[RP] *** GRAND BAL MASQUE de Tréguier ***

--Coco_cinelle

Vous danseriez avec moi ?

Oh ouiiiiiiiiiii! Merci!! J'adooooooooore danser, moi!

Je tends ma main vers celle que Giefroi me tend et je l'accompagne jusque sur la piste de danse. Je me déhanche plus que de raison.
Soudain, je vois un invité avec un drôle de costume. Il a un air terrifiant, avec ce bec d'oiseau immense. Quelque chose dans sa démarche me rappelle quelqu'un mais je ne saurais dire, sur le coup. Je tiens fermement la main de mon partenaire, mais mon regard est attiré par le personnage du médecin. Qui peut-il bien être?

Trop de monde, ce soir. Je n'en ai pas vu depuis très longtemps à Tréguier. Ça brouille les pistes! Mon attention se porte à nouveau sur mon cavalier et je parle avec lui tout en piaillant. Je suis sûre de le reconnaître, lui, et je pense que la réciproque est vraie aussi.
Nous gardons notre secret en nous et nous nous amusons en riant.

--Giefroi

Giefroi sourit en faisant tournoyer Coco puis il voit son regard se diriger ailleurs. Il l'amène un peu plus contre lui pour lui murmurer :

Lequel vous intrigue le plus ?

Il continue de danser avec elle afin de ne pas éveiller les soupçons des personnes autour d'eux et en profite pour lui parler discrètement :

Je pense avoir découvert certaines personnes.

Il lui jette un regard rieur et un grand sourire se dessine autour de sa barbe

En ce qui vous concerne, j'hésite entre deux jeunes femmes.

--Devenise

[Devenise, Ondine, Leila, Gladiateur, Pouillu]

Devenise avait réussi son coup, et entendant la louve ainsi railler les hommes à gorge déployée, elle n'en fut que plus entrainée. Elle pris les mains de ses deux compagnes et elles se mirent à danser en ronde, riant aux éclats, tournant et virant au rythme de l'orchestre.

Elle apperçu soudain un splandide gladiateur qui manifestement n'en pouvait plus de voir les femmes s'amuser sans lui. Il s'approcha et engagea la conversation vers Leia qui, et Devenise en fut fière, n'entra pas dans son jeu comme il le souhaitait. Ce à quoi la piquante vénitienne rosée ajouta :

"Beau mâle, cesse de penser à chevaucher chevaux et donzelles, avec flâte nous plutôt de tes pas aguéris !"

Elle l'attira au milieu de la ronde sans lui laisser la moindre chance espérant qu'il jouerait le jeu.

"Nous avons toute la nuit pour danser, chanter, rire et nous ennivrer, les masques tomberont avec l'ivresse, pas les palabres !"

Ce soir, elle se voulait Damoiselle Protectrice de la gente féminine, et entendait bien faire subir mille peines à tout homme s'approchant pour les démasquer. Ce bal verrait triompher la subtilité des femmes face à la fragilité des hommes.
Tout en riant, Devenise s'approcha de Blondine et lui glissa à l'oreille assez discrètement pour que les autres n'entendent pas :
Je ne vois pas votre fils? N'est-il pas l'invité d'honneur de ce bal ?
Elle s'écarta un peu puis lui adressa un regard complice avant d'éclater de rire en dansant de plus belle.

C'est alors que ce qui se voulait être un gueux de premier ordre, avec toute une panoplie incluant les artifices odorants les rejoint et se pencha vers Ondine, décidément très prisée.

--Louenna

Elle et l'Arlequin se séparent. Elle est déçue , elle sait qu'elle n'a pas réussi à le bluffer. Elle avait repéré l'Arlequin depuis un moment déjà, elle était quasiment persuadée qu'il s'agissait d'une autre personne. Puis à le côtoyer de prés : ses yeux rieurs, bleus, le timbre de sa voix, son rire.. ce rire cristallin qui anéantit tout ses espoirs à l'instant où il a retenti. Elle n'avait pas voulu démordre, soutenant qu'elle savait bien qui elle avait en face d'elle mais si ce rire ne l'avait pas remis sur les rails , elle partait dans une mauvaise direction.

Résumons :

elle a découvert qui était le gladiateur. Il faut dire qu'il l'avait bien aidé. Tout le monde laissait trainer ses oreilles dans ce genre de soirée. On s'épie les uns , les autres. Il lui avait donné un indice tout en voulant lui même découvrir l'identité de la danseuse. D'une pierre , deux coups. Toujours est-il qu'elle ne sait encore pas ce que cache la danseuse dans son bas du dos. Elle a l'air de tenir à réajuster son déguisement comme si elle avait peur qu'il dévoile quelque chose. Pure curiosité , elle tenait à savoir.. A surveiller.

L'arlequin, maintenant. Elle avait une petite idée mais rien ne pouvait lui permettre d'en être sûre.. A moins que le troubadour à la flute, ne lui ait fourni un indice. En tous cas, elle avait noté qu'il s'était empressé de détourner l'arlequin du personnage en bleu et blanc (aladin). Le troubadour et l'Arlequin seraient ils de très bons amis ou pourquoi pas , un couple ? S'il s'agissait bien des personnes auxquelles elle pensait, les déguisements correspondaient assez aux personnalités.

Elle se dirige vers la buffet grignoter et boire.

A la réflexion , il lui restait encore pas mal de personnes à démasquer. Elle ne cherchait personne en particulier et tout le monde. Elle regarde autour d'elle.

Trois personnes dansent entre elles au milieu de rires féminins. Elles ont l'air de bien s'amuser, ce n'est certainement pas le moment de les embêter . Puis l'une d'elle vient d'embarquer le gladiateur sur la piste.

Il y a bien le gueux (Pouillu). Aucun idée de qui il est, ni même si c'est un homme ou une femme. Il l'intrigue et l'inquiète au même temps. Peut être est-ce un vrai gueux , après tout pourquoi pas ? Tout le monde est convié et la dame qui réceptionne à l'entrée aurait bien pu croire qu'il était déguisé. Il y avait cependant une odeur assez suspect qui rodait autour. Aurait-il poussé le détail aussi loin ? Si c'est le cas, il s'agit d'une personne assez consciencieuse, qui va au bout des choses. Elle plisse son nez. Ca ne l'engageait guère à l'approcher. Elle pense qu'elle va le garder pour la fin, celui-là.

Le papillon est occupé avec l'homme masqué à la capuche noire. La coccinelle avec celui à la capuche grise. Ils sont bien proches ces deux là ! Ou un drague l'autre ou encore un couple ? Bref, les capuches avec les insectes. Il y a un rapport ou c'est une pure coincidence ? Peu importe, ils ne sont pas disponibles pour le moment.

Non loin d'elle, coté buffet, la dame à la robe bouffante (bauta) .. Elle lui sourit doucement. Serait-elle enceinte ? Ou alors plusieurs la dessous ? Il y a aussi l'homme au casque (portos) . Elle attend qu'il ait faim ou soif. Il faudra bien qu'il enlève son masque ou qu'il l'ouvre un moment donné.

Elle boit son verre de chouchen cul sec et soupire. Ca en fait du monde à visiter ! Est ce qu'elle n'attaquerait pas par l'homme ou la femme d'ailleurs, en blanc et bleu (Aladin) ? Elle prend les pans de sa robe, bien décidée et s'avance vers lui ou elle.

Une personne déguisée en médicaste (vaneck) fait son apparition. Elle se retient de rire. Il faudrait qu'il aille se mettre à coté de l'homme au casque. Plus pratique pour elle. Elle pourrait ainsi guetter le moment où ils s'alimenteront.

[Louenna et aladin]

Elle fait une révérence devant le masque bleu et blanc (aladin) et engage la conversation.

- M'adressais-je à une dame ou un messire ? Un tréglorois ou un voyageur ? Un habitué des tavernes et de notre halle peut-être ?

--Bauta

Les danseurs évoluaient sur la piste, des couples se formaient, tout le monde s'interrogaient, des femmes riaient aux éclats et aguichaient les rares hommes présents...

Tous ces déguisements étaient beaux et recherchés, certains suggestifs, d'autres couvrants, ne laissant rien deviner, ce qui en était encore plus énigmatique et dur à deviner.

Un, était proche du sien, ne laissant rien paraître... Un autre, était lui aussi, bien camouflé, un Aladin, avait-il dit... Un, encapuchonné, avec un masque, tout dans le sombre...
Tous avait rivalisé d'imagination pour leur costume... Le bal au château était une réussite.

Bauta s'interrogeait à savoir où était les maîtres châtelains, puis glissa comme patinant sur une surface glacée...
Tout le monde était fort occupé...
L'attente... peut-être quelqu'un l'aborderait...

--Aladin

Quelques couples sur la piste dansaient, d’autres toujours au buffet dans l’attente ou dans la recherche des différents personnages de ce bal. J’aime à découvrir les costumes, bien qu’originaux, un me rappelle une fête latine, un carnaval, la bauta est aussi bien portée par un homme ou une femme, serions nous trois avec l’arlequin à mêler les indices.

Je regardais l’homme au casque (Portos) et la personne à la cape noire (bauta).

Belle soirée, je me nomme Aladin, autant je peux dire messire devant un casque mais pour vous qui me sembler vêtu d’un costume que l’on nomme bauta, que dois je dire ?

A ce moment Louenna se présenta près de moi et d’une révérence dit :

-M'adressais-je à une dame ou un messire ? Un tréglorois ou un voyageur ? Un habitué des tavernes et de notre halle peut-être ?

Je souris et répondis

Trois questions pour trois souhaits, ma lampe n’en dira pas plus. Vous pouvez dire messire, pour la suite le temps d’une danse.

Je me tournais un instant vers la personne à la bauta en souriant.

Je reviendrais pour ma réponse, si vous voulez bien

Je virevoltais sur la piste avec Louenna, je n’avais pas trop d’indice et il me fallait poser la bonne question.

A mon tour de poser une question. Etes-vous souvent en taverne le soir ?

--Boeme

Cela ne faisait aucun doute, il l'avait reconnu, l'éclat brillant de ses deux émeraudes croisaient celui de l'arlequine qui avait deux magnifiques saphirs qui scintillaient à travers son masque, des yeux qu'il aurait reconnu d'entre mille... Il l'entraina dans une danse où il était le maître de ses pas, un bref instant, il se demanda comment il avait appris à danser, mais sa mémoire, lui faisait encore et toujours défaut ce qui le frustrait parfois ... Cependant le moment qu'il partageait, vallait bien plus que ce qu'il aurait pu imaginer... Ils dansèrent comme si ils étaient seuls au mondes, dansèrent comme si la musique ne prendrait jamais fin, instant magique et intemporel, leurs pas se suivaient naturellement, leur regard ne se quittaient plus. Ils profitaient... et c'était beau.

--Louenna

[Louenna et Aladin ]

- M'adressais-je à une dame ou un messire ? Un tréglorois ou un voyageur ? Un habitué des tavernes et de notre halle peut-être ?

Il lui sourit.

- Trois questions pour trois souhaits, ma lampe n’en dira pas plus. Vous pouvez dire messire, pour la suite le temps d’une danse.

Puis il se tourna vers la dame à la large robe , terminer sa conversation. Les aurait-elle interrompu ? Elle n'a pas le temps de s'en excuser qu'il l'entraina sur la piste. Et bien repartons pour une danse ! Ce qui ne faut pas faire pour avoir de petites indiscrétions. Néanmoins, le messire semble vouloir faire durer le plaisir ou du moins, si son impression est bonne, ce sera donnant, donnant.

- A mon tour de poser une question. Etes-vous souvent en taverne le soir ?

Elle se laisse aller aux pas de la danse et lui répond calmement et en souriant.

- oui et non. Il y a des périodes où je le suis, d'autres moins. Elle soulève un sourcil en souriant un peu plus . J'enchaine sur mon deuxième souhait ? Elle marqua une légèrement pause, le temps pour elle de changer de coté, toujours pour suivre la danse. Tréglorois ou simplement de passage ..ou bien, et cela fait partir du même voeux .. pensez-vous vous y établir ?

L'arlequin et le troubadour (boeme) semblaient se dévorer du regard durant leur danse.

--Coco_cinelle

L'encapuchonné s'approche un peu trop près de moi pour me parler. Je sens son souffle dans ma nuque. J'ai peur qu'il reconnaisse mon odeur. je méloigne un peu de lui.

Lequel vous intrigue le plus ?

Prise de panique, je ne sais quoi dire. Flûte alors! Je ne vais pas me laisser démonter comme ça! Je veux rester anonyme jusqu'au bout de la soirée, moi!
Alors, je le regarde dans les yeux, en espérant déceler le moindre indice. Pour une fois, je prends un air sérieux mais en essayant de ne pas trahir ma voix.

