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[RP] Chapelle Saint Louis, épousailles de Johanara et Valezy

Joffrey
La Vicomtesse de Beaufort-en-Anjou avait pu admirer les futurs mariés . La robe était sublime rehaussant encore si possible le port altier de Johanara.

Un coup d'oeil derrière elle, lui permit de voir les deux garnement assis sagement.. peut être trop sagement d'ailleurs.

Elle se reconcentra sur la cérémonie , faisant abstraction de ce qui l'entourait, tout en se recueillant.
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Nkhan
Nkhan n''était pas un grand fana des cérémonies où une multitude venait se mêler..les réunions nobiliaires lui sortait aussi par les yeux..et là..il fallait dire que ce mariage battait des records..

Le Baron était resté en retrait de toute les flagorneries, et avait accompagné ses amis prêt de l'autel..

Navigius commença alors son sermon..qui fut interrompu par un malandrin..cela eut le mérite de faire bouillir le sang du Baron, qui se retourna, la main sur le pommeau de son épée..il foudroya l'homme du regard, mais fut satisfait de voir que le Vicomte Strakastre s'en était occupé..

Il se tourna alors vers la cérémonie, et y engagea toute son attention..

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Johanara
L’agitation ambiante semblait s‘être dissipée… Pour mieux reprendre derechef …

Tudieu , certaine menuaille ne méritait point l’honneur d’être icelieu…
Quand à la noblesse , elle n’était certainement point gage de bonne conduite ,hélas…

Et parmi les têtes couronnées, d’autant se comportaient comme les derniers des rustres! !

Près de l’autel, la jeune Baronne à l’ouï fine ne perdit pas un mot des lacrimables échanges tenus au premier rang , celui réservé à sa famille. Tristeusement, ses yeux se posèrent sur son bien-aimé , priant pour que le boulevari régnant en la chapelle l’empêcha d’odir les billevesées mesquines de ses neveux et nièces. Qu’on parle d’elle en mal, peu lui importait. Au vrai , seule comptait l’opinion de Valezy, et tant qu’elle trouvait grâce auprès de ses grands yeux azuréens, les mauvaises langues pouvaient bien se délier à plaisir… Mais de son fier seigneur! Nenni. Qui s’en prenait à lui, courait le risque de subir une haine farouche et implacable de l’amoureuse éperdue qu’elle était.

De qui avaient ils hérité ce caractère peu charitable et ce mépris? Anne, sans terre et sans titre, avait l’orgueil bien mal placé. Quand au jeune vicomte plein de morgue , pour un diacre désireux de vouer sa vie au Très-Haut et aux autres, il ne se montrait guère généreux…

Mais après tout, ils étaient encore bien jeunes, et leur tante ne manquerait point de prier pour que le venin enserrant leurs cœurs ne se distille avec le temps.

Les paroles de l’archevêque interrompirent dès l’abord le flot de ses pensées et sans respit l’émeuvement accéléra un peu plus les battements de son palpitant.

La cérémonie religieuse s’engageait enfin et pas tans ils seraient unis, quand bien même ils ne pourraient guère l’être davantage que présentement.

Léger flottement, des prunelles qui s’accrochèrent à celles de son témoin, la duchesse de Chantôme pour y puiser la force de ne pas se laisser aller aux grandes eaux…

Ses mains fines agrippèrent délicatement le tissu moiré et chatoyant de ses amples jupes bourgogne , prenant bien garde à ne pas découvrir ses graciles chevilles, et s’agenouilla sur le prie-dieu, non sans un léger froncement de nez devant leurs piteux états et le grand inconfort qu’il exigeait de sa part.

Aimer et être aimé… Les paroles du prélat firent étinceler le jade de ses yeux à présent ancrés au safre luminescent du regard de son futur époux. Quels sentiments furieux et impérieux, elle avait à son égard.

Une passion aveugle , inévitable , folle et brûlante et son for intérieur, elle savait avec la certitude la plus exacte que ce mariage serait heureux et ne serait briser que par leur mort.

