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[Jeu RP] Les Grandes Battues Ducales

Dorionis
Mon arc, je n'ai pas récupéré mon arc !

Il semblait peine perdu de tenter de stopper Mathilde. Tout s'était passé très vite. Après avoir tué l'animal, il s'était laissé aller à un peu de repos. Mathilde et la dame inconnue s'était portée à son secours. Elles avaient découvert à sa propre surprise qu'il n'avait rien. Pas une blessure si ce n'est quelques égratignures. Il avait pourtant l'impression d'être tombé d'une falaise, bien que ça ne lui soit jamais arrivé, la douleur qu'il ressentait devait s'en approcher.
Sans qu'il se rende vraiment compte de la suite il s'aperçut qu'il courait maintenant, à travers bois, suivant Mathilde qui semblait ne jamais vouloir s'arrêter.


STOP ! Mathilde, je n'en peux plus. Faisons une pause s'il te plaît.

Sans attendre la réponse de la Dame, il s'assit sur une souche, trop épuisé pour voir si Mathilde s'était également arrêtée. Il prit sa gourde de peau et avala quelques gorgées d'eau. Quand il eut fini, un bruit incongru dans cette forêt lui fit tendre l'oreille.

Des gémissements.

Il se releva, grimaçant de douleur alors qu'une crampe se réveillait dans son mollet. Il avança de quelques mètres quand il découvrit un boule de poils grise. Le loup était couché sur le flanc qui se soulevait au rythme rapide de ses inspirations. Chaque fois que la bête exhalait une bouffé d'air, on avait l'impression qu'une scie était à l’œuvre tant le gémissement rendait un son éraillé.

Dorionis avait la main sur la poignée de sa dague. Il la sortit du fourreau mais sans pointer l'arme sur l'animal. La bête le regardait, la terreur dans les yeux. C'était une louve et ses mamelles étaient pleines. Elle venait sans doute de mettre bas quelques jours auparavant. Il tenta de s'approcher quand la bête se mit à grogner. Il progressa encore et malgré les avertissements de l'animal, celui-ci ne bougea pas. Une fois assez près, il remarqua le sang qui coulait sous l'animal. Comme la louve se débattait, il entre-aperçu la branche qui lui avait perforé le flanc.
L'animal était couché sur la blessure et elle agonisait.

Dorionis réfléchit longuement, caressant le poitrail de l'animal. Il savait que les chiens adoraient ça car ils ne pouvaient pas se gratter à cet endroit, il devait en être de même pour les loups. La bête se calma mais resta sur ses gardes, l'observant de son œil gauche. Le jeune homme resta un moment ainsi refusant l'évidence de la situation.
La bête allait souffrir encore longtemps avant de mourir. Sauf s'il agissait.
Il la caressa encore un peu et la tête de la bête se tourna vers lui si rapidement qu'il ne put rien faire, sa gueule ouverte 'approchant de sa main, prête à le mordre. Il se voyait déjà incapable de tirer à l'arc, de manier sa hache, incapable à jamais de forger une épée ou un simple seau. Mais au lieu d'une douleur fulgurante, c'est une sensation d'humidité chaude et visqueuse laissé par un organe mou et râpeux qu'il ressentit sur le dos de la main. La louve le remerciait de sa compassion en le léchant du moins c'est ce qu'il en conclut.

Ce qu'il s’apprêtait à faire lui parut alors encore plus terrible et lui arracha des larmes.
Il n'aimait pas tuer, non à cause de l'acte car il fallait bien manger pour vivre. Il n'aimait pas tuer à cause de la sensation que cela provoquait en lui. Chaque fois qu'il prenait une vie, l'excitation le prenait, accompagné d'une sensation de puissance enivrante. Cela ne durait que quelques battements de cœur et il s'en voulait ensuite énormément. Que provoquerait la mort de cette louve. Allait-il trouver ça jouissif.
C'est empli de crainte angoissante et de peine incommensurable qu'il pointa sa lame en direction du cœur, la lame tournée pour qu'elle ne soit pas arrêtée par les côtes. Il prit une profonde inspiration, bloqua le cou de l'animal et poussa aussi fort et aussi vite qu'il le put. L'animal tressaillit alors émettant un cri déchirant le cœur.
Le corps se détendit, les yeux de l'animal se voilèrent alors et tout fut fini.
Dorionis se mit à sourire car il n'avait éprouvé que compassion cette fois-ci, pour la première fois.
Missanasthasia
L'art de ne pas avoir le sens de l'orientation et de se planter de personne... Voilà ce dont la blonde était capable! Car elle pensait avoir retrouvée Mathilde, mais en faite la personne qui était devant elle, était bien brune, malheureusement c'était la bonne... S'excusant devant la femme, la blonde repartit bredouille en quête de retrouver son amie.

