspirer qu'a chercher comment nuire à autrui, au lieu de construire. On l'avait guére entendu à Saint Ouen ou ailleurs, mais il etait sur que quand il s'agirait d'alerter la prevoté de France, elle serait des plus vive, denonçant tout ceux qui pensait pas comme elle. Bien sur Pisan avait déja été alerté, c'etait un accord tacite entre eux.

Il se detourna de cette triste vision et se fit aimable pour le jeune couple, serra tendrement le bras de son épouse.
Archibaldane
Gabriel_de_culan a écrit:
Je ne le répèterai jamais assez! Je déteste Lignières!
...
Gardant en toute circonstance le port altier de sa mère, le jeune diacre ne se laissa pas impressionner, et avança avec sa cadette vers les rangées de la famille, occupées pour la plupart par des gens pour qui Gabriel n'avait ni respect, ni considération.


Archibaldane aperçoit son petit-neveu de Culan pénétrer dans la chapelle, et s'installer les lèvres pincées et le regard méprisant. Elle se lève donc, va vers lui. Elle se penche à son oreille et précise...

- Mon petit neveu... Vous me paraissez si contrarié d'être à Lignières, et si méprisant envers ceux que votre tante aime, que vous pouviez ne pas venir ! Personne ne vous en aurait voulu... Sachez, mon cher enfant, que "la Noblesse doit être un éperon pour la vertu, et non un étrier pour l'orgueil"... C'est un de mes bons amis de vieille noblesse, qui le dit et que votre tante adore particulièrement : le Baron Vaxilart d'Auxonne, vous connaissez peut-être ? Mais suis-je bête, vous ne pouvez lui avoir été présenté, il ne se soucit guère des jeunes gens comme vous... Au fait, vous auriez dû essuyer votre banc avec votre mouchoir avant de poser votre "auguste et pédant derrière"... Ce serait dommage de tacher votre habit !

Et lui faisant le plus beau des sourires, saluant Maryan, retourne à sa place.
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Hildegardelapure
Hildi avait chevauché depuis le Béarn pour être là pour la cérémonie où son amie Johanara l'avait conviée... elle s'épousseta un peu, quitta sa longue cape bleu nuit avant d'entrer dans la chapelle...

Il n'était pas trop tard... le mariage ne semblait pas avoir commencé...

Ses grands yeux bleu azur se posèrent sur quelques personnes que son passé de diplomates lui avait fait croiser... Elle salua d'un sourire... Elle aimait beaucoup les mariages...

Elle alla s'asseoir et attendit que la messe commence...
--Ahouaihouais

[Portrait en bide du Valet le plus crétino du Royaume, mais bon, vous l'avez pas encore bien vu dans ses oeuvres. En tout cas, pas Marie-Alice, sinon, certainement n'aurait-elle jamais fait appel à lui. C'est bon pour faire séparation, là ?]

Tiens... une bonne femme qui s'en r'tourne... Elle fait signe... Pfff... Y a des valets, j'te jure : ils confuseraient une Garonne avec la premiere anesse venue... Ah ben tiens... Elle me louktance, la pucelle... Borf... mais c'est moué qu'elle mouve de son bras qu'est dans l'ordonnance... M'rappelle quelqu'un mais qui ça, d'ja ? C'est t'y pas qu'elle me toise ? 'Va pas s'passer ça comme ! Ahouaihais en était là de ses profondes reflexions lorsque, tout soudain, sans que sa propre bouche ne l'ai pu prévoir (rassurons nous : son cerveau moins encore) :

Ahhh ! Rabonne Darie-Lamalice ! J'accourions, j'accourions ! Ah, ouais, ouais ! Ah ouais, ouais ! Z'avez perçu c'te biau monde ? Z'êtes des z'ot' du haut vous... Que ça m' faisions tout chiaud, Borf de Borf !

