Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 19, 20, 21, ..., 33, 34, 35   >   >>

[Rp-Église] La Cathédrale Saint-Étienne de Bourges

Svana
Svana alla féliciter sa cousine, heureuse de voir un membre de plus dans la grande famille aristotélicienne qui plus ai sa propre famille

Bienvenue Kateline que dieu te protège et te guide vers la vraie foi, ainsi que ton parrain c'est une lourde tache qu'il a accepté mais je suis sur qu'avec toi ce sera un véritable plaisir.
Tu es déjà vertueuse, tu n'auras pas trop de mal


Elle lui sourit, l'embrassa puis laissa la place
_________________
Ysabeau
Ysabeau félicita à son tour la nouvelle baptisée

Heureuse de t'accueillir dans notre grande famille Kateline, et félicitations pour ton baptême !
_________________
Kateline
Kateline remercia tout à tour chacune des personnes venues la soutenir en ce jour et la féliciter.

Un grand merci à tous pour être venus m'accompagner ce jour.

Puis se tourna vers le Père Wal.

Merci mon Père, ce fut une belle cérémonie!

Elle distribua bises et saluts puis repartie de la Cathédrale, entrainant parrain et marraine, afin de fêter l'évènement avec qui voudra.
_________________
Svana
en parlant d’orgueil elle pensa directement a Rapha qui mélangeait politique et religion, il n'était meme pas bouffie d'orgueil mais dévoré par lui.
Elle repensait a la discussion avec son père et Noirlac et depuis que Rapha était prévôt avant maître des Novice fainéant et cossard , décidément ce garçon avait bien des péchés a se faire pardonner mais pourquoi l'église le gardait ?
la discussion avec son père? ah oui mais ça marâtre n'avait pas pu le faire seul Rapha l'avait fait


Citation:

Mes respects ma tante dit Svana à Angelina, en faisant une révérence.

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh mes paroles non ne sont pas belle du tout et vous m'en voyez désolée.
Cousin Svalrog m'a apprit qu'en apportant mes excuses en ce Haut lieux de savoir qui est Noirlac, ainsi qu'un credo en russe que j'avais eu l’amabilité de faire a leurs intentions, que ma marâtre suite à cela l'avais fait bannir du dit lieux.
Quand on se dit, femme de foi et de coeur on sait pardonner surtout à une personne inculte en religion comme Messire Svalrog qui lui ne se dit pas du tout religieux et non plus baptisé d’ailleurs.
Elle vient de ce conduire comme Pierre ponce face à Christos je cite le chapitre 15 du dogme dans le livre la Vita de Christos

Citation:
Vous comprenez mes chers enfants, pourquoi je peux vous raconter ce qui s’est passé alors. J’étais en effet aux premières places, derrière Christos, et mes yeux, mes oreilles, tous mes sens étaient en éveil comme dans les moments de grande détresse.

Arrivés dans le bureau du procurateur, celui-ci nous regarda et nous interrogea :
" Qui de vous deux est-il celui qui se fait appeler Christos ? "
Nous répondîmes tous les deux d’une même voix:
" C’est moi, Romain ! "

Oui, mes chers enfants, j’aimais tellement Christos que je souhaitais subir son châtiment à sa place et c’est pourquoi j’ai essayé d’attirer sur moi les soupçons… Mais ma candeur était grande : Pierre Ponce n’était pas dupe, il avait en face de lui un grand et bel homme et un jeune rebelle. C’est donc naturellement qu’il s’adressa au premier en ces termes :

" Ainsi, tu es celui qui se fait appeler le messie, le guide, le miroir de la divinité ? et tu troubles l’ordre de la cité ? "
" Tu l’as dit, bouffi ! " répondit Christos.
" Ecoute, reprit Pierre Ponce, depuis que tu es à Jérusalem, la cité se porte mal, le pain est rassis, les légumes passés, le poisson puant, et la viande nauséabonde. Tout cela parce que maintenant, les gens ne veulent plus rien faire d’autre que de t’écouter. De plus, tu fragilises le pouvoir de Rome et le culte païen en débitant des âneries plus grosses que toi sur l’amour et toutes ces conneries auxquelles personne ne croit ! Tiens, je viens de recevoir une plainte du grand chef des prêtres païens ; il paraît que tu t’es payé sa fiole, c’est du joli ! "

