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[RP] Sans contrefaçon

Aleen
En s'allongeant à côté de son...sa...enfin de Deli, une idée la stoppa net dans ses ardeurs.... elle se mordit la lèvre....

Bon sang mais...mais.... j'attendais un enfant !!!! non c'est un cauchemar ....je ...je vais me réveiller

Arfffffff AU SECOURS A MOI.... c'est un sortilège mais qu'ai je fait ... Pourquoi ?

et puis Deli ne saura pas s'il est enceinte ou pas ! je veux mon corps !!!!!!

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Audrick
Le réveil.

Passer les doigts dans les cheveux, ça accroche. Il y a des noeuds.
Glisser le main sur le visage, c'est lisse. Je me suis rasé hier soir ?
Continuer vers le buste, il y a des renflements. Trop d'entrainement.
Pensées somme toute très masculines, réponse logique à ce que le cerveau encore embrumé a des difficultés à enregistrer.

La mise en route.

Prendre ses braies sur la chaise, elles baillent. Faut encore que je me remplume.
Enfiler et boutonner la chemise, elle est juste. Arrêter de faire travailler le haut.
Mettre les bottes, tout se passe bien. On a rarement vu des gens grossir des pieds.
Le tout est fait à la lueur des étoiles en ce petit matin par flemme d'allumer une bougie, paresse masculine ? Pas forcément, surement paresse du jeune homme.

Le travail.

Aller à la mine comme tous les jours, se signaler. Toujours les mêmes têtes.
Piocher encore et encore, rentabiliser la journée. Voilà le pourquoi de la carrure.
Rendre la pioche, toucher la moitié de sa paie. A moi bientôt un second champ.
Pas d'émotion particulière, juste la sensation du travail fini, d'avoir fait ce qu'on attendait de lui.

La fin de journée.

Rentrer à la maison, la nuit est déjà tombée. Tout le monde est éparpillé.
Prendre un repas, seule l'envie de se coucher se fait sentir. Vite au lit.
Se déshabiller les vêtements posés sur la chaise, se coucher. Demain est un autre jour.
Journée somme toute ordinaire d'un jeune homme ordinaire qui n'aura pas remarqué qu'un fait extraordinaire s'est produit.
Pattricia
Elle avait fini par pouvoir s'habiller... 'fin il... 'fin eux... C'est qu'elle se sentait double la vindicative, toujours les mêmes pensées, mais avec quelques inconvénients de taille... Sauf un ! Le type qu'elle regardait dans le miroir vénitien était bien plus sexy qu'elle avec toutes ses cicatrices, sa grande taille, son torse bien large. Y'a pas que ça qui soit de grande taille punaise ! Évidemment son premier geste avait été de sortir derrière dans le jardin pour se soulager contre un arbre, vieux fantasme lancinant enfin réalisé, puis elle s'était lavée à l'eau glacée, juste histoire d'être moins... 'fin voyez, le matin tout ça... Bref ! Fallait qu'elle calme ses ardeurs et elle se voyait pas le faire autrement qu'en prenant un bain glacé.

Se voir dans les vêtements de Michel l'avait un peu déstabilisée au départ mais, après un petit moment à rester figée devant le miroir, elle avait finit par se secouer et sortir. Elle se disait qu'au pire on la prendrait pour un étranger, évidemment ça pourrait être gênant pour passer la poterne du village. Mais en arrivant, elle trouve les portes ouvertes et sans surveillance, elle ne se fait pas prier et file vers Sainte-Lucie, elle a comme un compte à régler en ce dimanche sans messe comme d'hab...

Elle grimpe quatre à quatre les marches, traverse le parvis et pousse la lourde porte. Quelle n'est pas sa surprise quand elle découvre une grosse proportion de villageois en train de prier avec les yeux qui leur sortent du visage tellement ils sont au bord de la folie. La môme au loup -ouais je sais vu son gabarit actuel le surnom est ridicule- se précipite directement vers le cœur de l'église et se pose devant une représentation d'Aristote, mains sur les hanches et le verbe haut.


Alors c'est bon ? T'as bien rigolé ? Tu crois qu'on se comprendra mieux grâce à ça ? Je sais que ça fais des années que je prie pour que mes enfants aient un père, mais j'avais pas forcément prévu de tenir ce rôle ! J'te préviens, va falloir que ça rentre dans l'ordre hein ! Pas question de rester dans ce corps encore des lustres, ça gratte en plus, pis cette barbe naissante... Tu trouves qu'on avait déjà pas assez de boulot avec nos jambes ! Pis le regard énamouré des greluches dehors, tu penses vraiment que ça faisait partie de mes fantasmes ?

Y'a juste un truc qu'elle avait oublié, sa grosse voix virile. Intriguée par le silence soudain dans la maison de Dieu, elle se retourne. Tous les regards convergent dans sa direction, -'fin ceux qu'on peut distinguer dans la pénombre d'une église plutôt bondée pour une fois- certains sont peu amènes, d'autres amusés et jusqu'à quelques airs complètement affolés, voire au bord de la folie. Soudain gênée, elle se signe et file à l'extérieur par une petite porte latérale. Restant appuyée contre la porte, elle prend une grande respiration et soupire.

