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[RP] Chapelle Saint Louis, épousailles de Johanara et Valezy

Suniva
* Madoué !! Que c'est long, mais que c'est long ! Heureusement que la Baronne a bien fait les choses et que les sièges sont confortables... et qu'il y a du mouvement... parce que vu le confort des sièges, je piquerais bien un petit roupillon moi...*

Suniva en était là de ses pensées, ses prunelles éteintes par l'ennui, quand une nymphette auréolée de cheveux blonds vint se placer aux cotés de l'Archevêque et prit la relève.

Elle baissa la tête et commença de réciter humblement le Crédo comme on le lui avait enseigné.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

.../...ienne Romaine,
Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.


AMEN


Une cascade d'"Amen" fusa de l'assemblée plus ou moins clairs, plus ou moins articulés, plus ou moins... Quand un grand charivari se fit entendre à l'entrée.


" - Allons bon ! Par les chausses de mon Père, ça ne finira donc jamais ?!!"


maugréa, la jeune normande en se tournant sourcils barrés sur des prunelles assombrit par l'agacement... Prunelles qui se teintèrent de mille paillettes quand elle reconnu le Comte qui venait de faire son entrée et vitupérait comme à son habitude sur ses gardes trop zélés. Elle gloussa...


*Palsembleu, il s'y fera jamais à sa condition ! L'est Comte, faut qu'il compose avec tout ce qui va avec, quoiqu'il en pense ! *


Un sourire amusé éclairait le visage aux joues délicatement rosées de normande quand la jeune femme tournant à nouveau son minois vers le choeur et le groupe recueilli qui s'y trouvait...

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Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Masacio
Masacio prit un air affligé quand il vit que Zoyah, était toute heureuse d'emmener le couple de canards dans la tente à cadeau. Décidément la brunette de Chateauroux savait surprendre son promis ! Pendant sa courte absence, Masacio salua les invités qu'il connaissait. Il alla révérer les Saint Aignanais, puis plissant les yeux il cru reconnaître la chancelière d'Anjou ; celle là même qui avait disparu à la Guifette Noire... Curieuse disparition, curieuse réapparition se dit il. Y avait il un passage secret reliant la propriété du bondinet et le domaine de Lignères ?

Le sourire aux lèvres comme à son habitude, le jeune homme parcourra de ses yeux de jade la foule qui se pressait pour le mariage. Il faut dire que Masacio était bienheureux pour celle qu'il considérait comme sa seconde marraine. Présentés par hasard par la Duchesse de Chantôme, la rousse de Lignères et le blondinet s'était très vite bien entendu. Depuis, le temps aidant, Masacio s'était attaché aux caprices de la baronne ; il la prenait même pour une personne de confiance, une personne refuge. Quelle joie également qu'elle ait trouvé un bon parti, après avoir longtemps cherché, elle avait trouvé un homme admirable du nom de Valezy. Certes l'Auvergnat avait des airs un peu bourru parfois, il ne fallait pas lui en vouloir vu sa région de naissance.. Il avait ses manières également, préférant l'ambroisie, breuvage très sucré, à la savoureuse bug de Saint Aignan..; Mais enfin c'était là un être bon, car Masacio et lui partageait le même avis sur un soldat de l'Ost aux moeurs rudes, relevant presque du vulgaire...

Sa promise à son bras, ils pénètrèrent dans la chapelle. Masacio montra du doigt, le fabuleux vitrail de droite, représentant la justice selon Aristote. Ce vitrail, fort coloré avait toujours fait forte impression au jeune maire et partageait ce goût avec Messire Valezy. Prenant place dans la chapelle, ils suivirent avec attention la cérémonie, Masacio liant ses doigts à ceux de Zoyah.

