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[Jeu] Les loups-garous

Tellusine
ljd Skarn ayant des problèmes d'ordinateur ne participera pas à l'élection, j'espère qu'il pourra venir rejoindre le jeu rapidement. La nuit commence c'est donc aux loups garous de se réunir dans leur repaire et aux voyant, chasseur, sorcier de m'indiquer s'ils utilisent ou non leur pouvoir par courrier
résultats des attaques de loups et villageois avec un pouvoir spécial demain matin




La nuit est bien avancée sur le hameau lorsque le maire est enfin élu. Thamara (Ysabelot) sent ses épaules s'affaisser sous le poids de la charge qui lui est confiée. La nuit porte conseil et demain il faudra sacrifier l'un d'entre eux dans l'espoir de sauver les autres villageois. Ont il porté une bête sanguinaire à leur tête ?

La lune accompagne tous les villageois vers leur demeure. Le ciel semble leur laisser un message par sa couleur inhabituelle, comme si le sang se propageait tel un présage de mort descendant sur le hameau. Le vent se lève. Chacun referme bien vite la porte derrière lui, sentant le souffle de la bête dans son cou, ou alors est ce le vent. Les amoureux se séparent à regret et espèrent peut être pouvoir se retrouver plus tard...

La nuit tombe sur le hameau, les chandelles s'éteignent une à une, tous les villageois s’apprêtent à passer une bonne nuit de repos.

Un hurlement se fait entendre, porté par le vent, bientôt suivi d'autres tout aussi sinistres. Tout le monde est il vraiment endormi ? ...
Ezekiel, incarné par jake


[ Minuit, l’heure du crime … dans le hameau maudit … ]

Dans le hameau maudit, il se passait d’étrange chose la nuit et Ezekiel n’était vraiment pas à l’aise quand il entendait chaque matin les disparitions, d’abord, cela avait été les moutons de Gaston le paysan, ensuite la vache de Cunégonde la laitière, et à présent Hector le barbier, avait trépassé cette nuit. Si en plus on s’en prenait aux villageois à présent, le danger était vraiment aux portes.

Ainsi, les villageois s’étaient donnés rendez-vous sur la place devant un grand feu afin de voter pour celui ou celle qui serait le maire. Le forgeron avait voté pour son ami moustachu qu’il connaissait depuis longtemps, au moins, il était sûr qu’il prendrait les sages et justes décisions pour la communauté.

Petit regard vers les habitants, et sur la nouvelle arrivante qui avait été élu maire. Ezekiel l’intimidait beaucoup et son regard la fuyait plus qu’autre chose. Il cherchait à comprendre pourquoi choisir une inconnue comme maire ? Ezekiel se gratta la tête rasée, l’air penaud. Oui, tout le monde connaissait Ezekiel le forgeron pour sa lenteur d’esprit à comprendre les choses de la vie, mais le Très-Haut, lui avait donné une force colossale qui l’aidait pas mal dans son métier.

La nuit était tombée et la pleine lune rouge sang venait une fois de plus angoisser les habitants du hameau maudit. Ezekiel rentra chez lui pour se reposer, le repos du guerrier dit-on … Il trouva le repos bien vite, épuisé de sa journée de labeur avec une pensée pour cette demoiselle Thamara. Pourquoi hantait-elle ses pensées ?
Skarn
Citation:
    IRL: je suis là. ce soir j'ai encore à ré-intaller 2-3 truc mais je joue^^


Skarn qui se foutait bien de ses gens un peu trop superstitieux riait dans sa barbe.

il avait pas voter pour un maire car ils sont tous plus pleurnichard les uns que les autres.

Mais là, on était quand même plus à la perte d’un mouton ou une vache.
Il y avait quand même mort d’homme.
Donc, Skarn était sur la place à regarder les autres et à attendre la suite des évènement
Anna..
La nuit était en train de tomber sur le village. La petite Anna n'était pas vraiment rassurée. Elle sentait la tension dans l'air, même si pour l'instant tout le monde s'était efforcés de lui cacher ce qui se passait.
Sa mère l'avait couché dans son lit et la borda avant de l'embrasser sur le front. Elle souffla ensuite la bougie et sortit de la chambrée. La petite fille regarda vers la fenêtre et regarda la lune rouge, rouge sang. Elle frissonna et se cacha sous son drap.
Epuisée, elle finit par sombrer dans les bras de Morphée.

