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RP ] La semaine Histoire !

Trilo
Elle avait voulu qu'il vienne alors il est venu. Et comme il avait entendu une petite bêtise, il voulait rectifier.

Hum hum, vicomtesse vous vous êtes trompée sur un point.

Si en droit français c'est plus logique que cela soit le frère, en droit breton c'est la nièce qui était là plus légitime. Car comme en Angleterre, s'il n'y a pas de descendant mâle direct, une fille peut hériter. Ce qui fut le cas.

A noter que c'est cette différence qui a provoqué la guerre de 100ans. Les angloys revendiquant le trône de France au travers d'une femelle. Les Francoys ne reconnaissant pas le droit des femmes dans les héritages.

Pour la petite anecdote, dans leur contradiction, la France a soutenu la nièce Jeanne de Penthièvre et l'Angleterre le frêre Jean de Monfort. Ce qui était à l'opposé de leur querelle concernant le trône de France.

Excusez moi de cette petite rectification, je vous laisse continuer.

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Annaell
Annaell entendit son capitaine préféré venir faire la leçon à la liseuse de belles histoires... Ha mais non, mais non, pas au milieu d'une histoire, quand même !! Sacrilège !!

Elle lui souffle :


"Kermeur, vous êtes un ignare ! On n'interromps pas les histoires !! On se tait et on les écoute."

Et de lui intimer de la tête l'ordre de s'assoir à côté d'elle. Interrompre une lecture, non mais quelle idée ! Béotien.

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Preciodekerroch
La brune n'avait rien osé dire. Mais voila qu'un homme disait tout haut ce que la breto-angloyse savait forcément. Et pour cause, c'est bien pour cette raison qu'elle a atterrit un beau jour à Kastell dans des conditions catastrophiques !

Une légère déglutition, et de resserrer les pans de sa cape autour d'elle. Elle ne peut s'empêcher de repenser à la peur qu'Aigloun lui a faite l'avant-veille en l'accostant avec son accent angloys finalement pas si mal imité que cela. La menotte joue quelque peu trop ardemment avec le sautoir qu'elle porte autour du cou. Celui la même qui renferme précieusement portrait de son défunt royal paternel. Même Lanceor qui sait pourtant de quelle lignée est issue son espouse, n'a jamais eu la primeur de pouvoir jeter un oeil sur ce bijou. Et à trop tirer dessus, malencontreusement la chaine se rompt et la vicomtesse se retrouve avec le médaillon au creux de la paume. Instinctivement, elle referme la main dessus et écoute d'un air aussi impassible qu'elle le peut, encore sous les dires du marin qui a éveillé en elle cuisant souvenir.

Du coin de l'oeil, elle regarde de temps en temps si Maëllia arrive. Elle lui a parlé du lieu où se déroulait l'histoire. Elle la laisse décider si elle souhaite venir ou pas. Elle sait bien que son époux entretient la haine familiale envers les angloys malgré tout, et ironie du sort, c'est la bâtarde d'un feu roy anglois et d'une gueuse bretonne, qu'il a épousé. Et même si son père l'a reconnue sur le tard, ce qui a valu à la Plantagenêt de se retrouver en fuite et de débarquer à Saint-Pol, elle reste sur ses gardes, ayant été par deux reprises en Armagnac, approché par des personnes ayant connu son paternel. Il faudrait bien un jour ou l'autre que Precio parle de ses origines qu'elle cache précautionneusement, à sa fille.

Il ne pouvait pas se taire ce marin !!

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Trilo
Et le Trilo qui grommelle dans sa moustache qu'il n'a jamais réussi à avoir.

Désolé mais j'aime bien préciser les choses. Nous avons une spécificité bretonne et j'aime bien la rappeler. Je me suis pris la tête avec la noblesse il y a peu à ce sujet par ce qu'ils ne comprenaient rien, ils ont toujours rien compris mais je me permet d'espérer que les bretons puissent comprendre eux... Ils sont pas bêtes eux...


Mais bon il s'assied à côté de sa douce car elle n'est pas si douce que cela quand elle fait des remontrances.
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Missanges
Je relève la tête une nouvelle fois et évidemment il est là, surgi de nulle part prenant l’histoire en route n’écoutant qu’à demi..Mais il est ainsi faut toujours qu’il se la ramène…C’est ainsi qu’on l’aime bien..

Demat votre grâce si vous aviez suivit, j’ai dis on pense que le successeur logique est plutôt le frère que la nièce il y a toute une subtilité dans certains mots lorsqu’on prend la peine de les écouter et attendre la suite de l’histoire, mais je vous remercie des précisions que je voulais apporter à la suite d’histoire…

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Annaell
Annaell s'amuse de la réplique de Missanges et chuchote à Trilo qui vient de s'assoir près d'elle :

"Et pour votre punition, mon ami, vous allez devoir ouvrir vos oreilles et écouter bien sagement ce que la dame a à nous conter... Il serait plus poli de lui faire part de vos remarques après qu'elle ait terminé."

