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[RP] Tout vient à point à qui sait attendre...

Matalena
Bon, tu l'as ton papelard, maintenant tu te pousses gentiment, et tu fais de l'air. Mmm.
Comme tout un chacune (considérant que le seul représentant mâle de l'affaire se tenait déjà devant la Saint Just), la petite réformée au ventre rebondit venait d'assister à un échange aussi bref que mystérieux... Dont ne transparaissait guère que la fureur sous-jacente de sa suzeraine. Soit. Cela étant, comme la cérémonie repris son cours sans plus d'interruption, la donzelle en déduisit que si tête d'Irlandais devait être décollée par ses soins (pour ne point tâcher la princière vesture de son aimée maîtresse) ce n'était pas pour tout de suite.
Plus tard, qui sait ?
Sourire en coin, et ses yeux d'encre allèrent se ficher entre les omoplates de l'agenouillé, petite promesse en aparté, puis salut léger à la comtesse pour lui signifier son congé. Paris appelle, on ne saurait non plus manquer à ses devoirs. Révérence à l'égard des autres présentes, et elle libéra la salle de sa présence, histoire de laisser la place à... Tiens ? Qui manquait-il au juste à ce charmant tableau de famille ?

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« Ne confondez pas le sombre avec l'obscur. L'obscur accepte l'idée de bonheur; le sombre accepte l'idée de grandeur. »
Victor Hugo

Finn
Faisant fi de l'hostilité qu'il devinait chez elle, l'Irlandais but ses mots jusqu'à la lie. Lui était avis qu'il manquait quelques faits d'arme à la liste qu'elle dressait, mais sans doute était-ce trop demander en pareille circonstance, en public.

- « Oui-da. Je jure d'honorer ma Dame, Sa Grandeur Agnès de Saint Just, de mettre à son service mon humble personne dans les épreuves qui seront les siennes. De lier mon sort au sien. Ses peines sont mes tourments, ses blessures mes supplices. Dieu m'est témoin, je fais le serment d'apporter mon concours à la réalisation de ses justes ambitions. »

Le ton était solennel et le regard franc. Que de promesses pour un homme qui, d'ordinaire, fuyait la moindre forme d'engagement. Et pourtant, tout ceci lui rappelait trop bien une autre promesse faite une nuit de bringue.
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Gnia
Un coup d'oeil discret salua la sortie de la Dame de Cohitte qu'elle savait retrouver plus tard.
Puis le regard revint se poser sur ce point au milieu du front de Finn qui lui évitait soigneusement de ne pas croiser le sien.
Toutefois, lorsqu'il prit la parole pour répondre, les yeux glissèrent peu à peu jusqu'à rencontrer la franchise qu'il mettait dans les paroles qu'il prononçait. Si la Saint Just en fût émue, elle n'en laissa rien voir, le visage à la mine hautaine ne tremblant d'aucune émotion visible.

Elle finit enfin par tendre la main, alignant son bras sur le sien pour qu'il se relève.


Que son courroux s'abatte sur vous si vous veniez à faire mentir ce serment.

Messer Finn de Pommières, en Son Nom, je vous fais seigneur de Cazayous.

Par ces paroles et cet écu, moi, Agnès de Saint Just, Comtesse du Lavedan, Duchesse de Bouillon,Vicomtesse de Bapaume et de Digoine, Baronne de Desvres, Dame de Seuri et d'Herlies, je vous accorde, à vous et votre descendance, fief et ainsi subsistance, protection et bonne justice.


Elle lui tendit alors l'écu peint aux armoiries qu'elle avait choisi pour Cazayous et déposa avec délicatesse la couronne qui allait de paire avec son nouveau rang.



Elle lui transmis ensuite l'aumônière personnalisée qu'elle avait fait confectionner pour chacun de ses futurs vassaux, celle-ci portant donc broderies des armoiries de Cazayous et une poignée de la terre du fief.
Puis, après une infime hésitation, elle scella le serment du baiser de paix.
Y avait-il un nom plus mal adapté à la situation présente ? Seul l'avenir dirait ce qu'il adviendrait de la subite confession de l'Irlandais et ce que sa suzeraine en ferait.