La figure de Christos se fendit d’un grand sourire, avant qu’il ne réponde :
" Oui, je le sais. Votre Empire vit tel une roue à aube. Chaque mécanisme a la place qui lui convient de part sa naissance, et accomplit régulièrement la tâche pour laquelle il a été créé. Et vous profitez de cela en asservissant les peuples, et les forçant à travailler pour des salaires indécents. Or, voilà que moi, qui apporte la vérité, je gène, c’est classique… Je connais un gars qui dit ça très bien, d’ailleurs : Le premier qui dit la vérité, il se fera assassiner ! "

Pierre Ponce dit alors : " Comment, n’approuves-tu pas l’esclavage ? même quand il est exercé sur d’autres peuplades que la tienne ? "

" Non, affirma Christos, la solidarité doit maintenant dépasser le simple cadre de la cité ! Nous sommes tous humains et en cela des créatures de Dieu. C’est pour cette raison que faire travailler un vagabond à la mine pour moins de dix-sept écus est une honte, même s’il vient d’une autre Cité. Et le faire suer pour moins de dix-huit écus, en le faisant tuer veau, vache, cochon, couvée, est un scandale ! "

Pierre Ponce était agacé… Il lui déclara alors :
" Christos tu seras banni. Maintenant dégage. Affaire suivante : Kramer contre Kramer. Ah, et n’oubliez pas de libérer Bar-Tabac, c’est jour d’amnistie aujourd’hui. "

Alors, Christos s’étonna de la sentence, et prononça ces paroles :
" Procurateur ! Tu peux me bannir, mais dans quelque cité que je serai, j’agirai toujours ainsi, et deviendrai un même danger pour la plénitude des Empires et des républiques qui constituent le monde."

Ponce fut excédé et lui répondit : "Puisque tu te dis si sage, et que j'ai des aigreurs d'estomac, tu seras crucifié, comme les agitateurs, et en prime supplicié pour m’avoir fait perdre mon temps et troublé ma digestion. Fallait pas me chercher ! ".

Puis, Ponce remarqua ma présence, et il eut pitié de moi et de mon jeune âge, me voyant en larmes. Il se tourna vers un des ses gardes et lui dit :
" Quant à lui, foutez-le moi dehors, allez hop ! "

Mais Christos m’attrapa par la manche et eut le temps de me dire à l’oreille :
" Mon corps va subir mille supplices, mais c’est pour que votre âme n’ait pas à les subir. Lorsque vous prierez le Très Haut, consacrez le pain et le vin de l'amitié, symboles de ma chair et de mon sang, afin de ne jamais oublier mon sacrifice pour vous. Rendez également hommage à ceux qui, par leur vertu, seront un exemple à vos yeux de l’amour qui est dû à Dieu. En vérité, il n’est pas de plus bel hommage à Dieu que d’aimer sans rien attendre en retour. "

Les derniers mots furent criés car l’on emportait Christos dans les geôles tandis que des gardes m’empoignaient pour me jeter dehors.


au lieux de se comporter comme toute bonne femme d'église, car elle est diacre et cistercienne donc femme de savoir et de tolérance envers l'ignorant, comme la fait Christos envers le centurion venu le chercher
je cite le chapitre 12 de la vita de Christos :

Chapitre 12

Citation:
Quand cette foule se dissipa, la place se vida, laissant place aux gardes du procurateur romain qui gouvernait cette ville. C’est alors, mes amis, que j’eus l’une des peurs les plus profondes de ma vie. Les soldats, rouges, en habit de sang, faisaient irruption sur la place par les multiples ruelles.

Certains surgirent sur les murailles et d’autres sortirent de différents bâtiments, bloquant toutes les issues et toutes les portes. Un tribun descendit alors les marches du palais du gouverneur, accompagné d’un robuste centurion.

Arrivé au milieu de la place, le tribun arrêta sa marche, et se pencha du côté de son centurion. Ce dernier prit alors la parole et nous dit de sa grosse voix brutale :

" Toi, Christos, qui te dis le messie et le guide ! Je t’accuse de nuire à la cité. Tu es un fomenteur de révoltes, un dangereux révolutionnaire, un homme de troubles. Aussi je te demande de me suivre ! "

Nous autres, ses apôtres, étions paralysés par la peur. Nous n’entendions que le sifflement de la brise qui faisait s’agiter les capes des romains. Et nous guettions, inquiets, la réaction de Christos. Daju était terrorisé, lui qui avait été vexé de ne pas avoir été choisi par Christos pour construire son Eglise.