Dans cette grande forêt, comment allait elle la retrouver, c'était un grand mystère, car premièrement elle ne savait pas où elle pouvait se trouver et deuxièmement elle ne savait pas où elle se trouvait exactement dans la forêt, nord?! sud?! alors fallait pas lui demander où était la sortie, étant bien incapable elle même de la trouver...

C'est donc battant de ses pieds les feuilles mortes qui jonchaient le chemin qu'elle venait de découvrir, que la blonde repartit en quête de retrouver son amie ou à défaut se trouver un loup ou un ours, enfin elle mettait plutôt une option sur le premier. Perdue dans ses pensées, elle remarqua que trop tard le chêne... Embrassant l'arbre de très près, la jeune femme vascilla un peu après ce choc brutal...

Essayant de reprendre ses esprits, elle retourna sur le chemin principal, dague à la main entendant des bruits de feuillage et de branche, y avait il un loup dans le coin, possible. S'avançant doucement, elle regarda partout pour enfin trouver la bête, levant le bras elle était prête à lui sauter dessus, pourtant c'était sans compter cette voix qui l'appelait, soupirant elle regarda la bête partir en courant... La jeune femme regarda autour d'elle, voir qui avait bien put l'appeler, surprise elle vit son amie un peu plus loin, courant pour la rejoindre, elle remarqua qu'un homme n'était pas très loin, s'occupant d'un loup...
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Androlyne
Tel Attila lors de l'invasion de la Gaule, Mathilde pousse tout sur son passage, écrasant ça et là quelques pieds gênants et part comme elle était venue, tirant par la main le pauvre sire qui se laisse traîner comme un enfant réprimandé.

Androlyne soupire, elle n'aura même pas pu le remercier encore une fois de lui avoir sauver la vie, ni même savoir son nom.

Enfin Mathilde a toujours eu besoin d'avoir sa cour autour d'elle, pas de raison qu'en pleine forêt il en soit autrement !

Androlyne revint vers Levio et son épouse qui avait l'air de se chamailler joyeusement sur les perspectives qu'offrait cette battue.

Madame, je suis heureuse de vous revoir dans des circonstances moins officielles qu'à Challiers où nous n'avons pas eu le temps de faire plus ample connaissance...

Et pour cause, pensa-t-elle ... le diacre s'était tout bonnement assoupi pendant la cérémonie ... jamais elle n'avait vu ça ...

En attendant les loups, que diriez vous de manger une petite brioche tout fraîche que j'ai cuit cette nuit avant de venir ?


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Guigm
Guigm avait réussi un tir magnifique et tua un loup net.

Oahouuu

Finalement les fonctions ducales n'avaient pas trop ramolient Guigm
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Semias
ATTENTION ! Après ce tour, il ne restera plus que 3 tours de jeu !

Si vous n'avez pas encore eu le temps de poster pour les inscriptions, pas d'inquiétude, vous pouvez prendre le jeu en route. N'hésitez pas !

Prochain tour de jeu : mardi 3 avril à 21h00 heure française.



Anyenka - 124 : A tiré une flèche sur un autre chasseur
Ulyceduel - 145 : Se fait griffer (prochain tour : 50% de chances de tuer un loup)
Exquise - 057 : Aucun évènement
Lanfeust86 - 044 : Aucun évènement
RV007 - 157 : Aucun évènement
Missanasthasia - 151 : Aucun évènement
Ivrel - 129 : Aucun évènement
Silec - 103 : Aucun évènement
Koslov - 154 : Aucun évènement
Diden - 066 : Aucun évènement
Mel971 - 018 : A tué un loup
.Mathilde. - 147 : Aucun évènement
Dorionis - 100 : A tué un ours
Belleetoile - 036 : Aucun évènement
Meya - 064 : A tué un loup
Craquette - 087 : Aucun évènement
Androlyne - 151 : Aucun évènement
Guigm - 145 : Se fait griffer (prochain tour : 50% de chances de tuer un loup)
Levio - 109 : Aucun évènement



Classement :
  • Dorionis : 12 points
  • Exquise : 11 points
  • Levio : 10 points
  • Anyenka : 2 points
  • Missanasthasia : 1 point
    Silec : 1 point
    Koslov : 1 point
    Belleetoile : 1 point
    Lanfeust86 : 1 point
    Diden : 1 point
    Craquette : 1 point
    Guigm : 1 point
    Mel971 : 1 point
    Meya : 1 point
  • Miline : 1 point (ne chasse pas/plus)

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Mel971
A force de silloner la forêt, elle avait fini par en repérer un, un gros loup blanc dont les crocs sortaient menaçant...
Le coeur de Mel se mit à battre à tout rompre, si ce n'était les grognements du loup qui voulait sa peau, tout le monde aux alentours pourraient entendre les BOOM BOOM !!!! BOOM BOOM !!!


Ce n'est pas le moment de paniquer ma grande !!!!se dit Mel à elle même.