N'est pas basin d'honneur qui veut, et celui là, au pantheon de la basinitude il fallait l'elire Diou di Diou... A c'propos, pas qu'je veuille me la ram'ner, pacque j'ai ben compris qu'on etions pas là pour causer d'la vie des pauv'z'hère, mais ça me r'vient la premiere foué qu'une femelle vint t'à l'chercher : l'a pas que d'la qualité un train d'sectes, le Ahouais, mais si pour sur y a une chose qu'on peut point lui oter, c'est qu'il a eu une belle descente de l'orge d'âne, que sa cervelle, elle a forcement du aller compenser plus bas que c'est à en rend' bouru d'jalousie l'taureau du Père Williamss. Dans l'fait, la donzelle, l'était connue pour avoir la peur de rien, mais c'te fois, faut l'dire ben fort, el' village, il l'a vu fouyer en courant de perd' ses laines quand elle a visionné la CHOSE... Apres l'coup, toute folette qu'on l'a r'vu, la maraude... Qu'elle disions que c'etait pas l'humain... Que c'etait une vision des pots du pere Calypse, ou un machin ça comme, c'est qu'elle avait des voyelles, la fillote, même si qu'elle avait la moeurs allégée, pour sa santé qu'elle disait... Les bon'femmes, j'te jure ! Moé, j'aime ben quand c'est qu'y a d'la chair à prend' en main, mais les egouts z'et les douleurs !

Quoi qu'il en soit, et malgré ces apartés dont nous ne sommes nullement responsables, ayant fait de l'insu du plein gré une véritable philosophie, notre benet intégral s'approchait, à grand renfort de bourrades involontaires, d'écrasement de pieds collateraux et de coups de coude imprévus, notre crétins asymptotique parvint enfin à se positionner aux cotés de Marie-Alice, fier de lui, pour ne pas dire tel l'Artaban intégral (lequel ne pratiquait point, en public, le nu du même genre), se sentant obligé de pratiquer devant elle ce qui devait sans nul doute être une révérence (dommage pour le voisinage, de dos comme de face), et d'une voix aussi ronflante que la tante Leonie en plein sommeil paradoxal :

Ah ouais, ah ouais ! Pour sur Vot' Vitaufesse, c'est qu'un biau bastringue, c'te messe ! Si j'peux vous z'y donner du service, fesez, je disposerions !

La discretion n'étant point mot que le minus habens connaissait, c'est sans vergogne et surtout sans baisser les décibels que le Ahouais se presenta donc devant sa patronne du moment...

MAJ pour faire des zoulies couleurs...
Ewaele
[Hors de la Chapelle, perdue dans ses pensées]

Plus tôt le matin, Ewaële s'était réveillé de bien mauvais poil, des vêtements de nuit à peine assez chauds, pas de musique à l'aube et la collation du matin qui n'était pas servie, rien n'allait plus dans ce domaine!

Ronchonnant véhémentement contre l'adversité, elle ouvrit les yeux à moitié pour se rendormir aussi vite. Quelques instants après, Agnès passa en coup de vent, la secoua plus vivement qu'à l'ordinaire et déposa un plateau repas sur la table basse qui servait aussi bien d'armoire que de bibliothèque. Une nouvelle fois réveillée par un ouragan qui était parti plus vite qu'il n'était rentré, la rousse s'assit sur le bord du lit. Elle se peigna rapidement avec ses doigts pour voir où elle mettait ses pieds, cela ne l'empêcha pas de s'ouvrir légèrement un orteil contre le pied d'une chaise. Se maudissant elle s'attabla à son petit déjeuner frugal.

Quelques secondes de vide total, c'était la deuxième fois qu'elle passait par là et l'impression était toujours aussi forte. Ou plutôt il n'y avait aucune impression descriptible, comme si rien n'existait, pas même sa garde robe, ni même elle. Et ceci lui faisait peur! Peu avant, ayant accosté Agnès au beau milieu de ce qui ressemblait fort à la préparation de sa sortie, elle avait essayé de la traîner dehors refusant de venir avec elle "parce qu'après tout ça pourrait être marrant de faire des essayages". Voyant une de ses crises qui commençait à être connue arriver, Agnès accepta par avance toute proposition se disant qu’elle arriverait tout de même à ses fins. La demoiselle, pas peu fière au bout d'un moment de l'abandon de sa maîtresse, passa en revue toutes les toilettes pendant près d'une demi-heure, elle avait eu raison d’Ewa en l’habillant en « Comtesse » comme elle s’amusait à le dire !


