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[RP] Chapelle Saint Louis, épousailles de Johanara et Valezy

Cricriultras
La cérémonie touchait à sa fin, le moment tant attendu l'échange des anneaux, Jo était mariée, elle ne connaissait pas l'heureux époux, mais elle savait qu'il serait un mari aimant.

Moment d'émotion, sa main serra celle de Godefroid, elle plongea ses yeux dans les siens, ce regard en disait long, mon désir mon amour pouvoir t'épouser pour la vie.

Des larmes coulèrent sur ces joues qu'elle essuya discrètement, un regard à son fils à qui elle fit un sourire, une caresse sur sa joue.
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Kathykathe
Quoi que la petite Chapelle de Saint-Louis soient inondés de convives venus de toutes parts des Royaumes, l’instant appartient qu’à sa marraine et son nouvel époux. L’émotion est palpable entre eux deux, alors qu’ils s’exécutent alors passant chacun à son tour l’anneau à sa moitié. La chapelaine des lieux a maintenu sur eux ses deux joyaux bleutés et a suivit le geste qui unis leurs destinés avec honneurs et fierté.

Ce jour a été leur du début et le sera jusque la toute fin. Ils vont pouvoir se dévouer l’un pour l’autre en une vie entière en formant cette amitié parfaite. Détourant le regard, l’instant étant au partage du premier baiser, moment d’intimité pour les nouveaux mariés, Kay se recule d’un pas et saisit un parchemin roulé et enficellé d’un délicat ruban qui repose sur une petite table aux côtés de Monseigneur Navigius.

La jeune femme prononce alors solennellement la phrase rituelle tout en remettant le certificat au Seigneur de Magnet.


Johanara et Valezy, je vous déclare maintenant unis par les liens sacrés du mariage.
Ce que le Très-Haut a uni, nul ne pourra le désunir!




Soupçonnant que tous les invités ici lieux doivent avoir hâte de célébrer l’union venant d’être témoigné, elle ne tarde plus et se prononce pour une toute dernière fois devant l’assemblé.

Si vous êtes ici en ce jour, c’est que l’amitié vous a mené jusqu'à la Chapelle Saint-Louis. Ainsi dit, je vous invite à venir féliciter les nouveaux mariés et (ou) partager avec eux le pain et le vin de l'amitié Aristotélicienne …

Ensuite, elle signe aux invités, qu’il est maintenant temps de s’approcher afin d’entourer les nouveaux mariés et offrir sincères félicitations … Ce qu’elle fera avant que tous se ruent sur eux.

D’une accolade chaleureuse quoi que délicate, Kathy pose un énorme bise sur la joue de sa marraine, guide de foy. Elle la regarde de ses clairs iris et lui murmure avec simplicité …
j’espère un jour pouvoir vivre une telle joie devant mes proches amis et parents. Félicitations, belle marraine. Se tournant vers Valezy, elle plonge un regard qui en dit autant que les paroles venant d’être citées puis la Miss attrape ses lourds jupons et fait courbette gracieuse. Ensuite, Kathy se retire près de l’autel ainsi laissant place à la communion et au partage d’amitié et aux félicitations …

Ainsi en retrait, elle peut maintenant voir les gens qui sont ici présents et laisser ses deux billes brillantes d'émotions faire survol de toutes les têtes qui sont rassemblés en la chapelle Saint-Louis. C'est à cet instant qu'elle remarque certains visages qui n'y étaient pas au début de la cérémonie. La cadette DiCésarini sourit en voyant le jeune Baron Lorrain qui prend place au milieu de tous présents. Avant d'aller chasser les deux jeunes gens qui héberge dans le confessional, elle se promet détour pour aller le saluer comme il se doit.

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Suniva
Ainsi donc, c'en était terminé. Voici qu'un couple était né, devant Aristote et devant les hommes... Comment en aurait-il pu être autrement quand on les regardait ? Lui, beau comme un de ces dieux grec que Suniva avait pu voir représentés dans le marbre de nobles demeures au cours des ses voyages... Un homme avec ses défauts, mais ses qualités certaines qui l'emportaient, effaçant les premiers ; elle... Belle, enjouée et si... impulsive parfois qu'on comprenait qu'elle avait un coeur immense et tentait de le cacher sous ses dehors de frivolité...