Ses péchés… A bien y réfléchir elle en avait commis bien peu. Quelques gentils mensonges par ambition, quelques saines hypocrisies , une ou deux infidélités dans sa jeunesse…

Légère quinte de toux. Bon , quelques une de plus certainement. Mais depuis que Johanara était la compagne du meilleur des hommes , force est d’admettre que sa vertu avait eu emprise sur elle et qu’elle était à présent fiancée des plus aimantes et des plus fidèles.

Quand au reste… Aristote l’avait faite faible femme et lui homme indéniablement beau et séduisant…

Elle n’y était pour rien!

Sa voix s’éleva dans la Chapelle , vibrante d’amour et de sincérité alors que ses doigts se fermaient sur le bois avec force
:

Monseigneur , je regrette mes péchés d’antan et à venir, et je demande la purification de mon âme.
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Unie par le plus fort des liens à Valezy, son grand amour adamantin...
Deilayra
Deil écoutait les agitateurs, et se dit qu'à un mairage ou au moins ici ils pourraient se tenir tranquille, c'était un minimum, tout comme ceux qui ne se souciaent guerre de la cérémonie n'avait rien à faire ici....

Elle sourit en entendant Jo demander absolution et écouta la suite du déroulement, se disant qu'autant de monde a un mariage c'était pas le genre de cérémonie idéeale

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Amberl
Que de monde présent ...
Son borgne adoré en guise de voisin, véritable crétin des alpes protecteur, et un sourire en coin en reconnaissant son amie. Sans commentaires. Parce qu'elle lui fout la paix, elle. Un Doc dans le coin, entraperçu du coin de l'oeil, sourire qui s'élargit de plus belle.. Ainsi que les marmots de Maryan... Mais aucune cousinette en vue. Soupir prolongé, sa blonde lui manque souvent, et elle se réjouissait de la revoir pour cette grande occasion.
Signe de main envers les bambins, elle ira faire plus ample connaissance avec eux par la suite. Dieu qu'ils ressemblent à leur père... Couteau qui se retourne dans la plaie, comme à chaque fois qu'elle les voit.

Balayant du regard l'assemblée, elle y distingue plusieurs têtes connues ... dont ... dont ... mais l'est toujours en vie lui ? Augustin Fleur, le bourreau berrichon. Associé à l'ex juge qui se marie, ils formaient un tandem judiciaire des plus détonnant, et efficace.

Au tour de la mariée d'entrée ... Toujours plus belle à chaque fois, dans une tenue somptueuse, resplendissante de bonheur. Sans connaitre l'élu, Amberle lui apprécie au moins une qualité : celle d'avoir su rendre Jo heureuse à ce point là.

Et ... de se concentrer sur la cérémonie débutante. Parait que ca va être long, comme la plupart des messes. Grommèlement interne. Peuvent pas faire des trucs courts, les aristotéliciens ? Déjà que rentrer dans une église est un supplice... alors autant l'abréger en allant droit au but. Soupir


Mal ... Tu me réveilles quand c'est fini ?


Boutade.. voui... quoique, si ca se traine ... elle finira par pioncer réellement
('xcuse bella, pas le temps irl, vous pouvez manier Amb')

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-- Rajoutez un "E" final à Amberle pleaze ! --

Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ... Ou pas.
"Y a Amberle, une vraie perle"

[Accessoirement, Co-fondatrice du Fanclub Constantéicien avec Apolonie]
Izidore
Izidore avait été invité par Dame Estelle Caroline d'Ambroise, avec qui il avait depuis quelques temps la chance de passer de plus en plus de temps, pour la mariage de sa cousine.

Il avait donc cherché dans sa mise des vêtements convenables pour l'événement. Force était de constater qu'il n'avait pas grand chose à se mettre à part ses tenus blanches de son Ordre ... Sa maigre bourse et ses nombreux voyages l'avait un peu réduit à vivre de peu.
C'est donc vêtu de sa tenu de Commandeur qu'il se rendit au Domaine de Liginères. Là, un serviteur l'avertis que la cérémonie venait tout juste de débuter et il entra le plus discrètement possible dans la chapelle.

Comme il pouvait s'y attendre, la porte de la chapelle grinça quand il l'ouvrit ... Il salua alors d'un sourire gêné les derniers rangs lorsqu'il croisa le regard de la belle Dame a qui il rendit un large sourire.
A sa grande surprise, elle quitta les rangs et s'avança vers lui, là, à sa hauteur, elle lui prit la main et l'emmena vers les premiers rangs.

