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[RP] Chapelle Saint Louis, épousailles de Johanara et Valezy

Strakastre
Charles toisa d'un air faussement sévère sa nouvelle écuyère qui s'était avancée vers le petit groupe.

- Je vous présente la jeune Cerise, d'Eauze en Armagnac et Comminges, devenue par les heureux hasards des circonstances, la nouvelle écuyère de l'Isle Jourdain. Aussi discrète que le fut Catherine à une certaine époque où elle officiait à mes côtés à ce même titre, elle n'en n'est pas moins animée de la même volonté de s'élever sur les voies de la noblesse et de la chevalerie.

A ce moment, une "vieille" connaissance fit son apparition. Salutations de rigueur, mais ô combien plaisantes.

- Sentiment réciproque, gente dame... Autant de visages amis sont un enchantement en ce jour de réjouissances.
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--Augustin_fleur
- ou z'il est ? ou z-il est ? ou z-il est ?

Sautillant sur la pointe des pieds, le bourrel tente d'appercevoir le fiancé, mi curieux et mi jaloux tout de même.

- excusez moi, heu.. "monsieur", mais ceci est mon pied, point une estrade !

- bardon mezzire, je m'embordais, bouvez vous m'indiguer quel est l'heureux z'élu ?

- ah je suis désolé, je ne le connait point encore. Mais on le dit bel homme, et preux chevalier !

- diandre... bleux ghevallier, et auvergnat de zurgroit. Z'est un bleu d'Auvergne en guelgue zorde.

- pardon ?



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Augustin. Bourrel Itinérant.
Fifounijoli
La rouquine regardait Charles et était resté en retrait, n’ayant pas osée s’avancer pour faire les présentations. Il y aura d’autres occasions pensa t’elle, le mariage n’a meme pas encore commencé et déjà il promet d’etre riche en émotions. Le valeureux chevalier qui accompagnait l’a fille de Charles l’a fit sourire, sa frimousse de gamin qui jouait les grands hommes le rendait tout simplement magnifique. Elle fut interrompue dans ses pensées, par l’arrivée de Rose.

Que de retrouvailles Rose, les enfants semble ne jamais épargner leurs parents en ce qui concerne les émotions fortes. Le mariage oh oui tu as raison avec tout ca le temps s’est arrêter et j’en aurais presque oublier la raison de notre venue ici. Johanara ne devrait plus tarder à arriver maintenant.

Son regard croisa celui de Strakastre, il lui prit alors la main et l’a présenta. Timidement elle répondit aux salutations espérant avoir l’occasion de faire connaissance avec sa fille et son charmant compagnon.

Et les voilà repartit en direction de la cathédrale.
Elle aperçue son amie Nayria, le regard sombre mais fut rassuré de voir que son époux était présent lui aussi.

Les salutations n’arrêtaient pas et la jeune Penthièvre peu habitué à toutes ses convenances ne savait plus où donné de la tête. Elle avait l’impression de sourire à tout vent, mais se réjouissait de cette magnifique journée.


Enchantée Demoiselle Cerise, Fifounijoli de Penthievre
Ysandre

Des légendes..
Ah! Certes!
Bien souvent elle lui en avait conté à sa belle rouquine, de vieilles légendes dont cette dernière raffolait, pelotonnées l'une contre l'autre dans les lits aux draps de serge du pensionnat.
Oui-dà!
Jo venait souvent se glisser près d'elle et lui réclamait ces histoires qui la faisait tremblotter et qui la menait invariablement à se condamner à moults cauchemards.
Elle lui avait souvent, notamment conté Gilles de Retz..

