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[Rp-Église] La Cathédrale Saint-Étienne de Bourges

Ysabeau
Sur le parvis de la cathédrale

Elle serrait dans sa main le parchemin du jugement. Son procès était terminé. Sans surprise, et malgré sa défense, les occupants l'avaient déclaré coupable. Coupable de s'être révoltée contre la prise de Bourges. Coupable d'avoir défendu sa terre, son duché.
Coupable.
Elle relut le verdict, la condamnation somme toute modérée... Trouble à l'ordre public et non haute trahison... Deux jours de jeûne... circonstances atténuantes...

Citation:
Nous, Angelyque de la Mirandole, dict la Vilaine en Berry, en nostre qualité de Juge du Berry, requalifions le chef d'inculpation en 'Trouble à l'ordre public', reconnaissons l'accusée coupable, avec circonstances atténuantes et la condamnons à une peine de 1 écu d'amende pour l'infraction et à deux jours de jeûne devant la Cathédrale Saint Etienne de Bourges.


Ysabeau respecterait le jugement. Ysabeau était légaliste. On le lui reprochait assez. Chaudement vêtue, car on ne lui avait pas infligé l'humiliation de se présenter en chemise, elle s'installa donc sur le parvis de la Cathédrale Saint Etienne.
Pendant deux jours, elle ne mangerait rien. Elle se demandait, un peu curieuse, ce qu'elle allait devenir au bout de ces deux jours.
C'est qu'en tant qu'érudite, elle avait grand faim...
Bah, se dit-elle, si je meurs... après tout je rejoindrai mes amis là-haut, au Paradis solaire... et puis peut-être qu'Aristote ne voudra pas encore de moi...
Elle ne craignait pas la mort. Elle savait qu'elle allait perdre quelque force, intelligence et charisme , mais après tout... ça pourrait s'arranger si elle trouvait les denrées nécessaires.
Et puis, ainsi, elle se sentirait solidaire des soldats qui, au loin, souffraient eux aussi de la faim.
Elle pensait à son époux, à son cher Oxytan.
Elle s'assit sur un banc, éclairé par un pâle soleil d'automne.
C'était le 31 octobre. Le dernier jour de ce mois. La veille de la Toussaint.
Elle pourrait méditer en pensant à tous ses amis disparus.
Elle ferma un instant les yeux.

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June
June avait eu connaissance du jugement rendu par Angelyque de la Mirandole pour Ysabeau. Il remerciait Dieu d'avoir eu pitié d'elle et de reconnaître son courage ; la peine était peu lourde, et il en remerciait intérieurement Miss Angélyque qu'il savait dure mais qui savait reconnaître ses torts et les raisons bien-fondées des actions comme celle d'Ysabeau.

Il avait décidé d'aller, au matin de son premier jour de jeûne, la rejoindre sur le parvis de Saint-Étienne.
Il lui avait ramené un lourd et chaud manteau qu'il gardait chez lui pour les grands froids, ainsi que des gants d'hiver qui lui éviteraient de perdre quelques doigts.
Les nuits étaient de plus en plus fraîches, et même si la femme était une opposante politique, une habitante de Sancerre et non de Bourges, elle était d'abord une amie, et un être humain.

Il s'avança vers elle, son paquetage sur le bras.


"Bonjour Ysabeau, dur froid, n'est-ce pas ? Je vous ai apporté de quoi vous réchauffer, l'hiver se fait de plus en plus sentir et j'aimerais éviter de retrouver une statue glacée de plus autour de notre belle cathédrale... Bien que vous l'embelliriez !"


Il rit de bon cœur, cela réchauffait. Il lui mit la paire de gants dans les mains, puis déposa l'énorme et lourd mantel sur les épaules de la femme. C'était un très grand manteau qu'il s'était lui-même faire, c'est dire s'il était grand, cet habit, pour convenir à un homme comme June qui faisait un mètre quatre-vingt-dix-sept.
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Capitaine des Armées de Berry - Seigneur de Sarzay - Président du FIER
Ysabeau
Ysabeau salua l'ancien maire de Bourges. Elle l'avait rencontré et l'appréciait.
Elle se laissa envelopper dans le manteau qui la couvrit complètement, ne laissant apparaître que son visage.