Puis le voyage, cette douce chevauchée, le temps trop court en compagnie agréable, les quelques mots échangés au milieu de sourires et de rires. Une course pour voir lequel des canassons galopait le plus vite, une halte pour se rafraichir, des instants qu’elle n’avait plus partagé avec quiconque depuis longtemps. Ewaele aurait aimé pouvoir profiter un peu plus de ce temps qu’elle s’accordait et de la personne qui l’avait invitée, mais apparemment, leur monde trop différent ne faisait que de les éloigner un peu plus chaque jour. Que dire, on ne pouvait tisser des liens même amicaux avec qui on voulait quand on avait soit disant des prétentions. Elle s’esclaffa en pensant à ses prétentions, mieux valait en rire et se taire pour l’heure.


[Retour au temps présent…]

Ce fut ainsi que aventurière sans aventure Ewaële se retrouva au prise avec elle-même se demandant ce qu'elle pouvait bien faire ici. Elle balança de grands coups de bottes dans les petits cailloux à droite et à gauche puis se dirigea vers la sortie de la propriété. Dès qu'elle se trouvait quelque part la jeune femme devait en sortir, une idée fixe pour finalement faire les cent pas sans trop réussir à prendre une quelconque décision sur ce qu’elle allait faire.

Revenant sur les devant de la Chapelle, elle s'aperçut apparemment que la cérémonie avait prit son envol. Tout ceci arracha un sourire à la rouquine qui avait du mal à s’imaginer à la même place que la mariée. Soupir en pensant que pourtant son heure viendrait un jour. Sans doute… Peut être… ‘Fin bon bref!

Quand une voix la fit sursauter car même de dehors elle avait très bien entendu les propos du… De… Elle grimaça et se glissa le long du mur interne de l’édifice histoire d’observer quel plouc osait parler ainsi de sa suzeraine. Main glissée sous sa cape, là ou elle avait son épée, elle scruta la populace du côté de Marie.

Hum… Rapide évaluation de la situation, prête à intervenir si nécessaire, Ewa regardait surtout la réaction de la Vicomtesse. Mais apparemment elle maitrisait, fin au vue de sa mine déconfite, elle resterait là au cas où. Décidément rien ne se passait comme elle l’aurait voulu. Elle grogna, légèrement exaspérée

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Gabriel_de_culan
A peine assis sur le banc qui lui avait été réservé, Gabriel eut affaire à une vieille femme, qu'il ne connaissait pas, et qui s'avisa de lui donner des leçons de noblesse et de vertu. Déjà ennuyé par l'affluence dans la chapelle, il fallait en plus qu'il gère ces roturiers qui venaient lui donner des leçons.

Ma soeur,

Il fit ressortir de son col la médaille de diacre qui, dans son esprit, expliquait assez les chemins de vertu qu'il s'était engagés à suivre.

Je ne vous connais pas, et je dois reconnaître que, si vous avez votre vision de la noblesse. Il pencha la tête. Savez-vous seulement de quoi vous parlez? Reprenant. J'ai, pour ma part, ma vision de la famille.

Voyez-vous, brave femme, la famille est pour moi un lien sacré que le Très-Haut décide et qui ne se décide pas par intérêt foncier. J'entends bien que certains soient envieux du nom d'Ambroise, et je connais assez la crédulité de ma tante pour laisser imposer à ces gens leur place sur son arbre généalogique. Mais pour moi, un homme qui ose demander des nouvelles de mon père 12 ans après son trépas n'est pas de ma famille. Aussi, brave femme, si vous souhaitez parler à votre petit-neveu, je n'ai pas de peine à croire qu'il soit dans la salle, puisque tout le royaume semble s'y être donné rendez-vous. Mais, je vous en prie, laissez-moi assister en paix aux épousailles de Madame ma tante.

Que ce baron ne s'intéresse pas à moi, j'en suis fort aise, et serais, pour ma part, ravi de le rencontrer. Je n'ai pas l'heur de le connaître, et s'il semble pour vous la référence en matière de noblesse, il ne l'est certainement pas pour moi, ni pour l'héritage reçu de feu mon glorieux père, et de Madame ma mère.