L'échange se concluant là, il était l'heure pour
Champagne de faire son office et d'achever d'officialiser ce nouveau serment.
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Maltea
Au tour de l'irlandais et pour toute réaction, une blonde levant les yeux au ciel d'un air de dire, mais sérieusement quelle idée de s'entourer de ce genre d'abruti obligé de déranger le cours d'une cérémonie pour une histoire de genou. Ah si la blonde avait pu entendre les confidences loin d'être de l'ordre de quel genou ployer, elle aurait jubilé et pas qu'un peu, malheureusement ce n'était pas le cas. Ellene pourrait pas faire sa peste de gamine en narguant la brune suzeraine... elles avaient beau être liée par un serment, une amitié, l'une comme l'autre n'avait pas les mêmes orientations politiques, les mêmes affinités, les mêmes fréquentations... en fait tout les séparait quand on y regardait de plus près, mais c'est peut-être ça qui faisait que la relation fonctionnait... les opposés s'attirant...
La cérémonie se poursuivit et ce fut au tour de la blonde héraut d'intervenir et de fournir copie du contreseing.


Citation:
Par la présente nous, Maltea Wagner di Favara, Héraut de Champagne, Duchesse de Brienne & de Rethel, Baronne de Beaufort, Dame de Menneville, faisons acte de la demande d'Agnès de Saint Just & de Blanc Combaz dite Gnia, Comtesse du Lavedan, Duchesse de Bouillon,Vicomtesse de Bapaume & Digoine, Baronne de Desvres & Dame de Seuiri & Herlies quand à l'octroi de la seigneurie de Cazayous sise en le comté du Lavedan, à Messire Finn de Pommières .


Après recherches héraldiques dument entérinées, le fief de Cazayous est bien seigneurie vassale du comté du Lavedan.
Après consultation d'armoriaux, les armes se référant à la dite seigneurie sont: «D'argent mantelé d'un semé de quartefeuilles de sinople et au deux corbeaux de sable affrontés, posés en chef, brochants, au chevron du même, brochant sur le tout, soutenu d'un trèfle à quatre feuilles au naturel»

Soit après dessin :



Ci-joint une lettre patente de Dame Agnès de Saint Just & de Blanc Combaz dûment authentifiée attestant de sa volonté d'octroi d'une seigneurie à Messire Finn de Pommières.

Citation:
De Nous, Agnès de Saint Just et de Blanc Combaz, Comtesse du Lavedan, Duchesse de Bouillon,Vicomtesse de Bapaume et Digoine, Baronne de Desvres et Dame de Seuiri et Herlies,
A vous, Eugénie de Varenne dicte Estampe, Maréchal d'Armes Royal en charge de la Marche du Béarn,

Copie à Sa Grasce Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg , dicte Montjoie, Roy d'Armes de France,

Salutations.

    Par la présente, vous informons de notre souhait d'anoblir Messer Finn de Pommières, dict Finn, et récompenser ainsi sa loyauté et sa fidélité à nous servir, ainsi que le bras armé qu'il nous offre.
    Ces qualités sont celles attendues d'un vassal et souhaitons donc légitimer le rang qu'il tient à nos côtés officieusement déjà.
    De fait, désirons lui confier les terres de Cazayous, sises sur notre comté du Lavedan en Béarn.

    Renouvelons également notre désir de voir Champagne être témoin héraldique de cet échange vassalique et de pouvoir procéder, si cela est possible, à la cérémonie en l'une des alcôves de la Chapelle Saint Antoine Le Petit à Paris.


Faict à Compiègne le dix huitième jour du mois de mars de l'an de grasce mil quatre cent soixante.






Par notre scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyant et l'octroyé.

Fait le XXVIe jour du mois de Mars MCDLX














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Maleus
Quand l'invitation à venir sur Paris lui etait parvenue, le borgne s'etait arrangé avec le conseil angevin pour partir un peu plus tôt. Comme dans tous ses deplacements jusque la capitale il n'etait pas question d'esquiver la cour des miracles et sa faune locale (bien qu'avec le temps et les changements dans sa vie les contacts furent bien differents).