Merci June, voilà qui me permettra de patienter. Deux jours, après tout, c'est vite passé.
Je me sens un peu faible, mais je pense que je me remettrai vite dès que je pourrai manger à nouveau.
Et j'en profite pour prier pour notre duché. Si Aristote pouvait inspirer à nos dirigeants un peu de compréhension, un peu de souci des habitants...
J'en connais beaucoup qui sont plus que lassés de cette interminable guerre. Mon époux est au loin, il me manque...
Et à Bourges, que se passe-t-il ? Je n'ai pas eu le temps de parcourir les ruelles...

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Clealan
Il était dans son berry natal, mais il apprenait que son amie Ysabeau était à la peine, il se rendit que le parvis de la cathédrale St etienne,

Ysa!!!! norf mais quelle honte! Mon amie je vais aller te préparer une bonne tisane bien chaude et miellée!

Il étreignit son amie, il la trouva pâle et les traits tirés , cela ne lui plaisait guère! Il partit d'un pas rapide vers la taverne la plus proche à la recherche d'une bonne eau chaude, de tisane et de miel

je reviens vite Y sa....tu vas voir cela va te faire du bien...

Nomého mais quelle honte traiter ainsi un femme si juste et si gentille !
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June
June sourit à Ysabeau.

"Ce n'est rien, Ysabeau, je préfère te savoir au chaud... Enfin, le plus réchauffée possible. Si jamais je peux t'apporter quelque chose à manger, dis-le moi, je le ferai en douce... Je saurait être discret. Ou même quelque chose de chaud à boire."

Il lui frotta un peu le dos à travers le manteau, pour essayer de la réchauffer. Elle lui semblait bien frêle sous ce grand froid ; elle devait déjà, comme la plupart des berrichons, être fatiguée par la guerre et la vie sous la régence, mais ce genre de peine n'allait rien arranger.

"Tu as raison, il faut prier le plus possible, je le fais chaque jour J'espère pour toi qu'Oxytan va bien, tu as des nouvelles de lui ? Oh, à Bourges... A part les régents qui m'ont déclaré félon parce que j'avais signé un papier que Retz a publié... Papier qui date déjà, hein... Tous les prétextes sont bons, quoi. Mais ne t'inquiète pas, va. J'espère que ça ira pour toi. N'hésite pas à venir chez moi quand tu auras fini ta peine, histoire de te requinquer avant de reprendre la route."
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Capitaine des Armées de Berry - Seigneur de Sarzay - Président du FIER
Ysabeau
La nuit était passée. Elle avait un peu dormi, dans le froid, bien enveloppée dans le manteau de June. La visite de ses amis l'avait réconfortée.
Une nouvelle nuit de jeûne, Dieu merci la dernière...
A l'aube, elle ouvrit les yeux, frissonnante, squelettique.
Un petit pigeon était là, à ses pieds, la regardant d'un air amical, porteur d'un message.
Un message ? Qui pouvait bien savoir qu'elle était là ?
Elle détacha le parchemin, le lut. Un petit sourire. Était-elle si connue dans les hautes sphères, que l'ancien roy Levan s'intéresse à elle ? Norf de norf, elle n'en revenait pas...
Elle lut, relut...

Citation:
Eh bien Ysabeau ?
Eh bien Ysabeau que se passe-t-il ? Où avez-vous la tête ?

Il vous faut manger voyons, ou bien vous allez mourir de faim ! =(



Manger... Oui, elle allait manger, et plutôt deux fois qu'une ! Sa peine était accomplie, les deux jours de jeûne l'avaient rendue squelettique, elle avait payé sa dette.
Maintenant... Quitter ce parvis, remercier June et Clealan d'être passés...
Et manger, manger, manger !!!