Suniva eut un bref instant d'absence, l'esprit tourné vers celui qu'elle nommait "Amiral" et qui avec un peu de chance devait être en route pour venir la retrouver... La jeune femme n'espérait pas trop de lui, étant donné sa condition de petite paysanne, mais qui sait... On avait vu souvent homme de renom faire sienne une femme sortie du Peuple si tant est que la-dite femme ne soit point trop mal éduquée.
L'image de sa mère, vitupérant pour que la jeune fille apprenne sérieusement ce qu'elle voulait lui inculquer revint comme souvent ces derniers temps s'imposer à la vision intérieure de la jeune normande.

Soupir, sourire mutin et reconnaissant qui se dessine...

N'osant s'approcher, Suniva laisse son regard ému couver encore quelques instants les deux êtres qui scellent leur union par le symbole tendre de ce qui les relie : un baiser, laisse ensuite le velours couleur d'automne de ses mirettes s'égarer sur l'assistance nombreuse et bigarrée soudain redevenue calme...

Puis se levant gracieusement, se coule dans l'allée latérale de la Chapelle le nez en l'air, admirant les vitraux que la fin du jour décline aux couleurs de l'amour...

Il est temps qu'elle sorte si elle ne veut point être bousculée par la ruée vers la fête. Un petit tour dans les jardins en attendant que les mariés investissent la salle du banquet lui fera le plus grand bien...

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Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Mysouris
Etait elle endormie ? Non pas tout à fait. Sous le voile de lin à présent adaptée par elle en beaucoup d'occasion, les yeux n'étaient pas fermés. Elle écoutait simplement les chuchotements de la foule qui répondait aux paroles des époux.

Ravie pour eux, Mysouris l'était, depuis le temps que George disait que jamais elle ne trouverait. D'ailleurs il devait être dans le coin, ainsi que bien d'autres qu'elle avait connu et perdu de vue, dans tous les sens du terme.

Dans le brouhaha elle avait cru reconnaître quelques voix, mais, ce n'était pas le moment. Par contre, la cérémonie semblait atteindre sa fin, et peut être lors du repas pourrait elle parler avec quelqu'anciens berrichons, ou même non berrichons.

Vivement que ce moment arrive, les cérémonies, c'est long... Ah mais justement, c'était l'annonce de la fin. Déjà les rangs se levaient pour accompagner la sortie des heureux mariés.

Attendre que tout le monde sorte avant d'aller se perdre dans une foule trop compacte. Puis récupérer le fol et enfin suivre au son la suite des festivités.
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Ecuyère Dame Blanche

L'histoire dont vous auriez pu être le héros
Strakastre
Quelques secondes suffirent au Vicomte de l'Isle Jourdain pour s'affranchir de la cérémonie en cours. Suspendu à l'attitude de Marie-Alice, il n'avait pas décroché sa main du genou de sa fille adoptive... Un signe de tête de la Première Secrétaire d'État ouvrit une nouvelle page dont l'issue serait à coup sûr incertaine.

Le Vicomte se leva, entrainant sa fille dans le mouvement. Et tandis que cette dernière passait devant lui, son regard se posa sur celui de sa cavalière... Ce qui ne devait durer que quelques millisecondes sembla soudain s'éterniser dans la suspension du temps...

Pourquoi le destin semblait jouer avec celui de Charles ? Mais plus le temps de se poser des questions... du moins pas tout de suite... Des actes surtout...

Mais le Vicomte ne pouvait pas se résigner à quitter la chapelle en laissant sa cavalière ainsi en plan. Alors, il s'approcha d'elle et se pencha aussi près que possible...


- Je dois vous quitter, belle amie, une affaire m'appelle au dehors... Mais ne craignez rien, je reviens dès celle-ci achevée.