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La Guifette Noire
Ayerin
[Alléluia... Patati et patata]

Décidément les églises c'n'est vraiment pas son truc.
On s'y ennuie ferme, en plus ça caille, ça fait d'la génuflexion, ça demande d'être pardonné et a tour de rôle ça doit faire d'la récitation d'texte, qu'Aye n'connaissait même pas.
D'ailleurs, elle flippait sa race à l'idée qu'on lui demande de se lever et de devoir à son tour cracher l'baratin inconnu, pour d'l'inconnu qui n'a jamais montré l'bout d'son tarin quand elle fut soit embrochée dans d'l'acier, soit poutrée par d'la faucheuse à qui l'on n'réclamait jamais d'compte.
Et en parlant de Comte en vla un qui mériterait de se faire battre son pompeux arrière train, à arriver d'un avec autant d'retard et de deux à s'croire obligé d'faire brailler son titre au lieu d'se faire oublier.

Le seul réconfort dans l'instant était l'gamin assis sur ses g'noux qui lui filait d'sa chaleur, et lui permettait d'bailler dans son dos sans que personne n'puisse la voir.
Y avait bien d'l'animation avec le gras du bide causant un dialecte même inconnu d'elle au Padré mais pour le coup il semblait plus fulminant qu'un taureau près a embrocher son torero.
Ça fichait vraiment la gamine en rogne, car à l'énerver d'la sorte, c'crétin d'gazier allait l'empêcher de s'extirper d'ici afin d'aller causer à d'la jolie prunelle trop longtemps absente et ce même si ce face à face désiré était à la fois, redouté ...

"Sacrebleu !
Y s'passait quoi dediou ?"
Vla qu'le Padré gigotait du gosier à se le décrocher du tronc, cherchant un "je ne sais qui ou quoi" parmi la foule, et qu'il en vint à lui donner du murmure qui aux mots entendus ne lui plurent pas mais alors, pas du tout, du tout !

Besoin d'elle, icelieu, et pour quoi foutre ?
Il avait pas l'intention de la refiler au premier parv'nu pour épousailles quand même ?
Elle faillit s'étrangler à cette idée saugrenue... mais alors, si c'n'était pas ça, pourquoi ne devait-elle pas s'éloigner alors que c'est c'qu'elle voulait faire qui plus est,... et tenta même de lui faire savoir,...


Euh, j'peux quand même aller m'aérer,
C'est qu'y fait chaud ici hein !


Son hein resta en suspend,... Humffrr,... "et ma réponse didiou..."
Guiboles plus qu'agacées et qui gigotent, n'zieutant plus Linon mais le Vicomte, tout en murmurant à l'oreille d'Marko,... "Allez ptit, à c'rythme là, t'seras bientôt rendu aux pays del Toro"

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Que celui ou celle qui n'a jamais péché m'jette des pierres, grâce à elles, j'me bâtirai un château ... Libertad !!!
Icyblue
Coincé entre une colonne qui n'était pas des plus confortable et un homme généreusement ventru, le vicomte cherchait vainement quelques moyens de s'extraire de cette situation indélicate. La nouvelle du mariage de la rouquine avait certainement du faire le tour du Royaume pour à ce point combler le moindre espace vide de cette chapelle. Cela faisait bien longtemps qu'Isidore n'avait vu pareil regroupement en Berry.

Alors que chacun reprenait plus ou moins en chœur les saintes paroles, Isidore profita de l'assoupissement de son voisin replet pour se dégager. Sur le point d'aller attendre la fin de la cérémonie sur le perron de l'église, le vicomte croisa le regard de la dame de Sury sur Léré, qui lui fit un léger sourire. Quelques secondes plus tôt et le temps se serait arrêté sur des yeux pers si familiers... Aristote ne faisait que retarder l'inéluctable.

Isidore se fraya un chemin pour saluer son amie Ysabeau. S'approchant davantage, il chuchota pour ne point trop déranger les personnes alentours.


Bonjour Ysabeau ! Quel plaisir de vous voir ! Enfin un visage familier parmi cette foule... Êtes-vous venue seule ?
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Isidore Bluette
Vicomte de Meillant
Vicomte de Jussy-Champagne


Kathykathe
Le regard attendrit de sa marraine aidera la p’tite blondine à retrouver de sa confiance. Avec le rappel - auprès du Tout-Puissant - de membres de sa famille immédiate, le doute avait joué de sa foy à un point tel qu’elle ne savait si elle avait la force en elle de continuer. Mais plusieurs choses l’eurent ramené les deux pieds fermement sur la terre et l’une d’elle était l’amour encore ici présent en ce bas monde.