Non a la place de cela elle a crier au loup, comparable en cela à l'inquisition ou comparable a ces villageois ignorant Brebis de Neadjalf qui je cite le prêche de Neadjalf qu'on apprend même a la pastorale à le comprendre pour vous dire mon indignation de ce manque de tolérance et de sagesse

je cite donc chapitre non dogmatique du livre des Vertu : le prêche de Neadjalf :

Citation:
Le prêche de Neajdalf


Il y bien longtemps, je venais de dire ma messe dominicale, quand une foule, un peu bruyante pour ce lieu sacré, jeta au pied de l'autel un être aux yeux hagards et à la vêture des plus fantaisiste.
Mes villageois parlaient tous en même temps, mais, je finis par comprendre que, s'il m'avaient amené cet étranger, c'est que pour eux il était possédé.
Il disait que c'était sa première connexion depuis son ordinateur et qu'il cherchait la Faq ou au moins un guide pour l'aider à démarrer.

M'approchant du pauvre hère, je me rendis immédiatement compte que c'était la première fois qu'il voyait un prêtre aristotélicien, ou du moins qu'il n'avait pas une bonne opinion d'eux.

- Bonjour mon enfant, je suis, Neajdlaf ,le curé de ce village,
Comment vous nomme-t-on ?

- L'on me nomme Newbie, contrairement à mon apparence je suis un elfe magicien, à la recherche de l'anneau des anciens

Un villageois m'interpella :

- Vous voyez bien mon père, il faut appeler l'Inquisition, ou les exorcistes, il est possédé que je vous dis.

- Du calme, mon fils, l'Inquisition a d'autres chats à fouetter, son but est de lutter contre les hérétiques reconnus et non pour brûler celui qui se perd un peu.
Je sais que certains annoncent à l'enfant qui ne mange pas ses légumes que la méchante Inquisition va venir les brûler mais ce n'est pas son but ici. Quant aux exorcistes, attendons de voir ce qu'il en est de notre ami.

Le vagabond, l'air toujours aussi perdu, cria :

Bon alors on m'explique ? Et qui peut me donner un peu de sa confiance ?

-Chaque chose en son temps mon fils. Pour vous prendre pour un elfe magicien vous devez réellement avoir eu un gros coup sur la tête. Alors écoutez l'histoire de nos royaumes.
A l'origine du monde il n'y avait que Dieu immobile et plein d'amour, il a défini l'univers et accompli une série de miracles pour arriver à la création des animaux, des plantes et des humains. Donc soit vous êtes une plante, soit un animal, soit un humain.
Ensuite Dieu n'a laissé la parole qu'aux humains et à une créature sans nom qui tente de pervertir l'humanité.
Donc comme vous ne pouvez être cette créature qui n'a que la forme des ombres, vous ne pouvez être qu'humain.

-Ah oui, je vois mais, si je le veux, je peux être magicien quand même ? rétorqua l'étranger.

-Vous pouvez utiliser des tours pour divertir les foules mais aucun humain n'a de magie en lui. Certes, certains élus semblent bien avoir réalisé des chose prodigieuse, mais c'est grâce à leur foi en Dieu et non à une quelconque magie païenne.

- Bon admettons, mais Moïse ? Il a bien fait de la magie, non ? Hein ! Là je vous tiens non ?

- Je ne connais pas ce Moïse, j'ai bien lu des textes le concernant mais c'était des textes pour distraire les anciens, comme l'histoire de Noé et autres textes anciens qui circulent parfois.

- Bien ils sont dans la Bible non ?