Bien plus tard, au milieu de la nuit, un hurlement retenti. Un hurlement terrifiant. La petite fille se tourna et retourna dans son lit.


- Maman!!!!

Elle se cachait sous son drap en attendant, mais elle avait perdu son doudou. Elle se redressa un peu et attrapa vite le doudou avant de retourner sous le drap, bien à l'abri.
Mais sa mère n'arrivait pas. Peut-être dormait elle trop profondément. Anna ramassa les coussins sur son lit et les installa autour d'elle, bien serré, pour faire une mini forteresse. Elle joua un moment avec son doudou, surveillant les bruits, avant de sombrer de nouveau dans le sommeil et ce jusqu'au lendemain matin.

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Fransdunord
Frans marchait, revenant de son second champ de blé qui lui rapportait plein de blé , bon moins de blé que le premier champ de blé, mais quand même...
Il marchait tranquillement en souriant car c'était l'heure d'aller retrouver sa belle et le petit ange qui devait déjà être au lit à cette heure.

Tout en marchant et en pensant à elles, il ne s'était pas rendu compte qu'il était à présent seul sur le chemin : plus personne n'était là, tout le monde était rentré chez lui. La nuit était noire, mais en même temps, éclairée par une lune qui était pleine... Il songea aux loups, c'est vrai que ca avait commencé...

Malgré sa carrure, il n'était pas vraiment rassuré et pressa le pas en direction du domaine. Et il se mit à courir quand il entendit un bruit de feuilles non loin de lui...

Il ne l'avouerai surement pas, mais tout ca lui foutait la trouille... Il lâcha sa faux, bêtement, puisqu'il aurait surement pu s'en servir comme arme en cas d'attaque, et courut comme un dératé jusqu'a la grille qui représentait la terre promise...

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Xin
Bon dieu qu'est-ce que je suis venu m'installer dans ce trou?!!!
Il pensait tout haut le Xin, signe certain d'agacement.

Il lui avait bien plut ce coin au début, mais depuis un bon moment, des rumeurs circulaient.
Des moutons qui disparaissent ou étaient retrouvés en morceau, puis une vache...
Si ça continue comme ça, ça va finir par un meurtre.
Mais il était mal renseigné le ptit nouveau, car ça, ça avait déjà commencé!

Marchant dans la ville, voyant le soleil doucement se coucher, il observa: des coins sombres, des gens qui ne lui inspiraient pas confiance.
Alors quand il avait fallut élire quelqu'un, il avait jeté sur une demoiselle comme lui: toute neuve ici.

Il croisa du monde durant sa promenade, comme ce molosse avec son crane lisse comme un galet et des pognes a briser un cou sans forcir...
Une bonne tête de tueur celui-là... enfin non, vu le regard...

A force de vagabonder, il finit par voir la lune qui se levait.
Alors il prefera retourner chez lui, dans cette baraque pleine de courant d'air où chaque souffle de vent venait s'insinuer.

Allongé sur sa paillasse, il entendait des bruits aux alentours, mais peut-être n'étais-ce que son imagination... ou peut-être pas...
Il s'endormit enfin.
Tellusine
Le jour se lève sur le hameau maudit. La nuit a été courte pour la plupart des habitants du hameau. Des hurlements et des cris ont déchiré le silence nocturne et les villageois se sont terrés chez eux. Pourtant les peaux se sont ouvertes, les ongles les dents se sont allongés pour devenir des armes efficaces et fatales. Cette nuit des appétits ont grandi. Cette nuit rouge, une âme a quitté le hameau pour rejoindre des lieux plus paisibles, mais sa dernière heure a été terrifiante.

Une petite fille dormait paisiblement dans sa chambre lorsqu'elle a été réveillée par les hurlements, ou alors était ce le vent et son imagination débordante ? Le baiser de sa mère n'aura pas suffit à la réconforter et la forteresse qu'elle s'est construite autour d'elle ne saurait suffire à éloigner la meute que sa chair tendre pourrait attirer. Sa porte a craqué plusieurs fois dans la nuit...

Un homme a couru à perdre haleine, poursuivi par le sans nom en personne, lâchant son outil qui le ralentissait dans sa course effrénée. Cette faux pourtant, transformée en arme improvisée aurait pu le sauver, si seulement il ne l'avait pas lâchée. si seulement il était rentré plus tôt, si si si ...

