[RP ouvert ] Histoires de fesses à Sarlat !

Déjà sans haut il s'avança c'était enfin le vrai défilé, et là il allait être sérieux.
Il s’avançât puis suite à une roue sublime se retrouva dos au public.

Pour une fois que c'est autorisé !

Il n'avait pas les trace de combat qu'avait l'intouchable Loup mais cela ne ferait rien, il était svelte et félin et d'une musculature correct. Il défit sa ceinture et laissa glisser son braie doucement pour faire languir ces Dames.

Je ne suis pas aussi joliment décoré mais si vous voulez laisser votre marque cela pourrait s'arranger, que vous ayez fouet, crocs ou griffes je suis très preneurs.

Il rit de sa voix grave et suave, et entendit un sifflement, retournant sa tête et son buste dans un délicat roulement de muscle il regarda la belle qui avait fait ce son. Et se plongea dans ce bleu profond.

Sachez mes Dames que nos attributs son quelconques, seul les spirales sublimes de vos iris gourmands permet à nos céans pareil figure...
Vos yeux magnifique éblouie d’envie et de beauté son les révélateurs de la beauté de nos postérieurs.

Son tour étant fini il remit ses effets et rejoint les autres concurrents lâchant un dernier sourire à cette magnifique assemblé féminine.
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La guerre ne sert pas à montrer qui a raison, seulement qui survit.

Les lycans... étaient ils coutumiers du fait ? ils s'inscrivaient dans ce concours, presque certains de gagner le prix. Le prix ? mais quel prix d'ailleurs ?
Après un "Aïe ! " un peu plus appuyé que le coup de coude n'aurait valu, elle sourit à Patt qui se tenait près d'elle.
Bah j'aurais essayé... jalouse moi ? si tu le dis
Puis un sarladais vint enfin représenter la ville, quelle surprise ! puis un deuxième et encore du brigand. Alors que les hommes allaient commencer leur présentation de la lune, Sandreen taraudée par cette histoire de prix quitta l'avant de la scène pour retourner voir le réglement du concours.
Soudain une cohue féminine se précipita vers l'estrade, des "ha !", des "ho !", des "wouah !", des rires et exclamations, fusèrent de partout.
Nul doute, les males dévoilaient leur anatomie sous les yeux admiratifs des dames. Un regard vers l'estrade qu'elle ne pouvait plus distinguer, une masse grouillante et indisciplinée devant elle, masquait le spectacle.

Lorsqu'elle revint de sa lecture attentive, les candidats venaient de remballer le materiel et le peintre finissait le dernier croquis, elle resta un moment à contempler les doigts agiles dessiner, le fusain glisser avec application et aisance, puis admira les oeuvres une à une.

Son choix fut vite fait, elle donnerait à l'organisatrice son résultat dès que celle-ci sortirait de la horde émoustillée.
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Fichtre, c’est que la pour le coup la brune ne regrettait pas d’être venue admirer le spectacle, et de plus elle devait juger .
Alors parchemin et plume en main, elle s’avança d’un peu plus près, histoire de regarder les détails sous les contractions de muscles que les hommes s’amusaient a faire
Pas trop près non plus pour éviter toutes tentations de toucher la fermeté de ceux-ci ou les réprimandes de sa sœur qui veillait à que tout ce passe bien
Le choix allait être difficile, c’est que piouuuu !!!Ils ont tous de magnifique postérieur là tout en muscle
La brune s’aéra un peu le visage avec son parchemin, avant de reprendre ses annotations
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En regardant les jolis morceaux défiler devant leur public elle pensait à une chose qui la fit sourire . C'serait une bonne réclame ça pour attirer la Donzelle ou la Damoiselle dans les bras du Lycan"tour" .
Elle faillit rire même en y pensant puis devint sérieuse . ça devait pas être facile de se mettre ainsi à la vue de tous mais fallait dire que dans l'exercice, ceux qui étaient passés l'faisait à merveille.

Kachi avait dit pas toucher alors pour pas tenter l'copain d'Aristote, elle s'était mise un peu en recul. Ben oui, elle, elle aimait caresser du plat de la main, griffer ou mordre... mais chut ....
Alors résolument, comme une grande elle avait opté pour la solution de repli : LOIN .

Ses azurs par contre en perdaient pas une miette .... franchement, ça conservait de se balader dans les forêts la nuit ! fallait bien l'avouer, ils avaient de très jolies fesses ! ça l'arrangeait bien, elle votait pas la petiote !