Tous les invités m'intriguent, Sieur Giefroi. Et vous plus que qui d'autre. habitez-vous Tréguier depuis longtemps?

Tout en dansant, je l'entraine vers les autres danseurs. Je veux qu'il pense à autre chose qu'à essayer de le récouvrir. Malheureusement pour moi, il rajoute.

Je pense avoir découvert certaines personnes. En ce qui vous concerne, j'hésite entre deux jeunes femmes.

Deux? hihihi Je reprends mon air léger de la soirée. Et puis, est-ce si important d'être découverte ou pas? Nous sommes tous là pour nous amuser, après tout!

Deux... Z'hésitez entre qui et qui, si je peux me permettre, Sieur Giefroi?

J'attrape une autre main et je nous fais entrer dans la ronde. Je sautille au son de la musique entrainante, tout en le regardant fixement.

--Giefroi

Giefroi est entraîné malgré lui dans la ronde et tente tant bien que mal de suivre le mouvement avec sa longue cape. Lors d'un tour sur lui-même, il laisse apparaitre un peu de sa barbe. Il remet sa capuche rapidement.

J'habite Treguier depuis fort longtemps.

Il continue de danser puis soudain il serre la main de Coco Cinelle pour l'air de rien, savoir si elle porte une alliance ou une bague de fiançailles. Il la regarde et lui fait un grand sourire

Si je vous le disais, ça perdrait de sa magie.

Il la fixe et lui murmure en se penchant vers elle:

Et moi ? Je suis reconnu ?

--Aladin

Aladin était bien décidé à jouer de la lampe en cette soirée. Le tout avec les oreilles du génie pour glaner des informations sans oublier une simple évidence pour lui.
Louenna semblait bien avoir compris le petit jeu d’Aladin, tout en dansant et suivant le pas de danse elle soulève un sourcil l’air de rien.

J'enchaine sur mon deuxième souhait ?............... Tréglorois ou simplement de passage ..ou bien, et cela fait partir du même voeux .. pensez-vous vous y établir ?

Aladin fit un tour sur lui-même puis fit apparaitre la lampe.

Tréglorieux Dame et pour toujours je le souhaite, chuttttt lampe je garde mes souhaits pour plus tard.

Un petit sourire et la lampe disparait pour laisser place à la danse.

Votre taverne du soir pourrait être Loarwenn ?

La question se voulait précise et guettait son regard qui donne souvent l’expression de la réponse.

--.ondine.

[ONDINE, DEVENISE ET POUILLU]

Danser, les trois grâces s'en donnaient à coeur joie.
La musique riait des accords stridents, et l'alcool aidant, les corps et les langues se déliaient.
C'était beau à voir : oui, une vraie réussite ce bal.

Puis soudain, celle qui l'avait emporté dans sa ronde s'arrêta pour lui glisser tout bas à l'oreille : Je ne vois pas votre fils? N'est-il pas l'invité d'honneur de ce bal ?

Ondine resta de glace. Non que d'avoir été reconnu la bouleversa. Non. Mais cette voix, la voix de Devenise lui procura tout à coup un frisson inexpliqué. Devenise s'écartait déjà d'elle, éclatant de rire d'avoir su démasquer celle qui était la moins masquée, sans doute, que la louve n'avait pas encore reprit ses esprits.

Ondine avait-elle deviné l'identité de cette jeune femme ? Son corps l'avait fait pour elle sans pour autant qu'elle puisse mettre un nom sur cette voix, sur cette silhouette. Mais quelque chose en elle savait.

Et il lui fallait entendre encore cette voix, sentir encore son souffle contre son oreille. Alors, Ondine fit signe à Devenise de s'approcher. Oui, encore plus près. Et d'une voix faussement sincère répondit : "Avec tout ce bruit, je n'ai pas compris un seul mot. Vous disiez ?

A cet instant, un pauvre hère l'interpella. Déguisement plus vraie que nature ?
Noz'vat. Il serait pas à vous ce château ?Ondine lui sourit et lui répond sur le ton de la confidence :
Si on vous le demande, dites que vous n'en savez rien ...

--Devenise

[Ondine - Devenise - Pouillu]

Devenise avait compris qui était Ondine au premier regard, non pas à son déguisement qui de toute façon ne cachait que le visage et point le personnage, mais à sa gestuelle, et sa prestance. Les quelques mots glissés à son oreille était simplement pour le lui faire savoir. Ondine se pencha pour lui répondre. Devenise dut s'efforcer de ne pas reculer, ce qui la trahirait. Elle se mit sur la pointe des pieds pour entendre la réponse, mais celle-ci n'était en rien ce qu'elle attendait :
"Avec tout ce bruit, je n'ai pas compris un seul mot. Vous disiez ?"

Devenise compris le véritable sens de sa question. On avait des doutes sur elle. Des doutes, oui, mais pas de certitude. Une seule stratégie s'imposait, et elle était résolue à ce que nul ne découvre qui elle était. Craignant d'être découverte, en resta un moment sa bouger, prenant garde à ce qu'Ondine reste prêt de son oreille et ne s'approche pas de son visage, pensant que ses yeux l'avait trahie. Essayant d'imaginer rapidement une fuite non révélatrice, elle apperçu soudain quelqu'un qui arrivait par le côté. Elle fit mine de se redresser pour lui répondre, en prenant toujours garde à éviter son regard.
Arriva alors son sauveur. Un gueux, le seul d'ailleurs, lui offrait une magnifique occasion de s'éclipser. Devenise l'observa rapidement, à la recherche de quelqu'un indice tout comme d'un prétexte pour de se faire la belle. Elle nota alors que son propre verre était vide, bin que ce e fut pas le premier... D'une voix de jouvencelle, elle s'exclama juste avant que son héro n'arrive :

Aaahh Malheur ! Mon verre est vide ! C'est intolarable !

Elle laissa alors Ondine avec le "Pauvre malgré lui" et s'envola vers la table des victuailles. Elle cherchait surtout un beau mâle avec qui frailler, le gladiateur ayant étrangment disparu au beau milieu d'une dance.

En s'éloignant, elle eut une brève pensée. "Si seullement elle n'était pas elle..." Se demandant si le prétexte du verre vide était si bien trouvé vu que de toute façon, elle ne pouvait pas boire, et s'arrangeait depuis le début de la soirée à échanger les verres qu'elle se servait contre des verres vides au moment où personne ne regardait, pour donner le change. Quelle idée de posrter un masque qui vous empêche de boire !? Puis, s'assurant et profitant que nul ne la regardait, elle s'évanouit dans quelque coin sombre, caché par une des nombreuses et élégantes colonnes qui jonchaient la salle de bal. L'heure était à la discrétion, le temps de trouver une nouvelle proie

--.ondine.

[ONDINE, DEVENISE ET POUILLU]

Devenise pensait-elle vraiment échapper à la louve ?
Si jusqu'ici cette dernière avait des doutes, la fuite soudaine de cette jeune femme finir de la convaincre qu'elle touchait du doigt la vérité.

Ondine, malgré une attitude des plus cordiale avec le pauvre paysan, n'avait pas manqué de remarquer du coin de l'oeil dans quel sombre espace Devenise s'était réfugiée.
S'excusant auprès de Pouillu d'un mouvement gracieux de la tête, elle dirigea ses pas vers l'ombre d'une colonne derrière laquelle un tissu rose dépassait.

D'une voix charmante,
Si vous tenez tellement à me fuir, laissez-moi vous montrer meilleure cachette ...

Amusée et intriguée, Ondine plongea son regard dans les onyx sombres qui se tournèrent alors vers elle.

--Devenise

Devenise entendit des pas s'approcher. Son stratagème avait-il fonctionné ? Ils sont seuls, nul ne les voit, et nul ne pourrait les reconnaître s'ils les voyait.

Si vous tenez tellement à me fuir, laissez-moi vous montrer meilleure cachette ...

Cette voix, elle ne se retourna que pour le plaisir de redécouvrir la Louve, perchée tout près d'elle, dont elle devine le sourire qu'arbore ses lèvres. Devenise se tourne vers elle et prend sa main dans la sienne, les yeux pétillants.

Vous fuir ? Ne comprenez-vous pas que vous êtes précisément où je vous voulais ? A l'abris des regards et des oreilles. Nous pouvons parler librement ici.

Devenise, voyant qu'Ondine cherchait son regard, approche son visage du sien, et plonge son regard dans le sien, sans aucune retenue, laissant opéreer la magie de cette soirée où nul n'est personne, sans crainte ni obligation. Nul doute que la louve la reconnâîtrait ainsi, mais pour cette femme seulement, elle voulait rester elle même en toutes circonstances.

*** GRAND BAL MASQUE de Tréguier ***

--Coco_cinelle

En raison du souhait, pour des raison irl, d'arrêter le jeu de ljd Lordoflove, je vais donc, avec son accord, de le faire mourir.. Je vais le démasquer et me démasquer par la même occasion.. désolée de gâcher la fête, mais il fallait bien trouver une sortie..

Le petit jour commence à pointer. C'est au bas de Giefroi que je retourne dans la salle. Tout le monde a bien l'air de s'amuser, mais je commence à fatiguer. Il me tarde de rentrer pour aller me coucher.

Cependant, je regarde ça et là, pour essayer de reconnaitre quelques personnes. Les déguisements sont tellement bien faits qu'il est impossible pour moi de voir les gens qui se cachent dessous..

Soudain, j'entends une voix qui appelle au secours. C'est Souri_cette, enfin l'homme qui l’interprète, qui est entrain de s'étouffer sous son masque. Il n'a pas bougé du buffet pour manger du fromage, jouant son rôle jusqu'au bout. Je cours près de lui, pour essayer de le soulager en lui tapant dans le dos. Il tousse comme un dératé. Il tombe à terre. Je soulève son masque pour le laisser respirer et je m'aperçois que c'est Lord, mon Amour qui est entrain d'agoniser là.. sous mes yeux. Il tourne de l’œil, il est tout blanc, puis plus rien.
Je fais tout ce que je peux pour le ranimer. Je crie, je pleure, je le frappe mais rien n'y fait.

De l'aide! S'il vous plait! Il va mourir !!!!!!!

Lord!!! Ne me fais pas ça, je t'en prie.. pas maintenant!!!! Pense au bébé qui grandit en moi !!!!

J'ôte à mon tour mon loup. Et oui, c'est moi Zakarine! Ma flamboyante chevelure surgit tel un animal blessé de sous mon masque. Je le dévisage. Il ne bouge plus. Je pose mon oreille sur son torse pour m'en assurer, mais il ne respire plus! Je soulève la tête pour le regarder encore. Je n'arrive pas à détacher mon regard de lui. Et je ne parle plus, je hurle mon désespoir.

Réveille-toi, Mamour! Je t'en prie.. Ne me fais pas ça! Ne NOUS fais pas ça !!! Da garout a ran, Lord !!!

Les yeux remplis de larmes, je me tourne vers les invités qui ne bougent pas. Le regard dans le vague, ma voix se fait plus timide. C'est presqu'en chuchotant que je m'adresse à eux.

Il s'est endormi. Il n'est pas parti, n'est-ce pas? Il dort..Il sera mieux à la maison, dans notre lit....

Je me retourne à nouveau vers lui. Je me traine contre lui, allongée sur le sol. Je l'embrasse et l'embrasse encore partout sur le visage, sur ses lèvres encore chaudes... Je m'agrippe à lui. Je ne veux pas le lâcher.. et je me laisse aller à pleurer à gros sanglots...

--Louenna

[Louenna, Aladin et Bauta]

Aladin lui répondit :

- La courtoisie veut de laisser les dames choisir, vous souhaitiez inviter Bauta, je me vois obligé de patienter au buffet mais avant j’aimerais une demi réponse pour le conseil municipal dame Louenna.

Ensuite il se tourna vers Bauta :

-Qui de ma patience ou de ma curiosité pourrais je dominer ? Je vais vous attendre le temps d’une danse si Louenna vous emméne.

Louenna reprit donc dans l'ordre des choses :

- Une demie réponse ? et bien, je dirais qu'en ce qui concerne le conseil municipal , je ... voilà , à une lettre prés cela doit correspondre à la moitié de ma réponse. Je vous en prie, je me suis déja imposer à vous pour cette danse, je ne vais pas encore m'imposer à Bauta mais c'est fort aimable de m'avoir laisser la priorité.

Elle s'inclina rapidement devant Aladin, puis devant la Bauta :

- Si toutefois vous me cherchez bauta, vous savez où me trouver !