Un sourire franc étire ses lèvres rosées et les yeux pétillants de leur clareté resteront fixés sur eux. La main se lève et elle les invites à se relever pouvant donc reposer leurs jambes de cette fâcheuse position qu’est d’être agenouillés.

Kay pivote avec une grâce certaine et fait demi-tour, prenant soins d’agripper ses amples jupons du bout des doigts ainsi évitant un pas de danse maladroit. Elle se dirige vers le lutrin mais aura chercher un regard d’approbation en les yeux de l’Italien, espérant que Monseigneur Navigius puisse lui signaler qu’elle peut continuer.

Elle feuillette quelques pages du Livre des Vertus puis la chapelaine replace une mèche dorée derrière l’oreille et enchaine, recentrant ses énergies et tout de son regard sur le couple de rouquins. Elle opte de citer paroles de Saint-Valentin aulieu de faire sa lecture habituelle. Ce de choix fait, que la jeune chapelaine entame la célébration.


L'Amitié aristotélicienne est l'union spirituelle de tous les baptisés. Elle s'exprime avec plus de force dans le mariage car elle unit étroitement deux êtres l'un à l'autre.

Rappelons-nous des paroles de Saint-Valentin, patron des amoureux :


Citation:
" Dieu a créé l'homme et la femme pour qu'ils forment un couple.
Or, le Bonheur ressenti par les couples amoureux est divin, car il vient de Dieu.

Si vous avez conscience que l’amour que vous vivez a sa source en Dieu, que vous vous aimez de l’Amour de Dieu, par l’Amour de Dieu, quoi de plus normal de Lui dire votre reconnaissance, en vous unissant devant lui, dans son Eglise par le sacrement du Mariage."


Ce texte montre bien la finalité de l'homme et de la femme. Il exprime que l'amour prend sa source dans le Très-Haut et que se marier devant Lui, c'est le remercier pour cet amour, don inestimable et précieux qu'Il nous a offert.

C'est pourquoi chère marraine et vous, Sieur Valezy, que vous pouvez toujours renoncer à vous marier. Sachez que le mariage ne peut être pris à la légère. Vous ne pourrez revenir en arrière comme vous changez de champ ou d'élevage. Vous ne pouvez pas verser une petite somme à quiconque pour voir votre mariage dissous …

Vous devrez travailler grandement afin de solidifier l’union spirituelle entre eux. Devant aussi vous assurer de bien le maintenir.


La petite blondine quitte l’arrière du lutrin, marchant vers le couple d’un pas bien léger, devant donner quelques coups de pieds aux jupons satinés qui encombre chaque enjambée.

Baronne, Seigneur .. Tournez-vous l’un vers l’autre, regardez-vous …

J’invite vos témoins à s’approcher afin de bien entendre et voir vos paroles et gestes.

Ici tous réunis, nous célébrons le sacrement de mariage de Johanara Berenice d'Ambroise, Baronne de Lignieres et Dame de Saint Lys avec Valezy Theobald d''Emerask, Seigneur d'Antras et de Magnet.

Ils ont choisi le sacrement du mariage, ainsi l’union sera témoigné et bénis par Dieu, ayant pour témoins terrestres Nkhan Baron de Saint Saen et Seigneur de mesnil-mauger – Martymcfy, Duc de Billy et Seigneur de Terves – Ysandre de Mistra, Duchesse de Chantome – et damoiselle Linon d’Orient.


Kay prend la main droite de sa marraine en sienne puis la repose en la dextre de son futur mari. Ses yeux suivront le geste pour ensuite grimper jusque le regard des deux. Ses petites mains ne tremblent pas, elle ressent le bonheur au bout de ses doigts. A ses lèvres, prend place un sourire tendre.

