en parlant dorgueil elle pensa directement a Rapha qui mélangeait politique et religion, il n'était meme pas bouffie d'orgueil mais dévoré par lui.
Elle repensait a la discussion avec son père et Noirlac et depuis que Rapha était prévôt avant maître des Novice fainéant et cossard , décidément ce garçon avait bien des péchés a se faire pardonner mais pourquoi l'église le gardait ?
la discussion avec son père? ah oui mais ça marâtre n'avait pas pu le faire seul Rapha l'avait fait
Citation:
Mes respects ma tante dit Svana à Angelina, en faisant une révérence.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh mes paroles non ne sont pas belle du tout et vous m'en voyez désolée.
Cousin Svalrog m'a apprit qu'en apportant mes excuses en ce Haut lieux de savoir qui est Noirlac, ainsi qu'un credo en russe que j'avais eu lamabilité de faire a leurs intentions, que ma marâtre suite à cela l'avais fait bannir du dit lieux.
Quand on se dit, femme de foi et de coeur on sait pardonner surtout à une personne inculte en religion comme Messire Svalrog qui lui ne se dit pas du tout religieux et non plus baptisé dailleurs.
Elle vient de ce conduire comme Pierre ponce face à Christos je cite le chapitre 15 du dogme dans le livre la Vita de Christos
Citation:
Vous comprenez mes chers enfants, pourquoi je peux vous raconter ce qui sest passé alors. Jétais en effet aux premières places, derrière Christos, et mes yeux, mes oreilles, tous mes sens étaient en éveil comme dans les moments de grande détresse.
Arrivés dans le bureau du procurateur, celui-ci nous regarda et nous interrogea :
" Qui de vous deux est-il celui qui se fait appeler Christos ? "
Nous répondîmes tous les deux dune même voix:
" Cest moi, Romain ! "
Oui, mes chers enfants, jaimais tellement Christos que je souhaitais subir son châtiment à sa place et cest pourquoi jai essayé dattirer sur moi les soupçons
Mais ma candeur était grande : Pierre Ponce nétait pas dupe, il avait en face de lui un grand et bel homme et un jeune rebelle. Cest donc naturellement quil sadressa au premier en ces termes :
" Ainsi, tu es celui qui se fait appeler le messie, le guide, le miroir de la divinité ? et tu troubles lordre de la cité ? "
" Tu las dit, bouffi ! " répondit Christos.
" Ecoute, reprit Pierre Ponce, depuis que tu es à Jérusalem, la cité se porte mal, le pain est rassis, les légumes passés, le poisson puant, et la viande nauséabonde. Tout cela parce que maintenant, les gens ne veulent plus rien faire dautre que de técouter. De plus, tu fragilises le pouvoir de Rome et le culte païen en débitant des âneries plus grosses que toi sur lamour et toutes ces conneries auxquelles personne ne croit ! Tiens, je viens de recevoir une plainte du grand chef des prêtres païens ; il paraît que tu tes payé sa fiole, cest du joli ! "
La figure de Christos se fendit dun grand sourire, avant quil ne réponde :
" Oui, je le sais. Votre Empire vit tel une roue à aube. Chaque mécanisme a la place qui lui convient de part sa naissance, et accomplit régulièrement la tâche pour laquelle il a été créé. Et vous profitez de cela en asservissant les peuples, et les forçant à travailler pour des salaires indécents. Or, voilà que moi, qui apporte la vérité, je gène, cest classique
Je connais un gars qui dit ça très bien, dailleurs : Le premier qui dit la vérité, il se fera assassiner ! "
Pierre Ponce dit alors : " Comment, napprouves-tu pas lesclavage ? même quand il est exercé sur dautres peuplades que la tienne ? "
" Non, affirma Christos, la solidarité doit maintenant dépasser le simple cadre de la cité ! Nous sommes tous humains et en cela des créatures de Dieu. Cest pour cette raison que faire travailler un vagabond à la mine pour moins de dix-sept écus est une honte, même sil vient dune autre Cité. Et le faire suer pour moins de dix-huit écus, en le faisant tuer veau, vache, cochon, couvée, est un scandale ! "
Pierre Ponce était agacé
Il lui déclara alors :
" Christos tu seras banni. Maintenant dégage. Affaire suivante : Kramer contre Kramer. Ah, et noubliez pas de libérer Bar-Tabac, cest jour damnistie aujourdhui. "
Alors, Christos sétonna de la sentence, et prononça ces paroles :
" Procurateur ! Tu peux me bannir, mais dans quelque cité que je serai, jagirai toujours ainsi, et deviendrai un même danger pour la plénitude des Empires et des républiques qui constituent le monde."