Elle lui sourit et ne s'attarda pas plus longtemps dans le coin, fuyant Aladin. Elle ne l'avait pas reconnu , il n'était pas question qu'il la reconnaisse. Elle se dirigea vers le buffet se faire servir un verre de prune et le dégusta, tout en cherchant sa prochaine proie.

--Aladin

[Louenna, Aladin et bauta]

Aladin savait pertinemment qu’il ne pouvait donner la couleur de ses cheveux (de l’avatar) à la manière dont elle lui avait posé la question. Il avait voulu joué fin en donnant un indice malgré tout, mais ne s’attendait pas à sa réponse

Mon troisième voeux n'a pas été exaucé. Quel dommage ! Toutefois vous m'avez donné quelques indices , je vais à mon tour me montrer généreuse. J'avais l'intention de vous couper l'herbe sous le pied. Notre danse finie , je m'apprêtais à inviter la Bauta. Je n'en ferais rien.

Louenna se tourna vers Bauta et lui dit avec une révérence

Me feriez-vous l'honneur de venir vers moi ensuite ?

Elle se doutait qu’Aladin souhaitait invité Bauta ou tout du moins attendait une réponse mais là, il avait deux réponses en suspend

La courtoisie veut de laisser les dames choisir, vous souhaitiez inviter Bauta, je me vois obligé de patienter au buffet mais avant j’aimerais une demi réponse pour le conseil municipal dame Louenna.

Se tournant vers Bauta et lui tendant un verre en essayant de distinguer ses yeux. Une femme, un homme ? il esquissa un sourire derrière son masque

Qui de ma patience ou de ma curiosité pourrais je dominer ? Je vais vous attendre le temps d’une danse si Louenna vous emméne.

--Louenna

[Louenna, Aladin et bauta]

Elle lui demande quelle est sa couleur de cheveux et il lui répond :

On distingue mal la couleur de mes cheveux en certains lieux (avatar), mais pour vous donnez un indice sur la couleur de mes cheveux en ville, ils ne sont ni soleil ni nuit. Vos trois souhaits sont exhaussés, dame.

C'est une réponse ? il ne manquerait pas la moitié ? il n'est ni brun , ni blond, mais est-il roux ou chatain ? Messire reste flou, d'accord.

La danse finit devant le buffet. Elle remonte l'une de ses bretelles qui avait une tendance à glisser et passe ses mains sous sa nuque, faisant sauter ses cheveux qui retombent en un geste entre ses épaules. Les voilà revenus à leur point de départ. La Bauta est toujours là . Aladin utilise son troisième voeux. Et il a bien raison, il aurait tord de s'en priver d'autant plus que sa question n'est pas mal du tout. Elle la retient pour la suite. Il s'incline devant elle.

- Faites-vous partie du conseil municipal ?

Elle lui sourit amusée et s'incline devant lui.

- Mon troisième voeux n'a pas été exaucé. Quel dommage ! Toutefois vous m'avez donné quelques indices , je vais à mon tour me montrer généreuse. J'avais l'intention de vous couper l'herbe sous le pied. Notre danse finie , je m'apprêtais à inviter la Bauta. Je n'en ferais rien.

Son masque laissa échappé un clin d'oeil puis elle se tourna vers la Bauta et lui fit une révérence.

- Me feriez-vous l'honneur de venir vers moi ensuite ?

--Bauta

Seule une personne de ce bal l'avait abordé et était parti sur la piste accompagné d’une beauté... tout en lui disant...

Belle soirée, je me nomme Aladin, autant je peux dire messire devant un casque mais pour vous qui me sembler vêtu d’un costume que l’on nomme bauta, que dois je dire ?

Et continua...

Je reviendrais pour ma réponse, si vous voulez bien

Pas eu le temps de répondre que la danse l’accaparait. Quelques pas glissants encore pour se resservir à boire, ayant juste un léger écart entre le masque et la cape, ce n’était pas facile.

Repérage approximatif de la coccinelle, de celle qui dansait avec le lampiste... il fallait observer encore...

Quel choix que cet arnachement, pas une habitude dans sa vie personnelle mais bon là fallait assumer... de nouveaux arrivés se succédaient, les anciens ne se montraient plus beaucoup... trop réservé pour aborder quelqu'un, discrétion imposée...

--Pouillu

Sourire, voulu disgracieux. Seul son pas chancelant commencait a etre reel. Décision fut prise,y boirait plus !

Pour l'moment du moins.

Il s'approche de la danceuse tappote sur son épaule et leve son cruchon.

J'crois bein t'nir l'meileur prune du Duché, vot'e verre s'vide. J'vous r'sert douce beau'é ?

--Leila..

Leïla dansait depuis un moment perdue dans la foule. Elle regagna le buffet et fit remplir son verre de Prune, vide depuis un moment. Elle passa sa main dans ses cheveux, ses boucles châtains cascadant sur ses épaules. Elle alla s'installer à une table, au bord de la piste.

Sirotant son verre, observant les danseurs, essayant de reconnaître du monde, cherchant du regard le gladiateur qui avait disparu, elle se mit à fredonner l'air que les musiciens jouaient, tapant la mesure de son pied. Elle remonta sa jupe pour cacher le bas de son dos, remit son voile ne place ainsi que ses bracelets, il y avait tant de choses à cacher ce soir.. Son homme aussi savait se cacher. Elle ne le retrouvait dans aucun des convives. Elle alla même jusqu'à se demander si il était venu. Elle continua son inspection, le nez dans son verre, sous son voila bien sûr.

--Aladin

[Louenna et Aladin]

Aladin la vit hésiter et marquer un temps d’arrêt à sa question, il sourit sous son masque sachant qu’à Tréguier le sujet taverne permettait de faire tomber quelques masques. Il se contenta de sa réponse, certes affirmative en premier lieu puis évasive et essaya de ne rien montrer à la troisième question de Louenna

Etes-vous brun, blond, chatain ou roux derrière votre masque ? (avatar)

Poursuivant de nouveau la danse tout en se dirigeant vers le buffet

On distingue mal la couleur de mes cheveux en certains lieux (avatar), mais pour vous donnez un indice sur la couleur de mes cheveux en ville, ils ne sont ni soleil ni nuit. Vos trois souhaits sont exhaussés, dame.

Arrivé près du buffet, il s’inclina pour saluer Louenna tout en posant sa dernière question. Il savait ses questions très sélectives mais éliminatoire pour deviner tout ce beau petit monde.

Faites vous partie du conseil municipal ?

--Noire

Vous me raconterez très certainement quels sont vos autres péchés... ou objets de gourmandise...

La demoiselle rougit de sa gourmandise, mais se ressaisit vite d'un sourire.

Et au-delà de vos petits péchés, vous êtes de Tréguier? Très joli par ailleurs ce rouge sur vos lèvres.

Je suis de Tréguier, j'y suis même née.
Merci du compliment, je suis assez fière de ma recette !
Oh, et vous aussi, êtes vous d'ici ? Êtes-vous souvent en taverne ?

--Coviello

Coviello croisait ses bras derrière la tête, écoutant la réponse de la dame en noir. De Tréguier, native d'ailleurs. Et lui?

Non pas de Tréguier, de la Bretagne entière je dirais. Quant aux tavernes, il m'arrive souvent d'y aller. Mais sous le masque de l'ivresse en cas. Pas forcément celles de tréguier par contre, n'étant que de passage.

Il en dit trop, reconnu bientôt très certainement... ou pas...

Ca vous fait quel âge madame je suis née de Tréguier?

Comment ca on ne demande pas l'âge à une femme????

--Louenna

[Louanne et Aladin]

La question se voulait précise et il guettait son regard.

- Votre taverne du soir pourrait être Loarwenn ?

Elle faillit marquer un temps d'arrêt tant la question la surprit. Elle se reprit aussitôt profitant de quelques pas de danse supplémentaires pour réfléchir, l'air de rien. Pourquoi Loarwenn ? Avait-il déjà des doutes sur elle ?

- Oui la taverne Loarwenn pourrait être ma taverne du soir.. elle pourrait oui.

Elle aurait voulu savoir si lui s'y rendait souvent mais quelque soit sa réponse, cela ne l'aurait avancé en rien.

- Etes-vous brun, blond, chatain ou roux derrière votre masque ? (avatar)

--Pouillu

Le v'a qui r'tourne s'grailler 'pouilu, y s'fiche d'l'animation,mais 'guette la belle du coin d'loeil, sais j'mais...

Boudiou, la taillede s'sauciflard!

Et la vl'a qui ronge la bestiolle, a grand renfort de chouchen

--Coco_cinelle

Héhé, vous vous êtes plantée ! On retourne à l'intérieur ? Je propose qu'on fasse alliance.

Stupéfaction! Je me suis trompée de bonhomme... A la tête que je fais, il y voit surement de la déception. Il se met à rire, en plus! La barbe que j'ai vue dépasser de sa capuche, j'espère qu'elle est vraie, elle.
Je ne sais plus où j'en suis. Il me propose de faire alliance, je n'ai plus vraiment le choix...
Pour la première fois de la soirée, je ne réponds pas en riant mais en faisant la moue. J'étais tellement persuadée de l'avoir reconnu! Je le regarde encore et une idée me vient en tête. Et si c'était une femme... celle à qui je pense soudain serait bien capable de me faire le coup!

Mouais.. rentrons... mais z'êtes qui, vous??? Si on fait une alliance, autant commencer tout de suite, hein?

Je lui tends le bras pour regagner la salle de bal et pour "espionner" les autres invités..

--Coviello

Ca rit, ca se faufille, ca se balade, et ca finit au buffet... pas mal de nourriture éparpillée, de la boisson alléchante, la soirée commence plutôt bien.

Je ne suis pas du genre à danser. Disons que j'ai un équilibre douteux. Que dites vous d'un encas ? La gourmandise est l'un de mes pêchés.

Coviello sourit. Il se serre un verre alors qu'elle croque un morceau de pain, il ne peut malgré tout s'empêcher de répondre à cette phrase qui stimule sa verve.

Vous me raconterez très certainement quels sont vos autres péchés... ou objets de gourmandise...

Paroles volontairement équivoques, bien évidemment. Elle veut discuter, alors discutons. Il sirote un verre et pose les premières questions pour engager la conversation...

Et au-delà de vos petits péchés, vous êtes de Tréguier? Très joli par ailleurs ce rouge sur vos lèvres.

--Noire

Vous êtes la maitresse du choix pour le moment.

Elle rit à cette phrase. Un rire cristallin et surprenant. Elle glissa alors et entraina l'homme au milieu de la foule, se faufilant entre les invités, gracieuse mais maladroite. Ce chemin les mena au buffet.

Je ne suis pas du genre à danser. Disons que j'ai un équilibre douteux. Que dites vous d'un encas ? La gourmandise est l'un de mes pêchés.

Elle prit un bout de pain et le croqua.

Discutons.

--Noire

Noire sourit, surprise et amusée du chaleureux accueil dont elle disposait.
Elle répondit d'abord au capuchonné et sa partenaire.

Nous avons du nous passer le mot pour les capuches ! Enfin, l'habit est simple, mais c'est pour mieux camoufler la personnalité qu'il couvre. Passez une très bonne soirée, vous deux.

Puis elle se tourna vers l'homme en blanc. Noire le trouvait sympathique, il avait l'air de porter en lui la même joie de vivre qu'elle.

Je suis agréablement surprise du fait qu'il reste des gens seuls ici. Pour tout vous dire, je commençais à avoir peur.
Nous nous sommes bien arrangés, nous aussi ! Un parfait contraste !

Elle l'invita à la suivre, d'un geste accompagné d'un magnifique sourire.

--Coviello

Coviello scrute d'un oeil attentif la personne au contraste pelliculaire. Le noir, le blanc, c'est la Bretagne en plus de représenter deux êtres présents à un bal masqué. Alors qu'il sautille avec légèreté sur la pointe de ses poulaines blanches, il écoute la "Noire" parler en ces termes...

Je suis agréablement surprise du fait qu'il reste des gens seuls ici. Pour tout vous dire, je commençais à avoir peur.
Nous nous sommes bien arrangés, nous aussi ! Un parfait contraste !

En-dessous du masque, les lèvres se tendent. Elle l'invite à la suivre, et lui adresse un beau sourire... il faudrait être fou pour refuser. Il prend donc sa main, décidé à se laisser guider.

Je vous suis volontiers, quelle sera donc notre destination? Une danse sur un parquet enflammé, une collation au buffet indiqué par l'encapuchonné? Ou bien encore une discussion de noire à blanc?

Le ton se veut agréable, la voix douce et flutée. Tout en balayant du regard la salle au rythme des pas agencés, il rajoute en sourire en coin.

Vous êtes la maitresse du choix pour le moment.

--Giefroi

Giefroi fait un grand sourire, content que Coco Cinelle se trompe de piste.