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Bastien.
Arrivé parmi les premiers (ce qui était tout à fait surprenant vu le temps qu'il avait fallut pour trouver seul la chapelle), Bastien avait vu le lieu sacré se remplir jusqu'à en être bondé et à chaque nouvel arrivant, il lui semblait qu'il étouffait toujours davantage. La sueur perlait à grosses gouttes sur son front et sa respiration semblait difficile. Son coeur battait à tout rompre. Le jeune homme se faisait de plus en plus petit sur son banc. On aurait dit qu'il allait avoir un malaise. Il y avait tellement de monde entassé dans cette petite chapelle. Le jeune homme voyait les murs se rapetisser et la masse grouillante et noire des gens s'accroître sans cesse. Sa vision se troublait au point où il s'imaginait plus qu'il ne voyait la place et les personnes présentes et tout semblait tournoyer devant ses yeux. C'était insoutenable! Au bout de ce qui lui semblait être trois jours mais qui n'en furent qu'une heure ou deux à peine, il se leva de son banc et bouscula plus qu'il n'évita les gens pour se précipiter vers la sortie. C'était environ au même moment où les futurs mariés étaient appelé à se confesser.

À l'extérieur, il ne put que courir à toute jambe. Il sentait l'air frais dans ses longs cheveux blonds, le sol humide sous ses pieds. Il continuait de courir jusqu'à ce qu'il sente son visage happé des branches que sa vision encore trouble ne lui permettait pas de voir. Bastien trébucha contre une racine, déboula une petite côte puis vint heurter sa tête contre un tronc d'arbre. Il se retrouva en boule et tout couvert de boue, saignant abondamment de son front ouvert et de ses genoux écorchés vifs. Encore tout tremblant et perturbé, en proie à une panique à peine contenue qui l'empêchait de faire le moindre mouvement, le jeune routier ne comprendra que bien plus tard qu'il venait de vivre sa première crise d'ochlophobie et, c'était bien sa veine, il fallut que cela lui arrive lors d'un mariage...
Escalibur2
Arrivée à hauteur de l'autel avec le cortège marial, Estelle Caroline s'en alla s'assoir à la place qui était la sienne sur les bancs réservés à la famille. Elle s'installa juste à côté de Maryan, sa cousine et se recueilli pour suivre la cérémonie.

Le début de l'office fut pour le moins animé à cause des interruptions inoppinées provoquées par deux énergumènes. Tous deux présentaient mouls points communs : C'était des gueux sans éducation, ni gêne. Et c'était bien ce dernier point le problème puisqu'ils interrompirent à tour de rôle la cérémonie par des éclats de voix. A chacune de ces interruptions, Estelle Caroline jetait un oeil furtif aux mariés afin de pallier à tout incident ou geste d'humeur de leur part. Il n'eut en effet guère été de bon ton, de voir la Baronne de Lignières entrer en furie à cause de ces gens ou de voir le Seigneur sortir sa dague pour ramener le silence ! C'était là sans doute ses réflexes de diplomate qui ressortaient : toujours tâcher de prévoir l'incident avant qu'il n'arrive !

En ce début de cérémonie, elle entendit une discussion juste derrière elle entre les deux jeunes enfants de Maryan et Valatar. La dernière fois qu'elle les avait entr'aperçu c'était à leur baptême, mais elle ne les avait pas approchés de près. Il était donc fort probable qu'ils ne la reconnaîtraient pas. Du coup, elle ne se permit pas d'intervenir pour tâcher de comprendre la soudaine arrogance de Gabriel.

Soudain, troisième interruption dans le mariage qui commençait à peine. Les rangs du fond semblaient s'agiter encore davantage ce qui attira l'attention des rangs de devant. Estelle Caroline, bien que de taille respectable, se leva et se dressa sur la pointe de ses petits souliers vernis pour en comprendre la cause. Fort heureusement, elle put le faire à peu près discrètement puisqu'elle se trouvait en bout de rang. Du haut de sa position, elle aperçut le point de mire des regards : Un grand et beau jeune homme svelte et de carrure sportive venait de faire son entrée. La Dame Blanche eut reconnu cet homme parmi mille : il s'agissait d'Izidore de Castelléo qu'elle avait invité quelques heures plus tôt à se joindre à la fête. A entendre les babillages, il avait eu le malheur de faire grincer la porte. Le pauvre semblait perdu et paraissait la chercher du regard. Leurs yeux ne mirent pas longtemps à se croiser. Il lui adressa alors un magnifique sourire qu'elle n'avait encore jamais eu l'occasion de voir sur son visage.