Alors du coup elle se leva et comme un garçon manqué qu'elle était des fois, elle mit deux doigts dans sa bouche et siffla de toutes ses forces chaque participant, histoire de mettre un peu d'ambiance.
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Morbleu, mille corne de boucs et autres grivoiseries. Elle le savait . Jamais elle n'aurait du accepter qu'il défile.
Et son regard ne quitte pas la parade du Loup, elle retient son souffle quand il retire sa chemise.
Pas que ce soit la première fois qu'elle assiste à ça , non. Mais là, elle croise dans l'assemblée quelques regards émoustillés qui lui font froid dans le dos.

Ses prunelles claires reviennent sur lui, et elle reste là, bouche bêe , alors qu'il se dénude sans vergogne.

- Humpf !!!!!!!!!!! Jor...........

Et son regard devient orage quand il les fixe à tour de rôle, provoquant , les défiant.

Elle marmonne, un : Tu me paieras ça, Joran de nulle part !

Mais très vite, ses pensées l'entrainent vers l'ancien libertin, celui qu'elle a connu à leurs débuts et sa moue se fait gourmande.
Des images défilent dans sa tête, qu'elle repousse en s'éventant avec le parchemin qui a servi aux inscriptions.
Ses dents viennent mordiller sa lèvre inférieure, alors que son ventre se noue en songeant à une plume, mais chut !!!

Mouaaaaaaaaaaaaaa, qu'il est beau !!!!!!

Et le loup qui s'est fait félin, déjà, rejoint ses adversaires . Pour un peu, elle en redemanderait encore.
La brune lui adresse un sourire complice et tendre et revient sur la suite du spectacle.
Elle savoure les chairs offertes aux regards, les mimiques et les postures que prennent les hommes .
Elle retient un rire quand elle entend Boks proposer ses services et Bara inviter carrément les filles dans sa chambre.

D'un simple signe de tête, elle fait non à Lubna, et sourit quand elle voit Pochtron lui indiquer de la main le seau d'eau froide.

Bientôt, il faudra voter. Mais d'abord , laisser le temps à ces dames d'apprécier.


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Mouarf !!!!!!!!!!!

Ses yeux allaient de l'un à l'autre des candidats alors qu'elle s'était avancée pour ne pas perdre une miette du spectacle. Elle qui le matin même avait vérifié les fers de l'étalon qui ne la quittait pas, prévoyant déjà de reprendre la route, oubliait ses rêves d'autres villes.

Caressant machinalement la pépite d'or qui ne la quittait jamais, celle là même qu'elle avait volée un matin à la mine, elle avait sur les lèvres un sourire moqueur alors qu'elle les regardait défiler. Ces hommes là avaient du cran.

Ses iris sombres suivaient la parade , mais elle restait silencieuse. Ses doigts glissèrent jusqu ' à sa poche, rencontrèrent le pli reçu au réveil. Elle ne cèderait pas au chantage, elle ne reviendrait pas sur ses pas. D'un geste agacé, elle chiffonna la lettre et la lança sous l'estrade. Cette ville lui plaisait. Ils savaient rire ici. Elle y resterait le temps qu'il faudrait et elle profiterait de tout.

Elle, si farouche et solitaire, si sombre se surprit soudain à rire et applaudir à tout rompre .
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La liberté est le luxe ultime !

Boks attendit d'entendre son nom avant de retirer ses vêtements et de s'élancer, jugeant du regard ses compagnons ... quelle équipe ils formaient quand même ... nulle femme ne pouvait résister à leurs charmes ... mais le petit Boks voyait que sa belle ne le lâchait pas des yeux, il lui fit un petit clin d'oeil, savourant la complicité qu'ils partageaient...

Puis il s'arrêta à mi chemin, contractant chaque muscle de son corps, ses fesses n'étaient pas son plus bel atout mais il les mettaient en valeur du mieux qu'il pouvait.


Dames de Sarlat et d'ailleurs, les plus beaux mâles sont à votre service ...


Puis jetant un oeil à sa belle


Enfin pas tous hein!

Pourquoi attendre ? La brise est légère, les femmes ont le regard qui roule déjà, les messires comparent les mensurations, d’autres dans la foule les raillent poltrons
qu'ils sont de ne pas avoir osé. Le loup lui monte les marches tout en retirant sa chemise, la faisant passer par dessus ses épaules. Pas de bandages ce matin
la cicatrice encore fraiche à son flanc ne gâche en rien la chute de ses riens. Il laisse ses chausses sur le bord et sa chemise dessus. Puis salut le jury de son regard d'acier.