Son regard se posa sur le sien... Il pouvait y lire un soupçon d'inquiétude. Il se rendit compte alors qu'il n'avait pas revu ses yeux d'aussi près depuis presque une éternité. En un éclair, des images d'un passé presque oublié revinrent à la conscience de Charles... Un regard, des sourires, des éclats de voix, des soupirs...
Son coeur se serra alors un peu plus fort de devoir la laisser de nouveau seule... Comme pour se faire pardonner, il prit sa main délicatement et y posa un léger baiser, comme les convenances l'autorisent...
Mais cette peau, même si légèrement touchée, lui rendit ces mêmes frissons qu'il avait connu en d'autres temps... Ce frêle contact, aussi fugace fut-il, réveilla dans le coeur du Vicomte un tremblement, une impulsion, une envie qu'il ne put sur l'instant contenir, comme une urgence subite mêlée de la peur de ne pouvoir la reporter...

Et alors qu'il allait s'écarter de sa cavalière pour retrouver sa fille qui s'était déjà éloignée... il ferma les yeux et s'approcha aussi près de la vicomtesse qu'il l'embrassa furtivement...

Nouvel éclair... Cette fois, celui du retour brutal à la réalité... Le regard du Vicomte se glaça et d'un mouvement de recul, se reprit... Qu'allait-il se passer ? Qu'avait-il fait ? Était-il souffrant au point de perdre le contrôle de lui-même ? Trop de questions et pas le temps d'y répondre... Une autre urgence s'imposait, celle-ci attendrait un moment plus propice...

Et donc, sans réfléchir davantage, il emboita le pas de sa fille pour rejoindre l'extérieur de la chapelle.

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Icyblue
Les convives commençaient à sortir un à un. Certains se dirigeaient déjà vers les jeunes mariés pour les féliciter. Trop loin, trop de monde. Les félicitations du vicomte attendront le bal. Isidore se leva et se dirigea d'un pas assuré vers la sortie. Un peu d'air lui fera le plus grand bien avant de rejoindre les festivités.

Il traversa enfin les quelques mètres qui le séparait de la sortie. L'air était vivifiant sur le perron de la chapelle. Il s'arrêta quelques instants, les yeux à demi-fermés, profitant du calme apparent. Celui-ci n'allait pas durer avec la sortie des mariés. Aussi, Isidore s'éloigna un peu, en direction de la salle de réception. Il aurait tout à loisir le soin d'apprécier les lieux, qu'il ne connaissait point encore.

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Isidore Bluette
Vicomte de Meillant
Vicomte de Jussy-Champagne


Maryan
La cérémonie s’achevait enfin, mais Maryan était loin de ressentir une quelconque hâte à quitter la chapelle. Elle ne savait que trop ce qu’elle allait trouver au-dehors, et le trouble qu’elle ressentait déjà lui faisait présager le pire quant à la suite des festivités.

Cependant elle ne pouvait se permettre de fuir. Son absence soudaine ne manquerait pas de peiner sa sœur et de susciter nombre de questionnement parmi les convives.
Comme elle détestait par-dessus tout d’avoir à se justifier, la Vicomtesse choisit de contenir au mieux les émois de son cœur, et de montrer ce visage impassible qu’elle aimait à se constituer.

L’on commençait à se diriger vers la salle de banquet et de danse, et Maryan, se sentant un besoin avide de soutien et de regards amis, s’en alla vers son bien-aimé frère, qui était accompagné par une charmante damoiselle et qui s’apprêtait apparemment à gratifier sa sœur jumelle de ses félicitations.


« Me feriez-vous la joie, mon cher frère, de me prêter votre bras pour le chemin qu’il nous reste à faire jusqu’à la salle de banquet ? Au vrai, après être restée si longtemps assise, je me sens bien de la difficulté à rester droite. La tête me tourne quelque peu. »

Elle se doutait fort que son frère ne serait point dupe, qu’il verrait bien que le trouble qui la saisissait n’avait que peu de choses à voir avec la position assise ou debout, et qu’il venait très certainement de quelque chose d’un peu plus centralisé, dans la région du cœur, par exemple.
Néanmoins la Vicomtesse était décidée à ne rien laisser paraître de son agitation intérieure, sachant bien cependant que cette brillante maîtrise d’elle-même ne tarderait point à prendre fin, lorsque l’objet de son bouleversement se trouverait sous ses yeux.