- Pas dans celle de l'Eglise officielle des royaumes en tout cas. Je vais vous raconter notre histoire en quelques mots :

Dieu créa l'univers. Dans l'univers, Il créa le monde. Et Il peupla le monde de diverses espèces de créatures. Mais chaque espèce se croyait la préférée de Dieu, sauf l'espèce humaine, car elle connaissait le sens de la vie: l'amour. Dieu récompensa alors les humains en les nommant "Ses enfants". Mais les enfants de Dieu s'abandonnèrent au péché, encouragés par une des créatures ainsi rejetées par Dieu, a qui Il ne donna pas de nom. Dieu punit donc Ses enfants en détruisant leur cité, et ils s'éparpillèrent. N'ayant pas compris la punition, ils s'inventèrent des dieux multiples. Alors, Dieu, pour rappeler aux humains le sens de la vie, confia Son message à Aristote. Et ce message trouva sa perfection avec Christos (parfois nommé Jéisus Chistos).

Le vagabond demanda alors s'il devait oublier tout ce qu'il connaissait.
Je tentai donc de lui répondre :

- Si ce que vous croyez connaître n'est pas directement lié à l'histoire des Royaumes et que vous désirez intégrer notre vérité historique, il y a sans doute beaucoup de chose à oublier oui.
Le plus simple est parfois de tout oublier et de remettre à jour ses connaissances par des textes validés du royaume. N'oubliez pas que vous n'êtes qu'un vagabond encore il faudra du temps pour vous instruire et devenir un érudit.

Notre religion porte le nom d'église Aristotélicienne et est de source Aristochrétienne, c'est à dire qu'elle s'inspire à la fois des écrits d'Aristote, des Royaumes et de Christo.
Son message est que pour se rapprocher de Dieu il faut se rapprocher du bonheur et trouver l'amitié aristotélicienne. Cette amitié n'est pas une amitié débridée mais une amitié respectant certaines règles dont la principale est qu'elle doit être désintéressée. Bien sûr, il y a différents type d'amitiés, mais vous trouverez ça dans nos bibliothèques où par vous même.
Il y a dans chaque village un maire qui s'occupe de politique et de la gestion de la ville et surtout de son commerce. Il y a aussi un curé qui, lui s'occupe de religion et de la gestion de la foi des paroissiens.
Le curé et le maire se doivent de collaborer au bien des citoyens et si l'un des deux juges que l'autre ne remplit pas sa mission, il peut intervenir pour tenter d'arranger les choses. C'est pour cela que certains maires s'occupent de religion et que certains clercs s'occupent de politique.
Au-dessus vous avez le comte pour la politique et l'évêque pour la religion, mais vous découvrirez tout ça par vous-même, sachez juste que les guides politiques sont choisis par les citoyens lors d'élection, alors que les guides religieux sont nommés et révoqués par la hiérarchie de l'Eglise. C'est pour ça que si le peuple veut élire son curé comme Maire c'est le choix du peuple, et la hiérarchie de l'église ne ferra que veiller à ce que le clerc continue principalement à guider les citoyens sans oublier sa responsabilité de clerc.

Le vagabond semblait avoir compris.

-Ah oui, je vois, c'est plus clair déjà, et pour le reste que dois-je faire ? Pour manger ? Pour gagner ma vie ?

- Cela, mon fils, est moins de mon domaine, mais voici une liste de documents qui vous aideront à trouver votre place.

Liste de la Bibliothèque

- Merci mon ami, je vais voir si je trouve ma voie, dit le vagabond en attrapant son sac et sa bourse. Je vais de ce pas prendre contact avec les villageois à la taverne pour leur montrer que je ne suis pas possédé... et qu'ils peuvent me donner leur confiance.

Je souriais en le voyant partir, et je lui criai :

-N'hésitez pas à me contacter en cas de besoin.

J'ai appris plus tard que le vagabond était devenu un grand seigneur et que s'il n'avait pas rejoint l'église aristotélicienne au moins il n'avait pas d'idée préconçue sur elle et ne se laissait pas raconter n'importe quoi.
Il faisait ses choix en connaissance de cause et non pour faire plaisir aux chimères de Hyérel.



extrait tiré des " mémoires d'un curé de campagne, écrite par le père Neajdlaf en 926 ap JC"
Christos dit alors au centurion :
" En vérité, je te le dis, homme de peu de foi, je ne te suivrai pas, mais c’est toi qui vas me suivre ! "

Alors, le tribun ordonna au centurion de se saisir de Jeshua, et l’officier, à la mine féroce s’approcha de nous d’un pas lent. Je respirais au rythme de la cadence de ses pas, essayant de calmer mon cœur qui s’affolait. Lorsqu’il se trouva face à Christos, le Centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et s’agenouilla en embrassant la robe de notre messie.

" Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! "

Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
" Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. "

Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
" Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence."

Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
" Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. "

Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :

" Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen "

Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " Mes apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos péchés. A vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit l’essence. "

Ce fut une journée intense que je n’ai jamais oubliée tant elle est gravée dans ma mémoire. Notre émotion était à son comble quand nous nous aperçûmes en plus que les soldats avaient déserté la place.


Quel manque de maturité ces cisterciens, de clairvoyance, de charité, ils ressemblent de plus en plus à des inquisiteurs, ce qu'ils nous prouvent de plus en plus c'est leur dédains, et leur façon de penser supérieur soit disant, car il le serait il se humble et essayerait d'enseigner la faute qu'a fait Svalrog plutôt que de l'en blâmer lui qui ne sait rien.
Je m'en vais donc de Bourges pour allez autre part et ne puis vivre a coté d'un inquisiteur, voir même de quelqu'un qui a le sans nom en lui.
Je vous donnerais des nouvelles, ici lieux de temps en temps et je prierais pour que le Très Haut protège ma famille, et pardonne a cette hérétique, qui n'a aucune excuse, car elle a le savoir et si c'est le prévôt Rapha, votre ami c'est pire, car il est l'autorité de cet abbaye, mais il confond abbaye et parti politique, personnellement j'ai vue mon erreur de vouloir les aider et ne reviendrais jamais en cette Abbaye je me rendrais utile ailleurs.

Que Dieu ai pitié de nos âmes, car seul lui est juge a l'heure de notre mort. en bref aucun homme ni femme ne peux excuser cela


décidément il était possédé
_________________
Rapha13
Pendant ce temps, le frère rapha était à l'Eglise de Bourges où il assistait à l'office et il se demandait comment une telle créature, oui parce que c'était une créature possédée par le sans nom, pouvait être la fille d'un de ses amis les plus fidèle, le baron Bubul...Ainsi le frère, pria pour que cette créature retrouve le chemin de la lumière en acceptant la hiérarchie, l'ordre, la rigueur et tant d'autres choses qu'elle avait oublié...
_________________

l'Ordre Cistercien recrute !!! (cliquez sur le texte)
Svana
svana regarda Rapha en se demandant comment il pouvait lire dans les esprits et se dit normal quand on est possédé par le sans nom.
elle eu un frisson dans le dos et se dit vadé retro satanas politicum.mélangé politique, savoir et religion que Dieu prenne pitié de son âme

_________________
Svana
Elle pria donc pour le diacre, dans sa tête

Dieu accorder le pardon a cet être qui vous sert fidèlement,
Permettez lui de voir le chemin de la lumière,
Accordez lui le repos de l'âme car il doit bien souffrir.

Montrez lui le chemin de la lumière,
Qu'il voit la paix, l'amour, le vrai sens de la vie.

Débarrassez le de ces démons intérieurs,
Vous qui savez tout, ramenez cette brebis en votre famille.
Le pouvoir doit amener a l'humilité, donner lui l'humilité.
Dans votre immense Bonté pardonnez lui ces péchés.

Merci pour lui.

Amen
Verty
Alors que le bedeau était encore suspendu à l’épaisse corde, sonnant les cloches, les premiers villageois franchirent la porte de la cathédrale , ils traversèrent la nef, s’assirent sur les bancs.



Mes frères, mes sœurs,

Je vous souhaite la bienvenue en notre belle cathédrale pour la célébration de l’office.

_________________
June
Tiens, une messe en cathédrale. Avait-on quelque chose à fêter ?

"Bonjour, Verty."

Il s'installa sur un des premiers bancs et patienta.
_________________

Capitaine des Armées de Berry - Seigneur de Sarzay - Président du FIER
Thimothe
Le bourgeois de Sancerre se rendit aux bruits des cloches à la Cathédrale Saint-Étienne de Bourges à l'occasion de sa visite dans la capitale en compagnie de proches collaborateurs.

Il profiterait pleinement de la cérémonie, n'ayant pour habitude d'y participer du fait de la non présence de curé à Sancerre.