Bonjour à vous Dames de Sarlat et d'ailleurs !
Kachi vous a dit de garder vos mains loin de ma peau, elle n'a rien dit sur vos yeux...

Et de s'avancer de face, jusqu'à être proche d'elles, tirant sur le cordon de ses braies, dévoilant toute sa nudité lentement de les quittant pas des yeux, chacune à leur tour,
son regard lançant des "pour toi". Lentement se baisser pour récupérer ses braies en faisant jouer ses muscles avant de cacher son entrejambe du tissus et de se retourner vers le public
pour laisser au jury le temps de juger, d'apprécier aussi. Enfin rejoindre les deux autres candidats pour leur serrer la matin.
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[ Et elle a pas besoin d'régime la Brindille ! ]

Bon, sur que la petiote ne va pas découvrir grand chose car en terme de fessiers mâles ... et femelles d'ailleurs, elle en connait un rayon.
Ce qui l'amuse en fait, c'est de voir la façon dont les mâles se comportent devant l'attroupement de femelles . ça lui rappelle la basse cour de ses parents .... petit pincement au coeur qu'elle balaie immédiatement par une grande expiration afin de calmer la vague d'angoisses qui commence à s'éprendre d'elle.
Revenons à nos moutons ... pas question de brouter, nullement mais de zieuter tout cela: les rapports humains, elle aime cela la petite blonde.
Elle se juche sur un muret de la halle, ses jambes ne touchant plus le sol, les mains posées à plat sur la pierre froide prête à lancer tout de même quelques petits mots d'encouragement . Mais en ont ils réellement besoin les coqs ?
Un petit sourire apparait sur son visage lorsque Kachi demande la parole : que le spectacle commence !
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Lubna : bien sur que tu peux en être. Mais à condition de ranger ton fouet et de ne pas entrainer le Loup dans ta fameuse grange aux poutres et aux chaines.


je le range mais je garde mon épée et ma fiole!

inséparable... le fouet ranger dans la doublure de sa cape...l'air de rien....
et d'attendre sagement que les hommes défilent en espérant que son époux pourra montrer qui est le plus...."censured"...


Vague souvenir de sa jeunesse... vague souvenir ou.....

si loin mais si bon
et de s'assoir sur un tronc égarer fiole à la main
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Elle était revenu plus tôt que prévu, sa tente fut monté non loin de celle de Kahhlan comme à son habitude.
Aucune idée de combien de temps, elle resterait sur Sarlat et cela l’importait peu.
La Brune laissa sa jument au campement et prit la direction de la place du village, un concours devait si dérouler.
Elle avait troqué sa houppelande pour des braies bien plus pratique pour chevaucher sur les routes...

La curiosité la pousse à si rendre, les badauds remplissaient la place.
D’un coté un regroupement de femme, surement le jury et de l’autre un groupe d’homme.
Dragones sourit en voyant qu’un était déjà prêt à faire son défiler mais la responsable le remit bien vite à sa place.
La Brune s’installe adossé contre un arbre, observatrice, sa rapière reposait sur sa hanche, une main posée négligemment dessus.
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Rah fichtre! l'autre là l'a faite démasquer. Elle qui préfère regarder, caresser du regard tranquillement. Alors demander son avis sur le postérieur d'un mâle alors que l'on connaissait la petiote pour le faible porté sur la gente masculine ... oui bon ben pas que masculine mais tout de même .

Elle avança vers Kachi et Thea, mains jointes dans le dos, l'air tout à fait innocente , une légère moue sur les lèvres.


B'jour vous .... Thea m'a dit de v'nir ici alors je viens faire un tour . Mais j'tiens pas à faire partie du Juré en fait . J'regarde sans toucher, je jure !
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Boks venait d'arriver, il salua d'un signe de tête les quelques personnes qu'il ne connaissait pas avant d'aller embrasser sa blonde

yop ma belle, j'viens m'inscrire aussi, et comme ça, avec un peu de chance, on pourra s'éclipser tous les deux ...

Il lui fit un clin d'oeil puis se tourna et sourit à Kach et Joran

Mes loups préférés!!! J'suis heureux de vous voir ici, sous ce beau soleil qui revient ...