Les loups n'attaquent que ceux qui sortent, les habitants ont dormi rassurés par cette certitude qui les a convaincus. La porte refermée, la chaleur du foyer, la douceur de leur couche, bien à l'abri du monde extérieur sous l'épaisseur qui les protège du froid. Demain leur certitude sera entamée et la peur les accompagnera jusque dans leur sommeil car les bêtes ont mangé cette nuit et sont rassasiées, la chair d'un homme, attendrie par les années, les a comblés. Proie facile me direz vous et pourtant ... Les loups fêteront leur festin ce soir autour du feu, pendant que les villageois désigneront l'un d'eux pour le purifier au bûcher en priant pour que la bête cachée apparaisse dans les flammes. Mais l'heure n'est pas au sacrifice. Les restes de Datan gisent encore sur la place du hameau et les villageois doivent mettre leurs peurs de côté pour lui rendre le dernier hommage auquel il a droit.

Le hameau n'a jamais autant bien porté son nom qu'en ce matin glacial, ils sont tous maudits et le resteront tant que le sang règnera parmi eux.


à vos RP pour raconter cette nuit puis la journée qui suit en terminant par le conseil autour du feu pour désigner l'un d'entre vous qui sera sacrifié sur le bucher en espérant que ce soit bien un loup qui périra dans les flammes , amusez vous bien, bon RP surtout, résultats du bucher demain matin.
Repos bien mérité pour nos villageois possédant un pouvoir et pour nos loups qui digèrent leur pauvre victime
Datan
Maudit voisin... Maudite blessure... Maudite fin...

Il le lui avait promis et n'était pas du genre à oublier ses promesses ! Peu importe ces histoire de loups à corps humain, Datan ne voulait pas priver son voisin de son outil de travail. Quelques jours plus tôt, le pauvre homme avait cassé son outil de travail et ne pouvait plus s'occuper des champs de riches propriétaires. C'est qu'il travaillait bien, sans jamais se plaindre ; peut-être d'ailleurs qu'autrement Datan n'aurait rien fait. Mais il s'était pris d'affection pour lui, alors...

Il avait demandé à se qu'on lui confectionne une belle faux toute neuve en remplacement de celle qui n'avait pas résisté à ces trop nombreuses journées de labeur. Une belle faux à la tête parfaitement courbe, du beau travail.

Alors pourquoi, avec toutes ses rumeurs de bête féroce, le Vicomte s'était amusé à sortir à la nuit tombée ? La raison est malheureusement fort simple ! Il avait appris que l'homme fêtait son anniversaire et le cadeau tombait à pic.
Alors il se rendit chez lui pour le lui offrir. Personne.
Il alla à l'auberge où il pourrait le trouver. Personne.
Il eut ensuite l'idée de la Taverne municipal, mais là encore... Personne.

La nuit était tombée et il ne l'avait toujours pas crois. Alors il se rendit encore chez lui et déposa devant sa porte, légèrement cachée pour qu'elle ne se vit point de dehors, le bel outil tout neuf.
Et rentra chez lui.

Maudit voisin...

Il arpenta la rue Joe-Cole, celle qui monte un peu et se dit que la température avait bien baissée ce soir. Des broussailles remuèrent derrière lui, vieilles branches poussées par le vent. le vent ? Aucun, non, pas un brin.
Datan se retourne mais ne voit rien. Il poursuit et force le pas. Un rôle qui s'amuse avec ces histoires de bêtes, certainement. Mais les vieilles douleurs se font rarement oublier et à force d'appuyer le pas, sa jambe gauche le fait souffrir. Il s'arrête un instant ; pas eux.

A la lueur de la lune, deux formes trop larges pour être humaine s'approche, l'air vicié s'échappant d'elles. Datan se redresse.
Qui va là ?

Rentrer, devient la seule idée en tête. C'est ridicule mais ne pas voir est pire que d'avoir des manants bien visible à occire. Il augmente l'allure, le souffle est court, la jambe suit avec souffrance. Quelques marches et la rue tourne pour s'ouvrir sur la place du marché. Quelques marches... sauf cette maudite dernière, celle qui fait chuter la jambe blessée...

Maudite blessure...

L'homme se relève et se retourne, poignard en main, il les sent proches, juste derrière. Personne. Il bondit en avant et s'engage sur la place, le sang gicle avec force, il ne sent même pas qu'il s'agit du sien. Une patte énorme frappe son dos, il est à terre. La main tendu serrant le poignard en est bientôt dépossédé.
Datan sent qu'on le lassère, la fin est proche, un cri s'échappe ; il ne reconnait pas sa propre voix.

Maudite fin...