Le pasteur/mercenaire avait donc flané plusieurs heures dans les ruelles pavées des quartiers malfamés, s'etait enquéri du devenir des certaines connaissances et vers la fin de sa petite balade s'etait recueilli sur la tombe de son vieux camarade andalou.

Vint tout de même le moment où la mémoire du vétéran cessa de tirer au flan et c'etait ainsi qu'il s'etait pointé, bien en retard, dans la salle où visiblement il ne manquait que lui.

Bref coup d'oeil aux personnes presentes et une moue visiblement déçue quand il ne trouva pas une des presences qu'il aurait souhaité. Le cyclope annonça son arrivée avec une legere quinte de toux et salua l'assemblée d'un très vague hochement de caboche.

" Aheum... Veuillez excuser mon retard, ai-je loupé beaucoup de choses ? "

Le tout sans cacher son amusement tant sa question etait stupide.

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Adieu Fab'
Gnia
Il était des arrivées que l'on attendait plus et qui soudainement éclairaient d'un jour nouveau une atmosphère à deux doigts de partir en quenouille. Ce fut un peu le type d'effet que fit l'entrée de Maleus à la Saint Just.
L'instant d'avant elle songeait encore au moyen le plus pervers de faire extrêmement mal à son nouveau vassal, et heureusement pour lui, l'apparition d'un borgne pas très réglementaire le sauva.
Pour l'heure.
Et l'Irlandais fût donc relégué au rang des choses qu'il faudrait régler plus tard.


Fort heureusement pour vous rien qui ne vous concerne directement.

Quoique...
L'essentiel à noter ici c'est que la question avait permis l'éclosion de ce qui s'apparentait le plus à un sourire saint-justien.
Un petit tressaillement qui relevait légèrement la commissure des lèvres.

Si vous êtes prêt, nous allons commencer sans tarder. Nous avons déjà que trop abusé de l'hospitalité de l'Hostel Saint Paul.

Et tant pis pour le vin et les pâtés en apéritif ou pour patienter !


Maleus d'Assay, avancez donc un peu plus près et ployez le genou.
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Maleus
" Soit. "

Le borgne songeait interieurement au fait qu'il n'aurait pas été réticent à squatter encore quelques temps les lieux. La comparaison entre la cour des miracles et l'Hotel Saint-Paul etait tout aussi inacceptable que celle entre une crotte de lapin et une pepite d'or.
Haussement d'épaules, il s'avança tranquillement jusqu'à la Saint Just, son sourire en coin s'etant eclipsé quelques secondes plus tôt pour laisser de nouveau place à l'habituel stoïcisme qu'il aimait arborer.

Poussant un leger soupir, le borgne fit comme on lui avait demandé et ploya genou. Rares etaient ceux pour qui il acceptait de faire cela et même si c'etait le cas ici la position lui etait tout de même inconfortable.

Sa main droite triturant son medaillon réformé il redressait lentement sa tête et posait son regard sur la presque suzeraine.

" Je suis tout ouïe votre grandeur. "

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Adieu Fab'
Gnia
Heureusement pour les genoux douloureux du borgne, la Saint Just anoblissait comme elle menait la plupart de ses entreprises. Rapide, pragmatique, sans fioriture et ronds de jambes autres que ceux exigés par le protocole. Quoique le protocole ne fusse pas à l'honneur souvent, en dehors de ce genre de cérémonie.
Baissant les yeux sur le faciès abîmé, elle croisa le regard du mercenaire qui acceptait aujourd'hui de s'attacher une deuxième cliente à servir en priorité.


Si certaines amitiés se construisent au fil du temps, à coups de petits actes qui semblent insignifiants mais qui tel du mortier font la solidité de l'édifice, il en est d'autres, spontanées, qui se forgent dans l'adversité plus durablement que l'acier.