Kach, je te préviens que si tu votes pour Joran, je lui écris une nouvelle lettre!!

Il se mit à rire et prit Hyl dans ses bras ... histoire d'acheter un peu le jury

A force de passer et repasser devant la place ,la brune se décida enfin a s’approcher de l’estrade .
Un petit sourire aux lèvres en regardant une par une les braies moulantes des hommes
Pour sûr y avait de la qualité là ,même si le plus beau postérieur à son gout de royaume n’était pas la et puis la brune était un peu jalouse et voulait le garder que pour elle

La brune s’avança vers sa sœur

-Kachi ,je me suis enfin décider à venir admirer avec mon œil d’experte en fessiers
-Avoue que tu savais que je résisterais pas longtemps
-Je peux faire partie du jury ?
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Passant par le stand que Kachina lui avait indiqué, Renlie croisa Joran.

Bonjour Joran. J'espère que vous vous portez mieux? Je viens aussi m'inscrire, votre dame a tellement insisté...
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revenant d'un voyage expresse en la Capitale lubna vit une estrade sur la place du village

Wahouh un concours de Fessier

Ah Sandreen était là...Pat aussi!

Bien le Bonjour à tous
Dame Kachina
Puis je faire partie du jury s'il n'est pas trop tard?

et de se demander si son époux pourrait lui aussi venir concourir...Oui car pour avoir un beau fessier il l'avait!
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La brune sauta prestement de la charette.............Misère ces Lycans, ils n'en faisaient toujours qu'à leur tête.
Voilà que déjà Vidar voulait défiler, rhoooo.

Sa main se posa sur l'épaule du Lycan, et son regard se fit sombre alors qu'elle lui filait une tape amicale.

- Tsss, pas si vite Vidar ! On ne défile pas sans mon accord. Qui commande ici ?

Et poings sur les hanches, elle toisa l'imprudent, sourire amusé aux lèvres.

- On attend demain les dernières inscriptions. Et puis je nomme le jury, et hop, on commence le défilé.
Mais morbleu, un peu de tenue, on n'est pas des bandits corne de bouc !
C'est moi qui donne le signal nan mais oh ! C'est quoi c'foutoir ?

Et regardant les nouveaux inscrits, elle se dit que la partie allait être serrée.
Pleuven Bibo, Baratheon venait d'entrer en lice.
Elle les regarda, et pointa le doigt dans leur direction.

- Vous, vous restez tranquille, vous bougez pas d'un pouce, et vous montrez rien.
Tssss, la discipline Lycans......
et toi Pleuven, merci , au moins un gars du coin...


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Agitation, gloussements, rires.

Attiré par l'émulsion de la place centrale il s'avança pour écouter et reconnu quelques visages aux traits des plus agréables.
Deux mecs inscrits, deux lycans. Diable, il était temps de se mesure d'homme à homme à ses collègues, dans un combat des plus fratricides: le déballage du céan en place publique.

Il leva la main et parla de manière à être entendu:

Bibo au rapport Kachi, prêt à déballer (presque) tout le matériel !

Il s'avança vers l'estrade et prépara son entrée en scène.

Diu Vivant ! (bon sang)vla que les flamboyantes rappliquaient dare dare

Dame Kachina !
Je m'insurge ! je les connais ces deux là !

pointant du doigt sa Pattouille préférée, hum y avait il d'autres Pattouille ?
non impossible pas deux comme elle quoique la Mari, n'était pas mal non plus dans le genre

Oui Oui ! Voyez elles veulent tater en plus ! et vont pas s'en tenir à l'arrière du décor ... si vous voyez ce que je veux dire

Essayant de dissimuler un sourire amusé, derrière une mine outrée

Vous vous rendez compte ? en place publique ?
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Les gourmandes rappliquaient dare dare, et la brune jetait des regards impatients aux alentours.

- Sandreen, je note, tu feras partie du jury.

Mais pas l'ombre d'un homme aux alentours. A croire qu'ils avaient peur, ou alors qu'ils attendaient qu'un se dévoue pour oser se jeter dans la geule du loup, enfin de la louve.........

- Corne de bouc, où sont les hommes ? Ne jamais décevoir des dames.......