De joie de voir qu'il avait répondu à son invitation, elle quitta le rang de la famille par l'allée qui se trouvait sur le côté gauche de la petite chapelle et le rejoignit et lui adressa un :

Ravie de voir que vous ayez pu répondre présent mon cher Izidore !

Sans attendre de réponse, elle glissa sa main dans la sienne et refit le trajet jusqu'aux rangs de la famille. Elle invita le Teutonique à s'installer près de Maryan où se trouvaient deux chaises vides. En voyant les visages interrogatifs des d'Ambroise, elle leur chuchota de brèves présentations :
Je vous présente le Sieur Izidore de Castelléo qui m'a fait l'honneur d'accepter d'être mon cavalier ce jour.
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Selenae
    Elle arriva à la cérémonie légèrement en retard, mais heureusement elle s'était aperçue que les mariés n'avaient pas encore prononcé leurs vœux, elle rajusta sa robe de dentelle se recoiffa, après le course effrénée qu'elle avait du faire pour arriver jusqu'ici.

    Elle se glissa tant bien que mal plus près des mariés, pour entr'apercevoir la jolie johanara, en se souvenant comment elle avait fait sa connaissance il y a quelques mois de cela, ce qui la fit sourire.
    Enfin elle la vit, elle était merveilleusement belle, elle eut une petite moue et repensait a son mariage a elle, qui elle espérait ne devrait pas tarder.

    La jeune femme ne se souciait peu de tout ce qui se passait autour d'elle, elle vint pour son amie, le reste importait peu, surtout qu'elle ne connaissait personne de ce beau monde, elle fit des petits signes de tête par politesse a quelques personnes qu'elle croisait ou la poussait pour voir.

    Elle essaya de se glisser dans un petit coin en attendant la suite de la cérémonie.

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Gabrieldefranchimont
Gabriel arriva plus qu'en retard.

La cérémonie avait déjà commencé.
Il se glissa discrètement dans la chapelle et se plaça debout derrière la dernière rangée de personne assises.

De cet endroit, il pouvait voir la ravissante et sublime Johanara dans son merveilleux profil.
Sa robe de mariage sied bien chacun de ces formes.
Quel veinard, se dit-il tout bas sans que personne ne puisse l'entendre.

Au loin, il reconnut Altania.
L'héritière de sa sœur cadette Irisandre.
Salutation de la tête en signe de respect à son égard.

Puis elle se mit à chercher sa tendre jumelle.
Espérant la trouver dans les dernières rangées, comme à son habitude lorsqu'elle n'était point accompagnée.
Il fût surpris de la retrouver au premier rang au côté d'un homme de bonne famille, roux de surcroît.
Probablement un membre de la famille de Johanara se dit-il.

Il les regarda pendant un moment, où il remarqua que quelque chose semblait s'être produit entre sa sœur et son cavalier.

Détourna le regard et se concentra sur le restant de la cérémonie.

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Gabriel de Franchimont
Kingdom of England
Nk
Citation:
"un jour ce sera nous ..."


Ces quelques mots glissés dans son oreille achevèrent de le plonger dans l'ambiance émouvante des mariages. Il l'enlaça tendrement.

Bientôt, mon amour, bientôt, je l'espère

Il ferma les yeux et tout en caressant la douce main qu'il tenait dans la sienne, s'imagina à la place de Valezy, et bien sûr Cerry à la place de Johanara.
Il les rouvrit quand au milieu des voix, il reconnut cette de sa chère amie qui s'adressait à Navigius.
Serrant légèrement la main de sa douce, il lui fit comprendre que la cérémonie allait commencer et tous les deux, ils concentrèrent leur attention sur le couple de rouquins près de l'autel.