Elle se leva, mais la tête lui tourna. Elle s'adossa un instant au mur de la Cathédrale.


pour la missive de Celsius...j'ai pas pu résister...

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Ysabeau
Clealan lui prit le bras, et la reconduisit chez elle.
Elle quitta le parvis, manquant défaillir à chaque pas.
C'était provisoire, elle le savait. Bientôt, elle reprendrait des forces. Bientôt, elle retrouverait toutes ses capacités.
Lentement, ils s'éloignèrent, prirent la route de Sancerre.
Un pâle soleil d'automne les éclairait, les feuilles des arbres roussissaient.
Les jours étaient de plus en plus courts.

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Waleran_jr
GRAND’MESSE

Le Père Waleran, s’apprêtait à dire une messe en la Cathédrale, il en avait reçu l’ordre de la part de son évêque. Il souhaitais ardemment que la noblesse y vienne tenir son rang. Il entra dans la l’édifice en procession, suivi des enfants de choeur qui composaient son train et alla rejoindre dans le chœur les clercs déjà présents.
La journée semble belle, à cette heure du jour la lumière qui pénètre par la rosace baigne l’édifice de douceur. Cette lumière du levant symbole de l’espoir d’une vie vertueuse qui mènera l’homme à être admis dans le paradis solaire pour une éternité d’éternités auprès de son père créateur.
Il profite de l’instant et prend une inspiration bénéfique avant de monter à l’autel.
Puis il avance jusqu’à l’autel et ayant rendu hommage à la relique, fait une courte prière.
Après une courte génuflexion, il se retourne vers l’assemblée et dit :


In nomine Dominus, Aristote et Christos

l’assemblée répond

Qu’il en soit ainsi

Bonjour à tous !

Frères et Sœurs, je vous souhaite la bienvenue.

Il m’est donné, le plaisir et l’honneur de célébrer devant vous cet office, j’en remercie le Très Haut


Après cette introduction il s'approche de la lice et s'adresse de nouveau aux fidèles présents.

Mais avant de partager ce moment ensembles, il faut nous repentir de nos pêchés.

Oremus :


Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime, avec une âme pure
Qu’il en soit ainsi.


Mes frères, souvenons nous de cet adage !
« Nul n’est autorisé à râler sur l’absence des clercs tant qu’il n’est pas présent lui même aux célébrations »

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June
June était venu.

Bientôt condamné à mourir pour une raison qui n'en valait pas la peine, tout ce qu'il lui restait, c'était prier, et cela lui allait très bien. L'ancien Maire de Bourges s'était avancé dans la cathédrale qu'il connaissait bien, peut-être mieux que le prêtre lui-même.
L'adage que Waleran leur demanda de se souvenir le fit sourire ; il le concernait directement, June ne s'étant pas privé de commenter grassement l'absence prolongée d'un clerc nommé pour Bourges, ainsi que de l'évêque, empêchant les berruyers d'aller à la messe et de prier avec un prêtre pour la paix de leurs âmes.
Évêque qui d'ailleurs avait interdit à tout religieux de baptiser June sous peine d'excommunication sans préavis et sans appel.
Décidément, une femme sur le trône de France c'était une catastrophe, mais une femme avec une crosse d'évêque c'était pas mieux. Comment voulez-vous vous défendre les femmes avec des exemples pareils !

Il pria, car il en avait le droit.


"Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime, avec une âme pure
Qu’il en soit ainsi."


Il ferma les yeux, et pria encore. Pour tous ceux qu'il aimait, pour ceux qui n'étaient plus, pour le Berry.
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Capitaine des Armées de Berry - Seigneur de Sarzay - Président du FIER
Angelyque
La Duchesse du Charolais avait entendu parler d'une grand messe à la Cathédrale de Bourges. Elle s'était empressée de revêtir une de ses plus belles robes, au décolleté sage, et s'était empressée de se rendre à la Cathédrale.