Enfin, je vous prie de croire mon expérience en matière de noblesse et de vertu. Je suis tout jeune homme, il est vrai - mais certainement pas enfant. Et je sais pourtant qu'il est bien inconvenant d'attarder son regard sur le derrière d'autrui, en particulier lorsqu'il s'agit de personne de l'autre sexe, que cette personne est ecclésiastique et que vous êtes dans la maison de Dieu. Peut-être, je veux bien le croire, avez-vous trouvé mon derrière pédant et auguste (quoique j'ignore ce que signifie l'application de ces adjectifs à mon anatomie) mais il aurait sans doute été plus séant de garder cette réflexion pour vous.

Merci donc de me laisser venir à Lignière quand ma vraie tante m'y invite, et de laisser ma famille tranquille.


Ce n'est qu'en voyant que le sourire et le salut de la vieille femme étaient adressés à Maryan que Gabriel sut que sa mère était de retour dans la chapelle. A son tour, il la gratifia d'un salut, mais il ne souriait pas; mécontent qu'il était de cette horrible situation.
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Elissar

Ouf, elle n est pas la seule en retard, d autres arrivent après elle,
Modeste soulagement de courte durée, la prestigieuse mariée est aux portes de son destin.
Elle avance aux bras du duc, de joie débordante derrière ses amies demoiselles d honneur.
Voilà un mariage, encore un, mais jamais le sien,
Jamais le bon moment de toute façon.

Elissar suit d un regard bienveillant la belle Jo rejoindre son fiancé.
L impatience se lit sur leur visage et ils ont raison.
Mais qu est ce qui les attend pour les années à venir ?
S en rendent ils compte ? ^^

Se dont on se rend surtout compte est soudain plus affligeant,
Les gens de nos jours n ont plus aucun respect.
Tous d affreux nombrillistes et colporteurs.
Et le pire, c est qu ils viennent parader sur invitation.
Des enfants par ci, des gueulards par là !
Sacré mariage, ça commence bien...
C est quoi la suite ?

Depuis sa position, la Spadasse observe froidement.
Sourire envolé, main à l épée.
Attendant.
Si elle peut veiller à la vie de son commandant, elle peut faire de meme pour le déroulement du mariage...
Mais la réalité est toute autre, une fraiche blessure et une morale retiennent le geste.
Interdiction de faire couler le sang dans un lieu saint et par telle cérémonie...
Mais là, y vraiment abus....ingrats invités...
Peuvent pas attendre les épousailles conclues pour s en mettre plein la tronche au repas ?
Non, ça les démange tellement d être là qu ils en perdent le pourquoi principal de leurs venues...
Qui mettra fin à cette mascarade ?

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Dragonet
Dragonet se pencha vers l'oreille de son épouse et lui murmura.

Puisque nous somme devant DIeu, je confesse m'être laissé emporté à un de mes exces, et je vous prie de m'en excuser et pas m'en tenir rigueur.

J'ai eu une "vision", et je suis inquiet pour le tournoi de demain, et cela affecte mon humeur. Je ne voulais pas vous en parler jusqu'a present, mais vous devez savoir que ma colére n'est point contre vous, mais contre le destin. Je suis impardonable, mais je vous demande devant DIeu d'essayer quand même de le faire, mon aimée.
Navigius


L'on invita prestement les deux futurs époux à s'agenouiller sur les plus qu'inconfortables prie-dieux, alors que l'Archevêque d'Auch obtint l'attention de tous par un superbe râclement de gorge.

- Fratelli e Sorelle! Bienvenue en la demeure du Très-Haut, afin de célébrer ensemble l'amour qui nous a été donné et que nous portons vers le Très-Haut. Aujourd'hui est jour de fêtes chers amis, sous le regard de Dieu, car nous avons devant deux deux jeunes gens, Valezy et Johanara qui désirent nous offrir un exemple, un témoignage de vie, en prenant le plus grand des serments devant Dieu. Ces deux jeunes gens nous ont réunis ici aujourd'hui, afin de nous offrir une pause dans le tourbillon incessant de la vie quotidienne, et nous aider à reprendre contact avec l'essence même de notre existance : aimer et être aimé

L'italien descendit du choeur, vers les deux jeunes fiancés agenouillés, et leva largement les bras.