Et rassemblant son courage à deux mains, Mel qui avait toujours l'épaule meurtrie, saisit ses deux couteaux de boucher, et s'élança sur ce loup avec la ferme intention de le tuer... Ils roulèrent dans les ronces , le combat fut acharné mais au bout de 10 min Mel se releva, laissant la bete choir à ses pieds !!!!


Victoiiiiiiiiirrrrrre !!!!!!!s'écria t'elle ...

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Silec
Citation:
Messire ? excusez-moi j’ai mal oui le nom prononcé par Mathilde.


Messire Dorionis, je suis heureux de vous connaitre.
La rencontre avec Mathilde! longue histoire effectivement qui demanderait plusieurs heures de narration. Venez donc en notre château je vous raconterais tout cela autour d’un verre. Je pense que vous pouvez attendre un peu pour tout savoir.
Silec lui sourit

Du bruit fait se retourner Silec, il voit apparaitre une silhouette connue.

Bonjour Androlyne, oui elle était énorme tu la verras la chasse finie dans les trophées je pense.

Silec tournant la tête pour répondre à Dorionis

Non les chevaux sont plus là pour poursuivre une bête blessée et me donne une certaine hauteur pour éviter les accidents de chasse le tir étant de haut en bas.

La réponse de Silec semble ne pas intéresser l’homme qui se précipite vers les deux femmes pour les bousculer.
Silec surpris par cette attitude pense un court instant à une agression quand il voit le loup bondir.
Le jeune homme se précipite avant même que Silec ai le temps de bander son arc. Les voilà formant un ensemble animal humain ou il est impossible de faire quoi que ce soit.
Mathilde l’équilibre revenu s’avance un peu vers le combat pointant son arbalète hésitante.
Silec était prêt à intervenir pour protéger sa femme et surtout l’empêcher de tirer. Il n’eut pas à le faire, le combat était fini.
Dorionis git par terre près du loup en sang, les deux femmes se précipitent, Mathilde arrivant la première tâtant son ami sur toutes les coutures. Rassurée elle l’embrasse.
Tout ce précipite soudain.
Levio et Exquise, arrivent à ce moment. Silec apercevant plus loin miss. Mathilde va vers eux, envoie un baiser à la volée à Silec et s’en va rejoindre miss en courant poursuivie par son ami Dorionis. Silec saluant les personnes restantes se dirige vers son cheval le prenant par la bride, il s’enfonce dans la foret. Il est temps de reprendre un peu cette chasse.

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--Planchet
Le château Saint Nectaire

Planchet affairé comme à son habitude au château de son duc comme il aime à le dire reçoit la visite d’un militaire qui se présente comme étant l’estafette de l’armée que dirige son duc.
Il est en possession d’un pli important pour son chef d’armée et demande ou il peut le trouve
r.

Mon brave vous ne le trouverez point, il est dans la forêt pour une chasse ducale et il n’y a que moi qui connais un peu où il serait étant souvent avec lui pour chasser.

Vous risqueriez de vous perdre tout militaire que vous êtes.
Je vais vous indiquer.


La forêt

Planchet accompagné du militaire s’avance dans la forêt, cherche son duc en plusieurs endroits mais ne le trouve pas dans les lieux qu’il a l’habitude d’être.
Il s’enfonce un peu plus entre les arbres arrivant près d’une futaie encombrée de hautes fougères et ronces.
Il lui semble entendre du bruit très léger au-delà de ce bosquet presque infranchissable.
Il faut qu’il en ai le cœur net il s’avance faisant craquer le bois mort a ses pieds.

Le bruit est bien là devant lui.
Un grognement sourd, des yeux, une gueule a moitié ouverte les babines retroussées qui ne demandent qu’a mordre.
Planchet est figé puis une idée lui vient ne pas crier qui affolerait le loup mais se mettre a sa portée.
Il se met doucement a quatre pattes fixant de travers le regard du loup pour éviter de le provoquer, puis s’allonge sur le dos imitant les loups non dominants envers leurs chef. Il attend des secondes qui lui semblent interminables. Le grognement intensifie pour devenir feulement.
Le loup s’approche de Planchet. Son heure est arrivée.
Silec
Silec Une fois seul s’avance dans le bois, son cheval tenu à l’encolure d’une main de l’autre l’arc prêt à décocher sa flèche la pointe vers le sol.
Une bonne demi-heure plus tard, il entend du bruit venant d’un bosquet.
Par prudence il laisse Aubrac et s’avance doucement.
Un grognement se fait entendre puis un feulement. Un loup à coup sûr est planqué dans se bosquet mais où ?

Il lui semble l’apercevoir, Silec bande son arc, attend de voir mieux. Il le distingue a peine, y voit une masse. Décoche sa flèche.
Un cri retenti à ce moment, laissant Silec perplexe. Un loup ne crie pas sur qui il a tiré ?