Ponce fut excédé et lui répondit : "Puisque tu te dis si sage, et que j'ai des aigreurs d'estomac, tu seras crucifié, comme les agitateurs, et en prime supplicié pour mavoir fait perdre mon temps et troublé ma digestion. Fallait pas me chercher ! ".
Puis, Ponce remarqua ma présence, et il eut pitié de moi et de mon jeune âge, me voyant en larmes. Il se tourna vers un des ses gardes et lui dit :
" Quant à lui, foutez-le moi dehors, allez hop ! "
Mais Christos mattrapa par la manche et eut le temps de me dire à loreille :
" Mon corps va subir mille supplices, mais cest pour que votre âme nait pas à les subir. Lorsque vous prierez le Très Haut, consacrez le pain et le vin de l'amitié, symboles de ma chair et de mon sang, afin de ne jamais oublier mon sacrifice pour vous. Rendez également hommage à ceux qui, par leur vertu, seront un exemple à vos yeux de lamour qui est dû à Dieu. En vérité, il nest pas de plus bel hommage à Dieu que daimer sans rien attendre en retour. "
Les derniers mots furent criés car lon emportait Christos dans les geôles tandis que des gardes mempoignaient pour me jeter dehors.
au lieux de se comporter comme toute bonne femme d'église, car elle est diacre et cistercienne donc femme de savoir et de tolérance envers l'ignorant, comme la fait Christos envers le centurion venu le chercher
je cite le chapitre 12 de la vita de Christos :
Chapitre 12
Citation:
Quand cette foule se dissipa, la place se vida, laissant place aux gardes du procurateur romain qui gouvernait cette ville. Cest alors, mes amis, que jeus lune des peurs les plus profondes de ma vie. Les soldats, rouges, en habit de sang, faisaient irruption sur la place par les multiples ruelles.
Certains surgirent sur les murailles et dautres sortirent de différents bâtiments, bloquant toutes les issues et toutes les portes. Un tribun descendit alors les marches du palais du gouverneur, accompagné dun robuste centurion.
Arrivé au milieu de la place, le tribun arrêta sa marche, et se pencha du côté de son centurion. Ce dernier prit alors la parole et nous dit de sa grosse voix brutale :
" Toi, Christos, qui te dis le messie et le guide ! Je taccuse de nuire à la cité. Tu es un fomenteur de révoltes, un dangereux révolutionnaire, un homme de troubles. Aussi je te demande de me suivre ! "
Nous autres, ses apôtres, étions paralysés par la peur. Nous nentendions que le sifflement de la brise qui faisait sagiter les capes des romains. Et nous guettions, inquiets, la réaction de Christos. Daju était terrorisé, lui qui avait été vexé de ne pas avoir été choisi par Christos pour construire son Eglise.
Non a la place de cela elle a crier au loup, comparable en cela à l'inquisition ou comparable a ces villageois ignorant Brebis de Neadjalf qui je cite le prêche de Neadjalf qu'on apprend même a la pastorale à le comprendre pour vous dire mon indignation de ce manque de tolérance et de sagesse
je cite donc chapitre non dogmatique du livre des Vertu : le prêche de Neadjalf :
Citation:
Le prêche de Neajdalf
Il y bien longtemps, je venais de dire ma messe dominicale, quand une foule, un peu bruyante pour ce lieu sacré, jeta au pied de l'autel un être aux yeux hagards et à la vêture des plus fantaisiste.
Mes villageois parlaient tous en même temps, mais, je finis par comprendre que, s'il m'avaient amené cet étranger, c'est que pour eux il était possédé.
Il disait que c'était sa première connexion depuis son ordinateur et qu'il cherchait la Faq ou au moins un guide pour l'aider à démarrer.
M'approchant du pauvre hère, je me rendis immédiatement compte que c'était la première fois qu'il voyait un prêtre aristotélicien, ou du moins qu'il n'avait pas une bonne opinion d'eux.
- Bonjour mon enfant, je suis, Neajdlaf ,le curé de ce village,
Comment vous nomme-t-on ?