Songeant à ses Lycans, qui devaient encore être à courir la gueuse ou à aimer leurs belles, elle laissa dans sa tête défiler quelques derrières qu'elle avait déjà vu juchés sur les canassons, les nuits de chevauchées sauvages sur les sentiers du royaume. Marmonnant entre ses dents, morbleu, ils vont rappliquer, ou pas ?, elle avisa une femme aux charmes avantageux, à la coiffe blanche et un sourire fendit ses lèvres pleines.

- Dame ? vous en êtes ? ça vous interresse de faire partie du jury ? Connaitriez pas par hasard, un homme. Qui oserait monter sur l'estrade ?

Et la louve remarqua alors une mince et blonde jeune fille, assise sur un muret. Silencieuse, elle ne perdait pas une miette de la scène qui se déroulait sous ses yeux.

- Et vous damoiselle ? Envie de vous encanailler ?

Mais l'idée avait enflammé l'esprit des donzelles du village. Et la place commençait à se remplir de femmes. Pourvu que ça attire les mâles....

La plume crissa sur le velin , alors qu'elle rajoutait le nom de Pattricia, rencontrée en coup de vent en taverne, et la lycane, lui répondit d'un air moqueur :

- Hum, Non............on regarde, on touche pas....Nan mais oh !! On n'est pas chez les brigands ici , hein ?
Un peu de tenue que diable !!!
Quoique des jolies fesses masculines, et fermes en plus...............Hummmmm !!!

Et son rire éclata dans l'air frais de mars.
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Les indics avaient rempli leur fonction à merveille, connaissant le gout de la môme pour les postérieurs masculins, et le reste si affinité, ils avaient tous rappliqué plus ou moins en même temps pour lui annoncer la nouvelle. Kachina lançait un concours de fessiers, et masculins les fessiers pardi ! Après les avoir généreusement payés pour qu'ils n'aillent surtout pas cafter à Souffredoul, c'est que voir le postérieur de son ancienne estafette l’emballait pas plus que cela en fait, la vindicative se précipite vers la place où on lui a dit que se trouvait l'estrade en question.

Avisant la jeune femme haranguant la foule "en délire...", Patt se précipite et s'arrête juste devant, essoufflée et faisant des grands signes.

Mouahhhh ! J'veux être jury s'il vous plait !

Une fois sa reprise de souffle terminée, elle pose son postérieur sur l'estrade et, le regard un peu trop brillant...

On pourra tâter pour apprécier de la fermeté des fesses, ou on aura juste droit d'imaginer ?

L'esprit de la Sarladaise commence déjà à vagabonder dangereusement...
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Un défilé de mâles, voilà qui n'était pas pour déplaire à la Farouche. Elle était arrivée la veille, et après avoir fait le tour des auberges du coin, elle se résignait à reprendre la route.
Depuis quelques temps lui venaient des envies de se poser, de voir simplement pousser les blés. Mais elle savait bien , que vite, elle rêverait à nouveau des chemins.
La ribaude ne voulait plus aucune chaine.
Elle errait comme une âme en peine, solitaire au milieu des passants affairés, qui ne la regardaient pas. Etrangère, avec au fond de la poche, un laisser passer temporaire.
Qui sait, si une de ses villes par ici ne deviendrait pas sa ville. Mais pour l'instant, il lui fallait sentir l'ambiance.

Elle en était là de ses réflexions , avec aux lèvres cette moue boudeuse qui la rendait selon Canalim, irrésistible, lorsqu'elle vit une jeune femme brune proposer un concours de fesses. Sa moue se fit sceptique quand elle ne vit autour de la scandaleuse, que des femmes.

- Foutre Dieu ! Les hommes n'ont pas l'air couillus par ici !

Mais curieuse, et puis , après tout, elle n'avait rien d'autre à faire ici, la jeune fille posa ses fesses sur un muret, attendant la suite des événements, regard sombre balayant la place.
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La liberté est le luxe ultime !

La Kach l’avait fait mander, et déjà que la brune avait ses humeurs depuis qu’une armée avait décidé de faire ses entrainement sur les passants , et qu’en blessant le Loup, ils les avaient tous les deux assignés à résidence à Sarlat, fallait pas en rajouter.

Pas que le coin n’était pas plaisant, mais ils étaient fils et filles du vent , ils aimaient chevaucher, parcourir le royaume.

Et puis, c'était connu, la Kach n’aimait pas attendre.

- Pochtron, rapplique, il me faut une estrade avant ce soir. Au boulot, maraud !

