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[RP] Chapelle Saint Louis, épousailles de Johanara et Valezy

Hildegardelapure
Hildi fut très émue pour son amie quand les liens se firent... ses grands yeux bleu azur se teintèrent d'une expression de joie étrange... une sorte de liesse qui ne s'explique pas... quand le bonheur d'autrui vous submerge assez pour qu'il devienne votre...

Elle applaudit... la foule était nombreuse... elle irait lui présenter ses voeux plus tard... quand tout le monde y aura été... on la savait peu peureuse mais toujours timide pour ce qui compte, la petite fée de Sarlat...

Elle suivit le cortège...souriant...
Gamling
Il restait là, dehors, alors qu’une cérémonie à laquelle il était convié se déroulait entre ces quatre murs sans qu’il puisse y pénétrer. Il pensait entendre la cérémonie, même dehors, mais à son grand regret il lui parvint à ses oreilles essentiellement un brouhaha incessant, ce qui traduisait un grand manque de respect de quelques personnes. Mais lui-même restait mal placé pour parler de respect quand il n’avait pas été fichu de se pointer à l’heure.

On pouvait tout de même noter un certain progrès, cette fois il était arrivé en retard, les autres fois il se trompait de jour. Ainsi avait-il été conçu, c’est à dire avec une mémoire lui faisant souvent défaut.

Mais parmi ce tumulte il parvint à entendre la fameuse phrase qui clôturait la cérémonie. Peu de temps après les portes s’ouvrirent déversant une foule incroyable devant la chapelle. Une nouvelle fois il n’avait pas imaginé qu’il y est put avoir autant de monde, mais pour ce qui est de la famille, elle était essentiellement du côté de Johanara. Gamling ne connaissait qu’un seul membre de la famille du marié, mais celui n’était pas présent.

D’ailleurs où se cachaient les Auvergnats ? Il en reconnu quelques uns mais pas de quoi égaliser le nombre de berrichons ! Cette foule fut bien vite suivie par les deux jeunes mariés qui, ce n’est pas surprenant, affichaient un sourire prenant source d’un réel bonheur. Gamling toujours adosser au mur adjacent des grandes portes releva le regard et tourna la tête vers le couple lâchant au passage un :


« Félicitations vous deux. »


En tous cas ses paroles étaient sincères. Des paroles qui dominées à peine les acclamations et félicitations des autres invités. Il se décolla de son mur et s’avança vers un festin qui s’annonçait plus loin dans le domaine. Et sans surprises, restant toujours légèrement en retrait par rapport au gros du groupe.

Un groupe qui contenait étrangement beaucoup de visages lui étant familier, pas seulement des licorneux, mais aussi des Armagnacais, plus ou moins appréciés, pas du tout pour certains. Hochement de tête envers Sepa, en charmante compagnie lui aussi …
Sihaya
Elle est était restée. Jusqu'au bout.

Tentant de se concentrer sur la cérémonie, sur le bonheur de cette amie si chère qu'il lui semblait comprendre pour la première fois.

La bulle d'allégresse née dans son coeur d'un signe de tête aperçu au loin n'avait vécu que quelques fugaces secondes, avant d'éclater comme une vulgaire bulle de savon. Aussi vulgaire et stupide que cette lingère aux cheveux filasses entraînée dans un confessionnal, en pleine cérémonie d'union sacrée. Quelle ironie, quelle parodie était-ce là.

Dans un mélange vertigineux de choc, de fureur, et de chagrin qui la faisaient trembler, elle avait tenu bon, fixant obstinément ses pensées sur Johanara. Comme elle comprenait mieux maintenant, ses emballements, ses désespérances, sa propension à vouloir se jeter dans le Cher - ou toute autre rivière à proximité.

Comme elle la comprenait mieux, et comme elle lui souhaitait, plus encore qu'auparavant, d'avoir enfin trouvé en Valezy l'amour pur et fidèle auquel son coeur aspirait tant. Sur le sien s'étaient refermés des crocs d'acier, lui semblait-il.

Heureusement, la cérémonie touchait à sa fin, mais pas question de s'enfuir dans les jardins vers la rivière, comme elle aurait tant désiré le faire, ce soir elle avait un rôle à tenir. Elle demeura donc à sa place près de l'autel, un sourire figé sur les lèvres, tandis que la foule se dirigeait vers la sortie.

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Dame de Compagnie de Johanara Bérénice d'Emerask Ambroise, Baronne de Lignières et Dame de Saint Lys, Antras et Magnet
Cricriultras
Ils quittèrent la chapelle, derrière les jeunes mariés,son dos la faisant un peu souffrir, Cricri prit le bras de Godefroid, qui lui prit la main de son fils.