- L'on me nomme Newbie, contrairement à mon apparence je suis un elfe magicien, à la recherche de l'anneau des anciens
Un villageois m'interpella :
- Vous voyez bien mon père, il faut appeler l'Inquisition, ou les exorcistes, il est possédé que je vous dis.
- Du calme, mon fils, l'Inquisition a d'autres chats à fouetter, son but est de lutter contre les hérétiques reconnus et non pour brûler celui qui se perd un peu.
Je sais que certains annoncent à l'enfant qui ne mange pas ses légumes que la méchante Inquisition va venir les brûler mais ce n'est pas son but ici. Quant aux exorcistes, attendons de voir ce qu'il en est de notre ami.
Le vagabond, l'air toujours aussi perdu, cria :
Bon alors on m'explique ? Et qui peut me donner un peu de sa confiance ?
-Chaque chose en son temps mon fils. Pour vous prendre pour un elfe magicien vous devez réellement avoir eu un gros coup sur la tête. Alors écoutez l'histoire de nos royaumes.
A l'origine du monde il n'y avait que Dieu immobile et plein d'amour, il a défini l'univers et accompli une série de miracles pour arriver à la création des animaux, des plantes et des humains. Donc soit vous êtes une plante, soit un animal, soit un humain.
Ensuite Dieu n'a laissé la parole qu'aux humains et à une créature sans nom qui tente de pervertir l'humanité.
Donc comme vous ne pouvez être cette créature qui n'a que la forme des ombres, vous ne pouvez être qu'humain.
-Ah oui, je vois mais, si je le veux, je peux être magicien quand même ? rétorqua l'étranger.
-Vous pouvez utiliser des tours pour divertir les foules mais aucun humain n'a de magie en lui. Certes, certains élus semblent bien avoir réalisé des chose prodigieuse, mais c'est grâce à leur foi en Dieu et non à une quelconque magie païenne.
- Bon admettons, mais Moïse ? Il a bien fait de la magie, non ? Hein ! Là je vous tiens non ?
- Je ne connais pas ce Moïse, j'ai bien lu des textes le concernant mais c'était des textes pour distraire les anciens, comme l'histoire de Noé et autres textes anciens qui circulent parfois.
- Bien ils sont dans la Bible non ?
- Pas dans celle de l'Eglise officielle des royaumes en tout cas. Je vais vous raconter notre histoire en quelques mots :
Dieu créa l'univers. Dans l'univers, Il créa le monde. Et Il peupla le monde de diverses espèces de créatures. Mais chaque espèce se croyait la préférée de Dieu, sauf l'espèce humaine, car elle connaissait le sens de la vie: l'amour. Dieu récompensa alors les humains en les nommant "Ses enfants". Mais les enfants de Dieu s'abandonnèrent au péché, encouragés par une des créatures ainsi rejetées par Dieu, a qui Il ne donna pas de nom. Dieu punit donc Ses enfants en détruisant leur cité, et ils s'éparpillèrent. N'ayant pas compris la punition, ils s'inventèrent des dieux multiples. Alors, Dieu, pour rappeler aux humains le sens de la vie, confia Son message à Aristote. Et ce message trouva sa perfection avec Christos (parfois nommé Jéisus Chistos).
Le vagabond demanda alors s'il devait oublier tout ce qu'il connaissait.
Je tentai donc de lui répondre :
- Si ce que vous croyez connaître n'est pas directement lié à l'histoire des Royaumes et que vous désirez intégrer notre vérité historique, il y a sans doute beaucoup de chose à oublier oui.
Le plus simple est parfois de tout oublier et de remettre à jour ses connaissances par des textes validés du royaume. N'oubliez pas que vous n'êtes qu'un vagabond encore il faudra du temps pour vous instruire et devenir un érudit.
Notre religion porte le nom d'église Aristotélicienne et est de source Aristochrétienne, c'est à dire qu'elle s'inspire à la fois des écrits d'Aristote, des Royaumes et de Christo.
Son message est que pour se rapprocher de Dieu il faut se rapprocher du bonheur et trouver l'amitié aristotélicienne. Cette amitié n'est pas une amitié débridée mais une amitié respectant certaines règles dont la principale est qu'elle doit être désintéressée. Bien sûr, il y a différents type d'amitiés, mais vous trouverez ça dans nos bibliothèques où par vous même.