Certains assuraient qu'il avait sévit en Touraine et cette version enchantait George, pourtant, Ysandre n'en démordait pas,le monstre avait selon elle et surtout selon les dires de la vieille Barbe, vécu en Poitou.
Son nom faisait encore pâlir dix sept ans plus tard et il était usuel, à l'évocation de son nom de voir nombre de bigotes se signer bien rapidement.
Le baron s'adonnait aux sacrilèges invocations, quémandant à la Bête immonde, l'or la science et la puissance.
Pour parvenir à ses fins, ce démon barbu s'était rendu coupable des pires horreurs, ayant égorgé plus de huit cent enfants du pays..
Sa Jo l'oyant, ses beaux yeux d'angélique grands ouverts, ne retenait jamais de vives exclamations à ce passage, frissonante et épouvantée, même si l'histoire lui avait été mille fois contée.
D'autres nuits, elle lui mandait de lui raconter les Mélusines..
Chaque village avait au moins une vieille Mélusine, vivant dans une grotte ou une vilaine cabane cachée loin des yeux des villageois mais bien souvent visitée par ces derniers pour des raisons diverses.
Johanara ne se lassait point d'ouïr ces bêtises avec à chaque fois, le même intérêt.
Les deux jeunes filles vécurent là de bien heureuses années, si ce n'est les leçons, suivies à rebelute par les caillettes et dispensées par les si austères soeurs que Jo n'avait de cesse de braver, l'air assez fendant, tant et tant que bien souvent l'on l'évictait sans manière.
Invariablement, la belle rousse, le petit nez frincé, obtempérait d'un air faussement contrit puis, une fois hors de portée de vue, se réjouissait en son for, d'avoir su, cette fois encore, inciter les soeurs à la libérer comme elle l'escomptait de lalecture..
Ysandre, admirative ne se lassait point d'observer la grande espièglerie de son amie.
Ce jourd'hui, la fillette avait laissé place à une femme aux courbes divines, au caractère des plus attachants mais, quand Ysandre observait son joli minois, c'est son amie d'antan qu'elle y voyait, celle qui courrait à ses côtés , les pieds nus et les cheveux de cuivre au vent.
Sa presque soeur, sa Jo.

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Wilou61
S'était-il assoupi ? Etait-ce parce qu'il était arrivé en retard ? Il avait bien du mal à tout suivre, un brouhaha régnait dans cette chapelle, lui rappelant que bien des fois il en était ainsi. Tout ceux qui pensaient qu'un tel lieu était un lieu de recueillement de de silence n'ont sans doute jamais assisté à un mariage.

Il s'était fait tout petit, discret et observait sans un bruit. Il souriait quand on lui souriait, répondait d'un signe de tête.
Petit mouvement des sourcil quand il voit entrer sa miss. Il ne se souvenait pas qu'elle connaisse Valezy. D'un mouvement de tête il lui indique qu'elle peut venir prêt de lui, ainsi encore une fois Miss et Mister SBC seraient réunis.

Le brouhaha change d'intensité, voici qu'un homme traverse l'allée. Wilou reconnait tout de suite son mentor, l'homme qui lui a permis de prendre de l'assurance au sein de l'Ost Armagnacais, l'homme qui lui a appris le maniement des armes, l'homme qui, peu à peu, est devenu plus qu'un supérieur. Il sourit en voyant la majestueuse démarche et l'habit magnifique de l'homme. Il se met à sa place et se doute de la fierté qui doit habiter cet homme, fierté de montrer à une femme que leur union sera à présent scellée par les liens créés par le Très Haut.

S'il n'avait pas été sûr de la robustesse du coeur de son ami, il aurait été prêt à parier qu'il était à 2 doigts de pleurer. Mais Valezy est un guerrier, nul doute que rien ne perlera sur ses joues.

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Cerrydwenn
La jeune écuyère prit un air faussement angélique quand le Vicomte la toisa de son air faussement sévère puis une Dame tres éléante se présenta suite à la description que fit le Vicomte de Cerise.

Enchantée Demoiselle Cerise, Fifounijoli de Penthievre

Fifounijoli ..humm ce doux prénom éveillait le souvenir d'un bribe de conversation un soir avec le Vicomte , la jeune écuyère se contenta d'aposer une legere reverence à la présentation de la belle Dame ..

"Tout le plaisir est pour moi Dame .."

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Ayerin
[Soutenant l'regard du Padré mais sans plus...]

Marko était toujours à ses côtés, elle le mènerait à sa fonction en temps voulu, du moins lorsque son Père en aura fini avec ces effusions et accolades qui n'en finissaient plus.
Mais cette fois-ci, afin de lui montrer sa joie qu'elle ne savait guère montrer d'ordinaire, elle déposa maintes bises sur ses joues d'vieux grincheux charismatique, en réponse à la nouvelle étreinte de celui-ci !


