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[RP ouvert ] Histoires de fesses à Sarlat !

Kachina
Certaines se perdent dans un regard sombre, d’autres se pâment devant des mains puissantes et fermes.
Chez d’autres ce sont de larges épaules, des cuisses musclées, ou une bouche arrogante qui les troublent .
Mais ce qui provoquait chez la brune des frissons au creux des reins, c’était assurément un joli fessier masculin, ferme et musclé.
De ceux qu’ont les hommes habitués à courir les chemins, à chevaucher sur les sentiers.
La louve aimait regarder, mais ne le dites pas au loup, hein ? .... des fesses masculines, moulées dans des braies de cuir. Bah quoi, chacun ses rêves, rhooo.

Et faut dire qu’avec Joran, elle était comblée, le bougre ayant terminé second d’ un mémorable concours qui avait eu lieu à Saint Bertrand, il y a déjà un moment de ça.

Alors, ce matin, tandis qu’ils cherchaient de quoi ne pas mourir d’ennui dans cette ville où ils étaient malgré eux confinés, il lui avait dit , l’œil moqueur, parce qu'elle ronchonnait, faisant les cent pas dans la taverne :


- Lance un concours du plus beau postérieur ma louve, ça t’occuperas l’esprit !

C'est ainsi que , quelques heures et quelques chopes plus tard, après avoir négocié avec le Lycan, un défilé en privé............ la brune parcouru d’un pas vif les ruelles et avisant une charrette qui trainait par là, elle y grimpa d’un saut leste. Sans plus attendre, lissant du plat de la main ses jupes, elle se mit à haranguer les passants

- - Oyez ! Oyez !
Habitants de Sarlat, voyageurs, étrangers !

Je recherche des candidats , pour défiler fesses nues devant les gens d’ici !

Il me faut des femmes aussi , qui composeront le jury .
N’ayez pas peur, venez fêter le printemps avec nous .
Inscrivez vous !


Et la brune s’installa, assise sur le rebord de la chariotte, jambes se balançant, plumes en main, et parchemin déroulé sur ses genoux.


Déroulement du concours
1/ Chaque participant qui doit être un homme, choisi une image d’un fessier masculin, et m’envoie le lien par mp. (on reste soft, pas de vulgarités, on n’est pas des bandits nan mais oh ! )
En même temps il présente sa candidature en postant (minimum 5 lignes) sans montrer son image.
2 Je présente au jury, composé de femmes, les photos, sans nommer personne. Chaque photo porte un numéro.
3/ Le jury poste ses impressions au fur et à mesure des présentations. Il m’envoie les notes par mp. Il Les votes restent secrets.
4/ Je donne les résultats.
5/ Le gagnant reçoit le prix, et défile.

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--Pochtron
La Kach l’avait fait mander, et déjà que la brune avait ses humeurs depuis qu’une armée avait décidé de faire ses entrainement sur les passants , et qu’en blessant le Loup, ils les avaient tous les deux assignés à résidence à Sarlat, fallait pas en rajouter.

Pas que le coin n’était pas plaisant, mais ils étaient fils et filles du vent , ils aimaient chevaucher, parcourir le royaume.


Et puis, c'était connu, la Kach n’aimait pas attendre.

- Pochtron, rapplique, il me faut une estrade avant ce soir. Au boulot, maraud !

Alors, tirant sur les rênes de Cadichon , l’âne, menant la carriole tant bien que mal, il arrivait , transportant des lattes et des planches, des poutres et des rouleaux de corde.

- Salut ma Belle ! Alors, on a besoin de son vieil ami ? Je suis là ! Comment va le chef des Lycans ?

- Il va Pochtron, il est debout. Il a déjà des projets plein la tête. Mais arrête de causer et bosse un peu, morbleu !

- Oui, bon, je m’y mets ! ça va didiou !

Et tout en maugréant, l’homme s’était attelé à assembler les planches et les poutres, en en peu de temps, la place centrale de la ville se vit affublée d’une magnifique estrade.

La bourse d’écus changea de mains, et la louve se pencha, claquant un baiser sur la joue mal rasée du maraud.


- Merci !

L’estrade était montée.
Ne manquait plus que des hommes pour défiler, fesses à l’air.
Qui oserait ?
Est ce qu’ici , on aimait autant rire qu’à Saint Bertrand ?
La suite le dirait…….
Sandreen
Décidément l'hiver avait du etre particulièrement pénible cette année, des festivités printanières s'installaient un peu partout et celle ci presentée par une jolie brune était plus qu'attrayante pour qui voulait rire un peu.

La brunette s'approche et hèle la lycane.