- Johanara, Valezy. Vous vous apprêtez à contracter le plus puissant serment devant Dieu, la preuve d'amour suprême, celle d'une volonté à ne jamais vous abandonner l'un et l'autre. Avant de prendre un tel serment, vous devez nettoyer vos âmes de leurs péchés, afin qu'ils demeurent à jamais dans votre passé, et ne hantent votre futur. Johanara, Valezy, regrettez-vous vos péchés, ceux passés comme ceux à venir, et demandez-vous la purification de vos âmes?

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Mariealice
Note pour plus tard. Ne jamais, mais alors jamais, embarquer un quelconque serviteur sur la route pour pallier au plus pressé.

Sourire forcé comme pour s'excuser auprès des gens autour, des mariés ce serait plus tard, ils étaient trop loin.

Tête rentrant un peu plus dans les épaules à chaque aie ou ouille provoqué par l'énergumène qui finit, tout de même, pas se retrouver devant elle.

De noisettes les iris étaient devenues d'un vert sombre et à voix très basse, alors que lentement sa main s'accrochait à l'oreille du gougnafié pour attirer la dite oreille à portée de bouche, Marie, dont le sourire élargi ne pouvait tromper personne, signifia son mécontentement.


Vous, encore un mot de trop, encore un geste déplacé et je vous assure qu'un coche vous roulant sur l'orteil sera le cadet de vos soucis. Espèce de fieffé imbécile, nous sommes à un mariage, pas une foire aux bestiaux du patelin du trou du cu.l du monde qui vous sert de maison habituellement.

Courte pause pour faire une prière pour les habitants devant le subir tous les jours. Il y avait là de quoi dévaster une population entière, une sorte de bombe atomique avant l'heure.


Bien, vous allez m'écouter attentivement et n'utiliser votre bouche que pour prononcer trois mots à la personne que je vais vous indiquer. Ensuite vous vous posterez à l'entrée de la chapelle. Et si vous vous faites encore remarquer, ne serait-ce qu'une fois, je m'occuperai personnellement de votre cas.

Yeux réduits à une simple fente tandis que la voix sifflait presque de colère. Se servant toujours de l'oreille pour diriger la tête de l'olibrius, elle lui désigna discrètement un homme blond assis à une rangée non loin, près de plusieurs femmes et dont l'une avait un enfant sur les genoux.

C'est à lui que vous allez murmuré ces trois mots. Vendôme, vanille, Averros.

Allez-y maintenant et souvenez-vous de ce que je vous ai dit. Pire que l'enfer.


Sourire carnassier pour appuyer ses dires, oreille lachée non sans l'avoir tirer une fois de plus. Bien trop préoccupée par ce qu'elle avait à faire pour entendre ou remarquer quoi que ce soit d'autre.
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Beulbeul


Beulbeul se leva et fit une révérence à Niall Kilkenny et son épouse Lyng.


Je suis enchantée de vous rencontrer
dit elle en souriant.

Les personnes rassemblaient dans l'église commencèrent à s'assoir. Pratiquemment tout le monde avait trouvé une place assise, et l'église était bien remplie.
La cérémonie allait commencer.
Cylouan
Cylouan courait évidemment il était encore en retard il c était réveiller un peu trop tard de son fosse.
Puis fallait trouver la chapelle a oui ça fallait la trouver, si ça avait été a l auberge cyl serait pas arriver en retard !.

Et ou est son amoureuse hein..
Apres un bon moment il trouva la chapelle y entra asser brusquement, un peu trop d ailleurs tout le monde se retourna.
Cyl un peu gêner de cette entrée brutale adressa un ptit sourire a la foule.
Il jeta un coup d œil rapide et n aperçu pas encore anna.
Il vit par contre archibaldane et alla s asseoir a ses cotes.


Salut vielle branche lui lança t il
Ta pas vu anna ?

Ca y est il était arriver, assis et c était pas tromper de mariage , il aperçu jojo et val et se dit a ben voila après ça ils vont nous faire des minus ces deux la.
Cyl sourit a cette pensée il était bien content pour eu.