- Pardon ma fille... j'ai tellement cru t'avoir définitivement perdue lorsque tu m'envoyas cette terrible missive... ne me refais plus jamais ça...

A ceci, s'dessina un air bien triste sur sa trogne d'morveuse mais qui s'effaça bien vite afin de laisser place à sa fougue habituelle,...

J'en suis désolée, hein,
Pi comme ça au moins, t'voila au courant de mes dernières volontés si jamais y v'nait à m'arriver quelque chose,...
C'n'est pas plus mal, t'crois pas cher Padré ?


Pas d'réponse, seul un regard collé à ses émeraudes lui laissa à penser qu'il était préférable de changer de sujet,...
et elle n'avait guère envie de devoir s'étendre sur les dites actions qu'elle avait entreprises et qui l'avait poussé à lui faire parv'nir cette missive déchirante.

L'heure d'la présentation vint alors...
Drame pour la gamine qui n'avait pas idée du comment elle devait s'comporter face à d'la donzelle de cet acabit,...
certes, elle allait devoir faire maints efforts d'langage, du moins tenter de ne point être trop gouailleuse et plus courtoise dans l'choix d'son phrasé,... mais pouvait-on espérer cela d'elle ?

A ce nouveau Catherine entendu, elle n'broncha point,... mais posa une mirette plus qu'attentive à celle qu'il venait de lui présenter.
Une Penthièvre ! Héhé, c'nom là, ne lui était guère inconnu, mais la dite Dame par contre, elle ne l'avait jamais croisée, et s'connaissant un poil, après l'avoir reluqué sans s'faire trop remarquer, la gamine savait que jamais sa mirette avertie ne l'aurait oubliée.
Pas d'courbette, juste un sourire charmeur qui s'fit plus large sur sa trogne de merdeuse,...


Enchantée d'vous connaître Vicomtesse Fifounijoli, c'est toujours un réel plaisir que d'faire la connaissance d'amie d'mon Père qui j'peux bien vous l'avouer, à toujours su s'entourer d'bien jolis trésors.

D'autres Dame, donzelle firent leur apparition mais les présentations en restèrent là, et la gamine n'put recevoir d'réponse, le Vicomte ayant décidé qu'il était temps, d'aller rejoindre la pire des cérémonies à laquelle Locarin devait assister,...
mais s'disait qu'il lui suffirait d'poser ses miches sur d'l'assise agréable et d'laisser ses pensées vagabonder en d'autres contrées ainsi cette torture passerait bien plus vite...
Humfrr... Grogn'ment sourd émit, et la voilà qui agrippe la ptite main d'son chevalier servant aux yeux d'un bleu, perçants toutes les carapaces dont la sienne.


Allez Marko,...
Je crois qu'il est temps pour toi d'aller rejoindre la Tantine, hein,...
puis plus bas, afin que seul l'gamin puisse entendre la dernière réflexion,...
surtout si not'Linon, sorcière et fine lame des Rouges tient en main ses armes favorites et qu'elle maitrise avec adresse, les plants d'ortie, alors on ferait mieux de se magner l'train !
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Que celui ou celle qui n'a jamais péché m'jette des pierres, grâce à elles, j'me bâtirai un château ... Libertad !!!
Joffrey
Jo se permit une révérence en réponse à Strakastre , avant d'éclater de rire contenu.
Elle aimait à surprendre et c'est sans façon qu'elle décida d'abréger les présentations

Allons , nous papoterons plus tard , je vois le marié se diriger vers la nef..
reprenons place bien vite. J'aime à voir l'entrée de la mariée.


Et sans plus attendre , Jo se faufila vers leur banc.
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Rosebudy
Rose bailla un sourire de convenance aux diverses personnes présentées rapidement par le Vicomte.

Le petit groupe fini pas se remettre en marche.

Chacun retrouva une place assise, miraculeusement, mais le lieu ne s'y prêtait - il pas ?

Elle plongea donc aussitôt son esprit dans les prières afin de se mettre à l'unisson de cette cérémonie, attendant l'arrivée de l'officiant ecclésiastique.

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Zya62
[En Baile compagnie, odeur vanillée pointant...]