Ah non impossible que vous la connaissiez. Elle n'est pas de Treguier, n'y a jamais séjourné et je n'ai plus de nouvelle d'elle depuis bien des années maintenant.

Et toc !

Giefroi se frotte les mains en rigolant

Héhé, vous vous êtes plantée ! On retourne à l'intérieur ? Je propose qu'on fasse alliance.

--Coco_cinelle

Nous sortons dehors prendre l'air. Peut-être va-t-il enfin se dévoiler, loin de la musique et des invités?!
Une retardataire arrive au même moment. Une femme toute de noir vêtue, mystérieusement encapuchonnée..

Rhoo, encore une! Z'êtes donnés le mots, tous! Hihihi.

Je prends un bol d'air qui me fait un bien fou. La sueur qui, à l'intérieur, perlait mon front et mon dos, refroidit aussitôt en me donnant des frissons. Je frotte mes bras à l'aide de mes eux mains.

Quelle chaleur il y a dedans! Fait trop chaud!

Toujours pas tentée par le fait de me faire partager votre soupçon à mon sujet ? Attention, je pourrais être un homme dangereux et activement recherché.

Je ne peux m'empêcher de sourire. Sa voix le trahit, son rire surtout. Toujours prêt à rire, il s'est fourvoyé tout seul.

Je peux poser une question, mon cher? Je suis certaine que je connais très bien votre Môman!

--Coviello

De blanc vêtu, comme à son accoutumée, c'est de son masque paré prêt à n'importe quelle facétie que l'homme rejoint la fête. Du retard, pour sûr qu'il en avait. Mais la ponctualité n'a jamais été le fort de l'être sans son masque. Et l'anonymat ne changera pas sa nature. Tout du moins sa nature de retardaire, car pour le reste, c'est un tout autre homme qui ne ressemble en rien à l'homme dans son étant qui se joint à la danse des masques.

Poète, musicien, comédien et satyrique, voilà le masque tel qu'il le devient quand il en est revêtu. Pas aérien, mouvements fluides et gracieux, il zigzague dans l'assemblée en fredonnant des chants joyeux et travaillés. Une transfiguration de la personne, une transcendance de l'être, ses yeux détaillent le bal masqué, recherchent une personne à qui prêter attention.

Une femme en noir, voilà qui jure avec le blanc de son costume. D'une voix mélodieuse il répond tout simplement...

Pas plus de retard que moi, il semblerait. Peu importe l'heure de l'arrivée, tant qu'il reste au moins deux personnes, ne croyez-vous pas?

--Souri_cette

La petite souris se faufille dans le bal, mais personne ne la remarque. Elle est petite et discréte. Elle aime les bouchées sur la table et pique du fromage en cube. Puis, mange un petit pain au lait. Sourit à toutes les dames et s'incline devant les messieurs. Se met dans un coin et regarde les gens danser. La musique va bon train et elle aime ça. Elle soupire et attend un prince charmant, mais surtout pas un chat. Elle compense sa solitude en mangeant du fromage.

Du fromage, il me faut du fromage !!

--Giefroi

Giefroi rend son sourire à Coco Cinelle et lui tend le bras. Il en profitera pour la cuisiner un peu. Beh quoi ?

Ils vont sortir dans la cour du château lorsqu'une jeune femme encapuchonnée fait son apparition et les interpelle.

Tiens une autre amie encapuchonnée. Bienvenue ! On a commencé depuis plusieurs heures mais il y a pas de mal, ne vous inquietez pas !

Giefroi fait un grand sourire à Noire

Il y a un buffet là bas, servez vous !

Giefroi rigole de lui-même, faisant comme si c'était chez lui.
Il entraîne Coco Cinelle dehors dans la cour et prend enfin un grand bol d'air frais.

Toujours pas tentée par le fait de me faire partager votre soupçon à mon sujet ? Attention, je pourrais être un homme dangereux et activement recherché.

--Noire

La jeune femme était arrivée en retard. Les festivités battaient leur plein à l'intérieur, pendant qu'elle courrait en direction du château. Elle avait passé trop de temps à flâner sur la route. La retardataire était couverte d'une longue cape noire, sous laquelle on devinait une robe de la même couleur. Son capuchon lui couvrait la moitié du visage, et seules ses lèvres, peintes d'un rouge vif, étaient visibles.

Essoufflée après une telle course, Noire s'appuya contre la porte. Elle regardait les allées et venues, étudiant tout en admirant les déguisements, commençant à faire des suppositions. Son rythme cardiaque ralenti, elle aborda la première personne venue.

Bonsoir, excusez moi, mais ais-je beaucoup de retard ?

{Alice} Changement de couleur effectué...

--Coco_cinelle

Main dans la main, nous entrons gaiment dans la danse. Il le donne un petit indice: il habite Tréguier depuis fort longtemps.
Et puis.. ohhhhh! Une barbe qui se dégage de dessous sa capuche! Comme j'avais plusieurs suspects en tête, je peux dire que cet incident réduit drôlement mon champs de réflexion. Soudain, il se penche sur moi et me chuchote:

Et moi ? Je suis reconnu ?

Même si j'ai une idée, je ne vais pas tout de même la lui dire, namého! J'espère toutefois qu'il dit la vérité. Il ne serait pas juste qu'il triche, qu'il ne suive pas les règles du jeu.

Son sourire, cette barbe, je pense savoir qui c'est.. Je suis certaine qu'il est très proche de moi. Motus et bouche cousue, telle est ma devise!

Si j'vous reconnais Sieur Giefroi? J'ai ma petite idée oui, mais je ne vous la dirai passssssss!!!! Hihihihi!

La danse commence à me fatiguer, j'ai très chaud. Je lâche les mains qui me retiennent à la ronde et recule d'un pas pour ne pas me faire heurter par les danseurs. Avec ma main droite, je m'évente le visage rouge écarlate à cause de la chaleur.

Ouhh! Il fait très chaud, Messire. Je vais sortir prendre l'air dehors, vous m'accompagnez?

Je lui fais un grand sourire, juste pour voir sa réaction.

--.ondine.

--Devenise

--.ondine.

--Aladin

--Giefroi

--Coco_cinelle

--Louenna

--Boeme

--Aladin

--Bauta

--Louenna

--Devenise

--Giefroi

--Coco_cinelle

--Pouillu

teins, vl'a un doc m'aint'nant.

Grattement de crane.

Y pense bein a son furoncle la qui l'gene. S'tate. un doc est un doc. Q'd'charlo.

Fin bon, c'est qu'ca fait mal, et l'es pas dans l'genre douillet l'pouillu !

Il se leve et prenant une choppe va la caller dans la main du doc.

Z'en avez d'un biau pif ! Dits comme t'es apparement l'doc du coin, t'aurai pas d'quoi guérir un biau furoncle comme vous dites ? c'est qu'sa gratte dur

--Vaneyck

Pour rien au monde, il ne serait arrivé le premier. Il voulut faire la surprise et entrer quand les personnes ne feraient plus attentions aux nouveaux arrivants, enivrés de musiques, de chouchen et de vins.

Il se faufila en longeant presque les murs. Pas facile de boire ou de manger avec ce déguisement de médecin. Il sourit sous son masque.

--Pouillu

Et paf vl'a qu'on l'snob.

L'en à marre l'pouillu j'r'ourne boire , t'façon l'mond' s'fiche d'lui avec son costume.

Il retoune boire un verre donc, d'un pas claudiquant

teins, d'la prune !!

Puis il se met a regarder les autres, le regard inquisiteur comme le ciel d'hiver

--Giefroi

Giefroi lui fait un grand sourire et tend une main vers elle

Vous danseriez avec moi ?

--Coco_cinelle

Voilà que le premier encapuchonné fausse compagnie à la Coccinelle pour rejoindre le Papillon! Il a l'air de chercher quelqu'un et je ne semble pas correspondre à la dame de ses pensées..
Giefroi, me regarde bizarrement. J'ai l'impression qu'il me reconnait. Je dois tout faire pour ne pas me trahir. Si près du but, ce serait bête! La bécasse.. Je me répète qu'il faut que je continue à jouer l'écervelée.

Vous croyez que j'peux vous poser une question ? Une seule question ?

Attention à ce que tu vas dire Coco ! Je pose ma main droite à plat sur ma poitrine et me mets à rire d'une rire cristallin.

Une seule question? Oh, comme z'êtes chou, vous! Vous prenez soin d'une pôv fille comme moi! J'ai ma cervelle qui bout très vite quand on me pose trop de questions en même temps! Hihihih!
Je veux bien y répondre, oui. Dites toujours, je serai peut-être capable d'y répondre!

Tout en lui parlant je vois plein de gens qui arrivent, des costumes plus beaux que les autres. Ils semblent bien s'amuser, c'était le but et il est atteint, finalement. La soirée est un vraie succès..
Il y en a un qui m'intrigue, cependant. Un homme mal habillé, qui semblait malheureux.
Je me demande si c'est un vrai costume ou bien un vagabond, tellement il est réaliste.

--_arlequin_

L'arlequin attendait la réponse d'Aladin mais ce fut Boéme qui la lui donna. Ayant hésité entre les deux il lui avait fallut faire un choix se disant que si ce n'était l'un ce serait forcement l'autre. Ses yeux d'océan se posèrent sur la chevelure doré, ses lèvres s'étirèrent répondant à son sourire malicieux. Les yeux d'émeraudes s'étaient posés sur sa personne et il l'avaient reconnu. A se jeu il était très fort.

Sans hésitation, ses pas s’emboîtèrent aux siens, ses mains se posèrent sur lui, le laissant mené la danse. Tournant et virevoltant au son de la musique, oubliant ce qui les entouraient, ses yeux pétillant d'une joie indicible. Il avait mis fin à son petit jeu mais lui offrait un plaisir plus grand encore.

La nuit était à eux, ils danseraient jusqu'au petit matin .....

--Aladin

Mon verre à la main j’écoutais de-ci de-là pour pêcher un indice, la première danse se terminait et les couples changeaient de partenaires. Des dames trouvant les hommes un peu timides décident de danser ensemble quand ‘Arlequin se présente devant d’une révérence qui me fit sourire.

Dois-je dire messire ou dames pour vous offrir ce verre. Bon choix trompeur qu’un Arlequin, d’où ma question.

Je me baissais légèrement pour saluer lorsque surgit le troubadour qui emmena l’arlequin

--Boeme

Fini de jouer la musique, l'heure était à la danse maintenant, il rangea soigneusement sa flute dans sa manche. Fini son rôle d'observateur musicien, d'un pas svelte et gracieux en direction du buffet, l'arlequin cherchait surement un partenaire , lorsqu'il l'a vu levé sa main en direction d'Aladin, il la saisit grillant la politesse et déposa un baiser sur le dos de sa main. Relevant les yeux, sa crinière blonde cendrée en cascade sur son visage flottait doucement autour de son visage, il lui sourit malicieux.

-Laissez moi vous invitez pour cette danse ... et peut être les suivantes ...

Il lui prit la main et l'autre sur la hanche, la guidant sur la piste et ne lui laissant à peine le temps de répondre.

--Leila..

A peine avait-elle eu le temps de regagner la table que deux dames l’entraînèrent dans une danse. Son verre à la main, elle partit à danser avec Ondine, qu'elle pensait avoir démasqué et l'autre jeune femme lui restant inconnue.

Qui a dit qu'on avait besoin d'un homme pour passer une soirée inoubliable ? Hein, les filles ...

-Tout à fait, cette soirée appartient aux femmes, profitons-en!

Elle rit doucement. Tournoyant en leur compagnie, jouant de ses atouts, elles virent à s'approcher du gladiateur.

Leïla lui mit dans les mains son verre de Prune dont elle n'avait eu le temps de boire que la moitié, en lui glissant au passage:

-Je sais que vous aimez cette boisson autant que moi cher Tréglorieux, finissez donc mon verre, pour mon bon plaisir.

On dirait vraiment que la prune et votre nouvelle vie vous rend radieuse. Que diriez vous d’une ballade à cheval après ce bal ?

J’avais oublié, vous appréciez les chevaux … grillés.

-Messire souhaite m'emmener en balade? Comme c'est charmant. Cela aurait été avec plaisir si je n'avais pas des dizaines de danses n'attendant que moi. Mais bon, une prochaine fois peut-être.

Elle lui glissa un clin d'oeil malicieux. Puis, éclatant d'un rire cristallin, elle se remit à virevolter en compagnie des ses deux charmantes cavalières. Elle se sentait bien, à l'aise. Sa tenue reflétant bien une part de sa personnalité, elle se laissa aller à se déhancher au milieu des convives.