Et un petit regard glissé en coin à Maltea qui pour Agnès entrait dans cette dernière catégorie, tant les deux femmes avaient construit en un mandat de régnantes de deux provinces toujours ennemies les bases d'une relation houleuse mais plus solide que le roc.
Bon évidemment, Maleus n'était pas aussi politiquement correct que la champenoise. Quoique si on comptait qu'Agnès avait osé l'anoblir sur ses terres artésiennes, cela constituait le premier épisode d'une longue série de provocations en terme de vassaux dont l'apogée, sans qu'elle ne s'en douta tout à fait, semblait vouloir caracoler en tête aujourd'hui.


Maleus, si vous êtes ce jourd'hui devant moi, c'est par ma volonté de récompenser votre loyauté, votre soutien et votre bras armé dans les épreuves qui furent les nôtres en la bonne ville de Montauban, en vous octroyant seigneurie sur mes terres du Lavedan.

Messer Maleus d'Assay, voulez-vous être tout à fait mon homme ?

Jurez-vous de servir avec loyauté, fidélité et sans dissimuler, votre Dame, la Comtesse du Lavedan, Agnès de Saint Just ?

Prestez-vous serment sans réserve, dans l'amour et la crainte du Très Hauct ?

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Maleus
Sans moufter le pasteur écoutait la Sain Just. Il se remorait l'époque pas si lointaine où il avait fait sa connaissance, lui qui avait fait le chemin pour Montauban pour une histoire de foy s'etait retrouvé à combattre du coté des guyennois fideles au Ponant et pour sûr que les conflits et les combats aussi horribles qu'ils pouvaient être, liaient les Hommes.

Il songea pendant quelques secondes à l'arbalette à tour qu'il lui avait offert, se demandant si elle lui avait trouvé utilité ou non... La question serait posée plus tard, place au bla bla protocolaire.

" Je serais votre homme. "

Et de se dire interieurement qu'à force de s'engager comme ça il n'arriverait jamais à faire fortune.

" Moi Maleus Ewen d'Assay, je jure devant Deos et sur mon unique oeil qui m'est bien plus precieux que la vie, de vous servir vous Agnès de Saint Just avec loyauté, de vous être fidele quoi qu'il advienne et de ne pas dissimuler ce qui de fait ne doit pas l'être. "

Le tout sans grogner, le mercenaire ne pouvait qu'être satisfait de sa bafouille.

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Adieu Fab'
Finn
Après un baiser de paix aux accents largement acides, l'Irlandais s'était retiré du cercle des contemplatifs, chargé comme un mulet. De tous ces présents, l'écu fut le seul à retenir véritablement l'attention de son propriétaire. En voilà un qui ne manquerait pas de servir!
Le vassal mal dégrossi s'en débarrassa finalement contre une chaise sur laquelle il prit assise. Une place de choix près du buffet que tous convoitaient très certainement mais que l'on boudait ostensiblement. Les doigts calleux fondirent sur leurs proies, élégamment mais surtout imprudemment disposées sur le plateau.

Le nouveau venu fut salué comme tout un chacun le méritait par sa seule arrivée dans un lieu étranger. Le cérémonial fort lassant qui se déroulait non loin de lui aurait pu suffire à le faire déguerpir une fois son tour passé. Et même si les mets gracieusement acquis à la conquête de son palais contribuaient au prolongement de sa courtoise visite, l'Irlandais éprouvait le sentiment pressant de ne pas en avoir terminé ici. Etait-ce son nouveau rôle auprès de sa Dame ou sa confession à celle-ci qui le travaillait? Tous les partis étaient permis.

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Gnia
Le Borgne était laconique, mais l'essentiel y était. Agnès appréciait. Simple et sans fioriture.
Hochant la tête, elle lui offrit sa main pour l'aider à se relever et lorsqu'il lui fit face, elle poursuivit


Le Très Hauct soit témoin de ce serment.

Messer Maleus d'Assay, en Son Nom, je vous fais seigneur du Castel Gélos, dict en langue d'oïl Château Jaloux.

Par ces paroles et cet écu, moi, Agnès de Saint Just, Comtesse du Lavedan, Duchesse de Bouillon,Vicomtesse de Bapaume et de Digoine, Baronne de Desvres, Dame de Seuri et d'Herlies, je vous accorde, à vous et votre descendance, fief et ainsi subsistance, protection et bonne justice.