Arrivés sur le parvis, tout le monde acclamait les mariés, ils se dirigèrent vers eux..


ma chère Joha, toute mes félicitations ainsi qu'à vous Messire, je vous souhaite tout le bonheur possible, prenez soin d'elle.

Elle embrassa son amie, lui murmura soit heureuse ma belle

Godefroid les félicita également.

Elle ne savait s'ils iraient aux festivités, elle voulait se reposer avant
la naissance était prévue d'ici quelques semaines, elle était fatiguée.


Elle cherchait du regard, Drizz, Mayrian, tous ceux du Berry qu'elle avait aperçu voulant les saluer, mais le pourrait-elle?
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Ysabeau
Ysabeau, sortant de l'église, patienta un long moment dans la foule afin de féliciter les nouveaux mariés.
Elle se trouvait juste derrière Cricri, qui lui sembla un peu fatiguée. Lorsque celle-ci eut félicité les époux, elle la salua


Bonjour Cricri, contente de te voir... Je vois que tu attends un heureux événement ! Félicitations. Es-tu heureuse ?
Oh j'ai appris la mort de ton ancien époux, Morillon... J'espère qu'il s'est éteint paisiblement et qu'il a rejoint le Paradis Solaire...


Puis elle s'approcha de Johanara et de Valezy

Félicitations ma belle Jo, félicitations Valezy, je vous souhaite tout le bonheur du monde... Je suis heureuse pour toi Jo, vraiment heureuse...
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dame de Sury sur Léré
Persan
Les lieux étaient étroits, exigus, sombres. Il y avait une drôle d'odeur dans les lieux mais elle s'évapora sous les coups de boutoir de la vanille de Mathilde. Bientôt il ne régna plus que cette odeur qui rebutait Persan et qui pourtant lui rappelait de merveilleux souvenirs.

Quelle idée de porter une telle horreur ! marmona-t-il.

Les ténèbres étaient si profondes qu'il ne distinguait plus guère sa partenaire. Oubliées les boucles blondes. Dans la pénombre, elles avaient pris une allure fantômatique. Persan sourit. A tâtons, du bout des lèvres et des doigts, il chercha les formes de Mathilde pour mieux les trouver encore qu'en pleine lumière. Bientôt, le confessionnal oscilla sur ses bases à un rythme régulier.
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Joffrey


Jo était restée un peu en retrait lorsque la cérémonie finit.

Elle avait un petit sourire coquin , ayant aperçu des choses qu'elle n'aurait du voir. Et ce sourire , elle le dédia à Fifou.

Enfin , elle s'approcha des épousées et les félicita.


Je vous souhaite grand bonheur et une route qui fleurira de votre amour resplendissant.


Après un moment , elle laissa place et se dirigea vers son fils et son neveu. Les prenant par la main , elle libéra Fifou et lui dit:

Nous t'attendons à l'extérieur , je dois avoir une conversation sérieuse avec ces jeunes hommes.

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Garius
Gari sortit avec Will et alla saluer Cricri, dont la grossesse semblait déjà avancée.

Bonjour et ravie de voir que tu attends un heureux événement, mes féliciations.

Elle fit la bise à tous les membres de sa petite famille et se tourna vers Will.

Je vous présente mon ami Williams, le fils de Wishmerhil.

Voyant dame Ysabeau juste à côté, elle lui dit gentillement.

Bonjour, heureuse de vous revoir aussi.

Enfin, Jo et Valezy furent accessible et ils allèrent tous deux les féliciter pour leur union.

Tous nos voeux de bonheur à tous deux et félicitations.
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Fifounijoli
Fifou s’approcha timidement de Johanara et son époux elle leur présenta ses félicitations.

Chere Johanara, messire, je suis heureuse pour vous et que ce moment reste gravé dans vos mémoires à jamais, je vous souhaite beaucoup de bonheur.

Un large sourire sur son visage, elle les laissa savourer leur bonheur naissant , cherchant son cavalier disparu dans la foule en vain et rejoignit ses cousines afin de ripailler.
Subcal


Et voila !

Il est enfin grand temps de présenter ses vœux : aussi SubCal, fils des terres Franchimontoises, se fraye poliment un rapide chemin à travers la foule qui, de liesse en liesse, acclame, applaudit, félicite à tout rompre.

Il a déjà aperçut sa cousine Sakou, rayonnante sous l'azur du blason familial, puis il a revu.... mais de loin...comme toujours...

De si loin...