Il entra dans l'Eglise, salua les personnes présentes ainsi que le Président du FIER, avant de s'assoir sur un banc au milieu de l'édifice.
Pandorha
Pandorha se rendit à l'office, point de messes en l'église de Bourges, mais en la cathédrale, après s'être préparée, elle s'y rendit tranquillement à pied.

Entrant dans la cathédrale, elle salua les personnes présentes et alla prendre place dans les premiers rang. Il était temps de prier pour la paix, la paix qui n'arriverait jamais à cause de sale hommes et de gens qui ne bougeaient pas pour sauver la vie d'innocents. Dans quelques jours, elle serait libre, dans quelques jours, elle pourrait faire de nouveaux projets, mais dans quelques jours, le pourrait-elle vraiment ?


Oriane.
Le chef avait dit, dimanche, c'est jour de trève et on va à la messe. la messe ? l'orléanaise n'y avait pas assisté depuis pfffffff.......... on dira plusieurs mois mais les ordres c'était les ordres et on ne discutait pas.

Elle laissa son épée au campement, mais gardant quand même sur elle ses poignards, sait on jamais avec les berrichons, z'avez pas compris que leur visite n'était qu'amicale.

Traversant la ville sans apercevoir une seule queue de renard, elle penètra dans le lieu saint, se glissant sur un banc non loin de la porte. Mieux vallait être prudente.
Taf
Sonnent les cloches, s'acheminent les fidèles, les accueille Son Eminence...
Taf comme d'autres ira à l'office en la cathédrale, une fois n'étant pas coutume.

Il alla s'intaller à son endroit préféré, dos contre un pilier et vison globale dégagée...

_________________
Waleran_jr
Office du Dimanche


Le curé de Bourges, le petit père Waléran était fidèle et obéissant, la cardinale lui avait demandé de dire la messe, alors il allait dire la messe, c‘est donc dès le matin qu‘il se rendit à la cathédrale afin d‘y célébrer l‘office.

Certes il était curé, mais curé de la capitale du Berry, et cela n‘était pas rien…
Il avait encore en tête les insultes de certains des paroissiens, sans motif précis, et cela avait gâché sa vie. Il doutait un peu depuis cet incident.
Est-ce vraiment sa voie que de se dévouer pour tant d'ingratitude.

Un curé de nos jours est à la tête d‘une paroisse, et nombre de diacres d‘abées de prieurs etc, se devaient d‘œuvrer pour la paroisse.

Il fit une prière au Très Haut

Non Seigneur ce n‘est pas de l‘orgueil, mais de la fierté.
Je suis fier de ma condition
Fier de servir ton église et les fidèles de Bourges….
Seigneur peux tu ouvrir les yeux de mes paroissiens ?
...
Merci Seigneur !

Le soleil éclairait le début de journée, la lumière était belle, le cœur heureux le père alla vers les fidèles. Il entra dans le coeur...


In nomine Dominus, Aristote et Christos

Le père essaya de sourire

Bonjour à tous !

Frères et Sœurs, je vous souhaite la bienvenue.


Il passa à la suite, certes les mots étaient toujours les mêmes, mais il savait que les fidèles les connaissaient eux aussi par cœur et que cela les rassurait.

Comme d’habitude, je vous demande de vous recueillir et de prier pour lui avant de réciter cet acte de contrition, qui nous permettra de demander le pardon de nos fautes, directement à notre créateur.

Oremus :


Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime, avec une âme pure
Qu’il en soit ainsi.

_________________
Verty
Après avoir fait acte de contrition, Verty prit la parole.



Je vous invite à ouvrir votre Livre des Vertus, Création VII : l’Amour.


Citation:
Création VII: L’amour

Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort par le faible.

Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

Et Dieu lui demanda: “Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !”. Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: “Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste...”. Et Dieu lui ordonna: “Parle et je te le dirai !”.

Alors, Oane répondit: “Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”

“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.



Après un court silence, Mère Verty reprit.

Prions ensemble, prions ! Et affirmons notre Foy pour le Très-Haut.


Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Maintenant, je vous invite à célébrer l’amitié Aristotélicienne en procédant au partage du pain.



Mère Verty, donna à chaque fidèle, qui s'avancent vers elle, un morceau de pain, symbole du partage dans la Foy.

Allez en paix mes enfants !!! Allez en Paix, dans la lumière du Très Haut.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 19, 20, 21, ..., 33, 34, 35   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2025
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)