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La Rose, l’Épée, le Poitou - Champion civil et Médaillé du Mérite Militaire - Épervier dans l'âme...
Thamara, incarné par Ysabelot




Dire qu'elle avait bien dormi était un doux euphémisme, elle n'avait pas trainée la veille au soir pour bien vite s'enfermer dans sa nouvelle maison encore bien vide. Loin de tout se qui faisait ses habitudes elle se sentait vaiment vulnérable, et puis surtout, il lui fallait réfflechir et il y avait urgence. Ces gens sans meme la connaitre l'avait élue maire ... et elle avait pas pour habitude de tourner dos aux responsabilités. Mais là ! ... Toute la nuit donc ou presque elle se rememora leurs visages, leurs expressions, cherchant en vain un indice qui pourrai l'aider. Il y avait se blondinet qu'elle avait vu en arrivant, cet homme assez agé pour avoir de l'argent dans les cheveux qui l'avait marqué par sa prestance, une mère et sa fille ... un frisson d'effroi passa dans son dos ... une enfant ... pourvu que ... Tournant la tête elle observa terrifiée la lune de sang qui montait dans le ciel tendit que des ... loups hurlaient au loin ... Elle se leva d'un bond manquant mettre par terre sa chaise et fit les 100 pas dans sa chambres ... vite vite il fallait trouver ... à qui faire confiance ? A se nouveau tout comme elle en ce lieu ? S'il est nouveau il ne peut être un de ces montres ... à moins qu'au contraire ce soit lui qui ai ammené cette malediction par ici ... mais alors ... regard d'effroi sur ses bras et ses jambes il se pourrait que ... non je m'en souviendrais si j'en étais un ... cela ne doit pas être possible ... Epuissée elle s'assit sur son lit les genoux repliés dans ses bras. Elle aurai donné cher pour une presence ami à ses cotés ... à des bras puissant ou se refugier ... des bras un peu comme ceux de ce forgeron ... Les yeux rivés sur le noir de la fenêtre elle tentat de ne pas s'endormir, de continuer à réflechir mais morphée eu raison d'elle et elle fini tout de meme par lacher prise.

C'est un rayon de soleil qui l'eveilla ce 1er matin, la ville était silencieuse ... bien trop silencieuse ... Il s'était forcement passé quelque chose son instinct lui hurlait de se depecher ... Elle sortit en hate de sa demeure et couru vers la place du hammeau et failli huler d'effroi devant le macadre spectacle. Elle eu a peine le temps de se retourner que déjà son estomac voulait remonter au travers sa gorge.
Du calme hurlait une part d'elle même ... des horreurs tu en a vu d'autre ... reprend toi ... Doucement elle retourna la tête vers l'affreu spectacle pour voir si elle pouvait reconnaitre la victime ... faites que ce ne soit pas ... un soupir de soulagement honteux s'echappa de sa poitrine quand elle reconnu l'homme de belle prestance au cheveux d'argent ...

Personne sur la place et pourtant il fallait prevenir ... Il fallait qu'il porte en terre le malheureux avant que des chiens erants ne s'en mêlent ... Ils leurs fallaient surtout discuter des nuit à venir et de leur sécurité ... Mais comment prevenir tout le monde quand on connait personne ... Elle regarda à droite et a gauche paniquée quand ses yeux s'arrete soudainement sur ... Le clocher ... voilà la solution ... sonner les cloches ... et la voila courant vers l'église pour sonner le tocin à tout va pour rassembler tout le village.
Helena.
Une nuit pas comme les autres..une nuit de peur et de crainte. La brunette avait couchée son Ange avec inquiétude. Frans n'était toujours pas revenu et la jeune femme s’inquiétait. Comme chaque jour après une histoire du soir elle avait bordé sa fille et déposé un doux baiser sur le front innocent.

Refermant doucement la porte elle avait rejoins son propre lit tournant sans cesse à la recherche du sommeil. Sentant un contact contre elle sursauta de peur se retourna attrapant le bougeoir pour s'en servir comme une arme. Ce n'était que son blondinet qui rentrait enfin et la rejoignait dans leur lit.Un maigre soulagement se dessina sur son visage. Son sommeil fut agitée et lorsqu'elle entendit la voix d'Anna puis un cris qui glaça son sang. Elle sauta du lit secouant Frans paniquée courant dans la pièce d'à coté. La jeune femme laissa passer un petit soupire de soulagement de trouver sa fille seine et sauve. Sans bruit,elle la prit dans ses bras et l'emmena dans le lit avec elle et son blondinet. La nuit se termina ainsi sans vraiment d'autre bruit mais le silence devenait même inquiètant.

