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[RP] Chapelle Saint Louis, épousailles de Johanara et Valezy

Horvy
le Frère arriva a lignière avec le Duc George, son visage dissimulé sous la bure de sa soutane il s'avanca a ses cotés et celui d'un autres frères.

très méfiant il s'avancé en faisant attention de ne pas s'éloigner du DUC , la méfiance le guettais, cela faisait longtemps qu'il avais entendu parlais des auvergnats et de savoir qu'il était proche d'eux le faisait frissonner.

Auvergnat, ce peuple aux coutumes étrange, mi-homme mi-animal qui ne se satisfaisait pas de la nourriture normal et qui buvait le sang et mangeais de la chair humaine, ce peuple était punit par Dieu et de ce fait naissait difforme pour la plupart , horvy avais longtemps entendu parlais de eux pendant son enfance.

c'est donc en tremblant qu'il s'approcha de l'un d'eux, un dénommé Valezy qui devait se marier avec la belle johanara, surement une potion magique ou autre sorcellerie avais était administré a son insu pour qu'elle tombe amoureuse de cet homme.

Le Duc discuta quelques instant avec le futur époux et horvy palis lorsque le Duc lui demanda d'allé a l'écart......

le frère ralentit sa marche mais son protecteur lui fit signe d'accéllérér le pas.


Citation:

Avant de méler ton nom à celui de ma famille, je te demande de te confesser au prêtre ici présent et de lui parler des faits survenus en septembre 1455. Pour que ton union ne soit plus entachée de ce passé qui nous divise. pour que la page soit tournée.


puis le Duc le laissa seul avec l'homme, cela fit frémir le frère qui dévisagea le future époux.
--Augustin_fleur
HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !

Augustin se précipite et recupere la boule de poil qui pataugeait dans le bénitier.
mais non ! mais non ! il ne vaut bas avoir beur ! c'est zusde mon rat gui se ravraigit... il avait bien drop chaud dans ma boche le bauvre...

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Strakastre
Un coup d'oeil vers l'intérieur de la chapelle l'assura que la cérémonie ne commencerait pas encore. Ainsi, il acquiesça à la proposition de son amie.

- Faisons quelques pas en effet, ainsi profiterai-je de votre présence.

C'est ainsi qu'ils s'éloignèrent de la chapelle, croisant certains invités, mais profitant avant tout de leur complicité qui ne s'était pas altérée malgré leur longue séparation.
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Ewaele
Pas le temps de répondre pour la présence de Nico, et à la limite ça arrangeait bien la rouquine car à part lever les épaules, elle n’aurait pas su quoi répondre. Il est vrai que depuis quelque temps ils ne se voyaient que peu, voire même pas du tout. Chacun avec leurs responsabilités à courir par monts et par vaux. Quoi dire de plus? Marie aurait senti le mal être d’Ewa si le sujet avait été abordé plus amplement.

Essayer de suivre le raisonnement et l’attitude de son amie alors qu'elle se retrouvait avec les filles, là, assise, ne comprenant pas ce qui avait pu la faire réagir ainsi. Elle tourna la tête dans tous les sens afin de saisir. Froncement de sourcil, regard sur les enfants qui avait l’air intriguées aussi de voir la Vicomtesse agir de la sorte. Se faire rassurante par un doux sourire et attendre que la jeune femme revienne s’installer. Quoi faire d’autre ?

Retour comme si de rien n’était ! Mais bien sûr à d’autres, le calme trop retenu de son amie signifiait que quelque chose ne tournait pas rond et la dérangeait au plus au point. Ne rien dire, ne pas poser de question, rester là silencieuse, attentive à tous mouvements, à toutes réactions intempestives provoqués par quiconque. Et bien tout cela était prometteur.

Nouveau tour d’horizon sur les invités, du moins ceux devant elle, la bienséance voulait que la curiosité fut fort peu de bon goût. Sourires et signes de tête à des connaissances, regard en coin à sa voisine qui bouillait intérieurement, mais que faire ? Attendre et rester sur le qui vive… Patienter, observer, tel un animal à l’affût d’une proie pas encore visible mais dont l’instinct avait déjà fait sentir sa présence.