Kathy reporte ses mains à son ventre, les repliant doucement contre le bas de son corset et se recule de trois pas ainsi permettant au petit groupe d’être intimement groupé.


Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte. Qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos.

Johanara, Valezy - est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?

L'amour prend sa source dans le Très-Haut et que se marier devant Lui, c'est le remercier pour cet amour, don inestimable et précieux qu'Il nous a offert.
C'est pourquoi vous pouvez toujours renoncer à vous marier.

Vous rendez-vous compte de l’engagement que vous prendrez ? On continue ? ...


Kay laissera le silence être silence en attendant d’entendre la réponse, affirmant ou non la compréhension de l’engagement sacré. Elle sait que ses propos peuvent paraître durs, surtout en un jour d'allégresse, mais les personnes réellement désireuses de s'unir ne s'en offusqueraient pas car elles avaient pleinement conscience de la signification de leur engagement.
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Yeoxfenix
Yeox récita le Credo :
Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait
Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Lieutenant de Police d'Eauze
Ex Maire d'Eauze
Ex Maire de Mâcon
BIERE dans le cœur et dans l'âme
GAN pour le renouveau
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http://larosedessables.forumactif.net/forum.htm
Dame_floryne


Floryne vaquait à ses occupations tranquillement, mais cependant elle n’arrivait pas à se concentrer. Quelque chose la tracassait. Mais quoi ? Là était la question, elle ne savait pas ! Elle récapitula dans sa tête, donner les clés du 114 à Clo et Jay ça c’est fait, faire la gazette de Châteauroux, c’était fait aussi, écrire le courrier que lui avait demandé le maire Gilgaalad, c’était bon aussi. Et pourtant il manquait quelque chose. Déjà il manquait quelqu’un. Bernard s’était absenté depuis une quinzaine et aucune nouvelle. On a beau dire, pas de nouvelles, bonnes nouvelles, cela devenait inquiétant tout de même. Serait-ce cela qui la tracassait ? Non, il y avait autre chose. Comme si elle oubliait quelque chose d’important. Mais quoi ?
Alors que Floryne cherchait ainsi, soudain les cloches de l’église de Châteauroux sonnèrent. Et là ce fut le déclic ! Le mariage ! Elle avait oublié le mariage de Jo ! Comment avait-elle pu oublier cela ? Bon elle avait bien une idée de la raison. Le marié ! Un auvergnat ! Et pas n’importe lequel non. Une sentinelle. Et pas non plus n’importe quelle sentinelle non bien sur. Celle-là même contre qui elle s’était battue à Châteauroux lors de la guerre contre la Touraine, celui qui avait tout bonnement essayé de la tuer ! Mais qu’est-ce qui avait prit à Jo de s’amouracher d’un auvergnat déjà et en plus un des mercenaires qui avait ensanglanté le Berry. George avait du faire des bonds de trois mètres en apprenant cela, ou bien il avait du s’étrangler avec une de ses bugs qu’il affectionnait tant. Un mercenaire auvergnat non mais vraiment ! Jo nous avait habitué à ses frasques mais tout de même.
Bon ce n’était pas le tout de soliloquer toute seule, encore fallait-il prendre une décision. Ira ? N’ira pas ? Jo l’avait invitée. Ce serait tout de même poli d’y aller. Oui mais la voir se marier avec celui-là même qui avait voulu la tuer c’était fort de café tout de même.
Floryne se décida. Elle irait. Pas pour ce vil mercenaire non, pour Johanara, qu’elle avait appris à apprécier au fil du temps, après l’avoir fortement détestée car elle était du parti opposé, et que pour lui plaire, George lui avait donné le poste de juge dont elle voulait s’occuper, qu’elle aurait du occuper. Comme elle l’avait détestée à l’époque la rouquine. Et tout aussi surement Jo la détestait, surtout après les mensonges que George disait sur son compte à ce moment là. Il avait fallu qu’elles arrêtent la politique pour commencer à s’apprécier.
Bon ce n’était pas le tout de rêvasser, si elle voulait y aller et surtout éviter d’arriver encore une fois en retard à un office de Navigius, il lui fallait se dépêcher. Navi allait croire qu’elle faisait exprès sinon.

