Stephen.
Rp ouvert, toujours, toujours.
Il avait envie de changer d'air, il s'est donc barré de sa ville, il a reçu un premier courrier disant que tous les étrangers doivent se barrer, puis il s'est barré de la Champagne, ensuite il a rejoint la Bourgogne, pour une fois, personne l'enquiquinait, c'était tant mieux, et il a continué vers le Berry, il a reçu un second courrier du Berry disant que les étrangers sont les bienvenus, sauf ceux qui viennent de son Duché, il s'est retenu d'écrire qu'il était parisien, il a voulu continuer son périple, il s'est retrouvé face à un pépin, que sa voix intérieure lui a rappelé à son réveil.
- Vous avez été racketté par Aligot, Chantilly, Miam et Bart Smith and Wesson
- Tu es sûre que je peux utiliser ces noms pour aller les dénoncer ?
- C'est vous qui voyez.
Il s'est demandé pourquoi sa voix intérieure le vouvoie toujours, il a continué péniblement son chemin vers Bourges, en espérant recevoir de l'aide, face à l'entrée de la ville, il s'est retrouvé face à deux loustics en armure pas bien marrants, qui triaient les entrées et les sorties, il est allé vers eux pour leur demander de l'aide...
Hey, regarde, encore un clodo.
Tsss, et ça pense pouvoir entrer dans notre belle ville comme ça.
Allez hop, en prison.
Il s'est donc retrouvé en prison pour vagabondage, il a faim et très mal à la tête, il reçoit un troisième courrier émanant de la même personne, il sent que si ça continue ça va très mal finir pour lui, du coup il réclame du papier et de l'encre, on lui dit que les papiers c'est pour les riches et pas pour les pouilleux de son genre, il réclame un truc, n'importe quoi, sur lequel on puisse écrire, et il répond* à cette dame Ysabeau.
Bref, il est en prison.
*Contenu du courrier en question :
Il avait envie de changer d'air, il s'est donc barré de sa ville, il a reçu un premier courrier disant que tous les étrangers doivent se barrer, puis il s'est barré de la Champagne, ensuite il a rejoint la Bourgogne, pour une fois, personne l'enquiquinait, c'était tant mieux, et il a continué vers le Berry, il a reçu un second courrier du Berry disant que les étrangers sont les bienvenus, sauf ceux qui viennent de son Duché, il s'est retenu d'écrire qu'il était parisien, il a voulu continuer son périple, il s'est retrouvé face à un pépin, que sa voix intérieure lui a rappelé à son réveil.
- Vous avez été racketté par Aligot, Chantilly, Miam et Bart Smith and Wesson
- Tu es sûre que je peux utiliser ces noms pour aller les dénoncer ?
- C'est vous qui voyez.
Il s'est demandé pourquoi sa voix intérieure le vouvoie toujours, il a continué péniblement son chemin vers Bourges, en espérant recevoir de l'aide, face à l'entrée de la ville, il s'est retrouvé face à deux loustics en armure pas bien marrants, qui triaient les entrées et les sorties, il est allé vers eux pour leur demander de l'aide...
Hey, regarde, encore un clodo.
Tsss, et ça pense pouvoir entrer dans notre belle ville comme ça.
Allez hop, en prison.
Il s'est donc retrouvé en prison pour vagabondage, il a faim et très mal à la tête, il reçoit un troisième courrier émanant de la même personne, il sent que si ça continue ça va très mal finir pour lui, du coup il réclame du papier et de l'encre, on lui dit que les papiers c'est pour les riches et pas pour les pouilleux de son genre, il réclame un truc, n'importe quoi, sur lequel on puisse écrire, et il répond* à cette dame Ysabeau.
Bref, il est en prison.
*Contenu du courrier en question :
Citation:
Le bon jour,
Je ne comptais pas m'éterniser dans le Berry, et je ne comptais pas embêter les hautes instances, n'étant qu'un pauvre hère de passage. Du moins je le pensais.
Je suis honoré que l'humble personne que je suis attire votre regard et retienne toute votre attention.
Hélas, c'est d'une main tremblante que je vous écris, ayant été agressé le temps de quitter Sancerres pour Bourges. Je comprends pourquoi vous refusez que les Bourguignons viennent dans votre Duché, ses routes sont bien trop mal fréquentées.
Je suis ravi de constater que vous pensez à notre bien-être. Je tiens toutefois à vous signaler que je suis Parisien, Joinville n'est que ma résidence secondaire.
Je me suis donc fait racketter par un groupe de quatre personnes, trois hommes et une femme, et, ayant tenté de joindre la ville la plus proche pour trouver de l'aide, vos gardes m'ont envoyé en prison.
Je ne comprends point comment vous faire passer ma "mémoire" et mes "visions". Je peux toutefois tenter de vous décrire le plus fidèlement possible les personnes croisées et mes agresseurs.
Pour cela, il faudra me rendre visite dans l'un des cachots de Bourges, où, sans aucun denier en poche, affamé et plutôt mal en point, je crains de devoir rester un petit moment.
Dans l'attente d'une réponse,
Stephen.
Le bon jour,
Je ne comptais pas m'éterniser dans le Berry, et je ne comptais pas embêter les hautes instances, n'étant qu'un pauvre hère de passage. Du moins je le pensais.
Je suis honoré que l'humble personne que je suis attire votre regard et retienne toute votre attention.
Hélas, c'est d'une main tremblante que je vous écris, ayant été agressé le temps de quitter Sancerres pour Bourges. Je comprends pourquoi vous refusez que les Bourguignons viennent dans votre Duché, ses routes sont bien trop mal fréquentées.
Je suis ravi de constater que vous pensez à notre bien-être. Je tiens toutefois à vous signaler que je suis Parisien, Joinville n'est que ma résidence secondaire.
Je me suis donc fait racketter par un groupe de quatre personnes, trois hommes et une femme, et, ayant tenté de joindre la ville la plus proche pour trouver de l'aide, vos gardes m'ont envoyé en prison.
Je ne comprends point comment vous faire passer ma "mémoire" et mes "visions". Je peux toutefois tenter de vous décrire le plus fidèlement possible les personnes croisées et mes agresseurs.
Pour cela, il faudra me rendre visite dans l'un des cachots de Bourges, où, sans aucun denier en poche, affamé et plutôt mal en point, je crains de devoir rester un petit moment.
Dans l'attente d'une réponse,
Stephen.
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