Enfin, le voici qui, lui aussi, peut s'avancer devant le couple qui vient de naître officiellement.

SubCal de Franchimont, sourire au fond des yeux, s'incline respectueusement devant la Baronne :


Dame Baronne, permettez que, à mon tour, je Vous présente mes respects en ce jour qui fût par Vous, Princesse du Printemps, si bien illuminé.

Puis, l'œil clair d'une force gentille, il se tourne vers Valezy, regard d'homme dans regard d'homme.
Il incline légèrement la tête :


Messire, soyez assuré de mes marques de respects et, si je puis me permettre, de ma plus vive sympathie.
Qui d'autre que Vous pourrait être meilleur gardien pour la Baronne Johanara ?
Sachez que vous trouverez toujours en moi un zélé serviteur, et en mon épée une fidèle gardienne de vos intérêts, quels qu'en soient les motifs.


Il se recule ensuite, laissant la place à d'autres invités.



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Bastien.
Le jeune homme était demeuré étendu dans les feuilles un bon moment sans comprendre ce qui lui était arrivée. Évidemment qu'il ne pouvait le savoir puisqu'il n'avait jamais vécu une telle expérience. L'angoisse avait finit par s'estomper et il s'était relevé en se demander ce qui avait pu déclencher une telle réaction. Il faut dire qu'il ne s'était jamais sentit à l'aise en présence de nombreuses personnes comme le jour où il s'était rendu à ce fichu bal le visage enfouit sous son capuchon. Il n'y avait alors qu'une douzaine de personnes, tout au plus, mais cela l'avait mit tout de même mal à l'aise. Et les jours où il travaillait dans la mine pour gagner son pain, ils étaient certe plusieurs dans ces galeries mais l'obscurité l'empêchait parfois de voir même jusqu'à son voisin. En se rapprochant pour la deuxième fois de la chapelle, prudent, Bastien baissa son capuchon sur son visage.

Il revint lorsque la cérémonie était terminé et que les invités quittaient la chapelle derrière les mariés pour se rendre sur là où aurait lieu les festivités. Le jeune homme se dit qu'il pourrait au moins féliciter les nouveaux mariés (même s'il venait de rater le plus moment de leur vie commune) et repartir chez lui sans faire d'histoire. Dans la chapelle, il n'y avait plus grand monde, tous n'ayant attendu que ce moment pour aller faire bonne ripaille aux frais du nouveau couple. Des coups secs et sourds retentissaient sur le côté et le jeune homme remarqua que le confessionnal se débattait comme s'il était en vie. Plus loin, près de l'autel, il ne restait plus que l'évèque encore en pleine contemplation et Sihaya qu'il avait déjà rencontré à quelques occasions à Eauzes. Il s'approcha donc d'elle.


"Excusez-moi, dame Sihaya, j'ai manqué pratiquement toute la cérémonie et maintenant que je constate qu'elle est terminée. J'aurais aimé adresser mes félicitations aux mariés mais comme ils sont partis et que je ne connait ni les lieux ni la majorité des invités je crois que je vais partir maintenant. Vous pourriez leurs adresser mes félicitations de ma part?"

Un coup plus sec retentit alors dans le confessionnal faisant sursauter Bastien.

"Norf! Mais qu'est-ce qui se passa là-dedans?"
Sihaya
Sihaya sortit du douloureux brouillard où elle se trouvait en entendant la voix de Bastien. Reconnaissant le charmant jeune musicien qu'elle avait rencontré au verger d'Eauze quelques mois plus tôt, elle lui sourit, soulagée de la distraction qu'il apportait à ses sombres pensées. Elle s'apprêtait à lui répondre quand elle sursauta de concert avec lui. Ramenée à la réalité, elle se mordit les lèvres et un éclair de rage passa dans le regard qu'elle jeta au confessionnal. Une idée se fit alors jour dans son esprit... perversement satisfaisante... terriblement tentante... et totalement innapropriée. Mais la fureur avait pris le dessus. Prenant le bras de Bastien, pour l'entraîner sur le côté, elle baissa la voix et lui dit d'un ton consterné :

Justement, vous allez pouvoir m'aider ! Un couple d'animaux en rut s'est introduit dans le confessionnal, il faut les en déloger. Epargnons cette peine à la chapelaine, voulez-vous ? Vous trouverez un seau près du puits dehors, sortez par cette porte latérale et allez donc puiser de l'eau fraîche, je vous attends ici.