--Gladiateur

Les hommes étaient assez réservés. Il vit Ondine attraper le bras de la belle brune des mille et une nuit, Leila. Heureusement que Leila est avec des femmes, se dit-il. Toutes les trois avaient vraiment l'envie de s'amuser.
Qui a dit qu'on avait besoin d'un homme pour passer une soirée inoubliable ? Hein, les filles ...

Un éclat de rire presque enfantin se mêla à la musique et au brouhaha.. Il fût un peu piqué au vif, posa son verre et s’approcha des trois femmes. Frôlant Leila, il lui murmura à l’oreille.

On dirait vraiment que la prune et votre nouvelle vie vous rend radieuse. Que diriez vous d’une ballade à cheval après ce bal ?

Puis, inocemment et souriant amusé.

J’avais oublié, vous appréciez les chevaux … grillés.

--_arlequin_

Et voila la danse se finissait , la dame avait accepter l'accord, elle semblait bien sur de l'avoir reconnu. Cette pensée était des plus amusante, elle déclencha un rire clair, joyeux qui s’arrêta aussi vite qu'il avait commencé. Une révérence, un sourire, un remerciement pour l'instant passé et déjà l'arlequin s'éloignait dans une roue l’amenant devant les sieurs qui s'accumulaient devant le buffet. Le sourire espiègle qui étira ses lèvres laissait deviner ses pensées. Certains s’empiffraient tandis que d'autre savourait le chouchen.

Espiègle, circulant entre les différent convive, ses yeux observaient chacun d'eux. Sans hésitation sa main se posait sur leur taille, un petit sourire moqueur étirait ses lèvres. Son visage s'approchait des leur passant de l'un a l'autre, aussi vite partit qu'arrivé. Leur réaction les dévoileraient surement, mais une chose de sur ça l'amusait énormément.

Son jeu s’arrêta devant Aladin, il y avait bien assez longtemps que le sieur observait. Tel une dame de la haute , la main se tendit en attente d'un baise main, allait il entrer dans le jeu? La petite révérence se fit, le pied droit venant se placer a l'arrière du pied gauche tandis que les genoux sont légèrement fléchis et que son bras reste le long du tronc. Ses yeux rieurs ne le quittait pas ....

--.ondine.

[Ondine et Devenise et Leïla]

Ah ! Quelle belle soirée n'est-ce pas ? Dommage que les hommes soient si peu représentés ! Ce qu'il sont timides, s'en est presque craquant. Que diriez vous de danser entre femmes en attendant leur arrivée ? C'est pas tout de regarder les autres danser, si on faisait tous comme vous la soirée serait bien tristounette !

Ondine n'a pas le temps de répondre - qu'aurait-elle pu répondre d'ailleurs ? - que la jeune femme lui arrache son verre et l'entraine sur la piste.

Que la vie est belle quand elle est joueuse !
Oh oui, dansons ! Que nos têtes tournent à n'en plus finir, sa voix est à peine audible à cause du tumulte des rires et de la musique endiablée.

Dans son sillage, Ondine attrape le bras d'une belle brune des mille et une nuit.
Ainsi, trois elles étaient, seulement guidées par l'envie de s'amuser !!!

Qui a dit qu'on avait besoin d'un homme pour passer une soirée inoubliable ? Hein, les filles ... Un éclat de rire presque enfantin ponctue sa question.

--Gladiateur

Dès qu’il la vit siroter son verre de prune, il n’eut plus aucun doute. Il lui sourit d'un air complice et continua son observation.

--Leila..

La danse se terminait, sans avoir eu de réponse à sa question, elle se sépara du séduisant gladiateur. Elle avait bien une idée sur son identité, mais sans sa réponse, elle ne pouvait être sûre que ce n'était pas celui qu'elle cherchait.

Elle se rendit au buffet à ses côtés et demanda un verre de Prune. Une fois servie, elle regagna une table d'un pas léger et dansant. S'y appuyant avec délicatesse, elle attendit une nouvelle invitation. Ce soir, elle ne prendrait pas les devants, c'était aux autres de venir.

Leïla remit son voile en place, remonta légèrement sa jupe pour masquer le bas de son dos, et se remit à fredonner l'air que les musiciens jouaient.

--Gladiateur

De plus en plus d’invités, de plus en plus de conversations et de plus en plus difficile de deviner qui est qui : Leila, Lady butterfly, Arlequin, Coco Cinelle, Giefroi, Aladin, Bauta, Louenna, Devenise, Louis, Ondine, Portos, Pouillu, Boeme, …. Impossible de s’y retrouver. Il avait bien un doute concernant Leila, il était même presque certain de savoir qui elle était.
Mais pour les autres… Aussi il resta à coté du buffet et se mit à boire du chouchen en observant tout ce beau petit monde.

--Louenna

Il s'approche lui chuchoter :

- M'auriez vous percé a jour belle dame? Je garderais le secret si vous garder le mien, mais je crois que vous êtes loin de savoir qui je suis. Je pense que celui que vous cherchez n'est pas encore là ou vient d'arrivé depuis peu....

Elle soulève ses sourcils et lui sourit amusée, tandis qu'ils se dirigent vers le bord de la piste. La musique tirant à sa fin. Elle pressa fortement la main de l'arlequin avant qu'il ne la lache et l'attire à elle.

- Pensez-vous que je vous confonde ? je sais bien que vous n'êtes pas celui que je cherche ! et oui je vous ai percé à jour.. je reprends notre accord, vous ne dites rien, je ne dis rien... et je vous laisse aller rejoindre une vraie danseuse cette fois -ci .

Elle lâcha sa main , lui fit une révérence.

- Merci pour cette danse ! puis s'éloigna en marchant en arrière... l'accord, n'oubliez pas ! Un clin d'oeil et elle fit demi tour.

Elle cherche déjà un ou une autre partenaire.. les filles aussi devaient être démasquées.

--Louenna

L'arlequin se penche à son tour lui murmurer.

- Non je ne suis pas lui en effet et je vous remercie de votre aide,je pense avoir trouver la personne que je recherche. Ainsi donc c'est le gladiateur qui vous intéresse? Je peux vous aider a le retrouver si vous souhaiter

Elle le fixe se demandant s'il l'avait reconnu. Elle sourit et se retient de rire. Doit-elle lui dire qu'il n'a plus de secret pour elle ? Un changement de mains pour suivre la danse, un tour sur elle-même et re rapprochement... et re murmure :

- Je sais qui est le Gladiateur, ce n'est pas celui que je cherche mais .. peut être que je peux encore vous aider . Elle le regarde d'un air taquin, s'éloigne faire deux pas sur le coté puis revient à lui. Avant que vous n'alliez inviter la dame de vos rêves.... je ne dirai rien si vous ne dites rien , me comprenez-vous ?

Elle lui lâche la main et tourne autour de lui en musique. Un regard au gueux qui se gouinffre. Elle se demande s'il est déguisé ou pas celui là. Elle revient prendre la main de l'Arlequin.

- alors qu'en dites-vous ?

--_arlequin_

Arlequin écouta la dame, son sourire se fit espiègle. S'approche à nouveau de son oreille, de sa voix douce lui murmure:

- M'auriez vous percé a jour belle dame? Je garderais le secret si vous garder le mien, mais je crois que vous êtes loin de savoir qui je suis. Je pense que celui que vous cherchez n'est pas encore là ou vient d'arrivé depuis peu....

Un rire cristallin se fit entendre doucement, ses yeux plus rieurs que jamais. Son regard revint vers le buffet, s’arrêtant sur une nouvelle personne. Doucement les pas de danse les ramenèrent à proximité, la musique arrivait à sa fin , une autre danse allait commencé,il serait temps de changer de partenaire.

--Giefroi

Giefroi fait un grand sourire puis se demande si ce dernier se voyait. Il regarde la jeune femme, s'appelant soit disant Coco discrètement de bas en haut. Le but était de reconnaître alors il fallait bien commencer à jouer.

Il regarde ses manières et ne se souvient pas de les avoir vu à la taverne. Soit une jeune discrète du village soit une stratégie pour les avoir. Il salua par la pensée, la bonne idée.

C'est vrai qu'il est extra.

Giefroi remet son masque comme il faut, c'était fort désagréable ce bout de tissu.

Vous croyez que j'peux vous poser une question ? Une seule question ?

--Boeme

Le monde commençait à affluer , tout comme l'alcool où tout les gens se servaient épongeant avec quelques amuses bouches délicieux. Les femmes avaient jouées de leur atours et de leur charme dans la plus grande extravagance, chacune plus fatale les unes que les autres et les hommes succombaient tour à tour. Il sourit, quittant la piste de danse pour s'approcher de l'orchestre, murmurant quelques mots aux musiciens, il entama une danse entraînante de sa flute enchantée pour la plus grande joies des danseurs qui ne cessèrent de se trimousser aux rythmes des notes.

--Louenna

Elle se laisse emporter par la danse, tournoyant dans un éclat de rires. Leurs regards se croisent. Il a les yeux bleus. Elle attend que la danse lui offre l'occasion et lui murmure à l'oreille.

- Vous n'êtes pas lui ! Elle redresse sa tête, plonge son regard dans le sien et lui fait un clin d'oeil.. et forcément je ne suis pas elle.. si toutefois vous cherchez à reconnaitre une dame bien évidemment . Elle serre un peu plus la main de l'arlequin. Ne me lâchez pas la main pour autant, nous avons encore à nous dire !

Ils virevoltent et frôlent le gladiateur. Elle en profite :

- Vous êtes démasqué beau gladiateur !

Son rire cristalin retentit . Elle se laisse guider avec plaisir par l'arlequin. Un fin danseur. . Son rire laisse place à un large sourire. La danse les rapproche encore. Elle reprend son sérieux.

- Avez-vous déjà repéré quelques connaissances ? on pourrait s'entraider, qu'en pensez-vous ?

-

--_arlequin_

L'arlequin sourit a la dame, son identité commence a lui apparaître. A sa demande l'arlequin resserre sa main sur la sienne. La danse les emmène a frôler les autres danseurs , des mots sont échanger, son sourire se fait plus amusé. Les yeux rieurs,d'une voix douce et basse, murmure à son oreille.

- Non je ne suis pas lui en effet et je vous remercie de votre aide,je pense avoir trouver la personne que je recherche. Ainsi donc c'est le gladiateur qui vous intéresse? Je peux vous aider a le retrouver si vous souhaiter.

Un petit rire s'échappe, un petit tour à sa façon germe dans son esprit espiègle. Arlequin jusqu'au bout de la nuit, bien décidé à s'amuser et qui sait amuser les autres....

--Pouillu

Bouffant un bout d'pain recouvert d'il ne s'vait trop quoi l'pouillu guette.
Un homme tapisserie f'sait danser une gonz' bien peu couverte. En d'aut' lieu c'eut été mal vu. Comme lui d'ailleurs.

Il jette un r'gard aux aut' mais rein n'y fait. l'pouillu à l'tournis.

Boudiou...

il gromelle. et s'en calle une de choppes. faut bein surviv'

Et hop, il cherche une gonz',bein la l'espoir d'en faire danser une au moins ! Mé son r'gard tombe sur une. T'ins...

Il s'approche, pas une Gonz', il le sent,pi ca s'voit bein, y'a son tissu qui b'rille

Un loup, pas poilu hein, y z'appel' ca des loup leur bou'd'papier pour s'cacher les yeux et l'pif;

lui sait qu'l'odeur, y'a qu'ca qu'il le cach'ra vraiment.

y s'glisse à coté d'la dame bein vetu ( Ondine ) et lui touche l'épaule.

Bein il reste bein elevé et s'incline avec un grannnnd sourire, comme f'aut faire t'ins.

Nozvezh vat D'me. Il s'ré pas à vous s'beau chatiau?

--_arlequin_

L'arlequin observait tout ce qui se passait, les couples se formaient et glissaient sur la piste au son de la musique. Dans son costume il n'était pas aisé de dire s'il était homme ou femme et c'est bien ce qui l'amusait. Son regard se posa sur une demoiselle qui semblait attendre que l'on veuille bien l'inviter à danser. Ses yeux bleus pétillèrent de malice, bien décider à s'amuser l'arlequin se décida a jouer son rôle.

Prenant son élan, oubliant sa discrétion habituelle, deux pirouettes souples furent exécuter lui permettant d'attraper la main de la demoiselle et de l’emmener sur la piste à sa suite. La révérence se fit élégante et la main ferme, l’entraînant dans une danse tourbillonnante, un sourire amusé aux lèvres. Bien que n'ayant dansé depuis longtemps les pas reviennent avec fluidité. Ils tournent, virevoltent au milieux des autres couples, chacun attendant les questions de l'autre....