Hé ben ! Heureusement que la rousse était assisse, elle avala sa salive de travers et se mit à tousser. Elle frotta ses yeux afin d’être sûre d’avoir vu ce qu’elle venait de voir ! Une grimace enlaidit un temps son visage, regardant une entrée d’invités qui risquaient de lui faire rebrousser chemin plus vite que prévu. Mouarfff si elle avait su ! Et ben elles étaient belles la Vicomtesse et la Comtesse à se contenir de la sorte pour des raisons sommes toutes différentes.

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Lya.
Dans l'ombre des arbres la jeune femme se faufilait pour se rendre en ce lieux. Lya eut été des plus étonnée lorsqu'elle vit un jour arriver à elle un parchemin des plus joliette afin d'annoncer le mariage de la Baronne Johanara, en effet toute deux avaient fait connaissance durant plusieurs journées dans le village natal de Lya , au point de proposer d'héberger une grande dame .. Les discussions,, les sourires , et les rires et voilà que ce jour, la jeune damoiselle avait dû se vêtir de son mieux afin d'essayer de bien paraitre à ce mariage où tant de personnes de la haute seraient présentes.

Des voix se faisaient entendre au loin , alors qu'une douce mélodie parvenait à ses oreilles elle avançait d'un pas léger, une main s'agrippant au tissu de sa robe sans pour ôtant la froisser , tandis que l'autre rabattait la capuche sur ses longues boucles brune.
Le bruit tintait jusqu'à elle, Lya fronça légèrement les sourcils en faisant face à autant de populasse.. Elle était venue par curiosité mais aussi pour féliciter Johanara pour ce somptueux mariage ,et qui sait avec la chance, voir enfin le futur mari , car elle avait entendu parler de lui mais de là à mettre un visage sur ce nom..

Une fois à droite, une fois à gauche, elle tournait la tête avec légèreté pour admirer la décoration du lieux, sa capuche retombant sur ses épaules quelques peu dénudées de par sa robe..
Elle a resta bouche bée,les lèvres entrouvertes tout en espérant voir des personnes qu'elle connaitrait..


Bon ,non di diou..pas de bêtises ,droite..tiens toi droite.. se murmura t elle..
Lya tentait d'arborer un de ses plus beaux sourires , tout le monde la connaissait ainsi après tout, ce n'était pas des Baron,des Comtes et tout une assemblée qui allaient faire flancher la jeune femme..

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Valezy
En face de lui, comme pour mieux répondre à son empressement, le Duc du Berry dégainait le poignard qui garnissait son ceinturon. La lame de la dague se mit alors à faire évasivement miroiter la lueur des cieux.

Face à ce déplaisant spectacle, c’est qu’il ne pouvait rien y avoir de pire pour un auvergnat que de voir un berrichon armé devant soi, les muscles de Valezy se tendirent imperceptiblement. Se tenant ainsi prêt à sauter sur son vis-à-vis s’il advenait que quelques folies s’emparent de l’esprit de ce dernier.

Mais l’arme au lieu de mordre sa chair, entama celle de la main du vieil homme… Lui rappelant, par la même, ces glauques et sombres histoires de nécromancie et de magie noire dont il raffolait plus jeune. Etait ce là une coutume berrichonne qui lui était encore inconnue ?

L’avenir le détrompa cependant tandis que George reprenait la parole pour l’exhorter à confesser ses pêchés et plus particulièrement les différents outrages qu’il avait fait subir au peuple berrichon.

Une confession ? Quelle bonne blague, cela faisait des lustres que je ne m’étais point adonné à telle ineptie. De plus, que confesser ? J’en suis très fier de cette guerre moi… S’ils ne voulaient pas perdre à l’époque, ils n’avaient qu’à apprendre à se battre, car c’est ainsi que le monde est fait.