Crise passée? Crise? Non, mauvais jour. Et bien décidée à le crier à la face du monde, celle qu'on surnomme parfois l'Ange Blanc et qui ne s'en sent pas la blancheur voulue pourtant. Un peu grisâtre, sa blancheur, ces derniers temps. Et l'ancienne rouge qui l'accompagne et qui tente de la blanchir. Parfois, ça la fait rire, toutes ses attentions. Elle se demande bien jusqu'où elle irait s'il n'y avait pas ces "autres" qui avaient décidé qu'elle devait faire ce qu'elle faisait. Enfin, ces autres... une autre! Aussi têtue qu'elle. Et dont elle ne pouvait rien refuser, ligesse oblige.
Soupir habituel qui revient. Place laissée à la Baile qui la coupe de son parapet humain. Elle qui pensait se cacher derrière, et s'interroger tout au long de la cérémonie pour savoir qui et où. Qui c'était. Et où elle l'avait déjà vu. C'était sans compter sur une Baile aussi volubile qu'exubérante. Et dans le genre pas discret, elle l'aidait, là!


Hey Mal', ravie d'te voir ici, même si c'pas partagé t'sais!

Cap', Mal', un ancien, euh, camarade d'rougerie... Mal', Cap', celle dont j'ai décidé d'garder l'corps et l'esprit d'un commun accord avec d'autres.

Pieds bottés qui viennent prendre place sur le bord du banc d'en face, fourreau qui crisse de nouveau au sol. Dextre qui replace le fourreau, histoire de ne pas l'abîmer... les dalles, on s'en fiche un peu, surtout qu'elles seront usées par les passages de fidèles au fil du temps. Oeil goguenard jeté à la gardienne de son intégrité physique et mentale, voulant dire "Non mais, tu peux pas te taire et me laisser pester en paix, non?"
Redressement du buste, un salut de la tête, en émettant un simple


Bonjour...

... en accord avec son attitude, c'est à dire, limite grognon, peu encline à amener parlotte, en tout cas.
Gant de cuir noir, gravé d'un Ange sur la senestre, qu'elle frotte machinalement avec le droit, frappé d'un Lion. Rien à foutre de son voisin de banc. Ce... Mal... Maleux... Ah non, MaleuS!
Froncement des sourcils. Maleus... Maleus... Ca lui dirait bien quelque chose... Maleus...
Emeraudes qui se relèvent et regardent devant elle. Trouvent une... deus silhouettes connues. Ewaele, future comtesse de nouveau?... et Marie! Vague esquisse de sourire. Ca faisait quelques temps qu'elles ne s'étaient vu. Maeve devait avoir poussée... Sa filleule. Enfin, si un jour Aristote se penche sur son cas... Marie... Foncement des sourcils, de nouveau... Marie... Maleus... conversation en taverne ouïe... Impassibilité du visage, mais la lumière se fait en son esprit! Idiote qu'elle était!!! Vanille!!! Sa Vanille! Enfin, celle qui peste quand elle l'appelle "grand-mère de coeur"!

Soupir d'exaspération qui se laisse entendre sur au moins trois bancs à la ronde. C'était raté pour la place tranquille, dans le fond, d'où elle pourrait s'éclipser dès que Baile aurait l'esprit occupé ailleurs!
Se redresser, toujours aussi exaspérée. Et se feliciter intérieurement aussi... que cette exaspération puisse passer pour la longueur d'attente d'un début de cérémonie!

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Maryan
[Dans la sacristie, encore et toujours...]


Elle était aussi excitée que sa sœur, mais, contrairement à son aînée, elle ne manifesta rien par la parole, et resta sagement assise dans un coin, bouche fermée, comme prise dans une sorte de torpeur aphone.

Tout ce monde ! Tout ce bruit ! Tout ce défilé d’atours, de livrées et d’oripeaux !
Chaque détail ramenait des charrettes de souvenirs à l’esprit de Maryan, et la jeune femme ne s’en trouvait que plus troublée.

La chanson entonnée par sa sœur ramena un sourire sur le visage ivoirin de la Vicomtesse. Douces réminiscences que cela. Dans le regard azuré de Maryan se lisait à nouveau l’émerveillement de la petite fille écoutant sa mère fredonner.