--Pouillu

Il passe le nez par la porte. subrepticement il se glisse dans la salle.

z'avait dit dans toutes les rues qu'le bal té ouvert à tou... bein lui était v'neu

L'grand chateau y passé d'vant tou l'jour, l'avé bein révé d'le voir de pu prè.

Ma d'la a y rentreu sans q'leu gard' ne l'vire dehors a coup d'sabot, il s'croyé rendu o pardi lunaire l'pouillu

Le pouilleux, velu,hirsurte et puant saute dans un petit saut, totalement ridicule. Cognant sans le vouloir, sans doute. Un autre invité. Une cape, des bottes, classique, sans doute un villageois humble. Un casque. Tiens un soldat ? ( Portos je te voiiis )

Boudiou !

Le voila qui file. Ne voulant pas d'ennuy.

D'la bouffe, d'la vinasse !

Il se rue et se jette sur la nourriture, avec avidité

--Lady_butterfly

Après avoir réussi à attraper un petit-four tout à fait appétissant, elle le dégusta en se retournant vers la salle de bal, quand elle vit un homme encapuchonné voler jusqu’à elle. Il la salua et lui offrit un verre de chouchen.

Noz vat Messire ! Trugarez ! Lui répondit-elle en souriant, prenant le verre avec plaisir.

Un brin de causette pour nous connaitre ou reconnaitre, vous tente t'il ? Je cherche celle qui fait battre mon coeur sans le savoir !

Elle sourit à ces mots, trempant légèrement ses lèvres dans la chouchen.

Cela me tente bien, quoi de mieux qu’un bal masqué pour se découvrir. Peut-être pourrais-je même vous aider à la retrouver…

Elle le regardait droit dans les yeux en lui souriant, l’air de chercher à qui pouvait appartenir ce mystérieux regard.

Je ne saurai dire si nos chemins se sont déjà croisés… J’ai cru entendre que vous étiez d’ici depuis longtemps, n’est-ce pas ? Pardonnez-moi, je laisse quelque fois traîner mes oreilles sans le vouloir… dit-elle en baissant légèrement les yeux, souriant amusée.

--Devenise

Devenise réalisa rapidement que les hommes étaient en nette infériorité, et qu'à vouloir trop dissimuler son apparence, elle s'était mise en net désavantage face à des concurrentes qui n'avait pas hésité à laisser apparaître les arguments que la nature leur avait donné.

Gentes Dames et Damoiseaux, prenez cavalières et cavaliers et entrez dans la danse.

A ces mots, elle se retourna et son regard fut capté par une nouvelle entrante à l'allure éblouissante. A défaut d'aller charmer les hommes qui avaient décidé de se faire timides, elle voulu profiter de titiller ses amies à l'abri de son apparât.
Elle s'empressa d'aller récupérer un verre puis s'avança vers la Dame qui manifestement, avait opté pour la discrétion ce soir. Bien que certains atours laissaient planer des soupçons sur le visage dissimulé derrière son loup.
Etrangement, elle semblait résignée à rester en retrait, ce que notre petite friponne ne vit pas d'un bon oeil, et à quoi elle décida de remédier.

Elle s'en approcha à pas feutré, la suivant discrètement parmis les convives, sans perdre une miète du spectacle que lui offraient certains apollons. Quand sa proie fit une halte pour prendre un verre à l'un des serviteurs et observer la soirée d'un oeil bien veillant, elle se glissa à ses côtés juste à temps pour entendre un "chuuut" qui leva les derniers soupçons de notre coquine masquée. Elle posa une main délicate sur son épaule et entâma la discution de sa voit fluette.

Ah ! Quelle belle soirée n'est-ce pas ? Dommage que les hommes soient si peu représentés ! Ce qu'il sont timides, s'en est presque craquant. Que diriez vous de danser entre femmes en attendant leur arrivée ? C'est pas tout de regarder les autres danser, si on faisait tous comme vous la soirée serait bien tristounette !

Sans même lui laisser le temps de répondre, elle pris le verre de la Dame au loup et l'entraîna dans la danse, guettant d'éventuels cavaliers pour elle même et sa proie.

--Louenna

Pour l'ambiance : Cette nuit, intenable insomnie, la folie me guette ! Je suis ce que je fuis. Je subis cette cacophonie qui me scie la tête. Assommante harmonie. Je voue mes nuits à l'assasymphonie et aux blasphèmes. J'avoue , je maudis ceux qui s'aiment. ! Je noie mon ennui dans la mélomanie. Pleurent les violons de ma vie, la violence de mes envies. Siphonnée symphonie. Déconcertant concerto. Je joue sans toucher le Do

la main encore en l'air, elle les regarde, tour à tour, aurait-elle demandé à ce qu'on l'épouse ? elle ne proposait qu'une simple danse... une simple danse à un bal, quoi de plus normal. Elle sourit en lisant l'appréhension dans les regards, voire la peur chez certains. La prenait-on pour ce qu'elle n'était ? l'idée lui soutira un large sourire , elle s'apprêtait à aller voir d'autres invités arrivés entretemps lorsqu'une main ferme se saisit de son poignée et l'entraina sur la piste.

--Portos

Un bal ? Masqué ? Pourquoi pas... Cela faisait longtemps que l'homme n'avait pas participé à ce genre de festivité. Et le village de Tréguier en avait bien besoin...
C'est avec plaisir qu'il laissa tomber les travaux de son champ, pour aller se préparer.
Il prit le chemin de sa maison, couvert de poussière et de boue de la tête au pied, il grommela intérieurement l'obligation de prendre un bain se faisant ressentir depuis quelque temps, il ouvrit la porte de sa maison et la referma aussitôt qu'il fût entré.
La pièce était sombre comme à l'habitude, il gravit les marches de l'escalier et gagna sa chambre.
Il entreprit de se débarbouiller puis avec un soupir constatant que cela ne suffirait pas il alla prendre un bain, puis passa son costume.
Le choix du casque avait été fait car il n'avait tout simplement pas de masque. Cela pimenterai un peu l'affaire...

Par la suite, il se rendit enfin au château ayant pas mal tardé, la soirée étant déjà pas mal avancée.
De dehors on pouvait entendre une musique entrainante, un léger sourire apparut sur le visage de l'homme.
Il finit par entrer dans le somptueux château, et il fût ébloui par la beauté du lieux, le bal avait commencé et les invités dansaient déjà. Il salua quelques personnes et alla se poster dans un endroit tranquille écoutant la douce musique...

--.ondine.

Juste un loup.
Seulement déguisée par un loup noir qui rehausse le saphir de ses yeux. Peu lui importe, à vrai dire, d'être reconnue. Sa robe de soieries bleues qu'agrémentent pierreries et dentelles cache difficilement son rang. Ou bien, est-ce là le vrai déguisement ?

Alors qu'elle évolue parmi les invités, les décorations et le buffet gargantuesque, une musique endiablée retentit.
Le Chef d'orchestre, d'une voix grave, dit à l'envie :

Gentes Dames et Damoiseaux, prenez cavalières et cavaliers et entrez dans la danse.

Voilà. Le bal est lancé. Que les corps et les langues se délient pour une soirée mémorable.

Tout Tréguier s'est donné rendez-vous au Château du Tregor.
Mais pas seulement. Voyageurs et troubadours, musiciens et cuisiniers.
Qui sait, plus tard, montreur d'Ours et funambules.

Oui, une soirée mémorable débute ici.
Elle remarque avec envie que les costumes de ses compatriotes rivalisent d'originalité et d'audace.
Le sien est sage.
Car elle est sage.
Peut-être trop ...
Mais en elle toujours une tempête intérieure fait rage.
Une douleur vivace qui affronte un bonheur nouveau.

S'approche un valet, un plateau remplie de coupe à la main. Alors qu'il allait ouvrir la bouche, elle lui glisse un "chuut" discret. Puis d'une main délicate se saisit d'un breuvage qui pétille comme les notes de musiques tréglorieuses.

Portant à ses lèvres le verre, elle promène son regard sur la joyeuse compagnie.
Heureuse.

--Devenise

La petite friponne avait passé des heures à parfaire son déguisement, bien décidée à charmer tout beau mâle passant à portée de sourire, bien qu'elle ne pourrait pas le lui montrer. Tout ce dont elle pourrait user ce soir, c'était son regard de biche fragile et prude ton elle savait si bien jouer.

Elle arriva dans la salle des fêtes, et outre le décore sompteueux qui s'offrait à ses yeux, c'était le spectacle des hommes non accompagnés qui capta son attention. Elle s'avança alors, s'assurant d'attirer les regards en paradant et en agitant les mains comme si chaque chose qui passait devant ses yeux l'émerveillait autant qu'un coffre de pierres précieuses.

--Louis

Une coccinelle vole à lui alors qu'il tend un verre de chouchen. Elle s'en saisit. Pétillante, un brin nunuche, sans doute voulu pour brouiller les pistes.. néanmoins grâcieuse. Le timbre de sa voix la trahit .. il sourit doucement ce n'est pas celle qu'il cherche.

- En quoi z'êtes déguisé, Charmant Inconnu? Z'êtes d'ici, vous?

Il note le "charmant inconnu" et son sourire se fait plus large. Chacun s'épie du coin de l'oeil, lui en fait autant que les autres. Pendant qu'il est en conversation, un papillon fait son entrée, puis un arlequin suivi d'un encapuchonné. Diantre ! On lui pique son déguisement ou plutôt son non déguisement ? Un point commun, tous deux sont des feignants et ont plongé dans la facilité. Il reporte son regard sur la coccinelle .

- je suis de Tréguier depuis pas mal de temps maintenant ! n'essayez pas de me reconnaitre, coccinelle, nous ne nous sommes jamais croisés. Je sors très peu. J'attendais l'occasion. Elle m'est offerte ce soir !

Il abandonne la coccinelle.

- Excusez-moi un moment, Chère coccinelle, je reviens.

et s'envole vers le papillon qui correspondrait plus à celle qu'il cherche. Il prend à la volée un verre de chouchen sur un plateau qui passait à proximité. Un clin d'oeil au passage à la charmante serveuse. Deux pas plus loin, il est devant la papillon.

- Noz, papillon ! Il lui tend le verre de chouchen. Un brin de causette pour nous connaitre ou reconnaitre , vous tente t'il ? Je cherche celle qui fait battre mon coeur sans le savoir !

--Louenna

Pour l'ambiance : que m'importe les rires, les regards sur mes travers, je veux graver toutes mes luxures sur tes dorures. Te tatouer sans mesure. Laisse-toi tomber dans mes bras, glisse-moi sous tes draps, dérivons jusqu'à l'outrance. Tatoue-moi sur mes seins, fais-le du bout de tes lèvres, je baiserai tes mains, je ferai que ça te plaise !

Elle a été invitée au bal masqué. Elle a hésité et puis pourquoi pas ? masquée .. elle peut se montrer telle qu'elle est ! contradiction. Révélation. Elle sourit doucement à cette idée.

La voici devant le château illuminé. Son sourire se fait plus large devant la beauté de ce quI s'offre à sa vue.

Elle prend congés du cocher, prend en mains les jupons de sa robe. Le déguisement ne lui a pas tiré soucis. Elle a toujours été excentrique bien qu'elle le cache sous son masque de tous les jours. Bal masqué pour la plupart, bal démasqué pour elle. Enfin , elle peut montrer son vrai visage. A t-on besoin d'un bal masqué pour cela ? oui, elle se doit de se conformer à l'image qu'elle croit que l'on attend d'elle.

Aujourd'hui elle est libre. Elle ne porte un déguisement que pour qui ne la connait pas. Pour ses proches, ce n'est qu'elle. Une robe en dentelles pour son coté romantique. Corsetée, mais si peu.. laissons la respirer, que diable ! Ses cheveux ne seront pas lissés, non pas ce soir. Ses yeux charbonnés, pourquoi ? une question de goût. Quelques colliers et bracelets pour flatter. Tout le monde n'a pas le même goût, elle en est consciente et alors ? personne ne vient lui demander chaque matin comment s'habiller ! Ce soir, elle ne soucie pas du "qu'en dira t-on ", elle est elle.

Comme tout le monde elle a suivi le chemin tracé par les flambeaux. Les quelques marches sont montées. Elle suit le guide et se présente enfin à l'entrée de la salle. Quelques personnes sont déjà là. Elle observe et ne reconnait personne. Surtout pas lui. Elle ne se fait aucune illusion, lui , ne viendra pas où alors à la dernière minute, pour lui faire plaisir. Tant pis. Elle s'en fiche , ce soir elle s'amusera, autorisée ou pas, seule ou pas. La nuit est à elle.