Et cette pensée s’imposa à son esprit pendant qu’il prenait pleine mesure de l’embarras dans lequel il se trouvait. Un embarras tel qu’il ne s’aperçut pas tout de suite qu’il se retrouvait désormais seul avec le diacre et son absence de conscience.

En retour, son regard se leva lentement vers l’homme de dieu…

C’est alors qu’il se décida à raconter tout simplement ce qui s’était déroulé… Exposant par la même la froide et implacable vérité.

Bon, bon, bon…
Par où commencer ?

A l’époque je portais les armes sous la bannière des Sentinelles, fière compagnie franche du Bourbonnais Auvergne… C’est donc en toute logique que je me suis battu contre le Berry lors de la guerre.

Pendant longtemps nous avons ainsi couru en arme sur les routes du duché, bloquant vos chemins et y massacrant allègrement tous ceux qui avaient l’audace de ne point s’écarter sur notre passage. Pour sur ! Chaque jour était alors une nouvelle boucherie.

Puis est venu le moment de passer aux choses sérieuses… Car faire régner la terreur ne peut durer qu’un temps et que nous ne pouvions nous complaire dans un tel exercice, n’est il pas ?

Alors nous nous en prîmes à la bonne ville de Châteauroux…
Et quel assaut ce fut…

Les bombardes explosaient de tout côté, recouvrant le champ d’honneur d’une fumée nauséabonde et faisant hurler de douleur les infortunées victimes qui avaient eut le malheur de survivre à leurs souffles.
A cela, et de part et d’autres, se mêlaient flèches et carreaux, un peu comme si tout un chacun profitait de l’occasion pour déterminer avec certitude si l’arbalète était bel et bien meilleure arme que l’arc.

Enfin… Ce jour là, je me suis vaillamment battu et nombreux sont ceux à être tombés sous mes coups. Même si… Je l’admets, ma lame n’a pas toujours été très sure et que d’autres, un peu moins nombreux tout de même, ne s’en sont tirés qu’avec quelques navrures.

A ces mots, Valezy hocha perceptiblement du chef.

Sinon… Quoi d’autres ?

Et son regard se leva un instant vers les cieux avant de se reposer sur l’homme de dieu.

Ah bah si, j’ai brulé quelques bâtiments aussi…
Je ne saurais dire si tous étaient vides… Il régnait alors une telle agitation, vous comprenez?

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Joffrey
Jo se sentit mal tout à coup... Elle sortit un mouchoir de dentelle et s'épongea le front , tout en murmurant à sa soeur.

-Rose , il nous faut sortir.... je sens le malaise arriver ... tu te rappelles , j'ai fait mettre dans le coffre sous la banquette , dans le carrosse , une boisson revigorant... hummm , il m'en faudrait , je crois....M'accompagnes tu?

Et Jo sans attendre de réponse se leva et sortit prendre l'air.
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Rosebudy
Le murmure quasi inaudible de Jo ne tomba pas dans l'oreille d'une sourde,

ah que non !!!!

et respectant consciencieusement le protocole qui veut qu'on suive toujours le chef de famille dans toutes ses décisions, Rose glissa élégamment son pied entre les sièges et le bancs de prières.

Une fois debout, Elle se faufila aussi silencieusement, et légèrement que possible pour finir par retrouver toute la famille au dehors.

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Xzily
Loin du lieu même, dans ses pensées, Xzily observa les entrées, essayant de donner des noms sur leurs visages. Ils en connaissaient certains, d'autres qu'ils avaient simplement croisé ou d'autres qui sortaient d'ont ne sais où.
Il savait que cette cérémonie allait être longue, mais heureusement, il avait ce qu'il fallait pour passer le temps. Appuyer dos au mur, non loin du coin de l'entrée, il pouvait voir tout le monde, et passez inaperçu grâce à l'ombre des hauts murs.
Beaucoup de monde présents, beaucoup de bruits, à ne plus s'entendre et toujours pas de signe de commencement. Il laissa un soupir sortir malencontreusement de sa bouche avant de relever la tête vers une personne qui semblait l'observer.