Alors, tirant sur les rênes de Cadichon , l’âne, menant la carriole tant bien que mal, il arrivait , transportant des lattes et des planches, des poutres et des rouleaux de corde.

- Salut ma Belle ! Alors, on a besoin de son vieil ami ? Je suis là ! Comment va le chef des Lycans ?

- Il va Pochtron, il est debout. Il a déjà des projets plein la tête. Mais arrête de causer et bosse un peu, morbleu !

- Oui, bon, je m’y mets ! ça va didiou !

Et tout en maugréant, l’homme s’était attelé à assembler les planches et les poutres, en en peu de temps, la place centrale de la ville se vit affublée d’une magnifique estrade.

La bourse d’écus changea de mains, et la louve se pencha, claquant un baiser sur la joue mal rasée du maraud.

- Merci !

L’estrade était montée.
Ne manquait plus que des hommes pour défiler, fesses à l’air.
Qui oserait ?
Est ce qu’ici , on aimait autant rire qu’à Saint Bertrand ?
La suite le dirait…….

La Rouquine sourit au dire de Patt, surtout quand elle s'adressa a Sandreen, puis soudain des cries retentis devant l'estrade, ils était pour le premier mâle qui défilait.
Mari regarda sans en perdre une miette et sans même se laisser distraire par qui conque. Un deuxième monta sur l'estrade, puis vint un troisième et enfin un sarladais. boudiou y'avait de la marchandise. mari s'exprimat avec quelques cries.

- Waouhhh belle marchandises les hommes waouhhh !!!! On ne peut toujours pas toucher ? quelle dommage.

Mari rit, puis écarquilla les yeux s’avancent un peut plus pour ne pas en perdre une miette.
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Elle avait bien répété son numéro, s'était même entraînée un moment, prenant les passants pour juges, et constatant avec une joie immense que ça marchait...
L'heure était venue de montrer ce dont elle était capable.

Canne à la main, tapotant devant elle, elle avançait, le nez en l'air, les yeux écarquillés, l'autre main tendue en avant, faisant de larges gestes devant elle.
Surtout ne pas rire, sourtout surtout !!
Une large cape sur le dos, la capuche recouvrant presque tout son visage, elle s'approcha, le moins discrètement possible, convaincue de rester anonyme.

Pardon ! Paaardon... pardon... oooh pardon !... excusez-moi... paaaaaardoooon...

Sans aucune vergogne elle écrasait tout ce qui traînait par terre, même les pieds qui ne s'écartaient pas assez vite. Quelques chaises furent bousculées au passage.

Excusez-moi m'sieurs-dames, c'est bien ici le concours des plus beaux fessiers ?
On m'a dit qu'il ne fallait pas le louper !

Puis s'avançant vers le podium, elle resta un instant à tapoter devant elle avec sa canne. Whouuuuaahhhh boudiouuuu !! Pour la première fois de sa petite vie elle avait l'occasion de voir des fessiers d'hommes, et quels fessiers !!! Ah la vache ! Bon sang !! que c'était beau ça !

Pardon, c'est bien ici ?

Maintenant le clou du spectacle... d'une voix aussi geignarde que possible elle pleurnicha presque.

Voyez-vous gentes dames, et gentils seigneurs, me voici bien embarrassée !! comment puis-je juger de formes que je ne puis hélas voir ? Il me faut toucher pour juger !

Courageusement elle avança la main, tout-à-fait persuadée que tout le monde laisserait faire cette pauvre aveugle !
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Arf... la louve voyait toujours tout et la couverture d'Oranne n'avait pas tenu... mais il faut croire qu'elle seule savait, et d'un regard complice lui avait accordé le privilège !

Mais comment faire... caresser un beau fessier comme ça sans risquer de toucher celui du loup ? mmmmh... autant éviter de prendre le moindre risque hein.
Déçue elle fut, pour le coup.
Tant pis, la vue fut agréable, c'était déjà ça. Elle saura à quoi s'attendre le jour où... 'fin bref.

Demi-tour chancelant, la canne en avant, la main battant l'air, la voix à nouveau geignarde, la capuche rabattue sur le visage.

Ohhhh... mon dos me fait trop souffrir, je ne pourrai...

En passant, un petit regard à Kachi, un clin d'oeil discret...

pardon... pardon ! pardon... excusez-moi...

La pauvre femme aveugle prit une place un peu en retrait, et assista à la fin du spectacle, les yeux grand ouverts pour ne pas en perdre une miette.
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