Il y a dans chaque village un maire qui s'occupe de politique et de la gestion de la ville et surtout de son commerce. Il y a aussi un curé qui, lui s'occupe de religion et de la gestion de la foi des paroissiens.
Le curé et le maire se doivent de collaborer au bien des citoyens et si l'un des deux juges que l'autre ne remplit pas sa mission, il peut intervenir pour tenter d'arranger les choses. C'est pour cela que certains maires s'occupent de religion et que certains clercs s'occupent de politique.
Au-dessus vous avez le comte pour la politique et l'évêque pour la religion, mais vous découvrirez tout ça par vous-même, sachez juste que les guides politiques sont choisis par les citoyens lors d'élection, alors que les guides religieux sont nommés et révoqués par la hiérarchie de l'Eglise. C'est pour ça que si le peuple veut élire son curé comme Maire c'est le choix du peuple, et la hiérarchie de l'église ne ferra que veiller à ce que le clerc continue principalement à guider les citoyens sans oublier sa responsabilité de clerc.
Le vagabond semblait avoir compris.
-Ah oui, je vois, c'est plus clair déjà, et pour le reste que dois-je faire ? Pour manger ? Pour gagner ma vie ?
- Cela, mon fils, est moins de mon domaine, mais voici une liste de documents qui vous aideront à trouver votre place.
Liste de la Bibliothèque
- Merci mon ami, je vais voir si je trouve ma voie, dit le vagabond en attrapant son sac et sa bourse. Je vais de ce pas prendre contact avec les villageois à la taverne pour leur montrer que je ne suis pas possédé... et qu'ils peuvent me donner leur confiance.
Je souriais en le voyant partir, et je lui criai :
-N'hésitez pas à me contacter en cas de besoin.
J'ai appris plus tard que le vagabond était devenu un grand seigneur et que s'il n'avait pas rejoint l'église aristotélicienne au moins il n'avait pas d'idée préconçue sur elle et ne se laissait pas raconter n'importe quoi.
Il faisait ses choix en connaissance de cause et non pour faire plaisir aux chimères de Hyérel.
extrait tiré des " mémoires d'un curé de campagne, écrite par le père Neajdlaf en 926 ap JC"
Christos dit alors au centurion :
" En vérité, je te le dis, homme de peu de foi, je ne te suivrai pas, mais cest toi qui vas me suivre ! "
Alors, le tribun ordonna au centurion de se saisir de Jeshua, et lofficier, à la mine féroce sapprocha de nous dun pas lent. Je respirais au rythme de la cadence de ses pas, essayant de calmer mon cur qui saffolait. Lorsquil se trouva face à Christos, le Centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et sagenouilla en embrassant la robe de notre messie.
" Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que jai servi un mauvais maître, mais je ten prie dis-moi comment me faire pardonner ! "
Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
" Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. "
Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
" Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et quelles sont prêtes à en faire pénitence."
Alors, Christos sapprocha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
" Par la grâce de léternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant deau, source de vie. "
Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :
" Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen "
Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il nous ceignit de leau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " Mes apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos péchés. A vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur quIl vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit lessence. "
Ce fut une journée intense que je nai jamais oubliée tant elle est gravée dans ma mémoire. Notre émotion était à son comble quand nous nous aperçûmes en plus que les soldats avaient déserté la place.
Quel manque de maturité ces cisterciens, de clairvoyance, de charité, ils ressemblent de plus en plus à des inquisiteurs, ce qu'ils nous prouvent de plus en plus c'est leur dédains, et leur façon de penser supérieur soit disant, car il le serait il se humble et essayerait d'enseigner la faute qu'a fait Svalrog plutôt que de l'en blâmer lui qui ne sait rien.
Je m'en vais donc de Bourges pour allez autre part et ne puis vivre a coté d'un inquisiteur, voir même de quelqu'un qui a le sans nom en lui.
Je vous donnerais des nouvelles, ici lieux de temps en temps et je prierais pour que le Très Haut protège ma famille, et pardonne a cette hérétique, qui n'a aucune excuse, car elle a le savoir et si c'est le prévôt Rapha, votre ami c'est pire, car il est l'autorité de cet abbaye, mais il confond abbaye et parti politique, personnellement j'ai vue mon erreur de vouloir les aider et ne reviendrais jamais en cette Abbaye je me rendrais utile ailleurs.
Que Dieu ai pitié de nos âmes, car seul lui est juge a l'heure de notre mort. en bref aucun homme ni femme ne peux excuser cela