Ohé ! Dame Kachina !
Jolie estrade ! manque plus que les comédiens !
J'espère que vous trouverez une belle brochette et s'il vous faut un jury, je veux bien en etre !
en toute impartialité ! évidemment


Elle lui sourit attendant la réponse, amusée déjà à l'idée d'un défilé pour le moins particulier.
_________________
--Mariette_


Mariette trainait la coiffe dans le coin, elle regardait les arbres bourgeonner, tout comme elle en présence d’un beau mâle se sentait la coiffe en surchauffe. Enfin pas n’importe le quel non plus de bonhomme, la bonne femme était de celle qui aimait les vrais, les costaux, les bien solides car elle-même généreuse en attributs avait une certaine masse débordante. Plus le temps passait chez ses patrons plus elle était éperdument possédée, affamée et assoiffée par le beau bellâtre qu’était son patron. Il était le numéro un, avant même le dégarni de vieux Sigis. Tôt ou tard la Mariette parviendrais a ses fins en lui faisant don de sa gracieuse personne aux miches bien moelleuses, du moins elle en rêvait assez souvent.

Mais voilà t-il pas que l’on tire la grande Mariette de ses songes. Une donzelle plutôt bien proportionnée chevauchée sur une charrette s’égosille a crier. Pour un peu la bonne en aurait perdu sa culotte tellement la caqueteuse vociférait. Ecoutant attentivement la fermière de jadis porta ses deux mains sur ses attributs débordant à l’aise de son bustier, elle en croyait pas ces oreilles de paillarde, l’autre finaude se mettait a babillarder de vouloir voir des croupions de messires mais nus, comme venus au monde, déferler dans la ville. Elle devait avoir perdu la caboche la donzelle.

Se grattant de la main un petit coup sa pence, la Mariette s’en laissa sortir quelques mots a la rude de bonne et ancienne fermière de sa bouchaille.


- L’Cornevache di diou ! V’là pô d’la donzelle qui a l’point l’froid d’la langue ! J’m’en l’va l’dire d’suite a m’dame Cyle, va m’lui causer qui y a d’la bordelière d’fessard d’not’ ville par l’coille d’l’âne !

La bonne femme appréhendait surtout que les hommes de la maison viennent à montrer leurs postérieurs dans le dos de sa patronnette et d'elle même.

Aniline
Un défilé de mâles, voilà qui n'était pas pour déplaire à la Farouche. Elle était arrivée la veille, et après avoir fait le tour des auberges du coin, elle se résignait à reprendre la route.
Depuis quelques temps lui venaient des envies de se poser, de voir simplement pousser les blés. Mais elle savait bien , que vite, elle rêverait à nouveau des chemins.
La ribaude ne voulait plus aucune chaine.
Elle errait comme une âme en peine, solitaire au milieu des passants affairés, qui ne la regardaient pas. Etrangère, avec au fond de la poche, un laisser passer temporaire.
Qui sait, si une de ses villes par ici ne deviendrait pas sa ville. Mais pour l'instant, il lui fallait sentir l'ambiance.

Elle en était là de ses réflexions , avec aux lèvres cette moue boudeuse qui la rendait selon Canalim, irrésistible, lorsqu'elle vit une jeune femme brune proposer un concours de fesses. Sa moue se fit sceptique quand elle ne vit autour de la scandaleuse, que des femmes.

- Foutre Dieu ! Les hommes n'ont pas l'air couillus par ici !

Mais curieuse, et puis , après tout, elle n'avait rien d'autre à faire ici, la jeune fille posa ses fesses sur un muret, attendant la suite des événements, regard sombre balayant la place.
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La liberté est le luxe ultime !
Pattricia
Les indics avaient rempli leur fonction à merveille, connaissant le gout de la môme pour les postérieurs masculins, et le reste si affinité, ils avaient tous rappliqué plus ou moins en même temps pour lui annoncer la nouvelle. Kachina lançait un concours de fessiers, et masculins les fessiers pardi ! Après les avoir généreusement payés pour qu'ils n'aillent surtout pas cafter à Souffredoul, c'est que voir le postérieur de son ancienne estafette l’emballait pas plus que cela en fait, la vindicative se précipite vers la place où on lui a dit que se trouvait l'estrade en question.

Avisant la jeune femme haranguant la foule "en délire...", Patt se précipite et s'arrête juste devant, essoufflée et faisant des grands signes.


Mouahhhh ! J'veux être jury s'il vous plait !

Une fois sa reprise de souffle terminée, elle pose son postérieur sur l'estrade et, le regard un peu trop brillant...

On pourra tâter pour apprécier de la fermeté des fesses, ou on aura juste droit d'imaginer ?