Humph... aurait il une tâche sur le visage?!

Pourtant il était bien nettoyer. Ou se connaîtrait-il? Il laissa nul le temps de trouver la réponse car celle-ci était bien négative. Il ne la connaissait aucunement, mais celle ci ne semblait guère connaitre la politesse. Il détestait qu'on le dévisage ainsi du regard... mais abstraction pour cette fois. C'était un grand jour, et au vu du grand nombre de personne présent, il n'y prêta guère plus attention.
Il se retourna, se mettant face au mur et sortit discrètement une gourde rempli de calva et bu une gorgée. Il avait soif et il fessait bien chaud dans la chapelle, pourtant froide en temps normal. Mais avec tous ces déplacements, il en était tout autrement. Il jeta un coup d'œil rapide par dessus son épaule afin d'être sur qu'on ne le surprenne pas.


Mouarf... petit geste de la main pour s'essuyer la bouche

Il la remit bien cacher et se retourna l'air de rien. Retournant à ses occupations de quelques minutes...
Yrka
[de retour du champ, à l'auberge]

Yrka avait fini sa journée d'labeur... chose qu'elle detestait par d'sus tout .. l'travail... la fatigue et la sueur n'était pas c'qu'elle affectionnait , preférant l'oisiveté qui la perdrait sans doute... elle se sentait sale et grise de poussière..
Toute la journée elle avait pensé à cette soirée à laquelle elle n'était pas invitée 'fin pas officiellement.. elle devait ruser pour faire son entrée .. de c'là elle avait un peu l'habitude et n'en n'avait pas peur mais où trouver les frusques?
La brunette n'avait qu'une envie à c't'heure , s'debarrassser d'la lassitude qu'toute personne ayant trimé ressent douloureusement dans son corps, les muscles fourbus , l'esprit vide et l'coeur exsangue et la soupe à venir si claire.. rageuse elle entra dans l'auberge et réclama presque poliment un baquet ... et decouvrit sur sa paillasse un paquet déposé pour elle, paquet dont elle s'empressa d'arracher l'surplus afin d'en decouvrir le contenu... des vêtements d'soubrette... enfin ressemblant à tout au moins.. elle reconnût là la malignité d'Ayerin et s'mit dans la bassine presque en chantant ..

la gueuse en sortit ragaillardie ,l'corps et l'esprit plus nets..et enfila l'deguisement en s'marrant .. vrai la divine Aye avait un compas dans l'oeil ou l'avait juste bien r'gardée ... les mesures des frusques étaient parfaites!

la pouilleuse sortît d'la taverne d'un pas vif et s'dirigea vers la chapelle..

[la chapelle]


Y avait d'la populace là bas!!! d'la plus enfarinée et pleine d'soie... la gueuse s'sentait moins fière à présent .. mais s'en foutait royale...d'toute façon personne ne la r'marquait.. chacun bien trop occupé à savoir qui était là d'la haute .. et d'se montrer d'son meilleur profil..
La brune restait un peu à l'écart et attendait qu'ça commence...ne conaissant personne à première vue...
Ayerin
[Course folle d'Locarin et d'son Marko... via la Chapelle...]

Elle était essoufflée, et détestait courir en plus... mais là, fallait faire au plus vite et si elle pouvait à cette occasion amuser l'p'tiot alors vaille que vaille. D'ailleurs Marko s'en donnait a coeur joie et lui savatait les flancs, hurlant tel un beau diable...

A la chargeuhhhhhhhhhhhhh !

Le duo infernal sortait enfin du domaine et filèrent en direction d'la chapelle, espérant n'pas arriver en retard...
Sinon, Linon allait lui arracher les yeux si elle attendait ou cherchait l'gamin qui avait en main les alliances.. elle n'etait pas responsable la gamine mais une furie parfois n'réfléchit pas sous l'effet du stress...et la rouquine damejo comme la surnomme l'p'tiot, ben elle devait lui en donner à la pelle, l'en doutait pas Aye.