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Xzily
Voilà que les échanges de vœux et de promesses étaient enfin faits, la cérémonie touchant à sa fin, place au banquet des mariés. De quoi se remplir l’estomac et profiter d’aller saluer et féliciter les mariés pour ceux qui n’avaient point eu l’occasion de le faire avant le début de la cérémonie.
Toujours en compagnie de Dame Sakou, qui semblait bien loin encore. Elle avait eu bien dû mal à réciter le crédo. Il aurait aimé sortir de la chapelle, trouvant que le monde été bien trop important pour lui et le bruit reprit de plus belle une fois le mariage entre sa douce sœur jumelle et le Seigneur d’Antras. Mais il vit sa plus jeune sœur, toujours aussi magnifique dans sa robe qui s’amena jusqu’à lui…


« Me feriez-vous la joie, mon cher frère, de me prêter votre bras pour le chemin qu’il nous reste à faire jusqu’à la salle de banquet ? Au vrai, après être restée si longtemps assise, je me sens bien de la difficulté à rester droite. La tête me tourne quelque peu. »

Il la gratifia d’un sourire avant de se lever et tourner sa tête en direction de sa partenaire de cérémonie, un semblant navré.

Excusez-moi, je dois vous abandonner quelques temps. Ce fut un plaisir d’avoir fait votre rencontre, puisse t-ont nous recroiser et avoir le plaisir d’échangées mots avec vous.


Il lui fit une petite révérence avant de tendre son bras droit à sa sœur qui semblait bien loin de la bonne santé qu’elle faisait preuve d’habitude. Elle avait toujours un petit détail qui montrait son malaise intérieur, surement un signe des d’Ambroise. Elle semblait vouloir montrer ce qu’elle ressentait. Mais il fut bien incapable de lui demander, c’est donc sans réflexion qu’il accepta, d’un signe de la tête, gardant son sourire qui se voulait réconfortant.

« Cela sera toujours avec plaisir que d’être avec vous chère sœur. Nous allons au banquet de ce pas et j’irai vous chercher de quoi vous désaltérer un peu. »

Il savait que quelques verres n’y feraient rien, mais en toute bonne conduite, il ne voulait aucunement que les autres convives remarquent quoi que ce soit, alors il prit l’air de rien et se dirigea vers le banquet en compagnie de sa sœur...
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--Baile
[Où tu iras, j'irai... Le reste, ben, j'm'en carre]


L'a rien suivi d'la cérémonie, la Baile, distraite par un p'tit peu tout et tout l'monde. L'a r'marqué notamment un bandeau blanc dans la cérémonie, et s'dit qu'elle ira la saluer à la fin, si...si elle n'arrive pas à choper l'Aye à qui elle veut vraiment parler.

S'tortille légèrement pour essayer d'la choper du regard, mais les deux étant p'tites, ben ca n'est pas évident... Grommelle dans sa barbe et s'recolle à son banc.
Jette un oeil au Mal' à côté d'elle qui la zyeute un court instant avant d'se bouger et d'se diriger vers la sortie. L'a jamais tenu en place longtemps, l'mélancolique... Des fois elle le déteste, la Baile, d'être si changeant avec elle, et des fois elle le comprend si bien... Prends soin d'toi Mal', quoi que tu penses de moi, j'préfère quand t'es heureux que malheureux...

Le suit un peu du r'gard avant d'se détourner.
Pas pour très longtemps d'ailleurs...
Sa Cap' bouge aussi.. T'ain z'ont quoi, tous?..
Que j'te suive?...
Ca n'est pas un ordre, non, juste une évidence...
Mais pourquoi tu sors après l'Mal?...

Elle sait, la Baile, qu'le nouvel ang'vin est mêlé à une sombre histoire, mais elle n'a pas suivi toutes les péripéties, et à vrai dire ça ne l'intéressait pas...
Mais là quelque chose se passe, qu'elle ne maitrise pas, et elle sait qu'elle va y être impliquée d'une manière ou d'une autre, parce que l'Ange l'est, visiblement...