L’entrée de sa tante, l’auguste Archibaldane, la tira de ses rêveries, et elle se mit aussitôt debout.
La fébrilité de sa sœur semblait à son paroxysme, et sa cadette, se rapprochant, tenta un regard apaisant. Le futur marié venait de faire son entrée dans la chapelle. La cérémonie ne tarderait point à commencer.

Rajustant le tissu soyeux des jupons de sa sœur, qui venait d’être quelque peu malmené, Maryan souffla doucement :



« Notre tante a raison. Apaisez donc vos sens. Au reste, il n’y a plus lieu de se tourmenter. Votre futur époux est bien là. »


Elle passa une dernière fois sa main fine et blanche sur l’étoffe délicate, puis se recula légèrement pour contempler son œuvre, ainsi que sa sœur aînée dans son ensemble.


« Allons, vous êtes radieuse. Je gage qu’en cet instant, le Roy lui-même ne saurait résister à vos charmes ! »
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Strakastre
La petite troupe de la Croix de Bramafan arrivait enfin sur le parvis de la chapelle. Charles passa sous la porte, la Vicomtesse de Penthièvre à son bras, sa fille et vassale non loin, suivie certainement de son écuyère. Le Vicomte de l'Isle Jourdain était déjà heureux de faire honneur à la future mariée par un telle délégation lorsqu'il s'arrêta de nouveau, faisant face (enfin de dos) à une silhouette qu'il reconnaitrait entre mille, pour l'avoir tourmentée à de maintes reprises lorsqu'il était son Maistre d'Armes.

Elle était venue, elle aussi il la retrouvait après les mêmes longs mois de séparation d'avec Catherine. Encore une réjouissance à venir. Tournant sa tête vers Fifou, il lui adressa un clin d'oeil complice, comme pour la prévenir d'une nouvelle rencontre.

Puis, il posa une main ferme sur l'épaule d'un Saint-Ange, le regard introspectif.


- Tenue de corps élégante, très dynamique, prête pour l'action... Je ne suis pas peu fier de t'avoir tourmentée à dessein. Heureux de te retrouver, Saint-Ange...
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Beulbeul


Beulbeul entra aux cotés de son pére accompagnée de sa belle mère. Elle ne connaissait personne, enfin en apparence. Elle souriat à ceux qu'elle rencontra, répondit au salut d'autres.


Elle ne dit mot, et s'installa là à côté de son père et sa belle mère. Sa belle mère ne disait mot non plus, et semblait distante.

Beulbeul se concentra et pria intérieurement, attendant le début de la cérémonie.
Persan
Fatigué, il se sentait fatigué. Quelle idée de venir à ce mariage ! Sa vie en ce moment, c'était 4 enterrements et un mariage, plutôt que l'inverse. Il aurait dû être heureux d'être ici et d'assister à un événement plutôt gai mais comment pourrait-on trouver gai de voir Johanara se marier ? Il soupira en sortant du coche loué à la ville toute proche, soupira en montant les marches qui le conduisaient à l'église, soupira en entrant dans le bâtiment, soupira en s'asseyant sur une rangée du fond et soupira encore en allongeant ses longues jambes sous la chaise devant lui. Il releva la tête pour voir si quelque chose avait commencé mais rien ne semblait se passer. Il chercha quelques traces de son voyage épique sur ses vêtements, retira une poussière imaginaire de ses beaux habits aux couleurs d'Arnay, vérifia que les tours blanches brodées sur sa poitrine étaient bien droites, soupira de nouveau, et sans un regard à droite ou à gauche, ferma les yeux. La musique finirait bien par le réveiller. Il serait alors toujours temps d'assister à ce mariage-enterrement de vie de jeune fille...

Groumpf !
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Fifounijoli
Les voilà enfin rentrant dans la chapelle, ils allaient enfin pouvoir s’installer afin d’assister au mariage, mais voyons quelle drôle d’idée, Charles l’a regarda est d’un clin d’œil complice les voilà à nouveau arrêté prés d’une demoiselle.
Elle reconnue Zya qu’elle avait rencontré lors de son passage chez les Dames Blanches, et sourit au bonjour de maistre Strakastre envers Zya.
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