Regard vers l'avant...
La chapelle était en vue...
Elle allait enfin pouvoir reprendre son souffle, enfin si elle mourait pas avant, car là marchait d'un pas nonchalants, en belle compagnie celui qu'elle n'pensait pas voir icelieu.
Elle en croyait pas ses mirettes mais il était là, droit comme un euh... comme un pic et regardait en sa direction,... et voui, fallait que celui qu'elle voit en premier, soit son padré, et suz'rain qui manquerait pas d'lui donner d'la leçon sur ses manières... Humfrr !
A quelques pas, elle stoppa net,... garda sur son dos Marko,... et avança la trogne bien défaite mais les émeraudes brillantes vers celui qu'elle n'avait pas revu depuis des décennies.


Hey Padré d'mon coeur,...
Suzerain chéri, adoré... comme je viens d'apprendre qu'tu faisais partie des invités, c'est en cavalant que j'suis v'nue à toi, hein !
J'avais telle envie d'te donner d'la bise que j'ai pas pu faire autrement ... t'm'as tant manqué si tu savais ...!


S'colla sur la trogne son sourire candide, s'disant qu'ce piètre mensonge passera p'être ... mais s'agrippant au fessier du bohomme à ch'val sur son dos!

Et j'te présente Marko, mon cavalier pour cette cérémonie...
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Que celui ou celle qui n'a jamais péché m'jette des pierres, grâce à elles, j'me bâtirai un château ... Libertad !!!
Horvy
Le Frère écouta la conféssion de Valezy, il écouta attentivement chacun de ses mots et une fois que l'homme eut fini de parler il pris a son tour la parole en disant quelques lignes du Dogme.


Citation:

" Maître, supplia-t-il......Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! "


Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
" Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. "




Mon frère, je n'ai pas a comprendre ou pas, la seule chose que je sait car je m'en aperçois est que vous parlé de guerre, de mort, de massacre d'innocents sans une moindre once de remord, comme si cela ne vous affecté pas plus que cela.

avez vous si peu de respect envers Dieu pour ne pas avoir peur de son Châtiment ?


Citation:
Le fort se mit à mépriser le faible....Comme la Créature Sans Nom, ils pensaient maintenant que le rôle des forts était de dominer les faibles. Celle-ci vit donc que l’heure de sa revanche était venue. Elle se mut dans l’ombre et s’approcha alors de ceux qui étaient ainsi méprisés...“Pourquoi vous laissez-vous faire ainsi, pourquoi ne pas renverser les rôles?”

Et le faible se mit à envier le fort.... l’homme et la femme frappèrent leurs frères et leurs soeurs. Prenant couteau et hache en main, chacun frappa l’autre en une tempête de violence et de destruction. Ils venait d’inventer la guerre, qui atteignit son paroxysme lorsque chacun se mit à brûler la maison et à dévaster les champs de l’autre. La Créature Sans Nom...leur dit que la violence et la haine leur permettraient dorénavant de dominer leur prochain.


Lorsque viendra le moment de votre jugement, j'espère que Dieu saura se montrer conciliant avec votre âme.

abandonner le créature sans nom, mon frère, vous allé épouser une Berrichonnes, cela est une grande preuve que Dieu dans son infinie bonté vous pardonne car comme vous le savez le Berry est une terre bénit de Dieu....y'a même une hypothèse comme quoi Dieu a crée le Berry pour modèle avant de créer le monde...enfin bref...soyez heureux de la chance que vous avez d'être tant aimé de Dieu malgré vos lourdes fautes.

allez dans la paix du tout puissant et priez pour le Duc George qui dans sa grande Clémence a acceptez que vous épousez sa fieuille.
Strakastre
Au fur et à mesure de ses pas et de la présence apaisante de sa cavalière, Charles retrouva la maitrise de ses sentiments et une certaine forme de soulagement. Il aura donc fallu quelques mots savamment échangés pour reprendre le fil de cette journée devenue, malgré elle, on ne peut plus particulière... Dans un soupir soulagé, il regarda son amie.