Peu de fidèles étaient arrivés pour le moment, elle n'était donc point en retard.

Elle se rapprocha de June, le salua discretement d'un signe de tête, ainsi que l'officiant et prit place.

Avec ferveur, elle commença à prier


Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime, avec une âme pure
Qu’il en soit ainsi.

_________________
[En réfection]
Waleran_jr
Le père Waleran reprit la parole.
Ce n'était pas une grande messe, juste le moment de partager l'amitié avec les aristotéliciens vertueux et il semblait qu'ils étaient peu nombreux en Berry.
Il reconnu la noble dame du premier rang, il avait eu affaire à elle et en avait gardé un excellent souvenir par le passé.
Il continua.


maintenant, sœurs et frères partageons le pain et le vin comme il nous a été appris à le faire.



Le père se saisit du calice, le tendit vers les fidèles, et en bu. Certains fidèles ayant apporté du vin le burent aussi dans la communion puis s'avancèrent vers l'autel, il posa sur des linges les pains synonyme de Partage.
Cahcun prit et partagea avec les autres ce repas symbolique.
Une fois achevé, il ajouta

.
Mes frères :

Le très haut bénisse tous les participants à la vie des paroisses

Pensez à vous faire baptiser afin de rejoindre la communauté des croyants...


Ite missa est …
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Lilly_de_brithilde
Si il existait un endroit que la mioche aux bouclettes brunes reconnaissait, c'était les églises et tavernes.
Les églises parce qu'elle savait que de grosses cloches y trônaient, et les tavernes, parce que c'est là que Dame Taya et Messire Hans avec Grim' l'avaient chouchoutée, malgré la claque sur les mains que Dame méchante Taya lui avait mise quand elle eu l'impudence de lui présenter des ongles sales.

De retour de sa fugue depuis qu'enfin elle avait eu des nouvelles de sa mère, retour aussi hasardeux que l'aller d'ailleurs, la mioche n'avait qu'une hâte, retrouver enfin la chaleur maternelle.
Elle était triste de ne pas être rentrée avec le Meussieur Taf, mais sans nouvelle, elle avait prit la route.

Elle vit un adulte pousser la majestueuse porte et profita de l'entrebaillement pour s'y faufiler.
Elle n'avait pas de réelle idée de ce que l'on devait y faire, mais elle avait vu plein de gens entrer dans celle de Tours une fois, et son oeil curieux lui avait montré ces plein de gens...
Elle s'était demandée pourquoi ils ne parlaient pas ensemble, vu qu'ils étaient nombreux. Recueil et prière n'étant pour elle que des mots parfois entendus, jamais compris.

Elle laissa la porte se refermer et s'installa sur la marche, le dos contre la porte. La petite constata avec dépit que sa couverture-doudou était toute crasseuse, mais tant pis, c'était la sienne, c'était tout ce qu'elle avait pour la réconforter un peu en attendant sa mère, ou n'importe qui pouvant lui dire où la trouver.

Sa petite main attrapa une poignée de cailloux qu'elle s'amusait à lancer sur les affreux pigeons qui osaient se promener sur le parvis, pour l'occuper.
June
Durant la nuit, une affiche avait été mise...
Citation:
"Oyez, oyez,

Ce mercredi 23 novembre, sera célébré le baptême de

June Sidjéno

Tous les Berrichons sont conviés à venir célébrer avec lui ce moment important de sa vie.