La jeune femme fut tirer du sommeil par le son des cloches de l’Église. Un posa un tendre baiser sur le front de sa puce puis sur les douces lèvres de son amour. Chacun se réveilla doucement. Helena avait la boule au ventre. Ouvrant la fenêtre elle vit un spectacle effrayant... Elle poussa un crie l'étouffant en mettant sa main devant la bouche.


HAAAAAA


Son regard se posa sur la silhouette déchiqueté qui trônait sur la place du village. Tremblante elle se tint au rebord de la fenêtre

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Skarn
Skarn était pas de bonne humeur.

Hiers il avait fêté dignement l’anniversaire de son amis avec 2-3 voisin.
Un brave type qui avait pas eu beaucoup de chance ces derniers temps

Dire qu’ils étaient bien fait serait un doux euphémisme.
Skarn était "joyeux" comme rarement.
Chanson païennes et autre jeux à boire était de la partie….

Enfin au début, car après un beau trou noir.
Se souvient plus de rien le Skarn.
Alors le réveille entre les bouteille vide lui rappela pourquoi ce si terrible son de cloche était dans sa tête.

Skarn sortit et ce couillons de voisin avait mis sa faux pile poil sur son chemin se qui lui arrachât un terrible cris de douleur au pied.
Il gratifia l’objet de quelque jurons et le jeta plus loin

Il rentra donc chez lui en boitant et profitant de la tenaille sur sa tête.
Une journée pourrie commençais.


Il alla donc en ville pour le petit dej et découvrit le corps du noblion étendu et lacéré….

Un vrais journée pourrie en effet...
Crisolde
Elle s'était couchée tôt mais avait mis bien du temps à s'endormir avec toutes ces histoires de loups garous qui circulaient.
Elle avait pris soin de faire rentrer Frip et Garou ses deux matous , ils pourraient faire des proies faciles et elle ne voulait pas les perdre.
Elle avait aussi consciencieusement barricadé portes et volets... on ne sait jamais!

Avant de sombrer dans le sommeil, elle avait cru entendre des bruissements étranges et des halètements provenant du dehors, mais ses matous n'avaient même pas daigné se réveiller, et elle cru que son imagination lui jouait des tours.
Et c'était sans doute Mistigris qui rentrait de patrouille.

A 3h , comme chaque nuit, elle se réveilla pour se rendre au fournil où elle préparait le pain pour le lendemain.
Frip, son matou noir lové sur le manteau de la cheminée, suivait chacun de ses mouvements avec attention.

Vers 5h30 Mistigris passa la saluer, il partait contrôler les voyageurs à l'octroi, il fallait qu'il soit là à l'ouverture des portes s'il ne voulait manquer personne.

Une fois les miches bien alignées et prêtes à être enfournées, elle s'accorda une pause bien méritée et se rendit à la cuisine où un café fumant l'attendait sur le coin du fourneau.

Elle décida de faire un tour dehors pour voir si tout était en ordre; aguerrie aux patrouilles pendant la guerre, elle ne ressentait nulle peur.

Il était encore très tôt, mais la pleine lune, haute dans le ciel, éclairait presque comme en plein jour.
L'air était glacial et elle frissonna.
Tout semblait calme et tranquille, quand soudain, en traversant la cour, elle entendit un long hurlement sinistre, bientôt suivi de grognements sourds. S'ensuivit comme un bruit de lutte et toujours ces grognements.
Cela semblait provenir de la place du village.

Elle attendit encore quelques instants, mais plus rien ne se produisit et elle décida de rentrer.
Elle fit le tour de la maison pour voir si tout le monde était bien là. Ses matous avaient les poils hérissés comme s'ils avaient vu le diable en personne. Sa soeur dormait à poings fermés , tout comme sa filleule Pati.
Tout allait bien et elle retourna à son fournil pour cuire la fournée du jour et retourna se coucher; dans deux petites heures les miches seraient dorées et croustillantes à point.

Le soleil se levait et la journée promettait d'être belle. L'air embaumait le pain frais et la levure, quand soudain retentit le tocsin. Elle se leva d'un bond et courut sortir ses miches du four avant d'aller voir ce qui était arrivé.
C'est Mistigris qui le lui apprit en rentrant... le seigneur Datan avait été victime des loups garous et gisait mort sur la place du village.
Elle était atterrée par la nouvelle. Elle pressa Mistigris de questions:

On sait quand ça s'est produit exactement? Quelqu'un a-t-il vu ou entendu quelque chose ?... mais allez parle ... dis moi quelque chose!!! Et toi ce matin en partant, tu n'as rien entendu, rien vu en allant au chateau?