Il s’approche du bosquet pour recevoir la masse du loup sur lui qui détale sans demander son reste mais en griffant profondément la cuisse droite du duc.
Le duc assis sur la mousse de la foret devient blême en songeant d’un coup au cri entendu. Un cri humain ?
Il fallait en avoir le cœur net. Il s’avance vers le bosquet y pénètre et découvre un homme couché sur le côté, le visage face contre terre.
Une flèche est plantée dans son épaule. Il ne bouge pas, mais Silec semble reconnaitre la livrée des saint Nectaire.
Serait-ce un valet de son domaine ? Silec s’approche un peu plus en distingue maintenant parfaitement l’homme il le connait il s’agit de son intendant général.
Planchet …. Mais que fait-il là ?

Planchet, Planchet tu m’entends ?

Rien ne bouge. Silec le secoue la crainte au ventre. Puis l’homme bouge enfin et se met sur le dos le visage grimaçant de douleur.

La cuisse de Silec peut attendre il y a plus urgent. Il empoigne à sa taille la trompe de chasse et sonne deux coups espérant qu’ils soient entendus. Il se penche vers Planchet.


Mon ami la question de savoir ce que tu fais là est secondaire, l’urgence est de te soigner au plus vite. La flèche est dans l’épaule et semble ne pas avoir touché d’organes importants. Surtout ne touche pas à la flèche cela pourrait faire une hémorragie, tu perdrais tout ton sang.
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Meya
Après avoir hurlé, elle s'était remise en marche. Pensant qu'elle avait fait fuir toutes les bêtes à 1 km à la ronde, Meya avait relâché son attention. Elle tenait fermement son épée, mais sa seule préoccupation était de retourner auprès d'âmes auvergnates. Le calme, elle aimait ça, la chasse seule aussi, mais la forêt était devenue trop oppressante.

Jamais elle n'aurait pensé qu'en faisant autant de bruit en marchant qu'elle en serait devenue une proie pour un loup. Et pourtant, il était là, derrière elle, à la suivre. Les rôles étaient inversés et la thiernoise n'en avait même pas conscience. Pourtant l'observation était nécessaire, voire primordiale dans son travail, mais cette fois ci, elle était tellement pressée de retrouver les chasseurs de cette battue qu'elle en avait totalement oublié son instinct de chasseuse.

L'attaque fut sournoise et rapide. D'un bond, le loup l'avait plaquée au sol. Elle sentit son poids dans son dos et son haleine chaude avant de comprendre qu'elle était en mauvaise posture. Dans la chute, elle eut le souffle coupé et lâcha son épée. Le loup n'attendit pas une seconde de plus et lui enfonça ses griffes dans l'épaule.

Elle se devait de réagir, elle ne pouvait pas mourir là, dans cette forêt, loin de Thiers, et surtout, non mariée. Son cerveau bouillonnait et partait dans tous les sens, et malgré la douleur intense et l'impression qu'elle ne pourrait plus jamais bouger le bras, sa dernière pensée la fit sourire. Le désespoir la faisait délirer. Elle rattrapa malgré tout son épée du bout des doigts tout en se retournant, et au moment où le loup revenait à la charge en un saut pensant l'achever, elle mit son épée de façon perpendiculaire au sol, incapable de la soulever au dessus d'elle. La lame s'enfonça dans la chaire du loup et le transperça de part en part telle une lance. Le sang se déversa sur elle se mélangeant à son propre sang. Le loup la fixa de ses grands yeux et dans un grognement ses muscles se détendirent.

Ne réalisant pas vraiment ce qu'il s'était passé, elle garda la même posture, allongée là, avec le loup sur elle. L'adrénaline lui avait fait oublier sa blessure à l'épaule qui se réveilla d'un coup. La douleur la fit revenir à la réalité et tout en repoussant le loup qui était allongé sur son corps, elle se mit à avoir une crise de larmes. La pression avait été trop forte, ce n'était pas passé loin cette fois ci.

C'est tremblante et perdant pas mal de sang qu'elle se mit à la recherche de façon complètement désordonnée de quelqu'un qui pourrait lui bander l'épaule ou du moins lui appliquer une compresse pour enfin arrêter ces saignements et pour l'aider à porter ce loup jusqu'à l'orée des bois puisque seule, elle n'y parviendrait jamais.

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Maréchale de la ville de Thiers.