Elle lui sourit d'un air encourageant, une lueur machiavélique brillant dans son regard d'encre.
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Dame de Compagnie de Johanara Bérénice d'Emerask Ambroise, Baronne de Lignières et Dame de Saint Lys, Antras et Magnet
Bastien.
Après la surprise, il reporta son attention sur la dame de compagnie de Johanara et eut un frisson qui lui parcourut l'échine en voyant le regard empreint de malveillance qui brillait maintenant dans son regard. Un couple d'animaux en rut? Il avait certes deviné de ce dont il s'agissait et il est vrai que cela constituait un véritable sacrilège que de faire ce genre de chose dans un confessionnal, pourtant on aurai dit, par le ton et le regard courroucé de la jeune femme, qu'il y avait autre chose dans son esprit. Aussitôt, elle l'entraîna vers le côté de la chapelle et Bastien aurait eu beau se débattre qu'il n'aurait point été en mesure de se défaire de son emprise, et ce malgré sa carrure plus qu'imposante. Son esprit vif s'était mis à réflechir à toute vitesse alors que la dame de compagnie lui expliqua son plan qu'il jugea exagéré pour la situation.

"Je ne croit pas que... voulut-il s'objecter mais il s'interrompit à la vue de ce regard qui brillait dans les sombres yeux de la dame."

Se disant qu'il était tombé dans une bien mauvaise situation, le jeune homme sortit par la porte que lui pointa Sihaya et il trouva bien vite le seau et le puit en question. En plongeant le seau dans l'eau fraîche du puit, Bastien se demanda qui pouvait bien se trouver dans ce confessionnal pour que son geste, bien que tout à fait déplacé en pareil endroit, puisse provoquer une telle colère dans l'esprit de la jeune femme. Il pensa alors à dame Jo que son père connaissait bien de son vivant. Il lui avait déjà raconté plusieurs des mésaventures que la rousse flamboyante avait vécu. Il se souvint également de sa propre mère et même de sa soeur. De ce qu'il savait des femmes, la seule chose capable de provoquer une telle réaction chez elle était un amour brisé. Se pourrait-il que...

Il en était là dans ses réflexions lorsque, dans une série de mouvements quasi-machinaux, il était revenu près de Sihaya, un seau remplit d'eau à la main.


"Vous ne croyez pas que c'est un peu exagéré pour pareil situation. Je crois que le simple fait d'être surpris en plein ébat suffirait à les faire fuir."

Il se pencha alors vers Sihaya pour lui murmurer à l'oreille.

"Il vient de vous briser le coeur, n'est-ce pas?"
Sihaya
Il vient de vous briser le coeur, n'est-ce pas ?

La jeune fille sourit tristement à Bastien, touchée de sa compréhension. Puis, lui prenant avec douceur mais fermeté le seau des mains, elle lui répondit tout en se dirigeant d'un pas décidé vers le confessionnal :

Briser, non, qu'Aristote en soit remercié, il en faudrait plus pour cela. Ecorcher plutôt, et pour le sang qu'il a versé, je me contenterais de faire couler de l'eau en contrepartie, il faut bien être indulgente un jour de noces, n'est-ce pas...


Joignant le geste à la parole, Sihaya balança le contenu du seau dans le confessionnal. Aspergée par quelques gouttes égarées, elle put apprécier leur fraîcheur pénétrante et son sourire se fit malicieux.

Reculant de quelques pas, elle eût un air presque satisfait.

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Dame de Compagnie de Johanara Bérénice d'Emerask Ambroise, Baronne de Lignières et Dame de Saint Lys, Antras et Magnet
Bastien.
Bastien ne résista pas lorsque la jeune femme vint lui prendre le seau des mains et il demeura témoin de son geste lorsqu'elle alla asperger le confessionnal. Tout de même, il fallait que l'homme dans ce confessional eut été bien cher aux yeux de la dame de compagnie pour qu'elle se trouve dans cet état. Il s'approcha alors de la jeune femme qui semblait satisfaite de son geste et il eut l'impression qu'elle n'attendait que la réaction de ceux à l'intérieur de la petite boite aux péchés.

"Vous voilà satisfaite, maintenant? s'enquérit-il. Ne croyez-vous pas qu'il vous faille maintenant rejoindre dame Johanara. C'est son mariage après tout et vous êtes sa dame de compagnie. Peut-être que votre absence pourrait, lorsqu'elle sera remarqué, poser une marque d'inquiétude dans ce moment de réjouissance pour elle. Ou peut-être voudriez-vous simplement vous promenez dans les jardins du domaine."

À ce moment là, il vint poser une main sur l'épaule de la jeune femmme dans un geste automatique de compassion et peut-être un peu plus...

"Voulez-vous que je vous accompagne?"
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