Petit sourire enjôleur... elle sait qu'il connaît très bien toute l'histoire, mais quand même, c'est tellement chouette quand un habile orateur en fait la narration... Sourire complice à Missanges pour l'encourager à continuer, tandis que sa main attrappe celle de Trilo pour la menotter à la sienne. Non mais.
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Trilo
Il allait répondre à Missanges qu'il n'était point duc. Mais devant le regard de toutes ces femelles qui lui lançaient des poignards, il préféra, battre en retraite. La discussion était plus facile avec une horde de francoys qu'avec elles.

Il s'asseyait en grommelant un peu et chuchotte à Annaell:


Toute façon ils meurent tous à la fin, nha...
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Annaell
Annaell étouffe un rire devant la mauvaise foi éhontée du corsaire...

"Mais on le sait déjà, qu'ils meurent tous... ça date de plus d'un siècle... peu de chances qu'ils soient encore en vie !"


La jeune femme jeta un regard d'excuse - bien qu'ayant très envie de rire - à l'ensemble des auditeurs... la pauvre Missanges attendait pour continuer ! Et elle voulait la suite de l'histoire.
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Pelotine.
Et un coup de pelle sur la tête du marin salé.

Chut !
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Trilo
Aie.

Quand il disait que l'on pouvait rien faire lorsque des femelles se mettaient d'accord pour martyriser un pauvre homme.

Il se glissa dans le fond de sa chaise, baissa son tricorne devant les yeux, croisa les bras, pris une moue boudeuse et ne dit plus rien.

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Missanges
J’avais essayé d’implanter l’histoire afin que chacun saisisse l’ambiance de la bretagne dans ce temps là sans toutefois entrer dans la guerre de cent ans car ce n’était pas l’histoire voulue. Non l’histoire que je voulais raconter était celle de notre Calendrier Culturel, le combat des trente du 26 mars 1351.
Et finalement ce que j’avais pensé s’avérait vrai ! Toujours un qui sait plus que les autres mais qui ne prend jamais un livre pour venir narrer des histoires. D’ailleurs il n’a pas à me faire ses mémoires sur la guerre des cent jours lui…

Je surpris le sourire de sa compagne dont les gestes étaient moins cachés que lors de leur passage dans Rohan, je lui souris en retour haussant un sourcil voulant dire un numéro votre compagnon…Mes yeux s’arrondirent lorsque je vis la pelle de Pelotine se lever et …Chut !

Mes iris fixèrent un moment ceux de Trilo mordant ma lèvre pour ne pas éclater de rire puis je dis en lui faisant une légère grimace et toc !

Donc je reprends …



Donc voilà , Jean de Beaumanoir partit sur les routes afin de rencontrer Richard Bemborough et lui dire sa façon de penser.

En chemin, il rencontre une troupe de paysans que des soudards anglais conduisaient sous le fouet, les fers aux pieds et aux mains, enchaînés deux par deux comme des bêtes de somme. Ce spectacle dégradant le remplit de fureur et d'indignation. Rouge de colère, il lance alors un défi à l'Anglais.

« Messire Bembro, voilà des agissements qui ne font point honneur à un chevalier d'Angleterre! Je vous propose un combat loyal entre trente hommes d'armes de votre garnison et trente de mes compagnons. Nous nous rencontrerons en la lande de Mi-Voie, dans trois semaines, le 26 mars prochain. »

La mi- voie étant la distance entre Le château de Josselin et Ploërmel.

Le combat des Trente pouvait avoir lieu, l'Histoire était en marche...

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Trilo
Toujours boudant, il marmonne dans sa moustache qu'il n'a toujours pas.
C'est pas la Lande qui est à mi-voie, c'est le chêne... une lande c'est large...


Lèves les yeux au ciel mais préfère ne rien dire et laisser ces mégères dans l'ignorance qu'elles ont mérité.

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Missanges
C'est pas la Lande qui est à mi-voie, c'est le chêne... une lande c'est large...

Toujours le même, et ça continue encore et encore, c'est que le début d'accord, d'accord... C’est que pour déstabiliser la Miss va falloir plus qu’un chêne….Sur le même ton

Allez écrire vos mémoires ou bien je dis à tous le monde que la guerre des cent jours est vide à l’encyclopédie parce que vous êtes un flémard !
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Trilo
Tiens une des mégères en question a l'oreille plus fine que les autres.

Désolé les cents jours j'y étais pas. Par contre, je travaille sur l'actuelle, vous inquiétez pas vous l'aurez ce week-end.
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Missanges
En plus d’un coup de pelle il va prendre un bouquin sur la tête…Et puis bien fait pour moi à faire plusieurs choses à la fois bien voilà, de toute façon même en faisant qu’une chose ces hommes là ce sont des rapaces ils n’attendent que l’erreur …

Donc, des marmonnements qui se voulaient être assez forts pour que tout le monde les entendent, j’entendis ses jérémiades dans sa barbe qu’il n’avait pas !

Effectivement c’est au Chêne de la Mi-Voie, dans les landes de la Croix-Hélléan, que la rencontre va avoir lieu..

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