Secrétaire Ducale pour la ville de Thiers.
.mathilde.
Et elle s'était lancée... les cheveux au vent, courant à travers bois pour rejoindre ce mythe, ce rêve inaccessible, ce fantasme... sa blonde au caractère de feu, qu'elle tenait à tout prix à présenter à son ami. Ses deux êtres très chers à la Murataise d'adoption, ne pouvaient que s'entendre, et pour cause! Deux corps d'or, deux amis, deux personnes de confiance et bien plus encore. L'occasion était là, à porté de ses doigts, alors Mathilde ne réfléchit pas d'avantage, elle entraîna Dorionis dans sa course folle, pour lui présenter, la femme de sa vie ! Non non, pas celle de Dorionis, celle de Mathilde.. après sa fille, évidemment. Ex éco avec Thyra, mais femme de sa vie quand même. Bref, la seule personne qu'il aurait été bien plus que dommage qu'il ne rencontre pas dans ce duché. Seulement voilà, dans ses idéaux et son impatience de présenter son ami à madame la prévôt, elle en avait légèrement oublié, qu'il sortait d'un combat acharné qui l'avait peut être, légèrement fatigué.
Au stop, ses pas cessèrent de façon très net, et elle se tourna vers Dorionis, interrogatrice. Comment ça stop? pourquoi stop? mais non pas stop! Elle est là, à deux pas ! SI belle, si blonde ! Allez quoi.. du nerf... elle en vaut la peine je vous le jure !
Bon, rien à faire, il s'était déjà assis, flémard . Tant pis ! Puisque l'héroïsme n'allait pas jusqu'à sa blonde, la chaleur humaine viendrait jusqu'à lui, non négociable ! Elle amorça donc une danse chaotique agitant ses bras en l'air pour que la dame de Fleuret l'aperçoive, mais surtout, la rejoigne.

L'attendant, elle se cala au pied du rocher, a même le sol, levant un regard inquiet de son état tout de même, vers le bûcheron. Et là, stupéfaction, elle le vit en train d'égorger une pauvre bête agonisante, qui peinait à respirer. Elle se tue, admirative de la scène, car l'air de rien, c'était beau, même si dans le fond, c'était triste. Elle vint à se demander comment sa chérie arrivait à chasser le loup en ayant elle même domestiqué une louve. Lisant la compassion au fond des yeux et surtout de l'acte de son ami, elle posa une main sur son genou. Pour lui donner du courage? Pour lui faire signe qu'elle était là? De la force? Pour compatir? Ou simplement pour partager? Aucune idée.. le geste fut naturel et instinctif, comme bien des réactions chez la brune.
D'une voix douce et prévenante, elle demanda :


Tu veux que j'aille te chercher de l'eau?
Que dirais tu si je te faisais visiter Saint Nectaire après tout ça, en commençant par faire mander une masseuse pour te remettre de cette journée?


Ba quoi? Non seulement comme cela il verrait où elle vit, mais pourrait également profiter du confort d'une soirée à Saint Nectaire, car ceci était bel et bien une invitation en la nouvelle résidence de la comtesse, le castel de son époux. Elle espéra qu'il ne refuserait pas, car tout ce qui concernait Dorionis, lui tenait à coeur, et qu'il soit invité d'exception chez elle, également.
Un grognement sourd, suivi d'une expiration bien plus retentissante que les ronflements d'un ogre, Mathilde se raidit. Un loup... ça passe, mais un ours... d'autant qu'elle n'en avait jamais rencontré encore, c'était quand même un peu plus impressionnant. Elle enserra d'une poigne, assez forte pour le faire réagir, sans pour autant lui faire mal, le genoux du forgeron, pour lui signaler la présence de l'espèce de... comment voulez vous qu'elle qualifie ça... de grizzly géant velu, avec des pattes aussi puissantes qu'un boulet de canon, vous ravageant la tête en moins de temps qu'il n’en faut pour le dire. L'eau allait attendre...

Regard vers son ami l'air de dire... toujours fatigué? dis moi qu'il te reste quelques forces, allez quoi, juste assez pour tuer un ours, "c'est tout". En constatant que si lui avait oublié son arc, elle, avait oublié son cheval, en revanche, ayant toujours l'arbalète à la main, elle la tendit au nouveau Muratais, qui s'en servirait probablement bien mieux qu'elle. Une chance que Dorionis avant emmener une hache à cette chasse.. il ne restait plus qu'à prier pour qu'il l'ai à ses côtés, derrière le rocher, car de sa place, Mathilde n'en voyait pas la trace.
A cet instant, une femme semblant perdue, saignant à l'épaule, arriva dans de champ de vision de Mathilde. Mince ! Si l'ours repère le sang... c'est fichu ! Ses topazes cristallines en alertes, elle observa son ami pour voir si il avait bien saisi le message, et surtout, repéré l'ours. Puis, se dirigea par des mouvements très lent pour ne par effrayer le monstre géant, vers la maréchale déjà croisée plusieurs fois à la prévôté, pour s'inquieter de son état. Sa besace de primes secours ne l'ayant pas quittée, elle s'avança jusqu'à elle, lui proposant de s'assoir pour être plus discrètes, et qu'elle puisse regarder sa blessure toujours sans attirer l'attention de l'ours.


Bonjour dame.. Je suis Mathilde.. je... vous..

Aborder les gens n'a jamais été son fort alors elle cherchait ses mots dans l'urgence de la situation, guère evident.