Elle traverse la salle., pans de sa robe en mains, menton relevé. Elle n'est pas timide. Pas ce soir. Ce soir, elle est sure d'elle. Elle connait l'effet qu'elle a sur la gente masculine. Personne n'est là pour la retenir. Grand bien lui fasse. Chacun jugera de sa démarche. Pour les uns sensuelle, pour les autres provocante, pour d'autres encore , elle en rajoute des couches .. Ce n'est pas son problème, elle , se contente de marcher naturellement. Son séant ballotant d'un coté à l'autre, sa poitrine accompagnant le mouvement. La caravane passe et christos crie. Une serveuse lui propose sur plateau, un verre de chouchen.. Excellent initiative ! Un verre ne sera pas de trop ! Elle sourit à la serveure et boit cul sec et en reprend un autre qu'elle garde entre ses mains gantées. Un frisson la traverse. Elle prend une inspiration méritée and yes we can ! Rien de pire qu'une belle femme qui se sent délaissée.

- Noz, je suis louenna... pour ce soir du moins ! Elle salue comme il se doit chacun d'eux,messires et dames. Elle leur sourit doucement tandis qu'elle boit une gorgée de chouchen. Un couple est déjà sur la piste de danse. Elle les regarde un soupçon d'envie . Elle efface vite ce voile qui habille son regard et s''adresse un large sourire aux lèvres , à qui veut bien l'entendre.

- Quelqu'un est-il tenté par cette danse ? Elle lève délicatement sa main en l'air , attendant que quelqu'un ose la prendre.

-

--Bauta

Il était grandement l'heure de se rendre au bal... Il fallait se faire attendre et arriver silencieusement, à petits pas, comme glissant sur le sol... Le mystère devait se ressentir et il fallait le créer et impressionner l'assemblée...

La cape flottant dans l'air, l'étrange personnage, salua simplement en entrant, glissa jusqu'à la table où était installée les diverses boissons et observa le monde...
Certains commencaient déjà à danser... Etrange, les affinités pouvaient-elles déjà se nouer ?
Observation était d'abord le maître mot...

--Coco_cinelle

Noz Vat Dame ! Joli déguisement que voici. Mon nom est Giefroi pour ce soir et le vôtre?

Je suis entrain de discuter avec le bel inconnu quand il y a un autre encapuchonné qui vient à mes côtés. Il se présente comme étant Giefroi. Comme je suis polie, et bien, je lui répond en riant...

Noz vat, m'Sieur! Merci, merci! Hihihi! Il est beau, n'est-ce pas? Et moi, ce soir, je suis Coco, la plus belle des Cinelle!

Pour paraître la plus cruche possible, je me dandine du bas des reins pendant que je parle en ricanant.

Vous z'avez pas soif? Le chouchen est extra, ce soir!

--Aladin

En m’approchant du buffet, un home me tend une chope et me souhaite la bienvenue

Bienvenue Messire Aladin!!

Saisissant la chope en souriant sous mon masque, je me demandais comment je pourrais boire en toute discrétion

Merci, messire euh… connaissez vous bien ce village ?

Les invités continuaient d’arriver, un couple dansait déjà, un gladiateur et la danseuse voilée.

Les déguisements étaient variés, un troubadour, un arlequin, une coccinelle, un guerrier, un papillon qui arrive et l’homme masqué à la chope. Je patientais le temps de bien voir tout le monde

--Leila..

Dansant au rythme de la musique, leurs paroles masquées aux autres par le bruit de l'orchestre, il lui demanda:

- Oui, je suis de Tréguier bien que mes yeux puissent peut être trahir mer origines.

- Votre façon de parler me rappelle quelqu’un … Ne vivez vous pas depuis peu dans un domaine ?

Elle sourit sous son voile, les yeux pleins de malice.

-Hum.. Je ne sais.. Peut-être.. Peut-être pas.. Et vous? Y avez-vous vécu?

Sur un
air celtique, elle se laissa aller à tournoyer et même à chantonner en compagnie de cet "inconnu".

--Giefroi

Giefroi ré-ajusta sa capuche ainsi que sa cape. Il esperait que sa tenue ne le trahisse pas.
Il entra dans la salle et jeta un regard autour de lui. Ce sera difficile mais surement palpitant.
Il cru reconnaître quelqu'un, et rigola.
Il aperçu une jeune femme Coco Cinelle qui semblait fort enthousiaste et décida d'aller lui parler. Il y avait à manger en plus.

Noz Vat Dame ! Joli déguisement que voici. Mon nom est Giefroi pour ce soir et le vôtre?

--Gladiateur

La jeune femme sourit et lui tendit délicatement sa main.

-Avec plaisir! Peut-être cela vous décidera à me dire si vous êtes ou non de Tréguier.

Il l’emmena au milieu de la piste de danse. Il osait à peine la toucher tant elle était belle et semblait douce. Et maintenant que des yeux se braquaient sur eux, il devait plus que jamais éviter de commettre un impair. Il lui prit une main et déposa l’autre sur son épaule puis, affichant un sourire qu’elle reconnaîtrait peut être, il lui dit.

- Oui, je suis de Tréguier bien que mes yeux puissent peut être trahir mer origines.

Il l’accompagna doucement et la fit tourner au son de l’orchestre.

- Votre façon de parler me rappelle quelqu’un … Ne vivez vous pas depuis peu dans un domaine ?

--Coco_cinelle

- Noz Coco ! Puis-je me permettre ?

L'homme encapuchonné et portant un loup sur les yeux, m'offre un verre de chouchen. Je vois bien qu'il essaie de deviner qui je suis derrière mon masque et ça me fait bien rire.

Oh oui, trugarez! J'ai justement une très grande soif.

Je prends le verre que mon voisin me tend. Je me dis qu'il ne faut pas que je me trahisse. Je dois faire très attention à mon comportement pour tromper mon "adversaire". Je bois le doux breuvage en riant, au risque de le renverser sur moi.

Oups! Que je suis maladroite!

J'essuie le chouchen qui coule de mon menton sur ma poitrine qui déborde de ma petite robe. Je parle d'une voix aigüe, gaie et enjouée. Mes gestes sont sensuels, en concordance avec mon costume de coccinelle nunuche super sexy.
Je dévisage l'homme en face de moi et j'essaie aussi d'en savoir plus sur lui quand la serveuse vient nous porter des amuse-gueules. Malgré une gourmandise qui me fait saliver en voyant les bonnes choses sur le plateau, je décline son offre en prétexant une faim que je n'ai pas.

Non merci m'Dame! J'ai pas envie que ça se dépose là où il le faudrait pas! Hihihi!

En parlant, je me tortille comme un vers et place mes mains sur mes hanches en riant bêtement. Je regarde l'encapuchonné.

En quoi z'êtes déguisé, Charmant Inconnu? Z'êtes d'ici, vous?

Mes yeux scrutent son regard. Je cherche à savoir qui il est en essayant lire en lui.
La musique reprend. Un couple s'approche de la piste de danse.

Oh, ils vont danser! Comme j'aimerais savoir qui ils sont, eux aussi!!!!

--Lady_butterfly

Lady Butterfly arriva devant le château, le coeur enjoué par ce bal masqué. Elle entendait de loin de la musique s'échapper de la salle... Le bal avait donc déjà commencé.
Elle s'avança donc sur le chemin tracé par des torches, en direction de la salle de bal. Elle monta les marches en sautillant telle une petite fille, toute excitée.

Elle entra dans la salle de bal parfaitement bien décorée pour l'occasion et s'aperçu qu'il y avait déjà quelques personnes. Tous étaient formidablement bien déguisés... Il ne sera pas aisé de découvrir qui se cache sous tous ces masques...

Elle fût vite tirée de ses pensées lorsque l'odeur alléchante de petits-fours lui vint au nez. Souriante, elle s'avança donc jusqu'au buffet en saluant tous les invités.

Noz vat tout le monde !

--_arlequin_

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Le temps était passé très vive entre le moment où il fallut enfiler le costume qui cacherais son apparence au yeux des autres et le maquillage de son visage. Celui ci fut recouvert de poudre de riz, les lèvres furent redessinées au jus de cerise, leur donnant une couleur rouge vif, les yeux furent cerné de noir. Le masque noir fut ajusté ne laissant apparaître que ses yeux et le bas du visage. Un dernier regard dans le miroir lui certifia que rien n'avait été oublié. Un sourire satisfait apparut sur ses lèvres, la pièce fut abandonnée retournant au noir de la nuit qui commençait, retrouvant le silence habituel.

Le chemin menant au château ou se déroulaient les réjouissances fut vite avalé. Quelque soit sa longueur ce n'était pas pour lui faire peur, au contraire ça lui permit d'assouplir ses muscles, bien décidé à profiter de cette soirée et à s'amusée.

Les portes furent vite franchit guidé par les valets, la salle de bal était magnifique. Ses yeux ne perdirent pas une miette des décorations, tant de magnificence lui fit grande impression, on savait bien vivre dans le grand monde. Avisant le buffet dans un coin l'arlequin le rejoignit d'un pas souple presque félin. Un sourire à la serveuse pour la remercier, il s'empara du verre offert. Ses yeux se posèrent sur chaque personne présente, homme ou femme. Un sourire aimable sur les lèvres.

Le jeu était lancé....

--Leila..

- Leila, Puis-je vous inviter? Tout le monde parle mais nous pourrions aussi parler au son de la musique, non ?

La jeune femme sourit et lui tendit délicatement sa main.

-Avec plaisir! Peut-être cela vous décidera à me dire si vous êtes ou non de Tréguier.

Elle observa le gladiateur. Bel homme, mais était-il le sien?

--Gladiateur

De plus en plus d’invités, les costumes les plus beaux les uns que les autres. De plus en plus de conversations.
Non, malheureusement je ne suis pas de Tréguier, mais cela ne saurait tarder. J'aime énormément cette ville, ses habitants.

Tout le monde observait tout le monde mais lui était intrigué par la danseuse qui n'était pas de Tréguier. Il se décida.

- Leila, Puis-je vous inviter? Tout le monde parle mais nous pourrions aussi parler au son de la musique, non ?

--Boeme

C'est avec un amusement certain qu'il vit toutes ces personnes masquées se dévisager et essayer de se reconnaitre, il en avait déjà reconnu quelques unes déjà manquait plus qu'à trouver les suivantes et sans nul doute que d'autres suivraient rendrant cette tache que plus difficile...
Se servant à ras bord un verre de chouchen, il le sirotta essayant de se mélanger aux gens , observant en riant l'intérêt que les dames avait déjà réussi à capter l'intention de certains messires. La soirée ne faisait que commencer...

--Serveuse

La serveuse sortit de la cuisine, un plateau de petits fours tout chaud dans chaque main. Elle regagna la salle de bal et se dirigea vers les convives.

-M'sieurs Dames voudraient-ils des amuses-bouches?

Elle s'amusait de voir les personnes se chercher, elle observa les personnes présente avec un léger sourire.

--Louis

Interrompu dans ses pensées, un homme surgit devant eux.. il se dit être "aladin".. Il se salue comme il se doit. Peu importe qui est qui pour lui, elle seule compte. Il accueille le nouvel arrivé. Quelque chose en lui , lui semble familier, il ne saurait dire quoi. Il les a tous étudiés dans l'ombre. Il se contente de lui sourire et lui fait passer une chope en étain rempli de chouchen.

- Bienvenue Messire Aladin!! lui tend la chope de chouchen , demandée auprès du serveur derrière le buffet. Lui aussi semble porter un intérêt certain sur leila. Seraient-ils plusieurs à voir leur belle en la personne de Leila?

La soirée ne fait que commencer.. Tout est permis !

ah ! enfin une autre invitée féminine. Tout se complique. Elle se nomme "coco". Il la détaille de haut en bas .... et zut ! Elle aussi à un corps de déesse, un grain de peau de velours , se déplace langoureusement et sensuellement .. Se seraient-elles donné le mot-

- Noz Coco ! puis-je me permettre ? Il lui tend une verre de chouchen

--Leila..

- Je suis effectivement de Tréguier. Né à tréguier, et pour être tout à fait honnête et laisser courir un indice, ma première sortie me fut .. fatale ? première sortie et premier émoi devant celle qui m'accueilli si gentillement . et vous, êtes-vous de Tréguier ?

-Non, malheureusement je ne suis pas de Tréguier, mais cela ne saurait tarder. J'aime énormément cette ville, ses habitants.

Elle observa le messire, se demandant qui se cacher sous ce déguisement. Elle ne connaissait pas encore assez les anciens de la ville pour retrouver qui s'était, mais elle pouvait en éliminer déjà quelqu'un.
Sentant un regard sur elle, Leïla jeta un rapide regard à la ronde, ne voyant pas de qui il pouvait venir, elle se retourna vers l'homme sous sa capuche, lui souriant sous son voile.