Et l'Ange sort.
Alors elle fait la seule chose à faire, elle se lève et la suit.






Antoineleroy
Que d'émotions, que d'intensité durant cette cérémonie... Le coeur du médicastre ne cessait de faire des bonds, et il ne tenait plus en place sur son siège si bien que ses voisins semblaient gênés. Cela dit il n'en avait cure!

' Johanara et Valezy, je vous déclare maintenant unis par les liens sacrés du mariage.
Ce que le Très-Haut a uni, nul ne pourra le désunir!
'

Un large sourire traversa son visage, et les yeux pétillants il laissa s'échapper un léger :

" Oui! "

Le Comte se leva la larme à l'oeil, heureux pour ses amis, puis se mit à applaudir fortement

" Bravo, vive les mariés, félicitations! "

Puis, regardant vers la sortie où déjà du monde s'engouffrait, il en profita pour s'éclipser doucement sans que les gardes comtaux ne le surprennent
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Ben...en réécriture tiens! =)
Fifounijoli
La cérémonie touchait à sa fin, les nouveaux époux venaient d’échanger leurs vœux, les anneaux avaient scellés leurs mariage et un magnifique baiser avait clôturé cette longue cérémonie.
Son cavalier semblait nerveux, chuchotant à sa fille en regardant à droite et à gauche, lorsqu’il s’avança vers elle lui murmurant qu’il devait s’absenter un instant pour une affaire. Son regard ne pu masquer son inquiétude, quelle affaire pouvait bien appelé le vicomte alors qu’ils allaient allés féliciter les mariés ?

Il prit sa main, déposant un baiser sensation étrange tout à coup le temps s’arrêtait plus un bruit … elle croisa son regard et c’est alors qu’il s’avança déposant ses lèvres sur les siennes.
Il fallu quelques dixième de secondes à la rouquine pour reprendre ses esprits et comprendre ce qu’il venait de se passer. Choquée ? Déstabilisée, mais qu’est il passé par la tête du Vicomte pour oser un tel geste, elle resta subjuguée, tant de souvenirs qui refirent surface tout à coup … Elle sentie ses joues s’empourprées, son regard ne le quittait pas, son cœur s’emballa, la laissant sans voix touchant ses lèvres de sa main … Mais il ne lui laissa pas le temps de réagir, il tourna la tête et disparu avec sa fille dans le fond de la chapelle la porte se refermant derrière eux.

Regardant Joffrey et Rose se demandant si elles avaient vu la scène, essayant de remettre ses idées en place, elle pensa tout à coup à l’homme a qui elle était promise … elle quitta le rang, rejoignant les deux gamins qui avaient réussit a s’incruster au mariage, elle leur chuchota de ne pas trop s’éloigner d’elle que Joffrey allait sûrement vouloir des explications quant à leur présence ici.


Nous allons aller féliciter les mariés et ensuite nous irons nous restaurer un peu alors pas de bêtises

Un grand sourire sur son visage pour les rassurer, elle tentait aussi de dissimuler les questions qui avaient envahies son esprit depuis quelques minutes…
Sakou
Malheureusement, cette magnifique cérémonie touchait à sa fin.
Quel beau moment venaient-ils tous de vivre, lorsque les époux échangèrent et partagèrent ce magnifique baiser.
Sakou regarda le frère de Johanara à ce moment et lui sourit de gratitude d'avoir accepté d'être son cavalier à cette cérémonie.

Elle espérait n'avoir pas été trop de mauvaise compagnie.
Elle avait essayé de rester totalement concentré sur la cérémonie, pourtant ses idées avaient dérivés sur plusieurs sujets, donc sur messire d'Ambroise.

Le banquet allait commencé, et Sakou se réjouit à l'idée d'aller offrir ces cadeaux et ces vœux à sa chère Johanara, profitant de l'occasion pour lui voler quelques ragots d'Armagnac.

Avec cette chaleur, Sakou souhaitait sortir au plus vite, mais étant dans la première rangée, elle se doutait qu'elle ne pourrait sortir dans les premières.