Merci à tous."


http://cathedrale-clermont.lightbb.com/t3336-bapteme-de-june
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Capitaine des Armées de Berry - Seigneur de Sarzay - Président du FIER
--Croquignol
Le placard, c'est aussi une affiche. Pas seulement un truc ou on range son linge sale.
Le "gentil", c'est celui qu'est dans l'erreur, les yeux barbouillés des mensonges de l'Église, qui peut ouvrir les yeux et se réformer, le convertible, en somme... appelé autrement "clic-clac" en fait. Quelque fois, donc, pour d'obscures raisons, inspirées par Deos, n'en doutons point, on s'aventure, à ses risques et périls, à clouer un placard pour un éclairer un clic-clac. Celui qui n'a point rencontré l'Archange Iquea ne peut point comprendre.


Citation:
Articles véritables sur les horribles, grands et insupportables abus de la confession et des soi-disant bénédictions d’En-Haut plutôt venues des hommes et femmes d’En-bas, inventée directement contre Aristote.

J'invoque le ciel et la terre en témoignage de Vérité, contre cette pompeuse et orgueilleuse Église soi-disant d’Aristote, par laquelle le monde, si bientôt on n'y remédie point, est et sera totalement ruiné, abîmé, perdu et désolé : quand en, elle, nos prophètes sont si outrageusement blasphémés et le peuple séduit et aveuglé, ce qu'on ne doit plus souffrir ni endurer.

A tout fidèle aristotélicien, il est et doit être très certain qu’Aristote, comme prophète éternellement ordonné de Déos, très parfait, entend son verbe usurpé en son nom par l'Église dite d’Aristote. La terre est remplie de misérables benediciteurs, lesquels, comme s'ils étaient nos rédempteurs, se mettent au lieu du prophète ou se font ses compagnons, disant qu'ils offrent bénédictions ici-bas plaisantes et agréables pour le salut tant des vivants que des trépassés : laquelle chose ils font ouvertement contre toute vérité du Ciel.

En cette malheureuse invention de sacrements, on a provoqué quasi l'universel monde à idolâtrie publique, quand faussement on a donné à entendre que sous les espèces de la bénédiction des curés et des évêques est contenu la volonté du Ciel.
Ces benediciteurs aveugles ont en leur frénésie encore dit que seul le goupillon et le sourire mielleux du cureton assure le salut dans le baptême, le mariage, la confession et la mise en boite pour l'Au-delà.

Je fais publiquement protestation de ma foi et j’ai en confiance certaine de salut sans l'Église soi-disant d’Aristote. Nous sommes rachetés de damnation et perdition par nos actions et non le goupillon. Ayons souvenance de la grande charité du Ciel, de quoi qu'il aurait donné privilège exclusif aux prêtres d’accorder le baptême, le mariage, le pardon en confession pour nous est grande fausseté.

Aussi, en prenant tous un pain et un breuvage, ce qui est bien suffisant, sans le prêtre à qui l’on peut accorder un pain quand même s’il le cherche de trop, pour les baptêmes, mariages et mise en bière dans le cimetière et point dans la taverne, nous sommes admonestés de la charité et nous nous gardons en grande union avec le Ciel.

Mais le fruit de l'Église soi-disant d’Aristote est bien autre. Par elle toute connaissance du Ciel est effacée, la prédication des vertus est rejetée et empêchée, le temps est occupé en sonneries, hurlements, chanteries, cérémonies, luminaires, encensements, déguisements et telles manières de singeries, par lesquelles le pauvre monde est comme brebis ou moutons misérablement entretenu et dupé et par ces loups ravissants, mangé, rongé et dévoré.


Ils tuent, ils brûlent, ils détruisent, ils meurtrissent comme brigands tous ceux qui les contredisent. Vérité les menace, Vérité les suit et pourchasse, Vérité les épouvante. Par laquelle bientôt ils seront détruits. Ainsi soit-il ! Amen.

Imprimés à Genève sur papier recyclable.



Toc ! Toc ! Toc ! Aïe !

Une masse, quatre clous, un vélin, dix doigts dont un rouge.
Waleran_jr
Le père Waleran, que l'évêque avait chargé de l'entretien de la cathédrale vint poser plusieurs affiches.



La première il la colla sur les inepties, qu'avait posé ...personne

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