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Fifounijoli
Toujours autant de brouhaha, des portes qui grinces des chuchotements, Fifou regardait de temps à autres les deux gamins assis derrière elle afin de s’assurer qu’ils ne faisaient pas de bêtises ce qui ne manquerait pas de provoqué la colère de Joffrey. Son cavalier semblait lui aussi tout à coup contrarié, un paysan vint à sa rencontre lui murmurant je ne sais quoi, son regard devint rouge puis noir et elle préféra détourné le regard essayant de suivre le déroulement de la cérémonie.
Ysabeau
La chapelle bruissait de rumeurs, de conversations chuchotées, d'entrées inopinées. Ysabeau avait la tête qui tournait, tant de monde, tant de têtes connues et inconnues...
Elle blêmit au regard de Terwagne. Elle savait qu'elle avait été maladroite, qu'elle n'aurait jamais dû poser certaines questions. Maintenant Terry doutait d'elle, de sa fidélité, et elle se sentait affreusement coupable.
Au moment où le prêtre demanda aux futurs époux de se repentir de leurs péchés, silencieusement, en elle-même, elle aussi demanda pardon.

Gabriel, Anne... elle les avait aperçus, brièvement, surtout Gabriel qui passait de temps en temps à Culan. Ils étaient de beaux jeunes gens à présent, presque homme et femme...

La chapelle était pleine comme une ruche, pleine comme une vache pleine, pleine d'amis, de connaissances... Elle cherchait des visages connus, des amis.
La chapelle allait bientôt résonner des consentements.
Johanara était resplendissante, lorsque qu'elle avait rejoint sa place auprès de son fiancé, au bras de son oncle.
Jo, mariée... Ysabeau sourit doucement, avec un peu de nostalgie
Jo, mariée... la fin d'une époque.
Elle ferma un instant les yeux, laissant les souvenirs l'envahir.

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dame de Sury sur Léré
Cricriultras
les jeunes futurs époux venaient de se repentir de leurs péchés, Cricri
fît une prière, se repentant aussi des péchés qu'elle avait dû faire durant le cours de sa vie.

Elle prit la main de son fils dans la sienne, jeta un regard sur lui, une larme coula, voir ici tous ces amis du Berry, lui rappela la période de sa vie la plus belle aux côtés de son tendre Ht, elle pensait souvent à lui, son fils était là pour le lui rappeler.

Un moment de nostalgie la gagna, elle reprit ses esprits et le cours de la cérémonie.

Elle espérait pouvoir saluer tous ces amis lors des festivités, converser avec eux, savoir ce qu'ils devenaient... quelle joie pour elle de les voir.

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Yrka
la brune attifée en soubrette s'dirigeait vers la sortie prometteuse de plus d'air et d'espace quand un bras la retînt et qu'un visage dont les yeux sont presque noirs d'rogne vient s'mettre en face d'elle :

Citation:
Et t'comptes aller ou comme ça hein ?
Ça fait un bail que j'attendais vautrée sur un plumard douillet, qu'mon habilleuse préférée m'apporte d'quoi m'vêtir, et maint'nant qu't'es là,... tu penses d'jà à r'partir ?


Heeyyy , l'auraît fallu qu'tu m'donnes l'plan ou même rien qu'l'adresse... fait des heures qu'j'arpente les rues en jupe , ppfff j'me sens même presque ridicule t'vois? vrai t'as l'œil en tout cas , m'vont bien tes frusques!
puis baissant l'ton tout en ajustant l'corsage :

c'vrai qu't'étais vautrée? hum...j'aurais bien voulu voir ça.. *lui sourit l'regard brillant* j'vais t'attendre dehors , j'me sens pas à mon aise là.. l'souv'nir d'ma genitrice qui m'tiraille sans doute ..pis la promiscuité j'l'aime surtout quand j'la choisis hein..pis.. t'es d'mandée ..

un sourire provocateur aux lèvres , elle s'recule tout en la fixant avant d'la voir emportée par son padré qu'a pas l'air d'vouloir plaisanter..

Au loin elle aperçoit Karine et son noir , les salue tout en mimant d'façon quelque peu clouwnesque qu'l'air lui manque et qu'elle va aller s'rinçer l'gosier dans un endroit plus proche d'sa condition d'gueuse, et sort enfin .
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