- Je vous remercie d'être là, belle amie. Votre présence est comme d'habitude salvatrice à bien des égards...

La suite dut se perdre dans sa gorge car aucun mot ne sortit. Le regard de Charles s'était alors posé sur un drôle d'oiseau qui arrivait vers eux. Instantanément, Charles s'écarta de Fifou et s'avança vers cet étrange animal..

- Catherine !

C'est tout ce qu'il réussit à dire avant de fondre sur la nouvelle arrivante tel un épervier sur sa proie et l'enserra si fort qu'il en faillit perdre l'équilibre.

- Catherine...

Une nouvelle vague de joie envahit le Vicomte qui se perdit un instant en étreinte non contenue... Enfin, il la sentait de nouveau en chair et en os, elle était bien là, devant lui... vivante...

Instinctement, il prit son visage entre ses mains puis en décortiqua chaque détail, à la recherche de ce qu'il ne savait quoi... une blessure, une marque, ou tout autre altération disgracieuse... Sans y réfléchir, il la palpa sur les bras, les épaules , la taille... avant de revenir sur son visage...


- Mais bon sang, où étais-tu depuis tout ce temps ?

Une brève montée de colère anima alors le Vicomte qui décocha une gifle, certes contenue mais bien appliquée, la main de Charles étant encre revêtue de ses gants de cérémonie... Un instant le temps se suspendit entre eux... Le regard du père, à la fois soulagé mais encore furieux, se planta dans celui de sa fille...
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Titpuce
Puce et Ryan avaient réussi à se frayer un chemin au milieu de la foule.
Ils avaient trouvé 2 petites places sur un banc, dans le fond de la chapelle.
Ils avaient salué de la tête les gens qu'ils connaissaient, autant dire pas grand monde.
C'est main dans la main qu'ils attendaient le début de la cérémonie, et l'arrivée des futurs époux.
Puce et Ryan étaient heureux d'assister à ce nouveau mariage. Tout était si parfait, à l'image des futurs époux.
Jo devait être resplendissante, encore plus que d'habitude, et Valezy devait rayonner d'épouser sa magnifique rousse. Le bonheur baignait cette entame de cérémonie.
Puce et Ryan se regardaient l'un l'autre, un grand sourire aux lèvres, savourant ce moment si merveilleux.
Rosebudy
Rose était sortie de son rang, passant par l'allée adjacente pour éviter de se montrer en pleine lumière de la nef.

Elle suivait des yeux Jo qui semblait pressée de rejoindre la sortie.

Que se passait - il pour que sa sœur décide de la sorte de quitter le lieu sacré ?

Longeant les invités elle prit un peu le temps de faire un tour d'horizon pour voir les têtes présentes.

En fait les plus connus d'elle étaient en sa compagnie, Joffrey sa soeur, Fifounijoli, leur cousine par alliance ou tante, elle se perdait un peu dans les méandres généalogiques des Beaufort-DénéréP-Penthievres, et vice versa, dans l'ordre, le désordre, et placé gagnant ou perdant c'est selon les points de vue .

Certains étaient visiblement inquiets, d'autre trompaient l'attente en bavardant, d'autre encore buvait en cachette le dos tourné vers le mur, d'autres s'épongeaient le front avec des dentelles, ou le revers de leur manchette, des mères s'inquiétaient de la sagesse de leur bambin, qui ne pleuraient pas encore, des ancêtres arrivaient lentement avant d'atteindre leur siege.

Tout cela composait une assemblée des plus cosmopolite, animée par vague de bruissement léger, de grand silence, ou de froissement des étoffes.

Elle passa entre les personnes rassemblées comme toujours tout au fond entre les murs d'entrée, et les premiers piliers, tous ceux qui voulaient sous prétexte d'être discret, rester le plus prêt possible de la sortie, elle fut étonnée de ne pas y voir les figure habituelle, mais se rappela qu'elle n'était ni en Anjou, ni tout à fait en Armagnac.

Elle fut dans un glissement de robe, enfin au dehors, et fouilla la noirceur de la nuit du regard.

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