Quelques heures plus tard, la vicomtesse arriva à la chapelle de Lignières, en retard bien entendu, la cérémonie avait commencé, mais dieu merci, n’était pas terminée. Elle entra discrètement dans la chapelle et essaya de trouver encore une place de libre, ce qui allait s’avérer un exploit, en regardant le monde qui se pressait là. Espérons au moins qu’il y a des visages connus là-dedans et surtout que je vais réussir à les apercevoir.

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Deilayra
Deilayra fit comme tout les convives, dans le fond on restait debout tout le long de la cérémonie, elle se mit a reciter le credo a vois basse, elle n'était pas baptisée et n'allait pas à la messe tous les dimanches, mais dans un lieu saint elle savait encore tenir sa place:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Gabrieldefranchimont
Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait
Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Gabriel de Franchimont
Kingdom of England
Ysandre
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Oh oui je crois..

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait
Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN..




La voix mélodieuse de Kathykate s'élevait, arrachant la duchesse à ses pensées, à ses réminiscences de jadis.
Elle se tenait quelque peu roide comme souvent, de manière inconsciente au beau milieu des filles d'honneur aux joues rosées.
La diaconesse éveillat son intérêt à l'évocation de la future progéniture du couple.
Des enfant, Ventre saint Gris!
Ysandre lança un furtif regard à Johanara, à Valezy.. Des enfants.
Elle s'avoua n'avoir encore jamais imaginé sa tendre amie mère. Elle, si primesautière, si candide encore..
Dieu qu'ils seront beaux ces petits êtres à venir, héritant de leurs parents la grâce, la beauté et plus encore.

Alors que Kathy prononça son nom, elle s'avança d'un pas, instinctivement, toujours aux côtés de la charmante Linon puis s'immobilisa dans l'attente du moment l'on l'on s'adresserait à elle.
Rencontrant une petite seconde les grands yeux de sa presque soeur, les deux femmes se sourirent.
Ysandre tenta de saisir le grand émeuvement qui devait incontinent, à l'approche du "oui" tant attendu, serrer son petit coeur fragile.

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--Ahouaihouais

[Portrait de Sa Majesté le Roy Levan III de Normandie en nature morte -pas de commentaire desobligeant je vous prie- croqué un lendemain de grosse chouille mais ça, la postérité ne saura s'en souvenir, sa lumineuse présence éteignant pour jamais ce genre de petit passage à vide.]

Trop d'infos tue l'info, les grands communicants que sont nos Portes-Parole comtaux et ducaux ne le savent que trop bien qui font de leur interventions un instrument du pouvoir assez souvent tres fadasse, histoire de ne pas trop faire reagir le pénible moyen... Ce qui est néammoins certain c'est que trop d'infos tue l'Ahouaihouais, et là, de voir, vaguement, une jeune femme se précipiter sur lui de même qu'un blondin lui faire de droles de regards en coin -un seul à la fois, sport où notre sauvage des forêts excelle, les deux yeux en deux angles differents- ne peuvent que le mettre en surchauffe... Donc... Une chose tout de même que notre abruti des bois respecte, du moins à sa maniere, ce sont les prieres et là... Et là ! Le CREDO ! D'un coup d'un seul, malgré l'adversité et la tres probable incompréhension future, ne voila t'il pas que le niaiseux du gourdin se jette au sol, les genoux bien en avant, un joli craquement des genoux à la clé (même pas mal. De toute maniere, pas assez de connexions nerveuses pour souffrir), et de réciter SON crédo, avec toute la sincérité et la ferveur du monde :

Une interjection :


Le TREFO !


Une priere :

Je crois aux Vieux, le Très-Beau tout Glissant,
Délateur du Fiel et de Ma Mère,
Des Ampaires et du Sparadra,
Gouge de notre homme dans la paleur des torts.