Vous permettez que je vous aide? Je peux jeter un oeil sur votre blessure?
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Créatrice de bannières, parchemins, blasons, etc ICI
Dorionis
Mathilde s'était approché posant une main sur son genou. Dorionis passa le revers de sa manche sur son visage afin d'essuyer ses larmes. I leva les yeux vers elle quand elle lui demanda :

Tu veux que j'aille te chercher de l'eau?
Que dirais tu si je te faisais visiter Saint Nectaire après tout ça, en commençant par faire mander une masseuse pour te remettre de cette journée?

Va pour l'eau et la visite. Un peu de repos me fera du bien. Quant à la masseuse, je ne savais pas qu'un tel métier existait. Je ne sais pas trop on verr...


Un grognement l'interrompit en même temps que la main de la jeune femme qui se crispa sur son genou. Le désespoir empli ses pensées quand il réalisa qu'il était trop las pour courir.
Il tenta d'évaluer à quoi il avait affaire.
Il tourna la tête de chaque côté en un mouvement fluide mais rapide malgré tout.

Il vit une énorme masse de fourrure sombre à un jet de pierre de là. A cet instant, Mathilde reporta son regard sur lui. Sa question était silencieuse. Peut-être un "allaient-ils s'en sortir" ? Dorionis, s'il avait pu parlé, lui aurait dit qu'il ferait tout pour qu'elle s'en sorte. Elle lui tendit alors son arbalète qu'il accepta, sachant très bien que dans ces situations, mieux valaient mettre de la distance. Lui ne pouvait plus, mais Mathilde semblait encore capable d'avaler des lieues. Il tenta de le lui faire comprendre mais l'arrivée d'une nouvelle protagoniste l'interrompit. Il comprit que Mathilde irait l'aider, celle-ci lui faisant signe vers l'ours.

Le jeune forgeron acquiesça les mâchoires crispées. Son frère était mort des griffes d'un ours. Il en irait probablement de même pour lui.

Le jeune homme reporta donc son attention sur la bête. Il soupesa l'engin que lui avait confié son amie. L'animal semblait quant à lui humer l'air ambiant. Dorionis réalisa alors l'immensité de sa bêtise.

La louve qu'il venait de tuer ne fuyait pas les humains, elle fuyait un plus grand danger. L'animal se leva alors de toute sa hauteur juste devant lui. L'imbécile s'était laissé berné, lâchant quelques instants le contact visuel qu'il avait de l'ours, le temps d'une pensée, celui-ci s'était avancé. Il venait de commettre une deuxième erreur certainement la dernière.

L'ours, juché sur ses pattes arrières lâcha un grognement qui lui hérissa chaque poils du corps. Il beugla si fort que ses oreilles se firent douloureuses et avant qu'il n'ait pu utiliser l'arbalète, l'ours tenta de lui asséner un puissant coup de griffe tout en retombant. Dorionis roula en arrière jurant pour lui-même. L'ours ne le lâcha pas et était déjà sur lui lorsqu'il se releva. Le jeune homme contra une première attaque avec l'arbalète, utilisant l'arme de jet comme un gros gourdin. Une deuxième puis une troisième et l'animal fini par lui griffer l'épaule, l'envoyant tête la première dans les fourrés.

Toujours l'arbalète à la main, l'autre sur son épaule sanguinolente, Dorionis tente alors de tirer. L'ours qui s'était encore rapproché reçu la flèche dans l'échine, lui arrachant un hurlement de douleur. La bête ne s'effondra pas pour autant. Avec un tel gabarit, il lui en faudrait 5 de plus pour en venir à bout. En désespoir de cause, il lança l'arbalète à la figure du monstre s'offrant ainsi le temps de saisir sa hache. Celle-ci ne l'avait pas quitté depuis le départ, une chance. La sortant d'une seule main de la sangle de son ceinturon, il recula, jetant au passage un coup d’œil en direction de Mathilde et sa blessée. Il ne les trouva pas et c'était peut-être aussi bien. Tant que l'ours s'occupait de lui, il ne faisait de mal à personne d'autre.

Le monstre beugla une nouvelle fois. Dorionis crut que celui-ci s'apprêtait à rebrousser chemin, ne désirant pas davantage de douleur. Au lieu de cela, il se mit à tourner de droite et de gauche évaluant le jeune homme. Il avait dû le mettre en rage en le blessant pour qu'il se comporte ainsi.
Dorionis préféra attendre, ne souhaitant pas mener une charge, le moindre moment de répit était une bénédiction.

Il plia un peu les genoux et se campa le mieux qu'il put, prêt à souffrir puis à mourir espérant emporter le monstre avec lui. Il souffla pour se débarrasser des cheveux que la sueur faisait se coller sur son front. Il aurait dû les couper il y a longtemps, maintenant ils le gênaient.

Bon sang, pourquoi fallait-il qu'il meurt aujourd'hui, il ne s'était pas encore tout fait pardonner. Il avait encore des choses à faire.