Il repensa la première fois qu il avait rencontrer jojo, sacrée rencontre … les fesses de cyl s en souviens en tout cas.
Zoyah
Un caprice et quelques canards avant…

Les canards que Zoyah avait enfermé, non pas dans une malle comme se l’imaginait Masacio, mais dans un panier à côté de la malle – elle n’était pas stupide au point de mélanger les volatiles et sa vêture de luxe…m’enfin, il n’y a qu’un homme pour avoir des idées pareilles…- donc je disais, ce couple de palmipède était issu de l’élevage personnel de la demoiselle. Zoyah possédait tout un groupe de ces volatiles à la Guifette dont elle prenait soin chaque jour. L’origine de cet amour quasi fusionnel de la jeune femme pour ses canards qui, si cela c’était produit dans le pays de Nokomis-Chausiku l’aurait certainement vu baptisée « Danses avec les canards » (merci Nenette^^ pour l’inspiration) était un grrroooooos caprice de la belle.

Un jour les deux amoureux étaient allés dans une auberge dont la particularité résidait en la présence d’animaux de ferme nains. La jeune femme s’était extasiée et avait trouvé cela merveilleux. Elle avait de revêche exigé de son tendre promis d’avoir les même à la maison. Aussi curieux soit-il, il lui opposa un non catégorique même quand elle revint à la charge avec des chèvres naines. Enfin, devant le désarroi de sa dulcinée, disons plutôt devant la tronche de 3 lieues que lui tirait Zoyah depuis quelques jours, il avait fini par céder un tout petit peu. Un beau matin, il était venu la chercher tout guilleret et l’avait mené en lui dissimulant les yeux, jusqu’à la mare où pataugeait un groupe de Colverts.

Il faut bien l’avouer, le premier sentiment de la jeune femme fut la déception…des colverts, même pas un cygne ou un de ses jolis oiseaux des pays orientaux…de simple canards sauvages que tout le monde il a les même. Non, môôôôsieur lui avait offert le banal de chez banal en lui démontrant avec un certains aplomb, à quel point c’était un cadeau de valeur. Il lui avait même confié la charge de les nourrir chaque jour en lui collant un sac de pain dur entre les mains, Groumph ! Qu’est-ce qu’elle a pu les détester ces bestiaux. Quand elle venait les nourrir tous les matins, elle essayait de les dégommer à l’aide de gros quignons de pain dur. En vain…c’est que c’est résistant en plus ! Cela dit Zoyah visait comme un manche pour le plus grand bonheur des palmipèdes qui se ruaient sur le pain en la gratifiant de généreux Coin Coin.

A force de les visiter quotidiennement et de les observer, elle avait fini par les apprécier et le temps aidant, leur donner des petits noms.
Elle supputait même que Masacio était horriblement jaloux de l’attention qu’elle prodiguait aux canards. Elle l’avait surpris l’observer d’une manière étrange lorsqu’elle s’adresser à ses nouvellement baptisés « Petits Chéris » .




Un bain et deux canards plus tôt….

Ces temps-ci, Masachou était très pris par ses charges que ce soit en tant qu’ambassadeur ou en tant que maire de Saint-Aignan. Sans oublier les élections municipales qui lui volait ce qui lui restait de temps. Il rentrait donc très tardivement, éreinté par sa journée. Lorsqu’elle était présente à la Guifette, Zoyah attendait son retour pour souper et tâchait de se montrer aimable et douce afin que ses soirées soient apaisantes. La veille du mariage, Masacio était revenu sur les rotules et après quelques tendres échanges autour d’un repas frugal, il était monté se coucher afin de se reposer du sommeil du juste. Dans la pièce d’à-côté, Zoyah préparait sa vêture et autres affutiaux pour le lendemain. Elle guettait également les premiers ronflements qui témoigneraient par leur sonorité que son chéri se sera enfin assoupi.

Une fois assurée que Masacio était bel et bien dans les bras de Morphée, elle était descendue dans la cuisine, retrouver ses deux valets. A sa demande, Perrine avait fait couler un bain parfumé au jasmin très tôt dans la journée afin que l’eau soit fraîche en soirée. Comme à son habitude, Perrine avait haussé les épaules et s’était bien passée de demander la raison de cette nouvelle fantaisie.

Zoyah trempa ses doigts dans le bain afin d’en vérifier la température Guiton avait alors fait irruption dans la pièce, un canard et une cane sous chaque bras, un lacet autour du bec afin de les empêcher de cancaner.