Et dans le Ristote, sa prothèse,
Le fils qu'était patraque et Syphilitique,
Employé pour saigner la vieillesse
Et les foies d'vinass' de l'aniversair'aux bonnes égaillées.

Je noie aussi le Fristos,
Nez de Maria, c'est tout sa mère,
Il a bu tout' sa vie à nous montrer la rout'aux auberges.
C'est ainsi qu'après avoir bouffé l'Alphonse,
Il a cuvé dans les marais quand y s'est gauffré.
Il a des joints c'est un Soleil à s'rouler
Le Ristote à la droite de la beuh d'haut.

Je crois en la Boutanche;
En la Sainte Glycine 'Ristotélicienne et sert moi un coup,
Une et débouchonab';
En la communion des Vins;
En la tarification des paniers
En le vit paternel.

Fait v'nir !


Et il se signa, tout contrit de contrition... Le bougre ! Avec une sincérité à faire palir un apprenti Saint !!!
Linon
Voilà, c'était son tour d'avancer... Linon brusquement émue suivit Ysandre pour se placer derrière Jo. Discrètement, elle posa la main sur son épaule et pressa légèrement, lui adressant une muette dédicace *voici l'instant ma Jo... puissiez-vous être plus heureuse que moi dans le mariage. Et que cet homme que vous avez choisi soit digne de votre amour... sinon je l'tonds !!!*

Elle retira sa main avec une petite grimace... zut, le tatouage... sur quelle épaule déjà?
Valezy
Une nouvelle fois dans sa vie il était donc là, au sein d’une chapelle du Berry, en plein pays conquit si il devait y en avoir un pour lui, assistant à une cérémonie qui, non contente d’y jouer un rôle, définirait la suite de son existence.

Dans le lieu de culte, les timbres de voix des différents convives, tour à tour fervents ou sceptiques, se mêlaient pour réciter en chœur le credo qui résonnait, avec force, entre les murs de l’édifice. Ainsi livré à son écoute du chant saint, Valezy ne put s’empêcher de se dire qu’il aurait été du plus bel effet que tout ce beau monde se mette à taper, en rythme, dans les mains…

Il n’eut cependant guère le temps d’aller plus loin dans ses réflexions toutes tournées vers cette primordiale question : Comment ? Oui, comment renforcer l’aspect convivial du crédo ?
Qu’un cri retentit, en effet, dans la chapelle, annonçant par là même l’arrivée tardive du Comte régnant d’Armagnac et de Comminges.

Et bien que Valezy n’eut guère le loisir de se retourner décemment, ou du moins, discrètement, pour apercevoir le nouvel arrivant, un mince sourire se traça sur ses lèvres. Antoine aurait il prit un tel plaisir dans sa fonction qu’il se faisait désormais escorter par quelque crieurs publics ?

Toutefois, il était déjà grand temps de continuer la cérémonie, ce fut du moins ce qu’il en conclut tandis que la diaconesse leur fit un discret geste de la main, les invitant, ainsi, à se relever et à mettre fin, par là même, au calvaire de leurs genoux meurtris. Le seigneur d’Antras ne se fit guère alors prier pour se redresser prestement tout en poussant un audible soupir de satisfaction.

Aussi, ce ne fut que d’une oreille distraite qu’il écouta la lecture des paroles de Saint Valentin, tout occupé qu’il était à recouvrer l’usage de ses deux jambes. Et dans un sens tant mieux… Car il ne lui aurait guère échappé que le prénom du compagnon de Kathy Kathe n’était autre que Valentin… Et que par conséquent, il n’aurait point hésité longtemps à en conclure par un favoritisme certain.

Puis, se rapprochant de nouveaux des deux fiancés, la fillotte de Johanara les convia à se tourner l’un vers l’autre tandis que leurs témoins respectifs se rapprochaient du couple.