Puis une jeune dame, magnifiquement bien mise en valeur dans la robe qu'elle portait, s'approcha d'eux.
Sakou comprit toute suite qu'il s'agissait d'un autre membre de la famille d'Ambroise, puisque tant de familiarité.

Xzily lui sourit avant de se retourner pour lui dire,

Excusez-moi, je dois vous abandonner quelques temps. Ce fut un plaisir d’avoir fait votre rencontre, puisse t-ont nous recroiser et avoir le plaisir d’échanger mots avec vous.

Il lui fit une petite révérence avant de tendre son bras droit à sa sœur et quitta la chapelle promptement avec sa nouvelle cavalière.

Sakou n'avait pas bougé encore.
Elle avait appréciée toute la chance d'avoir pu assisté à la cérémonie de cette première rangée.
Mais elle se trouvait désormais seule au milieu de tous ces gens dont elle ignorait jusqu'à ce jour leur propre existence.
Se sentant toujours perdu dans ce monde, qu'elle rejoindra sous peu.

Alors, que debout, elle attendait que tous ces gens sortent pour ce rendre elle-même au banquet où elle pourrait avoir, par le fait même, la chance de discuter réellement avec le frère de Johanara.

Puis, perdue dans ces pensées, elle ne vit pas son frère Gabriel se dressait une chemin dans la foule qui se massait contre-courant à son chemin.
En moins de temps qu'il n'en faut, il se trouvait à ses côtés.
La prenant par le bras tel un gentilhomme, il luit fit révérence tout souriant.


Puis-je avoir l'immense honneur d'accompagner la plus belle femme en ces-lieux?

Sakou sourit!
Ils n'avaient point besoin de parler qu'ils pouvaient se comprendre.
A cet instant, ils partageaient mutuellement leur sentiment.

Gabriel triste de voir la femme qu'il aime, épouser un autre homme.
Alors qu'elle même est toute heureuse d'avoir rencontrer le frère de Johanara.
Qu'elle ironie se dit-elle.

Gabriel emboîta le pas à un couple qui se préparait à sortir.
A peine quelques minutes plus tard, l'air frais de dehors vient caresser délicatement le visage des jumeaux Franchimont.

Ils suivirent les gens vers l'endroit ou devait avoir lieu le fameux banquet, mais avant Sakou avait tenu à faire un détour via la calèche, afin de ramasser les paquets rose et bleu.

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dame Sakou de Franchimont
Matriarche de la famille de Franchimont
Protectrice de Lailah!
Escalibur2
Le moment tant attendu de l'échange des anneaux arriva. C'est avec un étrange sentiment de joie pour sa cousine et de nostalgie pour le passé qu'Estelle Caroline accueillit cet instant magique pour les deux êtres. Le bonheur de sa cousine l'emplissait elle-même de joie mais en même temps, elle voyait tout une page de leur histoire commune se refermer. Désormais, nulle taquinerie ne serait plus possible sur les fiancés de la Baronne car il n'y en aurait plus qu'un, et ce pour l'éternité ... Et, la Dame Blanche qui ne connaissait pas encore très bien le mari, allait maintenant devoir trouver un autre objet pour ses boutades. Nul doute qu'elle ne chercherait pas longtemps ...

Une fois que la cérémonie fut finie, elle se retourna vers son charmant cavalier :

Le mariage va se poursuivre en un banquet, me feriez-vous l'honneur de m'y accompagner également ? J'aimerais tant pouvoir vous présenter à ma famille.

Sa question était plus rhétorique qu'autre chose car il lui semblait évident que si l'homme qui hantait ses rêves depuis quelques semaines était venu, ce n'était pas uniquement pour la cérémonie religieuse ! Elle glissa donc son bras sous le sien et ensemble, ils quittèrent l'église.
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Valezy
L’anneau d’or ceignait désormais son doigt. Les gemmes qui le sertissaient semblant dès lors se gorger de lumière pour mieux briller de leur feu bigarré.