P'tain ! Elle va être longue cette journée...
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Sandreen
Pfff Quelle journée ! c'est harassant d'etre un homme finalement, m'etonne pas que la plupart soit de vraies faignasses.
Entre les verres à s'enquiller pour ne passer pour un timoré, bien viser pour ne pas arroser ses bottes, calmer le fretillant, bomber le torse et trouver des blagues plus ou moins subtiles.
fichtre ! pas décue que la journée touche à sa fin

Dans l'obscurité de sa chambre, enveloppé de la nuit, Sand se jette dos sur son lit après avoir balancé ses bottes dans un coin.
Une tite prière peut-etre pour que tout redevienne comme avant, passant négligemment sa main sur son ventre plat comme une limande, soudain un écarquillement de mirettes, se redresser d'un bond rho punaise ! comment vit il cela ?
et de partir dans un rire fort et résonnant

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Mariceleste
P'tain la journée aller vraiment être très longue entre chercher un arbre pour se soulager, se grattouiller les.... enfin vous savez s'quelle veux dire heinnn que de bouleversement pour une journée qui devait être superbe.
Il avait pas raté avec cette transformation, la punition était sévère, elle se précipita a l’église car cela faisait longtemps quelle n'y avait pas mis les pieds c'était peut être pour cela quelle avait était puni en se retrouvant en homme.

Devant l'église il/elle n'osa pas entrer par la grande porte et préféra passer par derrière pour ne pas être vue et entrer discrètement par la petite porte.
Elle se trouva nez a nez avec un homme ou dame aller savoir, il ou elle était en train de marmoner des choses, houlala ça lui avait ramollie le cerveau tout se chamboulement. Elle, il pioufff elle ne savait plus trop qui elle était, enfin bref cela était surement pour une simple journée. Elle s'approcha de lui/elle pour lui parler.


- Ça n'va pas messire, vous avez mal quelques part ?

Elle... enfin.... IL le regarda pour savoir s'il le connaissait, mais il avait jamais vue auparavant, le rouquin entra ouvri la petite porte et passa la tête pour regarder s'il y avait du monde dans l'église, elle referma aussitôt cette porte et resta dehors car il y avait trop monde a son gout.
Elle priera dehors heinnn. Cette journée, journée du seigneur aller êtres longue... trèèèèès longue.....
Zoyah
Il fallut toute la patience et les capacités de persuasion de Monsieur-Madame Z pour convaincre ses gens qu’elle n’avait égorgé aucun nouveau-né pour mériter pareil châtiment.
A la question comment ... nulle réponse.
A la question pourquoi... il/elle comptait bien y réfléchir.
A la question qui... s’il/elle le tenait.
A la question jusqu’à quand ?... une vive angoisse s’empara de lui/elle.
Rester enfermer lui sembla une bonne option. Hors de question de foutre le nez dehors.


Lé baronessa.. yé devré allé yerché lé couré. Y va vous exorcisé !!


Ah mais non.... certainement pas !

Et de foutre tout le monde à la porte avec pour ordre de ne rien ébruiter. Si ça se trouve demain, tout sera terminé.



Le lendemain....

Baronessa, yé l'heure de vous lévé ! Vous dévé allé à l’églishe pour confesse ! La bobonne fit irruption dans la chambre en mode "Sus aux rideaux".

Les paupières fragiles de la brune s’ouvrent péniblement. Un lourd mal de crâne lui vrille la caboche et la voix de la bobonne à moustache en est que plus insupportable. Un grognement...


humm.. laissez-moi dormir j’ai fais un horrible cauchemar, vous m’agressiez avec votre balai ...


Ah, y'entend que lé baronessa allé la voix enroué … allé débout Baronessa
......
??????

De prendre conscience alors de l’épisode de la veille....
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!

La domestique de faire un bond de dix mètres.... Iiiihhhhhhhh.....ma, la baronessa yé dévénou folle !

La brune toujours assise dans son lit s’inspecte sous toutes les coutures.
Et que voit-elle ? Des mains fines et blanches, des bras menu et sur tout le retour de la paire de melons. Il tira sur son col afin de vérifier qu’ils étaient bien à leur place... on sait jamais.

Marguerite, étonnée et perplexe, la dévisagea avec inquiétude.


Ouffff... je suis redevenue moi !! ... éclat de rire et gazouillis joyeux. Terminé la grosse voix de ténor.

Ma ? Qué arrivé a vos ?
Marguerite ne dites pas que vous avez oublié ? Vous m’avez tapé dessus avec votre balai, je vous signale !
Qué ?!?
Mais oui... hier, j’étais un homme...
.....
.....
Yé crois surtout que mé baronnesa a abousé de la tisane de chanvre de son ami auvergnat. Yé a dit qué c’était pou détendre et oublié lé chagrin pas pour sé soulé.
.....
Fichtre, sa tisane de chanvre c’est de la bonne !


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