La bête l'observait toujours, beuglant régulièrement. Plusieurs fois elle avait fait mine d'avancer et Dorionis l'avait repoussé en agitant sa hache devant lui. L'effort qu'il devait déployer lui coûtait de plus en plus. Son premier combat, sa course et maintenant cette blessure lui donnait l'impression que sa hache pesait des tonnes.
Soudain la bête chargea. Dorionis ne put la toucher et la tête de l'animal le percuta de plein fouet, l'envoyant au sol. Là dessus, le monstre se leva prêt à lui asséner les pires blessures. Le jeune homme roula mais ne put tout esquiver. Plusieurs coups le touchèrent à la tête, et la raclée ne semblait pas vouloir prendre fin. Dorionis s’énerva alors franchement. Il n'allait pas mourir comme ça, c'était hors de question. Qu'au moins il se batte de toutes ses forces ! Et tant qu'il n'était pas mort, il en aurait.

Il plia les jambes et posa ses pieds sur le ventre de la bête alors que celle-ci continuait de lui asséner ses coups de griffes. Tout en se protégeant de ses bras, il poussa sur ses pieds. Le monstre rugit encore une fois et Dorionis profita de ce moment de répit pour passer sa lame le long du poitrail de la bête, faisant glisser le fil de sa hache sur la peau épaisse. Même en appuyant, il n'obtint qu'un léger filet de sang mais l'animal recula.

Dorionis profita de se renversement de situation, il se releva promptement et poussa son avantage, levant la hache bien au dessus de sa tête faisant fit de ses douleurs. Il l’abattit aussi fort qu'il le put, s'aidant davantage de la gravité que de ses muscles. L'épais morceau de métal s'enfonça dans l'épaule de la bête, libérant un nouveau flot de liquide rouge. Le monstre répliqua avec un coup de sa patte valide. Le jeune homme l'évita mais sa tunique de cuir fut réduite en miette, ouverte en quatre entaille longue comme ses mains. Il se décala alors et lâcha le manche de son arme se donnant l'amplitude pour enfoncer du pied la tête de la hache dans la blessure. L'animal rugit de plus belle et tenta à nouveau de le griffer de sa patte valide. Dorionis recula et fut surpris. Son dos venait de rencontrer un arbre. Il mit ses bras en protection mais la force du coup l'envoya de nouveau sur le sol. Sonné, il se rendit à peine compte de ce qui lui arriva ensuite. Avec les mouvements de l'ours, la hache était tombé et celui-ci s'employait à tenter de gober tout net la tête du forgeron, ses crocs lui perçant la peau du visage. Dorionis se débattait mais l'animal lui mordit l'avant bras. Saisi, il fut secoué plusieurs fois avant qu'il ne réussisse à attraper sa dague encore rouge du sang de la louve. Il l'enfonça plusieurs fois de manière frénétique dans le cou du monstre. Le sang jaillit et il lâcha prise.

Dorionis s'effondra en hurlant incapable de bouger davantage. Il sentit un liquide chaud couler le long de son visage. Sa tunique était trempé aussi. Respirer lui faisait mal mais dans sa souffrance il trouva une satisfaction en entendant au loin l'ours beugler de moins en moins fort et de plus en plus. L'animal n'était plus sur lui et grognait maintenant de douleur.
La souffrance se fit plus forte, si bien qu'elle lui coupa le souffle. Dorionis se mit à respirer par saccade tant cela lui faisait mal.

Quand la douleur finit par se calmer, il releva la tête, espérant voir son adversaire. Il l'aperçut à quelques pas de lui. Affalé contre un jeune arbre qui ployait sous le poids, la bête était recouverte de sang. Elle s'effondra pour de bon et l'on entendit plus que sa respiration sifflante. Petit à petit elle se fit moins bruyante jusqu'à ce que l'on n'entende plus que le vent.
Dorionis ferma les yeux et décida de s'abandonner à ce sommeil bienvenu. Au fond de lui, une petite voix lui disait qu'il ne devait pas s'endormir, que peut-être un tel animal était accompagné, que peut-être d'autres loups pourraient venir. Non tant pis. Il préféra fermer les yeux, même si ce n'était que pour un instant...
Semias
ATTENTION ! Après ce tour, il ne restera plus que 2 tours de jeu !

Si vous n'avez pas encore eu le temps de poster pour les inscriptions, pas d'inquiétude, vous pouvez prendre le jeu en route. N'hésitez pas !

Prochain tour de jeu : jeudi 5 avril à 18h00 heure française.