Mais, Valezy, plongé qu’il était dans la contemplation des yeux de sa belle, ses mêmes yeux d’un jade si profond et envoutant qu’ils ne manquaient jamais de le bercer et de l’enivrer à chacune de ses nuits, perçut plus qu’il ne vit ses deux amis se poster tout près d’eux. Si prêt d’ailleurs, qu’il lui sembla, pendant un moment, que la barbe fournie du Nkhan lui caressait désagréablement la nuque…

Le jeune seigneur n’en remercia pas moins les deux hommes, d’apparence si distincte, mais qui avait en commun la même passion pour la droiture et l’engagement, d’être présents en ce grand jour à ses côtés.

C’est alors que la jeune berrichonne se mit à déclamer de bien insolites paroles… Si insolites d’ailleurs, qu’il ne sut guère comment les interpréter. Etait-ce là une blague ? Un jeu de mot ?

Ainsi leur demandait-elle s’ils voulaient continuer la cérémonie ou renoncer dès à présent à leur union ? Quelle question !
Après avoir trainé ses guêtres jusqu’à Aigurande pour rencontrer le Poilu en personne et lui demander la main de sa filleule?
Après s’être confessé de pêchés qu’il ne se connaissait même pas et qui plus est, par deux fois dans la même journée ?
Après avoir subit le martyr sur ces vieux meubles, de longues minutes durant ?
Dire non maintenant ? Et pourquoi ne pas lui demander, en plus, de ramener le prie-Dieu pour sa génuflexion quotidienne ?

Plus encore, comment aurait il pu rebrousser chemin alors qu’il s’apprêtait à lier sa vie avec celle qu’il considérait être la meilleure des compagnes ? Johanara avait su, en effet, le combler de bonheur, tant et si bien que le jeune noble était dès lors incapable d’envisager de passer ne serait qu’un seul instant de sa vie sans être à ses côtés. Et n’était-ce point cela le mariage ? Se sentir si lié à une personne que sa propre félicité ne pouvait passer que par elle ?

Et tout en contemplant le délicat visage de sa bien-aimée, ses propres traits ne purent que s’adoucir tandis que son sourire se fit tendre. Il déclara alors d’une voix, dans laquelle ne se percevait nulle trace de doute.


Oui, je me rends bel et bien compte de l’importance du sacrement du mariage et n’en souhaite, pas moins, continuer la cérémonie… Car là se trouve, et de loin, mon vœu le plus cher.

Il s’attendit alors à tout moment à ce que la diaconesse lui rétorque par un: est ce là votre dernier mot Valezy ?
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Nkhan
[In nomine y touticouanti..]

Ahhhh enfin...la cérémonie revenait à quelque chose qui bougeait...enfin, on mettait fin aux calvaires des futurs époux, et surtout à l'attente du Baron..

Il écouta avec attention les paroles de la diaconesse..et, à l'appel de son nom, s'avança près de ses amis...
Levant la patte d'une manière un peu courte, il manqua de se prendre les pieds dans la marche de l'autel, tant et si bien que sa barbe frôla légèrement la nuque de son ami Valezy..

Reprenant son assise, il sourit maladroitement aux autres témoins.
Il salua de la tête Dame Linon qu'il connaissait quelque peu, tout en remettant sa pelisse de loup en place..

Écoutant les paroles des deux amants, il approuva d'un grand sourire et d'un petit hochement de tête discret...
Val' avait dit ce qu'il fallait..manquait plus que "Jo"...et elle avait intérêt à pas dire de bêtise..

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Johanara
La Chapelle vibrait toute entière des voix disparates qui s’élevaient en chœur en cette fraîche soirée de printemps.

C’est qu’on était en Berry, à l’ombre des grands chênes ,pas dans quelques contrées du Sud en période estivale... Ainsi malgré la foule présente et les moult cierges qui dardaient leurs flammes vacillantes aux murs de pierres, une brise fraîche et légère virevoltait parmi les riches atours , soulevant délicatement les capes et faisant danser la dentelle fine avec grâce.

Aussi était il certainement plus prudent que les jouvencelles suffocantes pour cause de chaleur et autre atmosphère moite fassent mander fissa un médicastre!