L'esprit de la Sarladaise commence déjà à vagabonder dangereusement...
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Kachina
Les gourmandes rappliquaient dare dare, et la brune jetait des regards impatients aux alentours.

- Sandreen, je note, tu feras partie du jury.

Mais pas l'ombre d'un homme aux alentours. A croire qu'ils avaient peur, ou alors qu'ils attendaient qu'un se dévoue pour oser se jeter dans la geule du loup, enfin de la louve.........

- Corne de bouc, où sont les hommes ? Ne jamais décevoir des dames.......

Songeant à ses Lycans, qui devaient encore être à courir la gueuse ou à aimer leurs belles, elle laissa dans sa tête défiler quelques derrières qu'elle avait déjà vu juchés sur les canassons, les nuits de chevauchées sauvages sur les sentiers du royaume. Marmonnant entre ses dents, morbleu, ils vont rappliquer, ou pas ?, elle avisa une femme aux charmes avantageux, à la coiffe blanche et un sourire fendit ses lèvres pleines.

- Dame ? vous en êtes ? ça vous interresse de faire partie du jury ? Connaitriez pas par hasard, un homme. Qui oserait monter sur l'estrade ?

Et la louve remarqua alors une mince et blonde jeune fille, assise sur un muret. Silencieuse, elle ne perdait pas une miette de la scène qui se déroulait sous ses yeux.

- Et vous damoiselle ? Envie de vous encanailler ?

Mais l'idée avait enflammé l'esprit des donzelles du village. Et la place commençait à se remplir de femmes. Pourvu que ça attire les mâles....

La plume crissa sur le velin , alors qu'elle rajoutait le nom de Pattricia, rencontrée en coup de vent en taverne, et la lycane, lui répondit d'un air moqueur :


- Hum, Non............on regarde, on touche pas....Nan mais oh !! On n'est pas chez les brigands ici , hein ?
Un peu de tenue que diable !!!
Quoique des jolies fesses masculines, et fermes en plus...............Hummmmm !!!


Et son rire éclata dans l'air frais de mars.
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Vidar_le_sylvestre
Hé bien ! Toujours des idées particulière la louve ! Et bien soit ! S'avançant d'un air fier basculant ses hanches en marchant et faisant mine de rien, il avança vers l'estrade un sourire aux lèvres parmi les dames attroupées.
Il fallait bien qu'un se dévoue sinon personne ne le ferait... Rah quel douloureux sacrifice que de se faire reluquer par autant de femmes... Mais bon pour la bonne cause.

Bon alors comme ça tu veux voire des joufflues trémoussant ? Fort bien où s'inscrit on ?
Par contre il y a intérêt d'y avoir un défilé catégorie féminine !!


Il s'esclaffa et fit un clin d’œil à la jury en chef, voila le premier homme lancé peut être que cela rassurera les moins peureux
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La guerre ne sert pas à montrer qui a raison, seulement qui survit.
Mariceleste
La Rouquine revenait du marché et s'en aller vers sa taverne, quand elle passa devant une estrade ou il y avait un attroupement de dames et de quelques messires, ça curiosités la poussa a aller voir se qui si passait.

Elle s'approcha pour voir, et aperçue Patt, Sandreen et quelques dame quelle ne connaissez pas encore, une question lui trotta dans la tête,
que se passait il ici ? Elle entendit une dame parler de fesse de tâter de regarder de choisir, elle ne comprenait rien et s'avança un peut plus pour avoir des explication sur cette attroupement, on les lui donna et se mit a rire en répondant avec un sourire carnassier.

- Je veux faire partit du jury est ce possible ?

Puis elle observat autour d'elle et me mit a rire ell esavait qu'avec un concour comme celui là il y aurait pas mal de dames qui voudrais faire partit du jury mais surment moins d'homme pour êtres candidats

- Mais j'veux tâter moi c'est plus facile pour choisire heinnn !

Elle se mit a rire tout en regardant Patt car elle savait quelle aussi avait dut dire la peut près la même chose quelle.
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Sandreen
Diu Vivant ! (bon sang)vla que les flamboyantes rappliquaient dare dare

Dame Kachina !
Je m'insurge ! je les connais ces deux là !


pointant du doigt sa Pattouille préférée, hum y avait il d'autres Pattouille ?
non impossible pas deux comme elle quoique la Mari, n'était pas mal non plus dans le genre


Oui Oui ! Voyez elles veulent tater en plus ! et vont pas s'en tenir à l'arrière du décor ... si vous voyez ce que je veux dire