Anyenka - 164 : Aucun évènement
Ulyceduel - 000 : A tué un loup
Exquise - 087 : Aucun évènement
Lanfeust86 - 196 : Aucun évènement
RV007 - 006 : A tué un loup
Missanasthasia - 088 : Aucun évènement
Ivrel - 178 : Aucun évènement
Silec - 042 : Aucun évènement
Koslov - 130 : Aucun évènement
Diden - 015 : A tué un loup
Mel971 - 046 : Aucun évènment
.Mathilde. - 191 : Aucun évènement
Dorionis - 176 : Aucun évènement
Belleetoile - 145 : Se fait griffer (prochain tour : 50% de chances de tuer un loup)
Meya - 063 : Aucun évènement
Craquette - 003 : A tué un loup
Androlyne - 182 : Aucun évènement
Guigm - 121 : Tire une flèche sur un autre chasseur
Levio - 079 : Aucun évènement



Classement :
  • Dorionis : 12 points
  • Exquise : 11 points
  • Levio : 10 points
  • Anyenka : 2 points
    Diden : 2 points
    Craquette : 2 points
  • Missanasthasia : 1 point
    Silec : 1 point
    Koslov : 1 point
    Belleetoile : 1 point
    Lanfeust86 : 1 point
    Guigm : 1 point
    Mel971 : 1 point
    Meya : 1 point
    Ulyceduel : 1 point
    RV007 : 1 point
  • Miline : 1 point (ne chasse pas/plus)

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Meya
Après plusieurs longues minutes de marche, elle eut l'impression qu'elle avait marché une éternité, elle était exténuée. Plusieurs fois, elle s'était agrippée à des branches et menaçait de s'écrouler en se prenant les pieds dans les racines des arbres. Tout en marchant dans cet état lamentable, elle priait pour ne pas croiser un second loup. Ou pire, un ours. Elle n'était pas chanceuse, mais quand même... Elle espérait que le sort ne s'acharnerait pas sur elle. Elle aurait tout le temps de faire connaissance avec un ours lorsqu'elle se serait remise de sa blessure à l'épaule.

Elle vit alors une femme la rejoindre doucement. Malgré sa vue qui se brouillait sous la douleur, elle crut reconnaître l'une de ses collègues de la maréchaussée. Alors qu'elle lui fit mine de s'assoir, la thiernoise ne se fit pas prier et elle s'écroula au sol. Lorsque la Dame se présenta, Meya fut heureuse de se rendre compte qu'elle n'était pas en plein délire et que c'était bien l'une de ses collègues et en plus une amie d'Ana.


Bonjour dame.. Je suis Mathilde.. je... vous..
Vous permettez que je vous aide? Je peux jeter un oeil sur votre blessure?


Elle en aurait pleuré de joie. Elle lui fit un signe de tête tout en lui tendant le bras et essaya d'articuler quelques mots.

Je suis vraiment... heureuse de vous voir... je suis Meya... et...

Elle regarda son épaule avec perplexité. Puis elle reprit sa respiration pour lui dire qu'il y avait un loup mort un peu plus loin, sa proie, et qu'il faudrait peut être aller la chercher. C'est en relevant la tête pour la remercier et la prévenir qu'elle le vit. Elle n'avait pas tout de suite compris pourquoi Mathilde lui avait demandé de s'assoir. Maintenant qu'elle voyait la chose qui se tenait droite sur ses deux pattes, elle comprit pourquoi elle voyait aussi un peu d'affolement dans le regard de sa sauveuse.

Incapable de bouger, elle resta bouche bée devant la scène qui se déroula à quelques mètres d'elles. Un homme était en train de recevoir des tas de coups de griffes. Tétanisée, elle essayait de réfléchir à un moyen de lui venir en aide, mais aucun de ses membres ne répondait. A plusieurs reprises, elle aurait voulu hurler de terreur mais le son ne sortait pas de sa gorge. Elle était pétrifiée face à ce spectacle incroyable.

Lorsque l'homme réussit elle ne sait pas quel miracle à tuer cet ours, il y eut un instant de flottement. L'ours était allongé contre un arbre, mort, et l'homme agonisait au sol.

En se relevant, elle eut le tournis, mais oublia sa propre douleur et se mit à courir vers l'homme couvert de sang. C'était la première fois qu'elle voyait un ours se faire tuer de cette manière. Et même la première fois qu'elle voyait un ours se faire tuer tout court. Arrivée à sa hauteur, elle questionna Mathilde du regard pour savoir s'il était mort.

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Maréchale de la ville de Thiers.

Secrétaire Ducale pour la ville de Thiers.
Diden
En avançant dans la forêt Didi chuchotait à Uly en lui expliquant qu'arrivée a l'endroit ou elle avait tué le loup elles grimperaient toutes les deux sur l'arbre....

Elle aida Uly en lui faisant la courte échelle... puis s'installèrent une sur la grosse branche et une juste au dessus.....


bon Uly a partir de maintenant on va essayer de pas rire, pas parler car je sent que le loup mort va attirer d'autres....... mais avant on va se boire un truc dac? elle sortit la fiole en prit une rasée et lui tendit

Alors maintenant on est apte a les attendre sans prendre de risque....

au bout de quelques minutes Didi attrapa le bras d'uly et lui fit signe de ne plus respirer.....elle prépara une flèche car entendit un craquement....

Elle regardait au pied de l'arbre puis aux alentours et vit un buisson bouger... et d'un coup deux loups apparus .....

Elle visa et tira dans le ventre d'un .....

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