Le blason peint aux couleurs de la seigneurie fut offert et la couronne seigneuriale posée sur les cheveux clairs.



L'aumônière personnelle contenant une poignée de terre du fief changea également de mains.
Puis la Comtesse du Lavedan scella la prime allégeance du baiser de paix.

Satisfaite d'avoir pu mener à bien les anoblissements prévus ce jour, malgré quelques graviers d'importance dans les rouages, elle guida Maleus jusqu'à
Champagne qui devait lui remettre l'acte d'octroi de sa seigneurie.
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Maltea
La duchesse héraut comptabilisait les passages... un, deux... trois.... si ses souvenirs étaient correctes, ce serait cette fois le dernier. Son regard se posa sur le futur seigneur qui avait pris place devant Agnès. Celui là c'était certain, devait être plus habitué aux endroits malfamés plutôt que les luxueux salons de Paris.... elle prit alors conscience que l'homme était borgne et elle faillit laisser échapper un petit rire en pensant à un autre borgne et à une conversation avec Agnès.... comme quoi y en avait plus qu'on ne pouvait le penser. Se concentrer bon sang, ne pas lâcher maintenant, elle aurait tout le temps de se remémorer ses exploits plus tard.... se focalisant sur les paroles échangées et tout le tralala propre à la cérémonie, la blonde briennoise scella le contreseing original qu'elle posa de côté et en fit de même avec la copie qu'elle tendit au seigneur le moment venu.


Citation:
Par la présente nous, Maltea Wagner di Favara, Héraut de Champagne, Duchesse de Brienne & de Rethel, Baronne de Beaufort, Dame de Menneville, faisons acte de la demande d'Agnès de Saint Just & de Blanc Combaz dite Gnia, Comtesse du Lavedan, Duchesse de Bouillon,Vicomtesse de Bapaume & Digoine, Baronne de Desvres & Dame de Seuiri & Herlies quand à l'octroi de la seigneurie de Castel Gélos (Chateau Jaloux) sise en le comté du Lavedan, à Messire Maleus d' Assay .


Après recherches héraldiques dument entérinées, le fief de Castel Gélos est bien seigneurie vassale du comté du Lavedan.
Après consultation d'armoriaux, les armes se référant à la dite seigneurie sont: «D'argent au château de deux tours couvertes de sable, ouvert, ajouré et maçonné d'argent, accompagné de trois corbeaux de sable, (posés en 2 et 1)»

Soit après dessin :



Ci-joint une lettre patente de Dame Agnès de Saint Just & de Blanc Combaz dûment authentifiée attestant de sa volonté d'octroi d'une seigneurie à Messire Maleus d'Assay.

Citation:
De Nous, Agnès de Saint Just et de Blanc Combaz, Comtesse du Lavedan, Duchesse de Bouillon,Vicomtesse de Bapaume et Digoine, Baronne de Desvres et Dame de Seuiri et Herlies,
A vous, Eugénie de Varenne dicte Estampe, Maréchal d'Armes Royal en charge de la Marche du Béarn,

Copie à Sa Grasce Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg , dicte Montjoie, Roy d'Armes de France,

Salutations.

    Par la présente, vous informons de notre souhait d'anoblir Messer Maleus d'Assay, dict Maleus, et récompenser ainsi sa loyauté et sa fidélité à nous servir, ainsi que son bras armé qu'il nous a offert, durant le temps qu'il a passé à nos côtés en la bonne ville de Montauban.
    De fait, désirons lui confier les terres de Château Jaloux, dicte en occitan Castel Gélos ou Geou, sises sur notre comté du Lavedan en Béarn.

    Renouvelons également notre désir de voir Champagne être témoin héraldique de cet échange vassalique et de pouvoir procéder, si cela est possible, à la cérémonie en l'une des alcôves de la Chapelle Saint Antoine Le Petit à Paris.


Faict à Compiègne le dix huitième jour du mois de mars de l'an de grasce mil quatre cent soixante.





Par notre scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyant et l'octroyé.

Fait le XXVIe jour du mois de Mars MCDLX













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