Essayant de dissimuler un sourire amusé, derrière une mine outrée

Vous vous rendez compte ? en place publique ?
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Baratheon
L’Anglois revenait de sa matinée de labeur en sifflotant, ravi à l’idée de goûter à la pitance cuisinée façon Lycan, sa chemise couverte de sang de cochon sur son épaule dévêtue. En chemin, il s’arrêta devant une manifestation peut commune dans cette ville si calme. Il se rapprocha quelque peu pour voir ce qui se tramait, quand il vit la belle Kachi, entourée de quelque donzelles fort charmantes pour le coup, certaines gloussants, d’autres questionnant à tout va… Hum, encore ces histoires de fesses je parie !, se dit-il. Le voilà donc à se rapprocher de l’assemblée, distribuant quelques clins d’œil aux damoiselles qu’il connaissait, s’arrêtant devant la Lycane, lui offrant son plus beau sourire en coin.

Bien le bonjour, Kachi ! Je suppose que c’est encore ton histoire de postérieur bien ferme et nu…

L’homme jeta un regard coquin vers les femmes qui devaient certainement être les membres du jury, puis revint à sa brune préférée :

Eh bien j’en suis ! ‘vais quand même pas priver ces coquines de l’exquise vue de mon fessier…

Son inscription maintenant conclue, le charmeur se tourna vers les deux donzelles impatientes de tâter du postérieur :

Vous aurez bien sûr le droit d’apprécier au toucher les miches divines de ce cher Baratineur, mes damoiselles, que ce soit avec l’accord de la Lycane ou dans une ambiance plus officieuse et feutrée !
Bibosor
Agitation, gloussements, rires.

Attiré par l'émulsion de la place centrale il s'avança pour écouter et reconnu quelques visages aux traits des plus agréables.
Deux mecs inscrits, deux lycans. Diable, il était temps de se mesure d'homme à homme à ses collègues, dans un combat des plus fratricides: le déballage du céan en place publique.

Il leva la main et parla de manière à être entendu:


Bibo au rapport Kachi, prêt à déballer (presque) tout le matériel !

Il s'avança vers l'estrade et prépara son entrée en scène.
Pleuven
Avertit par Kachina d'une exibition de fessards sur estrade en place publique, Pleuven décida sans autre commune mesure , d'aller y presenter le sien . Arrivé en haut de l'estrade , Pleuven tourna le dos au jury et posa ses braies en leur disant !

regardez et touchez , le plus beau cul Saraldais mesdames !(uniquement)
Aniline
"- Et vous damoiselle ? Envie de vous encanailler ?"

Ani arqua les sourcils alors que la brune s'adressait à elle. Les brunes aurait dit un brun qu'elle connaissait, c'est l'enfer. Chaudes comme les braises, coléreuses et jalouses. Celle là semblait correspondre à la description.
Elle laissa ses agates sombres se poser sur la jeune femme assise sur la charrette, hésitant entre se lever et ficher le camp, ou passer un peu le temps .


- Han ! Dame, c'est que les hommes et moi .
Pis regardez, on peut pas dire qu'ils se précipitent. Les hommes préfèrent soumettre une femme au fond d'une sombre alcôve que prendre des risques.


Elle passa machinalement un doigt sur son épaule, là où sous le tissu réche de sa chemise d'homme, se cachait la marque qu'un soir on lui avait imposée à jamais.

Mais y'avait peu d'animations dans le coin, et puis c'était pas tous les jours qu'on pouvait avoir du spectacle gratuit. Et pas taxé en plus. Haussant les épaules, elle ajouta à l'intention de la donzelle .


- Aniline ! J'suis Aniline ! Inscrivez moi sur votre liste !
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La liberté est le luxe ultime !
Vidar_le_sylvestre
Montrant sans vergogne les courbe ferme d'un postérieur masculin musculeux mais pas trop, au Jury il remarqua qu'ils étaient quand même fort peu.
Se redressant face à la foule et cherchant en vint parmi tout ces jupon agitées des possible prétendant au rôle qu'ils étaient en train de jouer.
Il décida de jouer l’orgueilleux et narcissique afin de peut être faire arriver quelques hommes, les moins coincé.

Je sais que je suis hors catégorie et que je vous mets la barre très haute mais tout de même ne caché pas vos atours messieurs, et venez présenté votre majestueux derrière à toute ses femmes aux humeur printanière ! Elles ne demande que ça ! Périgourdin ! Venez montrer vos arrière-train !


A croire que la ville n'est régis que par des femmes... Ce ce serait peut être un bon moyen pour qu'elle fonctionne bien... Il regarda les dames attroupée au regard avide de fesses... Bon peut être pas...
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La guerre ne sert pas à montrer qui a raison, seulement qui survit.
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