Et précisément l’illustre mire, souverain des terres d’Armagnac et Comminges venait de faire entrée fracassante en l’édifice!

M’enfin avait il le Sans-nom au corps cet hurluberlu pour s’agiter de la sorte? Quand au Capitaine de la garde comtale qui braillait tel le dernier forcené , c’était à se demander comment le goret hurleur avait eu telles responsabilités!

Regrettant de ne point avoir pensé à faire installer attrapoires et pièges pour les énergumènes douteux, Johanara haussa ses gracieuses épaules avant de tourner ses iris véronèses vers la belle diaconesse qui, en verve, leur servit copieux palabres alors que l’Archevêque plongé dans un mutisme profond ne semblait pas même s’apercevoir de l’approchement pernicieux de sa manche de soie aux broderies raffinées et de la flamme ondoyante d’un grand cierge.

Saint Valentin, allons bon! Un sourire plein de malice creusa d’adorables fossettes aux joues rosées de la damoiselle aux lys , connaissant l’affection immense que portait la diaconesse à son compagnon, le Gambiani , qui répondait lui-même au doux prénom de Valentin.

Au demeurant, son maraud de filleul paraissait bien quiet ! Point d’éclats de voix , ni de criements intempestifs ! Il n’était pourtant guère le dernier à faire des esclandres à l’accoutumée!

Il était exquis d’odir la voix caressante de Kathy jaboter d’amour et d’engagements infrangibles…

L’évocation des champs lui arracha un rire cristallin , et posant ses grands yeux sur son amant , il lui parût indéniable qu’elle cultivait de la belle courge! Et pour sûr , jamais elle n’en changerait!

M’enfin non , hors de question de renoncer! Chaque fibre de son corps , chaque infime parcelle de son âme appétaient ardemment cette hyménée!

La jeune chapelaine bailla aux fiancés de se tourner l’un vers l’autre , ce que fit Johanara sans respit, plongeant l’émeraude de son regard dans le safre brillant qui la mirait avec amour.

Elle ne s’y faisait pas… Malgré sa présence perpétuelle à ses côtés , la beauté angélique de son éphèbe de fiancé la saisissait à chaque fois, la laissant contemplative , le cœur en émoi et les prunelles papillonnant tantôt de la masse cuivrée et soyeuse de ses cheveux à sa peau satinée , tantôt de ses lèvres singulièrement bien dessinée à sa silhouette musculeuse et altière.

Un frisson plus tard , leurs mains étaient jointes et leurs doigts se lièrent tendrement.

Et tôt, ils furent rejoints par leurs témoins que Johanara enveloppa d’un tendre regard du moins, ses trois amis, le Duc de Billy , étant encore un quasi étranger.

Alors que la fière Ysandre se contenta d’un doux sourire, ses jolis yeux bleus touchants d’émoi et de tendresse , Linon fit du zèle , martyrisant la promise en éveillant la géhenne lancinante de son épaule fraîchement tatouée.

Une grimace de douleur déforma son sourire radieux en une moue de déplaisir alors que la paume de ses mains se pressait plus fortement contre celles de son amant.


Humpf! Bougre de linotte! Mon épaule Tudieu! Bourreau!

Et de continuer tout aussi bas…

Ma douce filleule , j’ai une légère objection…

Léger raclement de gorge tout en soufflant sur une boucle flamboyante espérant l’écarter de son regard de jade.

Est on astreint d’accueillir les ’enfants de Dieu’ ? Non parce que je m’en passerai bien hein..
Ba quoi? Sont très bien avec lui , j’en suis certaine! Point besoin de se ramener!


Mirant l’incrédulité des regards rivés aux siens , Johanara soupira légèrement avant de rependre d’une voix plus audible:

J’entends bien l’importance du sacrement du mariage et ne saurait jamais le renier. Chaque jour que Dieu fait , mes prières s’accompagnent de remerciements pour ce bonheur inestimable qu’il a mis sur mon chemin. Nous pouvons continuer…
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