Ils y étaient… Ils étaient mariés…
Et à cette heureuse pensée, son visage se pencha jusqu’à ce que les lèvres pleines de son épouse effleurent les siennes d’une douce et désirable caresse et ceci, peu avant qu’il ne succombe à leur appel en les emprisonnant en un langoureux baiser. Un agréable frisson parcourut alors l’échine de Valezy, tandis qu’il se laissait aller à l’abandon de leur étreinte tout en attirant sa bien aimée vers lui.

Mais ce sublime moment, transcendé par la pureté de leur amour, se devait d’être bien trop beau pour ne pas être éphémère. Car n’en est il pas ainsi pour chaque instant de grâce ?

Aussi se résigna t’il à abandonner, avec grand regret, les lèvres de Johanara, tandis que la filleule de cette dernière reprenait la cérémonie, officialisant, par la même, leurs épousailles.
Sa senestre demeura au creux de la main de sa douce tandis que sa dextre s’élevait pour s’emparer du vélin richement enluminé sur la surface duquel avait été rédigé leur certificat de mariage.

Encore de la paperasse… Et à ce constat, le seigneur de Magnet ne put s’empêcher de penser qu’un jour, le royaume de France pourrait bel et bien finir entre les mains des scribouillards… Maudit soit ces derniers car pour un noble digne de ce nom, il ne devait y avoir rien de tel qu’une épée bien aiguisée pour faire valoir ses droits.

Un sourire n’en finit pas moins par illuminer son visage tandis que Kathy Kathe les félicitait pour leur union.


C’est moi qui vous remercie pour votre office, je dirais même pour votre excellent office…

Et il inclina légèrement son chef en direction de la jeune femme, avant de tourner son regard céruléen vers Navigius… Allait il féliciter de même l’archevêque d’Auch ? Et durant les quelques secondes de flottement qui s’ensuivirent, le doute fut permis… Avant que le jeune seigneur ne se détourne sans piper mot.

S’avisant alors du vin et du pain apprêtés pour l’eucharistie… Il s’empara fermement de la coupe, portant cette dernière à ses lèvres pour siffler son contenu d’une seule traite.


Ah… Merci bien, il commençait à faire soif.

Dit il d’une voix basse tout en reposant le calice pour mieux se saisir d’un morceau du pain fraichement coupé afin de le manger avec un enthousiasme beaucoup moins marqué… Car il fallait bien avouer que sans cantal, le fameux fromage auvergnat, il trouvait beaucoup moins de plaisir à la dégustation. En outre, il commençait à en avoir assez de ses excès de bigoterie et n’aspirait plus qu’à une chose… Mettre les voiles pour quitter cette chapelle avec celle qui était désormais sienne.

Il n’attendit pas moins que cette dernière se prête à son tour à la transsubstantiation du pain et du vin pour reprendre sa main tout en lui adressant un tendre sourire. Son visage se rapprocha une nouvelle fois du sien, avant qu’il ne glisse un doux « je t’aime » à son oreille.

Puis, ils se détournèrent enfin de l’autel, pour mieux apercevoir les quelques personnes qui s’étaient rapprochés d’eux dans le but de les féliciter. Le sourire de Valezy se fit dès lors plus chaleureux tandis qu’il prit le temps de remercier chacun d’entre eux d’un ton affable.


Il n’en finit par moins par déclarer…

Sur ce, allons faire bonne ripaille, aujourd’hui est jour de liesse… Et j’entends à ce que tous ici présent en profitent.

Et c’est ainsi que les deux jeunes mariés remontèrent, mains dans la main, l’allée de la chapelle Saint Louis. Et sur leur visage pouvait aisément se lire leur bonheur et leur félicité tandis qu’ils gagnèrent la porte par laquelle ils étaient entrés fiancés pour mieux en ressortir mariés….
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Nkhan
Nkhan avait affiché une mine réjouie..échange de serments puis baiser long et fougueux...puis étaient venus les félicitations..

Il ruminait dans sa barbe..quand enfin il entendit la phrase qu'il voulait entendre..


Sur ce, allons faire bonne ripaille, aujourd’hui est jour de liesse… Et j’entends à ce que tous ici présent en profitent

Vindiou que oui il allait en profiter, et pas qu'un peu..en espérant que les boissons berrichonnes ne soient pas imbuvables..
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