--Louis

Son regard gris s'illumine à la vue d'une danseuse. Un corps de déesse ! Il espère qu'il ne se trompe pas. Le même grain de peau, les mêmes courbes langoureuses et sensuelles, la démarche légère et grâcieuse. La poitrine haute, ferme, épanouie.. Serait-ce elle ? il ne sait. Leila ? voyez vous cela ! Il sourit . Il faudrait qu'il l'approche. Une femme peut en cacher une autre , surtout derrière un masque. On lui sert une boisson de bienvenue. Elle est la première à oser une question. Il sera le premier à lui répondre :

- Je suis effectivement de Tréguier. Né à tréguier, et pour être tout à fait honnête et laisser courir un indice, ma première sortie me fut .. fatale ? première sortie et premier émoi devant celle qui m'accueilli si gentillement . et vous, êtes-vous de Tréguier ?

Il regarde du coin de l'oeil de gladiateur qui semble, lui aussi , intrigué par la déesse. Se questionnerait -il lui aussi ?

--Coco_cinelle

C'est sous un ciel étoilé que je marche en direction du château où va se dérouler le grand bal masqué que tous les villageois attendent depuis plusieurs jours. L'air est encore un peu frais en cette saison, mais rien de comparable avec les semaines précédentes. Une simple cape sur le dos et me voici presque à l'entrée de la salle de bal. Une douce musique s'échappe d'une des fenêtres et je me demande qui peut jouer aussi bien à Tréguier..

Je monte doucement les marches qui mènent à la salle et je vois qu'il y a déjà du monde. Je suis rassurée de voir que je ne suis pas la première dame à être là. Une danseuse orientale discute avec les messieurs présents tout en buvant un verre.
La salle est splendidement décorée. La serveuse du château est venue me débarrasser de ma cape, mais je garde mon masque. Le but du jeu est bien de ne pas se faire reconnaitre, non?!
Je m'approche du buffet et je me présente auprès des autres convives.

Noz vat! Je suis Coco. Je suis l'insecte le plus charmant du monde, la bête à Bon Dieu comme on dit! Puis-je me joindre à vous

--Aladin

Une allée de flambeau guidait ses pas jusqu’à la grande porte du château. Son habit ne laissait rien paraître, la lampe posée sur son coussin, il fut porté comme par magie à la salle de bal ou une dame accueillait les invités

Je me nomme –Aladin et me voici par la magie des vœux

Un sourire sous son masque et il pénétra dans la salle. Il admira les lieux. Quelques invités se servaient à boire dont une ravissante danseuse. Il s’approcha du buffet.

--Leila..

Leïla alla se faire servir un verre auprès d'une des serveuses présentes, puis revint vers les trois hommes.

Oui, buvons, cette soirée sera magnifique, je crois.

-Je le crois aussi, il n'y a pas de raison qu'elle ne le soit pas.

Soulevant légèrement son voile, sans pour autant montrer son visage, elle porta le verre à ses lèvres. Puis elle s'adressa au trois messires.

-Puis-je me permettre de vous demander si vous êtes d'ici?

--Gladiateur

Les invités commençaient à arriver et l’homme encapuchonné avait proposé de boire.
Il ne se fit pas prier.

Oui, buvons, cette soirée sera magnifique, je crois.

Il but cul sec et se servit immédiatement un autre verre observant tour à tour les participants.
Son regard fut de suite attiré par la superbe danseuse au corps de rêve.

--Louis

Louis s'est fait déposé devant le Château. Il découvre Tréguier sous ses plus beaux atouts.

Il s'élance sur le chemin, les flambeaux lui faisant une haie d'honneur. Il gravit les marches d'un pas lent et assuré. Il ne craint pas d'être reconnu, il ne connait personne. Sa première sortie en publique. Un bon mètre quatre-vint lui confère une stature imposante sublimée par son long mantel. Telle une ombre, il pénètre dans le Château du Trégor. Se laisse guider, sans mot dire, par le personnel et entre dans la salle de réception. Un gladiateur et un troubatour étaient déjà sur les lieux. Il les salue d'un signe de tête.

Il garde néanmoins sa capuche, et l'on comprendra aisément qu'il n'y a point là un signe d'impolitesse. Elle fait partie de sa panoplie. Il s'approche du buffet se faire servir un verre puis engage la conversation pour rompre le silence.

- Messires, on ne se présente point un soir comme celui-ci cependant laissez-moi le plaisir de demander à ce que l'on vous serve de quoi vous désaltérer .. le chouchen est de coutume par ici, si je ne m'abuse !

Il demanda les verres de chouchen et leur fit passer les gobelets en étain.

- Que les masques tombent !

Il but cul sec.

--Leila..

La jeune femme se présenta à la porte du château d'un pas timide. Elle avait peur d'être reconnue trop vite malgré le voile dissimulant son visage, ne laissant apparaître que ces yeux. Elle avança dans l'allée de flambeaux, et gravit les marches. Elles étaient fraîches sous ses pieds nues, aussi accéléra-t'elle un peu. Elle entra dans le château, et se laissa docilement guider jusqu'à la salle de bal. Lorsqu'elle pénétra dedans, elle sourit sous son voile, ses yeux pétillants trahissant son plaisir. Le décor était sublime. Elle s'avança vers les personnes déjà présentes.

-Nozvat à tous, pour ma part, je me laisserais bien tenter par un verre de chouchen pour bien commencer la soirée en effet. Pour le temps d'une soirée, appelez moi Leïla, cela sera un peu plus simple que de m'appeler "la danseuse".

Elle sourit sous son voile, qu'elle replaça comme il se doit sur son visage.

--Boeme

Le bal venait tout juste d'ouvrir et sans doute que les invités timides n'osaient pas encore entrer, il décida donc de faire le premier pas, ajustant son masque devant ses yeux pour ne pas être géné et éloigna rapidement la distance qui le séparait des portes, sa cape virevoltant sur son costume coloré et chatoyant de troubadour. Et quoi de mieux que de commencer ce bal avec un peu de musique ? Il porta sa flute aux lèvres et les premières notes résonnèrent dans la salle immense superbement amenagé et décoré. L'air doux glissait sans interruption dans l'air ambiant, il s'interrompit un moment, ouvrant les yeux après s'être fait envouté par sa musique, son regard se porta sur la porte, où sans doute les prochains invités allaient arrivés.

--Gladiateur

Il marcha sur le chemin illuminé de flambeaux.

Il entra dans la grande salle. Celle-ci était superbement décorée. Rarement il avait vu tant d’éclat et de lumière. Partout où ses yeux se posaient, il n’y avait que boiseries sculptées, dorures, miroirs étoffes et tissus de grand prix.
Un seul invité était présent. Impossible de deviner qui c’était.
Il se dirigea la où il pourrait boire. Il était un peu nerveux.

Il admira encore la salle, attendant que d’autres invités arrivent.

--Marie_e_keraouleg

Marie est prête, tirée à quatre épingles. Elle ne se lasse pas d'admirer la salle de réception décorée par Amaellya.

Les ornements dorés des portes et des murs donnent un air princier au lieu. Les lourds rideaux de velours bordeaux ont été tirés pour donner une ambiance plus intimes. De grands lustres à pampilles balisent la salle . Les tables portent de beaux chandeliers dont les petites flammes dansent déjà. Les cheminées crépitent depuis le matin, il y fait une douce chaleur.

Elle se déplace pour redresser un ou deux noeuds accrochés sur le dossier des fauteuils. Un regard sur les tables : Le service des grandes occasions est de sortie, les verres étincelants reflètent les lueurs des bougies. Les flambeaux muraux se laissent aller au gré des courants d'air.

Elle traverse la piste de danse, encore un sourire aux musiciens, et la voilà qui lisse un rideau pour que tout soit parfait. Au passage un dernier regard à travers la fenêtre qui donne dans les jardins. Des hauts flambeaux ont été planté dans le sol ouvrant le chemin pour cette nuit mystérieuse. Elle sourit en voyant l'arceau qu'Aewenn a gentiment décoré de fleurs à l'entrée du château. Quelques lanternes ont été disposées à ses pieds le mettant en valeur. Des invités arrivent déjà.

Le rideau en place et se retourne satisfaite. Oui, cette nuit va être une belle nuit !

Elle s'avance à l'entrée de la salle, accueillir les invités masqués.

Imagine

petit rappel : Comme son nom l'indique le bal est masqué. Vous devrez donc y entrer masqué , c'est à dire sous un "pjn" (m'envoyer un courrier si vous ne savez comment faire)

Contexte :

. A Tréguier , dans la salle de bal du château appartenant à la famille d'Artignac. Salomé est la Duchesse, son fils, Gwenael. est le Duc du Trégor (appelé aussi Nael). L'ancien Duc Nilas, époux de Salomé et père de Gwenael , est récemment décédé. Nael a pris la succession. Le bal masqué se déroule le soir ..

. But : en plus de fêter le printemps, de danser et s'amuser, il faut se reconnaitre.. Attention ! les couples ne trichent..y'a pas de "tu me dis en quoi tu te déguises et moi je te dis".. On joue le jeu

**** BAL MASQUE DE TREGUIER ****

Pour célébrer le printemps, nostre Duc héritier du Trégor, Gwenael d'Artignac donne un bal masqué. Les Tréglorieuses et les Tréglorois sont conviés ainsi que les voyageurs séjournant dans notre ville. Nostre bon Duc prendra la parole à la fin du bal.. mais peut-être est-il déjà parmi nous !

Salomé d'Artignac , nostre Duchesse Douairière du Tregor nous fera l'honneur d'ouvrir le bal.

Le château vous ouvre ses portes. La salle de réception décorée pour l'occasion vous tend les bras. Il ne reste plus qu'à vous souhaiter la bienvenue au pays des masques !

Laissez vous emporter par le mystère qui règne ce soir ! découvrez-vous ou bien révélez-vous derrière vos masques ! qui sait un masque peut en cacher un autre ...

Enfants de Bretagne , que la fête commence !

L'équipe du Conseil Municipal de Tréguier
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--Serveuse

La serveuse venait de finir de dresser les tables, déjà les portes s'ouvraient. Les musiciens commençait à jouer un doux air comme pour inviter les gens à se rendre dans la belle salle où le bal allait commencer. Elle regarda le résultat avec un sourire, alla remettre une bûche dans chaque cheminée, afin que la pièce soit agréable pour tous et disparu en cuisine où les cuisiniers auraient besoin d'elle.

--Bauta

Voit arriver la danseuse et Aladin... Celui ci lui tend un verre, je le sirote doucement tout en les écoutant se passer les faveurs à savoir qui pourra profiter de sa présence...

Je tourne la tête de droite à gauche, ne disant rien... Se dit que quand ils auront décider qui va avec qui, je prêterai un plus d'attention à leur propos...

Et elle laissa la priorité à Aladin... Voilà que j'étais décu pensant l'inviter pour une danse...

Je continuais donc à m'empiffrer de mets et de chouchen, ne sachant si j'allais tenir le coup à ce rythme là... Je décidais donc de m'excuser et d'aller inviter Louenna avant qu'elle ne se fasse embarquer par quelqu'un...

Excusez moi messire, mais une urgence de questions me turlupine et je vais donc inviter votre cavalière qui s'est enfuit très vite... Je reviens dès que possible...

Filant vers la beauté, un incident survint, la coccinelle se mit à crier et se jette sur quelqu'un d'allongé...
N'ayant aucune compétence médicale, je restais à l'écart et attendit que d'autres fassent office...

Zakarine

Deux hommes travaillant au Domaine avaient été appelés à la rescousse par la serveuse. Ils vinrent avec un brancard au beau milieu de la salle pour ramasser la dépouille mortelle de Lord devant la foule d'invités médusés. Personne n'avait osé bouger....
Zakarine se détacha doucement de lui et se leva à leur arrivée. La rousse ne quittait par son compagnon des yeux.

Faites très attention, s'il vous plait. Il est.. extrêmement douillet... Je ne veux pas qu'il ait mal...

Bien M'Dame...

Un sourire étrange se dessinait sur son visage, comme si elle était dans un autre monde.. Les hommes terminèrent leur ouvrage en posant délicatement le cadavre sur la civière. D'un geste de la tête, ils se concertèrent pour savoir qui porterait l'avant et qui serait à l'arrière. Ils prirent chacun les deux hampes du brancard et commencèrent à marcher. Ils la devancèrent jusqu'à la sortie, mais Zakarine se précipita pour marcher à leur côté. Elle tenait fermement la main de son amour. Elle ne voyait plus ce qui se passait autour. Elle n'avait d'yeux que pour lui. Les gens les laissèrent passer sans un mot.

Ils emportaient Lord jusqu'à sa dernière demeure. La fête pouvait continuer...
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[RP] * GRAND BAL MASQUE de Tréguier *