Vous avez bien attrapé ceux que je vous ai montrés ce matin ? Le valet opina du chef. Bien, mettez-les dans le bain et surtout ne retirez pas le lacet...il ne manquerait plus qu’ils réveillent Masacio. Il en ferait une maladie s’il les trouvait là. Guiton, perplexe et se demandant s’il avait bien compris ce qu’elle exigeait de lui, resta immobile. Et bien, bougre de nigaud ! Exécutez-vous, nous n’allons pas y passez la nuit !, M’enfin ! Pendant que Guiton déposait doucement les canards dans le bain aux senteurs de Jasmin, Zoyah lui tendit deux jolis rubans. Bien, demain juste avant que le soleil se lève, vous viendrez cherchez les canards, vous les sècherez avec une couverture et vous leur passerez un ruban autours du cou...lui agitant sous le nezle rose pour la cane et le bleu pour le canard…c’est clair ? ..Silence qui en dit long du valet Une fois fait…vous les enfermerez dans le cellier. Ensuite, juste avant de partir, vous les mettrez dans un de ces paniers…en désignant un du doigt… et vous le callerait soigneusement à côté de ma malle…est-ce bien clair ? Guiton, qui avait de sérieux doutes quand à la santé mentale de la promise de son maître se contenta d’acquiescer.




Devant le château de Lignières…

Descendant gracieusement du cabriolet, le visage légèrement contrarié, Zoyah reprit son promis.
Vous devez vraiment me prendre pour une grue sans cervellele regardant s’effareroui, comment oseriez vous imaginer que j’ai pu mélanger les canards et mes soieries ?!...grimaçant lorsque cette désagréable image se figea dans son espritLes canards n’ont pas été nourri se matin afin d’éviter justement qu’ils souillent leur panier…mentit Zoyah en lui adressant un sourire juste avant de se diriger à l’arrière du cabriolet, espérant très fortement que ce fut vrai.

Se penchant sur le panier et en soulevant le couvercle…alors, mes petits chéris, le voyage s’est bien passé ?...leur souriant à pleine dent et constatant avec une joie non dissimulée que les deux bestioles étaient intactes et que les rubans ornant leur cou n’avaient pas été ruiné…et qu’à part une fiente ou deux…ils étaient toujours propre et embaumait la senteur suave du jasmin.
Ignorant les regards de son promis, Zoyah posa les deux canards à terre, révélant qu’en plus d’un ruban, ils étaient dotés chacun d’une petite laisse de la même couleur que leur ruban. Elle tira légèrement sur les deux galons de soie afin de les inciter à avancer avec leur dandinement caractéristique si amusant. Allez-venez les petits, nous avons une baronne à félicitersourire en coin à Masacioet en plusse retenant d’éclater de rire…papa est méchantpouffement de rire à ces bons mots.

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Nayriagrimwald
Présentations plus que polie comme à leur habitude, Nayria posa la main sur l’avant bras de son ami.

Allez prendre place la cérémonie va commencer Naill, nous nous retrouverons au bal.

Elle eu un sourire de remerciement, voir la chevelure rousse, entendre le léger accent lui ravivait le cœur. Navigus commençait à causer, le mariage débutait enfin. Les convives ralliaient leurs places Nayria repris donc la sienne. Elle fixait la robe de Johanara magnifique, elle connaissait peu la femme, juste le renom et son amitié avec son époux. Mais la robe était elle à coup sur, exquise.

Lorsque son époux se pencha à son oreille, son cœur se serra. Ses excuses étaient inattendues, car peu dans ses habitudes, elle lui sourit, rassurée qu’une part humaine se cache dans l’homme épousé. Vision, mauvaise novelle, hors de question elle ne voulait pas être veuve de suite, ses enfants n’avaient vu leur père qu’une pauvre heure dans leurs vies, pas deux fois !
Elle se pencha doucement sur lui.


Alors ne joutez pas ! Pour Neïrin, Diane, Beulbeul et moi.


Puis repris sa place et se tut, pas la peine de dire plus, il s’en foutrait surement de tout ca, de sa demande, mais au moins elle lui aurait dit. Les excuses lui avait dénoué le ventre, mais la révélation avait aggravé le cas.
Elle se força, se concentrer sur le mariage….

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