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Râleuse notoire
Lieutenant de Police de Poitiers
Anna..
Au petit matin, les cloches de l'église volant à toutes volées, réveillèrent la petite famille. Anna se réveilla dans le lit de sa mère. Elle regarda autour d'elle, un peu surprise, se frottant les yeux. Elle regarda vers sa mère en l'entendant crier, puis la vit pâlir. Elle alla au bout du lit à quatre pattes, puis se glissa au sol. Elle alla rejoindre sa mère, et tira doucement sur sa chemise de nuit.

- Maman...? Qu'est-ce qui a?

Elle se hissait sur ses pieds pour voir, mais était un poil trop petite pour voir. Pour cela il fallait qu'elle grimpe sur la chaise.
Elle se frotta les yeux, fatiguée par la nuit agitée.

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Tellusine
C'est toujours le jour, tout le monde est attendu pour voter afin de choisir qui d'entre vous sera sacrifié sur le bucher, votez bien en brodant avec un peu de RP bien sur pour faire plaisir à tata ljd Tellu qui adooooore lire les RP. Vous pouvez voter jusqu'à demain soir, les résultats seront donnés vendredi matin. Le vote du maire compte double, bon jeu à tous amusez vous bien)


Les cloches sonnent sur le hameau, la maire a appelé ses habitants autour du feu pour leur parler, il faut absolument libérer les habitants de ce fléau, il n'y a qu'un seul moyen pour y parvenir, les traiter comme on traite les sorcier ou les hérétiques et sacrifier les habitants un par un en faisant tout pour que ce soit une de ces bêtes immondes.

Le bucher est monté, symbole de ce qu'ils vont devoir faire ce soir. Le bourreau attend qu'on lui désigne la victime qu'il devra y attacher, sa torche prête à lécher les flammes pour l'embraser, il n'a aucun état d'âme lui, il ne veut pas mourir comme ce pauvre homme retrouvé ce matin. Il attend que les habitants se mettent d'accord.
Skarn
Skarn toujours affligé d’une belle gueule de bois.

Se rendit à la réunion du maire.
Sur la place publique un grand buché avait été dressé à la hâte.
Les gens se réunissait et criait vengeance. Pas de juge et pas de procès ici.
Non juste les flammes et le sang.

Les cris de vengeance donnaient une migraine pire encore à notre villageois.
Mais il préférait se taire car il avait trop peur de terminer lui-même sur le buché.

Alors Skarn réfléchit du mieux que son état lui permis.

Il y a des étrangers dans le village et c’est à ce moment-là que les problèmes ont commencé….
Enfin pas tout à fait. Mais bon, sommes-nous vraiment sûr qu’ils ne soient pas arrivé avant….


Et en fait dans le village, il ne sait pas vraiment qui était où.
Et eux non plus, ne savent pas ce que lui fessait.
en réalité, hier, même lui ne sais pas ce qu’il a fait…

Il pensa ne pas voter un moment.
Principalement par peur de tuer un innocent.
Mais la peur que ça soit lui qui finisse sur le buché par son inaction l’emportât.

Personne ne parlait.
Aussi lâche que lui pensa-t-il. Prêt à faire un bucher et regarder un pauvre diable se débattre vainement quand les flammes le lècheront.
Mais le vote non. Trop peur.

Il décida donc de lancer au moins le débat.

Bon désoler mais je trouve qu’on n’a pas assez d’élément pour tuer quelqu’un sur le buché cependant si on attend, on risque tous d’y passer.
Alors voilà, je vote contre Frans après tout c’est le premiers à avoir vu les bêtes.
S’il a été mordu tout ça tout ça….


Les gens le regardaient incrédule.

Ben quoi ? Non je n’y crois pas ! Mais bon Quand même

Deso, Franz mais faut bien choisir hein…. Rien de personnel….
Enfin sauf si tu nous prouve vraiment que ce n’est pas toi hein.
J’en serai ravi de te laisser tranquille et de boire un coup avec toi…


Le voilà donc sur le point d’envoyer des gens à la mort sans vraiment savoir.
Plus la journée avançait, pire elle était se dit-il.
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